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OFPPT
SECTEUR ELECTROTECHNIQUE
RESUMES DE
THEORIE ET
TRAVAUX
Module n° 24:
LOGIQUE SEQUENTIELLE
Spécialité :
ÉLECTRICITÉ D’ENTRETIEN
INDUSTRIEL
Niveau :
Qualification
ANNÉE : 2001
i
Remerciements
Pour la supervision
Pour l'élaboration
Pour le secrétariat
Mme EL ALAMI
DRIF
ii
SOMMAIRE
Projet synthèse
Résumés de théorie des :
- Objectifs opérationnels de premier niveau et leur durée
- Objectifs opérationnels de second niveau et leur durée
Exercices pratiques des:
- Objectifs opérationnels de premier niveau et leur durée
- Objectifs opérationnels de second niveau et leur durée
iii
PRESENTATION OU PREAMBULE
Ce résumé de théorie et recueil de travaux pratiques est composé des éléments suivants :
Le projet synthèse faisant état de ce que le stagiaire devra savoir-faire à la fin des
apprentissages réalisés dans ce module, est présenté en début du document afin de bien le
situer. La compréhension univoque du projet synthèse est essentielle à l’orientation des
apprentissages.
Viennent ensuite, les résumés de théorie suivis de travaux pratiques à réaliser pour chacun des
objectifs du module.
Les objectifs de second niveau (les préalables) sont identifiés par un préfixe numérique alors
que les objectifs de premier niveau (les précisions sur le comportement attendu) sont marqués
d’un préfixe alphabétique.
Le concept d’apprentissage repose sur une pédagogie de la réussite qui favorise la motivation
du stagiaire, il s’agit donc de progresser à petits pas et de faire valider son travail.
Les apprentissages devraient se réaliser selon les schémas représentés aux pages qui suivent :
4
SCHÉMA D’APPRENTISSAGE D’UN OBJECTIF
Lecture du résumé de
théorie de l'objectif " n "
Réalisation du travail
pratique de l'objectif " n "
Évaluation
formative de
l'atteinte de
N
l'objectif " n "
O
5
SCHÉMA DE LA STRATÉGIE D'APPRENTISSAGE
ENSEIGNEMENT CORRECTIF
ENSEIGNEMENT CORRECTIF
ENSEIGNEMENT CORRECTIF
6
MODULE 24 : LOGIQUE SEQUENTIELLE
Code : Durée : 60 h
COMPORTEMENT ATTENDU
Pour démontrer sa compétence le stagiaire doit
appliquer des notions de logique séquentielle
selon les conditions, les critères et les précisions qui suivent.
CONDITIONS D’ÉVALUATION
• À partir :
- de directives;
- d’une représentation graphique d’une séquence.
• À l’aide :
- de manuels techniques;
- de fiches techniques;
- de composants logiques;
- de l’équipement de protection individuelle;
- de l’équipement d’assemblage;
- d’instruments de mesure.
(à suivre)
7
OBJECTIF OPÉRATIONNEL DE PREMIER NIVEAU
DE COMPORTEMENT(suite)
8
OBJECTIFS OPÉRATIONNELS DE SECOND NIVEAU
LE STAGIAIRE DOIT MAÎTRISER LES SAVOIRS, SAVOIR-FAIRE, SAVOIR PERCEVOIR OU SAVOIR ÊTRE JUGÉS
PRÉALABLES AUX APPRENTISSAGES DIRECTEMENT REQUIS POUR L’ATTEINTE DE L’OBJECTIF DE PREMIER
NIVEAU, TELS QUE :
9
EEI MODULE : 24
PROJET SYNTHESE
Pour une séquence d’opération représentée sous forme graphique, le stagiaire doit :
• Reconnaître la séquence de déroulement des différentes étapes ainsi que les décisions
pertinentes au fonctionnement du circuit ;
EEI24PS
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Directives particulières :
EEI2401RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
I- INTRODUCTION :
¤ Toute machine fonctionne selon un cycle, c-à-d que partant d’un état donné, la machine
effectuera différents mouvements, différentes actions et repassera à l’état de départ.
Tout ce qui se passe entre deux passages dans cet état de départ est appelé cycle.
¤ Une séquence est un ensemble de comportements liés les un aux autres par des conditions.
EEI2401RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Pour pouvoir construire les diverses représentations graphiques d’une séquence ou d’un cycle,il faut
déterminer :
ETAPE 1 : Comportement :
La poinçonneuse est au repos.
ETAPE 2 : Comportement :
Descendre le poinçon.
ETAPE 3 : Comportement :
Remonter le poinçon.
Nous pouvons donc, dans un premier temps, définir une étape comme une situation du cycle
de fonctionnement pendant laquelle le comportement de l’automatisme de commande demeure
constant.
EEI2401RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Nous pouvons donc définir des points de prise de décision comme des points où on exploite
des conditions variables impliquant le choix d’une voie parmi plusieurs ou le passage d’une étape à
une autre. C’est là où on effectue des tests ou alternance.
EEI2401RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Ces points de décision sont appelés aussi transitions qui sont conditionnées par des
réceptivités constituées de fonctions logiques des différentes variables nécessaires au passage à
l’étape suivante.
Dans un local, le chauffage ne doit fonctionner que pour des températures inférieures à
18°C.
Après le test (θL < 18°C), sur la réponse OUI, on doit enregistrer l’information traitée
(chauffage en marche), par contre, sur la réponse NON, on doit enregistrer l’information traitée
(chauffage arrêté).
L’enregistrement de l’une des informations traitées est un point de sortie des données.
En d’autres termes, les points d’entrée ou de sortie des données sont des points où il faut
mettre à disposition une information d’entrée à traiter ou il faut enregistrer une information de sortie
traitée.
Exemple :
• Après le test (θL < 18°C), sur la réponse OUI, c’est une boucle conditionnelle qui permet
de faire marcher le chauffage et reprendre l’étape de la mesure de température.
EEI2401RT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 3
• soit le cycle avec débourrage effectuant une remontée de la broche à une position
intermédiaire afin de dégager le foret avant de terminer le perçage déjà commencé. Ce
cycle est le suivant :
Position haute : h Descente en grande vitesse
jusqu'à b1
Remontée jusqu'à b1
Approche terminée : b1
Remontée jusqu'à h
Perçage terminé : b3
EEI2401RT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Remarquons que le cycle sans débourrage correspond au saut des étapes 4 et 5 dont les
comportements sont inutiles dans ce cycle.
Nous pouvons donc définir un saut conditionnel d’étapes comme une rupture de séquence
(autre type d’aiguillage).
Un groupe moto-pompe alimente en eau, à partir des bassins de reprise, le réservoir d’un
château d’eau.
Deux modes de fonctionnement sont possibles :
- Marche manuelle : le responsable de l’installation commande à volonté la marche ou
l’arrêt du groupe moto-pompe.
- Marche automatique : (commande automatique) :en fonction de deux niveaux
prédéterminés d’eau dans le réservoir, niveau bas et haut, le groupe se met
automatiquement en marche ou s’arrête.
EEI2401RT.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 4
EEI2401RT.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 5
Un plateau tournant dessert 3 postes de travail : le premier de chargement, le deuxième de
perçage, et le troisième de contrôle et d'évacuation des pièces percées.
Séquence 1 : de chargement
Séquence 2 : de perçage
EEI2401RT.doc 9
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Remarque :
Ce cas est très fréquemment rencontré sur des machines de type transfert et plus
généralement sur toutes les machines décomposables en sous machines relativement indépendantes.
• Les étapes d’une séquence se déroulent dans un ordre chronologique bien déterminé.
• Une étape (2) ne peut être activée que si l’étape précédente (1) et la condition de passage
de l’étape (1) à l’étape (2) est satisfaite.
• L’activation d’une étape entraîne immédiatement la désactivation de l’étape précédente
• Si au cours d’un fonctionnement, une même étape doit être désactivée et activée
simultanément, elle reste active.
Pour reprendre l’étape initiale à partir de l’étape 6 on doit tester sur la position haute de la
broche.
Pour passer de l’étape 1 à l’étape 2 on doit avoir l’information départ-cycle et on doit tester
si on a la position haute de la broche et si on a la broche en rotation.
La répétition de la condition «position haute » peut paraître redondante car elle est écrite à la
fois dans la condition de passage de l’étape 6➞l’étape 1 et celle de passage de l’étape 1 ➞ l’étape 2.
Mais le fait d’avoir obtenue une fois cette condition vérifiée lors du passage de l’étape 6 à l’étape 1
ne prouve pas qu’elle soit toujours présente au moment de la demande de départ cycle, si des
opérations de réglage ont eu lieu entre temps par exemple.
La condition de passage de l’étape 1 à l’étape 2 doit faire intervenir cette information pour
des raisons de sécurité.
EEI2401RT.doc 10
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi :
A partir d’un cahier de charge d’un équipement automatisé, déterminer les grandes étapes,
les points d’entrée ou de sortie de données, les points de prise de décision, s’il y a répétition ou arrêt
de la séquence, s’il y a saut de séquence, s’il y a un choix conditionnel entre plusieurs séquences
etc.
- Directives particulières :
EEI2401TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 1
Droite
CM1 Gauche CM1
HLIM HLIM
Figure 1
Exercice 2 :
Le chariot 1 est à droite et le chariot 2 en bas. En activant le bouton poussoir dcy les chariots
effectuent le cycle suivant :
y CH 1 se déplace vers la gauche et le CH 2 vers le haut
y CH 1 se déplace vers la droite jusqu’à HLIM et temporisation de 5s
y A la fin de la temporisation le CH 2 se déplace vers le bas.
VLIM
CM2
BAS
Haut
Droite
VLIM
HLIM HLIM
Figure 2
EEI2401TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
Figure 3
L’ordre de départ du cycle donné par l’opérateur ne peut être pris en compte que si les
conditions initiales sont réalisées, c’est à dire si la trémie et le mélangeur sont vides.
La quantité de produit A est d’abord pesée dans la trémie C et celle-ci est immédiatement
vidangée dans le mélangeur M.
Ces deux produits sont malaxés pendant 20s, temps au bout duquel le mélangeur est
vidangé.
EEI2401TP.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 4 :
Un dispositif automatique destiné à trier des caisses de deux tailles différentes se compose
d’un tapis, amenant les caisses, de trois poussoirs et de deux tapis d’évacuation suivant le figure ci-
dessous.
Figure 4
Le poussoir 1 pousse les petites caisses devant le poussoir 2 qui à son tour les transfère sur
le tapis d’évacuation 2, alors que les grandes caisses sont poussées devant le poussoir 3, ce dernier
les évacue sur le tapis 3.
Pour effectuer la sélection des caisses, un dispositif de détection placé devant le poussoir 1
permet de reconnaître sans ambiguïté le type de caisse qui se présente.
EEI2401TP.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Directives particulières :
EEI2402RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Les principaux symboles associés à diverses représentations graphiques d’une séquence sont
résumés dans le tableau ci-dessous :
SYMBOLES DESIGNATIONS
Étape initiale
Étape simple
Transition
EEI2402RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
• de haut en bas ;
• de gauche à droite ;
Lorsque le sens ainsi défini n’est pas respecté, des pointes de flèches à cheval sur la ligne indiquent
le sens utilisé : ;
EEI2402RT.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
- Directives particulières :
EEI2402TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EXERCICE 1 :
Compléter le tableau suivant :
SYMBOLES DESIGNATIONS
ou
EEI2402TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
EXERCICE 2 :
SYMBOLES DESIGNATIONS
Étape simple
Transition
Étape initiale
Traitement
Embranchement
Renvoi
EEI2402TP.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Objectif poursuivi : Décrire les modes de départ, de marche et d’arrêt d’une séquence.
- Directives particulières :
EEI2403RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : N° 3 DURÉE : 2H
I- MODE DE MARCHE :
Malgré la grande variété des modes de marche rencontrés sur les automatismes industriels, il
est possible de les regrouper en deux grandes catégories :
Exemple :
Droite
CM1 Gauche CM1
HLIM HLIM
Figure 1
D’après le cahier de charge de cet exercice, il faut une nouvelle activation du bouton dcy
pour exécuter le cycle suivant.
EEI2403RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Après action sur un bouton poussoir «départ cycle», le cycle se répète indéfiniment jusqu’à
ce que l’ordre d’arrêt soit donné, cet arrêt ne s’effectuant qu’une fois le cycle terminé.
Precisons bien que cette demande d’arrêt n’intervient que pour éviter l’exécution d’un
nouveau cycle mais ne provoque pas l’arrêt du cycle en cours.
Exemple :
Le cycle recommence jusqu’à l’activation d’un bouton poussoir «arrêt cycle» à la fin du
cycle.
Le choix de ces marches de production est laissé à l’opérateur. Elles peuvent être réalisées
par un commutateur bidirectionnel à deux positions maintenues :
Cycle / Cycle
Cycle automatique S
Remarque : L’arrêt des cycles continus s’effectue en plaçant le commutateur sur la position
«Cycle par Cycle».
Les marches dites d’intervention ou de maintenance, dont les plus connues sont les marches
manuelles, nécessitent de la part de celui qui les utilise une connaissance très précise de la machine
et de ses possibilités. Ces modes ne seront donc généralement exécutés que sous la responsabilité
d’un régleur ou d’un agent de maintenance.
EEI2403RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Dans ces fonctionnements l’évolution du cycle est fractionnée séquence par séquence ou
étape par étape, le passage d’une séquence à une autre ou d’une étape à la suivante s’effectuant sur
commande de l’opérateur. De tels fonctionnements ne sont pas toujours possibles suivant la
technologie utilisée.
L’exécution d’une action est directement liée à un ordre manuel, l’exécution de cet ordre
étant généralement asservie à certaines sécurités.
Les arrêts ne constituent pas à proprement parler un mode de marche mais peuvent imposer
aussi au cycle des structures particulières.
Un arrêt d’urgence provoque l’annulation de tous les ordres de commande, que ceux-ci
soient manuels ou automatiques. Il peut quelques fois laisser certaines actions maintenues ou en
enclencher d’autres suivant le sens de la sécurité.
L’arrêt d’urgence peut aussi effectuer la remise à zéro du ou des cycles, c’est à dire la
désactivation de toutes les étapes actives, ou réinitialiser le cycle si cette opération ne s’avère pas
dangereuse pour la partie opérative.
La machine doit donc dans certains cas être ramenée à sa position initiale ou d’origine,
manuellement ou, à partir d’une séquence particulière de dégagement.
EEI2403RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Les conditions initiales sont particulièrement importantes car elles correspondent au contrôle
des positions que doit avoir la machine au début du cycle automatique.
Ces conditions de départ doivent être insérées dans des registres à décalage, des compteurs
binaires ou à décade.
Exemple :
Reprenons l’exemple de la perceuse avec ou sans débourrage.
b1
b2
b3
Approche
grande vitesse
Course de travail
petite vitesse
Figure 2
EEI2403RT.doc 5
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Décrire les modes de départ, de marche et d’arrêt d’une séquence.
A partir d’un cahier des charges, déterminer les modes de départ, de marche et d’arrêt d’une
séquence à savoir marches automatiques ou marches d’intervention, arrêts momentanés ou arrêts
d’urgence.
- Directives particulières :
EEI2403TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 1
Soit une came C entraînée en rotation par un moto-réducteur. Cette came doit effectuer un
tour et un seul à chaque fois que l’ordre lui est donnée.
Exercice 2 :
Exercice 3 :
Un chariot peut se déplacer entre deux positions caractérisées par deux fins de course.
Initialement, le chariot se trouve à gauche. En activant un bouton poussoir départ cycle «dcy », le
chariot effectue le cycle suivant :
• Déplacement vers la droite jusqu’à fin de course1;
• Déplacement vers la gauche jusqu’à fin de course 2;
• Puis arrêt du chariot.
EEI2403TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 4 :
Figure 1
L’ordre de départ du cycle donné par l’opérateur ne peut être pris en compte que si les
conditions initiales sont réalisées, c’est à dire si la trémie et le mélangeur sont vides.
La quantité du produit A est d’abord pesée dans la trémie C et celle-ci est immédiatement
vidangée dans le mélangeur M.
Ces deux produits sont malaxés pendant 20s, temps au bout duquel le mélangeur est
vidangé.
EEI2403TP.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 5:
Le chariot 1 est à droite et le chariot 2 en bas. En activant le bouton poussoir dcy les chariots
effectuent le cycle suivant :
y CH 1 se déplace vers la gauche et le CH 2 vers le haut
y CH 1 se déplace vers la droite jusqu’à HLIM et temporisation de 5s
y A la fin de la temporisation le CH 2 se déplace vers le bas.
VLIM
CM2
BAS
Haut
Droite
VLIM
CM1 Gauche CM1
Figure 2
EEI2403TP.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Directives particulières :
EEI240ART.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
I- INTRODUCTION
- Une partie opérative (PO) qui comporte des actionneurs permettant de réaliser les
opérations sollicitées par la partie commande.
- Une partie commande (PC) permettant de piloter la partie opérative en fonction des
informations qu’elle reçoit :
• Soit des personnes extérieures au système par l’intermédiaire des boutons
poussoirs, claviers etc.
• Soit des capteurs contrôlant la partie opérative.
Energie Energie
Preactionneurs
Traitement de Actionneurs
Dialogue
EEI240ART.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Un algorithme est une règle. Il s’exprime par une suite ordonnée de directives composées
d’actions et de décisions qu’il faut exécuter en séquence suivant un enchaînement strict pour
accomplir une tâche quelconque.
On peut considérer que toute succession de tâches logiques constitue l’algorithme de son
résultat.
L’algorigramme reproduit dans une représentation graphique normalisée tous les
cheminements du raisonnement logique qui détermine la composition de l’algorithme.
Exemples :
Dans un local le chauffage ne doit fonctionner que pour des températures inférieures à 18°C.
Début
Mesurer
la température Chaufage = 1
du local θ L
État 1 : Chauffage en
marche.
OUI
θ L <18°C
État 0 : Chauffage arrêté.
NON
Chaufage = 0
Fin
EEI240ART.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Un dispositif de tri automatique dirige ces sacs vers deux zones distinctes de stockage.
Figure 1
Début
NON
Diriger Diriger
vers D1 vers D2
Fin
EEI240ART.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
c)- Temporisation
Ou bien :
Début Début
NON NON
t=0 t=0
OUI OUI
Arrêter le Arrêter le
moteur moteur
Fin Fin
2.2. Chronogramme
Il permet de visualiser l’interaction des variables binaires d’un circuit. Il représente par un
graphique les états 0 et 1 de celles-ci en fonction du temps.
EEI240ART.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Exemples :
1
bobine du
relais t
0
t
1
contact à la
fermeture t
0
Le contact passe à l’état 1 (fermeture) après un temps t temporisé suivant le passage à l’état
1 (excitation) de la bobine du relais.
b)- Chronogramme d’un démarrage etoile-triangle d’un moteur asynchrone à rotor à cage :
commande semi-automatique, un sens de marche.
1
Arrêt
S1
0
1
Marche
S2
0
1
Etoile
KM1
0
1
Ligne
KM2
0
1
Triangle KM3
0
1
Moteur M Couplage en Couplage en ∆
Y
0
Decalage de 40 ms à
la fermeture
Temporisation
t
EEI240ART.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
S = a ×b
1
a
t
0
ET
1
b t
0
1
S
t
0
2.3. Grafcet
• Actions associées à l’étape : Elles traduisent ce qui doit être fait chaque fois que l’étape à
laquelle elles sont associées est active.
• Réceptivité associée à la transition : C’est une condition logique vraie ou fausse des
différentes variables nécessaires au franchissement de la transition.
• Liaison orientées : Ce sont des lignes verticales ou horizontales qui relient les étapes aux
transitions et les transitions aux étapes.
EEI240ART.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Exemple :
13 13 13
14 14 14
df df df
Exemple :
10 17 23 10 17 23 10 17 23
11 12 11 12 11 12
EEI240ART.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
¤ Grafcet niveau 1
On désire percer des pièces à l’aide d’une broche animée d’un mouvement de rotation et
d’un mouvement vertical.
Etape initiale
1 Equipement sous tension
broche en niveau haut
Départ cycle
2 Approche en grande
vitesse - rotation broche
Début de perçage
Perçage en petite vitesse
3
et rotation broche
Niveau bas
Dégagement en grande
4
vitesse - rotation broche
Niveau haut
EEI240ART.doc 9
RÉSUMÉ DE THÉORIE
¤ Grafcet niveau 2
Après le choix technique (actionneurs, capteurs) le Grafcet niveau 2 apporte les précisions
nécessaires à la réalisation de l’équipement.
dcy
D : descente;
M : montée;
2 D GV RB
GV : grande vitesse;
PV : petite vitesse;
b1
RB : rotation broche;
Dcy : départ cycle;
3 D PV RB b2 : fin de course niveau bas;
b0 : fin de course niveau haut;
b2 b1 : début de perçage.
4 M GV RB
b0
La table d’une machine outil se déplace suivant un cycle carré. Deux moteurs MA et MB
assurent respectivement les mouvements Droite-Gauche et Avant-Arriere. Les capteurs S1, S2, S3,
S4 contrôlent la fin des mouvements.
MB
S1
MA
Droite
S2
Arrière Avant
S4 S3
Gauche
EEI240ART.doc 10
RÉSUMÉ DE THÉORIE
¤ Grafcet niveau 2
Etape initiale
1 Equipement sous tension
table à l'arriere et à gauche
dcy
2 MA droite
S2
3 MB avant
S3
4 MA gauche
S4
5 MB arriere
S1
AQ ML S1 : Arrêt
Niveau bas
S3
S2 : Marche
Niveau haut
S4
MP
KMP - position repos du contacteur
du moteur de la pompe.
AQ - marche automatique
ML - marche normale
EEI240ART.doc 11
RÉSUMÉ DE THÉORIE
¤ Grafcet niveau 2
AQ.S3 ML.S2
2 MP = 1 4 MP = 1
S1
S4
3 MP = 0 5 MP = 0
Destiné à faire comprendre le fonctionnement. Il représente par des symboles ou des figures
simples une machine, une installation ou une partie d’installation avec ses interdépendances
fonctionnelles, mais sans que toutes les liaisons soient représentées.
M
3~
EEI240ART.doc 12
RÉSUMÉ DE THÉORIE
M
3~
Démarrage rotorique semi-automatique, trois temps, un seul sens de marche d’un moteur
asynchrone triphasé à rotor bobiné.
Schéma fonctionnel :
Un sens de marche;
Par contacteurs.
3 3 échelons (crans);
Rhéostatique;
Par contacteur
EEI240ART.doc 13
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Chronogramme :
1
S1
0
1
S2
0
1
KA1
0
1
KM1
0
1
KM11
0
KM12
0
M
0
e e e
1 temps 2 temps 3 temps
t
0 t1 t2
Nomenclature :
EEI240ART.doc 14
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Algorigramme :
Début
Initialisation
Non
S2=1
Oui
Non
t1=0
Oui
Non
t2=0
Oui
Non
S1=1
Oui
Arrêter le moteur
Fin
EEI240ART.doc 15
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Grafcet
Etape initiale:
Moteur à l'arrêt, sectionneur fermé, relais thermique non
1
déclenché
t1
t2
Eliminer l'autre bloc
4
des résistances
Arrêt cycle
S2 . CI
2 KM1 t1=-----sec
t1
t2
4 KM1 KM12
S1
EEI240ART.doc 16
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : A DURÉE : 3H
- Objectif poursuivi :
- Lieu de l’activité :
Salle de cours.
- Directives particulières :
EEI240ATP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : A DURÉE : 3H
- Dessin de définition
- Gamme opératoire
- Matiere d'oeuvre
- Opérateur(s) technique(s)
Monter pièce
Non
Contrôler
Oui
Monter outil
Non
Contrôler
Oui
Selectionner
mouvements
Non
Contrôler
Oui
Non
Contrôler
Oui
Prendre passe(s) et
usiner
Non Non
Contrôler (par défaut de matiere)
Fin
EEI240ATP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
2- Chronogramme
Entrée 1
1
Sortie
0
t
t1
3- Grafcet :
Conditions initiales:
- broche en rotation
- broche relevée
1
Début perçage
3 Perçage
Fin debourrage
5 Perçage
Fin de perçage
Remontée
6
rapide
EEI240ATP.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
4- Schéma fonctionnel :
M
3~
EEI240ATP.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : N° B DURÉE : 6H
Objectif poursuivi : Traduire des représentations graphiques d’une séquence sous forme de
schémas électroniques.
Directives particulières :
EEI240BRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : N° B DURÉE : 6H
Une étape de rang (n) a deux états : actif et inactif qui peuvent respectivement s’écrire :A(n)
et A(n).
Exemples d’application :
5 13
EEI240BRT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
3
Étape 4 : A4 = (A3.R1+m4).(A5+A13)
R1
A4 = (A3.R1+m4).Ā5 Ā13
4
5 13
11 14 11 14
R1 R2 R1 R2
12 15 12 15
R3 R4
R3
16 16
Convergence en ET Convergence en OU
Pour les deux cas de figure :
Étape 12 : A12 = (A11.R1+m12).Ā16
Étape 15 : A 15= (A14.R2+m15).Ā16
Ā16 : condition de non désactivation commune aux deux étapes 12 et 15.
EEI240BRT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
12 15
17
12 15
Étape 16 : A16 = (A12.R1+A15.R2+m16). Ā17
R1 R2
A12.R1+A15.R2 : condition d’activation de l’étape 16 qui
prend en compte la convergence en OU.
16
R3
17
EEI240BRT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
A7 = (A6.R1+A9.R5+m7). Ā8.
7
A6.R1 :condition d’activation de l’étape 7 en venant de
R2
l’étape 6.
8 A9.R5 :condition d’activation de l’étape 7 en venant de
l’étape 9.
R3
Dernière étape de la boucle :étape 9
9
R4 A9 = (A8.R3+m9).(A10+A7)
R5
A9 = (A8.R3+m9).A10.A7
10
A10.A7 :condition de non désactivation de l’étape 9 qui
prend en compte la condition de reprise de séquence.
7- Saut d’étapes
EEI240BRT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
30
- Représenter chaque étape par une mémoire (bascule bistable type RS).
L’équation générale d’une bascule bistable à déclenchement prioritaire est :
Q = ( E + m )× D
Écrire les équations d’enclenchement et de déclenchement de chaque étape (bascule).
Exemples :
a) Tête d’usinage
EEI240BRT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
E 1 =Q 4 ×S 1
1 D 1 =Q 2
Dcy
E 2 = Q 1 × D cy
MA
MB
2
AV - GV D 2 =Q 3
S2
MA E 3 = Q 2 × S2
3 MB
AV - PV
D 3 =Q 4
S3
4
MA E 4 = Q 3× S 3
MB
AR- GV
D 4 =Q 1
S1
& m1 Q1
D cy
& m2 Q2
S2
& Q3
m3
S3
& Q4
m4
S1
Schéma logique
EEI240BRT.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
A i =( E i + m i ) ×D i
E 1 = Q 9 ×V 40
1 D 1 =Q 2
Dcy.PA.V20.V40
E 2 = Q 1 × D cy × PA × V 20 ×V 40
2 D 2 =Q 1
V11
E 3 = Q 2 ×V 11
3
D 3 =Q 4
V21
E 4 = Q 3 ×V 21
4
D 4 =Q 5
V31
5
E 5 = Q 4 ×V 31
D 5 =Q 6
V41.PC
6
E 6 = Q 7 ×V 41 × PC
D 6 =Q 7
V30
E 7 = Q 6 ×V 30
7
D 7 =Q 8
V20
E 8 = Q 7 ×V 20
8
D 8 =Q 9
V10
9
E 9 = Q 8 ×V 10
D 9 =Q 1
V40
Grafcet niveau 2
Outre les fonctions logiques vues, il est nécessaire d’introduire des fonctions d’adaptation des
signaux d’entrée et d’amplification, des signaux de sortie.
EEI240BRT.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
V 40 & m1
DCY
& m2
PA
& m3
V 11
& m4
V 21
& m5
V 31
V 41
& m6
PC 1
& m7
V 30
V 20 & m8
&
V 10 m9
EEI240BRT.doc 9
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Le principe reste le même que celui utilisé pour les schémas électroniques. L’élément
mémoire utilisé est le relais bistable à accrochage mécanique ou magnétique.
Symboles :
KA1 KA2 1 2
Enroulement Enroulement
d’enclenchement de déclenchement
E D
KA
D E
La solution actuellement la plus répondue est l’utilisation des relais à accrochage mécanique.
EEI240BRT.doc 10
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Le schéma à contacts ou logique se fait très rapidement et d’une façon méthodique, sans
qu’il soit besoin de se poser des questions sur le fonctionnement de la partie opérative, au seul vu
du Grafcet.
Dcy.VMF.MEV
NVA
RT1.RT2
T1V
RT2.RT3
T2V
VIC
MEV
Grafcet niveau 2
EEI240BRT.doc 11
RÉSUMÉ DE THÉORIE
m m m m m m m m m m m m m m m m
8 2 1 3 2 4 3 5 4 6 5 7 6 8 7 1
VIC
T2V
VMF RT2 RT3
MEV
m m m m m m m m
1 2 3 4 5 6 7 8
Information Capteur
Départ cycle DCY
Niveau d’eau atteint NVA
Trémie 1 vide T1V
Trémie 2 vide T2V
Rotation tapis 1 RT1
Rotation tapis 2 RT2
Rotation tapis 3 RT3
Mélangeur vide MEV
Vidange mélange fermée VMF
Viscosité correcte VIC
EEI240BRT.doc 12
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : B DURÉE : 3H
- Objectif poursuivi :
Traduire des représentations graphiques d’une séquence sous forme de schémas électroniques.
Le stagiaire doit traduire des représentations graphiques d’une séquence sous forme de schéma
électroniques en appliquant les règles de conversion d’une étape en schéma électronique et en
tenant compte de la convergence et de la divergence en ET ou en OU.
- Directives particulières :
EEI240BTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : B DURÉE : 3H
Exercice 1 :
Exercice 2 :
3 Arrêter MP
KMP
EEI240BTP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
II.
AQ : Marche automatique
ML : Marche normale
AQ.S3 ML.S2 S1 : Arrêt
S2 : Marche
MP = 1
S3 : Niveau bas
2 MP = 1 4
S4 : Niveau haut
KMP : Position repos du
S4 S1
contacteur du moteur de pompe.
3 MP = 0 5 MP = 0
KMP
III.
EEI240BTP.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
Dcy
2 Action A 5 Action C
a.k a.k c
3 Action B 6 Action D
b d
4 7 Action E
t.e t.e
=1
9 Action F
10 Action G
EEI240BTP.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : N° 04 DURÉE : 4H
Ce résumé théorique comprend la présentation de fonction et les symboles logiques tels que : les
bascules RS, JK, D, T ; les multivibrateurs astable et monostable ; les compteurs, les registres, les
mémoires etc.
Directives particulières :
EEI2404RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
I- LES BASCULES
Une bascule est un circuit de mémorisation qui pour une combinaison d’états logiques de ses
entrées présente sur sa sortie deux états complémentaires stables.
Une bascule est une mémoire élémentaire qui ne peut mémoriser qu’un seul bit.
1.1 Bascule RS :
La bascule RS présente :
• S : entrée de mise à 1 (SET) de Q ;
• R : entrée de mise à 0 (RESET° de Q ;
• Q et Q : sortie complémentaires.
S Q
R Q
¤ Table de fonctionnement :
EEI2404RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Dans une bascule synchrone RSH le changement d’état de la sortie qui correspond à une
nouvelle combinaison d’états d’entrées ne peut s’effectuer que sur le front actif, montant ou
descendant, d’un signal d’horloge.
- Trois entrées :
• S : mise à 1 ;
• R : mise à 0 ;
• H : entrée d’horloge, active sur le front montant ou descendant du signal.
S
Bascule synchrone active sur Q
le front descendant du signal H
d'horologe Q
R
¤ Table de fonctionnement :
ou
1 0 1 0 Mise à 1
ou
0 1 0 1 Mise à 0
ou
1 1 Ambiguïté Les états de sorties sont indéterminés ne pas utiliser.
EEI2404RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
1.2. Bascule JK :
¤ La bascule JK présente :
• deux entrées J et K ;
• une entrée d’horloge H ;
• deux sorties Q et Q dont les états sont complémentaires.
J
Q
H
Q
K
¤ Table de fonctionnement
Elle est constituée de deux bascules JK, l’une maître, l’autre esclave, commutant à des
niveaux différents du signale d’horloge (fig. 4-a).
La bascule maître reçoit les informations d’entrée et le front actif du signal d’horloge.
La bascule esclave recopie la bascule maître sur le front opposé de l’horloge.
J Q
Maître Esclave
K Q
H Horologe
Figure 4 a
EEI2404RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
J
Q symbole d’effet différé sur un sortie
H
Q
K
1.4. Bascule D :
D Q
H
Q
¤ Table de fonctionnement :
Entrées Sorties
H D Qn+1 Qn+1
0 0 1
1 1 0
1.5. Bascule T :
¤ La bascule T présente :
Q
H
Q
EEI2404RT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
¤ Table de fonctionnement :
2.1. Monostable :
C’est une microstructure séquentielle, qui en sortie possède deux états complémentaires l’un
de l’autre.
• L’un des deux états étant stable.
• L’autre ne pouvant être occupé que momentanément [état pseudo-stable].
Une impulsion à l’entrée (c-à-d changement d’état de 0 à 1) amène la sortie à l’état 1 ; la
sortie reste dans cet état pendant une durée définie par les caractéristiques particulieres de
l’opérateur, indépendamment du temps pendant lequel l’entrée reste à l’état 1 puis revient à l’état 0.
Entrée
1
1
0 temps
Sortie
1
0 temps
t t
2.2.Astable ou oscillateur :
EEI2404RT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
III- COMPTEURS-DECOMPTEURS
Le compteur permet de dénombrer dans la limite des bascules qui le constituent (capacité du
compteur) les impulsions appliquées en entrée.
CK
A
B 1
m QA
Entrées de C
programmation 2
D m Q
B
Sorties
3
+m m QC
-m
Commandes EN 4
m QD
R
CTR
+m = entrée de comptage
-m = entrée de décomptage
EN= entrée de validation du comptage ou décomptage
R= entrée de remise à zéro
m1, m2, m3, m4= sorties du compteur.
Fonction : Un compteur est un système logique dont les sorties changent d’état chaque fois
qu’une information appropriée est appliquée à son entrée.
EEI2404RT.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
IV- REGISTRES
Entrées
Horloge Bascules
Sorties
EEI2404RT.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Entrée Sortie
Q Q2 Q1 Q0
série 3 série
Horloge
Entrée Q Q2 Q1 Q0
série 3
Horloge Sorties
parallèles
Entrées
parallèles
Sortie
Q Q2 Q1 Q0
3 série
Horloge
Entrées
parallèles
Q Q2 Q1 Q0
3
Horloge Sorties
parallèles
EEI2404RT.doc 9
RÉSUMÉ DE THÉORIE
V- MEMOIRES
Une mémoire permet de stocker et de restituer une très grande quantité d’informations
correspondant à N mots de bits.
Une mémoire intégrée est une association de registres qui ont chacun une adresse bien
précise dans la mémoire.
Lecture
Zone de stockage
des N mots de n bits
- Les mémoires vives (RAM : Random Acces Memory) à lecture et écriture possible.
- Les mémoires mortes (ROM : Read Only Memory) à lecture seulement.
EEI2404RT.doc 10
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Multiplexeur 74LS253
Double sélecteur – multiplexeur 4 vers 4 avec sorties
3 états
Démultiplexeur 74155
Double décodeur – Démultiplexeur 2 vers 4
Registre à décalage 8bit parallèle out serial shift 74164, 74L164, 74LS164
registers
Registre à décalage 4 bits PIPPO 7495
EEI2404RT.doc 11
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi :
- Lieu de l’activité :
Salle de cours.
- Directives particulières :
EEI2404TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 1 :
Compléter le tableau suivant :
Symbole Désignation
D Q
H
Q
S Q
R Q
S
Q
H
Q
R
S
Q
H
Q
R
J
Q
H
Q
K
Q
H
Q
EEI2404TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
Entrée Sortie
Entrée
Sorties
Entrées
Sortie
Entrées
H Sorties
J Q
K Q
EEI2404TP.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 2 :
Reconnaître les composants logiques d’après leur table de fonctionnement.
Entrées Sorties
S R Q Q
0 0 Inchangé
0 1 0 1
1 0 1 0
1 1 Ambiguité
Entrées Sorties
H S R Q Q
ou
0 0 Inchangé
ou
0 1 0 1
ou
1 0 1 0
ou
1 1 Ambiguité
Entrées Sorties
H J K Q n +1 Q n +1
0 0 Qn Qn
0 1 0 1
1 0 1 0
1 1 Qn Qn
Entrées Entrées
H D Q n +1 Q n +1
0 0 1
1 1 0
EEI2404TP.doc 4
EXERCICE PRATIQUE
Entrées Sorties
H Q n +1 Q n +1
Qn Qn
EEI2404TP.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Ce résumé théorique comprend l’explication de la différence entre les circuits séquentiels et les
circuits combinatoires en se basant sur leurs caractéristiques.
Directives particulières :
EEI2405RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
A une combinaison des états des variables d’entrée, fait correspondre une, et une seule
combinaison d'états des variables de sortie. Le système correspondant est réalisé par des
portes logiques.
Exemple :
2- LA LOGIQUE SÉQUENTIELLE
Elle prend en compte à la fois les combinaisons des états des variables d’entrée et la
succession chronologique des combinaisons d’états relatives aux situations antérieures.
Exemple :
- une action sur le bouton poussoir du 3ème étage reste sans effet
- une action sur le bouton poussoir du 5ème étage se traduit par une montée.
- Une action sur le bouton poussoir du 1er étage se traduit par une descente.
L’état immédiatement antérieur à toute action a été pris en compte dans la logique de
commande.
- Pour se souvenir du passé, le système de logique séquentielle fait appel à des
fonctions de mémorisation.
- En logique séquentielle, il faut tenir compte de la combinaison des variables
d’entrée mais aussi de leur succession qui provoque un déroulement ordonné
d’opérations.
EEI2405RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Exemple :
EEI2405RT.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi :
On présente un certain nombre de circuits ,le stagiaire doit distinguer ceux qui sont
séquentiels et ceux qui sont combinatoires en se basant sur leurs fonctions.
- Lieu de l’activité :
Salle de cours.
- Directives particulières :
EEI2405TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Parmi les circuits ci-dessous, distinguer ceux qui sont séquentiels et ceux qui sont
combinatoires.
Les résultats seront inscrits dans le tableau modèle ci-dessous.
a &
& Q
a &
b
≥1 Q
b &
c &
d
Q
a a b
1 &
& Q
&
b 1
EEI2405TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
a &
≥1 Q
Une lampe éclaire si on agit sur un bouton poussoir a ou si
on agit sur le bouton poussoir b. Elle n’éclaire pas s’il n’y
a pas d’action ni sur a ni sur b, ou s’il y a action à la fois
sur a et sur b
≥1
b
Circuit n°7 :
Une perceuse peut fonctionner (c’est à dire que l’on peut mettre son moteur sous tension)
dans les seuls cas suivants :
Circuit n°8 :
L1 Q1
F1
S1
S2 K1 S3 K2
K2 K1
K1 K2
L2
EEI2405TP.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : N° C DURÉE : 5H
Ce résumé théorique comprend comment rechercher des symboles et des caractéristiques des
composants dans la documentation technique, choisir et arranger des composants pour obtenir des
bascules RS, D, T, JK, Choisir et arranger diverses bascules pour obtenir des compteurs linéaires,
des compteurs à décades, des registres à décalage etc.
Directives particulières :
EEI240CRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : N° C DURÉE : 5H
EEI240CRT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI240CRT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI240CRT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI240CRT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI240CRT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
2.1.- Bascule RS
La bascule RS peut être réalisée soit par des opérateurs NON-OU ou des opérateurs NON-ET.
EEI240CRT.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Réalisation avec
des opérateurs S & Entrées Sorties
& &
NON-ET & Q H S R Qn+1 Qn+1
H
ou
0 0 Qn Qn
ou
1 0 1 0
& Q 0 1 0 1
& ou
R
ou
1 1 Ambiguïté
Réalisation avec
une bascule RS à S & Entrées Sorties
& &
operateurs NON- ≥1 Q H R S Qn Qn+1
OU et deux H 0 X X 0 Qn
opérateurs NON- 1
ET 1 0 1 0 1
≥1 Q
1
& 1 0 0 0
R
1
ou
0 1 0 1
1
1 0 0 0
1
EEI240CRT.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
2.3.- Bascule D
2.4.- Bascule JK
EEI240CRT.doc 9
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Logigramme
& Q
K & & &
Appelé aussi compteur modulo 10, peut être réalisé avec des bascules de type D, disposant
d’une entrée “clear”.
D Q D Q D Q D Q D Q
Clear
Q 0 Q 1 Q 2 Q 3 Q 4
_ Pour que la sortie Q0 puisse passer à 1, il faut relier l’entrée D de cette bascule sur la sortie
Q4 de la cinquième bascule.
EEI240CRT.doc 10
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Compteurs
asynchrones Q 0 Q 1 Q 2 Q 3
binaires 4
bits réalisés
à partir de 4 D0 Q 0 D1 Q 1 D2 Q 2 D3 Q 3
H
bascules D H
0
H
1
H
2
H
3
Q0 Q1 Q2 Q3
Remarque : Le nombre de bascules est égal au nombre de bits, les liaisons entre les
bascules restent les mêmes quelque soit le nombre de bits.
Compteurs
asynchrones Q 0 Q1 Q2 Q 3
binaires 4
bits réalisés 1 logique & &
à partir de 4
bascules JK J0 Q0 J1 Q1 J2 Q2 J3 Q3
K0 K1 K2 K3
EEI240CRT.doc 11
RÉSUMÉ DE THÉORIE
SISO Bascules D E
D Q D Q D Q D Q S
PIPO Bascules D E0 E1 E2 E3
D Q D Q D Q D Q
R
& & & &
S0 S1 S2 S3
PISO Bascules D E0 E1 E2 E3
D Q D Q D Q D Q
t1 t2 t 3 t 4
SIPO Bascules JK E1
J Q J Q J Q J Q
E
2
K K K K
H
R
& & & &
S0 S1 S2 S3
EEI240CRT.doc 12
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : C DURÉE : 3H
- Objectif poursuivi :
Le stagiaire doit à partir d’un ensemble de composants, choisir ceux qui conviennent et les
arranger pour obtenir des bascules RS, D, JK, des compteurs linéaires, des compteurs à décade et
des registres à décalage.
- Lieu de l’activité :
- Directives particulières :
EEI240CTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : C DURÉE : 3H
Exercice 1 :
On désire réaliser une bascule RSH, une bascule D et une bascule JK.
Quels sont donc les opérateurs qui conviennent et comment les arranger pour réaliser
chacune des trois bascules déjà citées ?
Exercice 2 :
Quels sont donc les composants qui conviennent pour chaque cas et comment les arranger ?
EEI240CTP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : D DURÉE : 5H
Objectif poursuivi :
Tracer des schémas de montage.
Ce résumé théorique présente la traçage des schémas de montage des compteurs, registres,
décodeurs et différents afficheurs.
Lieu de l’activité :
Salle de cours.
Directives particulières :
EEI240DRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : D DURÉE : 5 H
Soit à tracer un schéma de montage d’un compteur bi-quinaire (diviseur de fréquence par10)
Il existe deux possibilités :
&
J Q J Q S Q J Q
B C D A
Q
K K R D K
+5V Q Q Q Q
C A
B D
R (1) 2
0
R (2) 3 & CTR
0
R (1) 6
9
R (2) 7 &
9
CKA 14 12 Q
DIV 2 A
9 Q
B
CKB 1 DIV 5 8 Q
11 C
Q
D
Boitier DIL 16
Vcc en 5 : GND en 10.
EEI240DRT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Soit à tracer le schéma de montage d’un registre à décalage de 4 bits, Entrées / Sorties
parallèles, entrée série.
Entrées
Mode A B C D
contrôle
Entrée
serie
Horologe 1
décalage
à droite
Horologe 2
décalage
à gauche 1R 1R 1R 1R
C1 C1 C1 C1
1S 1S 1S 1S
Q Q Q Q
A B C D
Sorties
EEI240DRT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Remarque :
+VCC OV
SRG4
MODE
(6)
M2 (LOAD)
S7 M1 (SHIFI)
R :10 K Ω CLK1
(9)
1C3/1
S6
CLK1
R :10 K Ω
(8) 2C4
S5
SER D
(1) 3D
A (2) QA(13) R
4D
S1
B D
(3) QB(13) R
S2
C D R
(4) QC(13)
S3
D
D(5) QD(13) R
S4
Vcc en 14
GND en 7.
EEI240DRT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Oscillateur BIN/OCT
(6) G1 Y (7)
7
Y6 (9)
(4) G 2A Y5 (10)
(5) G 2B
Y4 (11)
Y3 (12)
Y2 (13)
(1) A (14)
Y1
S (2) B (15)
Y0
S (3) C
S
5V 5V
Boîtier DIL 16
Vcc en 16
GND en 8.
Le signal d’Horloge (oscillateur) valide le décodeur par G1 et les capteurs S1, S2, S3, (sélection)
désignent la sortie qui oscillera au rythme du générateur d’impulsion.
EEI240DRT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
On propose un schéma de montage utilisant un compteur 74143 qui comporte sur un même
circuit un décodeur pour LED.
(1) V 24
SCEi cc +5V
H (2) 23
CLK PCEI
+5V (3) 21
CLEAR STROBE
(4) 22
1 KΩ RBI MAX.COUNT
(5) 20
BI Q
(6) D 19
BO QC
(7) 18
DP QB
(8) 17
d.P. QA
(9) 16
d b
(10) 15
f a
(11) 14
e c
(12) 13
GND g
(a)
Vcc
a 5V
f (f) (b) b
(g)
g
e c
(e) (c)
(d)
d
EEI240DRT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
4070 B
4511 B
a
D
b
Pilote/
C Décodeur
c
DCB -
7 segments
B d
ACL
e
a
A
b
c
f
d
e
f
g
g
Plaque
arrière
5V
0
40 Hz
EEI240DRT.doc 7
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : D DURÉE : 3H
- Objectif poursuivi :
Le stagiaire doit tracer des schémas de montage d’un compteur, d’un registre, d’un diviseur
de fréquence et d’un ensemble : compteur – décodeur – afficheur – ces schémas doivent être
conformes aux schémas électroniques
- Lieu de l’activité :
Atelier.
- Directives particulières :
EEI240DTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF :D DURÉE : 3H
Exercice 1 :
On désire monter le C.I 7490 afin de réaliser un diviseur de fréquence par 10.
Tracer son schéma de montage.
Exercice 2 :
V +5V
SCEi cc
H
CLK PCEI
+5V CLEAR STROBE
1 KΩ RBI MAX.COUNT
BI Q
D
BO QC
DP QB
d.P. QA
d b
f a
e c
GND g
Vcc +5V
a
b
f
g
e c
d
EEI240DTP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
Exercice 3 :
4070 B
4511 B
a
D
Pilote/
C Décodeur
DCB -
7 segments
B
ACL
a
A
b
c
d
e
f
g
Plaque
arrière
5V
0
40 Hz
Exercice 4 :
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EXERCICE PRATIQUE
Exercice 5 :
On désire monter un registre 7495 afin de vérifier ses deux modes de fonctionnement :
chargement parallèle;
décalage à droite de QA vers QD.
MODE
LOAD
SHIFI
1C3/1
2C4
SER
3D
A QA R
4D
B QB
C QC
D QD
0V
EEI240DTP.doc 4
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : E DURÉE : 6H
- Objectif poursuivi :
• un registre;
• un compteur;
• un diviseur de fréquence;
• un décodeur;
• un compteur – décodeur et affichage numérique avec sélection judicieuse des composants et
conformité du montage avec le schéma.
- Lieu de l’activité :
Atelier.
EEI240ETP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
- Directives particulières :
s’assurer que les stagiaires suivent bien les étapes dans l’ordre indiqué afin de
bien comprendre les éléments du circuit à réaliser.
s’assure du fonctionnement des circuits logiques :
EEI240ETP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : E DURÉE : 6H
I- REGISTRE 7495
+VCC OV
SRG4
MODE
(6)
M2 (LOAD)
Vcc en 14
S7 M1 (SHIFI) GND en 7
R :10 K Ω CLK1
(9)
1C3/1
S6
CLK1
R :10 K Ω
(8) 2C4
S5
SER D
(1) 3D
A (2) QA(13) R
4D
S1
B D
(3) QB(12) R
S2
C D R
(4) QC(11)
S3
D
D(5) QD(10) R
S4
Figure 1
EEI240ETP.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
a)- Identifier le niveau affecté aux entrées A, B, C, et D par les inverseurs S1, S2, S3,et S4.
Rep :---------------------------------------------------
c)- Affecter aux inverseurs S1 à S4 les niveaux correspondant au mot binaire 1011 (D poids
fort).
Rep : A : niveau-------------------
B : niveau-------------------
C : niveau-------------------
D : niveau-------------------
EEI240ETP.doc 4
EXERCICE PRATIQUE
+VCC OV CTRDIV10
CLR 1 CT=0 Boîtier DIL 16
S1 Vcc en 16
LOAD 9
S2
M1 GND en 8
M2
ENT 10 15 RCO
G3 3CT=9
S3
ENP 7 G4
S4
CLK 2
C5/2,3,4+
S5
R:10 K Ω
D
A R
3 1 14
1,5D QA
D
B 4 R
2 13
QB
D
C 12 R
5 4 QC
D R
D 6 8 QD
11
Figure 2
- Monter le circuit de la figure 2.
a)- Quel niveau logique doit être sur la broche CLEAR pour que le compteur effectue une
remise à zéro ?
Rep : ---------------------------------------------------
b)- Quels niveaux logiques doit-on appliquer sur les broches de contrôle des entrées pour
que le compteur exécute une séquence normale?
Rep :
Table 1
Broche Niveau
ENABLE P
ENABLE T
CLEAR
LOAD
EEI240ETP.doc 5
EXERCICE PRATIQUE
- Monter un circuit dont la fonction est de diviser une fréquence afin d’obtenir la fréquence
désirée. On se propose la réalisation d’un diviseur de fréquence, permettant de simuler la
fréquence pour les minutes d’une horloge.
- Le circuit interne du 7490 est formé d’une bascule T entre l’entrée A et la sortie QA.
Nous pouvons donc conclure qu’une bascule T est également un diviseur de fréquence par 2.
Remarque :
Vcc
U1 U2 U3 U4
Clock 14 12 14 12 14 12 14 12
A QA A QA A QA A QA
120Hz 1 9 1 11 1 11 1 11
B QB B QB B QB B QB
8 9 9 9
QC QC QC QC
11 8 8 8
QD QD QD QD
Vcc 2 6 Vcc 2 Vcc 6
R0(1) Vcc R0(1) R0(1) R0(1)
3 7 3 7
R0(2) R0(2) R0(2) R0(2)
6 6
R9(1) R9(1)
7 7
R9(2) 74LS92 R9(2) 74LS92
74LS90 74LS90
Reset
Figure 3
EEI240ETP.doc 6
EXERCICE PRATIQUE
Oscillateur BIN/OCT
(6)
G1 Y7
G 2 (4)
G2A Y6
74LS138
(5)
G2B Y5
Y4
Y3
A Y2
S1
B Y1
S2
C Y0
S3
R R R
R
Boîtier DIL 16
GND en 8
5V Vcc en 16 5V
Figure 4
- Sur quel niveau logique doit être l’entrée G2 pour valider le décodeur ? G2 = G2A+G2B.
Rep : ---------------------------------------------------
- Identifier le niveau logique affecté aux entrées A, B et C par les capteurs S1, S2, et S3..
Rep : ---------------------------------------------------
EEI240ETP.doc 7
EXERCICE PRATIQUE
- Remplir la table de vérité suivante en agissant sur les capteurs et en notant les états des
sorties.
Entrées Sorties
Validation Adresse
G1 G2 C B A Y7 Y6 Y5 Y4 Y3 Y2 Y1 Y0
0 X X X X H H H H H H H H
H L L L L
H L L L H
H L L H L
H L L H H
H L H L L
H L H L H
H L H H L
H L H H H
Monter un circuit dont la fonction est de compter puis d’afficher le résultat du compte en
utilisant un décodeur intégré 74LS47 (interface un affichage 7 segments sur un compteur).
74LS160 74LS47
Vcc : Broche 16 Vcc : Broche 16 MAN71A
GND : Broche 8 GND : Broche 8
+Vcc 0V 13
R A
3 A
A QA 14 7 R B
4 1 12
B QB 13 1 B
5 2
C QC 12 2 11 R C
6 4 C
D QD 11 6 8 10 R D
S1 7 15 4 D
ENP RCO BI/RBO
9 R E
S2 10 E
ENT 15 R
2 5 RBI F
CLK F
3 R
S3 9 LT 14 G
LOAD G
S4 1
CLR
+Vcc 0V Resistances
S5 de limitation :
330 Ohms
Horloge
Signal carré S6
5 Volts
Figue 5
EEI240ETP.doc 8
EXERCICE PRATIQUE
N.B : N’oublier pas de choisir les niveaux logiques convenables pour ENP, ENT, LOAD, et
CLR du compteur.
Voir 2ème montage.
b) Quel est le rôle de la broche LT du décodeur 74LS47 ainsi que son niveau actif ?
Rep : ---------------------------------------------------
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