EXAMTECS1
EXAMTECS1
EXAMTECS1
Examen final
Temps estimé : 90 minutes
- Nom et prénom :………hiba
barkaoui…………………………………..
- Groupe :……3……………..
- N° apogée : ………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
…………J’aimerais vous présenter un graphique qui présente les statistiques sur l’état de
l’épidémie de sida dans le monde depuis 2000. On constate tout d’abord que les personnes
vivant avec le virus en 2020 est très élevé par rapport aux personnes en 2000. Ensuite, les
chiffres nous montre que à travers les années 2000-2020 les personnes ont commencé a
traités par des antirétroviraux ,depuis cela le pourcentage des nouveaux cas a baissé, ainsi
que de décès .Enfin ,on peut voir que l‘écart entre les personnes vivant avec le virus en 2000-
2020 est marqué ,et que grâce aux antirétrouviraux le taux de décès a diminué .
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………….
4) Une bonne présentation professionnelle implique que l’étudiant(e) soit capable de ‘’forcer
l’intérêt et l’attention’’ du public, en tenant compte de quatre processus. Expliquez-les en
vous basant sur le schéma suivant : (2 points)
…………Lors de la présentation, le candidat a besoin de plusieurs éléments à suivre. Au premier lieu, il
doit tenir la capacité à forcer. Au deuxième lieu, un recherche de façon argumentée et pédagogique
c’est-à-dire suivre une stratégie qui va acheminer la pensé du général au particulier et vis-versa. Au
deuxième lieu, le candidat doit ménager son stress .Au troisième lieu, l’esprit critique : il ne faut pas
absorber tous de l’environnement.
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
Il y a cinquante ans, au sortir de la guerre, l'espace économique était morcelé : absence de convertibilité
des monnaies entre elles, taux de change multiples selon les opérations, droits de douane et contingents
tarifaires partout. Aujourd'hui, c'est la situation inverse qui prévaut : les capitaux circulent librement, les
biens et la plupart des services aussi, les droits de douane sont faibles et les contingents tarifaires rares.
Le marché du travail lui-même commence à s'unifier.
Pourtant ce sont, à peu de choses près, les mêmes institutions que celles qui ont été mises en place dans
l'après-guerre qui pilotent l'économie mondiale. À l'époque, elles avaient une forte vertu anticipatrice.
Aujourd'hui, elles ne sont plus à l'échelle des problèmes à résoudre. Elles se sont assez peu modernisées,
et certaines ont même vu leur efficacité se dégrader : on évoquait plus haut l'abandon du système de
parités fixes et l'institution des taux de change flottants qui, s'il n'a pas produit les catastrophes annoncées
par certains, reste un facteur important d'instabilité et d'obstacle à la prise de risque. On prend partout
conscience du caractère multidimensionnel des problèmes, alors que, au niveau mondial, ceux-ci restent
traités par des institutions différentes qui ont du mal à coordonner leur action, qu'il s'agisse de politiques
économiques et monétaires (FMI), d'aide au développement (la Banque mondiale), de commerce (GATT,
puis OMC) ou d'environnement (les suites de la conférence de Rio).
En un mot, il n'y a pas de pilotage d'ensemble, et pas de projet pour qu'il en soit véritablement ainsi. Les
États-Unis ne jouent pas ce rôle, et gèrent à leur seul profit les avantages qu'ils peuvent tirer de leur
situation d'économie dominante. Le Japon paraît encore concentré sur son désir d'accumulation et de
puissance. Et l'Europe n'est pas en mesure de peser de façon efficace sur la régulation mondiale, tant
qu'elle n'est pas dotée d'une monnaie unique et d'une structure politique suffisamment forte.
Cette insuffisante régulation de l'économie mondiale pèse sur la situation de l'emploi. Car à l'absence de
règles communes, on réagit par l'offensive solitaire ou la défense frileuse. Les avantages compétitifs
obtenus par les uns paraissent gagnés aux dépens des autres. L'économie mondiale se met à fonctionner
comme un jeu à somme nulle, et au moment où le marché du travail s'unifie, cette insuffisance est grave.
On redoute ainsi, en permanence, que le travailleur des pays pauvres ne prive de son métier celui des
pays riches. On a peur des bas salaires des pays émergents, sinon de leur émergence elle-même, après
l'avoir pourtant longtemps souhaitée. Et l'on voudrait se protéger de leurs exportations par des impôts ou
des taxes, quitte à leur en restituer le produit à des fins de développement social, ce qui est pour le moins
paradoxal.
Ce qu'on oublie, dans ce débat, c'est que ces très bas salaires des pays « émergents » sont dus au fait que
la productivité du travail est, là-bas, beaucoup moins élevée que chez nous, en raison notamment du long
processus d'accumulation que nous avons connu '. On oublie que la plupart de ces pays sont en déficit de
balance des paiements, car ils importent des biens d'équipement. On ne sait pas que le cercle vertueux
pour l'économie mondiale serait d'ouvrir nos marchés à leurs productions pour qu'ils puissent s'endetter et
investir chez eux, et provoquer ainsi un jeu d'échanges positif, où notre épargne irait s'investir et préparer
nos retraites de demain.
Certes, ceci obligerait notre emploi à se « déverser » encore plus rapidement, au sein de l'économie
nationale, vers des emplois nouveaux, puisque le contenu en emplois de nos exportations vers les pays
émergents est plus faible que le contenu en emploi de nos importations. Mais ce sont les difficultés
normales d'un processus d'évolution économique.
En somme, plutôt que de mettre vigoureusement en chantier le cadre de règles et d'institutions qui
assurerait davantage de coopération entre États, on stigmatise les effets néfastes des échanges. On
s'interroge sur la nécessité de brider les échanges au niveau des quelques régulations existantes (le «
premier cercle » des pays européens, le « deuxième cercle » des pays liés par un accord économique...),
au lieu de s'atteler à hisser les mécanismes régulateurs au niveau des échanges tels qu'ils sont.
Dans l'économie mondiale actuelle, il y a trop de concurrence et pas assez de coopération entre les
entreprises comme entre les États. Trop de dérégulation et pas assez de règle du jeu en matière de taux de
change ou de commerce. Trop de confiance dans les mécanismes de marché et pas assez d’élaboration
d'institutions nouvelles. Il faudrait réaliser au niveau mondial les progrès pionniers qui furent accomplis
en Europe dans les années cinquante.
Ceux qui paient cette sous-optimalité du développement mondial sont tout autant les travailleurs fragiles
des pays riches, que les travailleurs pauvres des pays qui ne parviennent pas à amorcer leur essor.
L'exclusion n'est pas seulement une donnée nationale, elle a aussi une composante mondiale. C'est donc à
ce niveau qu'il faut agir, plutôt que dans la recherche de fausses solutions ; mais l'imagination est peu
active sur ce terrain essentiel.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………….