2021 Effet Mozart Sage Vetault
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L'Effet Mozart
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Enquête Sceptique
L’Effet Mozart
Enquête réalisée dans le cadre des Sciences Humaines pour l’Ingénieur à l’ENIB,
le 2 Juin 2021
Dans cette étude, nous commencerons tout d’abord par relater l’origine de l’effet Mozart,
puis nous verrons que de cette genèse, en découlent plusieurs hypothèses ainsi qu’un
grand désordre dans le monde de la science et de la musique. En 1991, l’effet Mozart est
(1)
d’abord décrit comme support de thérapie par Alfred Angelo Tomatis , son écoute
favoriserait la guérison de l’oreille interne. C’est dès 1993 qu’une première étude est menée
(2)
sur l’effet Mozart . L’expérience associée à cette étude, bien que très discutable par
rapport à son déroulement a permis d’observer une certaine amélioration des performances
cognitives chez ses participants. En 1998, des chercheurs ont tenté de prouver que l’écoute
de la musique de Mozart favoriserait le développement de rats de laboratoire pendant leur
(3)
croissance . Il y a eu un tournant en 1999 pour l’effet Mozart grâce à la méta-analyse de
(4)
16 études . Chabris en conclut que l’effet Mozart était trop faible pour être vérifié. En 2001,
l’étude de Thompson a montré que l’effet Mozart serait en fait qu’un artéfact d’excitation et
(5)
de bonheur . Finalement, on a commencé à y voir vraiment plus clair en 2007 lors de la
(6)
publication d’une étude par Schellenberg . Écouter de la musique de Mozart n’aurait pas
vraiment d’impact sur l’être humain si ce n'est le fait de lui faire passer un bon moment si le
volume n’est pas trop élevé bien entendu ! Pour confirmer cette hypothèse, en 2010, une
méta-analyse de cette fois-ci 39 études, a montré que l’effet Mozart ne serait qu’un stimuli
(7)
. Finalement, Schellenberg est revenu sur son étude en 2012 pour mettre un terme à la
(8)
question de l’existence de l’effet Mozart . À défaut d'améliorer les performances
intellectuelles, la musique, de manière globale, permettrait d'adoucir les mœurs.
Dans un second temps, nous présenterons notre protocole expérimental et les résultats de
notre expérience. Nous établirons des conclusions en fonction de nos résultats. En annexe,
vous pourrez retrouver plusieurs documents qui nous ont permis de réaliser notre
expérience.
1
Mots clés
- Effet Mozart
- Performances cognitives
- Méta-analyse
- Stimulus
- Musique
- Concentration
- Test de Stanford-Binet
- Schellenberg
2
Table des matières
Résumé de l’enquête 1
Mots clés 2
Introduction 4
Qu'est-ce que l'effet Mozart ? 4
La musique de Mozart agit-elle sur les performances cognitives ? Fake ou réalité ? 4
Histoire naturelle 4
Les prémices de “l’effet Mozart” 4
La première étude : 4
Une nouvelle expérience sur des rats de laboratoire 5
Méta-analyse de 16 études 6
Qu’une humeur exacerbée ? 6
Précisions sur l’effet Mozart 7
L’effet Mozart, qu’un stimulus ? 8
Les conclusions sur l’effet Mozart 8
L'étude 9
Protocole 9
Expérience témoin : 9
Expérience 1 : 9
Expérience 2 : 9
Déduction en fonction des résultats : 9
Détails techniques : 10
Résultats 11
Conclusion 13
Bibliographie 14
Annexe 16
Test de Quotient Intellectuel 17
Diaporama pour les questions 1 et 2 : 25
Correction : 28
3
Introduction
Après avoir analysé plusieurs études au sujet de l'effet Mozart, nous sommes en mesure de
qualifier ce phénomène. L'hypothèse est que la musique de Mozart influence l'état d'esprit
de l'être humain et pourrait même accroître ses capacités intellectuelles en stimulant sa
créativité.
Rappelons que depuis les années 90, le phénomène de « l'effet Mozart » a éveillé beaucoup
d'intérêt dans le milieu scientifique comme dans le quotidien. Cependant, les méthodes
employées pour les études expérimentales consacrées à celui-ci ont été critiquées par
plusieurs spécialistes. Nous allons donc, dans cet article, analyser les principales
recherches faites sur “ l'effet Mozart “ et discuter de l'impact de celui-ci sur le développement
cognitif de l'humain.
Histoire naturelle
C'est en 1991 que l'effet Mozart a été décrit pour la première fois par le docteur et chercheur
Français Alfred Angelo Tomatis dans son ouvrage « Pourquoi Mozart ? ». Le Dr Tomatis
était un oto-rhino-laryngologiste (médecin spécialisé dans l'étude de l'oreille, du nez et du
larynx) et dans les centres d'aides pour aider ses patients à communiquer avec leurs
semblables ou aux chanteurs à retrouver leur voix, il utilisait la musique de Mozart comme
support de thérapie. Dans son livre, il explique que la musique de Mozart favorise la
guérison de l'oreille et que le compositeur est un magicien guérisseur dont la musique est
accueillie par tous les peuples spontanément.
4
La première étude :
La démocratisation de l'effet Mozart s'est produite en 1993 par la publication dans la revue
Nature des résultats de l'étude de trois chercheurs de l'université de Californie à Irvine :
Frances Rauscher, Gordon Shaw et Catherine Ky. Ils ont étudié l'effet de l'écoute de
musique sur le développement des capacités cognitives de l'adulte et plus précisément
l'effet de l'écoute de la musique de Wolfgang Amadeus Mozart sur les performances
cognitives chez 36 sujets, tous étudiants à l'université californienne. Pour réaliser
l'expérience, les participants à l'étude ont été soumis, selon le cas, à trois conditions
expérimentales distinctes. Une première partie des étudiants à écouter
un extrait de 10 minutes du premier mouvement de la Sonate pour deux pianos en ré Majeur
K448 de W.A. Mozart tandis qu'une autre partie écoutait une musique de relaxation “ The
Shining ones “ de Thorton et qu'un troisième groupe attendait en silence. À la suite de ces
trois conditions, les étudiants ont effectué deux tâches d'habiletés cognitives générales et
une tâche de mémoire spatiale issue du Test de l'échelle d'intelligence de Standford-Binet.
Les résultats de l'étude ont montré que les sujets ayant participé à l'écoute de la sonate K
448 de W. A. Mozart ont obtenu de meilleurs résultats dans les trois tâches et ont vu leur
quotient intellectuel augmenter de 8 à 9 points par rapport aux sujets qui avaient été soumis
aux deux autres conditions. Cependant, Frances Rauscher et son équipe ont fait remarquer
que cette augmentation des performances intellectuelles était simplement temporaire et
distinguable uniquement pendant une période de 10 à 15 minutes après la fin de la séance
d'écoute. De ce fait , les chercheurs ont jugé pertinent d'étudier en quoi la musique de W. A.
Mozart aurait une influence sur d'autres types d’habiletés cognitives, comme par exemple la
mémoire à court terme, et d’observer si des œuvres de différents compositeurs avaient
aussi une influence sur ces habiletés.
Cette étude a eu un grand impact dans le monde de la recherche, si bien que plusieurs
spécialistes ont tenté d'obtenir une définition précise de l'effet Mozart “. En littérature
scientifique, cette hypothèse renvoie aux bienfaits de l'écoute de la musique de Mozart sur
le développement intellectuel et cognitif (Don Campbell, “L'effet Mozart, les bienfaits de la
musique sur le corps et l'esprit “). Mais d'un autre côté, comme le laissaient penser nos trois
chercheurs dans l'étude de 1993, « l'effet Mozart » devrait davantage être défini comme
l'impact de l’organisation exclusive de la musique de W. A. Mozart sur le développement des
habiletés spatio-temporelles. Autrement dit, ce sont les caractéristiques de l’œuvre du
compositeur qui en font ses vertus pour le développement cognitif de l'humain (tonalité,
tempo, nuances, structures mélodiques, motifs...)
5
Une nouvelle expérience sur des rats de laboratoire
En 1998, les chercheurs Robinson, Jens et Rauscher ont procédé à une expérience sur
l'effet Mozart en utilisant des rats de laboratoire comme sujet. L'étude a révélé que les rats
ayant écouté de la musique de W. A. Mozart pendant leur croissance avaient de meilleures
performances que leurs semblables dans leurs déplacements dans des labyrinthes.
Cependant, en 2003, Steele a soulevé plusieurs préoccupations concernant l'étude de
Rauscher, Robinson et Jens. En effet, les rats n'ont pu être capables d'entendre qu'une
partie des notes de la sonate K 448 de W. A. Mozart, 31% d'après Steele. Aussi, un biais de
sélection entraînant des différences préexistantes entre les groupes pourrait expliquer la
disparité de leurs performances plutôt que l'exposition à la musique. Par la suite, les mêmes
effets n'ont pas été observés dans d'autres études.
Méta-analyse de 16 études
6
ont eu 2,75 années de cours de formation musicale en moyenne. La session d'écoute
musicale consistait à 10 min de la Sonate pour deux pianos en ré majeur, K. 448 de W. A.
Mozart ou 10 minutes de l'Adagio en sol mineur pour orgue et cordes d'Albinoni. Mais dans
cette expérience, les critères d'évaluation étaient différents. En effet, en plus du test
d'intelligence de Stanford-Binet, le test de l'expérience comprenait des mesures
supplémentaires comme le niveau d'éveil et l'humeur. Les participants ont également fourni
une évaluation globale de l'humeur et de l'excitation sur une échelle de 1 (triste) à 7
(heureux). Finalement, l'étude de 2001 en a abouti à une conclusion, les affirmations selon
lesquelles une brève exposition à la musique entraîne une amélioration à court terme des
compétences non musicales sont trompeuses. Au contraire, l'effet Mozart s'explique
simplement : Les stimuli agréables induisent un affect positif et des niveaux d'excitation plus
élevés, ce qui conduit à de modestes améliorations des performances dans une variété de
tâches. Ainsi, « l'effet Mozart » ne serait probablement qu’un artéfact de l’excitation et d’une
humeur exacerbée.
En 2007, ce sont quatre chercheurs, Schellenberg, Nakata, Hunter et Tamoto qui ont publié
une étude qui portait sur l'impact de l'exposition à la musique sur les performances
cognitives de l'adulte et de l'enfant, ils ont testé les capacités non spatiales. Les participants
ont été testés deux fois, à des jours différents, après avoir écouté la Sonate pour deux
pianos en ré majeur, K. 448 de W. A. Mozart ou l'Adagio d'Albinoni. Après les deux écoutes,
ils ont effectué l'un des deux tests suivants : une mesure de la vitesse de traitement ou un
test de la mémoire de travail. L'ordre des deux tests et des deux pièces musicales était
contrebalancé. Ils ont également mesuré l'éveil et l'humeur avant et après la session de test
chez les participants. Lors de la première session, ils ont constaté que l'humeur s'améliore
après avoir écouté la musique de Mozart, ce qui ne se reproduisit pas après l'écoute
Albinoni, alors que les niveaux d'excitation ont diminué pour les deux groupes. Ils ont
constaté qu'il n'y avait pas de différence entre les groupes dans les deux tests cognitifs.
Cependant, lors de la deuxième session, les niveaux d'éveil et d'humeur se sont améliorés
après l'écoute de Mozart, mais sont devenus plus élevés dans les deux groupes, l'humeur
s'est donc améliorée après l'écoute de Mozart mais s'est détériorée après l'écoute
d'Albinoni. En accord avec l'hypothèse de l'éveil et de l'humeur, les performances sur l'un
des tests cognitifs (vitesse de traitement) ont été améliorées après l'écoute de Mozart par
rapport à Albinoni. En d'autres termes, ils ont reproduit l'effet Mozart avec une tâche non
spatiale. Il n'y avait pas de différence sur le test de mémoire de travail, ce qui implique que
les tests de certaines capacités cognitives peuvent être relativement imperméables aux
7
effets de l'excitation et de l'humeur. Certaines preuves antérieures suggèrent également que
la performance sur les tests de la mémoire de travail peut être relativement immunisée
contre les effets de Mozart.
Par la suite, en 2010, une autre méta-analyse effectuée par Pietschnig, Voracek et Formann
a combiné les résultats de 39 études différentes, d’époques différentes, pour en conclure
que peu de preuves existent pour confirmer l’existence de l'effet Mozart. Toutefois, il y aurait
bien un effet à l’écoute de la sonate en ré Majeur K 448 de W. A. Mozart, bien que faible
mais quand même significatif sur les capacités spatiales de l’humain. En comparant l'écoute
de la sonate pour deux pianos en ré majeur K. 448 de W. A. Mozart au silence, un stimulus
non musical, ils ont observé un effet des deux stimuli sur l’éveil et l’humeur des sujets. Ainsi,
ils ont pu remettre en cause l’existence de l’effet Mozart, le phénomène ne serait qu’un
stimulus, aussi efficace que le silence.
8
L'étude
Protocole
L’objectif de cette étude est d’observer si écouter Mozart permet d’accroître les
performances cognitives de l’être humain. Ainsi nous allons tester l’influence de la musique
de Mozart sur un groupe de personnes.
Dans le cadre de notre étude, nous considérerons que la cognition humaine concerne la
perception, l’attention, la mémoire, le raisonnement ainsi que la maîtrise du langage.
Expériences
Expérience témoin :
Facteur varié : Pendant 15 minutes, avant le test, les candidats seront dans le
silence.
Facteurs gardés : Les Candidats passent un test de QI dans le silence, ils n’ont pas
connaissance des autres expériences.
Paramètre observable : Résultats aux tests.
Expérience 1 :
Facteur varié : Pendant 15 minutes, avant le test, les candidats écouteront “ The
Shining Ones ” de Phil Thornton.
Facteurs gardés : Les Candidats passent un test de QI dans le silence, ils n’ont pas
connaissance des autres expériences.
Paramètre observable : Résultats aux tests.
Expérience 2 :
Facteur varié : Pendant 15 minutes, avant le test, les candidats écouteront la sonate
K448 pour deux pianos en ré Majeur de W.A. Mozart.
Facteurs gardés : Les candidats passent un test de QI dans le silence, ils n’ont pas
connaissance des autres expériences.
Paramètre observable : Résultats aux tests
9
Détails techniques :
Le test de QI est un QCM de 30 questions divisées en 5 catégories : Verbal
(Questions 3 à 11), Mémoire (Questions 1 et 2), Logique (Questions 14 à 27),
Numérique (Questions 12, 13, 28 et 29) et Spatial (Question 30).
Le test de QI est disponible en Annexe (page 18);
La correction du test de QI est disponible en Annexe (page 29).
Calcul de note :
Soit N la note et V le nombre de réponse juste :
𝑁 = 35 + 4 × 𝑉
Soit M la moyenne des notes, ∑ 𝑁la somme des notes et n le nombre de note :
∑𝑁
𝑀= 𝑛
(1)
et (2) sont issus du site CheckMarket (https://fr.checkmarket.com/calculateur-taille-echantillon/).
10
Lieu des expériences : France, Plouzané, ENIB, Bâtiment 2
Salles :
Expérience témoin : 2E_012;
Expérience 1 : 2E_003;
Expérience 2 : 2E_005.
Résultats
Pour cause d'événement surpris dans l’enceinte de l’école et report des expériences
impossibles, des basses étaient audibles pendant tout le déroulement de l’expérience
pouvant de ce fait fausser les résultats.
6 8 2 6 2 1 19 111
10 8 2 10 3 1 24 131
17 8 2 10 2 1 23 127
3 7 2 9 3 1 22 122
11 9 2 12 2 1 26 139
14 9 2 8 3 1 23 127
(3)
et (4) sont issus du site CheckMarket (https://fr.checkmarket.com/calculateur-taille-echantillon/).
11
Expérience 2 : 6 candidats (marge d’erreur = 40.01%(5))
1 8 2 10 3 1 24 131
4 8 2 9 2 1 22 122
7 9 1 8 2 1 21 118
15 8 2 13 2 1 26 139
16 9 2 8 3 1 23 127
19 8 2 11 3 1 25 135
(5)
est issu du site CheckMarket (https://fr.checkmarket.com/calculateur-taille-echantillon/).
12
Graphique de l'Écart type en fonction de l'Expérience
Conclusion
L’expérience témoin a une moyenne inférieure de 7 points par rapport à l’expérience
2, c'est-à-dire l’expérience simulant l’effet Mozart, ce qui montre que la sonate K448 pour
deux pianos en ré Majeur a bien un effet sur les capacités cognitives des candidats.
De plus, aux vues du faible écart entre les moyennes des expériences 1 et 2, nous
pouvons déduire que l’effet Mozart ne concerne pas qu'une musique ou un compositeur
particulier mais au minimum un ensemble de musiques.
13
Bibliographie
“The ‘Mozart effect’: will classical music really make your baby smarter ?”. Classic fM, le 6
novembre 2018.
https://www.classicfm.com/music-news/the-mozart-effect/
Christophe Rodo. “Neuromythes : l’effet mozart “ CNRS Le Journal, nos blogs, Aux
frontières du cerveau, le 5 juin 2018,
https://lejournal.cnrs.fr/nos-blogs/aux-frontieres-du-cerveau/neuromythes-leffet-mozart.
Emilie Sicard. “Démystification de l’effet Mozart”. L’écume des sons, le 6 novembre 2018,
https://lecume-des-sons.com/demystification-de-leffet-mozart/.
Alvina Mahadoo. ”Effet Mozart : Ecouter Mozart rend-il plus intelligent ?”. Myconnecting, le 4
septembre 2019, https://www.myconnecting.fr/formation/effet-mozart/.
Frances H. Rausher, Gordon L. Shaw, Catherine N. Ky. “Music and spatial task
performance”. Nature, le 1er octobre 1993,
https://www.nature.com/articles/365611a0.
W. Forde Thompson, E. Glenn Schellenberg, Gabriela Ilie. “Arousal, Mood, and The Mozart
Effect”. ResearchGate, en mai 2001,
https://www.researchgate.net/publication/236679292_Arousal_Mood_and_The_Mozart_Effe
ct.
14
“L’effet Mozart : la musique nous rend- elle plus intelligent ?”. Sight-o, le 13 novembre 2020,
https://www.sight-o.io/blog/effet-mozart-intelligent/.
Kenneth M. Steele. “Do Rats Show a Mozart Effect ?”. University of California Press, en
2003,
https://online.ucpress.edu/mp/article-abstract/21/2/251/61932/Do-Rats-Show-a-Mozart-Effec
t?redirectedFrom=fulltext.
15
Annexe
16
Test de Quotient Intellectuel
Enquête Sceptique
Candidat n°
Nous rappelons que ce test n’est pas homologué et n’a pas pour but de noter
votre intelligence mais juste de comparer des moyennes. Précisez-nous à la
restitution de vos feuilles si vous désirez récupérer votre résultat.
Bonne chance !
17
1. Vous avez 10 secondes pour mémoriser les noms.
Vous devrez ensuite choisir parmi les 4 éléments celui qui ne s’y trouvait pas.
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
3. Quel mot ne va pas avec les autres (par rapport au sens des mots) ?
a. Écraser
b. Caresser
c. Toucher
d. Tâter
e. Je ne sais pas
4. Quel mot ne va pas avec les autres (par rapport au sens des mots) ?
a. Crier
b. Dresser
c. Brailler
d. Hurler
e. Je ne sais pas
5. Quel mot ne va pas avec les autres (par rapport au sens des mots) ?
a. Bâclé
b. Précipité
c. Strict
d. Hâtif
e. Je ne sais pas
6. Quel mot a le sens le plus proche de pacte ?
a. Paix
b. Fin
c. Signature
d. Traité
e. Je ne sais pas
18
9. Quel autre proverbe a le sens le plus proche de celui-ci :
Les petits ruisseaux font les grandes rivières.
a. À cœur vaillant rien d’impossible
b. L’eau va à la rivière.
c. Plusieurs peu font beaucoup.
d. Il n’y a pas de fumée sans feu.
e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
19
14. Les 3 figures évoluent suivant une règle précise.
Quelle quatrième figure doit compléter la série ?
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
16. Les carrés colorés se déplacent suivant une règle entre chaque figure.
Quelle quatrième figure doit compléter la série ?
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
20
18. Quelle figure doit compléter la série ?
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
21
21. Trouvez le mot qui convient le mieux.
HARICOT est à … ce que … est à ESPOIR
a. VERT / POMME
b. BOÎTES / VIERGE
c. CHARIOT / POIRES
d. TIGE / ORANGE
e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
22
25. Quel est le domino manquant ?
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
23
27. Quelle est la carte manquante ?
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
a. b. c. d. e. Je ne sais pas
24
Diaporama pour les questions 1 et 2 :
25
26
27
Correction :
3. Quel mot ne va pas avec les autres (par rapport au sens des mots) ?
a. Écraser
4. Quel mot ne va pas avec les autres (par rapport au sens des mots) ?
b. Dresser
5. Quel mot ne va pas avec les autres (par rapport au sens des mots) ?
c. Strict
b. 38
28
13. Additionnez ces nombre
c. 43
d.
a.
16. Les carrés colorés se déplacent suivant une règle entre chaque figure.
Quelle quatrième figure doit compléter la série ?
b.
c. 22
d.
29
19. Quelle figure doit compléter la série ?
a.
b.
b.
30
25. Quel est le domino manquant ?
c.
d.
a.
31
View publication stats
b.
32