Formulaires Zhioua
Formulaires Zhioua
Formulaires Zhioua
MATHEMATIQUES
FORMULAIRES
[4ème M + Sc-exp + Sc-tech + Sc-Info]
.
[2009-2010]
Formules de linéarisation
cos2a cos 2 a sin 2 a 2 cos 2 a 1 1 2 sin 2 a
sin2a 2 sin a cos a
Résolution d’équations
DERIVEE PRIMITIVE
u
2 u
u
u
ln u
u
u 1
2
u u
u e u eu
v u .u v u
u n 1
u nu
n 1
nu n1u un
1
2
1 tan 2 x tan x
cos x
sin ax b
cosax b
a
cosax b
sin ax b
a
COMPLEXES
Conjugué
Arguments
z
argzz' arg z arg z ' arg arg z arg z '
z'
arg( z n ) n arg z arg( z) arg z
Formule de Moivre : e
i n
e in
e i e i e i e i
Formules d’Euler : cos et sin
2 2i
z z B z A ( x B x A ) i( y B y A ) donne l’affixe de AB .
AB
z A zB
zI avec I le milieu de [AB].
2
az bz B
zG A avec G le barycentre de A; a , B; b.
ab
AB; AC argz z zA
z A arg z B z A arg C
C
2
z B z A
z zA
AB et AC sont colinéaires arg C 02
zB zA
z zA
AB et AC sont orthogonaux arg C 2
z B z A 2
Transformations
M(z) M'(z+a) est la translation de vecteur v (a).
M(z) M ze i est la rotation de centre O et d'angle .
z z A r définit le cercle de centre Az A et de rayon r.
LIMITES – ASYMPTOTES
Formes indéterminées
: factorisation du terme dominant (+ haut degré).
: factorisation du terme dominant, simplification.
0 : factorisation du terme tendant vers 0, simplification.
0
Propriétés
g ( x) f ( x) h( x) et lim g ( x) lim h( x) l lim f ( x) l
f ( x) l g ( x) et lim g ( x) 0 lim f ( x) l
lim f ( x) b et lim g ( y ) l lim g f ( x) l
x a y b x a
Limites usuelles
La limite d'une fonction polynôme en ou en est la limite du terme dominant. La limite d'une fonction rationnelle en ou en est la
limite du quotient des termes dominants du numérateur et du dénominateur.
sin x cos x 1
lim 1 et lim 0
x 0 x x 0 x
Asymptotes
lim f ( x) asymptote verticale d'équation x=a
x a
DERIVEE
Nombre dérivé
f ( x 0 h) f ( x 0 ) f ( x) f ( x 0 )
f ' ( x 0 ) lim lim
h 0 h x x0 x x0
Pour que f soit dérivable en x 0 , il faut que les nombres dérivés à gauche et à droite de x 0 soient finis et égaux. La tangente au point d'abscisse x 0 a
pour équation y f ' ( x 0 )( x x 0 ) f ( x 0 )
RECURRENCE
Soit une propriété P dépendant d’un entier n et n 0 un entier fixé.
- Initialisation : Si P(n 0 ) est vraie,
- Transmission : et si P(n) P(n 1) pour tout n n0 ,
- Conclusion : alors P(n) est vraie pour tout entier n n0 .
LOGARITHME NEPERIEN
ln est une bijection strictement croissante de 0; sur ;
ln x 1
ln u u lim
1
ln x
lim n 0 n 0
u x 0 x x x
e u .e
u u
lim
x 0
ex 1
x
1 lim
xn
x e x
0 n 0
e a b a
= e .e b
e na
= e a n
e a b ea
= b
e
FONCTION PUISSANCES
f ( x) x e ln x est définie et dérivable sur 0; . La dérivée f ( x) .x 1 est du même signe que d’où la monotonie de f.
ln x ex
Pour 0 : lim 0 lim x e x
0 lim
x x x x x
PARITE / SYMETRIE
f est paire f est centré en 0 et f(-x)=f(x)
f est impaire f est centré en 0 et f(-x)=-f(x)
y 2 y 0 a pour solutions l'ensemble des fonctions définies par f ( x) A cos .x B sin . y avec , A et B des réels. La solution de
l’équation différentielle vérifiant la condition initiale y( x 0 ) y 0 est la fonction définie par y ( x 0 ) y 0 .
INTEGRALES
Définition
x
f (t )dt est la primitive de f qui s'annule en a.
a
Si pour tout x a; b on a f ( x) g ( x) , alors l'aire de la partie du plan comprise entre les deux courbes et les droites d'équations x=a et x=b est
g (t ) f (t )dt .
b
donnée en unité d'aire par
a
Propriétés
b a b b
a
f (t )dt f (t )dt
b a
(kf )(t )dt k f (t )dt
a
a a
f est paire
a
f (t )dt 2 f (t )dt
0
a
f est impaire f (t )dt 0
a
a T T
f est périodique de période T a
f (t )dt 2 f (t )dt
0
c c b
a
f (t )dt f (t )dt f (t )dt
b a
(relation de Chasles)
b
m f(x) M m(b-a) f (t )dt M(b-a)
a
b
|f(x)| M a
f (t )dt M(b-a)
Calcul de volumes
Pour un solide dont l'intersection avec le plan de cote z a pour aire S(z), le volume entre les plans de cote a et b est donné par :
b
V S ( z )dz
a
SUITES REELLES
Suites arithmétiques
U n 1 U n r
U n U p (n p)r U n U 0 nr
n 1 n(n 1) U U n 1
U i nU 0 r n 0
i 0 2 2
Limites de suites
lim U n l 0 lim U n l
U n l Vn et lim Vn 0 lim U n l
Vn U n Wn
lim U n l (Théorème des gendarmes)
lim V n lim Wn l
lim U n l et lim Vn l ' et U n Vn l l '
lim U n l et lim Vn l ' et l l ' U n Vn
Les termes de U n appartiennent à l’intervalle de la fonction f :
lim U n l et lim f ( x) l ' lim f (U n ) l '
n x l n
i 0 i 0 i 0
Les coordonnées ou l’affixe du barycentre sont données par : z G n
xG n
yG n
i i i
i 0 i 0 i 0
Isobarycentre
L'isobarycentre des points Ai 1i n est le barycentre de ces points tous affecté du même coefficient non nul.
L’isobarycentre de deux points A et B est le milieu de [AB].
L’isobarycentre de trois points A, B et C est le centre de gravité du triangle ABC (point d'intersection des médianes).
Ensemble de points
DENOMBREMENT
Arrangements
Un arrangement est une liste ordonnée de p éléments distincts choisis parmi les n éléments d’un ensemble. On l’utilise par exemple pour un tirage
avec ordre et sans remise.
n!
Anp n (n 1) (n 2) (n p 1)
(n p)!
Permutations
Une permutation est un arrangement des n éléments de l’ensemble. On l’utilise par exemple pour trouver tout les anagrammes d’un mot.
Ann n! n (n 1) (n 2) 1
Combinaisons
Une combinaison est une liste non-ordonnée de p éléments choisis parmi les n éléments d’un ensemble (une combinaison est une partie). On
l’utilise pour un tirage sans ordre et sans remise.
n (n 1) (n 2) (n p 1) Anp n!
C np
p! p! p! (n p)!
Les coefficients des égalités remarquables sont ceux du triangle de Pascal. La formule du binôme de Newton les résume :
a bn Cn0 a nb0 Cn1a n1b1 Cn2 a n2b 2 Cnn a 0b n p0 Cnp a n pb p
n
n
Pour a=b=1, on a un cas particulier et Cnp Cn0 Cn1 Cnn 2n
p 0
Probabilités conditionnelles
A et B sont deux événements et pB 0 . La probabilité conditionnelle de A sachant que B est déjà réalisée est définie se note :
p A B
p A B p A B p A B p B
p B
Arbres pondérés
La somme des probabilités des branches issues d’un même nœud est toujours égale à 1.
La probabilité d’un chemin est le produit des probabilités des branches de ce chemin.
La probabilité d’un événement est la somme des probabilités conduisant à cet événement.
Variable aléatoire
Une variable aléatoire X est une application de l’univers dans R.
X : 1,2 ,,n X x1, x2 ,, xn
La fonction de répartition est définie par F ( x) p X xi pour tout réel x. C’est une fonction en escalier qui présente des « sauts ». Elle
est croissante, minorée par 0 et majorée par 1.
i 1 i 1
u
t
e u du
t t
x suit une loi exponentielle de paramètre : P(0 x t) 0
f ( u)du
0
e 1 e t F(t) .
0
1
Moyenne : x ue u du en faisant une intégration par parties ;
0
cette moyenne représente la durée de vie moyenne et peut être déterminée expérimentalement.
Produit scalaire
Le produit scalaire est une valeur numérique réelle. Soit H le projeté orthogonal du point B sur la droite OA :
OA OB OA OH OA OB cos AOB
u v v u ku v k u v
u v w u v u w
u v u v u 2 v 2
u v
2
Un vecteur est normal à un plan si et seulement si il est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de ce plan.
Deux plans sont perpendiculaires si et seulement si un vecteur normal à l’un est orthogonal à un vecteur normal à l’autre.
L’ensemble des points M de l’espace tel que AM u 0 est le plan passant par A et de vecteur normal u 0 .
Orientation de l’espace
Un repère est dit positif ou direct lorsque ses vecteurs unitaires respectent la règle des trois doigts de main DROITE.
Produit vectoriel
Le produit vectoriel de deux vecteurs est un troisième vecteur normal au plan formé par les deux autres vecteurs :
OA OB OA OB sin AOB
Colinéarité et alignement
u v 0 u et v sont colinéaires.
AB AC 0 A, B, C sont alignés.
y y
X yz zy
z z
z z
u v Y zx xz
x x
x x
Z y xy yx
y
u v yz zy i zx xz j xy yx k
La norme du produit vectoriel de deux vecteurs est égale à l’aire du parallélogramme construit à partir de ces vecteurs. L’aire du triangle ABC
est donc égale à la moitié de cette norme.
COURBES PARAMETREES
Astuce : si on connaît trois points non alignés du plan (P), on pourra se servir du produit vectoriel pour trouver un vecteur normal à (P).
Courbes paramétrées
Soient f et g deux fonctions définies sur un intervalle donné. Lorsque la variable t décrit cet intervalle, le point M(t) de coordonnées f (t ); g (t )
décrit une courbe paramétrée.
x f t
est la représentation paramétrique de la courbe.
y g t
S’il n’est pas nul, le vecteur dérivé vt 0 f (t 0 ); g (t 0 ) est un vecteur directeur de la tangente à la courbe en M t0 .
Isométries planes
et sont deux isométries .
conserve :
1. La distance
2. L’alignement
3. La configuration (l’image d’une droite est une droite, d’un segment est un segment isométrique, d’un cercle est un cercle
isométrique, d’un triangle est un triangle isométrique, d’un carré est carré isométrique, etc.…)
4. Le barycentre (en particulier le milieu)
5. Le parallélisme
6. L’équipollence des bipoints ( AB CD (A)(B) (A)(B) )
7. Le produit scalaire (en particulier l’orthogonalité et le contact)
Toute application qui conserve le produit scalaire est une isométrie
est injective (M,N) 2 , M N (M) (N)
est bijective N , !M / (M) N
1 et sont des isométries .
et deux antidéplacements
change les mesures des angles orientés en leurs opposées et transforme un ROND en un RONI
est la composée d’un nombre impair de symétries orthogonales
Si AB A 'B' 0 Alors ! / (A) A ' et (B) B'
M (M) l’axe de
Toute similitude de rapport différent de 1 possède un point fixe unique, nommé centre de la similitude.
Forme réduite d’une similitude de rapport différent de 1
Soit f une similitude de rapport différent de 1 quelconque. Soit A son centre et k son rapport ( k > 0 , k 1 ) .
1) Si f est directe, il existe une unique rotation de centre A , soit r ( A , ) , dont le produit avec l'homothétie de centre A et de rapport
k est égal à la similitude :
f = h(A,k)or(A,) (k>0, k1) .
Ce produit est commutatif. Il s'appelle la forme réduite de la similitude. (Une similitude directe non isométrique est caractérisée par un
centre, un rapport et un angle.)
2) Si f est indirecte, il existe une unique réflexion, soit sD , dont l'axe D passe par A , et dont le produit avec l'homothétie de centre A
et de rapport k est égal à la similitude :
f = h ( A , k ) o sD (k>0, k1, AD).
VIVE LES MATHS ZHIOUA KHALED MANOUBA
Ce produit est commutatif. Il s'appelle la forme réduite de la similitude. (Une similitude indirecte non isométrique est caractérisée par un
centre, un rapport et un axe.)
Ces propriétés ne sont pas évidentes : étant donné deux figures semblables quelconques (voir par exemple des crochets), on ne
discerne pas immédiatement la forme simple de la similitude qui applique une figure sur l'autre. On voit plutôt des manières de
passer d'une figure à l'autre en plus de deux étapes : agrandir, tourner et translater ; ou bien : agrandir, retourner et tourner ; etc.
Pour apprendre à déterminer le centre et l’angle, ou le centre et l’axe, d’une similitude non isométrique quelconque,
Remarques :
a ≡ b [p] b ≡ a [p]
a ≡ 0 [p] a est divisible par p
Si a ≡ r (b) et si 0 r < b, alors r est le reste de la division euclidienne de a par b
Propriétés
Inverse modulo b
Soit a et b deux entiers relatifs non nuls tels que b 2 et a b = 1 . Alors il existe un entier non nul u appartenant à 0 , 1 , 2 , ……… , b – 1
tel que au = 1( mod b) . On dit que u est inverse modulo b .
corollaire pgcd(a, b) = 1 u, v Z ² / a× u+ b× v = 1
pgcd(a, b) = d
a a ' d
2° corollaire
b b ' d
u, v Z ² /a'×u+ b'× v = 1
Théorème de Gauss
Résolution de l'équation ax + by = c :
Appelons (e) cette équation ax + by = c. Lorsque (bzt) est résolue, on a l'égalité au + bv = 1 , par suite a.(uc) + b.(vc) = c et le couple (xo,yo) = (uc,vc) est une
solution de (e). Supposons donc connue une solution (xo,yo). Nous pouvons écrire que (e) équivaut au système :
ax + by = c , axo + byo = c
Or aX + bY = 0 équivaut à : aX = -bY, et cela signifie que a divise bY et que b divise aX. Mais il a été supposé que a et b sont premiers entre eux; par suite a divise
Y, donc Y = ak (k entier relatif), d'où X = - bk et les solutions de (e) sont de la forme : (xo - bk , yo + ak), k décrivant Z.
Paramètres de position
Dans le cas d’une série regroupée en classes, les calculs suivants s’effectuent en remplaçant chaque valeur x i par le centre de chaque classe.
Le mode est la valeur du caractère qui a le plus grand effectif.
Dans un cas de variable continue, on parle de classe modale, le mode étant alors le centre de la classe.
La médiane est la valeur qui sépare la population en deux sous-ensembles de même effectif.
C’est la valeur qui correspond à la fréquence cumulée croissante égale à 50 %.
n x +n x +…+npxp 1 p
N
La moyenne est le nombre x tel que : x = 1 1 2 2 = ni xi .
N i 1
Paramètres de dispersion
L’étendue d’une série statistique est la différence entre la plus grande valeur et la plus petite valeur prise par le caractère.
La variance, notée V, est la moyenne des carrés des écarts entre les valeurs du caractère et la moyenne x . Elle est telle que :
p p
ni (x xi ) 2 n x i
2
i
V= i 1
= i1
x2
N N
Variance = moyenne des carrés – carré de la moyenne .
L’écart type, noté , est la racine carrée de la variance σ = V
Quand on étudie deux caractères statistiques sur une même population, on obtient une série statistique double.
Si les valeurs prises par le premier caractère sont x1, x2, …, xn et celles prises par le second caractère sont y1, y2, …, yn, alors les valeurs prises par cette
série sont les couples ( x1 ; y1), ( x2 ; y2), …, ( xn ; yn).
L’ensemble des points {M1, M2, …,Mn } où M1 a pour coordonnées ( x1 ; y1 ), M2 ( x2 ; y2 ), …, Mn ( xn ; yn ) dans un repère du plan,
est le nuage de points de la série.
Le point moyen du nuage {M1, M2, …,Mn } est le point G de coordonnées ( x ; y ), où x est la moyenne de la série ( xi) et y est la moyenne
de la série ( yi ).
Ajustement affine
Quand les points d’un nuage sont sensiblement alignés, on peut construire une droite passant au plus près de ces points ; on dit que cette droite réalise un
ajustement affine du nuage de points.
On peut tracer cette droite au jugé, ou alors utiliser des méthodes particulières.
On choisit en général une droite passant par le point moyen du nuage.