L'inteligence Économique
L'inteligence Économique
L'inteligence Économique
Asymétrie d’information
Situation dans laquelle deux acteurs ne sont pas informés au même niveau sur
l’environnement qu’ils partagent. L’objectif de la veille stratégique est de repérer les
asymétries auxquelles il faut remédier pour que l’entreprise puisse mettre au point sa
stratégie globale, sa communication et son lobbying.
La mondialisation croissante des marchés, l'état de saturation concurrentielle et
l'accélération des processus d'innovation et du cycle de vie des produits ont
profondément affecté l'environnement des entreprises et en particulier des PMI.
Les dirigeants mesurent actuellement combien ces évolutions sont sources
de menaces et d'opportunités.
Il faut pouvoir prendre les bonnes décisions au bon moment, ce qui suppose de
connaître les évolutions techniques, concurrentielles, réglementaires et économiques
affectant produits et marchés.
Il faut innover, c'est-à-dire, ne pas réinventer ce qui se fait ailleurs, mais acquérir
les idées nouvelles.
Il faut aussi savoir garder et protéger ses informations. Cette démarche a été
appelée "intelligence économique "
Bref, un ensemble de choses qui coulent de source, mais qu'il reste souvent difficile à
mettre en oeuvre, au-delà des discours, les faux pas peuvent rapidement survenir
notamment pris par le quotidien et la gestion courrante . L'anticipation et la protection
semblent les deux thèmes qui font le plus défaut. Je rajouterais donc une règle, ou un
conseil : il faut un gardien du temple, une unité en charge de ces différents exercices
et poures plus petites structures au minimum un collaborateur chargé de rappeler et
d’animer au quotidien ces efforts devenus aujourd'hui indispensables au bon
développement.
de vigilance ;
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de partage et d’échange.
Nous sommes passés dans les années 70 à une économie fermée et où les
progressions d'entreprises ou de carrières pouvaient être menées de manières
individuelles. Depuis une dizaine d'années et encore plus aujourd'hui avec la fluidité et
la rapidité des communications et des échanges liées notamment à l'Internet, la règle
d'or est le changement de comportement et d'état d'esprit ; ouverture, partage,
vigilance et protection de l'extérieur. L'exercice est difficile car il touche à l'humain,
aux habitudes des organisations, aux réflexes individuels de chacun qui lui même est
en compétition, pour son entreprise, mais aussi pour son propre emploi qui tend de
plus en plus à être externalisé ou pire délocalisé. Face à ce contexte, la direction doit
donner confiance et doit d'autant plus être moteur de ces nouveaux comportements.
1/Définition de l'information:
L'information est affaire de degré, entre tout savoir et ne rien savoir .elle n'est pas
la même pour tous d’où l'expression d'asymétrie d'information.
- l'information parfait : est celle qui permet d'eclaire une décision en renseignant
exactement sur le prix, et la qualité des biens que l'on est susceptible d'acheter.
-l'information complète : va bien au delà, englobant ce qui explique le prix
considéré : les goûts de tous les autres consommateurs ainsi que les technologies
existants.
Quand l'acheteur d'un véhicule n'a q'une idée imprécise de sa qualité, on dit que
son information est imparfaite .si la voiture est réellement bonne son propriétaire qui
le sait parce que son information est parfaite va en réclamer un prix élevé, craignant le
le prix, l'acheteur refusera et tout le monde y oura perdu.
-la même situant on empêche un conducteur prudent, et qui le sait de payer une
faible prime d'assurance parce que son assureur ne la sait pas il en est de même
quand un jeune chômeur demande d'embouche élevé connaissant la valeur exacte de
ses compétences et que son employeur qui,n'en a q'une idée imprécise ,refuse ces
exemples illustrent les effet négatifs d'une "asymétrie d'information" ,c'est adire d'une
situation ou l'un ne sait pas la même chose que l'autre .
pour augmenter l'information de chacun ,plusieurs solution sont envisageables :on
oblige en France les vendeurs de voitures d'occasion a produire un certificat qui en
précise l'état ,certains compagnies d'assurances proposent des primes dégressives a
ceux qui s'avèrent bons conducteurs ,les entreprises disposant d'une période d' essai
pour emboucher le temps pour elles de mieux apprécier les qualités des salaries
concernes et le case chants d'y renoncer sans coûts excessifs .
Les divers auteurs ne sont pas toujours bien d'accord pour la définition de
l'information ouverte et de information fermée.
Bernard besson et Jean-Claude possin considèrent que l'information publiée,
écrite, et l'information ouverte, que l'information non publiée orale est l'information
fermée, cette façon de voir ne semble pas correspondre ou point de vue d'autres
spécialistes et nous concéderons Philipe bounard en donne une représentation plus
satisfaisante ou en tout cas plus proche de notre point de vue.
*si la source délivre une information de son plein gré, cette information est
ouverte.
*si source ne délivre pas de son plein gré d'information, celle –ci est fermée
La distinction entre l'information ouverte et l'information fermée se présente
OUI NON
Ouverte fermée
.
-exemple de collecte d'information ouverte:
Sons tomber le moins dans le monde l'espionnage, il est possible de capter des
information peu diffusés des renseignement localises des donnes difficiles à obtenir
soulignons encore l'importance des forces des rencontres avec les clients les
fournisseurs pour cloner de l'information peu diffuses mais accessibles
Nous pouvons aller un peu plus loin et donne quelques idées supplémentaires aux
amateurs de ce genre collecte.
Supposons que le communiquer de presse suivant soit publie dans les Echos:
"La société (BIDULE S.A) implante une usines près de SISTER ON (04) pour
produire des céramiques houtes performances
Ce court communiquer met la puce a l'oreille du directeur générale d'une
entreprise produisant une gamme variée de réfractaires et céramiques il contacte le
3-1-information fatale:
Notre société dite de consommation ; caractérisé d'abord par un spectaculaire
gaspillage de produits matériels semble s'orienter également vers un gaspillage au
moins aussi large d'information contre le quel il serait vain d'essayer de lutter du
sondage d'opinion biquotidien sur les sujet les plus varies, même ceux qui ne
3-2/-information utile:
3-3/-information critique:
dans une situation donnée , un instant précis de la vie de l'organisme pou lequel
nous ressentons nettement qu'une certaine forme qu'une certaine qualité d'information
nous est tout a fait indispensable pour agir ou décider.
D’où l'objectif "critique" que nous proposons pour qualifier cette information
que l'on peut considérer comme constituant le noyau essentiel, l'âme de l'information
utile.
Sources d'information
Générales
*Périodiques
*Ouvrage, encyclopédies, *thèses
*Brevets
*Base de données
*Minitel
Sources d'information
Spécifiques
*Information publiées mais *peu
diffusées
*Informations informelles
*Information internes
4-1:les périodiques :
Les revues journaux publications périodiques diverses constituent une source
indispensable en information scientifique, technique et économique leur consultation
des la parution permet généralement de capter l'information plus rapidement que les
bases de données.
Ils sont consultables dans la plupart des bibliothèques des organismes
universitaires ou de recherche publique ou privée, ainsi que dans les bibliothèque ou
5-4:l'information informelle:
Voila une forme d'information particulièrement croustillante et qui fait couler
beaucoup d'encre et de salive. Il s'agit en aval de la science et de la technologiques et
Le propos de la théorie des jeux est l'étude de toute situation présentant des
caractéristiques semblables à celle des jeux de société, c'est-à-dire de situations où les
Un jeu est un ensemble de règles définissant les gains et les pertes d'individus
rationnels (les joueurs), suivant les choix qu'ils exercent. A chaque coup ou tour du
jeu, chaque joueur peut choisir entre des actions définies par le jeu. Suivant le type de
jeu, ces actions peuvent être consécutives — le joueur A joue, puis B, puis de nouveau
A (échecs, bridge) — ou simultanées — au premier coup, A et B jouent, aucun des
deux ne connaissant le choix de l'autre, idem au deuxième coup (poker). L'ensemble
des actions effectuées par un joueur au cours d'un jeu s'appelle une stratégie. Si le jeu
considéré n'a qu'un tour, la stratégie se confond avec l'action. Les gains représentent
une donnée quelconque mesurable perçue par un joueur. Le gain d'un joueur X pour
un tour est fonction de l'action de X mais également des actions des autres joueurs.
Les jeux à plusieurs joueurs sont souvent représentés par une matrice (cf. exemple 2).
Les choix rationnels dépendent fortement des règles du jeu : on distingue donc les cas
d'information complète — chacun des participants connaît ses possibilités d'action,
l'ensemble des choix des autres joueurs, toutes les issues possibles et les gais qui y
sont associés, les motifs des joueurs et les siens propres — et les cas d'information
incomplète. On suppose généralement que la perspective est non coopérative, c'est-à-
dire que chacun cherche à maximiser son propre gain et le sien seulement — il existe
cependant une théorie des jeux coopératifs où les joueurs peuvent passer des accords
entre eux — former une coalition — et où le non-respect de ces accords est
sanctionné.
2-/ Historique:
Le premier auteur à jeter les bases de la théorie des probabilités est le physicien
et philosophe espagnol Girolamo Cardano, qui expose le concept d'anticipation et
définit la notion de probabilité comme une fréquence relative. Au XVIIème siècle, le
On suppose ici que la règle du jeu permet les coups simultanés, ce qui introduit
une imperfection de l'information. On utilise généralement la représentation en forme
normale qui fait appel à plusieurs tableaux de chiffres donnant les gains des jours pour
chacune des issues possibles. Il n'est ici plus possible généralement de résoudre le
problème par une récurrence à rebours. On peut alors employer différentes méthodes :
on fait souvent appel à l'équilibre de Nash : « toute combinaisons de stratégies — une
par joueur — telle qu'aucun joueur ne regrette son choix après avoir constaté celui des
autres joueurs. » La situation d'équilibre parfait est aussi un équilibre de Nash. Dans le
jeu de l'exemple 1 il y a ainsi deux équilibres de Nash : l'équilibre parfait et la
stratégie NV n'entre pas-M ne cède pas, qui repose sur la menace de M de ne pas
céder (NV n'a pas alors intérêt à entrer). Un jeu peut comporter plusieurs, voire une
infinité d'équilibres de Nash. L'idée constitutive de l'équilibre de Nash est que chacun
cherche à maximiser ses gains, en dehors de toute autre préoccupation. Il peut être
sous-optimal (cf. exemple 2). Il résulte de prévisions auto-réalisatrices : chacun
pensant que les autres vont choisir telle solution, celle-ci se réalisera effectivement.
Exemple 2
Dilemme du prisonnier
Choix de A / Choix
Ne dénonce pas A Dénonce A
de B
Dénonce B 0, 0 -4, 1
Dans l'exemple 2 la coopération n'est pas possible. Mais si elle est possible, et
dans un jeu répété où à chaque tour, chaque joueur fait son choix en fonction des
résultats des tours précédents, on observe que la meilleure stratégie, entre la stratégie
"gentille" (ne jamais avouer), "méchante" (toujours avouer), au hasard et selon la
réciprocité conditionnelle (tit-for-tat ou donnant donnant), est celle du donnant-
donnant : le premier choix est celui de la coopération, puis le joueur B fait la même
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chose que l'autre aux coups précédents (expériences de Delahaye). Chaque violation
d'une coopération entraîne une vengeance, donc les chances qu'une coopération
s'établisse à la longue, surtout quand les joueurs ne savent pas combien il y aura de
tours. On peut ainsi intégrer à la théorie des jeux la notion de réputation — sous-
entendu : de non rationalité — avec des comportements de coopération, même si le
profit individuel n'est pas maximisé.
Ex post à partir d'une probabilité ex ante) pour vérifier si leurs anticipations sur
le type des autres sont correctes. Cet équilibre implique que les croyances — à propos
du type des autres joueurs — soient vérifiées.
La plupart des jeux à information complète utilisés en économie sont des jeux de
signalisation: Nature choisit le type de A qui prend alors sa décision. Le choix de A
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apparaît à B comme un signal à partir duquel il cherche à établir le modèle pris par A
au moyen d'un calcul de probabilité. B peut alors déterminer son choix compte tenu du
signal reçu (A ayant anticipé cette décision).
Les deux problèmes d'asymétrie d'information qui ont reçu le plus d'attention
depuis le début des années 1970 sont le risque moral et la sélection adverse (voir
Arrow (1985) et Dionne et lasserre (1987) pour une revue des récents modèles et
Dionne (1981) pour une revue de la littérature précèdent la présente décennie).
Les problèmes d'allocation des ressources associés moral ont été introduits
dans la littérature économique par K.arrow (1963).le modèle de référence de partage
des risques a les prioritaires suivantes .un agent riscophobe et un principale
riscophobe ou neutre au risque négocient un contrat qui a comme élément, le partage
des risques .l'output commun est affecté par une variable aléatoire et par l'action de
l'argent .sans asymétrie d'information entre les deux parties ; il est possible d'établir un
contrat qui va inciter l'argent a produire un niveau d'effort optimal .si maintenant le
principal ne peut pas observer l'action de l'argent ni la réalisation de la variable
aléatoire , il lui est difficile d'identifier les facteurs qui expliquent l'output réalisé ce
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qui réduit les incitations de l'argent à produire l'effort de pleine information et crée des
pertes de bien être .les activités de recherche des dernières années ont consisté à
imaginer des formes de contrat pouvant améliorer le bien- être des parties .un
premier pas a été de proposer des contrat non linéaires afin d'inciter l'argent a
augmenter son effort (pauly, 1974 ; holomètre ; 1979 et grossman et hart ; 1983).
Deux constations peuvent être dégagées de ces contributions .les modèles
utilisés ont des problèmes de construction (approche du première ordre) qui
impliquent des non convexités et ; par conséquent des solutions multiple ou des
solutions en coin difficiles à justifier intuitivement .mais plus important encore les
solutions non linéaires obtenues sous des restrictions qui permettent d'éviter ces
problèmes, n'ont pas beaucoup d'applications pratiques (Arrow ,1985). En effet ; la
plupart des contras principal agent observé sont linéaire .un exemple de contrat
linéaire est la coassurance dans les régimes d'assurance maladie, le taux de couverture
est a constant quelle que soit la quantité d'assurance choisie par l'agent.
Une autre caractéristique de la littérature sur le risque moral est que la plupart
des contributions sont concentrées sur la nature du contrat principal agent ; très peu
d'auteurs ont abordé les effets du risque moral sur l'équilibre concurrentiel. Il existe
bien sur des exceptions (pauly, 1974; helpman et Laffont, 1975) et c'est a cette
problématique que arnott et stiglitz ont consacré une grande partie de leur recherche
commune depuis plusieurs années.
Etre informé avant les autres est un souhait permanent de l'état major de
l'entreprise .les acteurs de l'intelligence économique doivent avoir constamment ce
souci à l'esprit.
Ayant analysé ce qui se fait en France (certaines sociétés comme Elf Atochem
ont réellement couplé la veille technologique (4)) et dans les principaux pays
industrialisés ; le groupe Marte a déterminé les lacunes de notre pays et pour les
combler, formule des propositions s'articulant en quatre axes comme le représente la
figure III:
Diffuser la pratique de l'intelligence économique dans l'entreprise;
5-1/ la surveillance :
Elle est la base de toute veille stratégique, comme de l'intelligence économique
et comprend trois opérations distinctes : la recherche, la collecte et la diffusion.
La recherche d'informations : / 5-2
Elle se réalise; le plus souvent, au niveau des références et résumés, soit par
l'interrogation de base de données, soit par le dépouillement de revues de sommaires
ou de revues secondaires, allant de la revue scientifique aux communiqués de presse.
Recherche
Collecte
Diffusion
Réseau de guetteurs; observateurs.
Le plus souvent spécialistes de
L'information
Analyse documentaire
validation
synthèse
Réseau 1
utilisation
Réseau 2
5-3/ la collecte:
5-4/ la diffusion :
Ces traitements concernent les diverses familles d'utilisateurs .nous les illustrons
par deux exemples successifs : le premier concerne le spécialiste de l'information
documentaire, le second l'utilisateur final de l'information, ingénieur, recherche ;
professeurs.
1. Au terme de son opération de recherche, lorsque celle-ci a été réalisée par
interrogation télématique d'une base de données, le professionnel de l'information
documentaire réalise très fréquemment la série suivante d'opération de traitement:
Télé déchargement de l'ensemble des références et résumés répondant à un
profil donné, retour au mode local (par déconnexion), lecture, sur écran, des résumés
sélectionnés.
Élimination (par sélections de blocs, suivies d'un effacement) de ceux qui sont
manifestement inintéressants.
Copie et collage électronique de tout l'ensemble sélectionné retenu dans un
document vierge sous logiciel de traitement de textes.
Ce système est plus en plus utilisés et nous le recommandons vivement a ceux qui
n'y auraient pas encore goûté ; aussi bien aux utilisateurs de micro-ordinateurs de type
IBM
Qu'a ceux de macintosh.
5-6/ l'utilisation:
C'est l'étape ultime qui consiste à prendre les décisions d'importance stratégique
pour la société:
Nouveaux projets de recherche.
Nouveau programme de développement
De coopération Accords
Transfert de technologie ; vente ou achat de licences.
Arrêts ou ventes d'unités de production.
Il apparaît que les utilisations possibles en veille stratégique sont de deux ordres:
Recherche et développement
Transferts de technologiques
Quelle que soit la stratégie de base d’une entreprise, cette entreprise aura besoin
d’information pour prendre de la décision de caractère, c’est-à-dire concerne des
activités coordonnées pour elle.
Mais l’importance de l’intelligence économique variera considérablement en
fonction de stratégie.
On considère généralement qu’il y a trois grande types de stratégies au niveau de
l’entreprise. (1)(P.87/97).
La stratégie de spécialisation
La stratégie d’intégration verticale
La stratégie de diversification
La stratégie de spécialisation :
Consiste à demeurer dans une seule domine pour y développer des compétences
spécifiques sans cherche à en intégrer de nouvelles. Il commence dans les sociétés
de tailles limitées. Peut risqués.
La stratégie d’intégrations verticale.
Caractérise généralement des groupes de grande taille, la société intègre à la fois
l’amont et l’aval de sa spécialité d’origine :
_par intégration amont, on ne dépend plus de fournisseur ;
_ Par l’intégration aval on ne dépend plus de sous-traitants ou de clients
intermédiaire
Ce type de stratégie est celui qui a adopté un certain nombre de grands groupes
pétroliers mondiaux.
Cette stratégie procure des avantages concurrentiels déterminants.
En amont, elle donne une garantie d’approvisionnement
En aval, elle offre des garanties sur les débouchés et le contrôle de distributions
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L’inconvénient réside dans la nécessité d’une organisations centrale permettant le
contrôle de l’ensemble et de ses multiples problèmes .il y aura lieu de trouver un bon
équilibre entre centralisation et décentralisations, en donnent une certaine coordination
au niveau de l’ensemble du groupe
La stratégie de diversifications
Elle est prônée (préconisée) depuis un certaine nombre d’années et consiste à
l’entreprise à ne pas hésiter à se lancer fréquemment dans de nouvelles aventures :
_fabrication de nouveaux produits
_ Lancement de nouveaux services
_ Conquête de nouveaux marchés
Hansoff proposait dès 1971de classer la diversifications en trois types distinctes :
_la diversification horizontale :
L’entreprise dans un nouveau produit ou une nouvelle technologie, mais sur son
marché , avec sa clientèle qu’elle connaît bien .
_la diversifications concentrique :les produits nouveaux que proposes
l’entreprise vise une nouvelle clientèle
_diversifications conglomérale :
Il y a diversifications simultanées de l’entreprise dans le produit, la
technologie et le marché
La diversifications est une moyenne très utilises dans le développement de
l’entreprise qui vise la croissance et l’expansion.
La stratégie d’alliance entre entreprise
la difficulté de mise en place de stratégie ambitieuses conduit très fréquemment
à négocier des alliances avec d’autre société .cette tendance se développement très
vivement en raison de la globalisation de l’économie et des échanges.
Si l’objective et de former de nouvelles entités par la réunion de firmes existants
ou parle d’inernetionalisation si l’entreprise décide de déléguer à l’extérieur certains
de ces activités dans le cadre d’un contrat de partenariat, on parle d’externalisation.
3/-La compétitivité:
Compétitivité « coûts »
Capacité de vendre
durablement et avec
On ajoute une profil ce que l’on produit
dimension
dynamique, 4
celle de
l’innovation Compétitivité « hors
/-la
au sens large coûts » con
Capacité de déceler en curr
permanence les besoins exprimés
ou latents des consommateurs .de ence
répondre à ces besoins en :
réalisant des profits