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Cours Introduction Aux Reseaux Informatiques 20

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CHAPITRE 1. GÉNÉRALITÉS SUR LES RÉSEAUX.

 Définition
 Principe de transmission des données
 Terminologie et concepts de bases
 Architecture des réseaux
 Classification des réseaux
 Aspect mathématique des réseaux

I.1. DEFINITION

Le terme RESEAU en anglais NETWORK définit un ensemble d’entités (objets, personnes,


etc.) interconnectées les unes avec les autres. Un réseau permet de faire circuler des éléments
matériels ou immatériels entre chacune de ces entités selon des règles bien définies. Selon le
type d’entités interconnectées, le terme sera ainsi différent :
 Réseau de transport : ensemble d’infrastructures et de disposition permettant de
transporter des personnes et des biens entre plusieurs zones géographiques.
 Réseau téléphonique : ensemble d’infrastructures permettant de faire circuler la voix
entre plusieurs postes téléphoniques.
Réseau Informatique : ensemble d’équipements informatiques (ordinateurs, serveurs,
imprimantes, etc.) reliés entre eux grâce à des lignes physiques et échangeant des
informations sous forme de données numériques (valeurs binaires, c.à.d. codées sous forme
de signaux pouvant prendre deux valeurs : 0 et 1). Un réseau informatique présente en effet
plusieurs avantages parmi lesquels :
 Le partage des ressources (fichiers, applications, matériels, connexion à Internet,
etc.)
 Communication entre personnes (courrier électronique, discussion en direct,
vidéoconférence, etc.)

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I.2. PRINCIPE DE TRANSMISSION DES DONNEES

Une ligne de transmission est une liaison entre deux machines. On désigne
généralement par le terme EMETTEUR la machine qui envoie les données et par
RECEPTEUR celle qui les reçoit. Les machines peuvent parfois être chacune à son tour
réceptrice ou émettrice (c’est le cas généralement des ordinateurs reliés par un réseau.). Les
termes Émetteur et récepteur sont désignés communément par les termes ETTD
(équipement Terminal de Traitement de Données) ou en anglais DTE (Data Terminal
Equipement) terme normalisé désignant un équipement informatique connecté à un canal
de transmission (ex : Ordinateur). Le terme support de transmission désigne le support
physique qui permet de transporter les informations d’un ETTD à un autre, il peut y avoir
différents types de supports de transmission de nature très diverse : Ligne téléphonique,
câble coaxial, fibre optique, atmosphère et autres. L’infrastructure d’un réseau, la qualité
de service offerte, dépend largement des supports de transmission utilisés. Les supports de
transmission exploitent les propriétés de conductibilités des métaux (paires torsadées, câble
coaxial) ou celles des ondes électromagnétiques (faisceau hertzien, fibre optique). Dans
certains cas, il peut se faire que les signaux produits par les ETTD, ne peuvent pas
directement être véhiculé par le support de transmission. C’est le cas généralement d’une
transmission à longue distance qui utilise des ondes électromagnétiques, dans ce cas on fait
recours à des équipements intermédiaires appelés en français ETCD (équipement terminal
de circuit des données) ou en anglais DCE (Data circuit Equipement) qui ont pour rôle
d’adapter le signal produit par les ETTD au support de transmission. Ainsi le schéma ci-
dessus peut être développé en schéma ci-dessous :

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La transmission des informations entre deux ETTD peut se faire de trois façons différentes
:
1. En simplex : C’est un mode de transmission dans lequel les informations ne circulent
que dans un sens (unidirectionnel). Ex : la télévision, la radio, etc.
2. En semi duplex (half duplex) : C’est un mode de transmission bidirectionnel non
simultané. Ex : talky-walky
3. En duplex (full duplex) : c’est un mode de communication bidirectionnel et
simultané. Ex : la téléphonie cellulaire
I.2.1. MODE DE TRANSMISSION ET SYNCHRONISATION
Le transfert d’information entre deux équipements informatiques est effectué en
fonction des besoins et caractéristiques des éléments suivants :
A. TRANSMISSION PARALLELE ET TRANSMISSION SERIE
A.1 TRANSMISSION PARALLELE
Pour transférer des données entre deux équipements informatiques, il peut être
intéressant notamment lorsque ces équipements sont séparés par une courte distance,
d’envisager une transmission en parallèle, cela aura pour effet de réduire le délai de transfert
et d’avoir une grande vitesse de transmission (débit). Dans ce type de transmission, les bits
sont envoyés sur des voies distinctes pour arriver ensemble à la destination. Par exemple
pour transmettre un octet, on émet huit signaux sur huit fils différents.
A.2. TRANSMISSION SERIE
Lorsque la distance séparant les équipements informatiques dépasse une certaine
distance, la transmission en parallèle ne peut plus être utilisée, pour des raisons de coût
(nombre de fils élevé). On utilise alors la transmission en série où les bits sont envoyés les
uns derrière les autres sur un unique support de transmission (la transmission série est
généralement utilisée pour les communications à longue distance, c’est le cas des réseaux
informatiques car elle est adaptée au support de transmission usuelle.)
B. TRANSMISSION SYNCHRONE ET ASYNCHRONE
B.1. TRANSMISSION ASYNCHRONE
Dans une transmission asynchrone, les caractères sont émis de façon irrégulière
comme par exemple des caractères tapés au clavier. Chaque caractère est précédé par un bit
de départ et un bit d’arrêt souvent désignés en anglais par START (élément de départ) et
STOP (élément d’arrêt). Ces bits sont en fait des signaux qui encadrent ceux qui constituent
un caractère.

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B.2 TRANSMISSION SYNCHRONE
Dans une transmission synchrone, les bits sont émis d’une façon régulière, sans
séparation entre les caractères, pour cela un signal d’horloge périodique fonctionne pendant
toute la durée de l’émission.
I.3. TERMINOLOGIE ET CONCEPTS DE BASE
On appelle équipement tout matériel qui se connecte directement à un segment du
réseau. Il y a deux catégories d’équipements : la première est celle des équipements
d’utilisateur final, ces équipements notamment les ordinateurs, imprimantes, etc. la
deuxième catégorie est celle des équipements réseau, elle comprend tout matériel servant à
interconnecter les équipements d’utilisateur final pour leur permettre de communiquer. Les
équipements d’utilisateur final connectés à un réseau sont également appelés HOTES, et
sont connectés physiquement aux médias réseau au moyen d’une carte réseau. Une carte
réseau est une carte de circuits imprimés qui se loge dans le connecteur d’extension d’un bus
sur la carte mère de l’ordinateur. Elles existent également sous forme de périphérique, on
emploie le terme adaptateur réseau. Chaque carte réseau est identifiée par un code unique
appelé adresse MAC (Media Access Control). Cette adresse permet de contrôler la
communication des données de l’hôte du réseau. Comme l’indique son nom, la carte réseau
permet l’accès au réseau. Les équipements de réseau assurent le transport des données qui
doivent être transférées entre les équipements d’utilisateur final. Les équipements réseaux
sont utilisés pour étendre les connexions des câbles, concentrer les connexions et gérer le
transfert des données. Les répéteurs, concentrateurs, ponts, commutateurs et routeurs sont
des exemples d’équipements de réseau.
I.4. ARCHITECTURE DES RESEAUX
1. ARCHITECTURE EGAL A EGAL
Dans une architecture d'égal à égal (en anglais peer to peer), contrairement à une
architecture de réseau de type client/serveur, il n'y a pas de serveur dédié. Ainsi chaque
ordinateur dans un tel réseau est un peu serveur et un peu client. Cela signifie que chacun
des ordinateurs du réseau est libre de partager ses ressources. Un ordinateur relié à une
imprimante pourra donc éventuellement la partager afin que tous les autres ordinateurs
puissent y accéder via le réseau.
Les réseaux d'égal à égal ont énormément d'inconvénients :

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 Ce système n'est pas du tout centralisé, ce qui le rend très difficile à administrer
 La sécurité est très peu présente
Ainsi, les réseaux d'égal à égal ne sont valables que pour un petit nombre
d'ordinateurs (généralement une dizaine), et pour des applications ne nécessitant pas une
grande sécurité (il est donc déconseillé pour un réseau professionnel avec des données
sensibles).
Avantages de l'architecture d'égal à égal
 L'architecture d'égal à égal a tout de même quelques avantages parmi lesquels :
 Un coût réduit (les coûts engendrés par un tel réseau sont le matériel, les câbles et la
maintenance)
 Une simplicité dans l’implantation
2. ARCHITECTURE CLIENT/SERVEUR
Les applications web fonctionnent selon un environnement client/serveur, cela
signifie que des machines clientes (des machines faisant partie du réseau) contactent un
serveur, une machine généralement très puissante en termes de capacités d’entrée sortie, qui
leur fournit des services. Ces services sont des programmes fournissant des données telles
que les fichiers, l’heure, etc.
Les services sont exploités par des programmes, appelés programmes clients,
s’exécutant sur les machines clientes. On parle ainsi de client (web, client FTP, de
messagerie, etc.) lorsqu’on désigne un programme tournant sur une machine cliente capable
de traiter des informations qu’il récupère auprès d’un serveur (dans le cas du client web il
s’agit des pages web, tandis que pour le client de messagerie il s’agit des courriers
électroniques.
AVANTAGES
 Le modèle client-serveur est particulièrement recommandé pour des réseaux
nécessitant un grand niveau de fiabilité, ses principaux atouts sont :
 Des ressources centralisées : étant donné que le serveur est au centre du réseau, il
peut gérer des ressources communes à tous les utilisateurs, comme par exemple une
base de données centralisée, afin d’éviter les problèmes de redondance et de
contradiction.
 Une meilleure sécurité : le nombre de points d’entrée permettant l’accès aux données
est moins important.

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 Une administration au niveau serveur : les clients ayant peu d’importance dans ce
modèle, ils ont moins besoin d’être administrés.
 Un réseau évolutif : grâce à cette architecture il est possible de supprimer ou rajouter
des clients sans perturber le fonctionnement du réseau et sans modification majeure.
INCONVENIENTS
L’architecture client /serveur a tout de même quelques lacunes parmi lesquelles :
 Un coût élevé dû à la technicité du serveur.
 Un maillon faible : le serveur est le seul maillon faible du réseau client/serveur, étant
donné que tout le réseau est architecturé autour de lui.
I.5. CLASSIFICATION DES RESEAUX
On distingue différents types de réseaux selon leur taille (en termes de nombre de
machines), leur vitesse de transfert des données ainsi que leur étendue. On définit
généralement les catégories de réseaux suivantes :
1. Réseaux personnels ou PAN (Personnal Area Network)
2. Réseaux locaux ou LAN (Local Area Network)
3. Réseaux métropolitains ou MAN (Metropolitan Area Network)
4. Réseaux étendus ou WAN (Wide Area Network)
1.4.1. LES RESEAUX PERSONNELS (PAN)
Ce sont des réseaux qui interconnectent sur quelques mètres les équipements
personnels, c’est-à-dire soit entre deux téléphones GSM ou un téléphone GSM et un
ordinateur. Ils utilisent le câble USB, l’infrarouge, le Bluetooth, etc; comme support de
transmission.
1.4.2. LES RESEAUX LOCAUX (LAN)
Un réseau local LAN (Local Area Network) désigne un ensemble d’ordinateurs
appartenant à une même organisation et reliés entre eux dans une petite zone géographique
par un réseau, souvent à l’aide d’une même technologie (la plus répandue étant Ethernet).
Un réseau local est donc un réseau sous sa forme la plus simple. La vitesse de transfert de
données d’un réseau local peut s’échelonner entre 10 Mbps (pour un réseau Ethernet
standard) à 1 Gbps (Gigabit Ethernet par exemple). La taille d’un réseau local peut
atteindre jusqu’à 100 voir 1000 machines.

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1.4.3. LES RESEAUX METROPOLITAINS MAN (METROPOLITAN AREA
NETWORK)
Les réseaux métropolitains MAN interconnectent plusieurs réseaux locaux
géographiquement proches (au maximum quelques dizaines de kilomètres) avec un débit
important ; ainsi, un réseau métropolitain permet à deux machines distantes de
communiquer comme si elles faisaient partie d’un même réseau local. Un MAN est formé
d’équipements réseaux interconnectés par des liens hauts débits (en général en fibre
optique).
1.4.4. LES RESEAUX ETENDUS (WAN)
Un réseau étendu (WAN : Wide Area Network) interconnecte plusieurs réseaux
locaux à travers de grandes distances géographiques. Les WAN fonctionnent grâce à des
équipements réseau appelés Routeur, qui permettent de déterminer le trajet le plus
approprié pour atteindre une machine du réseau.
I.5. ASPECT MATHEMATIQUE DES RESEAUX
I.5.1. SYSTEME DE NUMERATION DECIMAL
Un système de numération consiste en un ensemble de symboles dont l’utilisation est
définie par des règles. Le système décimal ou système à base 10 utilise dix symboles 0,
1,2,3,4,5,6,7,8 et 9. Il permet de combiner pour représenter toutes les valeurs numériques
possibles. Ce système repose sur les puissances de 10. Dans un nombre que l’on doit lire de
droite à gauche, chaque chiffre est multiplié par le nombre de base 10, élevé à une certaine
puissance (l’exposant). La puissance à laquelle on élève la base 10 dépend du rang occupé
par le chiffre à gauche de la virgule décimale. La lecture d’un nombre décimal en partant de
la droite à la gauche fournit les informations suivantes : le tout premier rang à droite (Rang
0) correspond à 100, qui est égal à 1 le deuxième rang (rang A) correspond à 101 qui est égal
à 10, ainsi de suite.
Exemple : 2134 = (2*10^3) +(1*10^2) +(3*10^1) +(4*10^0)
I.6.2. LE SYSTEME BINAIRE
Le système binaire utilise seulement deux symboles, le 0 et le 1. Dans un nombre binaire
lu de droite à gauche, le rang de chaque chiffre correspond à 2, le nombre de base élevé à la
puissance (exposant) 0, puis à la puissance 1 et ainsi de suite jusqu’à la puissance 7. Les
valeurs respectives des rangs, de droite à gauche, sont donc les suivantes : 20, 21, 22, 23, 24,
25, 26 et 27, ou 1, 2, 4, 8, 16, 32, 64 et 128.
 Voici un exemple :

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101102 = (1 x 24 = 16) + (0 x 23 = 0) + (1 x 22 = 4) + (1 x 21 = 2) + (0 x 20 = 0) = 22 (16 +
0 + 4 + 2 + 0)
Cet exemple montre que le nombre 10110 en base 2 est égal au nombre décimal 22.

I.6.3. LE SYSTEME HEXADECIMAL


Le système de numération hexadécimal ou système à base 16 est couramment utilisé
pour représenter les nombres binaires sous une forme plus lisible. Les ordinateurs exécutent
tous les calculs en mode binaire. Toutefois, il existe plusieurs situations dans lesquelles la
valeur binaire renvoyée par un ordinateur est exprimée sous sa forme hexadécimale pour
une lecture plus facile. (Exemple les valeurs des bases de registre, les adresses mémoires,
etc.)
I.6.4. CHANGEMENT DES BASES
Tableau de conversion des unités du binaire au décimal et de ce dernier vers ceux du
type hexadécimal.
1. CONVERSION D’UN NOMBRE DECIMAL EN EN BINAIRE
Un nombre N étant donné en base A0, cherchons à l’écrire dans un système de base
B. nous divisons le nombre décimal à convertir par la base et nous conservons le reste
(division entière). Le quotient obtenu est ainsi successivement divisé tant qu’il n’est pas nul.
Les restes successifs sont écrits, en commençant par le dernier, de la gauche vers la droite
pour former l’expression de N dans le système de base b.
Exemple : (168)10 = ( 10101000 ) 2
Première méthode :
DEUXIÈME MÉTHODE
 128 est inférieur à 168 donc le bit le plus à gauche du nombre binaire est 1. 168 – 128
= 40.
 64 n’est pas inférieur ou égal à 40 donc le deuxième bit en partant de la gauche est 0.
 32 est inférieur à 40 donc le troisième bit en partant de la gauche est 1. 40 – 32 = 8.
 16 n’est pas inférieur ou égal à 8 donc le quatrième bit en partant de la gauche est 0.

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 8 est égal à 8 donc le cinquième bit en partant de la gauche est 1. 8 – 8 = 0. Les trois
derniers bits de droite sont donc tous égaux à 0.
Cet exemple montre que le nombre décimal 168 est égal au nombre 10101000 en base 2.
2. CONVERSION D’UN NOMBRE BINAIRE EN DECIMAL
Pour convertir un nombre binaire en décimal, on multiplie chaque chiffre binaire par
le nombre de base 2, élevé à la puissance correspondant au rang de ce chiffre.
Exemple :
Convertissez le nombre binaire 01110000 en nombre décimal.
Travaillez de droite à gauche. Gardez à l’esprit que toute valeur élevée à la puissance 0 est
égale à 1.
0 x 20 = 0
0 x 21 = 0
0 x 22 = 0
0 x 23 = 0
1 x 24 = 16
1 x 25 = 32
1 x 26 = 64 +
0 x 27= 0
_______________________
112
3. CONVERSION D’UN NOMBRE BINAIRE EN HEXADECIMAL
Pour convertir un nombre binaire en hexadécimal, il suffit de découper le nombre
binaire en bloc de 4 bits de droite à gauche et de chercher l’équivalent en hexadécimal. (Cfr
tableau).
Exemple : (110011011100)2 = (CDC )16
1100.1101.1100
(1100)2 = C
(1101)2 = D
(1100)2 = C

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4. CONVERSION D’UN NOMBRE HEXADECIMAL EN BINAIRE
Il suffit de chercher l’équivalent de chaque symbole hexadécimal en binaire écrit sur
4 bits.
Exemple : (CDC)16 = (110011011100)2
C = 1100
D = 1101
C = 1100
4. CONVERSION D’UN NOMBRE DECIMAL EN HEXADECIMAL
Un nombre N étant donné en base A0, cherchons à l’écrire dans un système de base
B. nous divisons le nombre décimal à convertir par la base et nous conservons le reste
(division entière). Le quotient obtenu est ainsi successivement divisé tant qu’il n’est pas nul.
Les restes successifs sont écrits, en commençant par le dernier, de la gauche vers la droite
pour former l’expression de N dans le système de base b.
5. CONVERSION D’UN NOMBRE HEXADECIMAL EN DECIMAL
Pour convertir un nombre hexadécimal en décimal, on multiplie chaque chiffre
hexadécimal par le nombre de base 16, élevé à la puissance correspondant au rang de ce
chiffre.
Exemple :
Convertissez le nombre binaire CDC en nombre décimal.
Travaillez de droite à gauche. Gardez à l’esprit que toute valeur élevée à la puissance 0 est
égale à 1. Et que A = 10, B=11, C=12, D=13, E=15, F=15.

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FIN DU PREMIER CHAPITRE

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CHAPITRE 2 : LE MODELE EN COUCHES

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