• l3 : hyperbole, périphrase « Prince des philosophes » : référence + sagesse • l4 : comparaison Socrate/Silènes : comparaison Socrate/boîte : irrévérence en apparence : registre comique
Dès le début du texte, Rabelais instaure une complicité avec un lecteur qui lui ressemble, cultivé et excessif.
II. Propos sur les Silènes (l4 à 10)
A. La description
• l4 : sujet verbe attribut : définition
• l5 : comparaison « comme on en voit ... » pronom personnel indéfini+ présent : référence à qqc connu de tous • « apothicaires » : savants sérieux • l6 à 8 : énumération + cct + imparfait : description : éléménts burlesques • l6 et 9 « amusantes et frivoles « + ccbut : rire but du roman ?
B. L’analogie
• l9 : association Silène/Bacchus : débauche
• l9 « Mais » : opposition+énumération(procédé reccurent dans le prologue et dans le roamn : abondance : Humanisme) jusqu’à l11 « fines drogues+ CDNom de grande valeur » = contenu précieux.
Opposition entre extérieur et intérieur de la boîte = laide mais riche de contenu
III. L’évocation de Socrate (l11 à la fin)
A. L’apparence
• l11 « il disait que... » : Discours indirect retour sur les paroles d’Alcibiade= argument de vérité • l11 «tel était Socrate » : retour sur comparaison Socrate / Silènes • « parce que » : Cccause = explication • l12 « physique »+ restriction + »extérieur » = apparence • l13 : « vous n’en auriez pas... » : nouvelle adresse au lecteur • négation + « pelure d’oignon » = aucune valeur • « tant il était laid de corps et ridicule en son maintien » : adv d’intensité + ajectifs dépréciatifs+ énumération (l14 à 19 )de l’apparence déplorable de Socrate • dans énumération : retour sur rire et boisson
B. La personnalité
• l19 « mais » = opposition
• «au dedans » s’oppose au paragraphe précédent • + « un céleste et inappréciable ingrédient » : hyperbole = grande valeur • l20 à 24 : « intelligence, force, courage, sobriété... » termes positifs, renforcés par adjectifs mélioratifs = portrait très élogieux
Le narrateur cultivé mais irrévérencieux établit une connivence avec son lecteur mais joue avec lui aussi. Il prend un illustre exemple, compose une double analogie et de nombreuses énumérations pour montrer que les apparences sont trompeuses. Le contraste est permanent entre le rire , le grotesque et le sérieux. Il annonce un roman léger qui cache une intention profonde. Ouverture : pistes brouillées jusqu’à la fin – énigme
