Contrats Nommés
Contrats Nommés
Contrats Nommés
Différentes interventions permettent d’organiser les interactions que l’on peut retrouver dans une
société
Le doit commun s’applique à tous types de contrats (civil, commercial, international, etc.). Quelques
fois il n’est pas à la mesure de réglementer une situation. Dans des situations civils on a besoin de
temps, contrairement aux situations commerciales. Les seuls contrats prévus par la loi commune ne
suffisent pas à toutes les situations. C’est alors que intervient le droit commercial. De nouveaux
contrats mis en places permettent de s’occuper des situations particulières. Les professionnels
mettent en place d’autres types de contrats. En fonction de leurs attentes, ils sortent de nouvelles
lois, tout en restant dans le respect de l’ordre public. Une fois qu’une telle sorte de contrat intéresse
les autres, l’autorité publique doit organiser ces nouveaux contrats (exemple : contrat de bail).
DEMOCRATISER.
L’Etat peut mettre sa main ou non, lorsque l’intérêt des contractants est atteint, ou lorsqu’un grand
nombre de personnes deviennent ocncernés par un certain type de contrat. LEGISLATEUR
Par exemple, l’intervention d’un particulier peut nuire à l’Etat, dans la mesure où celui-ci ne
retrouverait pas de contre partie. Alors une règlementation va imposer au particulier d’imposer, pour
qu’une certaine somme soit reversée à l’Etat. Le public est touché( HUBERT).
La loi commune ne peut pas toujours satisfaire les intérêts des particuliers, de par sa complexité, son
prix, etc.
Le cocontractant était considéré comme la partie faible . Aujourd’hui il est considéré comme
partenaire (exemple = fond de commerce. C’est la clientèle. Il doit être pris en considération).
ARTICLE 230 : principe autonomie
CLAUSES ABUSIVES : même si une proposition est acceptée, la loi acceptée peut être éteinte.
[Les profesionnels peuvent être considérés comme consommateurs lorsqu’ils contractent dans un
domaine qu’ils ne maîtrisent pas]
CONTRAT INNOME : non prévu par aucun des codes. Le principe est la liberté de contracter.
N’importe quelle situation peut être retrouvé dans un contrat, si la base prévue par le DOC est
respectée. Par exemple, la capacité ne peut pas être retiré ; l’objet doit nécessairement être en
accord avec l’ordre public.
[étranger contracte au Maroc : principe territorialité : c’est la loi marocaine qui prévaut, sauf si l’âge
de l’étranger est inférieur, mais seulement s’il est autorisé par un juge]. adaptations de la loi.
Sur la base internationale, il est possible que de nouvelles situations soient rencontrées. Dans le cas
où un traité n’est pas ratifié par l’un des Etats
[ratification : par le parlement quand ça constitue une charge financière pour le pays ; si non par le
roi]
[différence ratification/signataire/adhérent]
Une convention ne peut pas s’imposer si elle n’est pas ratifiée et publiée dans le BO
Ce sont les conventions qui détemrinent leurs conditions d’entrée en vigeur : par exemple un seul
pays peut être parti contractant ; ou les deux parties concernées doivent être parties contractants.
En cas de litige : si l’un des Etats n’est pas partie contractante ; si dans le contrat ils ont décidé
d’appliquer une loi X, elle va être appliquée.
L’intervention d’une entité publique varie selon la société. Etre libre de choisir le droit auquel on est
justiciable, c’est in intérêt qui s’oppose à l’intérêt public : autonomie de la volonté. Le DOC, sa
prmeière partie, réglemente les contrats. Mais les situations réglementées osnt limitées, face à ce
que l’on voit naître dans la réalité. Il laisse donc libre cours à la rédaction du contrat, mais face au
slience des contractants, il vient décider pour eux, essayer de suppléer l’absence de la rédaction
d’une idée. Mais il ne faut pas oublier qu’il y a tout de même des piliers à respecter, et ceci pour le
blien de chacun des contractants. Il cherche à éviter un déséquilibre. Par exemple il est nécessaire
qu’un contrat soit écrit, pour constituer une preuve. Il y a là donc des règles rigides, mais qui ne
conviennent pas nécessairement à toutes les situations. Le temps, dans le domaine commercial, et
important. Ils ont besoin d’une certaine flexibilité. C’est alors qu’interviennent les textes d’exception.
Elles sont reliés à des situations déterminées. D’un côté il y a le droit commun, et par ailleurs le droit
spécifiuqe. Il s’agit du code de commerce. LIBERTE DE LA PREUVE.
Il existe des textes qui s’intéressent à des contrats spécifiques. Par exemple un texte qui s’occupe du
contrat d’assurance. Constitués par des lois particulières, comparé au droit commun et au droit
spécifique. Ainsi par exemple en matière commerciale, les délais de prescirption sont très courts, ceci
permettant de trouver une solution aux litiges le pls rapidement, alors qu’on retrouve dans le droit
commun des délais beaucoup plus longs.
Si dans le DOC on peut retrouver des règles dont on peut se détacher, le code du commerce oblige le
respect de certains points.
Naissance d’une obligation : soit volontaire, soit légale. Il s’agit de la distinction entre un acte
juridique et un fait juridique.
OBLIGATION DE DONNER
OBLIGATION DE FAIRE
ACTE UNILATERAL
CONTRATS MULTILATERAUX
PROMESSE DE CONTRAT
CESSION DE CREANCE
Qu’il soit nommé ou innomé, un contrat doit se soumettre aux grands principes du droit commun.
VEFA (loi qui vient consolider le DOC) ; loi relatif à l’échange électronique des données juridiques ? ;
loi 24-09 ; loi 15-95 ; texte relatif à la sécurité sanitaire des produits alimentaires ; loi 31-08 ; loi 104-
12 ;
DIMENSION INTERNATIONALE
UNIFORMISATION DE LA LOI
Séance 3 : 10/10/17
Autour de contrats, certaines notions sont utilisées, tel qu’un acte, un accord, etc. Il s’agit de sujets
de droit entre lesquels un accord juridique est crée, le but étant de créer des effets juridiques entre
le patrimoine e l’un et de l’autre. Il s’agit de cocontractants. Ils peuvent être soit personnes
physiques, particuliers ou professionnels ; Dans le terme de contrat, il y a les contrats civils ainsi que
les commerciaux.
Certains actes, peu importe la nature du cocontractant, sont oncsidérés tout le temps comme civils.
Par ailleurs, lorsqu’une société commerciale passa un accord, il s’agit toujours d’un accord
commercial.
La spécificité du terme contrat, article 20 DOC (article 19=convention). Mais dans les deux termes on
retrouve un accord et des effets juridiques.
Si un accord a plusieurs cocontractants, le but recherché est de mettre en palce une obligation, de la
modifier ou de la supprimer.
Il est nécessaire que la volonté ait été libre. La loi laisse les parties libre dajs la contaction de leur
contrat. Force obligatoire. Effet relatif.
Ailleurs, outre le Maroc, la différence entre un contrat civil et un contrat commercial n’existe pas
(GB).
Il est nécessaire que l’effet juridique ait été accepté, connu, lors de la contracture de l’acte. Il est
nécessaire qu’il y ait une contrepartie. Dans le cas contraire, le juge devra requalifier. Mais si il y a
bien un transfer d’un bien d’un patrimoine a un autre, mais il n’existe pas de contrepartie en argent,
mais plutôt un autre bien. Lors d’un litige, il sera d’abord vérifié si il y a une contrepartie en argent. Si
ce n’est pas le cas, il ne sera pas considéré qu’il s’agit d’un contrat de vente. Alors le juge devra
requalifier.
L’autoritité publique intervient à une certaine mesure dans la rédaction d’un contrat. Il vient
empêcher les exagérations qui pourrait être contractés.
En amérique, quand une promesse n’est pas honorée, il existe des obligations qui sont extra
contractuelles.
Interventionnisme du pouvoir public. Il met en place des conditions pour pouvoir rédiger un contrat,
sa forme, mentions obligatoires. Il s’agit de venir en sécuriser l’intérêêt des contractants, mais aussi
de la société.
Bien que la convention de Viennes règlemente certains aspects du contrat, si les parties se mettent
d’accord pour l’application d’une loi précise, alors en cas de litige, c’est cette loi qui sera pris en
compte.
L’employeur n’était responsable d’une faute que si la faute de celui-ci était prouvée. Aujourd’hui,
peu importe ce qui a été convenu dans le contrat de travail, il y a une présomption de responsabilité.
Grace au législateur, le juge peut modifier un contrat qui est toujours en cours d’exécution. Le jeuge
peut aussi comprendre à sa façon un terme d’un contrat qui n’est pas clairemetn exprimé.
Classification des contrats. Il existe certaines opérations qu ne sont possibles que pour certaines
catégories de contrats. Pour un contrat de leg par exemple, il n’est pas possible d’attaquer en justice
pour lésion. Quand on veut résoudre un contrat, les effets dépend du type de contrat.
Contrat sujéis. Il se peut qu’il y ait des contrats à combinaisons déterminées, d’autres contrats qui
peuvent être utilisés dans des cas bien déterminées, comme il peut y avoir de nouveaux types de
combinaisons (=contrat sujéis)
Il existe des princips généraux qui s’appliquent, quelque soit la nature du contrat. Parmi les règles de
fond il y a : mise en demeure (sauf mention contraire des parties) ;^solidarité entre créanciers et
entre débiteurs. Elle existe entre commerciaux. En matière civile, il n’est possible que s’il existe une
cause exclusive ; prescription ; délai de déchéance
Condition de forme : acte écrit ; forme du script (authentique ou sous imprimé). L’échange de
données juridiques par voie informatique est autorisé, les effets du contrat étant les mêmes.
Séance 4 : 17/10/2017
Contrat de vente :
#création#
#modificatino#
#exctinction#
Il faut comprendre que dans la notion decontrat, le DOC est un dispositif qui s’y intéresse. L’article
468. Le but essentiel d’un contrat de vente est detransférer un bine, un droit, d’un patrimoine à un
autre patrimoine.
Dans un contrat de vete il y a 2 cocontractans : le vendeur et l’acheteur. L’objet du transfert est soit
un bien, soit un droit.
Dans un contrat de vente, il se pourrait que ce soit un service qui soit vendu, un travail, une
prestation de service.
Qels sont les caractères les plus iportants appartenant à un contrat de vente ::
-contrat à titre onéreux : soit aléatoire soit commutatif. Cela varie selon la détermination de
l’avantage. Mais si un contrat de vente est aléatoire, alors il existe un risque de gain ou un risque de
perte, l’un ou l’autre des parties étant concernés. Il s’ait de la vente immobilière, avec la rente
viagère. Ainsi le vendeur peut risquer d eperdre si la durée de vie du cocontractant est plus long, ou
spour l’acheteur dans le cas où sa durée de vie serait trèsréduite ; en matière d’assurance, lorsqu’un
montant X est déterminé. Il s’agit d’un montant qui est payé uniquement au moment du décéd de
l’assurant. Or, le moment du décès ne peut pas être déterminé.
Dans un ocntrat aléatoire, il n’est pas possible de se baser sur cet aléa pour attaquer la partie
gagnante. Cette lésion ne peut pas être pris en considération.
-syn : des obligations naissent et ce sont les deux parties qui sont concernées. L’un et l’autre des
cocontractant sont au même temps créancier et débiteurs. L’intérêt de ce type de contrat se
retrouve au moment où il y a inexécution. Le vendeur qui ne remet pas la propriéét de la chose, ou si
l’acheteur ne paye pas, totalement ou en partie, les prix convenus dans la période convenue. Il s’agit
d’inexécution. Il y a une actin en inexécution, une action en résolution. Quand on parle d’aciton en
exécution, cela signifie que la livraison a déjà été effectuée. Si le contrat prévoit que la remise de
l’argent se fait après la livraison, l’acheteur peut alors opposer l’exception d’innexécution.
Chacune des personnes voudra avoir un aventage, qui sera la contrepartie de celui qu’il va procurer à
l’autre partie cocontractante.
-conssensuel : il est important que l’échange de consentement des deux parties soient fait. Il existe
des exceptions. Ce sont des cas ouù uniquement cet échange ne suffit pas. La loi exige impérativemnt
une formalité déterminée. Ainsi il y a des ventes ou le solo consensus n’est pas suffisant, l’écrit exigé
par la loi devant obligatoirement intervenir. Il s’agit de la validité de l’opération qui est concerné. Il
en est ainsi des ventes immobilières, des ventes de fonds de commerce, où un certaine formalité doit
être respecté. Quand on parle d’écrit, il existe ici aussi ds précisions qui varient selon l’objet de
l’opération. Ainsi cela pourrait être soi un écrit authentique ou un écrit sous seing privé. Dans
certains cas l’acte authentique est obligatoire. Dans certains contrats de vente, il se pourrait que le
représentant le passe, et non l’intéressé lui-même. On cerhce par là à rendre plus sécurisé les
opérations, que l’ordre public soit maintenu. Il y a une distinction entre l’écrit réquit pour la validité,
alrs que dans certains cas il intrevient seulement pour une prevue. Des fois, l’écrit ne sufift pas. En
plus certaines formalissmes administratifs déterminés doivent être accomplis. On ne peut pas se
prévaloir de la possession d’un bien, sans que le transfert n’ait pas été formalisé dans une
administration, par enregistrement par exemple.
L’effet transflatif (478, 488, 490 ???) : il s’agit de la volonté de s’approprier un bien déterminé. Il
s’agit d’un transfert dans le patrimoine, de l’ensemble des droits liés au bien. Le droit de propriété
est bien une sûreté, mais il n’est pas le seul. Si un bien souffre d’un servitude négative ou positive, il
n’est pas possible d’annuler le transfert par la suite. Ainsi si un bien acheté est concerné par un
transfert de propriété à une personnne tierse, il n’est pas possible de le contester. L’existence d’un
droit de passage, d’hypothèqe, ne peut pas être contesté. Ainsi, l’inscription ou l’enregistrement d’u
nbien déterminé est demandé par le législateur. Ainsi, pour un bien immeuble, il est nécessaire
d’aller à la conservation foncirère, et de vérifier s’il est hypothéqué, par exemple. Le prorpiétaire,
ancien ou nouveau, doit s’acquitter de ce droit. Si non, le crancier aura la possibilité ‘aller en justice.
Le transfert solo consensus, signifique que le seul échange des volontés des parties, on devient
propriétaire du bien concerné, même avant, paiement, la remise,sauf si la loi exige un certain
formalisme. Les parties peuvent, cependant, considérer un formalisme comme étant essentiel. Il
s’agit là de ventes conditionnelles. L’acheteur devien du véritable propriétaire, et dispose alors des
mêmes droits que l’ancien propriétaire. Par exempel, si le bien acheté était loué, alors il devient le
véritable prpriétaire de lachose (usus, fructus, abusus). Ëtre propriétaire d’une chose, signifie
également être gardien de la chose. Ainsi, la responsabilité doit être assumée.
Il se peut que l’effet translatif d’une ventne ne se fasse qu’ultérieurement. Il en est ainsi des ventes
des choses futurs. Ainsi par exemple, pour une commande passée pour la construction d’une chose,
la propriété n’est accordée uniquement lorsque la chose est construite. Le législateur permet aux
parties d’exiger un transfert successif d’une chose. Ainsi une fois qu’un cinquième est donnée de la
valeur e la cchose, laors 1 5ème de la propriété est transimse. Si par exemple, un navire est construit
aux 2/3, et qu’un paiement de ces 2/3 ait été payé, la masse créancière ne césira que le 1/3, car les
2/3 n’étant pas de la proprité du débiteur ; Ainsi, la masse créancieère ne peut pas toucher à la
propriété de l’autre. Il est possible d’exiger l’enregistrement de la part obtenue, demander son
hypothèque. Le recours d’une condition suspensive, ou l’insertion d’une condition résolutoire. Ainsi
par exemple dans le cas où une personne doit acheter un bien donné, mais la vendre par la suite à
une autre personne. Vente d’immeubles en l’état futur d’achêvement : le législateur impose des
documents, des formalises déterminés, pour éviter tout abus.
Si une personne achète une chose à une condition déterminée. Si par exemple le produit acheté ne
permet pas d’accomplir ce qui a été prévu. Il s’agi des ventes alaissés.
Dans la vente c’est la propriété qui est ransférée. Dans le louage, c’est la jouissance qui est
transférée. Dans certains cas il est difficile de savoir s’il s’agit soit d’une vente soit d’une location.
Location de choses f ???. Si par exemple une ferme est vendue. S’agit il d’une vente ou d’une locatio,
sachant que le bénéficiaire à des obligations : culttiver la chose, mais aussi le droit de la fructifier.
VENTE DE FRUITS
Au moment où le droit porte sur l’extraciton de matériaux. Dans la location, il y a une obligation
d’entretien ainsi qu’une obligation de rstitution de la choes, dans l’état où elle était au moment de la
constitution du contrat. Or, pour une carrière par exemple, il est impossible de remettre en état
certaines choses.
Contrat de prêt. Il peut y avoir un prêt d’argent, ou un prêt d’usage. Dans le prêt il y a également
l’obligation de restitution, soit de la chose elle-même, ou son équivalent. Pour une chose
consommée, il y a restitution ou de la contrepartie, ou de l’équivalent. (différent du contrat de
vente).
Contrat de dépôt : une personne dépose un bien déterminé auprès d’un dépositaire. Le dépositaire à
l’obligation de restituer et de conserver. Les frais de la conservation sont à la charge du propriétaire.
Vente dépôt : s’agit il d’une opération assimilabe à une vente, ou à un dépôt ? On pourrait voir ça
comme étant une vente conditionnelle. Par exemple, le livraire de tabac ne peut restituer que les
invendus, et il n’aura pas l’obligation de garde. Ainsi les responsabiliés, en cas de force majeur ou de
cas fortuit, sera écartée.
Le mandat : exceptionnellement, il se peut q’un représentant conlue un contrat pour une personne.
Dans le cas d’un commissionnaire mandataire, il va vendre une chose appartenant à autrui.
Contrat d’entreprise : une personne effectue un travail indépendant au profit du maître d’ouvrage. Il
se peut qu’une entreprise fournisse une main d’œuvre à son personnel, établir les plans nécessaire
ainsi qu’un marché. On parle alors de vente de choses futurs, l’entrepreneur étant le propriétaire
d’une chose jusqu’à une certaine période, étant son gardien et assumant des risques.
Certaines choses ne peuvent pas être vendues : vente de succession future, qui est interdite. Vente
d’hérédité, dans le cas où la personne ne soit pas encore décédée.
Aspect multiforme de la vente. La nature de la vente varie selon son objet. Un bien vendu peut être
soit un bien meuble soit un bien immeuble. Il se peut qu’une personne acquiert soit un bien corporel,
soit un bien incorporel. L’intention des parties contractanes : acte civile / acte commercial. Une vente
civile ou commerciale peut concerner soit un particulier, personne physique ou morale, soit une
entreprise. Cette personne phydique ou morale peut effectuer des activité,sm ais non
nécessairement liée à son activité. Il y a une présemption de la nature de l’acte, mais la loi permet
d’apporter une preuve contraire. Si un bien acheté est rentré dans le patrimoine de la société, elle
rentre dans la portée de la masse créancière, et en échappe si il arrive à prouver que cet achat a été
fait, par exemple, pour sa famille.
Diversité des procédés utilisés. Vente forcée judiciaire/administrative. La douane, au moment des
saisies de biens. Ventes privées/publiques.
Formation du ocntrat de vente : il doit y avoir un échang de consentement des parties. Pour q’un
transfert de propriété se fasse, certaines conditions doivent être respectées, qui touchent la
formation et sa validité. Article 2 DOC. Une vente ferme signifique qu’il y aura un échange entre une
offre et une acceptation, la conclusion du contrat pouant suivre immédiatement, avec effet
immédiat. Mais il peut également s’agir d’une promesse de vente. Article 230 : l’autorité publique
vient organiser le consentement. On peut vendre ou acheter ce que l’on veut. Mais des restricitns,
d’ordreconventionnel ou légal, existent. Deux personnes peuvent se mettre d’accord par exemple
pour se partager un marché. Il s’agit d’un accord qui ne peut pas être valable sis derrière une volonté
cherche à nuir la loi du marché. Le législateur interdit des accords qui sont illicites. Ainsi des accords
qui veulent vendre à des prix déterminés où des endroits déterminés, ne doit pas impacter
l’économique. Soit la qualité des contractants (personnes qui ne peuvent pas conclure un contrat : le
mourant ou le malade de mort ; certaines personnes ne peuvent pas acquérir une chose parce
qu’elle à l’administration de la chose, ni l’autrecôté matrimonial), nature de l’objet de la vente
(choses impurs selon la loi religieuse. Il n’est pas possible de porter plainte aurpès du tribunal pour
un tel achat ; certains objets demandent l’autorisation administrative : comme les drones. Ainsi pour
une opération d’import et ‘export).
Capacité de s’obliger
Cause licite. Pour quelle raison une chose est prise en location ? y habiter, exercer une certaine
activité, ou pour faire des choses interdites ? Cause réelle et licite.
L’objet doit exister réellement, doit être licite. La nature de certaines choses les rendent inéligibles
pour une vente. La loi coranique interdit certaines opérations. Une chose qui appartient à tous, ne
peut pas être vendu. Apporter une valeur ajouté peut par contre être vendu (air oxygéné). Le don
d’organe ets possible, mais non sa vente. Une chose imaginaire ne peut pas être vendue. Un objet
qui a une existence éventuelle (come les choses futures) peuvent être vendues.
La chose, objet de, doit être déterminée. Il existe des corps certains et les choses degenre. Un corps
certain, comme un immeuble vendu : il sera spécifié dans sa colalisation, sa spécificité, son
immatriculation. Il n’y a pas de risque de confusion. Une chose de genre, concerne une quantité
d’une chose. Il va falloir individualiser. Pour un immebule, toutesl es caractéristiques sont
aapportées. Pour une quantité de lentilles par exemple, il fuadra déterminer de quoi il s’agit :
quantité, calibre, contenance. Alors il va falloir distinguer la vente de bloc et la vente de choses de
genre. Il est possible devendre uen chose, dont l’individualisation se fera au moment du peusage par
exemple pour déterminer le prix global.
Séance 24/10/2017
Séance 31/10/2017
Un contrat peut donner effets seulement lorsqu’il est valablement conclu. Dans un contrat de vente,
l’effet essentiel est le transfert solo consensus du droit de propriété, mais il y a également des
obligations qui sont réciproques à l’égard de chacun des partis. L’ffet translatif de la propriété est
propre au contrat de vente (478, 488 ?!). C’est l’échange de consentement des parties qui entraîne
l’effet translatif, avant même que n’ait lieu le transfert matériel de la chose. Il est également possible
que le vendeur n’ai pas encore touché le prix, il devient alors créancier.
Il existe une confusion, dans certaines opérations, entre le transfert de propriété ainsi que le
transfert matériel de la chose.
Mais c’est à partir de l’échange de consentement des partis que la qualité de propriété est attribuée.
Il existe des effets ua profit des partis, mais également à leurs charges. Au profit de l’acheteur, il
obtient la propriété sans recevoir encore la chose. Concernant le vendeur, il devient créancier.
La propriété d’une chose accorde des prérogatives à celui qui possède ce titre. Il en est de même
pour le vendeur. Il devient propriétaire du prix, qu’il peut céder. Il existe également des effets qui
sont à la charge des partis. Entant que propriétaire, il existe des taxes qui doivent être assumés. Il en
est de même des frais de conservation. Suit également au transfert de propriété, le transfert des
risques, le transfer de la garde. Il s’agit d’une responsabilité qui est confiée au propriétaire. Il s’agit
d’une rsponsabilité qui est assumée sans pour autant avoir reçu, encore, la propriété matérielle.
La loi peut par exemple retarder le transfert soloconsensus. Il existe deux situations. D’un côté il y a
les choses de genre (#corps certains : ces derniers ne peuvent pas mener à confusion. Au moment de
la vente, tous les détails concernant le bien vendu sont connus. Cependant, quand il s’agit par
exemple d’une vente d’une quantité de céréale…). C’est à partir de l’individualisation des choses de
genre qu’est effectué le transfert de propriété. Il existe des mécanismes. Il existe des opérations qui
sont importantes lorsqu’il est question des choses de genre, qui permettront de déterminer le prix
global (pesage, comptage, mesurage). Mais il existe une exception : il s’agit de la vente en bloc. Il
s’agit bien de choses de genre, mais le transfert soloconsensus de la propriété en est possible. Les
choses de genre sont des choses remplaçables, fongibles.
Quand on est dans le cas d’un transfert de propriétaire, ce transfert s’effectue de manière
automatique. Cependnat, il est possible quee cet effet dépende de la livraison de la chose.
Il existe des conventions internationales qui n’ont pas eu pour sujet l’effet translatif. Il traite plutôt la
question de transfert des risques.
Dans le cas où une personne vend une chose, et avant le treansfert matériel, effectue une seconde
vente. Le tiers est alors victime de l’effet translatif. C’est la dernière personne qui accomplirait les
formalités qui sera considéré comme étant le véritable propriétaire. Il n’est accordé aucun droit réel
sur la chose. Cependant ils ont tout de même un droit personnel : c’est le droit de créance.
Il est possible d’exiger un transfert progressif. Lorsqu’un certaine partie de la chose est obtenue, il
est nécessaire d’en obtenir une sûreté : devenir prpirétaire de la part obtenue. Ainsi, à mesure que la
chose s’acquiert, la propriété l’accompagne. L’intérêt est que la masse des créanciers ne pourra pas
attaquer cette partie qui aura été transférée.
Le but est d’avoir un droit qui serait réel. Il est possible d’exiger la copropriété sur la chose, ou
encore la constitution d’une hypothèque sur la chose. Il existe des certains cas où la propriété d’une
chose ne peut pas être transmise avant l’apport de certains documentations. C’est là que se trouve
l’utilité de cette initiative, dans le but est d’emêcher la masse créanciere de toucher la chose.
Certaines ventes sont soumises à des formalités. Il s’agit là de conditions de validité qui permet le
transfert de propriété.
Les partis peuvent mettre en place des exceptions. L’échange de propriété peut être soit retardé soit
anticipé. Il est possible de déterminer une date où sera effecutée le transfert, ou bien encore de
préciser une condition nécessaire pour que puisse être effectué le transfert. Il s’agit des conditions
suspensive et des conditions résolutoires. La vente à l’essaye recherche un essaye concluant et
satisfaisant. Si la satisfaction est présente, alors le transfert de propriété est effectué. Il est possible
aussi qu’à la réalisation d’un certain événement, l’acheteur perde le titre de propriétaire, étant
réattribué au vendeur.
Transfert de risque
Obligations du vendeur :
Dans les obligatinos principales il y a l’obligation de délivrance ainsi que l’obligation de garantie.
Pour les obligations accessoires, il y a l’obligation de conservation ainsi que celui d’information.
Ce sont des obligations qui sont essentielles pour un contrat de vente. Quand on parle de l’obligation
de délivrance, il s’agit de l’obligation de se déssaisir de la chose et de permettre à l’acheteur d’en
prendre possession. Le revendeur doit délivrer la chose comme il a été convenu dans le contrat, en
prenant en considération la quantité, la qualité et le ??? Cependant il existe une situation, lors de
l’achat d’un échantillon. Il constitue la preuve de la chose à livrer par la suite. Ainsi, dans le cas où la
chose ne serait pas conforme, il est possible de ??? Quand la chose est livré, il faut la livrer avec les
accessoires (il faut livrer la ferme avec ses fruits).
Les modalités de délivrance : il existe un temps un lieu qui sera convenu dans le contrat. Le vendeur
doit respecter ces conditions.
Formes de délivrance :
-réelle
-fictive : ce n’est pas la chose qui est donnée, mais une sûreté.
Il est possible qu’une chose ne soit pas possible d’être délivrée. Il s’agit par exemple d’une chose qui
a périe, totalement ou partiellement, ou un retard. Ici, le vendeur n’est plus en mesure d’accomplir
son obligation. Il faut alors penser à la résolution. Dans le cas où un cas de force majeure intervient,
c’est l’acheteur qui doit prendre les responsabilités dans le cas où ce serait lui qui est propriétaire.
Cependant, il est possible que le fait qu’il s’agisse d’un événement prévisible, il aurait alors fallu
prendre les dispositions nécessaires. Il peut être nécessaire d’apporter la preuve du cas fortuit. Il
s’agit d’un document qui relaterait les événemenst qui se seraient produits. Le législateur impose
alors de consigner ces événements dans des rapports, registres.
Il est nécessaire, dans les cas d’inexecution, que des solutions soient prévues. Le recours à la justice
prévoit 3 solutions :
-action en exécution, ou action forcé. C’est le cas où l’acheteur veut récupérer son bien. Mais dans le
cas où il y aurait une perte partielle, selon la situation il existe une solution. Mais quand on parle
d’exécution forcée, il signifie qua la chose existe toujours ;
-option de remplacement. Il est possible d’indiquer dans le contrat, que l’acheteur ira
s’approvisionner aurpès d’uatres fournisseurs, et c’est le premier fournisseur qui devra payer la
différence de prix
-exception d’inexécution
L’exécution forcée pourrait être impossible dans le cas où la chose aurait périe. Alors on demandera,
en dernier lieu, la résolution du contrat. Les parties vont se retrouver dans la situation d’avant le
contrat. Les paiements seront restitués. Mais, étant donné que l’acheteur peut avoir perdu une
occasion, il peut, s’ils sont justifiés, demander des dommages et intérêts. Des formaltiés doivent être
respectées par la loi, dans le cas de la ésolution. Mise en demeure. Clause pénale.
Obligation d’information : toutes les informations nécessaires, pour une utilisation normale et
convenable de la chose, doivent être fournies. Il s’agit de renseignements qui doivent être
compréhensibles.
*date de production
*date de péremption
Loi 104-12
Loi 53-05 ?!
Loi 39-12
Séance 07/11/17
Obligation de délivrance.
L’obligation de garantie est essentielle. Il suit l’obligation de délivrance. On ne peut pas avoir une
obligation de garantie sans l’obligation de délivrance. Il faut que le vendeur assure la garantie à
l’acheteur une possession utile et paisible. Il faut que les qualités qui ont été promises soient
garanties, ainsi que les défectuosités de la qualité promise. Avant d’acheter une chose, il y a toujours
une utilité qui motive l’acheteur. Garantie des vices rédhibitoires (vices cachés). Il y a aussi la garantie
de la possession paisible. L’acheteur doit avoir les prérogatives en tant que propriétaire d’une chose.
Il ne faut pas qu’il y ait le risque que ces droits soient retirés : garantie contre l’éviction. Il existe le
DOC qui réglemente avec des lois supplétives l’obligation de garantie. Les parties peuvent entre eux
mettre en place une garantie selon leurs volontés (l’améliorer, la diminuer ou l’exclure =clause
extensive, restrictive, exonératoire ?!). La loi 31-08 prévoit un dispositif. Il s’agit d’une loi qui
règlemente la relation entre fournisseurs et consommateurs. Il vient protéger la garantie. Elle interdit
les clauses restrictives ou les clauses exonératoires ?! Elle permet des clauses extensives mais qui
seront au profit du consommateur. Le DOC a un domaine d’application plus large (relation entre
fournisseurs, relation entre consommateurs, relations fournisseur consommateur), alors que la loi
31-08 ne réglemente que les relations fournisseur consommateur. Le DOC réglemente les deux types
de garanties (contre les vices cachés et contre l’éviction), alors que la loi 31-08 ne réglemente que la
garantie contre les vices. Cette dernière loi prévoit une autre catégorie de garanties : il s’agit de la
garantie du service après vente. Elle existait, mais elle ne dépendait que de l’autonomie de la
volonté. La loi 31-08 vient garantir ce service, et augmente les délais de cette garantie, pour le
plafonner à 2 ans, alors que le DOC l’élevait à une année. Cependant les parties ont la possibilité
d’augmenter ce délai.
On peut envisager de telles garanties lorsqu’il s’agit d’un contrat à titre onéreux. Cependant, dans
une donation par exemple, la garantie ne peut pas être envisagée.
Ils réduisent ou détruisent les qualités que l’on attend d’une chose. Il existe une qualité
fondamentale qui doit exister ou ne pas être altéré. Obsolésance programmée : à un moment donné
la chose cesse de fonctionner. Ils peuvent exister tant en matière mobilière qu’immobilière. Des
techniques ont été mises en places pour dissimuler un vice. Des textes sont venus apporter une
réglementation. Par exemple il peut exister des logiciels qui soient truqués, des automobiles.
Concernant les biens immeubles, il peut y avoir des droits qui y seraient rattachés mais qui n’auraient
pas été déclarés. Exemple : EDF a vendu un terrain à un particulier. Lorsque celui-ci a voulu la vendre,
et qu’il a essayé d’obtenir l’autorisation, on lui a dit que l’ancien propriétaire n’avait pas dépollué le
terrain. Donc c’est au nouveau propriétaire qui se retrouve dans l’obligation de dépolluer le terrain.
Vente forcée : vente judiciaire suite à une saisie. Le nouvel acquéreur n’a pas la possibilité de se
plaindre du vice de la chose. Il en est de même pour une vente administrative. Lorsque la douane
veut mettre aux enchères un certain nombre de produits, il s’agit là de choses qui ne peuvent pas
être garanties contre un vice caché.
Il existe des conditions pour qu’une garantie soit mise en œuvre. Il existe 4 conditions :
-caractère occulte du vice : une action en garantie n’aboutira que si le vice est ignoré par l’acheteur.
Il ne doit pas être question d’un vice apparent, ou encore moins d’u vice déclaré à l’acheteur. Il existe
la référence du bon père de famille. Mais il existe des exceptions qui permettent à un personne
d’exercer l’action en garantie : il s’agit d’une chose qui de part sa nature ne pourra pas être vérifié.
Par exemple pour les fruits en cocs, qui à l’apparence paraissent corrects, mais une fois ouverts le
vice apparaît. La deuxième exception concerne le vice caché mais qui a été ouvertement déclaré. Ici
l’acheteur a été averti, il ne pourra donc pas bénéficier d’une action contre le vice. C’est sur la base
du comportement d’un bon père de famille qu’on évalue la possibilité de faire jouer cette garantie.
Par exemple pour l’achat d’une voiture d’occasion, il faudrait que l’acheteur fasse appel à un
technicien pour qu’il vienne vérifier le véhicule.
-le vice doit être antérieur à la vente. Cela suppose que le vendeur connaissait l’existence du vice. Sa
responsabilité est présumée. Qu’il ait eu connaissance ou non de l’existence du vice, il reste
responsable. C’est au moment de l’échange de consentement entre les parties que la chose doit être
conforme à ce qui aurait été convenu, pour les corps certains. C’est à partir de l’individualisation
pour les choses de genre.
-le vice doit avoir une certaine gravité : si la qualité de la chose n’est pas sensiblement touchée par le
vice, il n’y a pas lieu d’exercer une action. Lorsqu’il s’agit d’une chose secondaire qui est touchée,
alors il n’y a pas lieu d’exercer une action.
-le recours doit avoir lieu dans les délais prévus par la loi ou dans les délais convenus. Il existe une
différence entre le DOC et la loi 31-08. Il existe également une différence entre les biens meubles et
les biens immeubles. La situation doit être constatée par un expert. Il s’agit de la preuve qui montre
le problème découlant du vice, et qui montre qu’il n’a pas eu lieu à cause du propriétaire, mais à
cause du vice.
Garantie conventionnelle.
Quand on parle de garantie légale, il est nécessaire qu’il y ait l’existence d’un document. La loi 31-08
indique les documents types qui doivent constituer une garantie. Il existe dées éléments essentiels
qui doivent figurer sur ces documents, par exemple le nom du fournisseur garant ; obligations du
garant en cas de défectuosité ; les démarches nécessaires ; la durée de garantie ; durée de
disponibilité des pièces d’échange ; centre de réparation.
Il est possible d’augmenter la durée de la garantie, garantir en plus de la main d’œuvre également les
pièces d’échange, garantir aussi un produit d’échange. Dans ces cas le fournisseur apporte plus que
ce que prévoit la loi. Il s’agit de garantie extensive. Toutes ces extensions doivent être retrouvables
sur un écrit. L’acheteur doit être informé de la garantie.
L’action en garantie exercé contre le fournisseur, est une action rédhibitoire. L’acheteur peut
renoncer l’exercice de l’action. Il se peut aussi qu’il y ait aliénation de la chose vicié.
Il faut que les délais qui ont été prévus, pour l’exercice de la garantie, soient respectés. Ainsi, il se
peut qu’il y ait une déchéance. C’est le cas lors de l’expiration du délai légal ou conventionnel, dans
lequel rien n’aurait été réclamé. Par la suite, il est impossible d’aller en justice pour réclamer
l’obligation de garantie. L’acheteur peut également renoncer l’exercice de la garantie. Il se peut aussi
que le vice disparaisse avant l’instance. Alors l’action ne sera pas recevable. La résolution du contrat
sera impossible. Il se peut également que la chose viciée soit non restituable. Cela peut être le cas où
la chose aurait été vendu à un tiers, ou aurait subi une sûreté réelle. Ainsi il est nécessaire que par
exemple, la chose ne soit pas touchée d’une servitude, ne soit pas transmises dans le patrimoine
d’une autre personne. L’acheteur, autant quel es créanciers ou les ayants droit,s ont la possibilité
d’exercer l’action en justice.
L’action estimatoire
L’action en remplacement : il est possible d’aller chez un autre fournisseur. Le fournisseur premier
devra payer la différence, s’il y en aura.
La deuxième action est l’action contre l’éviction : une possession paisible peut être mise en compte
par le fait du fournisseur ou d’un tiers. Si elle est du fait du fournisseur : il peut s’agir soit d’un acte
de fait soit d’un acte de droit. S’agissant d’un tiers, ce sont contre les actes de doit que le fournisseur
doit porter sa garantie. Il peut s’agir d’une garantie légale ou conventionnelle. Trouble de fait,
trouble de droit. Le trouble de droit peut avoir une base réelle ou personnelle. Les troubles de fait ne
sont pas garanties, c’est l’acheteur qui doit se défendre, à l’aidre des autorités, soit par sa propre
force. Mais concernant le trouble de droit, il s’agit de personnes qui réclament un droit sur la chose
(droit de passage, droit de servitude, perosnnes prétendant être locataire, copropriétaire). La
réclamation doit chercher à déposséder le propriétaire de la chose. La cause de l’éviction doit êre
antérieure à ???.
Effets de l’éviction :
Elle peut être partielle ou totale. La première obligation et de ne pas troubler ??? La deuxième
obligation est la garantie incidente.
Il peut y avoir collusion frauduleuse entre le vendeur et le tiers. L’acheteur peut intervenir en cours
d’instance, visant à empêcher la collusion.
Séance 14/11/17
Obligations de l’acheteur :
Obligation de paiement du prix, obligation de la preise de possession. Il est question d’un contrat à
titre onéreux. Le prix est nécesssaire pour la validité du conttrat de vente. Il s’agit d’une somme
convenue entre les parties. Il faut relver l’époque du paiement. Concernant l’acheteur il doit payer à
un moment déterminé, comme il a été convenu Il est payé en une seule fois à une moment donné,
ou bien il peut être payé sur plusieurs échéances. Dans le cas de ventes exceptionnelles, il peut
exister plusieurs échelons sur lesquels le prix sera payé. C’est le cas de la vente à crédit ou de la
vente d’une choes future. Ce sont les parties qui mettent en place le moment ou le paiement sera
effecté ainsi que son mode. Mais il se peut que cette modalité soit omis par les parties. C’est alors
que vont entrer en jeu les usages. L’usage veut que le paiement se fasse simultanément avec la
remise du bien. Le juge appliquera l’usage. C’est la personne qui se relève l’usage qui doit apporter la
preuve de l’existence de cet usage, au contraire de la coutume.
Le lieu de paiement doit être définit par la convention des parties. C’est au domicile de l’acheteur
que le paiement est effectué en principe ; Mais il peut égaleent être décidé que le paiement se fasse
au lieu où se trouve la chose. Il est admis également que le paiement se fasse au lieu où se trouve le
vendeur. Cependant dans le cas où le vendeur se trouverait à l’étranger, il n’est pas possible de le
faire à condition qu’il y ait une autorisation expresse.
Le prix de la vente est monnayée en fonction de la monnaie nationale où est effectuée l’opération de
vente nationale. Cependant des textes spécifiques peuvent prévoir que la vente se fasse en fonction
de la nationalité de l’acheteur, concernant la monnaie. La loi peut exiger le paiement par chèque.
Aujourd’hui nous nous trouvons dans l’ère du numérique. La monnaie virtuelel fait son apparition. Le
bitcoin.
Il est possible de payer en espèce mais aussi par chèque. Dans ce dernier cas c’est l’encaissement du
chèque qui détermine le moment où le paiement est effectué. Il peut exister d’autres moyens qui
permettront de consacrer le paiement. Par exemple un paiement peut se faire par compensation.
Mais il est nécessaire qu’une convention ait été passée entre les parties.
Concernant l’objet du paiement il s’agit de la contrevaleur de la chose mais aussi des frais accessoires
(transport, assurance, taxes, etc.). Les parties peuvent prévoir que certains frais soient à la charge de
l’un des parties. L’acheteur peut choisir de payer ou non la prime d’assurance. Mais il court un
risque. Si la marchandise par exemple porte un préjudice à autrui ce sera sa responsabilité qui sera
engagé. Le piège se trouve dans le cas où il y aurait un mauvais transporteur. Le transporteur peut
retenir une marchandise jusqu’au momen où sera effectué un règlement.Concernant un importateur
fournisseur, ou un importateur qui participe à un appel d’offre, si sa marchandise n’est pas reçue
dans le délais il sera pénalisé pour le retard. La non assurance peut donc provoquer des difficultés
d’une entreprise. Ainsi certains pays imposent l’obligation d’assurance, mais d’autres non laissant la
possibilté à l’acheteur de décider.
Le paiement, hormis les frais de conditionnement, de transport, etc. il peut y avoir également le
paiement des intérêts dans le cas par exemple où l’acheteur n’aura pas effectué le paiement dans les
délais il fera alors l’objet d’une sommation.
Il y a l’obligation de prendre possession de la marchandise. Il existe des délais qui encadrent cette
opération et une fois que ces délais sont dépassés l’acheteur doit payer des frais. La sanction peut
aller jusqu’à la vente judiciaire de la chose.
La loi confère un certain nombre de garanties, mais qui peuvent être mises en place aussi par la
convention des parties. Elles sont offertes au vendeur. Dans le cas d’un non paiement le vendeur
dispose de trois actions :
-droit de rétention : le vendeur peut retenir la chose jusqu’au paiement intégral du prix s’il est
toujours en la possession de vendeur. Dans le cas où la chose aurait déjà été livrée il ne pourra pas
utiliser ce droit de rétention. Il faut tout de même qu’il y ait une exigibilité du paiement à une date
qui aurait été fixée. En cas de non respect de ce délai alors les actions peuvent être menées. Il faut
également qu’il y ait la non livraison de la chose. Le prix ne peut pas être retenu par l’acheteur. Dans
le cas où il a été livré et a été troublé dans la jouissance de la chose, il ne pourra pas impacter
l’exécution du paiement du prix intégral.
-action en revendication : le vendeur peut revendiquer la chose entre les mains de l’acheteur. Ie
vendeur a 15 jours à partir de la remise. Ce sont les choses fongibles, les choses mobilières qui sont
concernées.
-action en exécution forcée ou l’action en exécution en nature. Le vendeur attend toujours à se faire
payer. Une demande peut être effectuée aurpès du tribunal. Il faut que la situation finanicère de
l’acheteur le permette cependant. Dans le cas contraire il n’est pas possible au vendeur de faire
valoir cette action car il ne ménera pas à un résultat.
-action en résolution. Il s’agit de l’anéantissement de l’opération. Les parties seront remsies dans la
situation d’avant la conclusion du contrat. Mais la résolution ne peut pas être immédiatement être
demandée. Il doit daboir y avoir une sommation de la personne qui ne parvient pas à payer.
L’action utilisée dépend de la situation dans laquelle se trouve le vendeur. Les parties peuvent
prévoir la résolution automatique du contrat dans le cas où le paiement ne serait pas effectué.
Cependant lorsque la chose va produire un certain nombre de fruits civils et naturels. Dans ce cas ces
fruits doivent être restitués.
Autonomie de la volonté. Il s’agit d’une liberté qui veut écarter la subordination à l’ordre social. Il ne
faut pas que celui-ci s’impose sur cette relation ou ses conséquences. Mais l’autonomie de la volonté
ne peut pas assurer en même temps l’intérêt du commerçant et celui de l’intérêt général. Il a donc
fallu que le pouvoir public intervienne. Le principe de l’autonomie de la volonté est corrigé pour
protéger non seulement le consommateur mais également du marché. Une entente illicite par
exemple va non seulement endommager le marché mais également l’intérêt du consommateur. Les
pratiques déloyales vont causer des torts. Alors les pouvoirs publics interviennent pour apporter des
règles favorables à la concurrence loyale mais aussi en faveur de la protection du consommateur. Le
commerçant a des limites. Certaines conditions de fond et de forme doivent être respectées. Le
législateur impose de obligations touchant le commerçant. Sont concernées les personnes qui
effectuent un acte de commerce sans avoir la qualité de commerçant. Par exemple une personne qui
effectue une opération de transport sans être transporteur, alors cette personne sera soumise aux
obligations touchant les transporteurs. Les pouvoirs publics peuvent également réguler et superviser
l’activité commerciale. Autrefois il y avait une réglementation. Le pouvoir public imposait des prix à
chaque produits. On est passé à la liberté des prix : loi de l’offre et de la demande. Mais cependant la
loi impose quand même un certain nombre de règles.
Certains textes veulent réglementer la qualité des produits industriels alimentaires. La sécurité, la
santé et l’hygiène des humains, des animaux, sont protégés :
L’hygiène alimentaire est réglementée par une structure spécialité dans l’hygiène. Elle effectue un
contrôle.
Normalisation industrielle.
Proposition d’un prix. Il peut y avoir également des tarifs de références. Ils ne seront pas
nécessairement respectés. Ils pourront servir de référence. Il sera possible de prévoir,selon la
situation, un prix plus ou moins élevé.
Entente illicite sont réprimées. Mais il est nécessaire d’apporter des preuves.
Séance 28/11/2017
Vente commerciale est ocncernée par la concurrence déloyale. Quand il s’agit de protection du
consommateur on est dans la vente civile. Il est nécessaire que le marché reste transparent.
La loi 31-08 protège le consommateur. Il est constitué de certaines mesures qui cherchent à protéger
le consommateur.
Loi 13-83 prévoit des obligations qui s’imposent aux professionnels. On y retrouve des infractions et
leurs répressions.
Les garanties qui sont donénes par le DOC ne sont pas suffisants. La vie biologique, végétale, animale
commence à intéresser également. Mais aussi l’environnement. La protection qui met au centre un
consommateur précis n’existait pas réellement. Le consommateur était considéré comme partie
économiquement faible.
Obligation d’information : il est question de l’information préalable et ???. L’information prélable fait
que le vendueur professionnel ou le prestataire de service est obligé de donner au consommateur les
informations pouvant influencer sa prise de décision.
Qu’il y ait un défaut d’information, une information est susceptible d’une sanction.
Il y a également des informations qui concernent le prix, les honoraires. Cela doit être fait en
respectant un certain nombre de modalités qui sont prévues par la loi. En général c’est le prix de la
chose qui doit être renseignée, mais aussi les taxes que le consommateur devra supporter.s Il est
uqestion essentiellement de la TVA. Il peut également y avoir certaines autres taxes qui sont
accessoires. C’est le cas du coût du transport.
Le consomatur doit être informé du prix unitaire, ou le prix à la mesure, avant la conclusion du
contrat. C’est le cas aussi pour une chose préemballée ou une chose vendue à distance. L’idée du prix
globale est nécessaire, ainsi que le prix de chaque composantes.
Le législateur réglemente la manière dont le prix doit être affiché. Le but est de déterminer la réalité
du prix d’une manière facile.
Il est important que ce soit la monnaie nationale qui soit consacrée lors de l’affichage.
Le but de l’affichage est donc d’informer mais aussi il existe un rôle sécuritaire.
Le mode d’emploi et le manuel d’utilisation sont font parties des éléments de l’information. Il est
important que la sécurité du consommateur soit préservée. Ainsi à poartir du moment ou un produit
est mis en vente au Maroc il est important que le mode d’emploi soit donné. Il s’agit d’une obligation
qui incombe au producteur et au distributeur. Le but est d’éviter qu’un accident ne survienne.
Concernant les produits d’importation le législateur oblige qu’il y ait une rédaction en langue arabe.
La durée de garantie doit également être renseigné au consommateur. C’est la garantie contre le vice
caché mais également la garantie du service après vente.
Une vente peut également comporter des conditions particulières. Il est nécessaire que ces
informatinos soit données à l’acheteur.
Concernant la responsabilité du constructeur. Les autorités publiques ont des pouvoirs leur
permettant de faire préserver la sécurité : retirer l’agrément, fermer l’usine, retirer le produit du
marché, etc.
La loi prévoit des sancions civiles, fiscales, pénales selon la situation. Une sanction pénale est prévue
pour la délivrance d’une facture fictive ou fausse ; vente sans facture de manière répétitive. Il ne doit
pas y avoir une mauvaise foi ni même une récidive. Ces factures sont liées à des obligations fiscales
qui doivent être respectées. Le défaut de présentation de ces factures au fisc constitue une
infraction. C’est aussi le cas d’un commerçant qui refuse de délivrer une facture. Il existe des
échéances qui doivent être respectées.
Pacte commissoire.
Possibilité de mettre fin au contrat sans préavis. Il est impossible de prorogéer un contrat pour une
durée indéterminée concernant les contrats à durée déterminée. Le relancement du contrat
nécessite l’accord des deux parties.
Une clause est dite abusive également si une clause est appliquée sans même que le cocontracant ait
eu connaissance de l’existence de cette clause ?!
Loi 31-08 renforce d’avantage la protection du consommateur qui a été prévue par le DOC
concernant la garantie des vices cachés.
Garantie : meubles = 30 jours ; immeubles 1 année. La loi 30-08 relève ce délai : 1 année meubles + 2
années immeubles.
Concernant la rétractation il existe des délais ainsi que des formalités qui doivent être respectées. Le
professionnel doit informer de ces éléments au client.
Concernant la sécurité : il existe la sécurité de la santé, de la vie mais aussi la protection de
l’environnement. Concernant la sécurité des produits et services, des produits alimentaires,
végétales, animales, etc. Il existe un seul même objectif. Les produits, les services, peu importe leur
utilisation, peuvent constituer un danger pour la santé, l’environnement, etc. Le législateur veille
donc à ce que tous les produits et services soient au moins conformes. Il doit y avoir des déclarations
de conformité. Une expertise doit être effectuée qui permettra d’attester la conformité d’un produit
par rapport à des normes, marocaines ou internationales, d’un secteur donné. Il est alors nécessaire
que des indications sur le produit soient données, concernant les ingrédients, la dangerosité, etc. Il
s’agit d’informations qui doievent être déclarées à l’administration.
La loi 25-09 apporte des modifications au DOC concernant la responsabilité des personnes sur les
choses défectueuses. Un produit est mis sur un marché seulement lorsque le produit est sûr.
Il existe deux types de sécurité. Le DOC ajoute un chapitre pour palrer de l’obligation du fournisseur
concernant la sécurité des produits et services. C’est l’obligation de sécurité. Seul un produit sûr peut
être mis en vente sur un marché.
PROTECTIN DU CONSOMMATEUR
DROIT DE LA CONCURRENCE
NORMALISATION
12/12/2017
Il existe une manire pour appliquer le principe de la protection des parties. Il existe différentes
situations qui demandent différentes adaptations. Il est des fois compliqué de placer unvis dans une
situation. C’est pour cette raison qu’il va falloir effectuer des innovations. Les clauses abusives sont
un besoin ou une ignorance d’une personne qui ont été exploités, alors ce sont les conditions de la
partie forte qui s’imposent. Le législateur a donc du intervenir.
Lorsqu’un élément nouveaut apparaît, le législateur est déjà venu réglementer l’essentiel des
contrats qui sont d’usage, les professionnels imaginent des ontrats pour répondront à des besoins
nouveaux. Les grands principes de droit commun s’appliquent toujours à ces nouveaux contrats.
Cependant le législateur donne beaucoup d’importance à la loi de parties, c’est-à-dire le
consentement des parties. Mais il se peut qu’une des parties impose sa volonté à l’autre, qu’il
s’agisse d’un professionnel ou d’un particulier. C’est le cas du crédit-bail. Le DOC ne réglementait pas
le crédit-bail. L’imagination met en place un conctrat crée par les professionnels ; Pendant très
longtemps les professionnels imposaient leurs ocnditions. Il existe dans ce contrat un risque pour le
locataire et un risque pour le ‘établissement financier. Quand on est dans le crédit-bail mobilier : si le
preneur a la possession matériel de la chose, il est ocnsidéré comme étant le propriétaire. Il peut
alors céder la chose à un tiers. Ceci entraîne un problème pour le propriétaire. La loi intervient donc
por apporter une réglemntation à ce contrat dans l’intérêt des deux parties. Il institue des règles qui
protègent les intérêts concernés. Le législateur impose la clause de réserve. La loi l’éxige pas de fonds
ni de formalité e nrègle général ,mais ce n’est pas le cas ici. Pour protéger ce droit à la propriété la
formalité veut qu’une inscription aux greffes du tribunal soit effectuée.
Il se peut qu’un contrat ne soit plus d’actualité. A la fois contrat de prêt et contrat de garantie. Ce
risque entraîne une disparition de ce métier de prêteur. Sont venu à leur place des institutions
spécialisées. Aujourd’hui il est nécessaire que l’établissement financier obtienne des garanties
suffisantes pour qu’il effectue un prêt. Ainsi des contrats peuvent naître et disparaître par la suite par
l’absence de pratique de la chose.
Aujourd’hui le contrat de bail est devenu démocratisé. Il peutdonc toucher les intérêts du
consommateur. Le législateur intervient donc pour parer un certain nombre de risques qui touchent
l’ordre public, mais aussi pour protéger l’intérêt des consommateurs.
Il existe un risque d’insolvabilité. Le surendettement peut être atteint. Pourtant cette situation
persiste.
Il n’existe pas de coordination entre les établissements de crédits. Ils pourraient à un moment être
sanctionnés du fait de leur pratiques. C’est le cas d’accorder des crédits aux établissements qui sont
insolvables.
Les contrats de franchisés. L’assureur ne couvre pas lorsque le dommage atteint une certaine
proportion. Des conditions compliques sont imposées. Pour être membre de ce réseau il va falloir
payer une certaine somme conséquente. Le législateur n’est pas intervenu. Il s’agit d’un contrat qui
ne touche pas la masse. Le législateur se retrouve face à une nouvelle pratique, mais il doit s’agir
d’une bonne pratique. Par exemple concernan le prêt, le législateur ne peut pas accepter un prêt
avec des intérêts démesurés.
Le digital prend de plus en plus d’importance. Il est importan que cette évolution soit accompagnée
par le législateur : c’est le cas concernant l’échange des données juridiques e tla signature.
AUjourd’hui le législateur adopte la signature électronique.s Mais ont été mis en place des entités
qui sont chargés de veiller à la sécurité. Le législateur ne peut onc pas délaisser ces nouvelles
évolutions dont fait l’objet la société. Le législateur doit donc intervenir, dans un sens ou dans
l’autre. Il a besoin de prendre d urecul pour déterminr le meilleur moyen de réglementer ces
nouvelles situations.
Le bitcoins par exemple constitue un grand problème. Les pouvoirs publiques ne peuvent pas
intervenir immédiatement. Il doivent temporiser pour cerner la situation. Les pouvoirs peuvent par la
suite changer de position. Face à cette situation les autorités publiques au Maroc ont décidé de
refuser cette pratique. Mais cela pourrait changer par la suite.
La loi donne au juge un pouvoir d'interprétation, concernant les nouveaux types de contrats.
L’obligation d’information peut être remis en cause dans un certain nombre de contrats spécifiques.
La loi reconnaît au cocontractant la possbilité de reprendre son ocntrat pour réfléchir et de renoncer
au bout d’un certain moment.Ceci n’était pas possible avant. Le législateur veut rétablir cet équilibre
entre les deux parties.
A un moment donné il est nécessaire que le législateur intervienne. Par exemple concernant
l’huberisation, au niveau des logements le fisc a réclamé à hubert de déclarer et de payer des taxes
au fisc. Face à un phénomène nouveau le législateur laisse les choses se faire puis intervient.
CONTRATS DE LOUAGE :
Le législateur réglemente le louage dans ses deux aspects : louage des choses et louage des
services.le législateur, concernant le ocntrat de travail, a consacré un dispositif spécifique. Mais il se
peut que certaines opérations ne rentre pas dans le cadre du contrat de travail : c’est le cas du
contrat de soustraitance.
concernant le louage de choses, il faut comprendre par là les choses meubles et les choses
immeubles. Le louage d’immebule est le bail d’habitaiton, bail à usage professionnel, bail à usage
commercial.
Il existe quatre espèces de louages. Il y a le bail à louer, qui est la location d’une maison ou du’ne
partie d’une maison, dont la finalité est l’habitation.
Location de meubles : dans n’importe quel acctivité il est possible di’maginer la location d’un meuble
déterminé.
n’importe qui ne peut pas exercer le louage d’un véhicule par exemple. Certaines formalités doivent
être remplies. =
le bail à ferme : il existe beaucoup de formes de bails qui peuvent avoir lieu dans le milieu rural.
L’obligation fondamenale du locateur est de donner quelque chose ou un bien en jouissane. Il va lui
donner une chose pour en jouir pendant une période déterminée moyennant un prix qualifié de loyé.
Baux urbains: bail d’habitation à usage professionnel ; bail à usage commercial. Ce bail ne concerne
pas nécessairement un local situé dans le territoire urbain. Il s’agit du’n certain dispositif qui
s’applique à un bail où qu’il soit.
Le bail commercial : on y retrouve un certain nimbre de conditions : il faut qu’il y ait un titulaire d’un
fonds de commerce ; des aménagements en lieu et selon des spécificités déterminés. Il faut que ce
soient des choses strucutrées pour pouvoir appliquer ce dispositif et pour pouvoir bénéficier des
avantages que la loi réserve aux parties contractantes.
Baux ruraux : exploitation d’un local pour usage agricole. Concernant le DOC il n’y a aucune
disposition relative à ces baux ruraux. Mais il y a pourant des baux de ce type. Ils sont régis par les
règles de la charia. Mougharasa par exemple : l’obligation et de procéder à la plantation. Contrat d’al
mousakat. C’est un bailleur qui donne quelque chose à un locataire à charge d’obtenir la chose :
l’obligation est d’entretenir la plantation et de partager la récolte selon la convention.
Concernant le contrat de prêt, il y a une différence : dans le contrat de louage il y a une jouissance
alors que dans le contrat de prêt il n’y a pas de jouissance.