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Citations Du Dalaï Lama

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citations du Dalaï Lama

De Christopher Michel [CC BY 2.0] via Wikimedia

Sème un acte, tu récolteras une habitude. Sème une habitude, tu récolteras


un caractère. Sème un caractère, tu récolteras une destinée.

Jugez vos succès d’après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir

Le malheur s’empare de chacun de nous parce que nous nous prenons


pour le centre du monde, car nous avons la misérable conviction d’être
seuls à souffrir l’insoutenable.

Le malheur provient toujours de ce que l’on se sent prisonnier à l’intérieur


de sa propre peau, de sa propre cervelle.

L’apaisement réside en chacun de nous

C’est dans son coeur qu’il faut construire la paix

Il est vital de laisser une large place au changement dans les relations avec
l’autre. Ces transitions tiennent lieu de périodes charnières, où l’amour
véritable mûrit et s’épanouit.

La sensation d’être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état


dans l’absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à
nous satisfaire de ce que nous avons.
Mettez-vous toujours à la place de l’autre. Renoncer un temps à vos
opinions, à vos jugements afin de le comprendre. Bien des conflits peuvent
ainsi être évités.

Notre seul pouvoir véritable consiste à aider autrui.

Si nous devenions violents, nous n’aurions plus rien à défendre.

Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées. Notre


cerveau et notre cœur sont nos temples.

Le silence est parfois la meilleure des réponses.

L’important c’est de faire de son mieux.

Être conscient d’un seul de ses défauts est plus utile qu’être informé de
mille travers chez quelqu’un d’autre.

Plutôt que de dire du mal des gens, en des termes qui produiront des
frictions et des troubles dans leurs vies, nous devrions nous attacher à une
perception plus pure à leur encontre, et quand nous parlons d’eux, évoquer
leurs qualités.

Dans notre vie quotidienne, tolérance et patience ont de grands avantages :


nous permettre de soutenir et de maintenir notre présence d’esprit.

En dépassant vos propres problèmes et en prenant soin des autres, vous


acquérez la force intérieure, la confiance en vous, le courage, et un plus
grand sentiment de calme.

Le but de notre vie doit être positif. Nous ne sommes pas nés avec l’objectif
de causer des ennuis, de nuire à autrui.

L’être humain pense au futur, au point d’oublier le présent, de sorte qu’il ne


vit ni dans le présent, ni dans le futur. Finalement, il vit comme s’il n’allait
jamais mourir et il meurt comme s’il n’avait jamais vécu.

Le silence conduit à la contemplation détendue au cours de laquelle les


émotions ont moins d’influence et où logique peut prendre le relais.
Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s’envoler vos
valeurs.

Si vous n’êtes pas ouvert au changement, alors vous serez malheureux.

Ce n’est qu’en trouvant la paix en soi, que l’on peut vivre en paix avec les
autres.

Vous allez devoir vivre avec vos actions pour le reste de votre vie, alors
pour vous épargner le regret et l’angoisse, vivez votre vie avec honneur à
partir de maintenant.

Les erreurs sont neutres ; nous pouvons en faire ce que nous voulons.
Selon notre manière de les percevoir, elles nous accableront ou nous
guideront vers le succès.

Tout est utile dans la mesure où vous savez saisir les occasions
d’apprentissage qui se présentent à vous.

Les seules vraies erreurs sont celles que nous commettons à répétition.
Les autres sont des occasions d’apprentissage

Avec la réalisation de son potentiel et la confiance en ses capacités, on


peut bâtir un monde meilleur.

Une fois par an, allez quelque part où vous n’êtes jamais allé auparavant.

Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.

Notre tendance naturelle nous porte souvent à renvoyer aux autres, ou à


des facteurs extérieurs, la responsabilité de nos problèmes. Nous
cherchons en outre fréquemment une cause unique et essayons de nous
exonérer de toute responsabilité.

La vraie spiritualité est une attitude mentale que l’on peut pratiquer
n’importe quand !

De nos jours, on se nourrit uniquement d’informations venues de l’extérieur,


par l’intermédiaire des médias, en particulier la télévision. Elles deviennent
nos seules références, nos seules sources d’information. Cette
dépendance excessive nous rend incapables de nous tenir debout tout
seuls, de nous reposer sur nos qualités propres, et nous n’avons pas
confiance en notre vraie nature.

Une grande partie de nos souffrances viennent de ce que nous avons trop
de pensées. En même temps, nous ne pensons pas de manière saine.
Nous ne prêtons intérêt qu’à notre satisfaction immédiate, sans mesurer à
long terme les avantages et les inconvénients pour nous-mêmes ou pour
les autres. Or cette attitude finit toujours par se retourner contre nous. Il est
sûr et certain qu’en changeant simplement notre façon de voir les choses,
nous pourrions réduire nos difficultés actuelles et éviter d’en créer de
nouvelles.

Il faut avoir une conviction totale dans son propre chemin spirituel, alliée à
un respect parfait envers les autres vérités.

Être bon, avoir des pensées positives, pardonner à ceux qui nous ont fait
du tort, traiter chacun comme un ami, secourir ceux qui souffrent et ne
jamais se prendre pour supérieur aux autres : même si ces conseils
paraissent trop simples, prenez la peine de voir si leur application vous
rend plus heureux.

On peut se servir d’une technique de méditation bouddhiste sans devenir


bouddhiste pour autant : l’important c’est qu’elle soit efficace pour vous.

Pour jouir d’une vie heureuse et accomplie, la clé est l’état d’esprit.

Pour vaincre la paresse, il existe quatre antidotes : la foi, l’intention, l’effort


et la souplesse.

Remerciez vos ennemis, ils sont vos plus grands maîtres. Ils vous
apprennent à faire face à la souffrance et à développer la patience, la
tolérance, la compassion, sans rien attendre en retour.

Toutes les activités au bénéfice des autres sont des actes qui renforcent
l’esprit.
Une bonne motivation entraîne une bonne action.

Vous êtes maître de votre vie et qu’importe votre prison, vous en avez les
clefs.

Vous pouvez développer une attitude juste envers les autres à partir de la
gentillesse, de l’amour, du respect et sur la base de la pleine
compréhension de l’unité de tous les êtres humains.

Nous appartenons tous à la grande famille humaine.

Mourir c’est comme changer un vêtement usé pour un neuf.

La seule chose qui importe c’est de mettre en pratique ce que l’on croit
avec sincérité et sérieux.

Il est important de garder une chose à l’esprit : le développement spirituel


prend du temps.

En tant qu’êtres humains libres, nous pouvons utiliser notre unique


intelligence pour essayer de nous comprendre nous-mêmes et notre
monde. Mais si nous sommes empêchés d’utiliser notre potentiel créatif,
nous sommes privés de l’une des caractéristiques fondamentales de l’être
humain.

Au moment de mourir, le plus beau cadeau d’adieu est la paix de l’esprit.

C’est dans la plus grande adversité que réside la plus grande capacité de
faire le bien, à la fois pour soi-même et pour les autres.

Dès lors que vous avez une motivation pure et sincère, tout le reste suit.

Le feu de la haine ne s’éteint que par l’AMOUR ; et si le feu de la haine ne


s’éteint pas, c’est que l’Amour n’est pas encore assez fort.

Je garde la ferme conviction que la nature humaine est essentiellement


bonne et compatissante. C’est là le trait dominant de l’humain.
Notre principale raison de vivre est d’aider les autres. Et si nous ne
pouvons les aider, au moins ne les blessons pas.

Tout acte est une cause suivie immanquablement d’un effet de même
nature.

Vous devriez mettre un terme à toutes les activités négatives et concentrer


les efforts sur le fait d’accumuler les actions saines.

Lorsque vous doutez de vous, que vous n’avez pas confiance en vous,
songez au fantastique potentiel d’être humain qui est le vôtre et qui ne
demande qu’à croître. Alors vous serez heureux de découvrir ce trésor qui
réside en vous.

Nourrir des sentiments d’affection renforce non seulement notre organisme,


mais aussi notre équilibre affectif.

Les problèmes et les rivalités d’aujourd’hui doivent se résoudre par le


dialogue, il n’y a pas d’autre solution. La victoire écrasante d’un seul camp
n’est plus acceptable. Nous devons travailler à résoudre les conflits dans
un esprit de conciliation, en tenant compte des intérêts de chacun. Je
pense sincèrement que la violence a fait son temps. Seule la non-violence
apportera de véritables solutions.

La vie en elle-même est un éternel recommencement.

Si tu veux connaître quelqu’un, n’écoute pas ce qu’il dit, mais regarde ce


qu’il fait.

Attachons-nous à reconnaître le caractère si précieux de chaque journée.

Résoudre un conflit par la raison plutôt que par la force donne le sentiment
d’agir de façon juste et procure une profonde satisfaction.

L’histoire de l’humanité a démontré que l’usage de la violence a toujours


débouché sur de nouvelles violences.

La véritable essence de l’être humain est la bonté. Il existe d’autres qualités


provenant de l’éducation, du savoir, mais il est essentiel, si l’on veut devenir
un véritable être humain et donner un sens à son existence, d’avoir un
coeur bon.

La joie est un pouvoir, cultivez-la.

Je crois en l’éducation. Il faut inculquer un sens d’unité de l’humanité. La


réalité est que l’avenir de chaque continent dépend des autres. Ma nation,
ma nation, voilà un concept erroné. Le sentiment nationaliste est dépassé.

(Interview par H. Thibault du Monde)

Plus nous aurons donné de sens à notre vie, moins nous éprouverons de
regrets à l’instant de la mort.

(Du bonheur de vivre et de mourir en paix, 1998)

Il est plus facile de s’en prendre à autrui que de tenter de comprendre les
raisons de notre trouble lorsque quelque chose nous dérange et nous
déstabilise.

(Sages paroles du Dalaï-Lama)

Si aider les autres vous paraît trop difficile, essayez au moins de ne pas
leur nuire.

(Sages paroles du Dalaï-Lama)

Il n’importe pas qu’un être soit croyant ou non. Il est plus important qu’il soit
bon.

(Sagesse ancienne, monde moderne)

Lorsque nos intentions sont égoïstes, le fait que nos actes puissent paraître
bons ne garantit pas qu’ils soient positifs ou éthiques.

(Sagesse ancienne, monde moderne)

La faculté de se mettre dans la peau des autres et de réfléchir à la manière


dont on agirait à leur place est très utile si on veut apprendre à aimer
quelqu’un.
(Pourquoi le ciel est-il bleu ?)

La politesse est d’abord un cadeau qu’on se fait à soi-même.

(La Force du bouddhisme : Mieux vivre dans le monde d’aujourd’hui, 1994)

La responsabilité universelle est absolument indispensable à la survie de


l’humanité ; c’est le meilleur fondement de la paix dans le monde.

(Sommet de la Terre de Rio, 1992)

Ne vous considérez jamais comme supérieur à ceux que vous aidez.


Personnellement, quand je rencontre un mendiant, je m’efforce toujours de
ne pas le voir comme un inférieur, mais comme un être humain qui ne
diffère en rien de moi.

(365 Méditations quotidiennes du Dalaï-Lama)

Malgré notre besoin vital de confiance en nous, il est important de savoir


distinguer l’arrogance de la fierté légitime.

(Compassion)

Citations du Dalaï Lama sur la colère :


La colère est un frein à notre évolution spirituelle. Un instant de colère
détruit les mérites acquis souvent avec difficultés pendant des années,
voire au cours d’une succession de renaissances. La colère est l’un des
plus terribles ennemis de l’esprit.

Dalaï Lama (Sages paroles du Dalaï-Lama, 2002)

La colère émane d’un esprit grossier qui doit être adouci par l’amour.

(Compassion)

Nous ne pouvons pas surmonter la colère et la haine simplement en les


supprimant. Nous avons besoin d’en cultiver activement les antidotes : la
patience et la tolérance.
Constatons à quel point l’affection spontanée joue un rôle crucial dans
notre vie, dès la naissance. Sans elle, nous ne serions plus en vie depuis
longtemps. Observons comment nous nous sentons bien quand nous
sommes entourés par l’amour des autres, quand nous éprouvons nous-
mêmes de l’amour, et comment, au contraire, nous sommes mal dans notre
peau quand la colère ou la haine nous envahissent.

La façon la plus efficace de changer l’esprit de l’autre passe par l’affection,


et non pas par la colère.

La colère ou la haine, en particulier, sont les causes d’un grand nombre de


malheurs dans ce monde, depuis les querelles familiales jusqu’aux plus
grands conflits.

Dalaï-lama (365 méditations quotidiennes)

Notre esprit est habité par la colère, la jalousie et d’autres sentiments


négatifs, sans que nous nous rendions compte que ces sentiments sont
incompatibles avec la joie et la paix intérieure.

Notre ennemi est au-dedans de nous. Les émotions conflictuelles l’orgueil,


la colère, la jalousie… sont nos vrais ennemis.

Citations du Dalaï Lama sur la compassion :


Ma conviction profonde est que la compassion constitue un aspect
fondamental de notre nature tout en étant le fondement de notre bonheur.

Je crois que la compassion est l’une des rares choses que nous pouvons
pratiquer qui apporteront bonheur immédiat et à long terme à nos vies.

Gentillesse et compassion sont essentielles pour donner sens à la vie. Elles


sont le fondement d’un bon cœur, le cœur de celui qui est animé du désir
d’aider les autres. Au travers de la gentillesse, au travers aussi de
l’affection, de l’honnêteté, de la vérité et de la justice, c’est à nous que nous
faisons du bien.
Ressentir de la compassion c’est éprouver comme insoutenable, comme
insupportable et intolérable les souffrances de l’autre.

Si vous voulez que les autres soient heureux, pratiquez la compassion. Si


vous voulez être heureux, pratiquez la compassion.

Le comportement de chacun dans la vie de tous les jours est, en définitive,


la véritable mise à l’épreuve de notre compassion.

Cultivons l’amour et la compassion, ces deux choses qui donnent


véritablement un sens à la vie. Le reste est accessoire.

Lorsque vous encouragez la compassion dans votre esprit et que cette


pensée devient active, votre attitude envers les autres change
automatiquement.

Prendre soin des autres, partager leurs problèmes, faire preuve de


compassion, tel est le fondement d’une vie heureuse pour soi-même, pour
sa famille et pour l’humanité toute entière.

La compassion n’est utile que si elle est mise en pratique. Elle doit devenir
la clé de notre relation aux autres, le fondement de nos pensées et de nos
actions.

Si la compassion, la gentillesse et l’affection vous animent, du même coup


cela vous donne la clé de votre serrure intérieure et vous communiquez
bien plus facilement avec les autres.

Malheureusement, l’amour et la compassion ont été exclus de trop


nombreux domaines de l’échange social, pendant trop longtemps. Confinés
à la sphère privée et familiale, leur expression en public est jugée
embarrassante, voire naïve. C’est tragique car à mon sens l’expression de
la compassion, loin d’être une marque d’idéalisme coupé de la réalité est la
manière la plus efficace de servir tant l’intérêt d’autrui que le nôtre.

(Mon autobiographie spirituelle)

Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur. Le seul vrai


garant de la paix est en soi.
(La sagesse du coeur : Le Dalaï-Lama par lui-même)

La compassion, c’est ce qu’éprouve un esprit qui ne peut supporter la


souffrance des autres et souhaite ardemment qu’ils en soient délivrés.

(L’esprit en éveil…)

La compassion n’a guère de valeur si elle en reste au stade d’idée. Elle doit
façonner notre attitude envers notre prochain, se traduire dans tous nos
actes et toutes nos pensées. On peut très bien comprendre abstraitement
la nécessité de se montrer humble et néanmoins demeurer arrogant.

(L’art de la compassion)

Citations du Dalaï Lama sur le bonheur :


Il faut apprendre à distinguer l’important du superflu, et au bout de la voie,
trouver le bonheur et la sérénité.

Le chemin vers le bonheur, c’est l’altruisme. Le désir d’être au service du


bien-être des autres.

Chacun est le maître de son destin, c’est à nous de créer les causes du
bonheur.

Le bonheur ne vient pas que de circonstances extérieures, il provient


essentiellement d’attitudes intérieures.

Le vrai bonheur ne dépend d’aucun être, d’aucun objet extérieur. Il ne


dépend que de nous.

Tout le monde a le droit au bonheur, mais personne n’a le droit de détruire


celui des autres.

C’est en parvenant à nos fins par l’effort en étant prêt à faire le sacrifice de
profits immédiats en faveur du bien-être d’autrui à long terme, que nous
parviendrons au bonheur caractérisé par la paix et le consentement
authentique.
(Sagesse ancienne, monde moderne)

Nos véritables ennemis sont les poisons mentaux : l’ignorance, la haine, la


jalousie, l’orgueil. Ce sont les seuls capables de détruire notre bonheur.

(365 méditations quotidiennes)

Il est indispensable d’éprouver de la considération envers les autres parce


que notre propre bonheur est inextricablement lié au leur.

(L’art de la gentillesse)

Plus nous sommes concernés par le bonheur des autres, plus nous
construisons en même temps le nôtre.

(365 méditations quotidiennes)

Citations du Dalaï Lama sur la religion :


Ma religion est très simple. Ma religion est la bonté.

On peut vivre sans religion et sans méditation, mais on ne peut survivre


sans affection humaine.

Toutes les religions ont leur propre beauté et nous devons nous montrer
respectueux avec elles.

Conserver sa tradition spirituelle n’empêche en rien de s’intéresser aux


enseignements des autres religions.

Le but de la religion n’est pas de bâtir de beaux temples et de beaux


sanctuaires, mais de cultiver les qualités humaines positives comme la
tolérance, la générosité et l’amour. Toutes les religions du monde, quelle
que soit leur vision philosophique, sont, d’abord et avant tout, fondées sur
le principe de réduire notre égoïsme et de servir les autres.

(Nouvelle réalité : l’âge de la responsabilité universelle)

J’appelle l’amour et la compassion une religion universelle. Telle est ma


religion.
(Mon autobiographie spirituelle)

Puisque nous devons respecter tous les êtres humains, l’humanité entière,
il faut donc respecter leurs conceptions et leur foi. Y compris les non-
croyants. C’est également leur droit de ne pas croire.

(Interview par U. Gauthier du Nouvelle Observateur en 2008)

La responsabilité universelle est la meilleure des bases pour construire à la


fois notre bonheur personnel et la paix mondiale, pour définir un usage
équitable de nos ressources naturelles et, dans l’intérêt des générations à
venir, pour donner à l’environnement l’attention qu’il réclame.

(Discours au Parlement Européen en octobre 2001)

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