Rapport Talembote
Rapport Talembote
Rapport Talembote
1
Avant-propos
Au plan géologique, le secteur d’études fait partie du domaine rifain au Nord du Maroc,
concerne l’entourage de la région de Talembote. Dans ce rapport on va essayer de traiter
grossièrement tout ce qu’on a vu dans l’excursion ; pour le but de décrire les aspects
sédimentaires et la relation géologiques différentes unités géologiques repérer, et de définir
les problèmes et essayer aussi de comprendre tout ce qui dite les auteurs classiquement dans
lesurs rapports, est ce que c’est vrai ou pas et quelles sont les données réelles de terrain et qui
n’apparaît pas sur la carte.
2
Introduction
Le domaine rifen est subdivisé en trois domaines :
Domaine interne
Le grand contact de cerrage
Domaine externe
Domaine de flyschs – Tectonique de contact
Domaine interne sous l’unité de Tanger où se pose la dorsale calcaire, les ghomarides
et les sebtides. Elle s’étend le long de la Méditerranée, de Sebta jusqu’à Jabha.
Carte structurale de la chaine rifaine du Rif (Faugère, 1978, modifiée d’après Negro et Al,
2008).
3
Situation géographique et géologique de la zone d’excursion
Situation géographique
La zone d’étude située au nord du Maroc (Fig.2), Plus précisément dans le rif, la carte de
TALEMBOTE (1980) limité au nord par la carte de TETOUAN-RAS MAZARI et par la carte de SK.
Larba Beni Hessane à l’ouest, Bab Taza au sud, et par la carte de Bouhmed à l’Est.
La zone de l’excursion située à l’entourage de la région de Talembote plus exacte la région plus
exactement dans le secteur accoté de la route entre Talembote et Boujiane et Mezelfan el
Oued Dchar Majbar, au Nord-Ouest et de 15 km de la ville de Tetouan
Situation géologique
Elle est caractérisée par des formations très déformés qui sont traversées par des grandes
courants d’eau permanentes circulant vers la région de oued Laou.
Cette région est entourée par la dorsale calcaire dans toutes les directions sauf au à l’ouest,
elle est en contact avec le domaine externe, parfois par intermédiaire de l’unité
prédorsalienne.
4
Localisation de la zone d’étude dans la carte géologique de TALEMBOTE.
5
Description de faciès de la région
Elle est constituée de différentes formations classées de bas à haut:
Ce sont d’âge carbonifère sur lesquels reposent les calcaires zébrés de Dévonien qu
de l’unité de Talembote ; Il s’agit d’un terrain ancien paléozoïque et représenté par le grand
unité de Ghomaride.
Semblent être triasiques et est plein de micas, à la base on trouve de conglomérats de base
qui en globe des débris de quartzite et absence de schistes.
Résulte d’une histoire d’érosion d’une roche dure, qui commence par élimination de micas.
4- Marnes jaunes
C’est une formation tendres bréchiques d’âge aquitanienne et que se dépose sur un matériel
rougeâtre ( calcaire bréchique).
D’âge burdigalien inférieur- moyen, ce sont de dépôts marines riches en matière organique et
contenant des grès identiques de Ben ide. Elle est prédorsalienne, et, en contact
6
stratigraphique sédimentaire. Elle s’agit des formations numidien surmonté ppardessus grand
blocs de calcaires blanc ( Olistrostromes) d’âge jurassique – crétacé.
D’après la carte géologique les contacts entre les différents formations est tout à fait
tectonique, et il s’agit de la mise en place des nappes de charriage sur les terrains para –
autochtone.
Les terrains anciens montrent que les calcaires zébrés se reposent sur les schistes, de la sorte
que les calcaires au dessus sont anciens que les schistes, et que les schistes contiennent à
l’intérieur des blocs et des galets de calcaires zébrés. Ce qui nous met en doute la relation
entre ces deux faciès.
Image montre les calcaires zébrés qui reposent sur les schistes viséen
En outre, La relation entre la Dorsale Calcaire et le terrain jeune est également interprétée
dans la carte comme tectonique de telle sorte que la dorsale calcaire charrie le terrain
Tertiaire.
L’observation de terrain nous donne une autre vision à propos le contact entre ces deux
terrains, on remarque que la dorsale calcaire interne dans cette zone est toujours associée à
des marnes jaunâtres Aquitaniennes ‘Alhociena’ où les calcaires sont au dessus des marnes
mais le contact ne montre aucun trace tectonique pour parler de charriage.
Or, le contact entre les argiles rouges et les marnes jaunâtres ‘Alhociena’ est clairement
stratigraphique. Dans ce sens, le problème est apparemment l’âge de ces argiles. Elles sont
cartographies comme Trias ( par méthode de stratigraphique).
7
illustre le contact entre les argiles rouges A et les marnes jaunâtre B.
Autres que la Paléontologie, parce que ces argiles sont Azoïque. De même on trouve toujours
les marnes Aquitaniennes se reposé sur les argiles rouges ‘Triasiques’ en formant une
discordance. Mais, le problème qui se pose est celui de l’âge des argiles de telle sorte que les
marnes sont aquitaniennes et que l’intervalle de temps entre ces deux faciès est suffisant pour
Discussion :
Réponse à des questions :
D’abord on doit enlever l’idée que il a été érodé parce que ça n’explique pas grand chose.
S’il a été érodé comment expliquer la présence des argiles rouges, que sont plus friables et
susceptibles a érosion. Différemment de la dorsale que est beaucoup plus consolidée. Ce
n’est pas logique.
La seul façon de répondre à ça est que, la dorsale a envoyé que des émissaires, que sont
des grandes masse de blocs appellent olístrostromes, ils se sont déposé dans une matrice
pelitiques (pélites brun tabac).
8
2. Où sont les intervelles stratigraphique que manquent( les ages ), est ce qu’ils ont été
érodés ?
D’après les observations de terrain et analyse du terrain on peut dire que le terrain
jeune serait la couverture du terrain ancien. Le contactes entre les deux entités n’est
pas viable c’est pourquoi on met un point d’de interrogation sur ce “contact”.
Ce contact entre les marnes Aquitaniennes et les argiles rouges de ‘Trias’, il s’agit
d’une discordance où les marnes vont se déposer sur les argiles. Mais l’intervalle de
temps entre ces deux entités semble mystère. Ce qui nous met en doute avec la
datation faite sur les argiles car les marnes sont datées par des foraminifères. La où on
arrive à constater un affleurement des argiles à l’intérieur desquelles se trouvent un
passage conglomératique comportant des galets plus récents que le Trias. Se sont des
galets que devaient jouer un rôle de fossiles pour avoir une vraie datation de ces
argiles. Alors que l’origine de la couleur rouge sera l’excès de l’oxygène dans
l’atmosphère. Une crise biologique. Cette excès d’oxygène va être consommé par les
sédiments car il n’existe plus des consommateur de l’oxygène après cette crise.
9
Image montrant le passage de conglomérat polygénique dans les argiles rouges
Triasiques
La corrélation régionale avec celui de terrain de Fnidaq rouges ne sont pas de Trias. Dans ce
terrain, on arrive à trouver des pélites qui se sont déposés sur les argiles rouges. Ils sont datés
par des foraminifères benthique supérieur. Or, d’après le terrain, le contact entre les argiles et
les marnes est stratigraphique. C’est la raison pour laquelle, il est logique de déduire que la
formation au dessous du Paléocène supérieur est celui du paléocène inférieur, de la sorte que
le après la crise de la limite K-T, c’est pourquoi il est rouge.
10
Coupe geologique
Commentaire
Le terrain montre que la Dorsale interne est représentée comme une sorte des reliefs à haute
altitude dispersés. La carte géologique de la zone montre un charriage de ces terrains sur les
terrains Tertiaires jeunes. Mais en approchant du contact entre ces deux terrains n’observe
plus les traces qui pourraient nous montrer la mise en jeu de la tectonique malgré que la
Dorsale interne elle – même soit subie à une case tectonique à l’intérieur.
C’est la phase tectonique qui est le responsable de morceler la dorsale interne, ce qui traduit la
présence des gros blocs calcaires remaniés et reposé dans une bassin tertiaire.
L’alimentation des bassins Tertiaires par des blocs calcaires couvrirait l’intervalle de temps
Aquitanien-Burdigalien supérieur, c’est la raison pour laquelle on trouve des blocs de grande
dimension comme de petite dimension dans les bassins d’Alociena, Viñuela et Brun Tabac ‘Sidi
Abdeslam’.
11
Conclusion
L’évolution stratigraphique de cette zone nous met en désaccord avec une déformation
récente qui donne naissance d’une grande compression en formant la chaine Rifaine, et les
structures qui semblent tectoniques au terrain font donner une impression qu’il s’agit de la
tectonique qui met en jeu. Ainsi la détermination relative des contacts entre les formations
pourrait donc montrer de façon claire le scénario distensif que la chaine Rifaine l’a été subie de
la sorte que les structures observées sont des structures syn-sédimentaires. Or, La
contradiction qui se déroule est celle qui propose le scénario compressif de la formation de la
chaine Rifaine. C’est un problème à disputer.
12