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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE
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UNIVERSITE AMAR TELIDJI LAGHOUAT
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FACULTE DE TECHNOLOGIE
DEPARTEMENT D’ELECTRONIQUE
MEMOIRE DE MASTER
Réalisé par :
OKBAOUI Sidiali & CHAIN Moncef
Domaine : Sciences et Techniques
Filière : Electronique
Option : Instrumentation
Je dédie ce travail à :
Mes parents :
Ma mère, qui a oeuvré pour ma réussite, de par son amour, son soutien, tous les
sacrifices consentis et ses précieux conseils, pour toute son assistance et sa présence dans
ma vie, reçois à travers ce travail aussi modeste soit-il, l’expression de mes sentiments et
de mon éternelle gratitude.
Mon père, qui peut être fier et trouver ici le résultat de longues années de sacrifices et de
privations pour m’aider à avancer dans la vie. Puisse Dieu faire en sorte que ce travail
porte son fruit ; Merci pour les valeurs nobles, l’éducation et le soutient permanent venu
de toi.
Mes professeurs qui doivent voir dans ce travail la fierté d’un savoir bien acquis.
OKBAOUI Sidiali
Dédicaces
Je dédie ce travail à :
Mes parents :
Ma mère, qui a oeuvré pour ma réussite, de par son amour, son soutien, tous les
sacrifices consentis et ses précieux conseils, pour toute son assistance et sa présence dans
ma vie, reçois à travers ce travail aussi modeste soit-il, l’expression de mes sentiments et
de mon éternelle gratitude.
Mon père, qui peut être fier et trouver ici le résultat de longues années de sacrifices et de
privations pour m’aider à avancer dans la vie. Puisse Dieu faire en sorte que ce travail
porte son fruit ; Merci pour les valeurs nobles, l’éducation et le soutient permanent venu
de toi.
Mes professeurs qui doivent voir dans ce travail la fierté d’un savoir bien acquis.
CHAIN Moncef
ii
Remerciement
Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaı̂t opportun
de commencer ce mémoire par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au
cours de la préparation de ce mémoire, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire
de ce mémoire un moment très profitable.
Nous remercions notre encadreur Dr. Khaled AMEUR et Dr. BELKHEIRI Ahmed
qu’ils nous ont dirigeé pour réaliser ce mémoire. Nous remercions, aussi, l’ensemble des
enseignants du department d’électronique.
iii
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Résumé :
L’inconvénient principal des les onduleur est l’obtention d’une tension non sinusoı̈dale à
la sortie (Riche en distorsions Harmonique). Ce problème influe négativement sur toutes
les charges branchées à sa sortie et principalement les moteurs qui sont conçus pour
fonctionner avec une tension alternative sinusoı̈dale, cela engendre des pertes additionnelles
(aux niveaux des bobinages pour les moteurs), en plus du rendement qui diminue sensiblement
et l’échauffement souvent important et nuisible pour l’isolation.
Pour résoudre ce problème, plusieurs travaux ont été réalisés. Parmi ces travaux, on
distingue l’utilisation des onduleurs commandés par la technique de Modulation de la
largeur d’Impulsion (PWM) qui devient l’une des méthodes les plus utilisées pour obtenir
une tension sinusoı̈dale.
Dans ce travail on a réalise et commandé un onduleur triphasé à 2 niveaux avec deux
technique différentes : PWMS et SVM . Les essais de simulation sont réalisés sous
MATLAB Simulink. Les résultats obtenus ont montré une nette réduction de la Distorsion
Harmonique Totale (THD).
Mots clés :
Introduction générale 1
v
1.6.2.1 commande pleine onde d’onduleur monophasé en pont : . 11
1.6.2.2 Commande décalée d’onduleur monophasé en pont : . . . 13
1.7 Structure de l’onduleur triphasé : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
1.7.1 La Commande en plaine onde (180o ) : . . . . . . . . . . . . . . . . 16
1.8 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
vi
3.7.2 Commande SPWM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
3.7.3 Commande SVPWM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
3.7.4 Conclusion : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
Conclusion générale 57
Bibliographie 59
Annexes 61
vii
Table des figures
viii
2.6 onduleur monophasé en pont avec commande (SPWM) . . . . . . . . . . . 25
2.7 Résultats de Simulation de la commande (SPWM) d’onduleur monophasé
en pont . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
2.8 onduleur triphasé avec commande (SPWM) . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
2.9 Résultats de Simulation de la commande (SPWM) d’onduleur triphasé . . 28
2.10 Schéma simplifié de l’onduleur triphasé à deux niveaux . . . . . . . . . . . 29
2.11 Emplacement des huits vecteurs stationnaires pour un onduleur de tension
à deux-niveaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
2.12 transformation de clarcke . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.13 Les vecteurs de tension de sortie dans le plan ( α ;β) . . . . . . . . . . . . 33
2.14 Tensions simples de référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
2.15 Tensions Vα et Vβ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
2.16 Schéma de principe de la SVPWM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
2.17 Représentation du vecteur de référence et calcul des temps de commutation 36
2.18 Les temps de commutation pour chaque semi-conducteur dans chaque secteur 37
2.19 onduleur triphasé avec commande (SVPWM) . . . . . . . . . . . . . . . . 38
2.20 Résultats de Simulation de la commande SVPWM d’onduleur triphasé . . 39
ix
3.15 SPWM : Résultats expérimentaux de la tension simples Va de charge filtrée
numériquement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
3.16 Tension composée Uab à la sortie de l’onduleur (commande SPWM) . . . . 51
3.17 SPWM : Résultats expérimentaux de la tension composée Uab de charge
filtrée numériquement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
3.18 Schéma bloc de commande SVPWM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
3.19 Signaux de commande Sa et Sa’ de l’onduleur (commande SVPWM) . . . . 53
3.20 Tensions simples Va à la sortie de l’onduleur (commande SVPWM). . . . . 54
3.21 SVPWM :Résultats expérimentaux de la tension simples Va de charge fil-
trée numériquement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
3.22 Tension composée Uab à la sortie de l’onduleur (commande SVPWM) . . . 55
3.23 SVPWM :Résultats expérimentaux de la tension composée Uab de charge
filtrée numériquement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
3.24 Le premier onduleur a été créé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
3.25 Catre d’isolation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
3.26 Optocoupleur (HCPL-2200) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
3.27 DRIVER IR2111 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
3.28 Schéma de Catre d’isolation avec composant . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
3.29 Schéma de Catre d’isolation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
3.30 Capacité (système de filtrage) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
3.31 onduleur triphasé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
3.32 chima complet d premier onduleur triphasé réalise . . . . . . . . . . . . . . 72
3.33 chima complet d deuxiéme onduleur triphasé réalise . . . . . . . . . . . . . 72
x
Liste des tableaux
xi
Introduction générale
Ces dernières années, les convertisseurs statiques sont de plus en plus exploités dans
des applications diverses. On les retrouve dans des applications domestiques, le transport
ferroviaire, urbain ou maritime, et même dans plusieurs industries.
Les dernières décennies ont été marquées par des avancées technologiques dans le domaine
de l’électronique de puissance. L’apparition de nouveaux composants d’électronique de
puissance, qui fonctionnent à des fréquences très élevés, a permis d’améliorer la qualité
de signaux générés par les convertisseurs conçus de ces composants.
Dans le domaine des machines électriques monophasées ou triphasées, l’alimentation par
une source de tension sinusoı̈dale joue un rôle prépondérant. L’obtention d’une tension
sinusoı̈dale dépend de la structure d’onduleur utilisé et la stratégie de commande adoptée.
La méthode la plus classique et simple pour générer une tension alternative est basé
sur l’utilisation de la structure d’onduleur à deux niveaux (monophasé ou triphasé)
commandé par la technique Pleine-Onde. Le signal de sortie a une forme carré riche en
harmoniques et surtout celles de rangs faibles avec amplitudes importantes qui ont un
effet indésirable sur les appareils et charges électriques. Le filtrage de ces harmoniques
est difficile avec un filtre LC de premier ordre. L’utilisation d’un filtre d’ordre supérieur
augmente les dimensions de l’onduleur et rendre la structure un peu complexe, et mêmes
les performances de ce type de filtre restent insuffisantes.
Afin de générer une tension d’alimentation la plus sinusoı̈dale que possible (avec des
bonnes performances spectrales) sans l’utilisation d’un filtre d’ordre supérieur à 1, diffé-
rentes stratégies de modulation de largeur d’impulsions (MLI ou PWM en Anglo-Saxon)
ont été proposées à savoir : la modulation Sinus-Triangle SPWM, et la modulation
vectorielle SVPWM. Elles consistent à adopter une fréquence de commutation supérieure
à la fréquence des grandeurs de sortie et à former chaque alternance de la tension de
sortie d’une succession de créneaux de largeur convenable. La modulation vectorielle est
1
Introduction générale
2
Chapitre 1
1.1 Introduction
Grâce aux progrès technologiques réalisés ces dernières années dans le domaine de
l’électronique de puissance, les convertisseurs statiques voient progressivement leur champ
d’applications s’élargir. Certaines de ces nouvelles applications, telles que le filtrage actif
et la dépollution de réseaux électriques, ou l’alimentation de machines à courant alternatif
pour des applications particulières, sont très exigeantes en termes de performances dyna-
miques. Les applications de l’électronique furent pendant longtemps limité à la technique
des hautes fréquences. Les possibilités d’application étaient limitées par le manque de
fiabilité des éléments électroniques alors disponibles. Cette fiabilité était insuffisante pour
répondre aux hautes exigences requises par les nouvelles applications dans le domaine in-
dustriel. Ce ne fut qu’à la suite du développement des composants électroniques spéciaux
de fiabilité plus élevée et de tolérance plus restreintes, que les nouvelles techniques peuvent
être envisagées, ainsi naisse une nouvelle branche de l’électronique appelée l’électronique
de puissance. A‘ la base de l’électronique de puissance se trouvent les éléments de puis-
sances, qui peuvent être subdivisés en éléments redresseurs non contrôlables (diodes) et
éléments redresseurs contrôlables (thyristors, triacs, transistors ...). Les éléments de puis-
sance, associés à des dispositifs auxiliaires appropriés (commande de gâchettes, radiateurs
de dissipation, circuit RC de protection), composent des modules standard permettant la
conversion de puissance, tel que les redresseurs, les onduleurs, les cycloconvertisseur . . .
etc[1].
3
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
Un onduleur est dit autonome s’il utilise l’énergie d’un circuit auxiliaire propre a
lui pour la commutation des thyristors ou l’autre semi conducteurs dans ce cas nous
commandons la fréquence la forme d’onde de la tension de sortie. On distingue deux
types d’onduleurs autonomes :[1][2].
4
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
C’est le nom donné au montage redresseur tous les thyristors (pont de Graëtz) qui,
en commutation naturelle assistée par le réseau auquel il est raccordé, permet un fonc-
tionnement en onduleur (par exemple par récupération de l’énergie lors des périodes de
freinage dans les entraı̂nements à moteurs électriques). À la base du développement des
entraı̂nements statiques à vitesse variable pour moteurs à courant continu et alternatif,
cyclo convertisseurs, onduleurs de courant pour machines synchrones et asynchrones, jus-
qu’à des puissances de plusieurs MW, ce type de montage est progressivement supplanté,
au profit de convertisseurs à IGBT ou GTO [1][2].
5
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
triel par l’intermédiaire d’un montage redresseur, ils délivrent une tension de fréquence
et de valeur efficace nécessaires pour faire tourner à vitesse variable un moteur à courant
alternatif[4].
1.4.1 Applications :
La vitesse d’un moteur synchrone est fixée par la pulsation des courants statiques.
Pour changer de vitesse il faut donc changer la fréquence des tensions d’alimentation. Il
faut donc redresser la tension du réseau puis l’onduler à la fréquence désirée[4].
Remarque :Pour que la puissance du moteur reste nominale lorsque la fréquence varie,
il faut en fait conserver le rapport ( f /V ) constant. (Si la fréquence augmente, il faut
augmenter la tension d’alimentation proportionnellement).
6
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
Les harmoniques sont générées par des charges non linéaires absorbant un courant non
sinusoidal. Actuellement, les équipements à base de thyristors constituent la principale
source de ces harmoniques. Ces appareils, dont les caractéristiques électriques varient
avec la valeur de la tension, sont assimilables à des générateurs de courants harmoniques :
appareils d’éclairage fluorescent, variateurs de vitesse, redresseurs, téléviseurs, ordinateurs,
etc.[8]
7
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
Les harmoniques les plus fréquemment rencontrés dans le cas des réseaux triphasés,sont
les harmoniques de rangs impairs. Au-delà du rang 50, les courants harmoniques sont né-
gligeables et leur mesure n’est plus significative.
Une bonne précision de mesure est obtenue en considérant les harmoniques jusqu’au rang
50. Et les harmoniques de rang 3, 5, 7, 9, 11 et 13 sont les plus surveillés.
La compensation des harmoniques jusqu’au rang 13 est impérative, une bonne compen-
sation prendra également en compte les harmoniques jusqu’au rang 25.
Notre étude se limite au cas ou la source de courant est sinusoidale et ou le tension absorbé
par la charge est entaché de composantes harmoniques. Dans ces conditions, le taux global
de distorsion harmonique est bien adapté pour quantifier le degré de pollution harmonique
sur les réseaux électriques. Le THD sèxprime par rapport à la fréquence fondamentale et
caractérise l’influence des harmoniques sur l’onde de tension déformée. Il est donné par
8
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
l’expression suivante : r n
Vi2
P
i=2
T HD(%) = (1.1)
V1
avec V1 la valeur efficace du tension fondamental et Vi les valeurs efficaces des différentes
harmoniques du tension Le domaine des fréquences qui correspond à l’étude des harmo-
niques est généralement compris entre 100 et 2000 Hz. Soit de l’harmonique de rang 2
jusqu’à l’harmonique de rang 40. Il est à signaler aussi que l’amplitude des harmoniques
décroit généralement avec la fréquence[8].
ZT
2
a0 = s(t)dt (1.3)
T
0
ZT Z2π
2 2
an = s(t) cos(nωt)dt = s(θ) cos(nθ)dθ (1.4)
T 2π
0 0
ZT Z2π
2 2
bn = s(t) sin(nωt)dt = s(θ) sin(nθ)dθ (1.5)
T 2π
0 0
9
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
Il est constitué principalement d’un seul bras qui se compose de deux interrupteurs
de puissance notés Q1 et Q2 à commande complémentaire. La commande (180o ) défini la
durée de conduction de chacun des interrupteurs est alors d’un demi cycle correspondant à
la fréquence du signal de sortie requis lors de la fermeture de l’interrupteur Q1, la tension
aux bornes de la charge serait donc de +E/2, et prend la valeur −E/2 quand le second
interrupteur, Q2 est fermé.
Z2π Zπ
2 4
bn = Va0 sin(nθ)dθ = Va0 sin(nθ)dθ
2π 2π
0 0
Zπ
2 E 2 E 1 (1.8)
= ∗ sin(nθ)dθ = ∗ [1 − cos(nθ)]
π 2 π 2 n
0
2 E
= ∗ [1 − cos(nπ)]
nπ 2
Pour n = 2, 4, 6, 8. . . ..( ”n”nombre pair) bn = 0
4 E
Pour n = 1, 3, 5, 7. . . ..( ”n”nombre impair) bn = nπ
∗ 2
10
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
4 E E
Va0 = ∗ = 1.273 ∗ (1.9)
nπ 2 2
Remarque :Le demaine des frequences qui correspond à l’etude des harmonique est
generalement compris entre 100 et 200 HZ, soit de l’harmonique de range 2 jussqu à
l’harmonique de rang 40 il est a signaler aursi que l’amplitude des harmoniques décroit
generalement avec la frequence .
Pour éviter la nécessité d’une source a point milieu et doubler la tension de sortie, on
utilise un onduleur en pont figure 1.8 dans ce cas. On commande sur une demi-période
les transistors Q1, Q2 et les transistors Q3, Q4 sur le reste de la période[3].
11
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
∞
X
Va0 = bn sin(nθ) (1.10)
n=1
Z2π Zπ
2 4
bn = Va0 sin(nθ)dθ = Va0 sin(nθ)dθ
2π 2π
0 0
Zπ
2 2 1 (1.11)
= ∗E sin(nθ)dθ = ∗ E[1 − cos(nθ)]
π π n
0
2
= ∗ E[1 − cos(nπ)]
nπ
Pour n = 2, 4, 6, 8. . . ..( ”n”nombre pair) bn = 0
4
Pour n = 1, 3, 5, 7. . . ..( ”n”nombre impair) bn = nπ
∗E
La valeur de crête de la composante de fréquence fondamentale dans la forme d’onde de
sortie de l’onduleur peut être obtenue comme suit :
4 E
Va0 = ∗ = 1.273 ∗ E (1.12)
nπ 2
12
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
Figure 1.9 – tension de sorte et les Spectre de commande pleine onde d’onduleur mono-
phasé en pont
Cn peut appliquer cette commande seulement danse les onduleur monophases en pont
complet figure1.10.
Le but de cette commande est de fermer ou d’ouvrir les interrupteurs (Q1, Q4) et (Q2,
Q3),simultanément mais avec un certain temps de décalageTd . Donc elle permet d’agir sur
la valeur efficace et sur l’amplitude fondamentale de la tension de sortie. Cette technique
présente des pertes importantes à cause de l’existence de circuit de filtrage.
Le signal de sortie est un signal impair (ou fait une translation de làxe des abcisse β)
Va0 est un signal symetrique impaire à valeur moyenne nulle :
13
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
a0 = an = 0 alore
∞
X
Va0 = bn sin(nθ) (1.13)
n=1
Z2π Zπ
2 4
bn = Va0 sin(nθ)dθ = Va0 sin(nθ)dθ
2π 2π
0 0
π−β
4 2 (1.14)
Z
= E sin(nθ)dθ = E[cos(nβ) − cos(nπ − nβ)]
2π nπ
β
2
= E cos(nβ)[1 − cos(nπ)]
nπ
Pour n = 2, 4, 6, 8. . . ..( ”n”nombre pair) bn = 0
4
Pour n = 1, 3, 5, 7. . . ..( ”n”nombre impair) bn = nπ
cos(nβ)
pour n = 1 la fondamentale a une amplitude de :
on pose β = π6 (β :est le decalage)
4
b1 = Va0 = E cos(β) = 1.1E (1.15)
π
Figure 1.11 – tension de sorte et les Spectre de commande décalée d’onduleur monophasé
en pont
14
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
15
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
ωt [0, π3 ] [ π3 , 2π
3
] [ 2π
3
, π] [Π, 4π
3
] [ 4π
3
, 5π
3
] [ 5π
3
, 2π]
Elements 1-5-6 1-2-6 2-3-4 1-2-3 3-4-5 4-5-6
Conduits
Van E/3 2E/3 E/3 -E/3 -2E/3 -E/3
Vbn -2E/3 -E/3 E/3 2E/3 E/3 -E/3
Vcn E/3 -E/3 -2E/3 -E/3 E/3 2E/3
Vab E E 0 -E -E 0
Vbc E 0 E E 0 -E
Vca 0 E -E 0 E E
16
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
17
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
Remarque : pour les tension composé le signal de commande est la meme avec le
signal de sortie de l’onduleur monophase en pont complet(la commande decalée). le signal
de sortie est un signal impair
Va0 est un signal symetrique impaire à valeur moyenne nulle :
a0 = an = 0 alore
Z2π Zπ
2 4
bn = Va0 sin(nθ)dθ = Va0 sin(nθ)dθ
2π 2π
0 0
π 2π
3 3 Zπ
2 2E 2E
Z Z
E
= [ sin(nθ)dθ + sin(nθ)dθ + sin(nθ)dθ]
π 3 3 3
0 π
3
2π
3
(1.16)
−2 E π 2π π 2π
= ∗ [cos(n ) − cos(0) + 2 cos(n ) − cos(n ) + cos(nπ) − cos(n )]
π 3n 3 3 3 3
2 E 2π π
= ∗ [1 − cos(nπ) − cos(n ) + cos(n )]
π 3n 3 3
Pour n = 2, 4, 6, 8. . . ..( ”n”nombre pair) bn = 0
2 E
Pour n = 1, 3, 5, 7. . . ..( ”n”nombre impair) bn = π
∗ 3n
[1 − cos(nπ) − cos(n 2π
3
) + cos(n π3 )]
pour n = 1 la fondamentale a une amplitude de :
b1 = Va0 = π2 E = 0.63E
Figure 1.16 – tension de sorte et les Spectre de la Commande en plaine onde (180o )
18
Chapitre 1 les onduleur à deux niveaux
1.8 Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons présenté la théorie sur les onduleurs, sa constitution
physique élémentaire, son fonctionnement, leurs principales applications et nous avons
présenté les différentes structures des onduleurs.
Nous avons consacré notre étude aux onduleurs de tension et principalement ceux en pont
triphasé et les différentes stratégies de commande d’un onduleur (commande pleine onde
et commande décalée).
les signaux issue de ses onduleurs sont riches en harmoniques de rang faible, leur filtrage
est difficile. l’avantage majeur de la technique pleine onde résidé dans son utilisation
maximale du bus DC.(127% pour mono-phase et 63% pour triphasé)
19
Chapitre 2
20
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
— Repousser vers des fréquences élevées les harmoniques d’ordres inférieurs de la ten-
sion de sortie, ce que facilite le filtrage au niveau de la charge.
En effet, les deux stratégies de modulation les plus utilisées en boucle ouverte pour un
onduleur de tension triphasé sont la modulation sinusoı̈dale et la modulation vectorielle :
B Le coefficient de réglage :
21
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
qui est défini comme étant le rapport de l’amplitude de l’onde modulante à celle de l’onde
porteuse. Il permet de déterminer l’amplitude du fondamental de l’onde de modulation
de largeur d’impulsion :
Ar
r= (2.1)
Ap
Ar :Amplitude de la référence Ap : Amplitude de la porteuse
B L’indice de modulation :
Il est défini comme étant le rapport de la fréquence de l’onde porteuse à celle de l’onde
modulante[9] :
fp
m= (2.2)
fr
fp :La fréquence du modulation fr : La fréquence de la référence
La modulation montre que plus(m) est grand et plus la neutralisation des harmoniques
est efficace, d’autre part on cherche à obtenir une valeur de (r) la plus élevée possible.[10]
-La modulation est dite synchrone si (m) est un nombre entier cela conduit à une tension
1
de sortie (U) qui se reproduit identiquement à elle-même tout les T = f
- Dans certains cas la modulation est asynchrone, notamment quand à fréquence de mo-
dulation fp , donnée, on fait varier de façon continue la fréquence de la référence.
- Pour le choix de m , on doit tenir compte des pertes supplémentaires pendant les com-
mutations d’un état à l’autre Ces pertes croissent lorsque la fiequence de modulation
augmente[10] .
- On no pourra jamais fonctionner avec un rapport de réglago égal a ”1”, car il faut toujours
laisser une durde suffisantes aux intervalles de conduction et de blocage des interrupteurs
d’un méme bras[10] .
-Le schéma synoptique de la commande par modulation triangulaire- sinusiodale triphasé
est donnée par la Figure 2.2.
22
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
Un générateur d’onde délivre l’onde triangulaire aux trois phases (porteuse commune),
par contre la référence est propre à chaque phase, les trois référence étant déphasées de
(120o ).
Dans ce cas, Ie signal de référence est sinusoidal, on obtient å Ia softie de l’onduleur une
onde formée d’un train d’ impulsion de largeur variable (figur 2.3).
Les instants de commutations sont déterminés par des points d’intersection entre Ia por-
teuse et la modulante.
La fréquence de commutation des interrupteurs est fixée par Ia porteuse.Ce type de MLI
est la plus utilisée dans les applications industrielles, car elle s’est avérée la plus efficace.
23
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
Le signale référence est toujours sinusoidal, sauf que dans cette technique la porteuse
n’estpas appliquée au milieu des alternances de la sinusoide (figure 2.4)
Le principe de cette technique est le méme que celui de la modulation sinsoidale , sauf
que la porteuse trianglaire est bidirectionnelle (bipolaire) (figure 2.5 )
24
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
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Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
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Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
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Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
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Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
— Pour chaque phase, on envoie une impulsion de largeur centrée sur la période
(SVPWM symétrique) dont la valeur moyenne est égale à la valeur de la tension de
référence à l’instant d’échantillonnage.
— Tous les interrupteurs d’un même demi-pont ont un état identique au centre et aux
deux extrémités de la période.
Cette modulation est conduite en synchronisme sur les trois phases. Les trois tensions
sinusoı̈dales désirées à la sortie sont représentées par un seul vecteur appelé vecteur tension
de référence.
On approxime au mieux ce vecteur pendant chaque intervalle de modulation en agissant
sur la commande des trois jeux d’interrupteurs complémentaires Q1 et Q1’, Q2 et Q2’,
Q3 et Q3’ représentés par la Figure2.10
Une analyse combinatoire de tous les états possibles des interrupteurs constituants le
convertisseur donne huit (23 ) combinaisons possibles dont six états actifs non nuls et deux
restants des états de commutation nuls.
29
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
Figure 2.11 – Emplacement des huits vecteurs stationnaires pour un onduleur de tension
à deux-niveaux
30
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
V = Va0 − Vb0
ab
Vbc = Vb0 − Vc0 (2.4)
V =V −V
ca c0 a0
V = 1 [V − Vca ]
an 3 ab
d0 ou : Vbn = 31 [Vbc − Vab ] (2.5)
V = 1 [V − V ]
cn 3 ca bc
V = 2V − 1V − 1V
an 3 a0 3 b0 3 c0
etdonc : Vbn = − 13 Va0 + 23 Vb0 − 31 Vc0 (2.6)
V = −1V − 1V + 2V
cn 3 a0 3 b0 3 c0
31
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
Une analyse combinatoire de tous les états possibles des interrupteurs permet de calculer
les vecteurs de tensionsVα ,Vβ correspondantes
Le tableau 1.1 indique pour chacun de ses états les valeurs des tension Van ,Vbn ,Vcn de
leur composantes de Clark Vα , Vβ et indice des vecteurs V représentatif de cet état.[6][7]
E E −E E E 2E
V2 1 1 0 2 2 2 3 3 3
r r
1 1
E E
6 2
−E E −E −E 2E −E
V3 0 1 0 2 2 2 3 3 3
r r
1 1
− E E
6 2
−E −E E −2E E E
V4 0 1 1 2 2 2 3 3 3
0
r
1
− E
6
−E −E E −E −E 2E
V5 0 0 1 2 2 2 3 3 3
r r
1 1
− E − E
6 2
32
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
E −E E E −2E E
V6 1 0 1 2 2 2 3 3 3
r r
1 1
E − E
6 2
−E −E −E
V7 1 1 1 2 2 2
0 0 0 0 0
Deux de ses huit vecteurs sont identiquement nuls, les six autres ont le même module,
q
2
égale à 3
E.Les extrémités de ces six vecteurs définissent les sommets d’un hexagone
π
régulier, puisque deux vecteurs successifs font entre eux un angle de 3
[7]
Si on considère les composantes Vα et Vβ comme les projection sur deux axes perpendi-
−−→
culairement d’un vecteur Vref , ce vecteur à lui tout seul suffit à caractériser le système
triphasé (Figure 2.13)
Les vecteurs de tensions sont représentés par la relation suivante :
q
2 π
3
E.ej(i−1) 3 ................i = 1, ...., 6
Vi= (2.8)
0...................................i = 0, 7
Chacun des couples de vecteurs Vi et Vi+1 (i=1..6) définissent les limites d’un des six
secteurs de l’hexagone (à noter que dans le secteur 6 la notation Vi+1 correspond au
vecteur V1).
33
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
On peut également définir un vecteur V dont les coordonnées sont les composants de
Clark Vα ,Vβ du système triphasé de tension Van , Vbn , Vcn que l’on veut obtenir en sortie[7].
Si :
V = r E2 sin(wt)
an
Vbn = r E2 sin(wt − 2π
3
) (2.9)
V = r E sin(wt +
2π
)
cn 2 3
La transformation donne :
q
2
Vα = 3
(Van − 21 Vbn − 12 Vcn )
q √ √ (2.10)
2 3 3
Vβ = (
3 2 bn
V − V )
2 cn
34
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
√
3E
Le vecteur est d’amplitude constante r 2 2
; tournant dans le sens antihoraire avec une
vitesse angulaire égale a la pulsation ω des tensions désirées, à l’instant t = 0 , il est
dirigé suivant l’axe α .a chaque instant, le vecteur Vref peut être exprimé comme une
combinaison linéaire des deux vecteurs de sortie qui lui sont adjacents. On résumé les six
secteur dans ce figure :
35
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
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Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
Figure 2.18 – Les temps de commutation pour chaque semi-conducteur dans chaque
secteur
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Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
38
Chapitre 2 Commande par modulation de largeur d’impulsion (MLI)
2.7 Conclusion
Dans ce chapitre, on a appliqué une méthode simplifiée de la modulation SPWM et
SVPWM de l’onduleur triphasé à deux niveaux de tension.
la SPWM car elle permet de repousser les harmoniques vers des fréquences élevées.[2]
et La SVPWM a l’avantage de produire des tensions avec un taux d’harmoniques plus
faibles.[6]
et on présentera la simulation et l’interprétation du résultat des différentes commandes
telles que la commande sinusoı̈dale et la commande vectorielle.
39
Chapitre 3
3.1 Introduction :
Dans ce chapitre, nous entamerons la partie pratique de l’étude, consistant à réaliser
un onduleur de tension triphasé à base d’IGBT commandé par la carte dspace 1103 et
appliquer des techniques de commande à s’avoir la commande SPWM et SVPWM.[2]
40
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
3. La carte dSPACE 1103 : le contrôleur qui représente une interface entre l’ordinateur
hôte, le circuit d’attaque et les systèmes de convertisseur, comprenant des conver-
tisseurs, des interfaces série,. . . etc.
4. L’oscilloscope : utilisé pour l’affichage des différents signaux désirés et les enregistrer
sur un support externe (disquette, disk flash) en utilisant un lecteur disquette ou
un port USB.
6. Carte d’isolation
41
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
partir de l’environnement de Matlab Simulink. On peut configurer toutes les E/S graphi-
quement en utilisant la RTI. C’est une façon simple et rapide d’implémenter les fonctions
de commande.[2]
La carte est dotée d’un panneau de connexion qui comporte les périphériques des E/S qui
permettent la communication avec le système physique « figure 3.3 ».
5. Entré/sortie du DSP esclave chargé de générer les signaux MLI pour la commande
de l’onduleur.
42
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
7. Le connecteur CAN (CP38) est un connecteur Sub-D mâle à 9 broches situé sur
le devant du panneau de connexion. Le brochage a été adopté du connecteur CAN
standard à 9 broches.
8. Les ports séries (RS 232, RS 422) : utilisés pour avoir une communication série
entre la dsPACE 1104 et les différents appareils électroniques (automate, appareil
de mesure, etc.). Ils assurent également la communication entre deux cartes dsPACE.
Elle se compose également de 32 entrées/sorties numériques (de 3 trimes (32 bits)) pouvant
fonctionner de manière indépendante comme la montre la figures ci-après :
— Une mémoire SDRAM de 32 Mo, une mémoire Flash de 8Mo et un port-dual RAM.
— 20 E/S numérique.
43
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
Cette carte contrôleur est conçue pour répondre aux exigences du prototypage rapide et
moderne de lois de commande et elle est particulièrement appropriée pour les applications
telles, que :
— Robotique.
— Contrôleurs automobiles.
44
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
45
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
— Besoin que d’une alimentation +15 non isolé (même en utilisant 3 pilotes dans les
systèmes à 3 phases).
— Verrouillage haut/bas évite deux IGBT de même jambe étant commuté en même
temps.
— Temps mort, V CE, RGON/OF F séparément réglable à optimiser pour des appli-
cations spécifiques de l’utilisateur.
Comme tous les composants électroniques, la carte SEMIKRON a des caractéristiques qui
sont bien détailler sur le tableau suivant avec T a = 25o : Afin de régler le temps mort,
46
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
on installe des résistances entre les branches J3,K3 (RTD1) et J4,K4 (RTD2). Les valeurs
de ces résistances sont indiqué sur le tableau suivant :
RT D1 = RT D2 temps verrouillage tT D
10 kW 0,9 ms
22 kW 1,8 ms
33 kW 2,5 ms
47 kW 3,2 ms
68 kW 4,0 ms
100 kW 5,0 ms
330 kW 7,7 ms
pas équipée (réglage par 10
défaut)
47
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
Résultats expérimentale :
48
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
Figure 3.11 – Tension composée Uab à la sortie de l’onduleur (commande pleine onde) .
Selon la figure :3.12 nous avons réalisé un schéma bloc de la commande SPWM
49
Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
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Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
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Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
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Chapitre 3 La realisation pratique de l’onduleur
3.7.4 Conclusion :
Dans cette partie nous avons présenté les différents organes qui constituent notre banc
d’essai réalisé. Nous avons essayé d’expliquer au mieux les étapes suivis pour la réalisation
de l’onduleur, à chaque passage, nous avons utilisé nos connaissances théoriques afin de
surmonter les obstacles au quels la réalisation pratique nous faisait face. Grace à cette
réalisation, nous avons amélioré et renforcé nos connaissances théoriques.
Une fois le banc d’essai été réalisé, nous l’avons mis à commandé par deux techniques
distingues, à savoir : la commande SPWM et la commande SVPWM. Identiquement
à la partie simulation (chapitre 2), nous avons visualisé les diverses allures de la
commande SPWM et SVPWM. Ces dernières, si nous les comparons à celles obtenues
dans ce troisième chapitre, nous constaterons alors, que les résultats sont similaires, plus
spécialement, la forme des tensions à la sortie de l’onduleur.
Cependant ce dernier chapitre, nous a permet aussi de mettre en évidence l’importance
et la performance de commande SPWM et SVPWM (technique la plus utilisée pour
les onduleur triphasé à deux niveaux) par rapport au d’autre commande, Ceci dit, les
modèles réalisés ont été validés.
56
Conclusion générale
57
Conclusion générale
(PWM) possèdent plusieurs avantages du point de vue réduction des harmoniques. Elles
permettent aussi de faire varier la valeur du fondamentale de la tension de sortie en
jouant sur la valeur du coefficient de réglage « r ».
L’augmentation de l’indice de modulation «m» rejette les premiers harmoniques non
nuls vers des fréquences élevées, et facilite donc le filtrage.
Il apparait, d’après cette étude, que la technique SVPWM représente un compromis
optimal entre la qualité du contenu harmonique et l’utilisation du bus DC.
Pour les futurs travaux, cette étude sera étendue pour étudier d’autres structures
d’onduleurs multiniveaux.
58
Bibliographie
[5] ”Mr. MEFLAH Aissa”, ”Mémoire de Magister Sur le Thème : Modélisation et com-
mande d’une chaine de pompage photovoltaı̈que”, ”universite abou bekr belkaid -
tilmcen”, ”14 / 11/ 2011”,
[6] Melle. BEN ZEMAMOUCHE Houria, ”Mémoire de Magister Sur le Thème : Applica-
tion de la MLI Vectorielle aux Onduleurs Multiniveaux à base de GTO et d’IGBT”,
”université Badji Mokhtar - Annaba”, Année :”2010”.
59
Bibliographie
nul ( alternating zero vector sequence)”, ”universite badji mokhtar - annaba”, An-
née :”2007/2008”.
[8] OULD ABDESLAM Djaffar , ”Thése Présentée pour obtenir le grade de Docteur
de l’universite de Haute-Alsace : Techniques neuromimétiques pour la commande
dans les systémes électriques : application au filtrage actif paralléle dans les réseaux
électriques basse tension”, ”Universite de Haute-Alsace”, Année :”2005”.
[10] BERREZZEK Farid. Etude des Différentes Techniques de Commande des Onduleurs
à MLI Associés à une Machine Asynchrone. Université de Annaba-Badji Mokhtar,
2006.
[11] le Jury, Devant. Modélisation non linéaire des machines électriques pour la commande
et le diagnostic. Université Badji Mokhtar Annaba, ”1945”.
60
Annexes
61
Annexes
62
Annexes
63
Annexes
64
Annexes
65
Annexes
66
Annexes
67
Annexes
1. Catre d’isolation.
68
Annexes
1. Alimentation 5v.
2. Alimentation 15v.
4. Optocoupleur (HCPL-2200).
5. DRIVER IR2111.
Optocoupleur (HCPL-2200) :
Un optocoupleur est un composant ou un ensemble de composants qui permet le transfert
d’informations entre deux parties électroniques isolées l’une de l’autre d’un point de vue
électrique. La première partie est un émetteur, et la seconde partie est un récepteur.On
peut l’assimiler à un composant qui a une entrée (émetteur) et une sortie (récepteur).
DRIVER IR2111 :
L’IR2111 (IRF2111 de International Rectifier) c’est un circuit intégré voir la Figure3.27 à
grande vitesse, constitué 8 pins, il ya de pin utilisé pour garantir une impulsion suffisante
pour commander un transistor MOSFET ou un IGBT de la parte puissance, la Figure3.27
présente un synoptique simplifié de fonctionnement du circuit IR2111 dans sa mise en
œuvre.
69
Annexes
70
Annexes
71
Annexes
72