Travaux Dirig Es D'informatique 4: Serie N 2
Travaux Dirig Es D'informatique 4: Serie N 2
Travaux Dirig Es D'informatique 4: Serie N 2
Serie N ◦ 2
1) Concevoir et écrire une fonction algorithmique non récursive qui calcule le terme de rang N
arbitraire de la suite SN . N.B. Essayer d’envisager plusieurs approches.
2) On sait que (SN ) est la suite des sommes partielles d’une série numérique convergente. Conce-
voir et écrire alors une fonction algorithmique qui somme les termes de cette série jusqu’à un rang
N tel que la somme SN est une approximation de la somme totale de cette série avec une incertitude
absolue < ε, avec ε réel > 0 donné, et qui renvoie cette approximation comme résultat.
1) Montrer que I ∈ R et A ∈ R.
2) Démontrer que I = A.
3) Utiliser ce dernier résultat pour construire une méthode numérique permettant de calculer une ap-
proximation de I avec une incertitude absolue < ε, avec ε réel > 0 donné, ainsi qu’une approximation
de l’erreur absolue associée à cette approximation de I.
4) Concevoir et écrire alors une fonction algorithmique mettant cette méthode numérique en œuvre.
2) Démontrer que I = S.
3) Utiliser ce dernier résultat pour construire une méthode numérique permettant de calculer une ap-
proximation de I avec une incertitude absolue < ε, avec ε réel > 0 donné, ainsi qu’une approximation
de l’erreur absolue associée à cette approximation de I.
4) Concevoir et écrire alors une fonction algorithmique mettant cette méthode numérique en œuvre.
Exercice 5 :
π +∞ +∞ Z π
(−1)n (−1)n
Z
2 X X 2
On pose : I = cos(sin x)dx, A = n 2
, B= · Jn , où Jn = (sin x)2n dx.
0 4 (n !) (2n) ! 0
n=0 n=0
L’objectif ici est de calculer, avec une précision fixée d’avance, la valeur de l’intégrale I.
3) Utiliser ce dernier résultat pour construire une méthode numérique permettant de calculer une ap-
proximation de I avec une incertitude absolue < ε, avec ε réel > 0 donné, ainsi qu’une approximation
de l’erreur absolue associée à cette approximation de I.
4) Concevoir et écrire alors une fonction algorithmique mettant cette méthode numérique en œuvre.
Exercice 6 :
Z π +∞ 2 Z π
2 X n! 2
On pose : I = sin(cos x)dx, A = (−4)n , Jn = (cos x)2n+1 dx,
0 (2n + 1) ! 0
n=0
+∞
X (−1)n · Jn
B= .
(2n + 1) !
n=0
L’objectif ici est de calculer, avec une précision fixée d’avance, la valeur de l’intégrale I.
2) Déduire l’égalité : I = A.
3) Utiliser ce dernier résultat pour construire une méthode numérique permettant de calculer une ap-
proximation de I avec une incertitude absolue < ε, avec ε réel > 0 donné, ainsi qu’une approximation
de l’erreur absolue associée à cette approximation de I.
4) Concevoir et écrire alors une fonction algorithmique mettant cette méthode numérique en œuvre.
2) Concevoir et écrire alors une fonction algorithmique mettant cette méthode numérique en œuvre.
Ici, nous nous intéressons au cas des entiers. Écrire un programme en L.E.A qui permet de manipuler
les entiers pouvant atteindre jusqu’à 50 chiffres en base 10. Plus précisément :
1) Construire un type auxiliaire approprié pour la situation, et qu’on appellera big− entier.
2) Écrire des fonctions algorithmiques booléennes pour traduire respectivement, dans ce cadre, les com-
paraisons habituelles entre entiers, i.e. =, 6=, <, >, 6, > .
3) Écrire des fonctions algorithmiques pour effectuer respectivement, dans ce cadre, les opérations
arithmétiques usuelles sur les entiers, i.e. opposé, addition, soustraction, multiplication, reste et
quotient de la division euclidienne.
N.B. Cependant, on évitera de bloquer le programme sur la base 10 et la taille 50. Écrire le
programme de telle sorte que ces 2 valeurs puissent être facilement changées.
Ici, nous nous intéressons au cas des nombres réels. Écrire un programme en L.E.A qui simule la
manipulation d’un système de représentation de réels-machine en virgule flottante normalisée avec une
mantisse de 50 chiffres en base 10, et un exposant à 15 chiffres. Plus précisément :
1) Construire un type auxiliaire approprié pour la situation, et qu’on appellera big− réel.
2) Écrire des fonctions algorithmiques booléennes pour traduire respectivement, dans ce cadre, les com-
paraisons habituelles entre réels, i.e. =, 6=, <, >, 6, > .
3) Écrire des fonctions algorithmiques pour effectuer respectivement, dans ce cadre, les opérations
arithmétiques usuelles sur les réels, i.e. opposé, addition, soustraction, multiplication, division.
Écrire un programme en L.E.A. qui permet de manipuler les polynômes de divers degrés pouvant
atteindre 100. Plus précisément :
2) Écrire une fonction algorithmique booléenne pour évaluer l’égalité entre 2 polynômes.
3) Écrire des fonctions algorithmiques pour effectuer respectivement, les opérations arithmétiques usuelles
sur les polynômes, i.e. opposé, dérivation, primitive, intégration, addition, soustraction, multiplica-
tion, reste et quotient de la division euclidienne.
N.B. Cependant, on évitera de bloquer le programme sur le degrés maximal 100. Écrire le
programme de telle sorte que cette valeur puisse être facilement changée.
Dans la suite de l’Exercice précédent, concevoir et écrire une fonction algorithmique efficace en un
réel donné d’un polynôme dont on sait d’avance qu’il est pair.
Dans la suite de l’Exercice précédent, concevoir et écrire une fonction algorithmique efficace en un
réel donné d’un polynôme dont on sait d’avance qu’il est impair.
L’objectif ici est l’évaluation algorithmique efficace, en un réel x, du polynôme de Taylor d’ordre n
d’une fonction f , centré en un point x0 :
n
X f (k) (x0 )
y = T (x) = (x − x0 )k ,
k!
k=0
Où n, x et x0 sont donnés, ainsi que les coefficients : b0 = f (x0 ), b1 = f 0 (x0 ), · · · , bn = f (n) (x0 ).
3) (a) Trouver l’analogue efficace du schéma de Hörner pour un polynôme de la forme de T (x).
(b) En déduire une fonction algorithmique correspondante pour l’évaluation d’un tel polynôme.
4) Comparer l’efficacité numérique relative des 2 algorithmes obtenus pour évaluer T (x).
2. la suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , · · · , yn ,
et renvoie comme résultat la suite des différences divisées appropriées pour évaluer le polynôme
d’interpolation de Lagrange de f relativement aux points d’interpolation x0 , · · · , xn .
2. la suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , · · · , yn ;
4. un réel x arbitraire,
2) la suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , · · · , yn ;
3) un réel x arbitraire,
et renvoie comme résultat la valeur en x du polynôme d’interpolation de Lagrange de f relativement
aux points d’interpolation x0 , · · · , xn , valeur calculée par l’algorithme d’Aitken.
3) un réel x arbitraire,
et qui calcule une valeur approchée de y = f (x) :
2. où les points x0 , x1 , · · · doivent être pris, dans cet ordre, parmi a0 , · · · , aN ; par ordre de
proximité décroissante avec x
3. et les valeurs des polynômes d’interpolation doivent être calculées en utilisant leur forme de
Newton.
Ce calcul itératif doit être répété jusqu’à convergence des valeurs calculées avec une incertitude
relative < 10−3 si c’est possible, et renvoi d’un message d’erreur sinon.
Comme dans l’Exercice 16, mais en utilisant plutôt l’algorithme d’Aitken pour l’évaluation en x des
polynômes d’interpolation de Lagrange successifs.
2. La suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , ym ;
et renvoie comme résultat la suite des différences divisées approchées pour évaluer le polynôme
d’interpolation d’Hermite de f relativement aux couples (z0 ; 1), . . . , (zm ; 1).
2. La suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , ym ;
2. La suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , ym ;
4. un réel x arbitraire,
2. La suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , yN ;
4. un réel x arbitraire,
2. Où les points x0 , x1 , . . . doivent être pris, dans cet ordre, parmi a0 , . . . , aN (après duplication préalable)
par ordre de proximité décroissante avec x,
Ce calcul itératif doit être répété jusqu’a convergence des valeurs calculées avec une incertitude relative
< 10−3 si c’est possible, et renvoi d’un message d’erreur sinon.
Comme dans l’Exercice 20, mais en utilisant plutôt l’algorithme d’Aitken pour l’évaluation en x des
polynômes d’interpolation d’Hermite successifs.
1. une suite finie de nombre réels représentant une subdivision d’un intervalle [a, b] : a0 , . . . , aN ;
2. la suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , yN ;
3. un réel x arbitraire,
et renvoie comme résultat la valeur en x de la fonction d’approximation affine par morceaux de f sur
[a, b] s’appuyant sur la subdivision (a0 , . . . , aN ), si x ∈ [a, b], et renvoie un message d’erreur sinon.
1. une suite finie de nombre réels représentant une subdivision d’un intervalle [a, b] : a0 , . . . , aN ;
2. la suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , yN ;
3. un réel x arbitraire,
1. une suite finie de nombre réels représentant une subdivision d’un intervalle [a, b] : a0 , . . . , aN ;
2. la suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , yN ;
4. un réel x arbitraire,
et renvoie comme résultat la valeur en x de la fonction d’approximation d’Hermite par morceaux de f sur
[a, b] s’appuyant sur ces données, si x ∈ [a, b], et renvoie un message d’erreur sinon.
1. une suite finie de nombre réels représentant une subdivision d’un intervalle [a, b] : a0 , . . . , aN ;
2. la suite finie des images correspondantes pour une certaine fonction f (inconnue) : y0 , . . . , yN ;
et construit la fonction d’approximation spline sur [a, b] s’appuyant sur la subdivision (a0 , . . . , aN ).
N.B.Ceci est une partie d’un problème d’examen, d’où une certaine redondance avec
d’autres Exercices.
Dans ce problème :
L’objectif ici est alors d’examiner le problème de l’évaluation algorithmique efficace d’un
polynôme de degré n d’une variable réelle ou matricielle.
I- Calcul de P (x) = an xn + an−1 xn−1 + . . . + a1 x + a0 en un réel x donné.
2) a) Écrire un algorithme de calcul de P (x) basé plutôt sur le fait qu’on ait aussi (schéma de
HÖrner) :
P (x) = (. . . ((an x + an−1 )x + an−2 )x + . . . + a1 )x + a0 .
c) SCAL− M AT faisant la multiplication d’une matrice carrée réelle d’ordre p par un réel donné ;
d) M AT− V EC faisant le produit d’une matrice carrée réelle d’ordre p par un vecteur, dans cet
ordre par un vecteur, dans cet ordre ;
e) V EC− M AT faisant le produit d’un vecteur par une matrice carrée réelle d’ordre p, dans cet
ordre ;
*** NOTA : Dans toute la suite de ce problème, les fonctions algorithmiques de II seront
supposées écrites, et pourront être appelées partout où le besoin s’en ferait sentir.
III-Calcul de F (M ) = an M n + an−1 M n−1 + . . . + a1 M + a0 Ip pour M ∈ Mp (R).
Adapter I dans ce cas (sachant que Ip est la matrice d’ordre P ).
IV-Calcul de G(M ) = An M n + An−1 M n−1 + . . . + A1 M + A0 pour M ∈ Mp (R).
Adapter I dans ce cas.
9) Tris de tableaux.
Trier une suite réelle finie, c’est ré-arranger ses éléments dans l’ordre pré-déterminé. Écrire une
fonction algorithme en L.E.A. qui fait ce travail, dans l’ordre croissant, de la manière suivante :
N.B. Proposer une version non récursive et une version récursive de cette fonction algorithmique.