J’aimerai après L’obtention de mon diplôme d’ingénieur travailler en tant que manager de projets

informatiques. Et après une expérience professionnelle de minimum cinq ans travailler à mon propre
compte. Mettre sur pied une entreprise qui met en place des systèmes automatisés pour la
résolution des problèmes en entreprises. Et qui pourra offrir d’autres services numérique tel que le
design graphiques,…

J'en pense qu'il est toujours très important de s'intéresser aux problèmes de la société. Également
une vie associative sur un campus est très importante cela aide les étudiant à être sociable et
préconiser le travail d’équipe. Car la vie associative aide à comprendre l’importance de l'autre près
de soi.

Après l’obtention de ma licence en administration des systèmes d’information dans mon université
actuelle, j’aimerai poursuivre mes études en cycle ingénierie spécialité informatique et système
d’informations à l’Université de technologie de Troyes, jusqu’à l’obtention de mon diplôme
d’ingénieur.

Le rythme entreprise cours est très enrichissant. Car l'étudiant acquérir de nouvelles connaissances à
l’école, qu'il aura la possibilité d’appliquer sur le terrain en entreprise. Et cela sera encore plus
fascinant de pouvoir mettre en pratique ses connaissances théoriques.

Suivre sa formation d'ingénieur par le biais de l'apprentissage permettra l'étudiant d'apprendre les
réalités de la vie en entreprise.

Je suis une jeune étudiante intelligente, curieuse, passionné, sociable, qui s’adapte vite et qui
aimerait apprendre plus sur le domaine de l’informatique. Comme activité personnelle, je suis
membre d’une chorale de jeunes, nommée ‘’Les chœurs angéliques’’ dans ma paroisse depuis l’âge
de 7 ans. Et nous nous rassemblons chaque mercredi et samedi à 16 heures, et également le
dimanche à 8h, pour une dernière classe de chant avant de chanter à la messe de 9heures
45minutes. Cette chorale est ma deuxième famille. Ce n’est que pendant nos rassemblements
quotidiens que j’oublie tout ce qui me tracasse.

Je n'ai effectuer aucun séjour à l'étranger depuis ma naissance.

Le taux d'analphabétisme est élevé, la faible scolarisation est toujours d'actualité, l'insuffisance des
écoles primaires et secondaires favorise cette situation.

Oui je peux effectuer une partie de ma vie professionnelle à l'étranger. Car J'aimerai après
L'obtention de mon diplôme d'ingénieur travailler en tant que manager de projets informatiques. Et
après une expérience professionnelle de minimum cinq ans travailler à mon propre compte dans
mon pays d'origine.
J'ai connu les UT par le biais de mon oncle qui vis en France, que j'ai contacté pour être orienté sur
les universités d'ingénierie que je pourrai choisir pour une bonne spécialisation en systèmes
d’informations. Ce qui m'a motivé à postuler sont notamment la décomposition des cours (cours
magistraux, travaux dirigés, travaux pratiques, et projet.); l'accompagnement offert aux nouveaux
étudiants, la formation par apprentissage qu’offrent l'école et aussi le coût de la vie étudiante très
favorable.

une forte proportion de jeunes exposés au chômage, à la mauvaise qualité du système éducatif

Depuis l'école primaire, l'informatique à toujours était le cours que j'aimais le plus. Je m'y sentais
très à l'aise par rapport aux autres cours. L’informatique est devenue une passion pour moi en
classe de seconde lorsque j'ai découvert la programmation web plus précisément le langage HTML.
J’étais fasciné de voir le processus de réalisation d'une page web. Car avant cela, j'étais persuadé
que pour faire un site web il suffisait de se rendre dans un navigateur, écrire des textes, ajouter des
images et donner à sa page le style que l'on veut. La découverte de la programmation web est à
l'origine de l'intérêt que je porte à la technologie car ça m'a donné envie d'en savoir plus sur la
technologie. Et étant donné la compétitivité des formations offertes par les écoles d'ingénierie sur
le marché de l'emploi, j'ai toujours désiré obtenir un diplôme d'ingénieur. Afin d’avoir des
compétences pratiques me permettant d’intégrer plus facilement le monde professionnel.

Pour moi, un bon ingénieur est celui-là qui a une bonne capacité à trouver des solutions aux
problèmes qui lui sont poser; qui a en lui un esprit de curiosité, afin d'appréhender des façons
différentes de travailler ; qui a une ouverture d'esprit, il s'intéresse à tous, pas qu'à ce qui concerne
le domaine dans lequel il exerce; Qui s'adapte à tous car de jours en jours il y a de plus en plus de
solutions innovantes; il est attentif, fait preuve d’une rigueur irréprochable, sait déléguer, a la
capacité d'être autonome et préconise le travail d'équipe.

Après l'obtention de mon baccalauréat, je souhaitais suivre une formation professionnelle dans le
domaine de l'informatique. Et, voulant plus approfondir mes connaissances en développement
web, j'ai fait quelques recherches pour savoir la formation professionnelle à faire pour apprendre
le développement web. De mes recherches il en est ressorti que, la filière la plus adapté pour une
formation en développement des logiciels était le génie logiciel. C'est donc ainsi que je me suis
inscrite à l'institut universitaire Siantou niveau 1 génie logiciel, cycle BTS. En deuxième année, j'ai
obtenu mon diplôme. Et là, j'ai entendu parler du métier de manager de projet informatique, que
je trouvais très intéressant. Ce qui m'a poussé encore à faire des recherches sur le métier. J'ai donc
réalisé que si je voulais vraiment exercer ce métier à l'avenir je devais être encore plus polyvalente
et donc une formation en génie logiciel n'était pas suffisant. C'est donc après quelques recherches
que j'ai découvert la filière administration des systèmes d'informations. Qui étais plus adapté pour
mon projet professionnel.

Ma famille ayant déménagé, j'ai changé d'université et me suis inscrite en niveau licence à Keyce
Informatique qui est un peu plus proche de notre nouvelle maison. Ayant toujours voulu obtenir
un diplôme d'ingénieur, et suivre une formation dans les meilleures universités, j'ai donc décidé de
postuler à l'UTT pour une spécialisation en informatique et système d'information.
A part la spécialisation en informatique et systèmes d'informations à l'UTT, les autres formations
susceptibles de m'intéresser sont: le Génie informatique par apprentissage à l'UTC et
l'Informatique à l'UTBM

L'analphabétisme et la faible scolarisation des jeunes en Afrique sont des problèmes persistants
qui entravent le développement économique et social du continent. Selon les données de
l'UNESCO, plus d’un cinquième des enfants âgés d’environ 6 à 11 ans n’est pas scolarisé, suivi par
un tiers des enfants âgés d’environ 12 à 14 ans. Aussi, près de 60 % des jeunes âgés d’environ 15 à
17 ans ne sont pas scolarisés. Ces chiffres sont alarmants et exigent une action urgente de la part
des gouvernements, des organisations internationales et des communautés locales.

L'une des principales raisons de cette situation est le manque de financement pour l'éducation. De
nombreux gouvernements africains ne consacrent pas suffisamment de ressources à l'éducation,
ce qui entraîne un manque d'infrastructures adéquates, de matériel didactique et de personnel
enseignant qualifié. En outre, les conflits armés et les crises humanitaires ont également un impact
négatif sur l'éducation, car ils perturbent le fonctionnement des écoles et déplacent les enfants de
leur domicile.

En conséquence, de nombreux enfants africains ne peuvent pas aller à l'école ou abandonnent

prématurément en raison de la pauvreté, des normes culturelles ou du manque d'intérêt. Les filles
sont particulièrement touchées car elles sont souvent considérées comme moins prioritaires pour
l'éducation que les garçons, ce qui renforce les inégalités de genre.

Cependant, il existe des solutions pour remédier à cette situation. Les gouvernements africains
doivent accorder la priorité à l'éducation dans leurs politiques budgétaires et investir davantage
dans l'éducation de qualité. Ils doivent également garantir que tous les enfants, en particulier les
filles, ont accès à l'éducation et qu'ils sont encouragés à y participer.

Les organisations internationales et les donateurs peuvent également aider en fournissant un

soutien financier et technique pour la construction d'écoles, la formation des enseignants et
l'élaboration de programmes éducatifs adaptés aux réalités locales. Les entreprises peuvent
également contribuer à l'éducation en offrant des bourses ou en parrainant des programmes
éducatifs.

Enfin, les communautés locales peuvent également jouer un rôle important en soutenant
l'éducation de leurs enfants. Les parents peuvent encourager leurs enfants à aller à l'école et à
poursuivre leurs études, tandis que les leaders communautaires peuvent promouvoir l'éducation
et sensibiliser aux avantages de l'éducation pour le développement socio-économique.
En conclusion, la lutte contre l'analphabétisme et la faible scolarisation des jeunes en Afrique
nécessite une action collective et une volonté politique. Si les gouvernements, les organisations
internationales, les entreprises et les communautés locales travaillent ensemble pour fournir une
éducation de qualité à tous les enfants, cela aura un impact positif sur le développement de
l'Afrique dans son ensemble.