عبد الصمد المسافر
عبد الصمد المسافر
عبد الصمد المسافر
Réaliser par:
ABDERRAHIM ABIMOUSSA
ABDESSAMAD ELMOUSSAFIR
Encadré par :
MR.DIOURI
Année Universitaire 2021/2022
[1]
DEDiCACE
[2]
Remerciement
[3]
Sommaire
I_ Introduction:......................................................................................................5
Chapitre1: Etude de l'existant...............................................................................6
1:Définition d'une machine à moudre le blé.....................................................7
1.2:Le décorticage...........................................................................................8
1.3: La mouture...............................................................................................9
2:Description des techniques de décorticage et de mouture...........................9
2.1: Méthode traditionnelle............................................................................9
2.2: Méthode artisanale................................................................................10
Décorticage: le principe utilise est l'abrasion par meules ou disques
abrasifs .le décorticage se fait par voie sèche et la séparation est assure
par un système de tamisage incorporé ou non à, la décortiqueuse............10
2.3: Méthode industrielle.............................................................................10
3:étude de quelques techniques de décorticage et de mouture....................10
3.1: décortiqueur de type engelberg............................................................10
3.2: Décortiqueur à abrasion par disques verticaux.....................................11
3.3: Techniques de mouture.........................................................................11
4. Différents types de broyage.........................................................................18
Chapitre 2: Analyse fonctionnel..........................................................................19
Analyse de besoin:.................................................19
Introduction..................................................................................................19
Analyse de faisabilité.........................................20
2.2: Diagramme pieuvre...............................................................................20
2.2:la gamme des fonctions..........................................................................21
[4]
3. Diagramme SADT:........................................................................................21
3.1: Diagramme FAST.......................................................................................22
Chapitre3: Etude du problème............................................................................22
3. 1 Définition du problème:............................................................................23
3.2 Données relatives aux décortiqueuses et moulins manuels:....................24
3.2.1: Décortiqueuses manuelles..................................................................24
3.2.2: Moulins Manuels................................................................................24
3.3: Restrictions:...............................................................................................24
3.4: Objectifs....................................................................................................25
3.5: Critères d'évaluation.................................................................................25
Chapitre 4: Génération des solutions..................................................................27
4.1: Solution n°1...............................................................................................27
4.2: Solution n°2...............................................................................................28
4.3.Solution nᵒ3................................................................................................29
CHAPITRE 5: ÉTUDE DE PRATICABILITÉ .......................................................................31
Chapitre 6:Conception........................................................................................31
Introduction:....................................................................................................31
6-1:Calcules des forces et des éléments de la machine à moudre le blé et
l'orge.............................................................................................................32
6.2.Dimensions de l'embrayage par friction.................................................40
6.4.Conception du bâti:.................................................................................42
[5]
I_ Introduction:
Dans les pays en voie de développement, les céréales ont toujours occupé une
place prédominante dans l’alimentation des populations les plus pauvres. En
Afrique de l’Ouest, le mil, le sorgho, le riz, et le maïs fournissent aux
populations l’essentiel de leur ration calorique (jusqu’à 80% des besoins
quotidiens). C’est donc, en moyenne, 170 kg de céréales par an et par
personne qui sont consommés.
Cependant, du grain récolté au plat cuisiné, les céréales doivent subir toute
une série de préparations. C’est en effet sous forme de semoule ou de farine
que les céréales entrent dans la composition des plats, particuliers à chaque
région. Leur transformation est donc, elle aussi, primordiale et joue un rôle
économique majeur dans les pays en voie de développement.
Le présent document traite du procédé de mouture, et en particulier du choix
des moulins pour les pays en voie de développement. Il s’adresse donc tout
particulièrement aux acteurs locaux et ONG qui recherchent des informations
sur les équipements adaptés à ces pays.
[6]
Chapitre1: Etude de l'existant.
Dans l'objectif de proposer un nouveau modèle de machine, une analyse de
l'existant s'avère dès lors nécessaire et porte sur les aspects qualitatifs et
quantitatifs des systèmes mis en œuvre dans la transformation des céréales
locales en général et du mil en particulier. Ceci permettrait alors se s'inscrire
dans la mouvance de proposer une nouvelle machine, qui doit s'insérer dans
UN univers de machines existantes en vue d'une meilleure gestion.
[7]
Un moulin est une machine à moudre, à l'origine avec une ou
plusieurs meules, principalement les grains de céréales récoltées afin de les
transformer en poudre plus ou moins grossière ou farine.
1.2:Le décorticage.
L’opération de décorticage consiste à débarrasser le grain de son enveloppe,
le péricarpe, et d’une partie du germe. Le péricarpe est en effet riche en fibres
[8]
cellulosiques indigestes et peut, contenir des tanins amers (cas du mil et du
sorgho) qui entravent l’assimilation des substances nutritives et sont à
l’origine de saveurs peu appréciées.
1.3: La mouture.
Contrairement au décorticage qui demande une technologie spécifique pour
chaque céréale, les procédés de mouture sont communs à tous les grains.
Seuls les réglages des machines diffèrent.
Décorticage : les grains de mil sont lavés à grande eau pour les débarrasser
des impuretés .Ils sont décortiqués au mortier et au pilon .l’humidité préalable
du grain facile le décorticage au pilon .la séparation du son et des grains
décortiquées est effectuée par vannage et/ou tamisage manuel. Les grains
décortiqués sont ensuite lavés pour parfaire la séparation, mais aussi pour
éliminer les petites pierres et le sable par l’immersion et le transvasement
sélectif.
Celui de la technique artisanale .la mouture est faite par des appareils à
cylindres pour la fabrication de semoule ou par des broyeurs à marteaux ou à
meules pour la fabrication de farine.
[10]
3.1: décortiqueur de type engelberg.
ll se compose d'un arbre cannelé en fonte tournant à l'intérieur d'un carter
muni d'une grille à la base. Le décorticage est effectué par une lame d'acier
mobile. IL présente les avantages et les inconvénients suivants:
Les advantages:
rusticité,
simplicité d'utilisation ET de fabrication,
adaptation aux petites quantités grâ ce à sa souplesse d'utilisation,
Les inconvenients:
Cette technique donne des résultats encourageants et reste l'une des plus
performances.
[11]
3.3.1: Moulins à meules.
Il existe plusieurs types d'entrainement possible, chacun correspondant à un
type de Moulin différent: les moulins manuels, à traction animale, à moteur
et même à eau.
Dans le cas des moulins à meules verticales, le grain subit en plus l’effet de
son poids, qui l’entraîne vers le bas, donc vers la périphérie de la meule. Il en
résulte un temps de passage plus court, ce qui donne une farine moins
régulière qu’avec des meules horizontales.
[12]
Meules lourdes (de diamètre supérieur à 50cm).
[13]
magnésium. L’usure de ces meules n'entame pas leur pouvoir abrasif, puisque
de nouvelles arêtes apparaissent toujours en surface.
[14]
3.3.2: Les moulins ou broyeurs à marteaux.
La vitesse de rotation des broyeurs à marteaux varie entre 2.500 et 6.000
tours par minute.
Les principaux avantages du broyeur sont son efficacité et sa simplicité de
fabrication, permettant une construction locale aisée: nombreux sont les
artisans à le fabriquer localement. De plus, son entretien est simple et peu
coûteux.
Son principal inconvénient est son manque de polyvalence: il ne peut traiter
les oléagineux et les céréales trop humides qui colmatent les grilles. Par
contre toutes les céréales sèches peuvent être broyées sans difficultés.
[15]
pulvérisé en projetant à grande vitesse contre les parois de la chambre de
broyage, à l’intérieur de laquelle tourne un rotor sur lequel sont fixés les
marteaux. Les produits (farine, semoule) sortent par une grille (ou tamis)
située à la base de la chambre de broyage.
5_Marteaux
6_Rotor
[16]
Figure 13: principe de fonctionnement d’un broyeur à marteaux. Ref [18].
[17]
bien plus de dégâts que si les marteaux étaient mobiles, où ceux-ci «
s’effaceront » au passage. Les marteaux réversibles peuvent écraser en
moyenne 450 kg de céréales avant d’être changes (d’après réf. [4]).
La grille:
Son rôle est de ne laisser passer que les particules suffisamment fines, et ceci
en fonction de la granulométrie recherchée.
La carcasse:
La carcasse est constituée de la chambre de broyage, de la trémie et des
pieds. Elle peut être réalisée en fonte ou en tôle soudée.
[18]
farine, la vitesse de rotation des marteaux recommandée est de 3500 à 4000
tr/min, elle descend à 1800tr/min pour la semoule.
• La nature du produit à broyer. Globalement, le rendement horaire est, le
plus souvent compris entre 150 et 400 kg/h.
Le broyage à voie humide est effectué plus couramment au niveau familial .les
grains décortiqués, lavés dans le but de parfaire la séparation du son et de
l'amande conservent une certaine humidité avant la mouture. Il faut noter
que cette humidité favorise par ailleurs une phase de fermentation du produit
final, qui confère à la farine un goût recherché par la plupart des
consommateurs .Cependant cette façon de procéder réduit les possibilités
d'une longue conservation.
[19]
Chapitre 2: Analyse fonctionnel.
Analyse de besoin:
Introduction.
2:Bête à cornes.
Objectif ; La bête à cornes est un outil de formulation du projet. Son
objectif est de cadrer le contexte dans lequel le projet voit le jour. Cet outil
s’interroge sur le pourquoi du projet .il doit permettre de périmètre du projet.
[20]
Le blé ET l'orge
Utilisateur
Machine à moudre
Analyse de faisabilité.
[21]
Utilisateur Le blé et l'orge
Machine à
moudre le blé et
l'orge
Fc1 FC4 Milieu ambiant
Sécurité
FC2
Environnement FC3
Énergie
[22]
Machine à moudre
Le blé et l'orge
[23]
Chapitre3: Etude du problème.
3. 1 Définition du problème:
La transformation des céréales locales effectuée de manière traditionnelle à
l'aide d'un pilon et d'un mortier à récemment fait l'objet d'une mécanisation
surtout pour les opérations de décorticage et de mouture .Les méthodes
artisanales et industrielles ne manquent pas, mais les pénibles tâches de
décorticage et de mouture manuelles continuent d'occuper les femmes. Elles
leur réservent plus de trois heures par jour. En effet, rares sont les machines
qui répondent aux conditions soci_économiques des milieux aussi bien rural
qu'urbain.
Il est outre constaté que les services d'un Moulin sont actuellement les plus
demandés et que le décorticage, le vannage et / ou tamisage manuels
continuent d'être pratiqués. Les femmes, généralement, effectuent le
décorticage manuel avant de faire moudre mécaniquement le mil. Les moulins
se sont répondus à Travers le pays d'une manière plus rapide que les
décortiqueuses qui sont restées au désintéressement de la plupart des
prestataires de service. Des enquêtes menées dans le bassin arachidier ont
montré que 76,3%des populations ont fait appel au moins au service d'un
[24]
Moulin ou l'utilisent régulièrement alors que 0,6%seulement de la m ême
population ont utilise ou utilisent encore les services d'une décortiqueuse.
[25]
Meules de 9 à 10cm de diamètre,
3.3: Restrictions:
Les restrictions se présentent ainsi:
La machine peut être destinée au milieu rural (où l'on constate une
rareté de pièces de rechange) d'où la nécessité d'une simplicité
d'entretien.
3.4: Objectifs.
La machine devra permettre de résoudre UN certain nombre de problèmes
actuels. Nous fixons alors les objectifs poursuivis dans ce projet:
[26]
Proposer une machine qui répond aux réalités socio-économiques du
pays,
o Maniabilité………………………………………. 25%.
o Encombrement………………………………… 15%.
[27]
Chapitre 4: Génération des
solutions
L'étude de l'existant qui a consisté globalement, à une analyse des techniques
de décorticage et de mouture a Boutin à une synthèse logique de ces
systèmes .Ceci a permis la génération de solution qui permettent d'atteindre
les objectifs poursuivis dans ce projet d'ingénierie.
[28]
4.1: Solution n°1.
1_ manivelle
2_volant
3_ trémie (mouture)
4-vis d'Archimède
5_meule fixe
6_meule mobile
7_ clavette
8_ ressort de rappel
9_levier
10_vis de réglage
11_disque d'embrayage
12_engrenage
13_ entretoises
14_ meules abrasives
15_trémie (décorticage)
[29]
L'entraînement est effectué grâce la manivelle (1) solidaire du volant (2) La vis
d'Archimède (4) est alors entraînée et permet de procéder à une admission
force du mil contenu dans la trémie (3) dans la chambre de broyage composée
de deux meules: une fixe (5) solidaire du carter et une autre mobile (6)
entraînée par l'arbre. Le support de la meule mobile glisse sur l'arbre guidé
par une clavette (7), ET ceci permet de régler l'écartement ou le
rapprochement des meules grâce au levier (9) actionné par une vis de réglage
(10). Ce dernier permet d'adopter une position débrayée et de découpler le
décortiqueur pendant la mouture. La position embrayée rend possible le
décorticage du mil admis dans la chambre par la trémie (15). L'opération est
assurée par l'ensemble des meules (14) disposées régulièrement le long de
l'arbre. L'engrenage (12) permet d'augmenter la vitesse pour effectuer le
décorticage.
1-manivelle 12-Cliquet
2-volant 13-engrenage
3-trémie (moulure) 14-Trémie (décorticage)
4-vis d'Archimède 15-meules abrasives
5-meule fixe 16-entretoises
6-meule mobile 17-vis de réglage
7-ressort de rappel
8-levier
9-élément entraînant
[30]
10-élément entraîné
11-ressort
Les mêmes principes sont conservés pour le décorticage et la mouture. La
Différence porte sur le système d'embrayage qui est assuré ici par un système
de cliquet. Lorsque l'élément (9) tourne dans le sens trigonométrique,
l'élément (10) est entraîné avec lui par le cliquet (12) dont le contact avec
l'élément (10) est maintenu par le ressort (11). L'arbre décortiqueur est ainsi
entraîné. Si le sens de rotation change les deux éléments se désengrènent :
seule la partie mouture
Fonctionne, le décortiqueur étant au repos.
4.3.Solution nᵒ3.
[31]
L'élément moteur est constitué ici par un ensemble manivelle (18) balancier
(1). Cette solution permet de régler l'écartement ou le rapprochement des
meules (4) et (5), tout en adoptant la position débrayée ou embrayée. Cela est
rendu possible grâce à l'utilisation de deux ressorts (7) et (11) pour
l'embrayage et le réglage de l'écart de deux meules.
Les mêmes principes de décorticage et de mouture sont adoptés. La manivelle
solidaire de la roue (18) est accouplée à un pignon pour multiplier la vitesse
d'entrée.
Solution nᵒ4:
[32]
Principe de fonctionnement
L'entrainement est effectué grâce à un moteur électrique, l'arbre est
alors entrainer par le moteur et permet d'entrainer avec lui la
meule mobile qui sera en contact avec la meule fixe et permet de
moudre le blé pour le rendre la farine
[33]
CHAPITRE 5: ÉTUDE DE PRATICABILITÉ.
L'ensemble des solutions générées sont nécessairement
soumises à une étude de praticabilité qui est axée ici d'une part sur
les aspects physiques et mécaniques des solutions et d'autre part
sur les aspects économiques.
Les différentes solutions sont confrontées les unes aux autres. JI
s'agira alors de Retenir celle qui répond le plus aux critères
prédéfinis. En s'appuyant ainsi sur la simplicité de fabrication des
solutions, critère d'évaluation défini précédemment, la solution n"]
l'emporte sur la deuxième dont le système de cliquet pourrait
comporter quelques difficultés de fabrication par rapport à la
première. On note cependant que les sources d'usure sont plus
accentuées dans le premier cas. Étant donné que les vitesses de
fonctionnement dans le cas d'un entraînement manuel sont assez
basses, cette restriction pourrait être reléguée au second plan. La
solution n03 devient celle qui offre beaucoup plus de possibilités.
Alors Comparée aux autres la solution nᵒ4 est parmi les meilleures
solutions pour répondre aux exigences des consommateurs, En
effet la mouture et le décorticage peuvent être effectués
simultanément d'une part et d'autre part la vitesse de
fonctionnement est davantage multipliée grâce à son mécanisme
moteur éléctrique accouplé à un engrenage.
Tous ces facteurs nous amènent à considérer cette solution qui fera
l'objet de calculs et de conception dans la partie suivante.
[34]
Chapitre 6:Conception.
Introduction:
Pour faire un produit il est obligé de passer par ces étapes: on doit
d'abord calculer les forces et les éléments de la machine proposée
et savoir le rôle de Chaque composant, puis on est besoin d’un
prototype sur CATIA qui permet de dessiner les pièces une par une,
puis de les assembler afin d’obtenir le montage souhaité, pour
passer à la réalisation.
6-1:Calcules des forces et des éléments de la machine à moudre le blé
et l'orge.
Celle partie porte essentiellement sur les points suivants:
We (vitesse d'entrée) = 50 tr / mm
Ws (vitesse de sortie) = 150 tr / mm
Ps = 50 w (puissance fournie par un moteur électrique).
Rapport de transmission i
[35]
Couple transmis au pignon M1.
[36]
Pour des francs durcis, on a:
6.1.3.1:Mouture.
[37]
Le couple résistant de torsion est donné par l'expression:
Application numérique:
De = 100 mm
Di = 25 mm
N = 150 Newtons (effort maximal exercé par le ressort)
ᵹ=21, 10 N.m
W=P/C=50/2.3=25rad/s
W=238.7tr/min
[38]
6.1.3.2Décorticage:
Y=densité de blé:
τ =σ tanᵹ
En prenant σ constante sur toute la surface on a:
σmoy=1/D (yDxD/2)=YD/2
Couple élémentaire:
dC=Fr.=τr^2 dr dѲ
=yD/2tanyr^2 dr dѲ
Couple exercé sur une meule :
[39]
Si on prend n meules, le couple total est donné par:
Application numérique:
P:Pression
Couple élémentaire:
dC=dF.r=f.r^2. dr. dѲ
En intégrant sur une surface d'un disque on obtient:
Cad=2/3 f.N.R
Le couple à transmettre M1 à l'arbre décortiqueur par l'embrayage ne doit pas
Dépasser la valeur de Cad pour éviter le glissement entre les deux disques: on
doit respecter alors la condition suivante: M1 < Cad.
[40]
R= à prendre le plus grand possible en tenant compte de
l'encombrement.
Les critères étant définis, on peut ainsi porter le choix sur un contact acier -
trempé/ acier - trempé avec un service à sec.
Remarque:
Le Contact à sec entraine une usure des métaux plus rapide. Mais cela permet
de maximiser le coefficient de frottement f. par ailleurs dans le présent cas
ou
L'arbre récepteur est à l'arrêt au moment de l'embrayage, cette usure est
moins Accentuée.
Application numérique.
Le couple transmis au pignon M1 = 4,775 N.m
R= 75 mm;
N= 700 Newtons; (acceptable si on prévoit une commande manuelle pour le
Débrayage)
f= 0,3
Cad=2/3x700X0.3X0.075
=10.5N.m M1<Cad
[41]
6.3. choix des roulements.
[42]
Couple résistant au décorticage (1 meule):
6.4.Conception du bâti:
[43]
6.4.2. Forme générale du bâti.
En fonction des surfaces fonctionnelles et de J'aspect géométrique des
éléments de la machine, on peut adopter une forme du bâti suivante :
[44]
[45]