Fasc 2 S

Avant-propos
Ce fascicule, est un « Recueil d’Exercices », conforme au nouveau

programme de la classe de seconde S. Il est conçu pour aider l’élève à
surmonter les difficultés auxquelles il est confronté dans son travail.
Il propose des exercices nombreux, variés et minutieusement classés
par niveau de difficultés. Il s’agit de plus de trois cent exercices sélectionnés
et bien classés suivant leur pertinence et la progression du programme.
C
Contrairement autres éditions, les exercices proposés ne sont pas

on
accompagnés de corrections. Par conséquent, il est conseillé à l’élève de

fid
saisir son professeur au cas où il éprouverait des difficultés de

en
tie
compréhensions.
lc
Nous espérons que ce fascicule conçu pour les élèves, puisse aider nos
is
sd
collègues professeurs dans leur travail.

or
Aux utilisateurs, nous précisons que de ce fascicule est perfectible,

os
toutes remarques et suggestions seront les bienvenues.

p.
e−
m
M.Cissé
on
si
Remerciements
te
Je remercie tous les professeurs de la cellule de Sciences Physiques du

.c
o
lycée de THIAROYE.
m
Contacts
M.Cisse e-mail: cissdoro@gmail.com
SOMMAIRE
PHYSIQUE
ELECTRICITE
PHENOMENES D’ELECTRISATION Page 3
GENERALITES SUR LE COURANT ELECTRIQUE Page 4
INTENSITE DU COURANT ELECTRIQUE Page 5
TENSION ELECTRIQUE Page 7
DIPOLES PASSIFS Page 10
DIPOLES ACTIFS Page 13
AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL Page 15
MECANIQUE
C
on
GENERALITES SUR LE MOUVEMENT Page 16

fid
GENERALITES SUR LES FORCES Page 19

en
LE POIDS - LA MASSE. RELATION ENTRE POIDS ET MASSE Page 21

tie
EQUILIBRE D’UN SOLIDE SOUMIS A DES FORCES NON PARALLELES Page 24

lc
EQUILIBRE D’UN SOLIDE MOBILE AUTOUR D’UN AXE Page 29

is
OPTIQUE
sd
or
PROPAGATION RECTILIGNE DE LA LUMIERE

os
REFLEXION ET REFRACTION DE LA LUMIERE Page 32

p.
e−
m
CHIMIE
on
MELANGES ET CORPS PURS Page 34

si
te
ELEMENTS - ATOMES - CLASSIFICATION PERIOIQUE DES ELEMENTS Page 35

.c
LIAISONS CHIMIQUES Page 39

mo
MOLES – GRANDEURS MOLAIRES Page 41

REACTIONS CHIMIQUES. EQUATION-BILAN Page 44
GENERALITES SUR LES SOLUTIONS AQUEUSES Page 49
SOLUTIONS AQUEUSES ACIDES Page 51
SOLUTIONS AQUEUSES BASIQUES Page 53
NOTION DE pH - INDICATEURS COLORES Page 54
CARACTERISATION DE QUELQUES IONS Page 55
ANNEXE Page 56
Physique Chimie – Recueil d’Exercices 2nd S cissdoro.e-monsite.com 2

PHYSIQUE
ELECTRICITE
ELECTROCINETIQUE
PHENOMENES D’ELECTRISATION
Exercice 1 :
1. Une boule de sureau porte une charge de q1 = - 10 – 9 C. Possède-t-elle un défaut ou un excès d’électrons ?
Calculer le nombre d’électrons correspondant.
2. On réalise le contact entre la boule électrisée et une baguette de verre qui porte une charge q2 = + 2.10 – 9 C.
Calculer la charge électrique de l’ensemble [boule; baguette] et préciser le sens dans lequel s’est fait le transfert des
électrons.
C
Exercice 2 :
on
1. Un corps possède une charge q = + 2.10 – 8 C. Quel est le nombre d’électrons qu’il faut lui apporter pour
fid
neutraliser sa charge ?
en
2. On met en contact deux boules identiques qui portent respectivement les charges q1 = + 2,8.10 – 8 C et q2 = - 2.10
– 8 C. Quelle est la quantité d’électricité (ou charge) portée par chacune des deux boules ?
tie
lc
Exercice 3 :
is
sd
On charge séparément par frottement une baguette de verre qui porte alors la charge q1 = + 2.10 – 13 C et une règle
en plastique qui porte alors la charge q2 = - 9.10 – 13 C.
or
On réalise le contact entre les zones électrisées de la baguette et de la règle. Calculer la charge électrique de
os
l’ensemble [règle ; baguette] et préciser le sens dans lequel s’est fait le transfert des électrons.
p.
e−
Exercice 4 :
m
Un isotope du thorium est radioactif α ; il émet spontanément des noyaux portant chacun la charge électrique q0 = +
on
3, 2.10 – 19 C. Un échantillon de 1 mg émet 1,14.10 12 noyaux d’hélium par seconde. Calculer la charge électrique
si
émise chaque seconde par l’échantillon.

te
.c
Exercice 5: P1 P2
o m
Une petite boule A, légère et non chargée, est suspendue par un fil isolant
Il isolant
entre deux plaques chargées P1 et P2, l’une positivement, l’autre négativement. + -
1. Que se passe t-il si la boule A est proche de P1 et loin de P2 ?
2. Même question en supposant que A est proche de P1 mais également A
soumise à l’action de P2.
Exercice 6 :
Le corps humain est un très médiocre conducteur. Cependant pourquoi ne pouvez-vous pas électriser une tige
métallique en la tenant simplement dans la main ? Que devez-vous faire pour l’électriser par frottement, avec du
coton par exemple ?
Exercice 7 :
Un faisceau de particules α tombe sur un corps possédant une charge électrique q = - 3, 2.10 – 19 C. Sachant que
cette charge est neutralisée au bout de 10 – 1 seconde et que le faisceau transporte 10 8 particules par seconde ;
déterminer :
1. le signe de la charge d’une particule α.

2. la valeur de la charge d’une particule α.
C
on
fid
en
tie
lc
is
sd
or
os
p.
e−
m
on
si
te
.c
mo

P2 GENERALITES SUR LE COURANT ELECTRIQUE
Exercice 1 :
Un fil conducteur relie deux réservoirs de charges A et B qui contiennent chacun trois charges positives et trois
charges négatives. Quelle est la charge finale de chacun des réservoirs et quel est le sens conventionnel du courant
entre A et B quand :
- une charge positive va de A vers B ;
- une charge négative va de A vers B ;
- une charge positive va de B vers A ;
- une charge négative va de B vers A.
Exercice 2 :
Faire le schéma du circuit électrique permettant de réaliser l’électrolyse d’une solution aqueuse de soude. Indiquer
sur ce schéma :
- le sens du courant ;
- le sens de déplacement des porteurs de charges dans l’électrolyte ;
- le sens de déplacement des porteurs de charge dans les fils de connexion.
C
on
Exercice 3:
On dispose d’un générateur et de trois lampes. Proposer un schéma de montage permettant de faire passer à
fid
volonté le courant dans l’une quelconque des lampes, dans les deux lampes, dans les trois lampes, en utilisant un
en
nombre minimum d’interrupteur.

tie
lc
Exercice 4 :
is
A t = 0, on ferme le circuit pour allumer la lampe. On suppose que celle-ci s’éclaire aussitôt que le courant la
sd
traverse. Quand s’éclairera-t-elle ? Dans quel sens circulent les électrons dans le fil ? A quel instant un électron
or
traversant l’interrupteur à t = 0 se retrouve-t-il dans la lampe ?

os
NB : On suppose que le signal de fermeture de l’interrupteur se propage à la vitesse de 300.000 km/s le long du fil.
p.
e−
m
on
si
te
.c
300 km
o m
Exercice 5 :
Expliquer le fonctionnement du dispositif appelé «va-et-vient» schématisé sur la figure ci-dessous. Quel est son
intérêt ?
Exercice 6 :
1. Une barre de cuivre a une masse de 63,5 g. Combien contient-elle d’électrons libres ?
2. Elle est suspendue par deux fils très souples. On établit le courant. On suppose qu’aussitôt l’interrupteur fermé,
les électrons se mettent en mouvement à la vitesse de 0,5 mm/s par rapport au sol. Quelle est la vitesse de recul de
la barre ? Quel est son sens ? Peut-on espérer la voir bouger ? On donne la masse d’un électron m e = 9,1.10 - 31 kg.
P3 INTENSITE DU COURANT ELECTRIQUE
Exercice 1 :
Un ampèremètre possède les calibres suivants : 2 mA, 20 mA, 200 mA, 2 A. Indiquer dans chaque cas le calibre le
mieux adapté pour mesurer des intensités de l’ordre de : 50 mA, 1,5 mA, 15 mA.
Exercice 2 :
Sur une pile on branche trois lampes identiques en dérivation
(figure ci-contre). Si l’ampèremètre indique 0,9A, quelle est A
l’intensité qui traverse chaque lampe ?
Exercice 3 : A I2 B C
Un circuit électrique est alimenté par un générateur. En déduire I
le sens conventionnel du courant électrique dans chaque
branche et les valeurs des différentes intensités. On donne les I1 I3 I4
relations suivantes : I1 = I2 ; I2 = 4 I4 ; I = 3,7 A. F E D
Exercice 4 :
C
on
Au cours d’une séance de travaux pratiques, plusieurs groupes d’élèves ont réalisé le circuit ci-dessous avec des
lampes et des dipôles différents. Recopier le tableau ci-dessous et compléter les cases vides.
fid
en
Groupes K A1 A2 A3
tie
Groupe 1 ouvert A2
lc
Groupe 2 fermé 0,2 A 0,3 A A3

is
Groupe 3 fermé 0,25 A 0,64 A

sd
Groupe 4 fermé 580 mA 340 mA

or
A1
os
p.
Exercice 5:
e−
Un ampèremètre de classe 2, utilisé sur le calibre 300 mA et comportant 150 divisions, mesure l’intensité d’un
m
courant continu.
on
1. L’aiguille se fixe sur la graduation 120.

1.1 Donner l’intensité du courant.
si
1.2 Donner la précision de la mesure.

te
.c
2. L’intensité varie : l’aiguille se fixe sur la graduation 21. Répondre aux mêmes questions.
o
3. Comparer la précision des deux mesures et conclure.

m
M
Exercice 6 : A
On considère le circuit ci-contre. I
1. Quel est l’intensité du courant traversant L2 ? L1
2. Calculer le nombre d’électrons qui chaque seconde : L2
2.1 arrivent au nœud N. A
2.2 traversent les lampes L1 et L2
2.3 rentrent dans le générateur. On donne: I = 2 A et I1 = 0,7 A. N
I1
Exercice 7 : A
On considère un montage en « triangle » au modèle du schéma ci-contre. On
donne : I1 = 3 A et I2 = 1 A. I’2 I’1
1. Calculer l’intensité I3 et déterminer le sens conventionnel du courant dans la B C
branche correspondante. I2 I’3 I3
2. Sachant que I’1 = 1 A, déterminer le sens er les intensités de tous les courants.
Exercice 8 :
Dans le montage ci-contre, les lampes sont
toutes identiques. A
1. Préciser la borne d’entrée du courant dans
l’ampèremètre et le sens des courants dans L1 L2 L3 L4 L5
chaque lampe.
2. L’ampèremètre indique 0,3 A, quelle est L6
l’intensité dans chaque lampe ?
Exercice 9:
On considère six dipôles identiques. Représenter par un
rectangle sur la figure ci-contre.
1. Reproduire le schéma et déterminer le sens conventionnel
du courant électrique dans chaque dipôle.
2. Déterminer en fonction de l’intensité du courant principal,
l’intensité du courant dans chaque dipôle et dans le
générateur.
Exercice 10:
On considère le réseau ci-contre dans lequel certains courants sont
Exercice
connus en10:intensité et en sens. A B C
C
On considère le montage ci-contre

on
1. Déterminer l’intensité et le sens de chacun des courants I1, I2, I3 et I4. 10A 8A I4
1. Déterminer
2. On mesure les intensités
l’intensité I3 à des
l’aidecourants dans les branches
d’un ampèremètre BC,calibres
ayant les GB, DF, 1 CF.
fid
2. Quel est le débit d’électrons fourni par le générateur

A, 3 A, 5 A et dont le cadran comporte 150 divisions. ?
en
2.1 A quel point E ou F faut-il relier la borne positive de I1 I2 4A

tie
l’ampèremètre ? 6A 10A
lc
2.2 Quel calibre faut-il choisir ? Sur quelle division l’aiguille F I3 E D

is
sd
Exercice 11:
or
1. On considère un circuit électrique série comprenant une pile, une lampe, un interrupteur et un ampèremètre reliés
os
par des fils de connexion.

1.1 Donner le schéma normalisé du circuit ainsi constitué.
p.
e−
1.2 Sur le schéma, préciser les polarités de l’ampèremètre et représenter le sens conventionnel du courant
ainsi que le sens de circulation des électrons.
m
2. L’ampèremètre utilisé comporte les calibres : 0,1 A ; 0,3 A ; 1 A ; 3 A. Lors de la mesure de l’intensité du courant
on
qui traverse le circuit, on choisit le calibre 3 A ; l’aiguille s’arrête sur la division 32 de l’échelle 0 -100.
si
2.1 Déterminer la valeur de l’intensité I.

te
2.2 La classe de l’appareil étant 2, déterminer l’incertitude I sur la lecture de I. Ecrire le résultat et son
.c
o
encadrement.
m
2.3 Tous les calibres sont-ils utilisables ? Quel est le meilleur calibre ?
2.4 Déterminer les déviations pour les autres calibres suivants 3A, 1A, 0,3A, et 0,1A.
Exercice 12:
On réalise le montage ci-contre où les ampèremètres A1, A2, A3 sont identiques et leurs cadrans comportent le
même nombre de divisions égal à 150. Les calibre pouvant être utilisés sont 300 mA ; 1,5 mA et 7,5 mA.
L’ampèremètre A2 est installé au calibre 300 mA ; l’aiguille indique 125 divisions. Dans la lampe L3, une quantité
d’électricité de 1500 C a circulé pendant 20 min.
1. Quelles sont les intensités des courants
dans L2 et L3. Indiquer leur sens ? A2
2. Sur quel calibre l’ampèremètre A3 a-t-il
été utilisé ? Justifier. A1
3. Pour chaque calibre, déterminer la
division sur laquelle se fixerait l’aiguille de A3
l’ampèremètre A1. Lequel faut-il alors
utiliser ? Pourquoi ?
P4 TENSION ELECTRIQUE
Exercice 1 :
Entre les différents points A, B, C et D d’un circuit, on a établi les relations suivantes pour les tensions : 3 UCA = UBD ;
UAB + UCD = 6 V ; UBC = 2 V. Déterminer UCA, UBD, UAB et UDC.
Exercice 2 :
Les mesures des tensions entre différents points d’un circuit ont donné les résultats suivants : UAC = 4 V ; UDB =-6 V ;
UAE = 12 V ; UDA = -10 V. Calculer UAB ; UDE et UBC. Modifie-t-on le réseau si on relie B et C par un fil conducteur ?
Exercice 3 :
On désire visualiser sur l’écran d’un oscilloscope, une tension constante UAB.
1. Faire un schéma du branchement à l’oscilloscope.
2. Qu’observe-t-on si on inverse les bornes ?
3. On donne UAB = 6,8 V et le coefficient de déviation verticale kV = 2 V/div. Représenter l’écran de l’oscilloscope
dans le cas où le point B serait relié à la masse de l’appareil.
Exercice 4 :
C
1. Refaire le schéma ci-contre en plaçant le minimum d’appareils qui permettent de

on
mesurer les intensités des courants dans les différentes branches et les tensions aux
fid
bornes du générateur, de la lampe L1 et de la lampe L2. L1 L2

en
2. Pour vérifier la tension aux bornes du générateur « marqué 12 V », on dispose

tie
d’un voltmètre de calibres 5 V, 15 V et 30 V ; possédant une graduation de 150

lc
divisions. Quel calibre doit-on utiliser ? Quelle division indiquera l’aiguille ?

is
sd
Exercice 5 :
or
Des mesures de tension effectuées sur le montage ci-contre, donnent : UPN = 4,5 V et
os
UBC = 2,1 V.
1. Que vaut UAC ? Calculer UAB.
p.
e−
2. Quelle est la valeur de UDE ?

m
on
Exercice 6 :
Dans le circuit ci-après, toutes les lampes sont identiques;
si
L1
te
calculer :
.c
- la tension aux bornes du générateur ;

o
- la tension aux bornes de la lampe L2 ; L2 L4 L5 L6

m
- la tension UBC ;
- la tension mesurée par le voltmètre. L3
On donne les tensions : UAB = 0,10 V ; UBM = 0,90 V V
Exercice 7:
Un générateur maintient entre ses bornes une tension constante UAB = 12 V ; il est
branché aux bornes A et B d’un fil conducteur métallique rectiligne de longueur L.
Un curseur C, point de contact mobile, se déplace entre A et B comme le montre la
figure ci-contre. A B
1. Comment appelle-t-on un tel montage ? Préciser son rôle. C
2. Quelle est la valeur UAC quand : - C est en A ; - C est un B
3. La tension UAB est proportionnelle à la longueur L de la de la position de fil AB.
V
3.1 Lorsque le point C se trouve à une distance x de A, déterminer en
fonction de x et L, la tension UAC.
3.2 Calculer U pour x = 0,5 m et L = 1 m.

Exercice 8:
On donne les potentiels de 4 points d’un circuit électrique : VA = 23,5 V ; VB = - 18,2 V ; VC = - 20,7V ; VA = 27,8V.
1. Calculer les tensions UAB ; UCA ; UBD ; UDA et UDC.
2. Tracer une droite et placer les quatre points en des positions quelconques. Effectuer les représentations fléchées
des tensions.
Exercice 9 :
G est une alimentation stabilisé (figure) ; la tension UPN à ses bornes est G
constante quelle que soit l’intensité débitée. Cette tension est réglée sur P N
la valeur 24 V. B
1. Quelle est la tension aux bornes de chacun des dipôles s’ils sont tous
identiques ?
2. On met en court-circuit les bornes B et D à l’aide d’un fil parfaitement
conducteur. Quelle est la tension aux bornes de chacun des dipôles ? A C
Exercice 10 : D
On considère le montage ci-contre. L’oscilloscope est utilisé
sur la sensibilité k = 2 V/divisions ; le spot dévie de 3 divisions.
Le voltmètre, utilisé sur le calibre 3 V, comporte 150 divisions ;
l’aiguille se fixe sur 100 divisions.
C
on
1. Déterminer UPN, UED et UAB. Représenter ces tensions par

des flèches.
fid
V
2. Le voltmètre est de classe 2, donner la précision sur la
en
mesure de UBC.
tie
lc
Exercice 11 :
is
Le réseau représenté ci-contre ne comporte qu’un générateur. On mesure A

sd
les tensions : UAB = 20 V; UED = 3V; UCB = -10 V; UEB = - 5 V.

or
1. Calculer les tensions UEA; UDA; UCD; UEC et UPN.

os
2. Dans quel sens le courant circule-t-il dans chaque branche ?

P
p.
3. Lorsqu’on mesure les intensités des courants qui aboutissent au nœud E,

B D
e−
on trouve que ceux qui arrivent ont la même intensité I = 3 A. En déduire les
N EE
m
valeurs des intensités des courants dans les branches DE, BE et AE. E
on
4. L’intensité du courant dans le générateur est I0 = 12 A et celle dans la

branche AB est égale à 5 A. En déduire les valeurs des intensités des
si
te
courants dans toutes les branches du réseau.

.c
o
Exercice 12 :
A
m
On réalise le montage ci-contre.

1. Compléter le schéma en indiquant les sens des différents courants.
2. L’ampèremètre comporte une échelle 0 - 30 et est réglé sur le calibre 3 A.
2.1 Déterminer l’intensité mesurée à partir d’une lecture de 20
divisions.
2.2 Sachant que les dipôles D et D’ sont traversés par un courant I1
= 0,5 A, déterminer l’intensité I2 du courant qui traverse la lampe L.
3. On mesure la tension UAC à l’aide d’un oscilloscope comme l’indique le
schéma du montage.
3.1 La sensibilité verticale est 5 V/cm. On observe un déplacement
de la ligne lumineuse de y1 = 1,2 cm vers le haut. Quelle est la
valeur de la tension UAC ?
3.2 On change la sensibilité verticale, on prend la valeur 10 V/cm. Quelle est la nouvelle valeur du
déplacement y2 ?
4. On donne la tension UCB = - 2 V, déterminer la tension UAB, puis la représenter par une flèche.

Exercice 13 :
1. La fréquence de la tension aux bornes d’une antenne d’un émetteur radio FM est de l’ordre de 100 MHz. Quelle
est la période de cette tension ?
2. Un électrocardiogramme fourni la période de battement de cœur d’un patient de valeur 0,66 s. Calculer la
fréquence des battements.
Exercice 14:
Dans le circuit de la figure ci-contre, G est un générateur de tension G
continue. On effectue les branchements sur un oscilloscope : le point B à
une entrée Y et le point C à la masse. La sensibilité verticale vaut 5 V/cm. C B
1. Quelle tension l’oscilloscope mesure-t-il : UBC ou UCB ?
2. Le balayage est coupé. Quand on réalise le branchement, le spot se
déplace de 2,4 cm vers le haut. Quelle est la valeur de la tension mesurée ?
3. On règle maintenant la vitesse de balayage à la valeur vb = 0,1 ms/cm. Dessiner, en vraie grandeur, l’aspect de
l’écran.
Exercice 15 :
Le générateur de la figure ci-contre alimente six lampes L1, L2, L3, L4, L5 et
L6. Les lampes L1 et L2 sont identiques. On connaît les tensions suivantes : A
UAD = 50 V ; UAC = 40 V et UBC = 20 V. L1
C
1. Calculer la valeur des tensions UBD, UCD et UAB.

on
L5
2. La tension aux bornes de L3 est mesurée à laide d’un voltmètre L6 B D
fid
disposant les calibres 1 V ; 5 V ; 10 V et 15 V dont le cadrant comporte L4

en
100 divisions. Devant quelle division s’est arrêtée l’aiguille du voltmètre ? L2

3. Le générateur débite un courant d’intensité I=7 A. Dans la branche CD,
tie
C L3
il circule n=6,25.1020 électrons en 20 s. L’intensité du courant qui traverse
lc
la lampe L6 est I6 = 5 A.
is
sd
3.1 Calculer les intensités des courants I1, I2, I3, I4 et I5 en précisant sur un schéma clair le sens
or
conventionnel du courant dans chaque branche du circuit.

os
3.2 L’un des lampes ne s’allume pas. Laquelle ?

3.3 Placer un ampèremètre et un voltmètre permettant de mesurer respectivement l’intensité du courant
p.
e−
principal et la tension aux bornes de la lampe L5. On précisera leur polarité.

On donne la charge électrique élémentaire : e =1,6.10-19 C.
m
on
Exercice 16 :
si
2
te
Une tension électrique délivrée par le secteur est de la forme : u  U0 sin t avec U0 = Umax = 310 V et T = 0,02 s.
.c
T
o
1. Exprimer numériquement u en fonction du temps.

m
T
2. Calculer u pour chaque valeur de t tel que t  k avec 0k 8 et k  
8
3. Tracer la courbe u en fonction du temps.
Exercice 17 :
Avec un générateur basse fréquence, on applique, entre
l’entrée Y d’un oscilloscope et sa masse, une tension alternative
sinusoïdale u ; on obtient l’oscillogramme (voir figure). Les
réglages de l’oscilloscope sont :
- vitesse de balayage : 2.10-3 s/cm ;
- sensibilité verticale : 2 V/cm.
1. Quelle est la valeur de la tension crête à crête ? En déduire la
tension maximale Um et la tension efficace U.
2. Quelle est la valeur de la fréquence f de la tension ?

P5 DIPOLES PASSIFS
Exercice 1 :
1. Enoncer la loi d’ohm pour un conducteur ohmique de bornes A et B.
2. Soit un conducteur ohmique (C, D) de résistance R ; il est traversé par un courant I :
- Donner la relation entre UCD, R et I.
- Préciser le signe de la tension UCD et représenter cette tension par une flèche.
3. Proposer une méthode permettant de déterminer la résistance d’un conducteur ohmique.
Exercice 2 :
1. Calculer la tension aux bornes d’un conducteur de résistance 23 X, parcouru par un courant d’intensité I= 65 mA.
2. Calculer l’intensité du courant qui traverse un conducteur ohmique de résistance 200 X, aux bornes duquel est
établie une tension égale à 15 V.
3. Calculer la résistance d’un conducteur ohmique parcouru par un courant électrique d’intensité égale à 11,2 mA
lorsqu’il est établi entre ses bornes une tension égale à 4,5 V.
Exercice 3 :
1. Entre les bornes A et B d’un conducteur ohmique, on établit une tension UAB = 5,4 V.
C
on
1.1 Donner le sens du courant.

1.2 La résistance est égale à 270 X, calculer l’intensité du courant I.
fid
2. Un conducteur ohmique est parcouru par un courant électrique d’intensité I = 12,5 mA lorsque la tension entre ses
en
bornes A et B est UAB = - 4,0 V.

tie
2.1 Quel est le sens conventionnel du courant électrique dans le conducteur ohmique ? Faire un schéma et
lc
représenter, par des flèches appropriées, la tension UAB = et le sens du courant.

is
2.2 Calculer la résistance du conducteur ohmique.

sd
or
Exercice 4 :
os
On dispose de trois conducteurs ohmiques R1, R2, R3. Calculer la R résistance équivalente de l’association : - en
p.
série de R1 et R2 ; - en parallèle de R2 et R3 ; - de R1 en série avec R2 et R3, elles-mêmes en parallèles.

e−
On donne : R1 = 470 X ; R2 = 820 X ; R3 = 330 X

m
on
Exercice 5 :
Trois résistors de résistance : R1 = 24 X ; R2 = 36 X et R3 = 45 X ne peuvent supporter, sans risque de
si
détérioration, une tension supérieure à 6 V.

te
.c
1. Calculer la tension maximale que l’on peut appliquer à l’ensemble des trois résistors montés en série.
o
2. Calculer l’intensité maximale du courant pouvant passé dans le circuit ou les trois résistors sont en parallèle.
m
Exercice 6 :
Un accumulateur maintient entre ses bornes une tension constante UPN = 6 V ; il est branché aux bornes A et B d’un
fil conducteur métallique rectiligne de longueur L=1 m et de section s constante. Un curseur C se déplace entre A et
B. On note x la longueur du fil de portion AC.
Exprimer UAC en fonction de UPN, L et x.
Exprimer la fonction UAC = f(x). Conclure.
A C
Exercice 7 :
Le réseau ci-contre, comporte des conducteurs. La tension UAB vaut 10 V. A B
D1
1. Déterminer la résistance du conducteur équivalent vue des points A et B.
2. Calculer les intensités des courants dans chaque branche et l’intensité du C D2
courant principal I. On donne : les résistances des conducteurs D1 ; D2 ; D D4
D3 et D4 sont respectivement 10 X; 6 X; 4 X et 7,5 X.
D3

Exercice 8 :
1. On veut réaliser une ligne électrique d’une longueur de 300 m destinée à transporter un courant d’intensité 300 A.
La chute de tension ne doit pas dépasser 2 V. Quel doit être la résistance maximale du câble ?
2. Quel est le diamètre minimal d’un câble de cuivre de transport ? Quelle est alors sa masse ?
On donne : masse volumique du cuivre µ = 8900 kg.m-3 ; résistivité du cuivre ρ = 1,6.10-8 Xm ; résistance d’un câble
l
de section s, de longueur l , de résistivité ρ est donnée par la formule R  
s
Exercice 9 :
On construit un rhéostat à l’aide d’un fil de ferronickel de résistivité ρ = 8.107 X.m et de section s = 0,1 mm2. Ce fil
est régulièrement bobiné sur un cylindre de rayon r = 1,5 cm.
1. Quelle doit être la longueur totale du fil pour que la résistance maximale du rhéostat soit R = 600 X ?
2. Combien de spires pratiquement jointives ce rhéostat comportera-t-il ?
3. Quelle sera la longueur du rhéostat ?
Exercice 10 : I1
Il est réalisé par l’association de deux résistances R1 et R2 en parallèle. I R1
1. Exprimer la résistance équivalente R de l’association de bornes A et B. A B
2. Exprimer la tension UAB = f (I, R1, R2) puis I1 = f (I, R1, R2). I2 R2
R I
3. Comment choisir le rapport 1 pour que I1= ? Un ampèremètre intercalé dans la branche comportant R1
C
R2 10
on
indique I1 = 1,2 A. Quelle est la valeur de I ? Le plus grand calibre de cet appareil est 10 A ; peut-on mesurer
fid
directement ?
en
tie
Exercice 11 :
lc
1. Entre les bornes A et B d’un conducteur ohmique, on applique une tension UAB = 5,4 V.
is
1.1 Donner le sens du courant dans conducteur ohmique.

sd
1.2 La résistance est égale à 270 Ω, calculer l’intensité du courant I.

or
2. Un conducteur ohmique est parcouru par un courant électrique d’intensité I = 12,5 mA lorsque la tension entre ses
os
bornes A et B est UAB = - 40 V.

2.1 Quel est le sens conventionnel du courant électrique dans le conducteur ohmique ? Faire un schéma et y
p.
représenter, par des flèches appropriées, la tension UAB et le sens du courant.

e−
2.2 Calculer la résistance du conducteur ohmique.

m
on
Exercice 12 :
si
On considère l’association de conducteurs ohmiques de la figure ci-dessous où R1 =R2 =10 X et R3=40 X. On

te
mesure la tension UAC = 9 V.

.c
o
1. Déterminer la résistance équivalente au dipôle AC.

m
2. En déduire l’intensité du courant I1 du courant électrique I2

R2
parcourant R1.
3. Déterminer les tensions UAB et UBC. A I1 R1
B C
4. Calculer les intensités I2 et I3 en utilisant la loi d’ohm. I 3
R3
5. Vérifier les calculs précédents en utilisant la loi des nœuds.
Exercice 13 :
On réalise le montage ci-contre. A
1. On donne R1 = R4 = 20 X ; R3 = R2 = 80 X et UAC = 6 V. Calculer :
1.1 La résistance équivalente à chaque branche, puis à l’association R1 R2
des conducteurs ohmiques placés entre A et C.
1.2 L’intensité du courant parcourant le générateur et chacun des D B
conducteurs ohmiques R4 R3
2. Répondre aux mêmes questions qu’au 1. lorsqu’on relie B et D par un fil.
C

Exercice 14 :
Le réseau ci-contre, comporte des conducteurs. La tension UAB vaut 10 V. A D1
B
1. Déterminer la résistance du conducteur équivalent vue des points A et B.
2. Calculer les intensités des courants dans chaque branche et l’intensité du C D2
courant principal I. On donne : les résistances des conducteurs D1 ; D2 ; D3 et D D4
D4 sont respectivement 10 X; 6 X; 4 X et 7,5 X.
D3
Exercice 15 :
On réalise le montage de la figure ci-contre et on note les indications de
l’ampèremètre et du voltmètre pour quelques positions du curseur du
Rh A
rhéostat. On obtient les résultats consignés dans le tableau ci-dessous.
D
I (mA) 27 32 43 57 62 78 85 93
U (V) 1,2 1,4 1,9 2,5 2,8 3,5 3,8 4,2 V
Tracer la caractéristique courant-tension, UMN du dipôle D avec comme sens positif de M vers N dans le dipôle ;
justifier les signes de U et I. Quelle est la nature du dipôle ? Calculer sa résistance.
C
Exercice 16 :
G est un générateur de courant, c’est-à-dire un appareil débitant un R1 R2
C
courant d’intensité I = 3 A, quels que soient les appareils branchés entre A

on
et B. Dans le circuit de la figure ci-contre, formée de quatre conducteurs A B

fid
ohmiques R1 , R2, R3 et R4 tels que R1 = R2 = 5 X , R3 = 30 X et R4 = 10 X. R4 R3

en
1. Indiquer où se trouve le pole positif du générateur et représenter les

sens des courants dans chaque branche du circuit par des flèches.
tie
D
2. Calculer la résistance équivalente au dipôle AB. En déduire la tension
lc
UAB. G
is
sd
3. Compléter le tableau ci-dessous en indiquant le fonctionnement de

chaque appareil. dipôle AC CB AD DB
or
4. Quelle est la valeur de la tension UCD ? I (A)

os
U (V)
p.
e−
m
on
si
te
.c
o m

P6 DIPOLES ACTIFS
Exercice 1 :
1. Qu’appelle-t-on générateur idéal de la tension ?
1.1 Par quelle grandeur est-il caractérisé ? Quelle est son unité ?
1.2 Donner l’expression de la tension entre ses bornes.
1.3 Comment est-il schématisé ?
2. Quelle est l’allure de la caractéristique d’un générateur linaire de tension? Par quelles grandeurs sont-ils
caractérisés ? Unités ?
3. Caractériser le générateur équivalent (E; r) à l’association en série d’une pile (E1; r1) et d’un conducteur ohmique
R. On associe en série deux générateurs (E1 ; r1) et (E2 ; r2) ; caractériser le dipôle équivalent.
Exercice 2 :
La tension mesurée aux bornes d’une pile lorsqu’elle ne débite pas est égale à 4,52 V ; placée dans un circuit, elle
débite un courant de 0,3 A, sa tension aux bornes étant égale à 4,04 V. Déterminer sa f.é.m. E, sa résistance interne
r, l’intensité de court-circuit.
Exercice 3 :
C
on
1. La caractéristique d’une pile a pour équation : UPN = - 0,8 I + 1,5 (avec I en ampère et UPN en V)
1.1 Quelle est sa f.é.m. E, sa résistance interne r, l’intensité du court-circuit ?
fid
1.2 Tracer la caractéristique de cette pile.

en
2. Les paramètres d’un générateur sont : E = 10 V et r = 1,8 X.

tie
2.1 Ecrire l’équation de sa caractéristique courant-tension.

lc
2.2 Représenter cette caractéristique.

is
sd
Exercice 4 :
or
Afin de tracer la caractéristique d’une pile, on la fait débiter dans une résistance variable. Pour chaque position du
os
curseur, on relève les valeurs de UPN, et I.

p.
1. Tracer la caractéristique courant-tension de la pile. UPN (V) 1,08 0,92 0,73 0,55 0,37 0,17 0,08
e−
2. Déterminer l’équation de cette caractéristique et I (mA) 0 20 40 60 80 100 110

m
calculer les paramètres de cette pile.

on
Exercice 5 :
si
On relie une pile de f.é.m. E = 1,5 V et de résistance interne r = 1 V à un conducteur ohmique de résistance R = 2 X.
te
.c
1. Comment mesurer l’intensité du courant traversant la pile ? Faire un schéma du montage et calculer la valeur de I.
o
2. On se place en série avec le conducteur ohmique un rhéostat de résistance Rh (valeur de la résistance avec le
m
reste du circuit). Quelle doit être la valeur de Rh pour que l’intensité I du courant soit divisée par deux ?
Exercice 6 :
Une pile a une f.é.m. de 4,5 V et une résistance interne de 1,6 X.
1. Tracer sa caractéristique courant-tension et déterminer la valeur du courant pour laquelle la caractéristique
couperait l’axe des abscisses.
2. On associe en série avec la pile, un résistor de résistance R =10 X. Quels sont les paramètres du dipôle ainsi
constitué ? Trouver les résultats par une construction graphique d’une part et par le calcul d’autre part.
Exercice 7 :
1. Trois piles identiques (E = 1,5 V ; r = 0,5 X.) sont montées en série.
1.1 Trouver les caractéristiques du générateur équivalent (E’ ; r’).
1.2 Quel inconvénient y’a-t-il à associer des piles en série ?
2. On doit utiliser deux piles de f.é.m. 1,5 V pour faire fonctionner un baladeur.
2.1 Préciser à l’aide d’un schéma les deux manières d’associer en série les deux piles.
2.2 Quelle est l’association nécessaire au fonctionnement du baladeur ? Calculer la f.é.m. de l’ensemble.
Exercice 8 :
Un générateur dont la f.é.m. est 5 V, débite un courant de 1 A dans un conducteur ohmique de résistance R, et un
courant de 0,0505 A dans un conducteur ohmique de résistance 2R. Calculer la résistance interne de ce générateur.
Exercice 9 :
1. Comparer les chutes de tension aux bornes d’une pile (4,5 V;1,5 X) et d’un accumulateur (6 V; 0,02 X) lorsque
ces générateurs débitent un courant de 1 A.
2. Comparer les intensités théoriques de court-circuit. Conclure.
Exercice 10 :
Deux piles (E1 = 4,5 V ; r1 = 1,5 X et E2 = 1,5 V ; r2 = 0,5 X) sont montées en série dans un circuit, et en opposition :
deux pôles de même signe sont reliés ensemble.
1. Utiliser la loi des tensions pour trouver les caractéristiques du générateur unique équivalent à cette association
(E’ ; r’).
2. Pour quelle valeur de E2 l’intensité du courant est-elle nulle ?
Exercice 11 :
Au cours d’une séance de travaux pratiques, nous avons réalisé le tracé UPN (V)
de la caractéristique d’une pile. 1,5
1. Le générateur est-il un générateur linéaire non idéal ? Pourquoi ?
C
2. Donner le schéma du montage permettant de tracer cette

on
caractéristique. 0,76
fid
3. Déterminer la force électromotrice et la résistance interne de cette pile.

en
4. Par quelle association ce dipôle peut-il être modélisé ? 0 300 I (mA)

tie
lc
Exercice 12 :
is
On veut déterminer la caractéristique d’une pile « Leclanché ».

sd
UPN (V) 1,08 0,92 0,73 0,55 0,37 0,17 0,08

1. Indiquer le schéma du montage à réaliser. I (mA) 0 20 40 60 80 100 110
or
2. On a relevé les valeurs de UPN et I pour chaque couple de

os
mesures (tableau de valeurs).

2.1 Tracer la caractéristique courant-tension de cette pile.
p.
e−
2.2 Etablir l’équation de fonctionnement correspondante. Déterminer la force électromotrice et la résistance

interne de cette pile.
m
on
Exercice 13 :
si
On veut tracer la caractéristique d’une batterie d’accumulateurs. L’expérience montre que l’on obtient des mesures
te
reproductibles en opérant par des valeurs décroissantes de l’intensité du courant débité. On obtient les résultats
.c
o
suivants :
m
UPN (V) 6,20 6,22 6,24 6,26 6,29 6,30 6,32 6,36 6,40
I (A) 10 8 6 4 2 1,5 1 0,5 0
1. Tracer la caractéristique I  f (I) = UPN.

L’axe des tensions sera gradué de 6,0 V à 6,5 V, à l’échelle de 2 cm  0,1V.
L’axe des intensités sera gradué de 0A à 10A, à l’échelle de 1cm  1A.
2. La caractéristique peut être linéarisée sur un intervalle que l’on précisera. Etablir l’équation de fonctionnement
correspondante ; déterminer la f.é.m. E et la résistance interne qui correspondent à ce domaine d’utilisation.
Exercice 14 :
Dans le montage représenté ci-contre le générateur a pour f.é.m. E = 14 V
et pour résistance interne r. Les résistances R1 et R2 ont pour valeurs I1 I I2
respectives 5 X et 10 X. L’intensité I2 est égale à 1 A. R1 (E, r)
1. Déterminer les valeurs des intensités dans chaque branche ainsi que le R2
sens des courants.
2. Calculer la résistance interne du générateur.
P7 AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL
Exercice 1 :
1. pour amplifier une tension Ue, on applique à l’entrée d’un Amplificateur Opérationnel (A.O). La tension de sortie
est Us = +20 Ue. S’agit-il d’un montage amplificateur inverseur ? Quelle est la valeur du facteur d’amplification ?
2. Le gain en tension d’un montage est G = - 8.
2.1 Justifier l’absence d’unité dans cette donnée.
2.2 Calculer la valeur de a tension d’entrée, lorsque la tension de sortie prend successivement les valeurs
10 V et 6,5 V.
2.3 Calculer la valeur de la tension de sortie lorsque la tension d’entrée prend successivement les valeurs
1,5 V et – 0,22 V.
Exercice 2 :
Dans un montage amplificateur inverseur, le conducteur ohmique reliant l’entrée inverseuse à la sortie S a pour
Resistance R2 = 100 kX. Quelle est la valeur de la résistance R1 du conducteur ohmique reliant l’entrée non
inverseuse à l’entrée E- de l’A.O sachant que le facteur d’amplification de ce montage est égala à – 10 ?
Exercice 3 : Us(V)
C
on
En travaux pratiques, un élève a tracé la courbe donnant la tension de sortie + 10

US d’un amplificateur en fonction de la tension d’entrée Ue (voir figure).
fid
1. Déterminer le facteur d’amplification. L’amplificateur est-il inverseur ? - 12 - 8 0 8 12 Ue(V)

en
2. A quel domaine doit appartenir la tension d’entrée pour être amplifiée ? - 10

tie
3. Quelles sont les valeurs des tensions de saturation ?

lc
is
Exercice 4 :
sd
On réalise le montage ci-dessous, en choisissant des conducteurs ohmiques de résistances égales R1 et R2.
or
La tension d’entrée est fournie par un générateur de tension

os
R1
continue : Ue = 6 V.
p.
1. Prouver que les deux conducteurs ohmiques sont parcourus par

e−
le meme cournat électrique. B

R1 -
m
2. Quel est le potentiel des points A et B ?

+
on
3. En deduire les expressions de la tension d’entrée Ue et de l Ue Us

A +
si
tension de sotie Us en fonction de R1, R2 et I.

te
4. Quel est le coefficient d’amplification ? Justfier le nom du

.c
montage. On donne : R1 = R2 = 15 kX.

om
Exercice 6 :
R1
Dans le schéma ci-dessous, on considère que l’A.O fonctionne en
régime linéaire et que le générateur est idéal de f.é.m. E.
1. Rappeler les lois relatives à l’A.O en régime linéaire. N
R1 -
2. En appliquant les lois des tensions, exprimer la tension UNM. +
3. Montrer que la tension aux bornes de R1 est égale à Ue et en +
déduire le sens du courant dans R1.
4. En utilisant la loi des nœuds en N, trouver le sens du courant I2 qui Ue Us
circule dans R2 puis déterminer son expression. Appliquer la loi E
d’Ohm et la loi des tensions pour montrer que Us = (R1 + R2) I.
R1  R2
5. Montrer que U s  U e . En déduire le facteur d’amplification G. Justifier le nom d’amplificateur non-
R1
inverseur donné à ce montage.
6. Calculer G et Us lorsque R1 = 1 kX ; R2 = 2,2 kX ; r = 1 X et E = 1,5 V.

PHYSIQUE
MECANIQUE
P8 GENERALITES SUR LE MOUVEMENT
Exercice 1 :
Un mobile M se déplace sur un axe x’x ; son abscisse dépend de la date t : x = - 3t + 68 {x : mètre ; t : seconde}
1. Que représente la valeur numérique - 3 ? Quelle est la nature du mouvement?
r
2. Exprimer le vecteur vitesse V et donner sa norme.
Exercice 2:
On a relevé au compteur d’une voiture la vitesse à partir d’un
t (s) 0 1 2 3 4 5
C
instant t = 0 (voir tableau).

on
1. Représenter le graphique v = f(t). Que constatez-vous ? v (m/s) 20 22,2 24,4 26,6 28,8 31
fid
2. Trouver une relation simple entre v et t.

v
en
3. Trouver la valeur numérique de l’accroissement de vitesse par seconde ; préciser l’unité.

t
tie
lc
Exercice 3 :
is
Deux mobiles M1 et M2 se déplacent sur un axe x’x ; leurs

sd
abscisses dépendent de la date t : t(s) 0 5 10 15 20 25 30 35 40

or
x1 = 0,02 t2 et x2 = - 3 t + 68. x1 (m)

os
1. Remplir le tableau ci-contre. x2 (m)

p.
2. A quelle date les mobiles se croisent-ils ?

e−
3. Quelle est la distance M1M2 lorsque t = 10 s? t = 30 s?

m
on
Exercice 4 :
si
Un automobiliste est immobilisé dans une file de voitures à 300 m d’un feu rouge. Le feu passe au vert ; il n’y restera
te
qu’une minute. La file démarre à la vitesse moyenne de 15 km/h.

.c
1. L’automobiliste a-t-il une chance de passer ?

o
2. Déterminer sa position par rapport au feu lorsque celui-ci passera au rouge.

m
Exercice 5 :
Deux voitures se déplacent sur une même route horizontale, dans le même sens. La première a une vitesse v = 60
km.h-1 et la seconde une vitesse v’ = 90 km.h-1. Les deux conducteurs partent au même instant d’un lieu A et se
dirigent vers un lieu B distants de 120 km.
1. Quelle est la position de chaque voiture 20 minutes après le départ ?
2. À cet instant le premier conducteur accélère et les 2 voitures arrivent simultanément en B
2.1 Quelle est la durée du voyage pour les deux voitures ?
2.2 Déterminer la vitesse v1 de la première voiture pendant la deuxième partie du trajet.
Exercice 6:
Une voiture A part de Ziguinchor à 11 h 56 min pour aller à Sénoba distants de 120 km.
Il roule à la vitesse moyenne de vA= 110 km.h-1. A 12 h 11 min, une autre voiture B part de Sénoba pour Ziguinchor
en roulant à la vitesse moyenne de vB = 70 km.h-1.
1. À quelle date les deux voitures arrivent-elles à destination ?
2. À quelle date et à quelle distance de Ziguinchor la rencontre a-t-elle lieu ?
Exercice 7 :
Un cycliste (a) quitte une ville A à 8 h et se dirige vers une ville B distante de 60 km à la vitesse VA = 25 km.h-1.Un
autre cycliste (b) quitte la ville B à 8 h 15 min et se dirige vers la ville A à la vitesse VB = 30 km.h-1.En adoptant la
démarche suivante :
- prendre pour origine des espaces une ville C situé à 20 km de A entre A et B ;
- orienter l’axe des abscisses dans le sens A vers B ;
- prendre l’origine des dates l’instant où le cycliste (a) quitte la ville A ;
1. Etablir les équations horaires des deux cyclistes.
2. Déterminer la date d’arrivée de chaque cycliste.
3. Déterminer la date et le lieu de rencontre des deux cyclistes.
4. Calculer la distance séparant les deux cyclistes à 8 h 15 min.
Exercice 8 :
On considère les mouvements supposés rectilignes et uniformes de trois cyclistes entre Ziguinchor et Bignona ;
villes distantes de 30 km. Le premier et le deuxième font le trajet Ziguinchor - Bignona avec les vitesses respectives
v1 = 15 km.h-1 et v2 = 20 km.h-1. Le troisième fait le trajet Bignona - Ziguinchor avec la vitesse v3 = 30 km.h-1
1. Calculer la durée mise par chaque cycliste pour faire le trajet entre ces deux villes.
2. À quels instants le troisième cycliste croise t-il le premier et le deuxième dans le cas où :
- ils partent en même temps ?
- le premier cycliste part 10 minutes avant les deux autres ?
C
3. Dans le cas où le premier cycliste part 10 minutes avant les deux autres, déterminer la date de rattrapage du
on
premier par le deuxième cycliste. Quelle est alors l’abscisse des deux cyclistes ?
fid
en
Exercice 9 :
tie
Un car (C) et un taxi (T) font le trajet entre deux villes A et B en partant au même instant. La distance séparant les
lc
deux villes est de 150km. On suppose qu’au cours de leurs trajets, les mouvements sont rectilignes et uniformes.
is
Le car fait le trajet dans le sens A  B avec une vitesse constante Vc = 100 km.h-1.
sd
Le taxi fait le trajet dans le sens B  A avec une vitesse constante Vt = 130 km.h-1.
or
1. Déterminer les équations horaires des deux mouvements.

os
2 Déterminer la date de croisement du car et du taxi ainsi que l’abscisse du lieu de croisement.
p.
3. Quelle est la durée de parcours du car et du taxi ainsi que les distances parcourues par le car et le taxi entre
e−
l’instant de départ et l’instant de croisement.

m
on
Exercice 10 :
Abou et Rita se dirigent, à vélo, l’un vers l’autre sur une route rectiligne longue de 30 km. Abou roule à la vitesse V1=
si
15 km.h-1 et Rita à la vitesse V2 = 12 km.h-1. On prendra pour origine des dates le départ de Rita et pour origines des
te
.c
abscisses sa position initiale.

o
1. On suppose que Abou et Rita partent en même temps :

m
1.1 Ecrire l’équation horaire de chaque mouvement.

1.2 Déterminer la date et le lieu de rencontre de Abou et Rita.
1.3 Tracer les représentations graphiques des équations horaires et vérifier graphiquement les résultats
obtenus au 1.2.
2. On suppose maintenant que Rita part 12 minutes avant Abou :
2.1 Réécrire l’équation horaire de chaque mouvement.
2.2 Déterminer la date et le lieu de rencontre de Abou et Rita.
2.3 A quelle vitesse Rita devrait-elle rouler pour que la rencontre ait lieu à mi chemin ?
Exercice 11 :
Un disque homogène de masse m = 1 kg de rayon R = 20 cm de centre O, tourne à la vitesse constance de 25 tours
par minute, autour d’un axe passant par son centre et perpendiculaire à son plan (figure 1).
1. Quelle est la nature du mouvement du disque ?
2. Calculer la vitesse angulaire de rotation  du disque en rad/s.
3. On colle deux pastilles A1 et A2 considérées come ponctuelles, sur le disque à de distances r1 et r2 de l’axe ∆
(figure 2). Donner les caractéristiques des vitesses A1 et A2.
Exercice 12 :
Un canot descend un fleuve. Sa vitesse par rapport à l’eau est égale à 30 km.h-1. Le courant d’eau a une vitesse
constante de 5 km.h-1. A un certain moment une bouée tombe du canot. Le navigateur s’en aperçoit une demi-heure
plus tard et fait un demi-tour. Sachant qu’au retour le moteur fonctionne au même régime qu’à l’aller, quelle distance
aura parcourue la bouée au fil de l’eau lorsque le navigateur la rattrapera ?
Exercice 13 :
Sur une table à coussin d’air, on a relevé la trajectoire d’un point A d’un mobile. Sur l’enregistrement de la figure ci-
dessous, An représente les positions successives du mobile à différentes dates tn. On note que l’intervalle de temps
entre deux dates successives est le même et est égal à T = 0,05 s.
. . . . . . .
A1 A7
1. Calculer les vitesses moyennes de A entre t1 et t3; t1 et t5 ; t1 et t7.
2. Donner les valeurs des vitesses instantanées V2, V4 et V6 aux dates t2, t4 et t6
3. En prenant comme échelle : 1 cm  10 cm.s-1, représenter sur la figure, les vecteurs vitesses instantanées
r
V2 et V6 .
3. Calculer les valeurs : V3 - V2 ; V4 - V3 ; V5 - V4 ; V6 - V5. Quelle est la nature du mouvement ?
C
Exercice 14 :
on
On photographie la chute d’une bille suivant la verticale, à intervalles de temps réguliers T = 2 ms.
fid
Les distances d parcourues par la bille depuis son départ sont t 0 T 3T T4 5T 6T 7T 8T

en
indiquées dans le tableau ci-contre :

d (m)
tie
1. Déterminer la vitesse moyenne de la bille entre 0 et 8 T.

lc
2. Quelle est sa vitesse instantanée à la date t2 = 2 T, à la date t6 = 6 T ?

is
r r
sd
3. Représenter les vecteurs-vitesses V1 et V6 . Quelle est la nature du mouvement ? Echelle : 1 cm  1m / s

or
os
Exercice 15 :
Deux voitures A et B font le trajet entre deux villes M et N. La distance séparant les deux villes est d. On suppose
p.
qu’au cours de leurs trajets, les mouvements sont rectilignes. La voiture A fait le trajet dans le sens M  N avec une
e−
vitesse constante V1. La voiture B fait le trajet dans le sens N  M avec une vitesse constante V2. La vitesse V2 est
m
on
le double de la vitesse V1.

1. Dans le cas où les deux voitures, déterminer la date t1 de croisement des deux voitures en fonction de V1 et de d.
si
2 Dans le cas où la voiture A part le premier avec une avance de ∆T sur B, déterminer la date t2 de rencontre des
te
.c
deux voitures en fonction de V1, d et ∆T.

o
3. Calculer t1 et t2 pour d = 100 km ; V1 = 60 km ; ∆T= 0,25 h

m
Exercice 16 :
Un bateau traverse un fleuve large de 100 m ; sa direction est maintenue perpendiculaire à celle du courant d’eau et
sa vitesse par rapport à l’eau est VB/E = 12 km.h-1 ; celle du courant par rapport aux berges du fleuve est Vc/b = 4
km.h-1.
1. Calculer puis déterminer par construction graphique la vitesse VB/b du bateau par rapport à un observateur situé
sur la berge du fleuve.
2. En déduire la direction suivie parle bateau.
3. Sachant que le mouvement du bateau par rapport aux berges du fleuve est un mouvement rectiligne uniforme
VB/b, calculer la durée de la traversée.
Exercice 17 :
Un cabinet dentaire est équipé d’une fraise de diamètre 2,5 mm et qui tourne à 1,21.105 tr/min. Un dentiste travaille
sur une dent pendant 20 s avec la fraise.
1. Exprimer la vitesse angulaire de la fraise : - en tours par seconde ; - en radians par seconde.
2. Quelle longueur un point de la périphérie de la fraise parcourt-il ?
P9 GENERALITES SUR LES FORCES
Exercice 1 :
Un dynamomètre est gradué en newton. On tire sur l’une de ces extrémités jusqu’à ce que l’index se soit déplacé de
2,5 cm en indiquant 0,5 N. Quelle est la raideur du ressort du dynamomètre ?
Exercice 2 :
Deux boules sphériques sont placées dans un récipient cylindrique (voir figure).
Faire l’inventaire des forces appliquées.
Exercice 3 :
r r r r r r r r r r
Dans un repère (O, i , j ), on donne : F1  2i  3 j ; F2  3i  2 j et i  j  1N
r r
1. Représenter soigneusement les forces F1 et F2 .Calculer l’intensité de chaque force.
r r r r r
2. Déterminer les caractéristiques de la force F  F1  F2 . Que vaut l’angle   (i , F ) ?
Exercice 4 :
r r r r
C
Soit dans un repère orthonormé (O, i , j ) une force F d’intensité 20 N faisant un angle  avec O i .
on
r r r
1. Représenter F si   (i , F )  30 0
fid
r r
2. Déterminer les composantes Fx et Fy dans le repère (O, i , j ). On prendra comme l’échelle : 1cm  5N.
en
tie
Exercice 5 :
lc
r r r
is
Trois forces F1 ; F2 ; F3 ont les intensités suivantes : F1 = 10 N ; F2 = 20 N et F3 = 15 N. Construire dans un repère

sd
r r r r r r r r r r r r r r r
orthonormé (O, i , j ) les forces F1 ; F2 ; F3 et F  2F1  F2  F3 telle que ( i , F1 ) = 30 0 ; ( i , F2 ) = 450 ; ( i , F3 )
or
r
= 1500. Déterminer à partir de la construction vectorielle les caractéristiques de F .
os
p.
Exercice 6 :
e−
r r r r r r r r
Dans un repère orthonormé (O, i , j ), on donne : F1  3i  2 j et F2  2i  j .
m
r r
on
1. Représenter les forces F1 et F2 . (1cm  1N). Calculer la norme de chaque force.

r r r
si
2. Déterminer par le calcul, puis graphiquement la force F  F1  F2 .

te
r r r r r
3. Déterminer graphiquement la force F , définie par F ,  F1  2 F2  0
.c
o
y
m
Exercice 7: r r
On considère un repère orthonormé (O, i , j ) où on a représenté un vecteur r
r r r
force tel que : F = 2 i +2 j . F
1. Déterminer Fx et Fy ainsi que l’intensité F de la force.
r r r r r r
2. Calculer l’angle β = ( j , F ). On prendra i  j  1N j i
O x
Exercice 8 :
r r r r r
On considère trois forces F1 ; F2 et F3 appliquées à l’origine O d’un repère (O, i , j ). Ces forces sont
r r r r r r r
caractérisées par : F1 = 20 N ; F2 = 30 N et F3  2 F1  F2 . On donne les angles : ( i , F1 ) = 300 et ( F1 , F2 ) = -1650
r r r
1. Représenter F1 ; F2 et F3 .
r r r
2. En déduire graphiquement la norme du vecteur F3 et l’angle ( i , F3 ). (Echelle : 1cm  10 N).
r r r
3. Déterminer par le calcul, la norme du vecteur F3 ainsi que et l’angle ( i , F3 ).

Exercice 9 :
   
r r r r r r r
Trois forces coplanaires F1 ; F2 et F3 , de même intensité F = 40 N, font entre elles les angles F1 , F2 = F2 , F3
r r r r r r r r
= 60°. Déterminer F  F1  F2  F3 et F /  F1  F2  F3 .
Exercice 10 :
r r r r
Deux forces F1 et F2 d’intensités respectives F1 = 0,2 N et F2 = 0,4 N, font entre elles un angle ( F1 , F2 ) = 120 0.
r r
1. Représenter F1 et F2 . (Echelle : 3 cm  0,2 N)
r r r
2. Déterminer graphiquement l’intensité de la force F3 = F1 + F2 . Retrouver le résultat par le calcul.
r r r r r r r
3. Déterminer graphiquement l’intensité de la force F telle que F + F1 + F2 = 0 . Déterminer l’angle ( F , F3 ).
Exercice 11 :
r r r r r r r r
Soit un solide soumis aux forces F1 , F2 etF3 tel que F1  20 N ; F2  30 N et F3  2 F1  F2 .On donne les
r r r r
angles (i , F1 )  30 0 et (i , F2 )  45 0 .
r r r r
1. Construire dans un repère orthonormé F1 , F 2 et F 3 ; en déduire les caractéristiques de F3 .
r
2. Déterminer par le calcul les caractéristiques de F3 .
C
on
Exercice 12 :
r r r r r r r r
fid
Un solide est soumis à trois forces F 1 , F 2 et F 3 tel que F1  20 N ; F2  30 N et F3  2 F1  F2 . On

en
r r r r
donne les angles (i , F1 )  300 et ( F1 , F2 )  1650 .
tie
r r r r r
lc
1. Construire dans un repère orthonormé ( O, i , j ) les vecteurs F1 , F2 et F3 ; en déduire graphiquement la norme du

r r r
is
vecteur F3 et l’angle (i , F3 ) . Echelle : 1cm  10 N.

sd
r r r
2. Retrouver pa1r le calcul la norme de F3 ainsi que l’angle (i , F3 ) .
or
os
p.
Exercice 13 :
r r r r r
On considère trois forces F1 , F 2 et F 3 appliquées à l’origine O d’un repère O, i , j  caractérisées par :
e−
    r r
 
r r r r r r r
m
F1  30 N ; F2  40 N ; F3  50 N et  1  i , F1  60 0 ;  2  i , F2  160 0 ;  3  i , F3  450
on
r
si
1. Représenter ces vecteurs forces et déterminer la somme vectorielle graphiquement puis par calcul la force F telle
 
r r r r r r r
te
que F  F1  F2  F3 . Préciser F et l’angle   i ; F . On donne : échelle 1 cm  10 N .

.c
r
o
2. Déterminer, graphiquement et par calcul, les caractéristiques du vecteur force F4 tel que :
m
r r r r r
F1  F2  F3  F4  0 .
Exercice 14 :
r r r
Dans un repère orthonormé O, i , j  , l’unité de la force est le newton, on donne : F1  2i  3 j et
r r
r r r
F2  i  2 j .
r r
1. Représenter les forces F1 et F2 puis calculer leur norme.
r r
  r r
2. Déterminer ces angles i , F1 et F1 , F2 . 
 
r r r r r
3. Tracer la force F  2 F1  4 F2 . Déterminer graphiquement l’angle i , F .
r r r r r
4. Représenter la force F ' telle que F '  F1  F2  0 .

P10 LE POIDS - LA MASSE. RELATION ENTRE POIDS ET MASSE
Exercice 1 :
On dispose d’une balance sensible au centigramme et d’une boite de masse marquée de 500 g à un milligramme.
On désire peser un corps de masse x. On prend la masse de 500 g comme tare. Enumérer dans l’ordre
chronologique et décrire toutes les opérations effectuées dans la double pesée de Bordas en supposant que la
masse exacte est x = 322,24 g.
Exercice 2 :
Un cylindre de plomb a la même masse qu’un cylindre d’aluminium. Calculer le rapport des rayons de ce cylindre
sachant qu’ils ont la même hauteur. On donne les masses volumiques respectives de l’aluminium et du plomb :
 Al  2,7.10 3 kg / m 3 et  Pb  11,3.10 3 kg / m 3 .
Exercice 3 :
Une alliance d’alliage d’or et de cuivre, a une masse de 5 g et un volume de 0,35 cm3. Déterminer les pourcentages
en masse, d’or et de cuivre. On donne les masses volumiques de l’or et du cuivre:  or  19,5 g / cm 3 et
 cuivre  8,3.9 g / cm 3
C
on
fid
Exercice 4 :
On verse une certaine masse M d’eau pure dans un long tube cylindrique fermé à une de ses extrémités. Le tube est
en
alors rempli sur une hauteur de 80 cm. On recommence la même opération avec la même masse d’un liquide L qui
tie
rempli le tube sur une longueur de 92 cm. Quelle est la masse volumique de L ? Sachant que M vaut 100 kg, quel
lc
est le rayon du tube ? On donne :  eau = 1g/cm3.

is
sd
Exercice 5 :
or
Le dispositif d’accrochage d’une enseigne E, de masse m, est représenté par A B

os
la figure ci-contre. Représenter qualitativement (direction, sens, point

p.
d’application) les forces extérieures qui s’exercent sur l’ensemble {F1, E, F2}.
e−
m
Exercice 6 :
on
On considère un solide de masse m qui glisse sur un plan incliné d’un angle  par rapport à l’horizontale. Faire
si
l’inventaire des forces extérieures qui s’exercent sur le solide puis les représenter en considérant les deux cas
te
suivants : - le plan est parfaitement lisse ; - le plan est rugueux.

.c
o m
Exercice 7 :
Une boule de pétanque, de masse m = 650 g, est immobile sur une table horizontale (voir schéma).
1. Représenter les forces extérieures qui s’exercent sur la boule. boule
2. Quels types de forces s’exercent sur cette boule ?
3. Calculer l’intensité du poids de la boule. (On prendra g = 9,81 N.kg-1) table
4. Sur un schéma clair, représenter à l’échelle ces forces. Echelle : 1 cm  2 N
5. Représenter les forces exercées par la table sur le sol. sol
Données : masse de la boule m = 650 g et g = 9,81 N/kg.
Exercice 8 :
Un solide de masse m est suspendu à un fil de masse négligeable (figure).
1. Faire l’inventaire des forces extérieures au système en considérant :
- le solide comme système ;
- le fil comme système ;
2. Dans le cas où on considère comme système le solide et le fil, faire l’inventaire des forces intérieures au système.
Que peut-on dire de leur somme ? Justifier.

Exercice 9 :
Un astronaute de masse M = 70 kg et une caisse hermétique de masse m = 40 kg, font partie d’une expédition
lunaire.
1. Calculer les intensités des poids de l’astronaute et de la caisse sur la terre et sur la lune.
2. À l’aide de deux schémas, représenter les poids de la caisse sur la terre et sur la lune. On donne les intensités de
la pesanteur terrestre et lunaire : gT = 9,81 N.kg-1 ; gL= 1,62 N.kg-1. Echelle : 1cm  50N
Exercice 10 :
Un cylindre de rayon r est formé de deux parties : une partie en bois de longueur l1 et de masse volumique 1 et une
partie en alliage de longueur l2 et de masse volumique  2 . Exprimer en fonction de 1 ,  2 , l1 et l2 la masse
volumique  du cylindre. Calculer  . On donne : 1  0,8 g / cm 3 ;  2  8 g / cm 3 ; l1  10cm; l 2  1cm et volume
d’un cylindre de rayon r et de longueur l : v =  r2l
Exercice 11 :
1. Un objet cylindrique en cuivre a pour rayon r = 0,5 cm et pour hauteur h = 5 cm. Calculer sa masse et en déduire
son poids. (g = 9,81 N.kg-1)
2. Déterminer l’arête a d’un objet cubique en or de même masse que l’objet cylindrique précédent.
3. Une alliance d’alliage d’or et de cuivre a une masse de 5 g et un volume de 0,35 cm3. Déterminer les
pourcentages en masse d’or et de cuivre.
C
On donne : volume du cylindre v = πr2h ; volume du cube v’ = a3 masse volumique de l’or : ρOr = 19,5 g/cm3; masse
on
volumique du cuivre : ρCu = 8,9g/cm3

fid
en
Exercice 12 :
tie
Un récipient cylindrique en cuivre, ouvert à sa partie supérieure, a les dimensions suivantes : diamètre : 20 cm ;
hauteur intérieure : 15 cm ; épaisseur du métal : 5 mm.
lc
is
1. Quel est le poids du récipient à vide ?

sd
2. Quel est son poids au même lieu lorsqu’il est plein d’alcool?
or
On donne : masse volumique du cuivre est 8900 kg/m3 ; masse volumique de l’alcool 790 kg/m3 ; volume d’un
cylindre de rayon r et de hauteur h : v =  r2h
os
p.
Exercice 13 :
e−
1. Calculer l’intensité du poids d’un vaisseau spatial de masse 2 t sur Terre, puis sur la Lune. On donne les
m
intensités de la pesanteur terrestre et lunaire : gT = 9,81 N.kg-1 ; gL= 1,6 N.kg-1

on
2. En fait au voisinage de la Terre, g varie avec l’altitude h selon la loi approximative : gh  g0  3,08.106 h (SI) avec
si
te
g0 = 9,81 N.kg-1
.c
2.1 En déduire la loi de variation de l’intensité du poids.

o
g0  gh
m
2.2 Pour quelle altitude hi, la variation relative est-elle égale à 0,5% ?
g0
Exercice 14 :
En un point M situé à la distance OM = R du centre de la Terre, l’intensité de la pesanteur gM est proportionnelle à
1 gM R02
pour R  R 0 (R0 est le rayon de la terre). Cette propriété se traduit par la relation suivante :  où g0 est
R2 g0 R2
l’intensité de la pesanteur au niveau du sol.
1. Compléter le tableau ci-contre : R
2. Représenter graphiquement les variations de gM en fonction R0 1 1,01 1,1 1,5 2 2,5
de R/R0.
3. À quelle altitude, le poids d’un corps est-il 10 fois plus petit h = R – R0
qu’au sol ? gM
4. Jusqu’à quelle altitude peut-on considérer que le poids d’un corps est constant à 1% prés ? On donne : g0 = 9,81
N.kg-1 et R0 = 6400 km ; l’altitude h s’exprime en m et gM en N.kg-1

Exercice 19 :
Un parachutiste tombe sans ouvrir son parachute. Son mouvement par rapport à la Terre est vertical et uniforme.
1. Donner la nature et les caractéristiques des forces qui s’exercent sur le parachutiste si le parachutiste a une
masse m = 92 kg ?
2. S’approchant du sol, le parachutiste ouvre son parachute.
2.1 Comment évolue sa vitesse de chute ?
2.2 Quelle action est responsable de cette évolution ?
Exercice 15 :
L’intensité de gravitation terrestre, assimilable au champ de pesanteur, varie avec l’altitude h selon la relation :
R2  R  6370km
g  g0 
R  h 2  g 0  9,81N .kg 1
1. Calculer la force d’attraction gravitationnelle, assimilable au poids d’un engin spatial de masse m = 1 tonne qui
décrit autour de la terre une trajectoire circulaire à l’altitude h = 400 km. Comparer le poids de l’engin sur la terre.
2. La distance Terre-Lune est d’environ 380.000 km. A la surface de la Lune, le champ de gravitation à une intensité
g’0 = 1,62 N.kg-1. Le véhicule spatial est posé sur le sol lunaire : comparer l’attraction gravitationnelle exercée par la
Lune (poids lunaire) à celle qu’exerce encore la Terre.
3. Indiquer la position du point situé entre la Terre et la Lune ou les attractions terrestre et lunaire se compensent.
L’intensité de la pesanteur lunaire gL varie avec l’altitude selon la même loi que g. On donne : RLune est RL =1740 km.
C
on
Exercice 16 :
fid
A un ressort suspendu par l’une de ses extrémités on accroche différentes masses marquées et on note
en
l’allongement provoqué. Le tableau suivant donne les différentes mesures :

tie
1. Tracer le graphique donnant l’intensité du poids des masses en M (g) 100 150 280 450
fonction de l’allongement ∆ l = l  l 0  . l  l 0 (cm) 4 6 11,2 18
lc
is
2. En déduire la raideur k du ressort.

sd
3. Une masse suspendue à l’extrémité du ressort provoque un allongement de 8 cm. Quelle est la masse du corps
or
suspendue ?
os
p.
Exercice 17 :
e−
On accroche un dynamomètre à l’une des extrémités d’un ressort, l’autre extrémité étant fixe. L’action du
m
dynamomètre sur le ressort provoque l’allongement de ce dernier. Une règle graduée permet de mesurer la longueur
on
l du ressort pour différentes valeurs F de la force exercée par le dynamomètre. On obtient les résultats suivants :
si
1. Représenter, sur papier millimétré, ces différents couples de mesures F (N) 3 5 8 10

te
avec F en ordonnées et l en abscisses. l (cm) 11,2 12 13,2 14

.c
o
2. Déterminer la fonction F = g ( l ) qui relie l et F, la longueur à vide l 0 du ressort et sa constante de raideur.

m
Exercice 18 :
1. Un ressort de longueur à vide l0 est accroché à un point un fixe O. A l’autre extrémité libre A du ressort, on
suspend un objet de masse m = 0,05 kg ; on note un allongement de longueur l  0,6cm .
r
1.1 Donner les caractéristiques de la tension T exercée par le ressort au point A.
r r
1.2 En choisissant l’échelle de 1 cm  0,25 N, représenter tension T et le poids P .
r
2. Pour différentes valeurs de m, on mesure l’allongement l  l  l 0 du ressort et on détermine la norme de T qu’il
exerce en A. Les résultats sont consignés dans le tableau ci-contre :
2.1 Tracer la courbe T = f ( l ). Echelle : {abscisse : 0,4 cm  1 cm ; ordonnée : 0,25 N  1 cm}
2.2 Déduire du graphe la raideur K du ressort.
2.3 Déterminer graphiquement la valeur de la tension du ressort pour l1  2,8cm . On donne g = 10 N.kg-1
T (N) 1 1,5 2 2,5 3 3,5

l (cm) 1,2 1,8 2,4 3 3,6 4,2

P11 EQUILIBRE D’UN SOLIDE SOUMIS A DES FORCES NON PARALLELES
Exercice 1 :
Un ressort est suspendu à un support en un point A ; à son autre extrémité B est accroché un objet de masse 100 g,
l’ensemble est en équilibre.
1. Représenter les forces qui s’exercent sur l’objet.
2. Représenter les forces qui s’exercent sur le ressort en choisissant judicieusement votre échelle.
Exercice 2 :
Un solide de masse 2 kg peut glisses sans frottement sur un plan incliné faisant un angle de 300 avec l’horizontale.
r
On le maintient immobile en exerçant une force F parallèle au plan incliné. A quelles forces est soumis le solide ?
Calculer F.
Exercice 3 :
Le triage magnétique sert à séparer le fer d’autres matériaux non magnétiques à l’aide d’un aimant. Quelle force
minimale doit exercer l’aimant sur une bille de fer de rayon 1 mm pour la soulever verticalement ?
 fer  5600kg.m 3
C
on
Exercice 4 :
fid
Neufs ressorts identiques se trouvent sous le siège d’un fauteuil. Une personne dont la masse est de 50 kg s’assoit
en
sur le fauteuil. Sachant que le poids de la personne est reparties exactement sur les neufs ressorts et que la raideur
d’un ressort est 2000 N.m-1, de quelle longueur se raccourcit chacun des ressorts ?
tie
lc
Exercice 5 :
is
sd
Un anneau de dimensions négligeables est maintenu par l’intermédiaire de deux ressorts R1 et R2. Le ressort R1
mesure à vide 20 cm, sa constante de raideur K1 = 20 N.m-1 ; le ressort R2 = mesure à vide 15 cm, sa constante de
or
raideur K2 = 10 N.m-1.
os
On tend l’ensemble, de manière à avoir les deux ressorts horizontaux. R1 R2

p.
La distance O1O2 est alors 60 cm. Déterminer la tension des deux O1 O2

e−
ressorts et leur allongement respectifs. l1 l2

m
on
Exercice 6 :
si
1. U n ressort a une longueur à vide égale à 15 cm. On suspend à ce ressort un solide S de masse 100 g. A
te
l’équilibre la longueur du ressort est 17,8 cm. L’intensité de la pesanteur est 9,8 N.kg-1. Calculer la raideur de ce
.c
ressort.
om
2. On détache le solide S et on le remplace par un autre solide S’ de masse m’. A l’équilibre, la longueur du ressort
est de 20,3 cm. Déterminer m’. Le ressort parfaitement élastique tant que sa longueur n’atteint pas le double de sa
longueur à vide. Définir son domaine d’élasticité en calculant son allongement maximal et sa tension maximale.
3. Le solide S’ suspendu au ressort. En équilibre. On amène sous S’ un plateau avec lequel on soulève
r
verticalement S’ de 2,6 cm. Dessiner la force R exercée par le plateau sur S’ puis déterminer son intensité.
Exercice 7 :
1. Trois cordes sont accrochées en un point O ; trois enfants tirent chacun sur une corde avec la même force. Quel
est à l’équilibre, la valeur de l’angle entre deux cordes ?
2. Même question mais les deux enfants exercent deux forces égales F1 = F2 et le troisième exerce une force
d’intensité F3  F2 2  F1 2 .
Exercice 8 :
Une échelle est posée sur un mur. Il n’ya pas de force de frottement entre le mur et l’échelle. Peut-elle se tenir en
équilibre ? Si oui, calculer l’intensité des forces exercées sur l’échelle de largeur 4,8 cm, de masse 12 kg et faisant
un angle de 200 avec la verticale.
Exercice 9 :
1. Un anneau de masse négligeable est soumis à l’action de trois forces non parallèles. r
Rappeler les conditions nécessaires d’équilibre de ce solide. F2
r r r r r
2. On exerce sur l’anneau les forces F1 ; F 2 et F 3 . Les forces F 1 et F 2 sont perpendiculaires r
r
et ont pour intensités F1 = 400 N ; F2 = 300 N. Déterminer les caractéristiques de la force F3 à F1
exercer sur l’anneau pour qu’elle soit en équilibre. Echelle : 1 cm  100 N
Exercice 10 :
Une bille d’acier pesant 0,1 N est suspendue à un fil. Elle est attirée par un aimant
r
qui exerce sur elle une force horizontale F , puis elle s’immobilise et le fil fait un r
 T
angle  = 8 0 avec la verticale.
r
1. Déterminer l’intensité de la force F qui s’exerce sur l’aimant. r
F
2. Donner l’expression de la tension du fil en fonction de P et  . En déduire sa r
valeur numérique. P
Exercice 11 :
Pour chacun des cas pour les figures ci-contre, représenter toutes les forces
.
extérieures qui s’exercent sur le solide S de masse m :
- 1er cas : le solide S est une caisse tirée par un fil ; il remonte un plan rugueux  A
C
on
incliné d’un angle α par rapport à l’horizontale.

- 2e cas : le solide S est une barre AB qui repose sans frottement sur un mur en A.
fid
En B, on note un contact avec frottement avec frottement.

en
B
tie
Exercice 12 :
On considère le dispositif représenté par la figure ci- contre où OA, OB et OC sont A B
lc
is
des fils inextensibles, de masse négligeables, reliés à un point O. Le poids de la

sd
masse m est P = 100 N.

O
or
1. A l’équilibre, exprimer, en fonction de P, α et β, les tensions T1, T2 et T3 des fils

os
OA, OB et OC.
2. Calculer les tensions pour  = 600 et β = 300. C
p.
e−
m
Exercice 13 :
m
Un solide de masse m = 0,95 kg est posé sur un plan incliné parfaitement lisse faisant un angle  = 300 par rapport
on
à l’horizontale. Un ressort dont l’axe fait un angle β = 200 avec le plan incliné maintient le solide en équilibre. Sa
si
constante de raideur vaut k = 50 N.m-1.

te
1. Représenter les forces qui s’exercent sur le solide. 

.c
o
2. Déterminer l’intensité de la tension du ressort.

m
En déduire l’allongement du ressort.

3. Déterminer l’intensité de la réaction du plan incliné. On donne g = 10 N.kg-1 
Exercice 14 :
Une tige homogène OA de longueur l de masse m est mobile sans frottement dans un plan vertical autour de l’axe
r
horizontal fixe  passant par O. On exerce une force f en A perpendiculairement à la tige. O
r r
1. Déterminer l’intensité de la force f .  f
r
2. Déterminer les caractéristiques de la réaction R en O. Données :  = 300 ; m = 200 g A
Exercice 15 :
Un disque homogène de poids P = 10 N repose sans frottement sur deux plans perpendiculaires, entre eux faisant
avec l’horizontale les angles :  = 20 ° et  = 70 °.
Calculer l’intensité des réactions des réactions RA et RB
exercées par les supports sur le disque.  

Exercice 16 :
Un traîneau est tiré, en mouvement de translation rectiligne, sur une surface enneigée horizontale par deux chiens.
Chaque chien est relié par une corde au traîneau. Les cordes, attachées en même point O à l’avant du traîneau,
restent dans le plan horizontal. L’une des cordes (corde 1) fait un angle   20 0 avec l’axe du traîneau, l’autre
r r r
(corde 2) un angle   30 0 . La résultante F des forces F1 et F2 exercées par les cordes 1 et 2 sur le traîneau est
portée par l’axe de ce dernier et vaut 300 N.
r
1. Schématiser le traîneau et les cordes, puis représenter la résultante F .
2. L’un des chiens tire-t-il moins que l’autre ? Pour justifier votre réponse, déterminer, à partir d’une construction
graphique soignée à l’échelle, puis par calcul, les valeurs des forces F1 et F2.
Exercice 17 :
Une sphère homogène de rayon r = 8 cm et de masse m = 1,7 kg est maintenue y x
le long d’un plan parfaitement lisse, incliné d’un angle  = 400, par un fil AB de
longueur l = 25 cm et de masse négligeable.
1. Calculer l’angle β que fait le fil avec le plan incliné. β
2. Représenter les forces qui s’exercent sur la sphère.
Calculer, en utilisant le repère indiqué sur la figure, la norme de chacune des x’
forces.  y’
C
Exercice 18 :
on
Une bille en acier B, de masse m = 100 g, est fixée à l’extrémité d’un ressort fixée en un point A.
fid
L’ensemble est maintenu rigidement par une tige (t) qui fait un angle   30 0 avec la verticale. 
r r
en
1. Déterminer les intensités de la tension T du ressort et de la réaction R de la tige. B

tie
2. En déduire la longueur l du ressort. Donnée : le ressort a pour longueur à vide l 0 = 25 cm et

pour constante de raideur K = 56 N/kg.
lc
is
sd
Exercice 19 :
On considère le dispositif de la figure ci dessous. Les masses des fils et de l’anneau A 
or
A
sont négligeables. A l’équilibre, le fil OA fait un angle  = 450 avec la verticale.
os
1. Calculer la masse m2 pour réaliser cet équilibre.

p.
2. Déterminer l’intensité de la tension du fil OA. On donne : P1 = 4 N et g =10 N.kg-1

e−
m1 m2
m
on
Exercice 20 : β
1. On considère le dispositif ci-contre où les fils forment un nœud N. On
si
N

te
suppose que les poulies sont sans frottement. Le système étant en

.c
équilibre, déterminer les masses m1 et m3. m3

o
2. On remplace les solides de masses m1 et m3 par deux autres solides

m
de masses égales m’1 = m’3 = 200 g. Déterminer la valeur de l’angle β. m1 m2

On donne :  = 1350 ; β = 1050 ; m2 = 200 g ; g = 10 N.kg-1.
Exercice 21:
Une tige homogène de poids P = 5 N, de longueur l = 1 m, est en équilibre grâce à un mur où repose son extrémité
A et un fil attaché à son extrémité B. La tige fait un angle   60 0 avec le mur tandis que le fil fait un angle
  30 0 avec la tige. La tension du fil est de T= 4,3 N. O
1. Refaire le schéma en représentant la longueur de la tige par 6 cm et prendre comme
échelle 2 N  1 cm. Faire figurer toutes les forces appliquées à la tige. En déduire, sans
r A
calcul, l’intensité R A de la réaction du mur sur la tige en A.
 
2. Déterminer les composantes Rx et Ry dans un repère d’axes xx’ et yy’ convenablement B
choisi.
r
3. Déterminer par calcul l’angle que fait la réaction R A avec la verticale. Calculer l’intensité RA de réaction et la
comparer avec la valeur trouvée graphiquement à la question 1.
Exercice 22 :
On considère le dispositif de la figure ci-contre où OA, OB et OC sont des fils A B
inextensibles, de masse négligeables, reliés à un anneau en O. Le poids de
la masse m est P = 10 N.
1. Le système étant en équilibre ; déterminer, en fonction de P,  et  les
tensions T1, T2 et T3 des fils OA, OB et OC. C
2. En déduire les intensités des tensions des fils pour   60 0 et   30 0 . m
Exercice 23:
Deux chariots de masses m = 1,5 kg et m’ sont disposés sur deux plans
inclinés comme l’indique la figure ci-contre. Ils sont reliés par un fil inextensible
de masse négligeable passant par la gorge d’une poulie. On suppose que tous
m m’
les frottements sont négligeables. L’ensemble étant en équilibre, déterminer :
 β
1. la tension du fil et la valeur de la masse m’ ;
3. les actions exercées par les plans sur chaque chariot qui y disposé. On donne  = 450 et β = 300.
Exercice 24 :
On considère le dispositif de figure ci-contre où AO, AB et AC sont trois fils
reliés à un anneau. Les fils et l’anneau sont de masses négligeables. A 
C
A B
on
l’équilibre le fil AO fait un angle   45 0 avec la verticale.

fid
1. Calculer la masse m2 pour que l’équilibre soit réalisé. On donne m1 = 200 g.

2. Calculer la tension du fil AO.
en
3. L’équilibre dépend-il de l’intensité de la pesanteur ? m1 m2

tie
lc
Exercice 25 :
is
Soient deux solides S1 et S2 reposant sur deux plans P1 et P2 et reliés par un fil par l’intermédiaire d’une poulie.
sd
1. Prouver qu’en l’absence d frottement sur S1 le plan P2, le solide S2 ne S2

or
peut être en équilibre. P1

os
2. On suppose qu’il existe des forces de frottement sur le plan P2 mais le S1

p.
plan P1 est parfaitement lisse. Dans le cas où les deux solides S1 et S2

r r
sont en équilibre, déterminer les réactions R1 et R2 respectives des plans P2 
e−
m
P1 et P2. Données: m1 = 200 g ; m2 = 300 g ; g =10 N.kg-1 et  = 300

on
si
Exercice 26 :
te
.c
Une échelle AB de masse m = 30 kg est posée contre un mur vertical ; le centre de gravité G
r
o
B
de l’échelle est au milieu de AB. Le sol exerce une force R A en A. En B, la force exercée par
m
r
le mur est R B . Les contacts en A s’effectuent avec frottement, ceux en B ne le sont pas. G
1. Représenter les forces s’exerçant sur l’échelle en équilibre.
r
2. Calculer l’angle  que fait R A avec la verticale. On donne : AC = 140 cm ; BC = 200 cm.
3. Déterminer les intensités RA et RB, graphiquement puis par le calcul. On donne : g = 10 N.kg-1
Exercice 27 :
1. Montrer qu’un solide de masse non nulle ne peut être en équilibre sur un plan
parfaitement lisse. 
2. Pour maintenir un solide de poids P = 5 N en équilibre sur un plan lisse incliné d’un
angle  = 300 par rapport à l’horizontale, on l’attache à un fil faisant un angle β = 450 par β
rapport à la pente (voir figure).
2.1 Faire le bilan des forces extérieures appliquées au solide.
2.2 Déterminer les intensités de toutes les forces appliquées au solide.

Exercice 28 :
Une échelle AB de masse m = 30 kg est posée contre un mur vertical. Le centre de gravité G de l’échelle est au
milieu de  AB . Les contacts en A s’effectuent avec frottement et ceux en B sont sans frottement.
r r
1. Représenter les forces s’exerçant sur l’échelle en équilibre. On désignera respectivement par R A et R B les forces
exercées sur l’échelle par le sol en A et par le mur en B. A
r
2. Calculer  , angle que fait R A avec la verticale.
3. Déterminer, graphiquement puis par le calcul, les intensités des forces RA et RB.
Données : AC = 140 cm ; BC = 200 cm et g = 10 N/kg. B
Exercice 29: y
Une tige OB de longueur l =1 m peut tourner autour d’un axe horizontal O. Elle est retenue par A
un fil AB de tension T = 17,7 N. Le fil est perpendiculaire à la tige de poids P égal à 50 N.
1. Faire le bilan des forces extérieures qui agissent sur la tige.
r
2. Déterminer les composantes Rx et Ry de R sur les axes. En déduire l’angle de la direction B
r
de R avec la verticale. On donne : OB = AB = 1 m
O
Exercice 30 :
Un cube homogène d’arête a = 2 cm, de poids P = 80 N, est en équilibre sur un plan incliné d’un angle   30 0 par
C
on
rapport à l’horizontale. Le point O désigne le centre de la face avec son support et G, le centre de gravité du cube
fid
1. Refaire le schéma ci-contre en respectant les données et représenter les

en
forces qui s’exercent sur le cube en équilibre. Le contact a-il lieu avec ou .G
sans frottement ? Justifier.
tie
r a
2. Soit I le point d’application de la réaction R du support.
lc

is
Placer sur la figure le point I. En déduire la distance OI.

sd
or
Exercice 31 :
os
1. Un ressort a une longueur à vide l 0 = 10 cm. Lorsqu’on accroche à ce dernier une masse m égale 100 g, sa
p.
longueur devient l = 15 cm. Quelle est la raideur du ressort ? O

e−
2. Ce ressort placé sur un plan incliné d’un angle   10 , est accroché à un point un fixe O.
0
m
A l’autre extrémité libre A du ressort, on suspend un objet de masse m’ = 2 kg. A

on
2.1 Déterminer toutes les actions mécaniques exercées sur cet objet.
2.2 En déduire la longueur du ressort.
si
te
.c
Exercice 32 :
o
1. Un ressort est accroché à un point fixe O, et en A un objet de masse m = 0,05 kg : le ressort de longueur à vide
m
l 0 s’allonge d’une longueur l  0 ,6 cm .

r
1.1 Donner les caractéristiques de la tension T exercée par le ressort au point A.
r r
1.2 En choisissant votre échelle judicieusement, représenter les forces T et P .
2. Pour différentes valeurs de m, on mesure l’allongement l  l  l 0 du ressort et on détermine la norme de la
r
tension T qu’il exerce en A. Les résultats sont consignés dans le tableau ci-dessous :
2.1 Tracer la courbe T = f( l ). T(N) 1 1,5 2 2,5 3 3,5
Echelle :{abscisse : 0,4 cm  1 cm et l  l  l 0 1,2 1,8 2,4 3 3,6 4,2
ordonnée : 0,25 N  1 cm}.
2.2 Déduire du graphe la raideur K du ressort.
2.3 Déterminer graphiquement la valeur de la tension du ressort quand son allongement est l 1 = 2,8 cm.
On donne : g = 10 N.kg-1.

P12 EQUILIBRE D’UN SOLIDE MOBILE AUTOUR D’UN AXE
Exercice 1 : B
r
1. Une tige homogène de longueur l et de poids P est mobil autour d’un axe
O(  )
horizontal  perpendiculaire à cette tige en son milieu O. On applique à l’extrémité r r
r r  P F2
A une force F1 perpendiculaire à la tige et à l’extrémité B une force F2 verticale.
A
Calculer les moments des forces exercées sur la tige par rapport à  . Données :
l = 10 cm. P = 1 N. ; F1 = 2 N ; F2 = 3 N;   30 0 . r
F1
2. Même question si l’axe de rotation passe au point B.
Exercice 2 :
Une planche de la balançoire est en équilibre, horizontal, les pieds des
enfants ne touchent pas le sol, les enfants sont assis aux extrémités de m1 m2
la planche. On néglige le poids de la planche devant les autres forces. d1 d2
Calculer la longueur de la planche et la réaction du support. Données : m1 = 40 kg ; m2 = 60 kg ; d1 = 3 m.

C
on
Exercice 3 :
fid
Un barre AB de masse négligeable, de longueur l = 1 m, repose sur un axe O

en
passant par O. On accroche au voisinage immédiat des points A et B les A B

tie
charges de masses mA et mB (OA = 75 cm et OB = 25 cm). Quelle doit être la

mA mB
lc
valeur de mB pour que la barre soit en équilibre sachant que mA = 0,6 kg ?

is
sd
Exercice 4 :
r
or
Sur une réglette horizontale, mobile autour d’un axe horizontal  O(  ) A B C F3

os
passant par le point O, on exerce dans un même plan vertical trois

r r
p.
forces d’intensité respective : F1 = 17 N ; F2 = 25 N ; F3 23 N. On

+ F1  F2
e−
donne : OA = 16 cm ; OB = 37 cm ; OC = 60 cm ;   30 0 .
m
1. Calculer les valeurs algébriques des moments de ces trois forces par rapport à  .
on
2. Calculer leur somme par rapport à l’axe  . Conclure.

si
te
Exercice 5 :
.c
Une tige homogène OA, de masse m, de longueur l , peut tourner, dans un plan vertical, autour d’un axe horizontal
o m
2 r
 passant par O. Un fil, accroché en un point B de la tige tel que OB  OA , exerce sur la tige une force F qui lui
3
est perpendiculaire ; la tige fait un angle  avec la verticale. O(  )
r
1. Déterminer la tension du fil.  G F
r
2. Déterminer la réaction R du support en O. On donne : m = 2,5 kg et  =150 B A
Exercice 6 :
La barre AB ci-dessous, de masse m = 4 kg, est suspendue à l’aide de deux fils AA’ et CC’ de même longueur.
A’ C’
La barre est horizontale, en équilibre.
1. Faire le bilan des forces appliquées à la barre.
2. En appliquant le théorème des moments à la barre, par rapport à
un axe imaginaire  passant par A, déterminer la tension du fil CC’.
A C B
3. Calculer de la même façon la tension du fil AA’, en appliquant le théorème des moments à la barre, par rapport à
un axe imaginaire  passant par C.

Exercice 7 :
r r
F1 et F2 sont deux forces de direction parallèle mais de sens contraire, de même intensité égale à 30 N.
r
Elles agissent sur une barre qui peut tourner autour d’un axe (O,  ) F1
perpendiculaire à leur plan.
1. Calculer la somme algébrique des moments de ces forces par rapport à  . O(  ) A B
2. Cette somme dépend-elle de la position de O par rapport à A et B ? 
Application numérique : AB = 20 cm ;  = 450. r
F2
Exercice 8 :
Une tige OA, de longueur l et de masse m, est mobile sans frottement dans un plan vertical autour d’un axe
r
horizontal fixe  passant par O. On exerce une force f en A perpendiculaire à la tige (voir figure).
r r
1. Déterminer la force f et la réaction R en O. 
r r
2. Même question dans le cas où f est appliquée perpendiculairement à la tige en son milieu. f
Données numériques :   30 0 ; m = 200 g ; g=10N/kg. A
Exercice 9:
Une barre OB, appuyée contre un mur en O, est maintenue horizontale grâce à un câble AC. Une charge P = 4000 N
peut se déplacer le long de OB (voir figure). Dans tout le problème les poids du câble et de la barre sont
C
négligeables. On donne : OA = 5 m ; AB = 1 m ;  = 300. C

on
1. La charge P est accrochée en un point situé à une distance x de O.

fid
Déterminer en fonction de x, la tension du câble et la réaction du mur en O.

 A Q B
en
On choisira un repère orthonormé d’axes Ox horizontal et Oy vertical. O

2. La charge P est accrochée en B :
tie
2.1 Calculer la tension du câble et la réaction du mur.

lc
2.2 Retrouver graphiquement la valeur de la réaction. Echelle : 1 cm  2000 N

is
sd
Exercice 10 :
or
Une barre homogène AB de masse m = 25 kg, de longueur l = 90 cm, est mobile autour d’un axe horizontal 
os
r
passant par O tel que OA = 15 cm. Cette barre est maintenue en équilibre par la tension T d’un ressort et la tension
p.
r r
e−
F1 d’un fil tendu par le poids P1 d’une masse m1 = 6,5 kg. A

m
1. Calculer T sachant que la direction du ressort est perpendiculaire à la barre et


on
que cette dernière est inclinée d’un angle   60 0 par rapport à l’horizontale. O(  )
r
si
2. Déterminer l’intensité, la direction et le sens de la réaction R de l’axe  sur

te
la barre graphiquement, puis par le calcul. m1 B

.c
o m
Exercice 11 : A
Une barre homogène AB, de masse 3 kg, s’appuie contre un mur vertical et sur le sol.
Une corde de masse négligeable relie un point O et un point K de la barre tel que K
  30 0 . La barre se maintient ainsi en faisant un angle   60 0 avec le sol.
 
Déterminer la tension de corde OK et les réactions du mur et du sol sur la barre.
O B
Exercice 12 :
Une barre OB de masse m = 3 kg est articulée autour de son extrémité O, ce qui la rend mobile autour d’un axe 
passant par O.
Elle est maintenue en équilibre à l’aide d’un ressort de raideur k = 300 N.m-1 comme
l’indique la figure. A
1. Représenter les forces extérieures appliquées à la barre.
2. En appliquant les conditions nécessaires d’équilibre à la barre, calculer la tension G
du ressort puis déterminer l’allongement du ressort. O(  )
3. Déterminer l’intensité de la réaction de l’axe. Données: OB=2OG =1,2m; OC=0,8m; angle (CGO)=900 et g=10N/kg
Exercice 13 :
Une échelle double est constituée de 2 parties OA et OB homogènes, de masse O
M, accrochées l’une à l’autre en O. C
Soit un homme de masse m situé en C sur l’échelle. En supposant qu’il n’y a pas
de frottements et celle-ci est maintenue ouverte par une corde DE. Calculer les D E
réactions RA et RB du sol.
Données : OA = OB = 2,5m; AC = 2 m; AB = 1m; M = 3 kg; m =70 kg; g = 10 N/kg. A B
Exercice 14 :
D B
Une barre homogène AB, de longueur l = 60 cm et de poids P = 20 N peut tourner
autour de son extrémité fixe A. Un fil horizontal fixé en B maintient la barre dans une
position d’équilibre qui fait un angle   50 0 avec l’horizontal (voir figure). A 
1. Représenter les forces s’exerçant sur la barre.
3. Déterminer, en projetant sur des axes bien choisis la condition d’équilibre, la réaction en A du sol sur la tige.
4. Donner les caractéristiques de la force subie par le mur en D.
Exercice 15 :
Une barre homogène AB de poids P = 100 N est appuyée contre un mur en A et retenue en B par un câble BC de
longueur 1 m. Le segment AC est vertical et mesure 1 m. On accroche en B une corde au bout de laquelle est
C
on
suspendu un solide de poids P’ = 450 N. On néglige le poids de la corde et celui du câble.

C B
fid
La barre peut tourner autour d’un axe horizontal passant par A.

1. Ecrire la condition d’équilibre de la barre AB. Déterminer la tension du câble.
en
2. Déterminer les caractéristiques de la réaction du mur en A (sa direction sera

tie
donnée par rapport à un axe horizontal). S

lc
3. Retrouver la valeur de la réaction en A par une méthode graphique.

is
A
sd
Exercice 16 :
or
Le pied d’une échelle OB est coincé entre le sol et un mur vertical comme l’indique la figure. Une corde AB
os
horizontale fixée au mur en A, et à l’extrémité supérieure de l’échelle, le maintient en équilibre. L’échelle a une
masse m et son centre de gravité G est à 6 m du point O. Un ouvrier de masse m1 est assis sur l’échelle à 3 m du
p.
r
e−
haut. La réaction R0 du mur en O fait un angle   64,5 0 avec l’horizontale. A B

m
1. Trouver la tension T de la corde et la réaction R0 du mur en O.

on
2. Après son travail, l’ouvrier descend. Reprendre la figure et dessiner

si
qualitativement toutes les forces s’exerçant sur l’échelle, lorsqu’il se trouve en G.

te
Données : AB = 9 m ; OB =15 m ; m1 = 60 kg ; m = 40 kg
.c
o
Exercise 17 :
m
Un petit cavalier de poids P0 = 0,8 N est posé en A sur le bord d’une demi sphère
creuse homogène de poids P = 4 N. Cette demi-sphère est en contact avec une O
table horizontale en un point I. Le centre d’inertie G de la demi-sphère est situé à G 
2/3 de son rayon à partir de O. A
1. Déterminer la position du point de contact I en calculant l’angle  .
2. Déterminer la réaction du plan horizontal. I

PHYSIQUE
OPTIQUE
P13
P14 PROPAGATION RECTILIGNE DE LA LUMIERE
P15 REFLEXION ET REFRACTION DE LA LUMIERE
Exercice 1 :
1. Calculer l’indice de réfraction d’un milieu dans lequel la lumière se propage à la vitesse V = 185 000 km.s-1.
2. En comparant, sans calcul, es indices de réfraction n1 = 1,5 pour le plexiglas et n2 = 1,33 pour l’eau, dire lequel de
ces milieux la lumière se propage avec la plus grande vitesse.
3. L’air a une indice de réfraction n = 1,000293.
3.1 Calculer la vitesse de la lumière dans l’air (Donner le résultat avec cinq chiffres significatifs)
3.2 Comparer cette vitesse à celle de la lumière dans le vide.
3.3 Evaluer l’écart entre ces deux vitesses en pourcentage. Conclure.
C
Exercice 2 :
on
1. Sous quel diamètre apparent la Terre est-elle vue de la Lune et du Soleil ? On utilisera certaines donnée de
fid
l’exercice précédent auxquelles on ajoute le rayon de la Terre RT = 6400 km. On indiquera les deux résultats en
en
radians puis en minutes d’angle.

tie
2. Quelle conclusion peut-on en tirer sachant que l’œil humain est capable de percevoir un diamètre apparent de 20
minutes d’angle ?
lc
is
sd
Exercice 3 :
Pour déterminer la hauteur H d’un arbre, on note qu’à un moment donné de la journée, son ombre a, sur le sol
or
horizontal une longueur de 5,60 m et qu’au moment d’un piquet vertical de hauteur h = 1,50 m a, sur le sol horizontal
os
une ombre de 2,50 m. Calculer H en expliquant la méthode utilisée.

p.
e−
Exercice 4 :
m
Une bougie a une hauteur totale h = 10 cm. On la place verticalement sur une table devant l’ouverture d’une
on
chambre noire de profondeur d = 20 cm. L’ouverture est à une hauteur de 5 cm au dessus du plan de la table.
si
1. A quelle distance minimale doit-on placer la bougie pour que l’image obtenue sur la plaque translucide ne dépasse
te
pas les limites de celles-ci ; soit une hauteur de 10 cm ? Faire un schéma en prenant une échelle ½ ; soit un
.c
centimètre sur le dessin représente 2 cm.

o m
2. On place la bougie à 30 cm devant l’ouverture de la chambre noire. Quelle est alors la taille de l’image de l’image
sur la plaque translucide ?
Exercice 5 :
On appelle diamètre apparent d’un astre, l’angle sous lequel on voit cet astre. On obtient le diamètre apparent
 (exprimé en radians) en divisant son diamètre d par a distance l à la Terre. Sous quel diamètre la Lune et le
d
Soleil sont-ils vus de la Terre ?  = . On indiquera les deux résultats en radians puis en minutes d’angle et on
l
comparera le deux valeurs trouvées.
Données : Rayon de la Lune : 1740 km Distance Terre-Lune : 385 000 km. Rayon du Soleil : 700 000 km.
Distance Terre-Soleil : 150 millions de km
Exercice 6 :
1. Expliquer ce qu’est une éclipse totale de Lune ; faire un schéma.
2. En déduire le rayon RL de la Lune en fonction du rayon RT de la Terre, en partant de l’hypothèse que le Soleil est
à l’infini.
Exercice 7 :
Un rayon lumineux SI vient frapper un miroir en I comme l’indique la figure ci-
contre. Quelle est la valeur de l’angle d’incidence ? Tracer le rayon réfléchi.
Exercice 8 :
On dispose de deux miroirs M1 et M2 qui sont disposés à angle droit. Le rayon SI vient frapper
le miroir M1 sous une incidence de 200.
1. Tracer la marche du rayon réfléchi sur M1 puis sur M2.
2. Montrer que le rayon incident et le rayon réfléchi par M2 sont parallèles quelque soit la valeur
de l’angle d’incidence.
Exercice 9 :
Un fin pinceau lumineux tombe sur une surface  séparant deux milieux d’indice de réfraction
n1 = 1,2 et n2 = 1,6. Représenter le rayon incident correspondant au rayon réfracté sur la figure.
Exercice 9 :
Un rayon lumineux pénètre dans du plexiglas d’indice n1 = 1,5 et sort dans l’air d’indice n2 = 2. On appelle i1 l’angle
d’incidence dans le plexiglas et i2 l’angle de réfraction dans l’air.
1. Compléter le tableau suivant : i1 (0) 0 10 20 30 40 50
2. Calculer la valeur de i 1 Lim au-delà de la quelle il y’a réflexion totale. i2
C
on
fid
Exercice 10 :
air (1) verre (n) air (2)
en
Une vitre en verre d’indice n = 1,5 et d’épaisseur e = 1 cm, baignant dans l’air
d’indice 1, est frappée en I par un rayon lumineux sous une incidence i = 100.
tie
1. Tracer la marche du rayon transmis à travers la vitre sur un schéma à l’échelle 1.

lc
2. Montrer que le rayon sortant est parallèle au rayon incident : Ce résultat est-il vrai e
is
pour toute valeur de i ou de e ?

sd
or
Exercice 11 :
os
Un homme de taille AB = 1,90 m se regarde dans un miroir. Son œil (point O) est à AO = 1,70 m du sol. L’homme
p.
est distant du miroir de HA = 1,5 m.

e−
1. Faire un schéma à l’échelle 1/20.

m
2. Tracer la positon de l’image A’O’B’ de cet homme dans le miroir. B

on
3. tracer les rayons venant de A et B et en entrant dans l’œil.

si
4. Déterminer graphiquement la longueur MM’ de la portion utile de miroir et la

te
position HM de la base de ce miroir pour que l’homme puisse se voir en entier. H A

.c
o
5. Refaire le schéma si HA = 3m. Les résultats de la question 4. Dépendent-ils de la valeur de HA ?

m
Exercice 12 :
On fait flotter sur l’eau un bouchon circulaire mince opaque de rayon R = 5 cm portant en son centre O une aiguille
plongeant verticalement dans l’eau comme le montre le schéma ci- dessous.
Quel doit être la longueur maximale de l’aiguille AO pour qu’on ne puisse pas voir le
point A quand on regarde à la surface de l’eau. Données numériques : indice de l’eau neau =1,33 ; nair = 1.
Exercice 13 :
Sur le fond d’une cuve est placé un miroir plan réfléchissant. La cuve contient de l’eau dont l’épaisseur est e. Un
rayon lumineux arrive à la surface de l’eau sous l’angle d’incidence i.
1. Représenter le trajet du rayon lumineux.
2. Quelle est la distance entre le point d’incidence I et le point d’émergence E ?
On donne : e = 20 cm ; neau = 1,33. eau
3. Même question si, au dessus de la couche d’eau se trouve une couche de
benzène d’épaisseur e’ = 4 cm et l’indice de réfraction nbenzène = 1,5.
CHIMIE
C1 MELANGES ET CORPS PURS
Exercice 1 :
Avec quels sens (ouïe, vue, odorat, toucher et gout) peut-on reconnaitre : - de l’eau ? - du sucre ? - de la graisse ?
du vinaigre ?
Pourquoi au laboratoire de chimie est-il généralement interdit d’utiliser le gout, l’odorat ou le toucher ?
Exercice 2 :
Définir en deux lignes au maximum, les termes suivants, appliqués à l’eau : filtrat; électrolyse ; solution ; soluté.
Exercice 4 :
1. Par quelles opérations de préparation passeriez-vous d’une eau boueuse et salée :
C
- à l’eau limpide et salée ? - à l’eau limpide et non salée ? - à l’eau pure ?

on
2. Classer les corps purs suivants en corps purs simples et en corps purs composés : eau ; dihydrogène, dioxygène,
gaz carbonique, ozone, saccharose, butane, métal argent, ammoniac.
fid
en
Exercice 5 :
tie
1. On place dans un eudiometre 20 cm3 de dihydrogene et 6 cm3 de dioxygene. Apres passage de l’etincelle et
lc
refroidissement, que contient l’eudiometre ?

is
2. Un eudiometre contient 20 cm3 d’air et 15 cm3 de dihydrogene. Quelle sont la nature et la composition en volume
sd
du residu gazeux apres passage de l’etincelle ?

or
os
Exercice 6 :
p.
Quel est le volume d’eau de mer nécessaire pour obtenir une tonne de sel, sachant que la masse volumique de cette
e−
eau est 1,025 g/cm3 et que 1 kg de sel pur est donné par 40 kg d’eau de mer ?
m
on
Exercice 7 :
Quels sont les volumes de dioxygène et de dihydrogène que l’on peut obtenir en décomposant 1 kg d’eau ?
si
te
.c
Exercice 8 :
o
Compléter les phrases suivantes en remplissant les pointilles :

m
1. Pour obtenir de l’eau limpide et salée à partir d’une eau boueuse et salée, on procède par ……………………. puis
par …………………….. L’eau ainsi obtenue est un mélange …………………. A partir de ce mélange, on peut obtenir
de l’eau limpide et non salée en procédant par ……………………..
2. Les états physiques de la matière sont …………………… Le passage d’un état à un autre est appelé
………………………..
3. Au cours de l’électrolyse de l’eau, le gaz recueilli à l’anode est le …………………. Le volume de ce gaz est
…………………….. du volume de gaz recueilli à la cathode.
Exercice 9 :
Le chimiste français BERTHELOT a écrit : « Non seulement la Chimie crée des phénomènes mais elle a la
puissance de refaire ce qu’elle a défait ». Expliquer cette phrase. Prendre des exemples dans l’étude de l’air et de
l’eau.

C2 ELEMENTS - ATOMES
CLASSIFICATION PERIOIQUE DES ELEMENTS
Exercice 1 :
Combien d’atomes d’or pourrait-on « aligner » sur une longueur de 1,00 m sachant que le rayon d’un atome d’or est
estimé à 144 pm ? On donne : 1 pm = 10 – 12 m.
Exercice 2 :
Une masse de 200 g de noix
symbole de l’élément K P S Mg Ca Cl Na Fe Mn Cu
contient en moyenne les
éléments suivants : teneur en mg / 200 g 900 760 292 268 198 46 8 6,2 3,6 0,62
1. Nommer chacun de ces dix éléments.

2. Calculer les pourcentages en masse des cinq éléments les plus abondants.
Exercice 3 :
Déterminer le nombre de particules constitutives des atomes suivants : 24 He ; 126 C ; 27
13 Al ; 238
U et
92
200
82 Hg
C
Déterminer la composition des ions suivants : 37

Cl  ; 11 H  ; 64
Cu 2
on
17 29
fid
Exercice 4 :
en
Soient les nucléides caractérisés par les couples (Z, A) suivants : (9, 19) ; (26, 54) ; (12, 24) ; (12, 26) ; (3, 7).
tie
Les répartir par élément. Identifier les éléments concernés par leur symbole et leur nom.
lc
is
Exercice 5 :
sd
1. Un ion monoatomique X2+ possède 10 électrons. Quel est le nombre de protons de cet ion? Déterminer la
or
structure électronique de l’atome qui a donné naissance à cet ion. De quel élément s’agit-il ?
os
2. Même question pour un ion monoatomique X3+ qui possède 10 électrons.

p.
Exercice 6 :
e−
Compléter le tableau suivant :

m
élément nombre nombre de nombre de nombre de charge

on
symbole nom Z A d’électrons protons neutrons nucléons globale

si
29 29 63
te
Br 44
.c
o
16
O 2
m
Ag 108
oxygène
6 12
ion fluorure -e
23 30 +3e
Exercice 7 :
Un atome d’étain, de symbole Sn possède 120 nucléons. La charge de son noyau est 8.10-18C.
1. Quel est son numéro atomique Z ?
2. Quels sont le nombre de neutrons et le nombre d’électrons d’un atome d’étain ? En déduire la représentation
symbolique de son noyau.
3. Calculer la masse d’un atome d’étain.
4. Calculer le nombre d’atomes présents dans un échantillon d’étain de masse m = 20 g.
On donne : mp = m n = 1,67.10-27 kg ; m e = 9,1.10-31 kg et e = 1,6.10-19 C

Exercice 8:
On considère un atome de mercure 200
82 Hg
1. Montrer que la masse de cet atome est pratiquement égale à la masse de son noyau.
2. Combien d’atomes contient une goutte de mercure ?
Données : volume d’une goutte de mercure v = 0,05 mL ; masse volumique du mercure  Hg  13,6 g / cm 3
Exercice 9:
1. La représentation d’un noyau de fer est 2656 Fe . Déterminer la composition de son noyau. Calculer la masse d’un
noyau de fer. On donne : mp = 1,672.10-27 kg ; mn = 1,674.10-27 kg.
3. Quel est le nombre d’atomes de fer contenu dans un objet en fer de masse 5 grammes ?
Exercice 10 :
27
1. Le noyau d’un atome d’aluminium a le symbole suivant 13 Al . Que représentent les nombres 13 et 27. En déduire
la composition de ce noyau. Quel est le nom de l’élément correspondant ?
2. Calculer la masse du noyau d’un atome d’aluminium.
3. La masse volumique du métal aluminium est de 2,7.103 kg. On admettra que la masse que la masse d’un atome
27
de 13 Al est égale à la masse de son noyau, calculer le nombre d’atome d’aluminium contenus dans un cube de 1,0
cm de coté. On donne : mp = 1,672.10-27 kg ; m n= 1,674.10-27 kg ; m e = 9,1.10-31 kg
C
on
Exercice 11 :
fid
238
1. Calculer la masse mat d’un atome d’uranium dont le noyau est représenté U.
en
92
me'
tie
2. Calculer le rapport où me' désigne la somme des masses des électrons.

mat
lc
is
v
3. On appelle erreur relative portant sur une mesure ou un calcul, le quotient : avec ( v : valeur exacte –
sd
ve
or
valeur approchée) et ( ve : valeur exacte).

os
3.1 Quelle erreur commet-on en confondant mat à celle du noyau ?

p.
3.2 En conclusion, peut-on confondre la masse d’un atome avec celle de son noyau ?
e−
m
Exercice 12 :
on
1. Est-il nécessaire de connaitre A pour déterminer la structure électronique d’un atome ? Justifier.
si
27
2. Donner la répartition électronique pour les atomes et ions suivants : 2 He ; 6 C ; 8 O ; 10 Ne ; 12 Mg ; 13 Al ; Si ;
te
14
.c
1  2 37  3
15 P ; 16 S ; 6 C ; H ; 8 O ; Cl ; Al .
1 17
o m
3. Quels sont les éléments dont les formules électroniques sont : K2L4 ; K2L6 ; K2L8M2.
Exercice 13 :
1. L’azote et le phosphore ont pour formules électroniques respectives : K2L5 et K2L8M5.
1.1 Quelles sont les valeurs des nombres de charges Z de chacun de ces éléments ?
1.2 Donner la structure électronique des atomes d’azote et de phosphore en représentant.
1.3 Que peut-on dire des couches électroniques externes de ces atomes ?
1.4 Que pensez-vous de leurs propriétés chimiques ?
2. Quelle est la formule électronique de l’atome dont l’élément se trouve à l’intersection de la troisième ligne et de la
quatrième colonne du tableau de classification périodique simplifiée des éléments. Justifier.
Exercice 14 :
1. Un atome a pour formule électronique K2L6.
1.1 Quelle est la place de l’élément correspondant dans le tableau de la classification périodique simplifiée ?
1.2 Quel est le numéro atomique de cet élément ? En déduire son nom.
2. Déterminer la formule électronique de l’élément qui se trouve au dessous de celui étudié au 1 ?

Exercice 15 :
Soit un anion X2- possédant deux charges élémentaires et 8 neutrons. L’atome correspondant à cet ion appartient à
la deuxième période.
1. Donner la formule électronique de cet atome et celle de l’ion.
2. Donner la composition de l’ion et celle de l’atome.
3. Identifier cet ion et l’atome correspondant et donner son nom.
Exercice 16 :
1. Identifier l’élément X dont l’anion X2- a pour formule électronique K2L8.
2. Identifier l’élément Y dont la couche électronique externe est L et dont la représentation de Lewis est  Y 

3. Identifier l’élément dont l’atome a le même d’électron que l’ion calcium et l’ion chlorure. Donner sa représentation
A
Z X sachant que son nombre de protons est égal à son nombre de neutrons.
Exercice 17 :
On donne les numéros atomiques Z des éléments suivants : Argon : Ar (Z = 18) ; Soufre : S (Z = 16) ; Oxygène : O
(Z = 8) ; Aluminium : Al (Z = 13).
1. Donner la formule électronique de l’atome de chacun de ces éléments.
2. Donner leurs formules électroniques.
3. Indiquer la place dans le tableau de classification périodique de chacun de ces éléments.
C
on
Exercice 18 :
fid
Soit un anion X2- possédant deux charges élémentaires et 8 neutrons. L’atome correspondant à cet ion appartient à
en
la deuxième période.
tie
1. Donner la formule électronique de cet atome et celle de l’ion. Donner la composition de l’ion et celle de l’atome.
lc
2. Identifier cet ion et l’atome correspondant et donner son nom.

is
sd
Exercice 19 :
or
1. On considère les ions suivants : X- (Z = 9) et Y3+ (Z = 13). Ces ions sont obtenus à partir des atomes des éléments
os
dont les symboles sont X et Y.

p.
1.1 Donner la formule électronique de chaque ion.

e−
1.2 Quelle est la place de chacun de ces éléments dans la classification périodique.
m
2. Sachant que X est l’élément fluor et Y l’élément aluminium, donner la formule de l’ion fluorure X- et de l’ion
on
aluminium Y3+ et en déduire la formule statistique du fluorure d’aluminium.

3. Le fluor et l’aluminium ont respectivement pour nombre de masse A = 19 et A’ = 27.
si
te
3.1 Donner la représentation symbolique de leurs noyaux.

.c
3.2 Calculer la masse d’un atome d’aluminium.

o m
Exercice 20 :
1. Deux atomes ont chacun 14 neutrons. Le premier a 13 protons et 13 électrons et le second 14 protons et 14
électrons. Sont-ils isotopes d’un même élément ? Justifier votre réponse.
2. On considère les couples (Z, A) suivants : (3 ; 7), (14 ; 28), (7 ; 14), (20 ; 40), (14 ; 29), (14 ; 30), (7 ; 15), (18 ; 40).
Distinguer les différents représentés et leurs isotopes.
Exercice 21 :
L’oxygène naturel contient trois isotopes : l’oxygène 16, l’oxygène 17, l’oxygène 18. Ecrire le symbole de ces
isotopes. Donner la structure de leurs atomes.
Exercice 22 :
235
1. L’uranium est un élément chimique qui peut exister sous forme de deux isotopes : l’uranium 235 noté U et
92
l’uranium 238 noté 238

92 U . Qu’appelle-t-on isotopes d’un élément ?
2. L’uranium 235 constitue l’isotope utilisé dans les centrales nucléaires. Donner la signification des 235 et 92.
3. Calculer la masse d’un atome d’uranium 235.
Exercice 23 :
1. L’oxygène naturel contient trois isotopes : 168 O ; 178 O ; 188 O
1.1 Quelle est la particularité de ces isotopes?
1.2 Pourquoi peut-on considérer qu’il s’agit du même élément?
2. L’isotope le plus abondant de l’oxygène est l’oxygène 16 noté 168 O .
2.1 Etablir la formule électronique de son atome.
2.2 Combien d’électrons a-t-il sur sa couche externe ? En déduire sa représentation de Lewis.
2.3 Préciser la formule de l’ion qu’un atome de 168 O peut donner.
16
3. L’élément soufre, de symbole S, appartient à la même colonne que 8 O . En déduire la formule électronique du
soufre sachant que sa couche externe est la couche M.
Exercice 24 :
1. On considère la représentation symbolique 1633 S .
1.1 Quel est l’élément chimique ainsi symbolisé ?
1.2 Cette représentation est-elle celle d’un noyau, d’un atome ou d’un ion ?
1.3 Que représente le couple de valeurs (33 ; 16) ?
2. On donne les sept représentations suivantes : 1430 Si ; 1432 Si ; 2040 Ca ; 1930 Si ; 1632 S ; 1737 Cl ; 13
27
Al
C
2.1 Expliquer ce que signifie isotope. Parmi les sept représentations, indiquer celle(s) qui est (sont)
on
isotope(s) de 1633 S .Indiquer ensuite, s’il y en a, celles qui sont isotopes entre elles.
fid
33
2.2 Quels sont celles correspondant à des noyaux ayant la même masse que 16 S.
en
tie
Exercice 25 :
lc
1. L’hélium et le néon sont deux éléments qui sont à la dernière colonne du tableau de classification périodique :
is
- à quelle famille appartiennent-t-ils ?

sd
- quelle est la caractéristique commune de leur couche externe ?

or
2. Identifier les éléments suivants :

os
- l’élément X de la deuxième période de la classification périodique dont l’atome donne l’anion X2- ;
- l’élément Y dont l’anion Y- a pour formule électronique K2L8 ;
p.
e−
- l’élément dont un atome a pour formule électronique K2L8M1.


m
- l’élément Z de la seconde période de la classification périodique dont le schéma de Lewis est  Z 

on
si
Exercice 26 :
te
Un atome d’un élément chimique a un noyau représenté par 9A X et contient 19 nucléons.

.c
o
1. Déterminer sa composition.
m
2 Déterminer sa formule électronique. A quelles colonne et période du tableau de la classification périodique

simplifiée appartient cet élément ? Justifier.
3. Combien d’électrons a-t-il tendance à perdre ou à gagner pour acquérir une stabilité d’un gaz noble ? Quelle sera
alors sa charge électrique ?
4. Calculer la masse du noyau d’un atome de cet élément.
5. Déterminer le pourcentage en masse du noyau de cet élément (on donnera le résultat avec trois chiffres
significatifs). Conclure. De quel élément s’agit-il ?
Exercice 27 :
Le noyau d’un élément de symbole X, est représenté par 136 X .
1. Quel est le nom de l’élément ? A quelle période appartient-il ? Combien de protons, de neutrons et d’électrons cet
atome comporte-t-il ?
2. Quels sont les noms des éléments respectivement situés : - à sa gauche, à sa droite, au dessous de lui dans la
classification périodique des éléments. Représenter leurs schémas de Lewis.

C3 LIAISONS CHIMIQUES
Exercice 1 :
On considère les éléments de numéro atomique 1, 7, 9 et 17.
1. Placer ces éléments dans la classification périodique et en déduire le nombre d’électron externes des atomes
correspondants.
2. Vérifier les résultats du 1. en établissant la formule électronique de ces atomes. Quelle est leur valence.
Exercice 2 :
  
Soient trois éléments inconnus X, Y et Z. Les schémas de Lewis des atomes correspondants sont : X ; I Y I; Z
 
1. Les éléments X et Z appartiennent à la deuxième ligne et Y appartient à la troisième ligne de la classification
périodique. Donner les nombres de charge de X, Y et Z.
2. Identifier ces éléments.
Exercice 3 :
Donner le nombre d’atomes pour pour chacune des molécules dont les formules suivent : H2S ; NH3 ; C3H8 ; C2H4O2 ;
C
C3H6O2 ; CH2O2; C2H4O2; CH3CN; CO(CH3)2; N(CH3)3.

on
fid
Exercice 4 :
Soient les représentations symboliques 11 H ; 126 C ; 147 N ; 168 O ; 1632 S ; 1735Cl
en
1. Donner la représentation de Lewis de chacun des éléments correspondants.

tie
2. En déduire la représentation de Lewis de chacune des molécules suivantes : C3H8 ; COCl2 ; CS2 ; CO (NH2)2.
lc
is
sd
Exercice 5 :
1. Donner le schéma de Lewis des éléments suivants : H; C; N; O.
or
2. Donner la formule développée pour chacun des composés suivants : CH4O; C3H6O ; N2H4 ; C3H6 ; C2H4O et N2H2
os
3. Donner une représentation de Lewis de chacune des molécules suivantes : CO(NH2)2; C3H7NO; C3H3N; N(CH3)3.
p.
e−
Exercice 6 :
m
On considère les composés de formules brutes : H2S ; NH3 ; C2H4O2 et C3H6O2 ; CH2O2; C2H4O2; CH3CN; CO(CH3)2.
on
Enoncer la règle de l’octet et établir une formule développée de chacune de ces molécules.
si
te
Exercice 7 :
.c
Quel type d’ion l’élément oxygène, de numéro atomique Z = 8, donne-t-il ? En déduire les charges des cations dans
om
les composés ioniques suivants : K2O; FeO; Fe2O3; MgO; Al2O3.
Exercice 8 :
1. Donner la formule électronique de l’atome de carbone dont le nombre de charge du carbone est Z = 6.
2. Qu’est-ce que la représentation de Lewis d’un atome ? Donner la représentation de Lewis du carbone. Quel
renseignement en tirez-vous ?
3. Quelle est la quantité de matière (en mol) dans 4,8 g de carbone pur ? Quelle masse de carbone faut-il prendre
pour disposer de 2,75 mol de ce corps ?
4. Calculer, en kilogramme, la masse d’un atome de carbone.
Exercice 9 :
Les métaux calcium et sodium brûlent dans le dioxygène de l’air. Les oxydes métalliques qui se forment ont une
structure ionique.
1. Les atomes de ces éléments sont symbolisés par 8 O et 11 Na . En déduire leurs structures électroniques externes
2. Quels ions obtient-on à partir de l’atome d’oxygène et de l’atome de calcium ? En déduire les formules de l’oxyde
de calcium et de l’oxyde de sodium.
Exercice 10 :
1. Donner les formules statistiques des composés ioniques dont les noms suivent :
2. Le constituant majoritaire de l’émail des dents est l’hydroxyapatite. Sa formule est du type Cax(PO4)yOH.
Déterminer x et y
Exercice 11 :
Donner la formule statistique de chacun des composés ioniques dont les noms suivent :
- nitrate d’aluminium ; - phosphate de sodium ; - dichromate de potassium - sulfate de calcium
– chlorure de fer III ; – nitrate d’aluminium ; – permanganate de potassium.
On donne les formules des ions : SO4 (sulfate) ; Ca (calcium) ; Cl  (chlorure) ; Fe 3 (fer III) ; NO3 (nitrate) ;
2 2
Al 3 (aluminium) ; MnO4 (permanganate) ; K  (potassium) ; PO43 (phosphate) ; Na  (sodium) ; Cr2O72(dichromate)
Exercice 12 :
1. Le chlorure de magnésium a pour formule MgCl2. A-t-il une structure moléculaire ? Justifier votre réponse.
2. Donner la formule statistique des composés ioniques formés à partir des ions suivants et les nommer : {Na+
et PO43 } ; { Al 3 et SO42 } ; { Cu 2 etNO3 } ; { Fe 3 etSO42 }.
On donne les noms des ions : Na  : ion sodium ; PO43 : ion phosphate ; Cu 2 : ion cuivre (II) ; SO42 : ion
sulfate ; Fe 3 : ion fer (III) ; NO3 : ion nitrate.
C
on
Exercice 13 :
fid
On donne les éléments suivants et les numéros atomiques correspondants : 9 F ; 11 Na ; 12 Mg

en
1. Pour chaque élément, écrire la formule électronique et donner le schéma de Lewis.

tie
2. Donner le nom à laquelle appartient chacun de ces éléments.

lc
3. Quels ions ces atomes ont-ils tendance à donner ?

is
4. Calculer la masse en kilogramme de l’ion fluorure. Y a-t-il une grande différence entre la masse de l’ion fluorure et
sd
de l’atome de fluor ? Pourquoi ?

or
5. Combien y a-t-il d’atomes de fluor dans 4,5 g d’un échantillon de fluor.

os
p.
Exercice 14 :
e−
On considère les éléments chimiques dont les représentations sont : 11 H ;199 F ;13 27
Al
m
1. Donner la composition de leurs noyaux.

on
2. Déterminer la formule électronique de chacun de ces éléments. En déduire leur place dans la classification
si
périodique simplifiée.
te
3. Enoncer la règle de l’octet. En déduire la formule de l’ion fluorure et de l’ion aluminium. Le fluorure d’aluminium est
.c
un composé ionique ; déterminer sa formule statistique.

o
4. L’aluminium peut-il former une liaison covalente, telles qu’on les a définies, avec d’autres éléments ? Justifier la
m
réponse.
5. Quelle est la formule de la molécule de fluorure d’hydrogène ? Donner sa représentation de Lewis.
6. Donner la représentation de Lewis du chlorure d’aluminium. La règle de l’octet est-elle vérifiée pour l’aluminium ?
Exercice 15 :
1. On considère l’élément soufre de symbole S, de nombre de charge Z = 16 et de masse atomique M = 32 g.mol-1.
1.1 Quels sont les nombres de protons, de neutrons et d’électrons dans un atome de soufre de nombre de
masse A = 32 ?
1.2 Calculer la masse d’un atome de soufre.
1.3 Donner la formule électronique de l’atome de soufre. Quelle est sa représentation de Lewis ?
2. Etude de quelques composés du soufre. Le sulfure d’hydrogène est formé de soufre et d’hydrogène.
2.1 Quelle est sa formule ? Donner la représentation de Lewis de sa molécule.
2.2 Quelle est la masse d’une molécule de sulfure d’hydrogène ?

C4 MOLES – GRANDEURS MOLAIRES
Exercice 1 :
1. Combien y a-t-il de charges électriques élémentaires dans 0,5 mol d’ions cuivre (II) ?
2. Calculer la charge électrique portée par 3.10 -2 mol d’ions cuivre (II). On donne : e = 1, 6. 10 -19 C.
Exercice 2:
1. Le glucose, l’ammoniac, le sulfate d’aluminium et l’hydrazine ont respectivement pour formule C6H12O6, NH3,
Al2(SO4)3 et N2H2. Calculer la masse molaire moléculaire et la masse d’une molécule pour chacun de ces composés.
2. Même question pour les composés de formules C3H5O9N3 et (NH4)4Fe (SO4)2, 6H2O.
Exercice 3 :
1. Quelle masse de chacune de ces substances faut-il peser pour obtenir 0,1 mol de dihydrogène ; 0,05 mol de
dichlore et 0,15 mol de chlorure d’hydrogène ?
2. Calculer le nombre de moles contenues dans 5 g de dioxyde de carbone, 1 L d’eau et dans 3,4 g d’un morceau de
craie constituée du composé de formule CaCO3.
Exercice 4 :
C
on
On veut comparer deux échantillons de même masse, l’un de cuivre et l’autre d’aluminium. La quantité de matière
contenue dans l’échantillon de cuivre est de 0,40 mol.
fid
1. Quelle est la masse de l’échantillon d’aluminium ?

en
2. Quelle est la quantité de matière contenue dans l’échantillon d’aluminium ?

tie
lc
Exercice 5 :
is
L’acide sulfurique, de formule H2SO4, a pour masse volumique ρ = 1,8 g.mL-1. Déterminer le nombre de moles
sd
d’acide sulfurique contenues dans un volume v = 3 cm3.

or
os
Exercice 6 :
p.
Les questions de cet exercice sont indépendantes.

e−
1. L’aspirine a pour formule C9H8O4. Calculer la quantité d’aspirine (en mol) contenue dans un comprimé d’aspirine
m
simple de masse 500 mg.

on
2. La formule du cholestérol est C27H46O. Le résultat d’une analyse sanguine est de 6,5 mmol.L-1. Exprimer le
résultat de cette analyse en g.L-1.
si
3. La nitroglycérine est un explosif de formule C3H5O9N3. Déterminer sa masse molaire moléculaire. Etablir sa
te
.c
composition centésimale massique de chacun des éléments présents dans cette molécule.
o m
Exercice 7 :
1. Calculer sa masse molaire moléculaire de l’urée qui a pour formule CO(NH2)2
2. Calculer le pourcentage en masse des éléments qui composent la molécule d’urée.
3. Donner le schéma de Lewis de chacun des éléments suivants H, C, N, O de numéros atomiques respectifs 1, 6,
7,8. En déduire la représentation de Lewis de l’urée
Exercice 8 :
L’analyse d’un composé organique A montre que sa composition centésimale massique est la suivante : C : 21,1% ;
H : 6,6% ; N : 46,4% ; O : 26,9%. Certaines méthodes physiques permettent de connaître une valeur approchée de
sa masse molaire qui est égale à 60 g.mol-1.
1. Déterminer la formule brute de A.
2. Donner la structure de Lewis du composé A dans les cas suivants :
2.1 L’atome d’oxygène est lié à un atome d’azote et à un atome de carbone.
2.2 L’atome d’oxygène est lié à un atome d’azote et à un atome d’hydrogène.
2.3 L’atome d’oxygène est lié à un atome d’hydrogène et à un atome de carbone.
NB : Dans tous les cas il existe une liaison covalente multiple entre les atomes d’azote dans la molécule A.
Exercice 9 :
Une molécule comporte seulement du carbone, de l’hydrogène et de l’azote. Les pourcentages massiques de
carbone et de l’hydrogène sont : C : 70,6% et H : 2%. Sachant que la molécule ne comporte qu’un seul atome
d’hydrogène, déterminer sa formule brute et établir sa formule développée.
Exercice 10 :
1. Un atome a pour formule électronique K2L6.
1.1 Quelle est la place de l’élément correspondant dans le tableau de la classification périodique simplifiée ?
1.2 Quel est le numéro atomique de cet élément ? En déduire son nom.
2. Déterminer la formule électronique de l’élément qui se trouve au dessous de celui étudié au 1 ?
3. Un composé ne contenant que du soufre et de l’oxygène a pour masse molaire 64 g.mol-1. Il contient la même
masse de soufre et d’oxygène. Quelle est sa formule brute ?
Exercice 11 :
L’analyse élémentaire de la caféine donne les pourcentages massiques suivants : C : 32,8% ; H : 6,8% ; O : 22%. La
caféine contient en outre de l’azote.
1. Déterminer la formule brute de la caféine.
2. Parmi les formules développées correspondant à la formule brute trouvée, donner celle dans laquelle :
- chaque atome de carbone est lié à un atome d’azote par une liaison simple ;
- il existe deux atomes de carbones doublement liés à deux atomes d’oxygène.
C
on
Exercice 12 :
fid
Un composé organique gazeux A, essentiellement formé de carbone, d’hydrogène et d’oxygène, a pour composition
en
centésimale massique suivante : C : 62,07% ; H : 10,34%. Par ailleurs, la molécule de A ne comporte qu’un atome
tie
d’oxygène.
lc
1. Calculer le pourcentage massique de l’oxygène ; en déduire la masse molaire de A ainsi que sa densité de
is
vapeur.
sd
2. Déterminer la formule brute de A et proposer une formule développée de A.

or
os
Exercice 3 :
1. Déterminer la formule brute de chacun des composés suivant :
p.
e−
1.1 l’aspirine dont la molécule contient huit atomes d’hydrogène et a pour composition centésimale
massique : carbone : 60% ; oxygène ; 35,56%.
m
1.2 un composé organique de masse molaire M = 42 g.mol-1 ne contenant que les éléments carbone et
on
hydrogène dont l’analyse d’un de ses échantillons montre qu’il renferme en masse six fois plus de carbone
si
que d’hydrogène.
te
2. Calculer la masse d’une molécule chacun des composés du 1. On donne N = 6,02.1023 mol-1
.c
om
Exercice 13 :
Les dissolvants pour vernis à ongle, vendus en parfumerie et en pharmacie, sont souvent à base de propanone. On
se propose d’établir la formule de la propanone sachant que :
- la propanone ne contient que les éléments carbone, hydrogène et oxygène ;
- l’analyse d’un échantillon de propanone fournit : mC = 6 mH et mC = 2,25 mO avec mC ; mH et mO les masse de
carbone, d’hydrogène et d’oxygène présentes dans l’échantillon;
- la molécule de propanone ne possède qu’un seul atome d’oxygène.
1. Etablir la formule de la propanone et calculer sa masse molaire.
2. Calculer le nombre de moles contenues dans un litre de propanone.
On donne en g/mol : H : 1 ; C : 12 ; O : 16 - la masse volumique de la propanone est 8.102 kg/m3
Exercice 14 :
L’élément lithium à l’état naturel est formé par un mélange de deux nucléides dont les pourcentages atomiques sont
les suivants : 7,4% de 36 Li et 92,6% de 37 Li . Sachant que les masses d’une mole d’atomes de ces nucléides sont
respectivement 6,0137 g et 7,0144 g ; calculer la masse molaire atomique de l’élément lithium naturel.

Exercice 15 :
35
Le chlore possède deux isotopes naturels dont les abondances isotopiques sont de 75,8% de Cl et 24,2% de
37
Cl . Calculer sa masse molaire atomique.
Exercice 16 :
1. Un corps A a pour formule CHxCly ; les nombres x et y sont des entiers non nul.
1.1 L’analyse montre qu’un échantillon de 500 mg de A contient 70,5 mg de carbone. En déduire la valeur de
la masse molaire de A.
1.2 Trouver est la formule de A.
2. Donner la représentation de Lewis du dichlorométhane de formule CH2Cl2.
Exercice 17 :
Le phosgène est un composé gazeux toxique, de formule COCl2.
1. Calculer, dans les CNTP, le volume v occupé par une masse m = 68 g de phosgène.
2. En déduire le nombre de mole de molécules de phosgène contenu dans v.
On donne, en g.mol-1, les masse molaires atomique (H : 1 ; C : 12 ; N : 14 ; O : 16 ;S : 32 ; Cl : 35,5 ; Fe : 56) et le
nombre d’Avogadro N = 6,02.1023 mol-1
Exercice 18 :
C
1. Après avoir donner la signification de la constante d’Avogadro, énoncer la loi d’Avogadro Ampère.
on
2. Déterminer la densité d’un gaz par rapport à l’air dont la masse volumique mesurée dans les conditions normales
fid
est ρ = 2,85 g.L-1

en
Exercice 19 :
tie
Un ballon à vide a une masse de 54,60 g. Si le ballon est rempli de dioxygène, sa masse devient 54,78 g ; s’il est
lc
rempli d’un autre gaz dans les mêmes conditions de température et de pression, sa masse est de 55,05 g.
is
En déduire, parmi les composés suivants, celui qui correspond au gaz contenu dans le ballon : CO ; SO2 ; CO2 ; SO3.
sd
or
Exercice 20 :
os
On considérera que le volume molaire gazeux vaut Vm = 25 L.mol-1. Un flacon de volume V = 0,75 L, contient une
p.
masse m = 1,32 g d’un gaz inconnu.

e−
1. Calculer la masse molaire moléculaire de gaz.

m
2. Ce gaz est de formule générale CnH2n+2 où n est un nombre entier non nul. Déterminer n.
on
3. Proposer une formule développée pour ce gaz.

si
te
Exercice 21 :
.c
Lors d’une expérience de chimie, une masse m = 8,925 g d’un composé gazeux (A) occupe un volume de 11,76 L
o
dans les conditions normales de température et de pression où le volume molaire gazeux Vm = 22,4 L.mol -1.
m
1. Déterminer la masse molaire de (A).

2. Si le composé (A) est l’un des composés de la première question, l’identifier par sa formule et son nom.
3. Calculer la masse de 10 L de ce gaz dans les CNTP.
Exercice 22 :
On considère deux corps purs gazeux notés A et B dont les molécules ne renferment que les éléments carbone et
hydrogène. On effectue les mélanges de A et B suivants :
- mélange 1, de masse m1 = 19,0 g, qui contient 0,1 mol de A et 0,3 mol de B ;
- mélange 2, de masse m2 = 10,6 g, qui contient 0,3 mol de A et 0,1 mol de B.
1. Quelles sont les masses molaires MA et MB ?
2. Déterminer la formule et le nom de A
3. Quelle est la formule du corps B sachant que sa molécule possède 2,5 fois plus d’atomes d’hydrogène que
d’atomes de carbone ?
4. Quel doit être le pourcentage, en mol de A, d’un mélange de A et B pour que ce mélange contienne des masses
égales de A et de B ?

C5 REACTIONS CHIMIQUES. EQUATION-BILAN
Exercice 1 :
Equilibrer et compléter, si nécessaire, les équations bilan suivantes :
1. ...Mg  CO2  ...MgO  ...C 2. UO2  ...HF  UF4  ...H 2 O
3. ...CuO  C  ...Cu  CO2 4. ... Al  Cr2 O3  Al 2 O3  ...Cr
5. CH 4  ...Cl 2  ...HCl  C 6. CO  Fe3 O4  CO2  Fe
7. N 2 O5  NO2  O2 8. C n H 2 n  2 O  O2  CO2  H 2 O
9. CuO  C  Cu  CO2 10. Fe3O4  O2  Fe2 O3
Exercice 2:
La combustion est un gaz utilisé comme combustibles domestiques de formule C3H8 ; sa combustion donne du
dioxyde de carbone et de l’eau.
1. Ecrire l’équation-bilan de la réaction de combustion du propane.
2. Sachant qu’une bouteille de propane contient 15 kg de gaz liquéfié, calculer la masse de dioxyde de carbone
formé lorsqu’on brûle tout le gaz contenu dans la bouteille.
C
on
Exercice 3 :
fid
La combustion complète de 1L d’un hydrocarbure gazeux de formule brute CnH2n+2 nécessite 5 L de dioxygène et a
en
donné 3 L de dioxyde de carbone et de l’eau.

1. Equilibrer l’équation bilan de la réaction.
tie
2. Trouver la formule brute de l’hydrocarbure, puis proposer une formule développée.

lc
is
Exercice 4 :
sd
1. Le butane est un gaz de formule C4H10.

or
1.1 Ecrire l’équation bilan de sa combustion complète dans le dioxygène sachant qu’il se forme du dioxyde
os
de carbone et de l’eau.
p.
1.2 Calculer la masse de dioxygène nécessaire pour la combustion complète de 1,16 kilogramme de butane.
e−
1.3 Quelle est la masse d’air correspondante sachant que l’air renferme en nombre de moles 20% de
m
dioxygène et 80% de diazote ?

on
2. L’éthane est un gaz qui a pour formule C2H6. Quelle masse d’éthane brûlant dans les mêmes conditions produirait
si
la même masse de dioxyde de carbone ?

te
.c
Exercice 5 :
om
Un mélange gazeux est constitué de méthane (CH4) et de propane (C3H8).

1. Ecrire les équations bilan de leurs combustions complètes dans le dioxygène sachant qu’il se forme du dioxyde de
carbone et de l’eau.
2. La combustion complète de 10,4 g de ce mélange nécessite 26,88 L de dioxygène. Déterminer la composition
molaire initiale de ce mélange puis la composition centésimale massique.
Exercice 6 :
La pyrite FeS2 réagit avec le dioxygène de l’air O2 pour donner du dioxyde de soufre SO2 et de l’oxyde ferrique FeO3.
1. Ecrire l’équation bilan de la réaction.
2. Quelle masse de pyrite de fer est nécessaire à la formation de 95,7 g d’oxyde ferrique.
3. On mélange maintenant 48 g de pyrite à 40 g de dioxygène.
3.1 Y a-t-il un réactif en excès ? Lequel ?
3.2 Déterminer la masse restante du réactif mis en excès.
3.3 Calculer la masse de chacun des produits formés.
4. Quelle masse de dioxygène serait nécessaire si le rendement de la réaction était de 80% ? Quel serait son
volume ? On donne les masses atomiques en g.mol-1 : O : 16 ; S: 32; Fe : 56. Volume molaire : Vm = 24 L.mol-1

Exercice 7 :
On fait réagir une masse m = 2,3 g de sodium (Na) dans un volume V = 1,5 L de dioxygène ; on obtient du
monoxyde de disodium Na2O.
1. Ecrire et équilibrer l’équation-bilan de la réaction.
2. Montrer que l’un des réactifs est en excès. Lequel ?
3. Calculer la masse restante du réactif en excès.
4. Calculer la masse du produit formé. On donne en g/mol : O : 16 ; Na : 23 et Vm=24 L.mol-1
Exercice 8 :
Un mélange de 2 L de dichlore (Cl2) et de 4 L de dihydrogène (H2) réagit pour donner du chlorure d’hydrogène HCl.
2. L’un des réactifs est-il en excès ? Si oui, lequel ?
3. Quel est le volume final si tous les volumes sont mesurés dans les mêmes conditions ?
4. Quelle est la composition du mélange final ? Donner la réponse sous forme de pourcentage en nombre de moles
de chacun des constituants.
Exercice 9 :
Le supercarburant sans plomb, est un mélange de 98% d’isooctane de formule C8H18 et de masse volumique
1  0,70 g / cm 3 et de 2% d’heptane de formule C7H16 et de masse volumique  2  0,66 g / cm 3 .
C
1. Ecrire pour chacun de ces hydrocarbures (isooctane et heptane) l’équation bilan de réaction de combustion
on
complète.
fid
2. Calculer le volume de dioxygène nécessaire à la combustion de 1 L de supercarburant.

3. Calculer le volume de dioxyde de carbone formé lors de cette combustion.
en
tie
Exercice 10 :
lc
La soude NaOH est souvent préparée par réaction entre le carbonate de sodium Na2CO3 et l’hydroxyde de calcium
is
Ca(OH)2. En même temps que la soude, il se forme du carbonate de calcium CaCO3.

sd

or
2. Sachant que le rendement de la réaction est estimé à 86%, déterminer la masse de soude effectivement obtenue
os
à partir d’une tonne de carbonate de sodium.

p.
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : H : 1 ; C : 12; O : 16 ; Na : 23 ; Ca : 40

e−
m
Exercice 11 :
on
On mélange m1 = 20 g d’aluminium et m2 = 20 g de soufre, et on enflamme le mélange ; il se forme du sulfure

si
d’aluminium Al2S3.
te
1. La réaction cesse par manque de l’un des réactifs. Lequel ? Calculer la masse du réactif restant et la masse de
.c
sulfure formée.
o
2. Pendant la réaction, 8% de la masse de soufre contenue dans le mélange brûle dans le dioxygène de l’air en
m
donnant du dioxyde de soufre, au lieu de réagir avec l’aluminium. Calculer la masse de sulfure d’aluminium
effectivement produite. On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : S : 32 ; Al : 27
Exercice 12 :
1. L’aluminium réagit avec l’oxyde de fer Fe2O3 pour donner du fer et de l’alumine Al2O3.
1.1 Quelle masse de fer est-il possible d’obtenir à partir de 40 g d’oxyde de fer ?
1.2 On obtient en réalité 21 g de fer car les réactifs sont à l’état solide et le mélange réactionnel n’est pas
facile à réaliser. On définit le rendement de la réaction comme le rapport entre la masse réelle formée et la
masse théorique espérée. Calculer le rendement de cette réaction.
2. Le disulfure de fer FeS2 est un minerai naturel appelé aussi pyrite dont on extrait le fer pur ; l’opération se fait en
plusieurs étapes :
2.1 La première étape consiste à faire réagir le dioxygène sur la pyrite, les produits de la réaction étant
l’oxyde de fer Fe2O3 et le dioxyde de soufre ; calculer la masse d’oxyde de fer qu’il est possible d’obtenir à
partir d’une tonne de minerai dans un excès de dioxygène.
2.2 La seconde étape utilise le principe de l’aluminothermie, l’oxyde de fer réagit avec de l’aluminium en
excès. Calculer la masse de fer obtenue sachant que le rendement de la réaction est de 70%.
Exercice 13 :
On considère la réaction d’équation bilan : HCl  O2  H 2 O  Cl 2
1. Quelle quantité de dichlore obtient-on à partir de 50 mol de chlorure d’hydrogène ? Quelle est la quantité de
dioxygène nécessaire ?
2. On considère une quantité de dioxygène égale à 300 mol.
2.1 Quelle quantité de chlorure d’hydrogène faut-il utiliser pour obtenir un mélange stœchiométrique
correspondant à la réaction précédente ?
2.2 Quelle quantité de dichlore obtiendrait-on à partir du mélange ainsi préparé ?
3. On mélange 10 mol de dioxygène et 20 mol de chlorure d’hydrogène.
3.1 Ce mélange est-il stœchiométrique, sinon quel est le réactif en défaut ?
3.2 Quelle est la composition du mélange obtenu après réaction totale.
Exercice 14 :
On considère la réaction d’équation-blilan : O2  4 HCl  2 H 2 O  2Cl 2
1. Quelle quantité de matière de dichlore obtient-on à partir de 50 mol de chlorure d’hydrogène ? Quelle est alors la
quantité de dioxyde nécessaire ?
2. On dispose de 10 mol de dioxygène et de 20 mol de chlorure d’hydrogène.
2.1 Quel est le réactif en excès ?
2.2 Donner la composition du mélange obtenu à la fin de la réaction.
C
on
Exercice 15 :
fid
1. Calculer la concentration de la solution d’acide chlorhydrique formée en dissolvant 21,9 g de chlorure d’hydrogène
dans la quantité d’eau distillée nécessaire pour obtenir 250 cm3 de solution.
en
2. On prélève 100 cm3 de cette solution dans laquelle on ajoute 6,54 g de zinc.
tie
2.1 Ecrire l’équation bilan de la réaction. Restera-t-il du zinc après la réaction ? Si oui, calculer la masse de
lc
zinc restante.
is
2.2 Calculer le volume normal de dihydrogène dégagé et la masse de chlorure de zinc ZnCl2 qu’on
sd
obtiendrait par évaporation de la solution.

or
3. Même question qu’au 2 si une masse de zinc égale à 13,8 g réagit avec les 100 cm3 de chlorure d’hydrogène.
os
p.
Exercice 16 :
e−
On mélange 32 g d’oxyde de fer Fe2O3 et 15 g de poudre d’aluminium. La réaction est amorcée et il s’est formé du
m
fer liquide et de l’oxyde d’aluminium Al2O3.

on
1. Ecrire l’équation-bilan de cette réaction.

si
2. Quel est le nombre de moles d’aluminium nécessaire pour faire réagir tout l’oxyde de fer ? Quelle est la masse
te
d’aluminium correspondant ?
.c
3. Reste-t-il de la poudre d’aluminium ? Si oui, combien ? On donne en g.mol-1 : O : 16 ; Al : 27 ; Fe : 56.

o m
Exercice 17 :
Dans une pile à combustibles, le combustible est l’hydrazine N2H4 (liquide) et le comburant est le dioxygène O2
(gaz). L’équation-bilan de la réaction est : N 2 H 4  O2  N 2  H 2 O
1. Dans quelle proportion faut-il mélanger les réactifs pour qu’ils soient dans les proportions stœchiométriques ?
2. Cette pile contient 320 g d’hydrazine liquide et 2 L de dioxygène stocké dans des conditions où le volume molaire
vaut 0,168 L.mol-1.
2.1 Calculer les quantités de matière de chacun des réactifs.
2.2 Quel réactif disparaîtra en premier ? Quelle quantité de l’autre réactif reste-t-il alors ?
Exercice 18 :
Le métal uranium est préparé à partir de son oxyde UO2 en deux étapes dont voici les équations bilans non
équilibrées : UO 2  HF  UF4  H 2 O et UF4  Ca  U  CaF2
1. Equilibrer les deux équations bilans.
2. Quelle masse d’uranium peut-on obtenir à partir de 1 kg d’oxyde d’uranium ? Quelles sont les masses de calcium
et de fluorure d’hydrogène nécessaires ? On donne en g/mol : F : 19 ; Ca : 40 ; U : 238
Exercice 19:
1. La pyrite, de formule FeS2, finement broyée, puis chauffée dans le dioxygène de l’air en excès à plus de 1000 0C,
est totalement transformée en oxyde de fer Fe2O3 (solide) et en dioxyde de soufre SO2 (gaz). L’opération porte le
nom de grillage.
1.1 Ecrire l’équation bilan de la réaction de grillage.
1.2 Quelle masse de dioxyde de soufre obtient-on au grillage d’une tonne de pyrite ?
2. Le dioxyde de soufre peut aussi être par oxydation du sulfure d’hydrogène H2S par l’air selon l’équation-bilan
suivante : H 2 S  O2  SO2  H 2 O
Combien de moles de sulfure d’hydrogène faut-il mettre en œuvre pour préparer la même quantité de dioxyde de
soufre que celle qui résulte du grillage d’une tonne de pyrite ?
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : H : 1 ; O : 16 ; S : 32 ; Fe : 56.
Exercice 20:
1. Un composé organique gazeux A, essentiellement formé de carbone, d’hydrogène et d’oxygène, a pour
composition centésimale massique suivante : C : 62,07% ; H : 10,34%. Par ailleurs, la molécule de A ne comporte
qu’un atome d’oxygène.
1.1 Calculer le pourcentage massique de l’oxygène ; en déduire la masse molaire de A ainsi que sa densité
de vapeur.
1.2 Déterminer la formule brute de A.
1.3 Proposer une formule développée de A.
C
on
2. On réalise la combustion d’une masse m = 5,8 g de propanal de formule C3H6O dans un flacon de volume V = 5 L
rempli de dioxygène ; il se forme du dioxyde de carbone et de l’eau.
fid
2.1 Ecrire l’équation-bilan de la réaction de combustion puis l’équilibrer.

en
2.2 Montrer que l’un des réactifs utilisé est en défaut.

tie
2.3 Calculer le volume de dioxyde de carbone et le volume d’eau formé.

lc
2.4 Quelle est la masse restante du réactif en excès. Donnée : volume molaire : Vm = 25 L.mol-1
is
sd
Exercice 21 :
or
1. Le nombre de charge du carbone est Z = 6.

os
1.1 Donner la formule électronique de l’atome de carbone.

p.
1.2 Qu’est-ce que la représentation de Lewis d’un atome ? Donner la représentation de Lewis du carbone.
e−
Quel renseignement en tirez-vous ?

1.3 Quelle est la quantité de matière (en mol) dans 4,8 g de carbone pur ?
m
on
Quelle masse de carbone faut-il prendre pour disposer de 2,75 mol de ce corps ?
1.4 Calculer, en kilogramme, la masse d’un atome de carbone.
si
2. On s’intéresse à la combustion du carbone.

te
.c
2.1 Ecrire l’équation-bilan de cette combustion.

o
2.2 Quel volume d’air, mesuré dans les conditions où le volume molaire vaut 25 L.mol-1, faut-il mettre en
m
œuvre pour faire brûler le contenu d’un sac de 75 kg de charbon supposé constitué de carbone pur ?
2.3 Quel volume de dioxyde de carbone forme-t-on ?
2.4 Comment caractérise-t-on le dioxyde de carbone ?
3. Le méthane est un combustible domestique.
3.1 Donner la représentation de Lewis du méthane. Quelle est la structure de la molécule de méthane ?
3.2 Ecrire l’équation-bilan de la combustion complète du méthane.
3.3 Quel volume d’air faut-il mettre en œuvre pour faire brûler complètement 25 m3 de méthane ? Quel est le
volume de dioxyde de carbone formé ? NB : Tous les volumes sont mesurés dans les mêmes conditions.
Exercice 22 :
On mélange de 10 g d’aluminium et de cuivre en poudre est attaqué par une solution d’acide chlorhydrique en excès.
1. Sachant que le volume de dihydrogène recueilli est 10,8 L, calculer les masses respectives d’aluminium et de
cuivre contenues dans le mélange.
2. En déduire la proportion de chaque métal dans le mélange.
3. On filtre la solution obtenue, quelle masse de solide recueille-t-on ?
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : Al : 27 ; Cl : 35,5 ; Cu : 63,5. Volume molaire : Vm = 24 L.mol-1
Exercice 23 :
Le kérosène, carburant pour avion à réaction, est un mélange d’hydrocarbures. On admet que celui qui se trouve en
plus grande quantité a pour formule C12 H26
1. Ecrire l’équation-bilan de sa réaction de combustion, sachant que cette réaction produit de l’eau et du monoxyde
de carbone en raison de la température très élevée à laquelle elle a lieu.
2. Le premier étage de la fusée Saturne V, lanceur du programme Apollo, contient 600 tonnes de kérosène. Quelle
masse de dioxygène faut-il prévoir pour brûler tout le kérosène ?
Exercice 24 :
Un mélange de 2 L de dichlore (Cl2) et de 4 L de dihydrogène (H2) réagit pour donner du chlorure d’hydrogène HCl.
2. L’un des réactifs est-il en excès ? Si oui, lequel ?
3. Quel est le volume final si tous les volumes sont mesurés dans les mêmes conditions ?
4. Quelle est la composition du mélange final ? Donner la réponse sous forme de pourcentage en nombre de moles
de chacun des constituants.
Exercice 25 :
On dispose d’un mélange de carbone et de soufre en poudre, dont la masse est égale à 1,1g. On place ce mélange
dans un four el on réalise la combustion avec du dioxygène en excès. Les gaz engendrés par la combustion sont
envoyés dans un flacon-laveur (piège) et on constate que la masse de ce flacon augmente de 2,7g au cours de
C
l’expérience.
on
1. Ecrire l’équation-bilan des combustions du carbone et du soufre.

fid
2. Quelle est la masse de dioxyde de carbone obtenu quand 1g de carbone brûle ?

en
Quelle est la masse de dioxyde de soufre obtenu quand 1g de soufre brûle ?

tie
3. En notant x et y les masses de carbone et de soufre dans le mélange étudié, écrire deux équations entre x et y.
lc
Résoudre le système et donner la composition du mélange.

is
sd
Exercice 26 :
or
Un eudiomètre est une éprouvette graduée, en verre épais, dont le fond porte deux électrodes de platine entre
lesquelles peut jaillir une étincelle. Cet eudiomètre contient initialement x mol de dihydrogène et x mol de dioxygène ;
os
le volume du mélange est V = 40 cm3. On provoque la réaction et on s’arrange pour que la température et la
p.
pression reviennent à la leurs valeurs initiales. L’eau formée est alors liquide et le volume du mélange gazeux n’est
e−
plus que v cm3.

m
1. Ecrire l’équation-bilan de réaction. x mol de dihydrogène

on
2. Calculer la valeur du volume v. Quelle est la nature x mol de dioxygène

si
du gaz restant dans l’eudiomètre ?

te
3. Calculer la masse d’eau formée sachant que le

.c
o
volume molaire vaut, dans les conditions de

m
l’expérience, 24 L.mol-1. mercure
Exercice 27 :
1. On verse 10 mL d’une solution A d’acide chlorhydrique sur de la limaille de fer en excès. Un gaz se dégage ; il est
recueilli et son volume, mesuré dans les CNTP vaut V = 896 mL.
1.1 Quelle est la nature du gaz dégagé ?
1.2 Calculer la concentration de la solution A.
2. Une poudre est constituée d’un mélange intime de zinc et de cuivre. Pour analyser cette poudre, on y prélève un
échantillon de 10 g dans lequel on verse un excès de la solution A. Le gaz qui se dégage a pour volume mesuré
dans les CNTP égal à 1250 mL.
2.1 Ecrire l’équation bilan de la réaction.
2.2 En déduire les masses de zinc et de cuivre dans l’échantillon.
On donne les masses atomiques en g.mol-1 : Cu : 63,5 ; Zn : 65,4. Volume molaire : Vm = 22,4 L.mol-1

C6 GENERALITES SUR LES SOLUTIONS AQUEUSES
Exercice 1 :
Pour faire cure des pâtes, il est conseillé de faire bouillir 5 L d’eau et d’y ajouter deux cuillerées à café de sel (NaCl).
Calculer la concentration molaire ne sel de l’eau salée sachant qu’une cuillère contient 4,2 g de NaCl.
Exercice 2 :
On dissout un comprimé d’aspirine dans un verre contenant 100 mL d’eau. L’indication 500 signifie que le comprimé
contient 500 mg d’aspirine C9H8O4, principe actif de ce médicament. Calculer la concentration massique et la
concentration molaire de la solution.
Exercice 3 :
Quel volume d’eau faut-il ajouter à un volume V = 200 mL de sérum physiologique (eau salée) de concentration
molaire C1 = 0,1 mol.L-1 pour obtenir un sérum de concentration molaire C2 = 0,025 mol.L-1
Exercice 4 :
Calculer les concentrations molaires des différents ions en solution en dissolvant 0,784 g de « sel de Mohr » dans
100 cm3 d’eau. On donne: « sel de Mohr »: FeSO4, (NH4)2SO4, 6H2O; Fe: 56 g.mol-1; S: 32 g.mol-1; N: 14 g.mol-1
C
on
Exercice 5 :
fid
1. Quelle masse de sulfate de cuivre II faut-il dissoudre dans 500 cm3 d’eau pour obtenir une solution de
en
concentration en ions cuivre II égale à 0,025 mol.L-1. On donne : sulfate de cuivre II : CuSO4,5H2O; S : 32 g.mol-1;
tie
Cu :63,5 g.mol-1
lc
2. Quelle masse de sulfate d’aluminium faut-il dissoudre dans 500 cm3 d’eau pour obtenir une solution de
is
concentration 0,02 mol.L-1 en ions Al3+. On donne : sulfate d’aluminium : Al2(SO4)3;

sd
or
Exercice 6 :
os
Un industriel veut éliminer 1 m3 de déchets liquides dont la teneur en ions NO3- est de 10 g.L-1. Quel volume d’eau
p.
doit-il ajouter avant de les rejeter dans la rivière pour respecter la réglementation qui impose une concentration
e−
maximale de 50 mg.L-1 ?
m
on
Exercice 7 :
Une solution commerciale d’acide sulfurique H2SO4 de densité d = 1,84, contient 95% en masse d’acide pur.
si
1. Calculer la masse de 1 L d’acide de la solution commerciale. En déduire la masse d’acide pur contenu dans une
te
.c
bouteille de 1 L.
o
2. Calculer la quantité de matière en acide. En déduire la concentration molaire de l’acide.

m
Exercice 8 :
Une solution A, de volume VA = 0,5 L, contient 0,12 mol de nitrate de sodium. Une solution B, de volume VB = 1,5 L,
a été obtenue par dissolution dans l’eau de 12,3 g de nitrate de calcium, solide ionique de formule Ca(NO3)2.
1. On prélève à la pipette 10 cm3 de la solution A ; calculer le nombre de moles de chacun des ions présents dans
cette prise d’essai.
2. On mélange dans une fiole jaugée, 10 cm3 de la solution A, 20 cm3 de la solution B, et on complète avec de l’eau
jusqu’à ce que le volume final soit 100 cm3. Calculer la concentration de chacun des ions dans cette dernière
solution. On donne les masses molaires moléculaire en g.mol-1 : - nitrate de sodium : 85 ; - nitrate de calcium : 164
Exercice 9 :
Le carbonate de lithium Li2CO3 a une solubilité de 14,3 g.L-1 à 10 °C. On introduit 5 g dans 250 cm3 d’eau, on agite
pour favoriser la dissolution.
1. Quelles sont les concentrations dans la solution obtenue ? Le mélange est-il homogène ?
2. On ajoute 100 cm3 d’eau. Qu’observe-t-on ? Calculer les nouvelles concentrations.
3. On ajoute à nouveau 100 cm3 d’eau. Quelles sont les concentrations finales ?
Exercice 10:
L’acide éthanoïque est un liquide moléculaire de formule C2H4O2. On mélange 300 g d’acide éthanoïque et 500 cm3
d’eau pour obtenir 700 cm3 d’une solution homogène. Calculer les concentrations massique et molaire en acide
éthanoïque dans la solution obtenue. On donne la masse volumique de l’acide éthanoïque pur  = 1 049 kg.m-3.
Exercice 11:
On dissout 1 g de sel dans 250 mL d’eau.
1. Calculer la concentration massique et la concentration molaire volumique de l’eau salée.
2. Déterminer le rapport entre la concentration massique et la concentration molaire et compare avec la masse
molaire de sel. En déduire une relation entre ces trois grandeurs.
3. Démontrer ce résultat en raisonnant sur un soluté quelconque. On donne : M(NaCl) = 58,5 g.mol-1.
Exercice 12 :
Une solution A de volume VA = 0,5 L, contient 0,12 mol de nitrate de sodium. Une solution B de volume VB = 1,5 L, a
été obtenue par dissolution dans l’eau de 12,3 g de nitrate de calcium, solide ionique de formule ca(NO3)3.
1. On prélève à la pipette 10 cm3 de la solution A. Calculer le nombre de moles de chacun des ions présents dans
cette prise d’essai.
2. On mélange dans une fiole jaugée, 10 cm3 de la solution A, 20 cm3 de la solution B et on complète avec de l’eau
jusqu’à ce que le volume total soit 100 cm3. Calculer la concentration de chacun des ions dans cette dernière
solution. On donne les masses molaires en g.mol-1 : M (nitrate de sodium) = 85 ; M (nitrate de calcium) = 164
C
on
Exercice 13 :
fid
1. Déterminer la formule statistique puis calculer la masse molaire moléculaire de chacun des solides ioniques
en
suivants : - nitrate de baryum ; - nitrate d’aluminium. On donne : nitrate : NO3 ; - baryum : Ba2 ; - aluminium : Al 3 
tie
2. On dissout 4,686 g de nitrate d’aluminium dans de l’eau et on obtient une solution A de volume 100 mL. Quels
lc
sont les ions présents dans la solution obtenue ? Calculer la concentration de chacun d’eux en solution.
is
3. Une solution B a été obtenue en dissolvant 4,5.10-2 mol de nitrate de baryum dans 150 mL d’eau. Quel volume
sd
d’eau Ve faut-il ajouter à la solution B pour obtenir une solution B’ de concentration en ion NO3 égale à 0,25 mol.L-1.
or
os
4. On mélange dans une fiole jaugée, 15 mL de la solution de A, 20 mL de la solution de B et on complète avec de

l’eau jusqu’à ce que le volume total soit de 100 mL.
p.
Calculer la concentration de chacun des ions présents dans cette nouvelle solution.
e−
m
Exercice 14 :
on
Dans une fiole jaugée, on place 8,33 g de chlorure de calcium CaCl2, 0,146 g de chlorure de sodium Na Cl et 0,278
si
g de chlorure de plomb PbCl2.On complète à avec 250 mL d’eau distillée. La dissolution des solides introduits est
te
totale et ceux-ci existent, en solution, exclusivement sous forme d’ions.

.c
o
1. Déterminer le nombre de mole de chacun des solides ioniques introduits dans la fiole.
m
2. Ecrire l’équation de dissolution de chacun de ces solides ioniques et énumérer les ions présents dans la solution.
3. Calculer le nombre de moles de chacun de ces ions. En déduire la concentration de chaque ion dans la solution.
4. Quel volume d’eau distillée Ve faut-il ajouter à la solution précédente pour que la concentration en ion Na+ soit
égale à 10-3 mol.L-1. On donne en g/mol : Na : 23 ; Ca : 40,1 ; Cl : 35,5 ; Pb : 207.
Exercice 15 :
1. On réalise une solution S1 en dissolvant une masse m = 1,665 g de chlorure de calcium CaCl2 dans 250 mL d’eau
distillée.
1.1 Ecrire l’équation de dissolution.
1.2 Calculer la concentration massique puis la concentration molaire de la solution S1.
1.3 Calculer les concentrations molaires des ions présents dans la solution S1.
2. On dissout 4,3 g de chlorure de cuivre dihydraté CuCl2,2H2O dans 250 mL d’eau distillée, on obtient une solution
S2. Calculer la masse molaire moléculaire du chlorure de cuivre dihydraté et sa concentration.
3. Maintenant on mélange 50 mL de la solution S1 et 75 mL de la solution S2, on obtient une solution S3. Calculer la
concentration des ions Cl- présents dans la solution S3 sachant que le mélange s’effectue sans variation de volume.
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : Ca : 40 ; Cl : 35,5 ; Cu : 63,5.
C7 SOLUTIONS AQUEUSES ACIDES
Exercice 1 :
Calculer la masse volumique du chlorure d’hydrogène HCl dans les conditions normales où le volume molaire vaut
Vm = 22,4 L.mol-1. On donne M(HCl) = 36,5 g.mol-1.
Exercice 2 :
On veut préparer 5 L de dihydrogène, mesurés dans les conditions normales, en attaquant le zinc, le fer ou
l’aluminium par une solution chlorhydrique. Calculer les masses de chacun de ses métaux qui passeront en ion.
Exercice 3 :
On prépare du chlorure d’hydrogène par action de l’acide sulfurique concentré, à chaud, sur du chlorure de calcium.
A partir de 30 g de NaCl, quelle quantité de chlorure d’hydrogène et quel volume de solution à 1 mol.L-1 peut-on
obtenir ? On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : Na : 23 ; Cl : 35,5.
Exercice 4 :
Quelles masses de zinc, de fer et d’aluminium prises séparément faut-il faire réagir sur l’acide chlorhydrique en
excès pour obtenir 48 L de dihydrogène dans les conditions où le volume molaire vaut Vm = 24 L.mol-1 ?
C
on
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : H : 1 ; Al : 27 ; Cl : 35,5 ; Zn : 65,4 ; Fe : 56 ; Ag : 108.

fid
Exercice 5 :
en
On considère les monoacides que sont l’acide bromhydrique et l’acide perchlorique de formules respectives HBr et
tie
HClO4. Quels sont les ions présents dans chacune de ces deux solutions ?
lc
is
Exercice 6 :
sd
1. Quelle masse de chlorure d’hydrogène faut-il dissoudre pour obtenir 5 L d’une solution d’acide chlorhydrique de
or
concentration C= 2.10-1 mol.L-1 ?

os
2. Quelle sont les concentrations des ions H3O+ et Cl- présents dans cette solution ?
p.
3. Combien y a-t-il de moles d’ions H3O+ dans un prélèvement de 100 mL de cette solution ?
e−
m
Exercice 7 :
on
On fait réagir 50 mL d’une solution d’acide chlorhydrique, de concentration molaire 1 mol.L-1 sur de la grenaille de
zinc en excès. Quel volume de gaz peut-on espérer recueillir dans les conditions où Vm = 24 L.mol-1 ? Quelle masse
si
de solide recueillera-t-on, après filtration et évaporation de la solution obtenue ?

te
.c
o
Exercice 8 :
m
Dans 2 L d’une solution d’acide chlorhydrique, il y a 4 mol d’ions H3O+.

1. Quelle est la concentration de cette solution ?
2. Combien de moles d’ions Ag+ faudrait-il ajouter dans 10 cm3 de la solution con sidérée pour précipiter sous forme
de chlorure d’argent tous les ions Cl- présents ?
3. Quel volume de solution de nitrate d’argent de concentration C = 0,1 mol/L faudrait-il verser pour introduire ce
nombre de moles d’ions Ag+ ?
Exercice 9 :
1. On dispose d’une pipette jaugée de 10 mL, d’une pipette jaugée de 20 mL, d’une fiole jaugée de 100 mL et d’eau
distillée à volonté. A partir d’une solution d’acide chlorhydrique de concentration molaire 1 mol.L-1, on souhaite
préparer des solutions d’acide chlorhydrique de concentrations respectives : C1= 2.10-1 mol.L-1 ; C2=10-1 mol.L-1 ; C3=
4.10-2 mol.L-1 ; C4= 2.10-2 mol.L-1 Comment doit-on procéder ?
2. On considère maintenant la solution de concentration C2 = 10-1 mol.L-1 et on y prélève 20 mL que l’on place dans
une fiole jaugée de 200 mL. On ajoute ensuite de l’eau distillée jusqu’au trait de jauge.
2.1 Calculer la concentration de la solution d’acide ainsi obtenue.
2.2 Calculer le nombre de moles d’ions H3O+et Cl- contenus dans 10 mL de cette solution.
Exercice 10 :
On mélange deux solutions d’acide chlorhydrique : une solution A1 (V1 = 50 cm3 ; C1 = 10-2 mol.L-1) et une solution
A2 (V2 = 100 cm3; C2 = 10-3 mol.L-1). Quelle est la concentration de la solution obtenue ?
Exercice 11 :
On mélange de 10 g d’aluminium et de cuivre en poudre est attaqué par une solution d’acide chlorhydrique en excès.
1. Sachant que le volume de dihydrogène recueilli est 10,8 L, calculer les masses respectives d’aluminium et de
cuivre contenues dans le mélange.
2. En déduire la proportion de chaque métal dans le mélange.
3. On filtre la solution obtenue, quelle masse de solide recueille-t-on ?
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : Al : 27 ; Cl : 35,5 ; Cu : 63,5. Volume molaire : Vm = 24 L.mol-1
Exercice 12 :
1. Calculer la concentration de la solution d’acide chlorhydrique formée en dissolvant 21,9 g de chlorure d’hydrogène
dans la quantité d’eau distillée nécessaire pour obtenir 250 cm3 de solution.
2. On prélève 100 cm3 de cette solution dans laquelle on ajoute 6,54 g de zinc.
2.1 Ecrire l’équation-bilan de la réaction. Restera-t-il du zinc après la réaction ? Si oui, la masse de zinc
restant.
2.2 Calculer le volume normal de dihydrogène dégagé et la masse de chlorure de zinc (ZnCl2) qu’on
obtiendrait par évaporation de la solution.
C
3. Même question qu’au 2. si la masse de zinc mise en réaction avec les 100 cm3 de chlorure d’hydrogène est 13,8 g
on
fid
Exercice 13 :
en
1. On verse 10 mL d’une solution A d’acide chlorhydrique sur de la limaille de fer en excès. Un gaz se dégage ; il est
tie
recueilli et son volume, mesuré dans les CNTP vaut V = 896 mL.
lc
1.1 Quelle est la nature du gaz dégagé ?

is
1.2 Calculer la concentration de la solution A.

sd
2. Une poudre est constituée d’un mélange intime de zinc et de cuivre. Pour analyser cette poudre, on y prélève un
or
échantillon de 10 g dans lequel on verse un excès de la solution A. Le gaz qui se dégage a pour volume mesuré
os
dans les CNTP égal à 1250 mL.

2.1 Ecrire l’équation bilan de la réaction.
p.
e−
2.2 En déduire les masses de zinc et de cuivre dans l’échantillon.

On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : Cu : 63,5 ; Zn : 65,4. Volume molaire : Vm = 22,4 L.mol-1
m
on
Exercice 14 :
si
On obtient une solution S ' en mélangeant les deux solutions suivantes:

te
.c
- solution S1 : 10 mL d’acide chlorhydrique HCl ; de concentration C1.

o
- solution S2 : 20 mL d’acide sulfurique H2SO4; de concentration C2.

m
En ajoutant à la solution S ' du nitrate d’argent en excès, il se forme 1,435 g de chlorure d’argent. En ajoutant
également à cette solution S ' de la poudre d’aluminium en excès, il se dégage du dihydrogène de volume
V H 2  0,448 L ; volume mesuré dans les CNTP.
1. Ecrire les équations bilans des réactions qui se sont produites dans S ' .
2. Déterminer les concentrations C1 et C2 respectives de S1 et S2.
3. Déterminer les concentrations des ions présents dans S ' avant l’introduction du nitrate d’argent et de l’aluminium.
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : H : 1 ; Cl : 35,5 ; Ag : 108.
Exercice 15 :
Dans les laboratoires des lycées, la préparation de petites quantités de dihydrogène se fait souvent par action sur le
métal zinc d’une solution d’acide chlorhydrique.
1. Ecrire l’équation-bilan de la réaction.
2. Quelle masse de zinc faut-il employer pour obtenir 500 cm3 de dihydrogène dans les conditions normales de
température et de pression ?
3. Quel volume minimal d’une solution à 2 mol.L-1 faut-il utiliser ?
C8 SOLUTIONS AQUEUSES BASIQUES
Exercice 1 :
1. Quelle est la formule de la soude ? Quel est son état physique dans les conditions habituelles de températures et
de pression ?
2. Préciser les différentes étapes de la dissolution de la soude dans l’eau. Quel est l’effet thermique de la
dissolution ?
Exercice 2 :
A 25° C, on dissout 0,6 g de soude cristallisée de façon à obtenir 2 L de solution aqueuse. Quel doit être la
concentration molaire de cette solution ?
Exercice 3 :
On dispose d’une « lessive de soude » à 8 mol.L-1.
1. Quelle masse d’hydroxyde de sodium contiennent 250 cm3 de cette solution ?
2. On veut préparer 5 L d’une solution à 0,005 mol.L-1. Comment faut-il procéder ?
Exercice 4 :
C
on
Calculer les concentrations molaires des ions présents dans les solutions suivantes, en dissolvant :
- une masse m1 = 0,74 g d’hydroxyde de calcium dans 2 L d’eau.
fid
- une masse m2 = 0,56 g de potasse dans 300 mL d’eau.

en
tie
Exercice 5 :
lc
Calculer les concentrations molaires en ions Na+ et en ions Cl- lorsqu’on mélange les deux solutions aqueuses B1 et
is
B2 d’hydroxyde de sodium suivantes :

sd
- solution B1 de volume VB1 = 50 cm3 et de concentration CB1 = 2 mol.L-1

or
- solution B de volume VB2 = 200 cm3 et de concentration CB2 = 0,5 mol.L-1

os
p.
Exercice 5 :
e−
Au laboratoire, on dispose de quatre solutions d’hydroxyde de sodium notées B1, B2, B3 et B4 de concentrations
respectives C1 = 10-2 mol.L-1, C2 = 3.10-3 mol.L-1, C3 = 4 g/L et C4 = 0,2 g/L. Comparer les quantités de soude
m
on
contenue dans 25 cm3 de chacune de ces solutions.

si
Exercice 6 :
te
.c
1. Une solution de soude contient 20 g par litre de pastilles de soude.

o
1.1 Quelle est sa concentration molaire volumique ?

m
1.2 Quelle masse d’hydroxyde de sodium recueilleront-on en évaporant 500 cm3 de cette solution ?
2. On dispose maintenant d’une « lessive de soude » à 8 mol.L-1.
2.1 Quelle masse d’hydroxyde de sodium renferme 250 cm3 de cette lessive ?
2.2 On veut préparer 5 L d’une solution à 0,005 mol.L-1. Comment faut-il procéder ?
Exercice 7 :
Les solutions de soude sont très couramment utilisées au laboratoire de chimie. La soude NaOH se présente sous
forme de pastilles blanches. On veut préparer, pour une séance de TP, 500 mL d’une solution de concentration
molaire 1 mol.L-1
1. Calculer la masse de soude solide nécessaire.
2. Dresser la liste du matériel à utiliser pour préparer la solution. Expliquer le mode opératoire.
3. Pour une expérience, un élève doit utiliser 10 mL d’une solution de concentration 10-2 mol.L-1. Comment doit-il
procéder ?
4. Pour une deuxième expérience, l’élève dispose de la solution précédente et veut obtenir une nouvelle solution de
concentration 10-3 mol.L-1. Expliquer ce qu’il doit faire.

C9 NOTION DE pH – INDICATEURS COLORES
Exercice 1:
On veut obtenir une solution de pH = 4 à partir d’une solution d’acide chlorhydrique dont le pH est égal à 1.
Comment doit-on procéder ?
Exercice 2 :
Un bécher contient un volume VA = 20 cm3 d’une solution A d’acide chlorhydrique de concentration CA = 0,4 mol.L-1.
On y verse un volume VB = 15 cm3 d’une solution B d’hydroxyde de sodium de concentration CB = 0,6 mol.L-1.
1. La solution X, ainsi obtenue, est-elle acide ou basique ?
2. Calculer la concentration molaire de X.
3. Quel volume de A ou de B faut-il alors ajouter dans la solution X pour la neutraliser complètement ?
Exercice 3 :
On réalise une solution S en mélangeant un volume VA=10 cm3 d’une solution SA d’acide chlorhydrique de
concentration CA = 10-1 mol.L-1 à un volume VB=5 cm3 d’une solution SB de soude de concentration CB =10-1 mol.L-1.
1. Calculer les quantités d’ions H3O+ et OH- introduits dans le mélange.
2. Ecrire l’équation-bilan de la réaction qui se produit.
C
on
3. Calculer les concentrations des espèces contenues dans le mélange après la réaction.
4. Déterminer le pH du mélange.
fid
en
Exercice 4 :
tie
Une solution de soude commerciale est diluée 100 fois. La solution diluée est dosée par une solution d’acide
lc
chlorhydrique de concentration 10-1 mol.L-1. Une coulée de burette de 10,6 cm3 de solution acide permet de
is
neutraliser une prise d’essai de 10 cm3 de soude.

sd
1. Quelle est la concentration de la solution commerciale ?

or
2. On verse dans un tube à essai 20 cm3 de solution de sulfate de cuivre de concentration 0,05 mol.L-1.
os
2.1 Quel volume de solution de soude commerciale permet de précipiter entièrement les ions Cu2+?
p.
2.2 Combien de gouttes de solution faut-il verser ? Une goutte a un volume d’environ 0,05 cm3 ?
e−
m
Exercice 5 :
on
L’hydroxyde de calcium en solution dans l’eau ne donne que des ions calcium Ca2+ et des ions hydroxydes OH-.
1. Ecrire l’équation correspondant à son ionisation.
si
2. On le fait réagir sur une solution chlorhydrique ; il donne du chlorure de calcium ; quelle est la formule du de ce
te
.c
composé lorsqu’il est solide ?

o m
Exercice 6 :
1. On considère une solution S1 d’acide chlorhydrique de volume V1 = 0,5 mL dont le pH = 2.
1.1 Déterminer la concentration C1 de cette solution S1.
1.2 Calculer les quantités de matière d’ions H3O+.
2. On dispose par ailleurs d’une autre solution S2 d’acide chlorhydrique de volume V2 = 1,5 mL dont le pH = 3.
2.1 Quelle est la valeur de la concentration C2 de cette solution S2.
2.2 Calculer les quantités d’ions H3O+ et Cl- dans S2.
3. On mélange les solutions S1 et S2 ; on obtient une solution S.
3.1 Calculer la concentration d’ions hydronium dans S.
3.2 Entre quels nombres entiers consécutifs le pH de la solution S se situe-t-il ?
4. Dans un prélèvement de 100 mL de la solution S, on ajoute du nitrate d’argent en excès.
4.1 Ecrire l’équation-bilan simplifiée de la réaction qui se produit.
4.2 Quelle est la masse du précipité obtenu ? On donne M (AgCl) = 143,5 g/mol.
5. Dans un deuxième prélèvement de 100 mL de la solution S, on ajoute du zinc en excès.
5.1 Ecrire l’équation-bilan de la réaction.
5.2 Quelle est dans les conditions où le volume molaire 24 L.mol-1, le volume du dihydrogène dégagé ?
- C10 CARACTERISATION DE QUELQUES IONS
Exercice 1 :
On dissout une masse de 81,25 g de chlorure de fer III (FeCl3) dans 1 L d’eau. Calculer les concentrations molaires
en ions chlorure et en ions fer III.
Exercice 2 :
On fait réagir un excès de solution d’hydroxyde de sodium sur un prélèvement de 50 cm3 de la solution de chlorure
de fer III obtenue. Qu’observe-t-on ? Quelle est la masse du produit solide obtenue ?
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : H : 1; O : 16; Na : 23; Cl : 35,5; Fe : 56.
Exercice 3 :
On fait agir de la soude en excès sur une solution de sulfate de cuivre II. Le précipité, lavé et séché, pèse 9,75 g.
1. Quelle est la masse de sulfate de cuivre qui existait en solution ?
2. Pourquoi faut-il laver le précipité, puis le sécher ?
Exercice 4 :
Dans 50 cm3 d’une solution de sulfate de cuivre II de concentration C1 = 10-2 mol.L-1, on verse 20 cm3 d’une solution
C
on
de soude de concentration C2 = 10-2 mol.L-1

1. Ecrire l’équation-bilan de la réaction observée.
fid
2. Quelle masse de précipité obtient-on ? Quelles sont les concentrations des espèces qui sont restées en solution ?
en
3. Quel volume de la solution de soude faut-il ajouter pour que les ions cuivre II précipitent complètement ? On
tie
supposera que l’hydroxyde de cuivre II totalement insoluble. Quelles seront alors les concentrations des espèces en
lc
solution ?
is
sd
Exercice 5 :
or
Dans 2 L d’une solution d’acide chlorhydrique, il y a 4 mol d’ions H3O+.

os
1. Quelle est la concentration de cette solution ?

p.
2. Combien de moles d’ions Ag+ faudrait-il ajouter dans 10 cm3 de la solution con sidérée pour précipiter sous forme
e−
de chlorure d’argent tous les ions Cl- présents ?

m
3. Quel volume de solution de nitrate d’argent de concentration C = 0,1 mol/L faudrait-il verser pour introduire ce
on
nombre de moles d’ions Ag+ ?

si
Exercice 6 :
te
.c
Sur une solution S incolore, on effectue les tests suivants :

o
- ajout d’une solution de chlorure de baryum : un précipité blanc apparait. Traité par l’acide chlorhydrique, ce
m
solide se dissout et donne un dégagement gazeux qui trouble l’eau de chaux ;

- traité par l’acide chlorhydrique, S donne aussi un dégagement gazeux qui trouble l’eau de chaux ;
- traité par la soude, S donne un précipité translucide qui se redissout dans un excès de réactif.
Montrer que ces trois tests permettent l’identification sans ambiguïté des ions que contient la solution S.
Exercice 7 :
On obtient une solution S ' en mélangeant les deux solutions suivantes: une solution S1 : 10 mL d’acide
chlorhydrique HCl ; de concentration C1 et une solution S2 : 20 mL d’acide sulfurique H2SO4; de concentration C2.
En ajoutant à la solution S ' du nitrate d’argent en excès, il se forme 1,435 g de chlorure d’argent. En ajoutant
également à cette solution S ' de la poudre d’aluminium en excès, il se dégage du dihydrogène de volume
V H 2  0,448 L ; volume mesuré dans les CNTP.
1. Ecrire les équations bilans des réactions qui se sont produites dans S ' .
2. Déterminer les concentrations C1 et C2 respectives de S1 et S2.
3. Déterminer les concentrations des ions présents dans S ' avant l’introduction du nitrate d’argent et de l’aluminium.
On donne les masses molaires atomiques en g.mol-1 : H : 1 ; Cl : 35,5 ; Ag : 108.
ANNEXE
CARATERISATION DE QUELQUES IONS

C
EXTRAIT DU TABLEAU DE LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DES ELEMENTS CHIMIQUES

on
fid
en
tie
lc
is
sd
or
os
SYMBOLES, NOMBRES DE CHARGE ET MASSES ATOMIQUES DES PRINCIPAUX

p.
ELEMENTS CHIMIQUES
e−
m
on
si
te
.c
mo
LES DIVERS ETATS DE LA MATIERE
LES ATOMES ET LES MOLECULES

CARATERISATION DE QUELQUES IONS
ANIONS A IDENTIFER
Cl- SO42- S2- CO32- NO3-
réactif : Ag+ réactif : Ba2+ réactif : Pb2+ réactif : Ca2+ réactif : H2SO4
(eau de chaux) (+ Cu)
précipité blanc précipité blanc précipité noir précipité blanc dégagement

de AgCl qui noircit à de BaSO4 de PbS de CaCCO3 gazeux
la lumière et qui se réactif : H3O+ réactif : H3O+ de NO2 roux
redissout dans une
solution
d’ammoniac. dégagement gazeux dégagement
C
nauséabond gazeux
on
de CO2 qui trouble

fid
l’eau de chaux
en
CATIONS A IDENTIFER
tie
lc
Fe2+ Fe3+ Cu2+

is
CATIONS
sd
COLORES solution verdâtre solution rouille solution bleue

or
os
réactif : OH- réactif : OH- réactif : OH-

p.
e−
précipité vert précipité rouille précipité bleue

m
de Fe(OH)2 de Fe(OH)3 de Cu(OH)2 qui se

on
CATIONS
redissout dans une
INCOLORES
si
solution
te
d’ammoniac
.c
Ba2+ Ag+ Pb2+ Al3+ Zn2+

om
réactif : SO42- réactif : Cl- réactif : S2- réactif : OH- réactif : OH-
précipité blanc précipité blanc précipité noir précipité blanc précipité blanc
de BaSO4 de AgCl qui noircit à la de PbS de Al(OH)3 soluble de Zn(OH)2 soluble
lumière et qui se dans un excès dans un excès
redissout dans une d’hydroxyde de d’hydroxyde de
solution d’ammoniac sodium insoluble sodium insoluble
dans une solution dans une solution
d’ammoniac d’ammoniac

SYMBOLES, NOMBRES DE CHARGE ET MASSES ATOMIQUES
DES PRINCIPAUX ELEMENTS CHIMIQUES
Nom de Symbole Nombre Masse Nom de Symbole Nombre Masse

l’élément de atomique l’élément de atomique
charge Z (g.mol-1) charge Z (g.mol-1)
Aluminium Al 13 27 Iridium Ir 77 192
Antimoine Sb 51 122 Krypton Kr 36 84
Argent Ag 47 108 Lithium Li 3 7
Argon Ar 18 40 Magnésium Mg 12 24,3
Arsenic As 33 75 Manganèse Mn 25 55
Azote N 7 14 Mercure Hg 80 200,6
Baryum Ba 56 137,3 Néon Ne 10 20
Béryllium Be 4 9 Nikel Ni 28 58,7
C
on
Bismuth Bi 83 209 Or Au 79 198

fid
Bohr B 5 11 Oxygène O 8 16
en
Brome Br 35 80 Palladium Pd 46 106,4

tie
Cadmium Cd 48 112,4 Phosphore P 15 31

lc
Calcium Ca 20 40 Platine Pt 78 195

is
sd
Carbone C 6 12 Plomb Pb 82 207

or
Césium Cs 55 133 Potassium K 19 39

os
Chlore Cl 17 35,5 Radium Ra 88 226

p.
e−
Chrome Cr 24 52 Radon Rn 86 222

m
Cobalt Co 27 59 Rubidium Rn 37 85,5

on
Cuivre Cu 29 63,5 Silicium Si 14 28

si
te
Etain Sn 50 118,7 Sodium Na 11 23

.c
o
Fer Fe 26 56 Soufre S 16 32
m
Fluor F 9 19 Strontium Sr 38 87,6
Germanium Ge 32 72,6 Titane Ti 22 48
Hélium He 2 4 Tungstène W 74 184
Hydrogène H 1 1 Uranium U 92 238
Iode I 53 127 Zinc Zn 30 65,4

LES DIVERS ETATS DE LA MATIERE
La matière peut exister sous trois formes : solide, liquide ou gazeuse. Ce sont les états de la matière.
Chaque état est caractérisé par des structures et des propriétés très différentes. Un même corps peut se présenter
sous ces trois formes : par exemple l’eau peut se trouver à l’état solide (glace, neige), à l’état liquide (océans,
rivières, pluie, eau du robinet) ou à l’état gazeux (nuages, brouillard).
LES CARACTÉRISTIQUES DES ÉTATS DE LA MATIÈRE
Les solides
Les « grains » de matière (atomes, ions ou molécules) qui constituent un solide sont liés entre eux par de puissantes
forces appelées forces de cohésion. Ces forces rassemblent les particules de matière et les maintiennent dans des
positions fixes.
Quand ces particules sont agencées de façon très organisée et régulière, le solide est un cristal (on parle aussi de
solide cristallin). Le chlorure de sodium (de formule chimique NaCl), qui n’est autre que le sel de cuisine, est un
exemple de solide cristallin : c’est un cristal ionique, constitué d’ions de chlore (Cl-) et de sodium (Na+) qui
s’agencent régulièrement en forme de cube. Les métaux (comme le fer, l’or, etc.) sont également des solides
cristallins.
D’autres types de solides existent, pour lesquels il n’y a pas d’agencement particulier des éléments qui les
C
constituent. Ces solides peuvent donc prendre différentes formes. Les alliages métalliques (comme les aciers, les
on
bronzes, etc.) et le verre, qui sont des mélanges de différents solides cristallins, ne sont pas des solides cristallins.
fid
Les liquides
en
Dans un liquide, les forces de cohésion sont moins fortes que dans un solide. Elles rassemblent les particules mais
ne les empêchent pas de se déplacer les unes par rapport aux autres. C’est pourquoi un liquide prend la forme du
tie
récipient qui le contient. En revanche, un liquide peut difficilement être comprimé.

lc
Les gaz
is
sd
Dans un gaz, les forces de cohésion sont nulles. Les particules du gaz sont libres d’aller où bon leur semble : ainsi,
un gaz se dilate indéfiniment, jusqu’à ce qu’il occupe tout l’espace disponible. Inversement, un gaz peut être
or
comprimé dans un petit volume.

os
Puisqu’elles peuvent se déplacer, les particules de gaz peuvent se rencontrer, entrer en collision entre elles ou
p.
contre les parois du récipient qui les contient. La température d’un gaz rend compte de la vitesse — et donc de
e−
l’énergie — de ces particules ; la pression d’un gaz correspond à l’action que les particules exercent sur la paroi du
m
récipient.
on
si
LES CHANGEMENTS D’ÉTATS

te
Les particules d’un gaz ne sont pas les seules à posséder une énergie. Dans tous les états de la matière, les
.c
particules s’agitent plus ou moins selon leur structure moléculaire et les conditions extérieures. Un même corps peut
o m
ainsi se retrouver dans différents états (solide, liquide ou gaz) selon les conditions de température et de pression qui
s’exercent sur lui.
Lorsque l’on accroît la température, de l’énergie est transmise aux particules dont l’agitation augmente (on parle
alors d’agitation thermique). Les forces de cohésion peuvent ne plus suffire à « contenir » cette agitation, et un solide
peut alors se transformer en liquide : c’est la fusion. Lorsqu’un liquide se transforme en gaz : c’est la vaporisation.
Par exemple, si l’on chauffe de la glace, elle se transforme en eau liquide au-dessus de 0 °C, puis en vapeur d’eau
au-dessus de 100 °C. La sublimation désigne le passage direct de l’état solide à l’état gazeux.
À l’inverse, si la température diminue, l’agitation des particules diminue elle aussi et les forces de cohésion
parviennent à les retenir. Le passage d’un corps gazeux à l’état liquide ou solide est appelé condensation (le
transformation de l’état gazeux à l’état liquide est aussi appelée liquéfaction). Enfin, la transformation inverse de la
fusion, c’est-à-dire le passage de l’état liquide à l’état solide est la solidification. En reprenant l’exemple des
changements d’état de l’eau, si l’on refroidit de la vapeur d’eau, elle se transforme en eau liquide au-dessous de
100 °C, puis en glace au-dessous de 0 °C.
La pression joue également un rôle important : de même que les forces de cohésion, elle tend à rapprocher les
particules. C’est ainsi qu’à 4 000 m d’altitude, où la pression est plus faible, l’eau passe à l’état de vapeur dès 85 °C.

LES ATOMES ET LES MOLECULES
L’atome est le constituant de base de toute chose, le « grain » de matière élémentaire. Une molécule, quant à elle,
est un assemblage ordonné, naturel ou artificiel, de différents atomes. Alors qu’il n’existe qu’un peu plus d’une
centaine d’atomes différents, le nombre de molécules qui peuvent être assemblées semble infini.
Les molécules sont partout, de l’air que nous respirons aux objets que nous fabriquons, en passant bien sûr par les
êtres vivants dont elles sont les « briques élémentaires ».
LES ATOMES ET LEURS STRUCTURES ÉLECTRONIQUES
Il est possible de comparer la structure d’un atome à celle du Système solaire : le noyau de l’atome se trouve au
centre (comme le Soleil), tandis qu’à sa périphérie gravitent les électrons (comme les planètes). Chaque type
d’atome (ou élément chimique) possède un nombre fixe d’électrons (et de protons) : c’est le nombre de charge ou
numéro atomique (noté Z). L’atome d’hydrogène ne possède par exemple qu’un seul électron, tandis que l’atome
d’oxygène en possède huit. En 2003, l’élément chimique le plus lourd est l’ununhexium (c’est un élément radioactif
créé artificiellement dans des accélérateurs de particules), de numéro atomique 116 (soit 116 protons).
Les électrons d’un atome s’organisent par couches électroniques successives autour du noyau. Chaque couche
C
électronique se situe à une certaine distance du noyau et ne peut contenir qu’un nombre limité d’électrons : 2 pour la
on
première couche, 8 pour la deuxième, 18 pour la troisième… Les électrons se répartissent des couches les plus
fid
proches vers les plus éloignées du noyau.

en
tie
Le tableau périodique des éléments (ou classification périodique des éléments) illustre cet agencement particulier
des électrons de chaque élément : dans chaque case du tableau se trouve un élément chimique, dont on peut
lc
is
connaître le nombre de couches électroniques ainsi que le nombre d’électrons se trouvant sur la couche électronique
sd
la plus éloignée du noyau. Cette couche externe est appelée couche de valence.
or
LES MOLÉCULES ET LES LIAISONS CHIMIQUES

os
p.
Les atomes ont une tendance naturelle à remplir leurs couches électroniques externes pour augmenter leur stabilité.
e−
Ainsi, ils sont souvent amenés à mettre en commun, avec d’autres atomes, certains des électrons (dits électrons de
m
valence) de leurs couches externes. La mise en commun de deux électrons de valence entre deux atomes constitue
on
une liaison forte appelée liaison de covalence : les deux atomes liés forment alors une molécule, c’est-à-dire un
si
assemblage électriquement neutre d’atomes.

te
.c
Selon sa structure électronique, un atome peut réaliser une ou plusieurs liaisons covalentes avec un ou plusieurs
o m
atomes. Ainsi la molécule d’eau, de formule chimique H2O, est-elle constituée d’un atome d’oxygène (O) lié à deux
atomes d’hydrogène (H) par deux liaisons covalentes simples. H2O est une molécule triatomique, c’est-à-dire qu’elle
est constituée de trois atomes.
Il existe également de très grosses molécules (naturelles ou artificielles) pouvant comporter des millions d’atomes :
ce sont les macromolécules. La plupart d’entre elles sont synthétisées (fabriquées artificiellement) par l’industrie
chimique, comme les plastiques (plexiglas, polyester, etc.) ou les textiles (Nylon, Tergal, etc.). En revanche, la
molécule d’ADN est une macromolécule biologique, dont la longueur est proche du millimètre (pour l’ADN humain).
C’est la molécule clé de toute forme de vie sur Terre : elle permet notamment de stocker et de transmettre
l’information génétique au cœur des cellules de chaque être vivant.

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Avant-propos

Ce fascicule, est un « Recueil d’Exercices », conforme au nouveau

Contrairement autres éditions, les exercices proposés ne sont pas

accompagnés de corrections. Par conséquent, il est conseillé à l’élève de

saisir son professeur au cas où il éprouverait des difficultés de

collègues professeurs dans leur travail.

Aux utilisateurs, nous précisons que de ce fascicule est perfectible,

toutes remarques et suggestions seront les bienvenues.

Je remercie tous les professeurs de la cellule de Sciences Physiques du

GENERALITES SUR LE MOUVEMENT Page 16

GENERALITES SUR LES FORCES Page 19

LE POIDS - LA MASSE. RELATION ENTRE POIDS ET MASSE Page 21

EQUILIBRE D’UN SOLIDE SOUMIS A DES FORCES NON PARALLELES Page 24

EQUILIBRE D’UN SOLIDE MOBILE AUTOUR D’UN AXE Page 29

PROPAGATION RECTILIGNE DE LA LUMIERE

REFLEXION ET REFRACTION DE LA LUMIERE Page 32

MELANGES ET CORPS PURS Page 34

ELEMENTS - ATOMES - CLASSIFICATION PERIOIQUE DES ELEMENTS Page 35

LIAISONS CHIMIQUES Page 39

MOLES – GRANDEURS MOLAIRES Page 41

Physique Chimie – Recueil d’Exercices 2nd S cissdoro.e-monsite.com 2

émise chaque seconde par l’échantillon.

Physique Chimie – Recueil d’Exercices 2nd S cissdoro.e-monsite.com 3

Physique Chimie – Recueil d’Exercices 2nd S cissdoro.e-monsite.com 4

nombre minimum d’interrupteur.

traversant l’interrupteur à t = 0 se retrouve-t-il dans la lampe ?

Groupe 2 fermé 0,2 A 0,3 A A3

Groupe 3 fermé 0,25 A 0,64 A

Groupe 4 fermé 580 mA 340 mA

1. L’aiguille se fixe sur la graduation 120.

1.2 Donner la précision de la mesure.

3. Comparer la précision des deux mesures et conclure.

On considère le montage ci-contre

2. Quel est le débit d’électrons fourni par le générateur

2.1 A quel point E ou F faut-il relier la borne positive de I1 I2 4A

2.2 Quel calibre faut-il choisir ? Sur quelle division l’aiguille F I3 E D

par des fils de connexion.

2.1 Déterminer la valeur de l’intensité I.

1. Refaire le schéma ci-contre en plaçant le minimum d’appareils qui permettent de

bornes du générateur, de la lampe L1 et de la lampe L2. L1 L2

2. Pour vérifier la tension aux bornes du générateur « marqué 12 V », on dispose

d’un voltmètre de calibres 5 V, 15 V et 30 V ; possédant une graduation de 150

divisions. Quel calibre doit-on utiliser ? Quelle division indiquera l’aiguille ?

2. Quelle est la valeur de UDE ?

- la tension aux bornes du générateur ;

- la tension aux bornes de la lampe L2 ; L2 L4 L5 L6

Physique Chimie – Recueil d’Exercices 2nd S cissdoro.e-monsite.com 8

1. Déterminer UPN, UED et UAB. Représenter ces tensions par

Le réseau représenté ci-contre ne comporte qu’un générateur. On mesure A

les tensions : UAB = 20 V; UED = 3V; UCB = -10 V; UEB = - 5 V.

1. Calculer les tensions UEA; UDA; UCD; UEC et UPN.

2. Dans quel sens le courant circule-t-il dans chaque branche ?

3. Lorsqu’on mesure les intensités des courants qui aboutissent au nœud E,

4. L’intensité du courant dans le générateur est I0 = 12 A et celle dans la

courants dans toutes les branches du réseau.

On réalise le montage ci-contre.

Physique Chimie – Recueil d’Exercices 2nd S cissdoro.e-monsite.com 9

1. Calculer la valeur des tensions UBD, UCD et UAB.

disposant les calibres 1 V ; 5 V ; 10 V et 15 V dont le cadrant comporte L4