Année Scolaire: 2021/2022: Institut Spécialisé de Technologie Appliquée ISTA 1 - Safi
Année Scolaire: 2021/2022: Institut Spécialisé de Technologie Appliquée ISTA 1 - Safi
Année Scolaire: 2021/2022: Institut Spécialisé de Technologie Appliquée ISTA 1 - Safi
Filière : Technicien
Option : Comptabilité des Entreprises
RAPPORT DE STAGE
Avant de présenter mon rapport, je tiens à remercier vivement mon maître de stage Mme
Bouchra Lmzaouak d’avoir bien voulu m’accepter en tant que stagiaire au sein de sa société,
et pour leurs précieux conseils qui m’ont guidé tout au long de l’élaboration de mon travail.
Ainsi que tous les personnels du Cisilia qui, au travers de leur expertise, leur disponibilité
et leur gentillesse m’ont permis de me familiariser avec le fonctionnement d’un cabinet
d’expertise-comptable.
Pour finir, mes gratitudes à toute personne qui a contribuent de près ou de loin à la
réalisation de cet édifice.
DEDICACES :
SOMMAIRE
Remerciements …………………………………………………………………...
Introduction……………………………………………………………………….
I- Présentation de la fiduciaire…………………………………………….
1- historique de la fiduciaire………………………………………………………
2- fiche signalétique de la fiduciaire NAKHIL, FIDUNAK……………………...
3- Organigramme de FIDUNAK…………………………………………………
Conclusion………………………………………………………………………...
Annexes……………………………………………………………………….......
Abréviations (emplacement à revoir) …………………………………………….
Remerciements
Introduction
La Direction Générale :
L’impression de
L’élaboration du L’impression et la
la balance et du
bilan correction
grand livre.
Après cette phase qui est purement comptable, on passe à la phase concernant les
déclarations fiscales. Ces dernières consistent à déclarer l’IS, s’il s’agit de société anonyme ou
de société à responsabilité limitée, on utilise un imprimé bleu (voir l’annexe). Il y a aussi la
déclaration de l’IGR s’il s’agit des personnes physiques, on utilise un imprimé blanc (voir
l’annexe). Le dossier est envoyé par la suite à la direction des impôts.
Le Service Juridique :
Ce service s’occupe de plusieurs tâches :
Il prend sous sa charge les expertises qui se tiennent par voie judiciaire (conflits avec la
société d’assurance, conflits entre les héritiers…etc. ).
Il assure la correspondance avec le tribunal, les créanciers, les entreprises en redressement
et les impôts.
Le Service Informatique :
Le service informatique est crée simultanément avec la création de la fiduciaire, vu la
nature des services rendus par le cabinet qui nécessite le recours à l’outil informatique.
Il dépend de tous les autres services, pour le traitement des rapports de commissariat aux
compotes, ceux d’expertises et aussi la saisie des opérations comptables.
ANALYSE :
D’après l’organigramme, il paraît que l’effectif du personnel est faible par rapport à la
dimension du travail. Cela facilite la surveillance et la répartition des tâches, qui s’effectuent
par les responsables en faisant appel à des stagiaires. Ces derniers sont d’autant plus
nombreux que le travail est cumulé. La responsabilité dont chaque personne est chargée
du travail bien spécifiée. Autrement dit, il y a des périodes où la fiduciaire a besoin de main
d’œuvre, pour l’exécution des bilans et du calcul des résultats et ça se passe pendant les mois :
Le reste de l’année est consacré aux autres activités du fiduciaire telles les déclarations de la
TVA, la CNSS, les contrats concernant la constitution des sociétés, le commissariat aux
comptes et l’expertise.
IL s’agit du domaine du travail du cabinet, c’est à dire les services rendus aux clients. Le
fiduciaire NAKHIL a pour objet d’effectuer les travaux comptables, juridiques, fiscaux,
d’organisation et d’expertise.
1- Tenue de la comptabilité
Il s’agit de la fonction ayant pour objet la tenue de la comptabilité de ses clients, et le
traitement des opérations comptables de façon complète pour les entreprises n’ayant pas de
service comptabilité. Il s’agit des petites entreprises non structurées. Pour celles ayant de
service comptabilité, la fonction du fiduciaire se limite à l’établissement du bilan et de la
balance.
Dans ce cadre, il faut respecter les principes suivants :
Le principe de spécialisation : c’est le fait que chaque exercice doit être autonome.
Le principe de continuité : lorsqu’il y a continuité de l’exploitation de l’entreprise,
le commissaire aux comptes exerce son devoir d’alerte à l’égard.
Le principe de prudence : c’est à dire qu’il vaut mieux renforcer le coté pessimiste.
Le principe selon lequel les comptes annuels doivent être réguliers, et donner une
image fidèle du patrimoine et du résultat de l’entreprise.
En ce qui concerne les déclaration fiscales, elles comportent la déclaration de l’IS, de
l’IGR, de la TVA et celle de la CNSS.
2- expertise comptable
Le terme « expert » se dit de quelqu’un qui a acquis, par l’expérience et par la pratique, une
grande habilité dans un métier.
En droit, c’est la personne choisie pour ses connaissances techniques.
Par l’expertise, on entend une mesure d’institution qui peut être confiée, soit par un juge,
soit par une personne ou un organisme privé, à un technicien compétent qui reçoit une
mission précise nécessitant des investigations complexes, pour fournir, sur des questions
de fait, des informations et un avis technique.
Le commissaire aux comptes est obligatoire dans les SA et les coopératives. Dans les
SARL la désignation devient obligatoire si le CA (HT) excède 50.000.000,00 DH.
Le rôle donc du CAC est de faire un rapport, en se basant sur la situation comptable et
financière de la société, destiné à l’assemblée générale. Ce rapport, contient des
suggestions et des conseils à propos du déroulement général de la société. (Voir
l’exemplaire de l’annexe).
5- audit
En professionnel de la comptabilité, spécialiste de la finance et de l'organisation,
l'expert-comptable peut intervenir dans de nombreux domaines de l'entreprise pour réaliser :
- Un audit des comptes, dans le cadre d'une prise de participation, de rachat ;
- Un audit juridique, social ou fiscal, permettant de mettre à jour d'éventuels
dysfonctionnements ;
- Un audit de la couverture des risques de l'entreprise : efficience des contrats d'assurances,
respect des règles d'hygiène et de sécurité...
6- organisation ?????????
La concurrence de plus en plus accrue oblige l'entreprise, même de petite taille, à
optimiser son organisation interne et externe pour rester rentable. Dans ce cadre, l'expérience
de l'expert-comptable peut aider l'entrepreneur dans de nombreuses démarches :
- Aide à la définition de la politique générale, des stratégies de marché ;
- Réalisation d'organigrammes des structures, définition des fonctions ;
. - Analyse des procédures et du contrôle interne ;
- Aide à la gestion et à l'organisation des ressources humaines ;
- Conseil en politique, contrôle de la qualité.
7- syndic
Après avoir classé les documents, nous passons les écritures dans les journaux, chaque
journal doit traduire les mouvements et les opérations comptables. La pièce comptable doit
être vérifiée et imputée selon le plan comptable, la date et le numéro d’opération, ainsi le nom
du (fournisseur, client) dans les journaux.
Au fur et à mesure qu’on passe les opérations aux journal, on note sur les pièces
justificatives un code signifiant que le document a été enregistré au journal achat et au journal
caisse et banque, ce code est formé de façon suivante : on prend le numéro de la ligne
correspondante à l’opération de la pièce en question, et on le note au dessus, puis on ajoute
une lettre ‘’A’’ pour le journal achat, ‘’B’’ pour le journal banque et ‘’C’’ pour le journal
caisse…, si lors d’un contrôle ou d’une révision d’un dossier, on ne trouve pas de code sur la
pièce, c’est qu’elle n’a pas été comptabilisé ou bien qu’on a omis de porter le code sur cette
dernière.
Pour faciliter l’enregistrement comptable, on dispose des journaux suivants :
Journal Banque :
C’est un manifold qui représente les enregistrements comptables qui concernent les
factures réglées par chèque ou effets de commerce. Un relevé bancaire est nécessaire pour
faire un état de rapprochement entre le compte de la banque tenu par l’entreprise et le compte
de l’entreprise tenu par la banque. En suite on procède à l’enregistrement de toutes les
opérations selon la date avec la mention du libellé. Chaque opération débitée par la banque
(sur le relevé) est créditée sur le journal banque et vice versa.
Journal Caisse :
Nous y enregistrons toutes les opérations concernant la caisse et qui entraînent les
mouvements d’espèce : les recettes et les dépenses.
Dans le crédit du compte caisse, on enregistre les dépenses réglées en espèce
( achat, versement à la banque, frais généraux…).
Nous constatons que le compte caisse diminue des dépenses pour chaque opération
débitée et augmente du montant des recettes.
Journal Achats :
Nous y enregistrons les factures de marchandises vendues aux clients, soit à crédit soit
au comptant.
Journal des Opérations Diverses :
Le journal des opérations diverses est réservé aux opérations qui ne peuvent être
inscrites dans aucun des journaux précités : salaire et TVA.
*Opérations de la paie :
Chaque mois nous -y faisons la passation des salaires, après l’établissement des bulletins de
paie.
*Opérations de la TVA :
L’établissement de ce journal se fait après la déclaration de la TVA.
III. Le calcul de la TVA :
A. Définition :
« La taxe sur la valeur ajoutée est un impôt indirecte par excellence, introduite au
Maroc par la loi n°30-85 du20 décembre 1985 et appliquer officiellement le 01/04/1986, elle
frappe la consommation finale (redevable réel) et elle est collectée par le redevable légal (les
entreprises) . »
Cependant, elle n’est pas généralisée et son champ d’application est limité aux :
Opérations de nature industrielle, commerciale, artisanale ou relevant de
l’exercice d’une profession libérale accomplie au Maroc ;
Opérations d’exportation,et aux opération réalisée à l’importation .
Selon les opérations effectuées on distingue, des opérations obligatoirement imposables et
des opération imposées par option et enfin des opération qui sont exonérées sans droit à
déduction et d’autres qui sont exonérées avec droit à déduction.
C. -l’imposition :
Selon le régime d’imposition,il existe deux types de régimes de déclaration de la
TVA :
Déclaration mensuelle : (voir annexe)
Il est obligatoire pour :
Les redevables dont le chiffre d’affaire taxable réalisé au cours de l’année
écoulée atteint ou dépasse 1.000.000,00 dhs au cour de l’exercice écoulé ;
Toute personne n’ayant pas d’établissement au Maroc et y effectuant des
opérations imposables.
Déclaration trimestrielle : (voir annexe)
Il est obligatoire pour :
Les redevables dont le chiffre d’affaire taxable réalisé au cours de l’année
écoulée est inférieurs à 1.000.000,00 dhs ;
Les redevables exploitants des établissements saisonniers, ainsi que ceux
exerçant des activités périodiques ou effectuant des opérations
occasionnelles ;
Les nouveaux redevables pour la période de l’année civile en cours.
D. -la détermination de la T.V.A :
S’il s’agit de déclaration mensuelle, on calcul le CA du mois pour savoir le montant de
la TVA facturée, puis on enregistre dans un document spécial (le relevé des achats (voir
annexe), les achats taxables effectués dans le mois précédent afin de dégager la TVA
déductible.
Formule :
T.V.A. à payer de mois avril = T.V.A Facturé de mois avril - T.V.A /charges
de mois mars - T.V.A / Immobilisation de mois avril
D’un premier temps, il faut imprimer le grand livre qui contient les détails de toutes les
écritures, Ainsi que la balance afin de les vérifier. Ensuite, le logiciel se charge de
l’établissement du bilan, Du Compte des produits et charges (le compte de résultat), du
tableau des immobilisation, du Tableau des amortissements et des provisions et de l’état des
stocks de la société.
N.B : L’ensemble de ces documents sont regroupés dans le même dossier et envoyés à la
Direction des Impôt de Marrakech
Classement de pièces
cvcomcomptables
IV.
Banque Caisses Vente Achats Opér. Diverses
eeeee
Bilan
Chapitre 1 : Le livre de paie (CNSS)
Le livre de paie
C’est un document obligatoirement, numéroté et paraphé par l’inspection de travail,
il est tenu par l’employeur, son remplissage se fait à partir du bulletin de paie, qui
doit être tenu chronologiquement, sans blanc ni rature.
Sa tenue consiste à indiquer le N° du bulletin de paie, la période, le nom et le prénom
de l’employé, et la date d’entrée au service, pour chaque salarié et sur chaque ligne.
Bulletin de paie
Chaque salarié possède son bulletin de paie, ce bulletin à un caractère de pièce
justificative pour le salarié, car il contient le net à payer avec les majorations et les déductions,
il se trouve en double exemplaires, l’original porte la signature des deux parties (l’employeur et
l’employé), et doit être délivré au salarié, et le deuxième exemplaire reste chez l’employeur
pour le besoin du traitement comptable.
1-Définition :
La CNSS est une organisation publique dotée de la personnalité civil et de
l’autonomie administrative et financière par Dahir n°1-59-148 du 03-12-1959 sous la
tutelle Ministère des finance et du Ministère de l’emploi, ce régime a été modifié par
Dahir n°1-79-148 du 27-07-1972 .
La caisse a pour mission de gérer la sécurité sociale dont le but est de protéger les
travailleurs contre toute perte éventuelle de leurs moyens de subsistance de façon
provisoire (accident, maladie) ou définitive (invalidité, veuvage, vieillesse).
2-Affiliation à la CNSS :
Tous les employeurs qui occupent des personnes assujettis au régime de la sécurité
social, sont obligatoirement tenus de faire procéder à leur affiliation à la CNSS.
Les affiliés sont tenus de mentionner le numéro de leur affiliation sur tous leurs
documents (factures lettres…), ainsi de signaler toutes modification concernant
leur statuts juridique, son adresse la cessation de son activités…..
3-Immatriculation à la CNSS :
1- La cotisation à la CNSS :
Une cotisation patronales constituant des cotisations pour la couverture des allocations
familiales calculées sur la base du salaire imposable au taux de 7,50/ sans plafond, des
prestation sociales de8, 60/ et une participation au financement de la formation
professionnelle au taux de 1,60/ (soit un total de17, 70/)
REMARQUE :
À partir du mois septembre 2005 l’AMO (assurance maladie obligatoire) mis en
vigueur au taux de 5/° :
-une participation de : 1/° déduite de l’allocation familiale (devenu 6,50 au lieu de 7,50)
-une cotisation de : 3/° (la part patronale).
-une cotisation de : 2/° (la part salariale).
-Soit une cotisation total de : 5/°
Conclusion
Annexes
Abréviations (emplacement à revoir)