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Hamdani Histologie 1ere 1

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Dr CHEBAB

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CONTENU

-LES EPITHELIUMS DE REVETEMENT …………………………………………….. 2

-LES EPITHELIUMS GLANDULAIRES : EXOCRINES …………………..………… 6

ENDOCRINES …………………………... 10

-LE TISSU CONJONCTIF……………………………………………………………… 13

-LE TISSU CARTILAGINEUX ………………………………………………………... 18

- LE TISSU OSSEUX……………………………………………………………………. 21

-OSSIFICATION …………………………………………………………………………25

- LE TISSU SANGUIN…………………………………………………………………. 28

-LES TISSUS MUSCULAIRES : ……………………………………………………… 31

LISSE………………………………………………. 38

STRIE CARDIAQUE………………………………. 33

STRIE SQUELETTIQUE………………………….. 35

-LE TISSU NERVEUX ……………………………………………………………….. 38

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HAMDANI 2020/2021

LES EPITHELIUMS DE REVETEMENT


-constitués que de cellules jointives, étroitement juxtaposées, sans interposition de MEC.
-Les cellules sont associées grâce à : des jonctions intercellulaires (desmosomes,Gap…)+ interdigitations +
le ciment intercellulaire (au pôle basal)
-Ils sont avasculaires. L'apport des nutriments et l'export des déchets se fait en relation avec le TC sous-
jacent par l'intermédiaire d'une lame basale (selective), sur laquelle repose tout épithélium.
R ! : except la strie vasculaire (oreille interne) et de la rétine qui sont vascularisées et n’ont pas de LB.
-Lame basale : attachement, constituée de 2 parties :

lamina rara ( rare en mole )

lamina densa (collagène IV,glycoprots , protéoglycanes ,fibronectines).

-rôle du tissu conjonctive sous épithélial : nutrition + signalisation + terminaisons nerveuses .

Epitheliums

De revêtements glandulaire

–ils tapissent les cavités (estomac), les -soit regroupés en organes (glandes salivaires),
conduits (intestin) et les vaisseaux -soit associés à un épithélium de revêtement (glandes
sanguins. de la muqueuse digestive).
- soit des éléments unicellulaires dans un épithélium
–ils recouvrent tous l’organisme ( la peau :
de revêtement (C caliciformes).
épiderme + derme + hypoderme)
exocrines endocrines
excrètent leur produit expulsent leur produit
dans le milieu EC dans le sang ou lymphe.

ORIGINE EMBRYOLOGIQUE DES EPITHELIUMS DE REVETEMENT :


Dérivent des 3 feuillets embryonnaires :
- l’ectoblaste  épiderme.
- l’endoblaste  appareils respiratoire, digestif et rénale …
- le mésoblaste  les endothéliums (qui tapissent la paroi interne des vaisseaux sanguins et des cavités
cardiaques) + les mésothéliums au niveau du péricarde, des plèvres (poumons) et du péritoine (tissu qui
attache les organes internes et les recouvert).

CLASSIFICATION MORPHOLOGIQUE DES EPITHELIUMS DE REVETEMENT


en fonction de critères morphologiques :

Forme des cellules épithéliales


-pavimenteuse (aplaties ,plus larges que hautes avec un noyau aplati)
-cubiques (aussi larges que hautes avec un noyau arrondit)
-prismatiques ou cylindriques (hautes que larges avec un noyau allongé ).

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R ! on considère tjr la forme de la couche cellulaire la + superficielles .

Nombre de couches cellulaires


- simple (1 couche)

Meso et endothelium tube contourné muqueuse uterine


. distale du rein
- stratifie (2 ou +) la couche la plus interne de forme est cubique à cylindrique basse est dite assise basale
germinative. AGB

Epiderme canal excreteur des G sudoripares nasopharynx (narine +pharynx )

-pseudostratifié.(toutes les C sont au contact de la lame basale mais qlq atteint la


lumière + les noyaux ne sont pas au même niveau ) il est tjr dit prismatique.
Ex : épithéliums de revêtement respiratoires, canal épididymaire et vessie.

R ! : l’épithélium de revêtement de la vessie est dit transitionnel ou polymorphe, sa structure varie avec
son état de remplissage , de tel =
*En état de relâchement : il apparait haut pseudostratifié.
les C basales sont petites et polyédriques, les moyennes sont en forme de raquette ou piriformes et en
surface elle sont enflées, essentiellement au niveau de leur pôle apical
*en état d’étirement : il apparait bas et stratifié .
R! en pathologie, la transformation d’un épithélium est irréversible. C’est le cas d’un épithélium des
bronches (conduit principale des poumons) qui se transforme en épithélium stratifié squameux.

Nature des spécialisations: Spécialisation = structure + fonction


-invaginations basales: augmentent la surface d’échange avec TC sous adjacent, lié à celui-ci par des
dispositifs d’ancrages. Souvent associées à des mitochondries et moins spécialisées qu’au pole apicale ( ex :
C rénale)
-évaginations apicales :
Les microvillosités : courtes et limitées par la mp apicale. longueur et disposition irrégulières. Maintenues
par des microfilaments d’actine.
-Au MP, elles ont la forme : d’un plateau strié (tube intestinale), ou d’une bordure en brosse ( tube
contourné prox du rein ).
-Rôle : augmentent la surface d’échange membranaire du pôle apical (absorption).
Les stériocils : longues et immobiles, s’agglutinent en touffes cad se rassemblent a leurs extrémités
(l’épididyme), formés de MFF.
Les cils vibratiles : mobiles ,mouvements pendulaires (pour un cil ) et ondulaires (pour plsr cils)
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-Au MET, la tige comporte des microtubules (9 paires périphériques et 1 centrale)
-role: mettre en mouvement les éléments du contenu du conduit qu'ils bordent (ER respiratoires).
La cuticule : Au MO, est une condensation superficielle du cytoplasme constituant une couche continue +
ou – résistance et immpereable.
Ex : vessie, pour s’opposer à la résorption de l’urine (ammoniaque toxique).

PROPRIETES DES ER :

La nutrition des épithéliums de revêtement stratifiés (épiderme) est facilitée par des papilles
vasculaires conjonctives.

Les terminaisons nerveuses sont très abondantes.


L’innervation est assurée par des fibres nerveuses amyéliniques.

Le renouvellement : Les C superficielles sont sujettes à des


traumatismes et au vieillissement. La régénération se fait
par mitose à partir des C souches :
Dans les ER simples: Les C souches isolées sont intercalées entre les C.
Dans les ER pseudostratifiés: elles sont basales et isolées
Dans les ER stratifiés: Les C souches =assise basale germinative
(la couche la +basale) ; Leur division donne :
- 1 couche de cellules de la nouvelle A B G,
- 1 couche cellulaire qui s'engage vers la surface de l’E R.

FONCTIONS DES EPITHELIUMS DE REVETEMENT :


-Fonctions de protection : mécanique (contre les agressions mécaniques de l’épiderme).
Chimique (agressions acides et enzymatiques dans l’estomac).
physique (les radiations lumineuses nocives de l’épiderme).
R ! les melanocytes absorbent les U.V pour former la vitamine D.
-Fonctions d'échange et de transport: absorption active pour ER intestinal grâce au plateau strié.
absorption, excrétion et échanges ioniques pour l’E du tube rénal grâce a la bordure en brosse et les
invaginations basales.

Tube contourné prox du rein muqueuse utérine E intestinale


ER simple prismatique a bordure ER simple prismatique ER simple prismatique a C calciforme
En brosee a mucus ouvert

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Méso et endothélium C.E des glandes sudoripares Tube contourné distale


ER simple et pavimenteux ER stratifié cubique ER simple cubique

E gastrique épiderme
Prismatique simple a C caliciforme a mucus fermé stratifié pavimenteux kiratineux desquaneux

Nasopharynx E respiratoir
Stratifié prismatique pseudostratifié cilié a C caliciforme a muqus ouvert

Vessie epidedyme
Pseudostratifié a cuticule pseudostratifié a stériocils

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LES EPITHELIUMS GLANDULAIRES


-Ce sont des formations complexes associés au: T.conjonctif ou vaisseaux sanguins ou nerfs.
- leurs C élaborent 1 ou des produits spécifiques pour l’usage d’autres tissus de l’organisme.
-les glandes sont controlées par plusieurs facteurs : hormonaux, nerveux, cholinergiques ,locaux (le flux
sanguin), la perméabilité au calcium, facteurs psychologiques et mécaniques.

glandes exocrines : excrètent Glandes endocrines: Le produit (facteur les glandes


leur produit de sécrétion vers Le de signalisation=hormones, facteurs de amphicrines: exocrines
milieu ext (généralmnt possèdent croissance, peptides…) est libéré et endocrines a la fois.
un canal excréteur qui contient directement dans le sang ou la lymphe, Ex:Pancréas,foi,ovaire,
une lumière ).ex : G sudorepare. cad pas de canal excreteur. ex: thyroïde testicule

R ! -Glande paracrine : C qui excrète le produit à l’intention des cellules cibles voisines.
-Glande autocrine : son produit agit directement sur elle même.
-Glande neurocrine : Chaque C présente un prolongement qui entre en contact avec une C cible.
L’excrétion du produit (neurohormones) s’effectue au niveau de l’extrémité du prolongement (sécrétion
dirigée) et contrôlé par le SNC. C'est un dialogue entre le système nerveux et le système endocrinien.
R ! il existent des cellules isolées, ayant la fonction de glande exocrines ou endocrines, intraépithélliale
(dispersées au sein même d'un épithélium de surface).
Ex : cellules caliciformes de ER intestinal et des cellules C de la thyroïde.

ORIGINE EMBRYOLOGIQUE DES GLANDES :


Les épithéliums glandulaires se forment par invagination d'un épithélium embryonnaire (3 feuillets) au
cours de son développement.il peut etre :
- suivie d'une rupture de la continuité avec l'épithélium de revêtement = glande endocrine
-reste relié à l’épithélium d’origine = glande exocrine .

LES GLANDES EXOCRINES


-elles sont en relation avec:- la surface de l’organisme (épiderme) grâce au canal excréteur.
- la lumière d’un organe creux (intestin).
-Le canal excréteur permet le passage de la sécrétion glandulaire, qui est élaborée au niveau
de l’unité sécrétrice.

R ! cellules caliciformes : élaborent du mucus et n’ont pas du canal excreteur


Role : Le mucus intervient dans la lubrification et la protection des E R .

cellule caliciforme à mucus ouvert : cellule caliciforme à mucus fermé :


elles ont une m plasmique apicale elles ont une m plasmique apicale fermée.
ouverte, et sont Généralement Role+ : protection des C contre les enz et
isolées . acides , et sont généralement regroupées .
Ex : au niveau du ER intestinal/ Ex : au niveau du ER g astrique.
respiratoire.

CLASSIFICATION DES GLANDES EXOCRINES : Selon leurs morphologies

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1 selon le nombre des éléments cellulaires :
G EXO UNICELLULAIRES : ancrées dans les G EXO PLURICELLULAIERES : 2 type
ER representées par C caliciformes a -de surface: C caliciformes a mucus fermé (ER gastrique)
mucus ouvert.Ex: ER respiratoire comme -enfouies en profondeur dans le tissu conjonctif : (la maj
la trachée (le mucus ici filtre l’aire ). Ou ER des G EXO), elles sont constituées d’unité sécrétrice +
intestinale. canal excréteurs.

2 selon la forme des unités sécrétrices et des canaux: pour les G enfouis en profondeur dans le tissu
conjonctif : l’unité sécrétrice peut etre

R ! le tube peut être soit rectiligne ou enroulé .


-il peut y’avoir une forme composée : tubulo-avéolaire \tubulo-acineuse.

R ! -les unités secretrices des G composées ont toutes la meme forme ( tube, acinus..).
– la G EXO tubuleuse ramifiée est simple est non pas composée ( les ramifications au niveau de l’unité). Ex :
G sudoripare.

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R ! –conglomérée : un canal terminal commun pour toutes les lobules.
–conglobée : chaque lobule presente son canal terminal.

NOTON DE GLANDE ANATOMIQUE : c’est une G qui se rapproche d’un organe ,composée,a un seul canal
terminal , généralement envelopée et agminée (regroupée en amas). Ex : glande mammaire
-Si non , on l’appelle une G non atomique.

3-nature du produit secrété : Les produits élaborés par les C glandulaires exocrines sont variés : Produit
muqueux (grains de mucine) ,Produit séreux (grains de zymogène = prot et enzymes), Salive, Sueur,
Larmes, Lait ect…
-seuls les produits séreux et muqueux rentrent dans la classifications :

Produit séreux produit muqueux produit seromuqueux

R ! la taille d’une G séreuse (ex :parotide) est plus petite qu’une G muqueuse (ex : Brunner).
–ex d’une G mixte sero-muqueuse : G sous mandibulaire.

4-mode d’exretion : Excrétion mérocrine : Elimination du produit par diffusion ou exocytose.


Ex : parotide

Excrétion apocrine :Elimination du produit avec une partie du cytoplasme apical qui se détache.
La cellule renouvelle ensuite ses organites perdus et restaure sa continuité.

Excrétion holocrine : Elimination du produit en même temps que toute la cellule.


Ex : G sébacée
R ! les 2 derniers modes ne respecte pas l’intégralité de la C.

ER gastrique ( c caliciforme a muqus fermé) ER respiratoire(c.c a muqus ouvert)

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G de leiberkuhn intestinale G pylorique de l’éstomac G cutanée des batraciens (grenouille)
tubuleuse sans canal exct tubuleuse contournée simple acineuse simple

G de brunneur du duodenum G sudoripare G de meibomius (paupiere de l’œil)


tubuleuse ramifiée simple tubuleuse pelotonnée simple alvéolaire composée conglomérée

G sébaccés(poile) Prostate G salivaire linguale (séreuse)


alvéolaire simple tubuloavéolaire complexe conglomérée tubuloacineuse composée conglomérée

G mammaires G parotide ( salivaire de bouche)


acineuse complexe plurilobulaire conglobée agminée acineuse complexe conglomérée

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LES GLANDES ENDOCRINES
-elles sont généralement des G anatomiques situées toujours au contact d’un capillaire sanguin.
-Elles libèrent leur produit de sécrétion (hormone) en très faible quantité directement dans le sang ou la
lymphe (absence du canal excréteur).
-rôle : régulation spécifique du fonctionnement des organes distants du lieu de synthèse.

CLASSIFICATION MORPHOLOGIQUE DES G ENDOCRINES :

G ENDO UNICELLULAIRE: seulement les cellules C de la thyroïde .


(elles élaborent la calcitonine).
G ENDO PLURICELLULAIRE : devisée en 3 types :
-vésiculaire : la thyroïde est un assemblement de vésicules
formées par les cellules principales thyroïdienne= glande endo
vésiculaire.
Cette morphologie permet le stockage du produit (hormones
thyroïdiennes) inactives dans la lumière  colloïde .
Fonctionnement de la cellule thyroïdienne :

Colloïde

THYROIDOGLOBULINE= hormone inactive Endocytose stimulée par TSH hypophysienne

Visicule de TYROIDOGLOBULINE =peptide+iode


V d’endo + V a hydrolase (lysosome I)

App de golgi Lysosome II = degradation

Homones= T1+T2+T3+T4
REG (synthese proteique)
T1+T2 = recyclage

Capilaire sanguin T3+T4 =sécrétion


Précurseurs captés par la C (AAs et iode)

-diffuse : Les C sont isolées ou groupées en amas dans le tissu conjonctif. Comme les glandes
interstitielles testiculaires = assemblement de C de LEIDING + un vaisseau sanguin. (c de leiding ≠ G)
R ! les ovaires et pancréas sont des G endo diffuses aussi.
-tabulaires [ou cordonal] formées de travées (cordons) cellulaires ; soit :
*orientées (ou fasciculées): rectilignes comme la corticosurrénale (élaborent les corticoïdes tel le cortisol).
*non orientées (ou réticulées) : multidirectionnels comme la médullo-surrénales (produisent l’adrenaline)
et parathyroïdes (4 G derrière la thyroïde )
*mixtes comme la glande pituitaire=hypophyse .

Corticosurrénale médullosurrénale hypophyse


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Hypothalamus
hypophyse

Parathyroïde
thyroïde

Surrénale
pancréas

.
Ovaires

testicules

L'hypothalamus : située à la base du cerveau rattaché a l'hypophyse par la tige pituitaire. Il relit le système
nerveux et le système endocrinien.
ROLE : réguler l'activité de l'hypophyse par les GnRH et les GnIH libérée dans le sang.
L’hypophyse : placée dans une logette osseuse=la selle turcique ,située dans la base
du crâne, et comprend 3 parties : l’antéhypophyse, la posthypophyse et
l’hypophyse intermédiaire.
L’épiphyse : élabore la mélatonine pour la régulation du sommeil ,exerce sur
l'app reproducteur une action inverse que l'hypophyse.
Les parathyroïdes : élaborent les parathormones.
Le pancréas endocrine : constitué par les îlots (cellules) de Langhérans .
Les hormones élaborées sontl’insuline, le glucagon et la
somatostatine.
Les glandes surrénales : formées de 2 parties bien distinctes : la
corticosurrénale (le cortisol et l’aldostérone) et la
médullosurrénale ( l’adrénaline et la noradrénaline).
Les ovaires : œstrogènes = thèque interne et progestérone=corps
jaune.

GLANDES AMPHICRINES :possédant à la fois des structures endocrines et exocrines.il existe 2 types :
Glande amphicrine homotypique : même type de cellules identiques assure la fonction endocrine et
exocrine. (les hépatocytes élaborent la bile=exocrine et les facteurs de coagulation=endocrine)
Glande amphicrine hétérotypique : Deux types cellulaires différents (C séreuses du pancréas exocrine et
les C peptidiques du pancréas endocrine).

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CYCLE SECRETOIRE D’UNE CELLULE GLANDULAIRE :

.
phase de repos : captation phase de sécrétion : phase d’excrétion : décharge du
de précurseurs à partir des synthèse des produits produit synthétisé soit
vaisseaux sanguins+ spécifiques, suivie de leur dans le MEC, soit directement dans
régénération d’organites, stockage intracellulaire le sang ou la lymphe, soit dans
perdus, nécessaires pour de sous diverses formes l’espace extracellulaire immédiat à
nouvelles synthèses (grains,vacuoles et c…). l’intention des cellules voisines.
Exemple des glandes mammaires : d’origine epiblastiques. Les acini mammaires sont le siège de
secrétions lactées. le lait est composé de protéine, lipides et glucides.
-A l’état dynamique, l’acinus mammaire subit un cycle sécrétoire :
Phase de repos  cellules cubiques sans enclaves
phase de sécrétion  C hautes ( inclusions prot et lipidiques donnent un aspect en dôme)
phase d’excrétionC décapitées après émission du produit (excrétion apocrine) donc elles deviennent
cubique again.
R ! il n’existe pas des G endo a sécrétion holocrine .

LES CELLULES MYOEPITHELIALES :


Ce sont des cellules musculaires, d’origine epiblastique avec une morphologie
stellaire (forme d’étoile) et des expansions cytoplasmiques.
-localisées entre la lame basale et la m.p basale des cellules épithéliales
sécrétrices.
ROLE : contraction pour l'excrétion du produit a partir d’une glande exocrine.
1-C myoépithéliale
2-G exocrine

LE SYSTEME APUD (Amine Precursor Uptake Decarboxylation)


C’est un système neuro-endocrinien diffus (neuro=controlé par S.N.C, endocrinien=élabore des hormones,
diffus=ses C sont dispersées au sein d’un organe ).
-origine :crêtes neurales, actuellement il semblerait qu’elles dérivent des cellules indifférenciées des
épithéliums.
-localisation: ses cellules sont isolées dans les épithéliums (c’est le cas de l’appareil respiratoire, des
glandes salivaires et digestives). Elles sont toujours orientées vers les vaisseaux sanguins.
-rôle: Les cellules captent les AAs et les decarboxylent , dans le but de sécréter des hormones
polypeptidiques qui agissent localement ( tels que la gastrine , VIP…).

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LE TISSU CONJONCTIF
-C’est le tissu le + répandu dans l’organisme ; il est constitué d’un mélange en proportions variables de
cellules, de fibres et de substance fondamentale.
R ! MEC= les fibres + la substance fondamentale
ORIGINE EMBRYONNAIRE : les cellules mésenchymateuses = conjonctives,
d'origine Mésoblastiques qui ont gardé leurs caractères embryonnaires cad
multipotentes (capables de se différencier en nombreux types cellulaires)
-Elles sont présentes dans divers tissus de l'organisme sous forme étoilée et semblent
attachées entre elles par leurs prolongements cytoplasmiques.
- suite à une stimulation ,les cellules mésenchymateuses se différencient pour être
capable d’élaborer les molécules de la matrice extracellulaire :
fibroblastes  tissu conjonctif proprement dit
chondroblastes  tissu cartilagineux
ostéoblastes  tissu osseuseux.
Role et fonctions: - La connexion entre les organes (ex :tendons et chemin des vaisseaux)
- L’emballage (capsule et charpente)
- La nutrition ( lieu de passage du liquide interstitiel)
R ! en pathologie : le tissu conjonctif est le lieu de l’inflammation.
La substance fondamentale : comble l’espace entre les cellules du tissu conjonctif et les fibres.
Elle est de consistance variable (et contient d’H2O qui derive du plasma) :
- le tissu conjonctif proprement dit  semi solide ou lache ([H2O] )
- le tissu cartilagineux  solide et élastique ([H2O] )
- le tissu osseux  solide et rigide ([H2O] + [Ca] )
R ! le tissu osseux contient 75% de calcium qui couvre les fibres et molé de la S.F.
CLASSIFICATION: selon les proportions des éléments constitutifs.
 Tissu conjonctif proprement dit : - Tissus conjonctifs collagènes : TC lâche,
TC dense et fibreux.
- TC peu ou pas collagènes : TC réticulé,
TC élastique.
 Tissus conjonctifs chondrogéne ou ostéogènes (squelettiques) :Tissu cartilagineux,
Tissu osseux.

LE TISSU CONJONCTIF PROPREMENT DIT


-Tissu le plus répandu dans l’organisme humain. Localisé : autour et dans des organes,
-ses C conjonctives ne sont pas jointives (une architecture diffuse occupant des espaces sans limite nette).
-Rôles : défense+ transport+ stockage+ réparation.
-il est vascularisé.
-varie sur le plan morphologique et fonctionnel: les C, les fibres et la substance fondamentale varient
Qualitativement et Quantitativement.
Les cellules
cellules autochtones (fixes et mobiles). cellules immigrées :
des cellules sanguines de
dans le TC proprement dit dans le TC proprement dit irrité: passage dans le TC
normal : ce sont des cellules ce sont des C d’inflammation proprement dit. C’est le cas
fixes, d’origine (mobiles), tels que le des leucocytes tels que les
mésenchymateuse, tels que le plasmocyte, le mastocyte, le granulocytes, les monocytes
fibroblaste, le fibrocyte, macrophage et les C géantes , et les lymphocytes.
FIBROBLASTE :
l’histiocyte et l’adipocyte. d’irritation (C de Langhans)

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- dérive de cellules mésenchymateuses, présent dans tous les TCPD
-Au MO : Forme variable (étoilée, allongée ou fusiforme),
noyau mitotique.
Aux extrémités -> longs prolongements cytoplasmiques.
cytoplasme très basophile, riche en R.E.G+ ribosomes + mitochondries,
-role : synthèse intense des précurseurs protéiques+fibres + substance fondamentale ( tels les
protéoglycanes, les molé de tropocollagéne et de tropoélastine)
synthèse des molécules de la MEC + des cytokines (ex :chimokines) et de l’interféron-beta qui
joue un rôle important dans la défense antivirale.
FIBROCYTE : dérive irréversiblement du fibroblaste
- fusiforme sans prolongements cytoplasmiques.
-noyau : faiblement mitotique.
-cytoplasme : faiblement basophile ;pauvre en R.E.G et en ribosomes.
-Rôle : synthèse faible des précurseurs prot, des fibres et de la substance fondamentale.

LES ADIPOCYTES: spécialisées dans le stockage des lipides, présentes soit isolées ou regroupées.
ADIPOCYTE ǀǀde la graisse blanche : ADIPOCYTE ǀ de la graisse brune :
-Localisation :hypoderme de l’adulte. -Localisation : hypoderme des jeunes.
-Forme : ovoïde et sphérique -Forme : polygonale.
-Taille : grande. - Taille : petite
-Noyau : excentré. -Noyau : central.
-Vacuoles lipidiques : multiples.
-Vacuoles lipidiques : unique -Mitochondries : abondantes
-Mitochondries : peu nombreuses -role : régulation de la T° corporelle.

HISTIOCYTE :
-une C de type quiescente. Présente des vacuoles et enclaves (réserve).
-devenir: en cas d’inflammation du TCPD, il se transforme en macrophage.
R ! quiescente=très active métaboliquement et peut se deviser a tout
moment.
MACROPHAGE:
-Il appartient au système des phagocytes mononuclées.
-aspect structural lié au degré d’activité : La surface présente de nombreux
microvillosités et pseudopodes (pour les mouvements améboides) + cytoplasme
acidophile riche en lysosomes et app de golgi très développé + noyau excentré.
-il à un grand pouvoir de phagocytose vis-à-vis des microbes et des débris
cellulaires présents dans le TCPD.

PLASMOCYTE :
-caractérise le TCPD irrité au cours des infections chroniques.
-C’est un agent de l’immunité qui dérive du lymphocyte B.
-localisation : les tissus de cicatrisation, autour des greffes ou des métastases.
-forme ovalaire, parfois piriforme et volumineux ;
-Le noyau excentré +chromatine disposée en rayons de roue.
-Le cytoplasme, très basophile + abondance en ribosomes et R.E.G pour la synthèse des anticorps.

Le mastocyte :
-forme : arrondie ou ovalaire.
-La surface cellulaire est hérissée de microvillosité.
-Le noyau central est sphérique.
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-Son cytoplasme basophiles riche en vésicules de l’héparine (empêche la coagulation sanguine), de
l’histamine (vasodilatation= aug de la taille des vaisseaux + processus anaphylactique= ensemble de
phénomènes résulte d’une hypersensibilité) + l’acide hyaluronique (inflammation).

LA C GEANTE D’IRRITATION :
-si la particule à digérer est très grande, les macrophages fusionnent en C
géantes d’irritation.
- taille : volumineuse, avec un cytoplasme acidophile et riche en lysosomes
- plurinucléés (les noyaux sont disposés en fer à cheval ou collier).
-exemple: cellules géantes de Langhans retrouvées au cours de la tuberculose.

LES FIBRES CONJONCTIVES :


-les précurseurs: procollagéne (pour fibre collagène et réticuline) et proelastine ( fibre élastique )
-lieu de synthèses des précurseurs : fibroblaste et fibrocyte.
-lieu d’assemblage : matrice extracellulaire .
-colorants chimiques spécifiques au fibres :

Les fibres de collagène : C’est un tissu à striations transversales avec des bandes claires et sombres.
-Au ME : elles sont les plus épaisses des fibres conjonctives.
-des éléments extensibles mais non élastiques.
-Role :resistance du TCPD aux forces mécaniques + solidité.
COLAGENESE : est le processus de formation des fibres de collagènes
- précurseurs=AAs (dont la proline, lysine, glycine, l’hydroxyproline et l’hydroxylysine). Donc elle nécessite
des mécanismes d'hydroxylation et glycosylation.
Les étapes de formation du collagène : Dans la MEC Dans la C
-Des sous unités de chaînes alpha sont synthétisés
par le fibroblaste et s’assemblent par 3 
procollagène. Fibres collagene peptide

- Après exocytose, un “processing” (des enz, telles


Chaine alpha
que les matrix-metalloprotéinases MMP) élimine
les extrémités N et C des chaînes alpha  des fibrilles

molécules tropocollagène.
Procollagene
tropocollagene
-La structure primaire des tropocollagènes (prot
étirée à plusieurs domaines) permet un
autoassemblage extracellulaire orienté  des processing exocytose

fibrilles de collagène.
-Ces dernières s’associent parallèlement en fibres de collagène avec un
chevauchement de 70 nm (recouvrement entre les tropocollagènes
constitutives de 2 fibrilles adjacentes ).

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R ! ce chevauchement correspond à la périodicité (striation) observée pour le collagène
- Les fibrilles sont liées entre elles par des interactions latérales sur des radicaux lysyl ( resistance )
-ces dernières sont limitée par la gaine de HENLE  fibres de collagene

TYPE DE COLLAGENE : déterminé par leurs composition en AAs + propriétés physico chimiques des
tropocollagènes ;
type I :le plus abondant. type II : type III spécifique des type IV propre
- derme, tendons, tissu cartilage fibres de réticulines au aux lames
osseux et la dentine hyalin mature niveau des vaisseaux basales+cartilage
( ‫ )العاج‬+ fibrocartilage. sanguins et tissu adipeux, hyalin immature.

Les fibres de réticuline :


- sont des fibrilles de collagène sur lesquelles se lie un complexe glucidique qui
empêcherait toute association ultérieure.
-elles sont plus mince que les fibres de collagène mais présentent les mêmes stries transversales
Fibres élastiques : Ce sont les plus mince.
Microfibrilles
-Anastomosées, ramifiées (en réseau et non pas des faisceaux). Tropoelastine
glycoprotéiques
-Absence de striations transversales.
-élastiques.

La substance fondamentale du TCPD:


-elle occupe les espaces entre les fibres et les cellules.
-Consistance : semi-solide, amorphe, homogene.
-Origine : fibroblaste, ou sanguine par filtration plasmatique.
-Composition chimique : *Eau (quantité très abondante).
*Protéines : fibreuses (procollagéne et de tropoélastine etc,)
d’adhésion (fibronectine et laminines) .
plasmatiques (anticorps),
d’origine endogène (issus de la lyse cellulaire),
peptides d’origine exogène (issus de la digestion).
*Métabolites variés : (glucose, urée et c …),
* Protéoglycanes
*Sels minéraux essentiellement le chlorure de sodium..
*Acide hyaluronique en quantité abondante.
-La substance fondamentale diminue avec le vieillissement par rapport à la composante fibreuse
(formation des rides).

VARIETES DES TISSUS CONJONCTIFS PROPREMENT DITS : En fonction des proportions des
éléments constitutifs et de leurs propriétés
Adypocyte II
Tissu conjonctif proprement dit lâche : histocyte
La proportion en fibres, C et substance fondamentale est VS.
équilibrée. fibroblaste
-Il est très répandu dans l’organisme : tissus cellulaires .
fibrocyte
sous cutanés (derme et hypoderme) + chorion des .
muqueuses + alvéoles d’os spongieux. Fibre élastique
-role : remplissage C mésenchymateuse
fibre de collagène
fibre réticuline

16 sub fondamentale
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Tissu conjonctif proprement dit adipeux primaire : localisé au niveau de la graisse
brune avec une teneur élevée des adipocytes I, mitochondries et riche vascularisation
Role des adipocytes II est la régulation de la température corporelle

Tissu conjonctif proprement dit adipeux secondaire :


Il est présent au niveau la graisse blanche avec prédominance
des adipocutes II très actives.

Tissu conjonctif proprement dit decidual : Il se forme au cours de la grossesse sous


l’effet de la progestérone. Les cellules de la muqueuse utérine se gonflent d’eau
(œdème) et se chargent en glycogène.

Tissu conjonctif proprement dit dense (fibreux) orienté unitendu : ou


prédominent les fibres de collagène ( comme les tondons et ligaments).

Tissu conjonctif proprement dit dense (fibreux) orienté bitendu : predominance des
fibres de collagène (localisé au niveau du derme cornéen).

Tissu conjonctif proprement dit dense (fibreux) non orienté : formé


de très nombreuses fibres de collagène volumineuses ( capsules d’organes ).

Tissu conjonctif proprement dit réticulé : Les fibres de


réticuline prédominantes sont anastomosées en réseau à
mailles très serrées. localisé au niveau de la trame des
organes hématopoïétiques.

Tissu conjonctif proprement dit élastique : les fibres élastiques sont prédominantes.
retrouvé au niveau de la média des grosses artères.

Tissu conjonctif proprement dit muqueux : caractérisé par l’abondance de sa


substance fondamentale visqueuse (gelatineuse) , retrouvé au niveau de la gelée de
Wharton du cordon ombilical.

coloration Hématéine Eosine Safran (HES) : utilisée couramment en histopathologie.

coloration par May-Grunwald-Giemsa (MGG): habituellement en hématologie.

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LE TISSU CARTILAGINEUX
-Origine embryonnaire : C mésenchymateuses du mésoblaste.
-rôle : soutien (constitue les pièces de soutènement des os) + support + mouvements +ossification.
-il est constitué de : C (10% chondrocytes ) + S.F (solide et elastique) + FIBRES (donnent la prop physique)
-développement : les tissus cartilagineux et osseux se développent de façon coordonnée et conjointe
jusqu'à la puberté.
METHODES D’ETUDE HISTOLOGIQUE: d’une pieces cartilagineuse , afin d’obtenir des coupes de
bonne qualité, il faut :
-une fixation de la pièce .
-décalcification : par l’acide éthylène diamine tétracétique (EDTA) et les polyacides.
-imprégnation et inclusion dans la paraffine.
-colorations histologiques adaptées : comme l’hématoxyline-éosine-safran (HES)  colore les noyaux en
violet,le cytoplasme en rose-rouge et le collagène en jaune-orangé.
PERICHONDRE : - fine couche de tissu conjonctif sur la surface du cartilage (sauf le cartilage
d’articulation et de conjugaison) .
–rôle : nutrition , la croissance et la dégénérescence du cartilage.
–formé de deux couches :1- superficielle fibreuse (richement vascularisée +collagène+ fibroblastes)
. 2-profonde chondrogéne (fibres de scharpey+ C mésenchymateuses+chondroclastes)
R ! fibres de scharpey = Fibroblaste
fibres collagènes
arciformes, points V.S
mesenchymateuse
d’ancrage, pénétrant dans
chondrocyte
le T cartilagineux.
Fibre de sharpey
chondrocyte

Matrice
cartilaginause
LOCALISATION :
Fœtus/embryonnaire enfant /adolescent dans la metaphyse Chez l’adulte il est
majeure partie du entre la diaphyse et les épiphyses des os plus rare (menisques
squelette longs = le cartilage de conjugaison , epiglotte…)

LE CHONDROCYTE
-Forme : ovoïde ou sphérique .
- cytoplasme basophile, riche en REG , app de golgi …
-noyau arrondi volumineux, 1 ou plus nucléoles
-logé dans une cavité =chondroplaste.
–prolongements membranaires irréguliers qui peuvent traverser le
chondroplaste vers la matrice cartilagineuse.
– chondrone = chondrocyte+chondroplaste + capsule de fibres de collagène (panier) = unité fonctionnelle ,
structurale et métabolique du cartilage du hyalin .
-ROLE : synthese de précurseurs prot des fibres et S.F + facteurs de croissance et cytokines.
– origine : division de chondrocytes préexistants ou différenciation a partir des chondroblastes .
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R ! chondroblaste = C d’origine mésenchymateuse capable d’organiser une matrice cartilagineuse.
LE CHONDROCLASTE. - une cellule géante multinuclée localisé à la surface
de la matrice cartilagineuse ; avec m.p à bordure en brosse
-un cytoplasme acidophile, riches en lysosomes, possédant métalloprotéases
(matrix metalloprotéases : MMP).
-ROLE : la chondroclasie =résorption du tissu cartilagineux
LES FIBRES CARTILAGINEUSES. .
-forment un réseau fin représenté essentiellement par les .
Colagene
fibres de collagène et élastiques. .
chondroblaste
-Les fibres de collagène type I, II ou IX ne sont pas visibles sauf .
m.cartilagineuse
au microscope polarisant ou par digestion de la SF par trypsine . .
-au MET: même périodicité que le T conjonctif (610 à 640 A°) .
Chondrone
Leurs disposition varie en fonction de localisation du cartilage. .
Ainsi, y a des groupes de fibres disposées :  circulairement en panier
(chondrones) autour d’un ou de plus chondrocytes . .
 parallèlement, serrées, entre les paniers (fibres de collagène interterritoriales).
LA SUBSTANCE FONDAMENTALE : -homogène,translucide et basophile.
–Elle est métachromatique au bleu de toluidine et PAS (acide périodique de Schiff) positive.
–composition : eau + sels minéraux (K+, Na+Mg+)
. protéoglycanes sulfatés +GAG [chondroitine sulfate (cartilagéine), kératane sulfaté] .
l’acide hyaluronique en quantité beaucoup moins importante tissu conjonctif.
TISSU CARTILAGINEUX
CARTILAGE HYALIN FIBROCARTILAGE CARTILAGE ELASTIQUE
MATURE IMMATURE
conjugaison articulaires autres (intercostal, trachée, nez…)
CARTILAGE HYALIN : - constitué de cellules, fibres et SF en quantité équivalente .
- mis en évidence par la coloration au H.E.S.
-Le cartilage hyalin est le plus répandu des tissus cartilagineux.
- hyalin (du grec hyalos = glace) ; aspect blanc, perlé, peu translucide ; due à sa
substance interC.
CARTILAGE HYALIN IMMATURE : -observé au niveau des cartilages de croissance.
-Chez l’embryon et le fœtus  au niveau des modèles des pièces osseuses.
-sa matrice ≠matrice du cartilage hyalin mature. (elle présente du collagène IV).

CARTILAGE HYALIN MATURE : -fibres de collagène II + Les fibres élastiques sont absentes .
- le cartilage hyalin de conjugaison : localisé au niveau des métaphyses de l’os long.
*role : des os longs, (définit la taille du futur adulte) au cours de l’enfance et de l’adolescence.
- le cartilage hyalin articulaire : au niveau des articulations mobiles.
1-La face articulaire : assure la mobilité de l’articulation. 3
2-La face opposée à l’articulation (abarticulaire) est enchâssée dans l’os avec une 2
calcification de la MEC cartilagineuse adjacente. 1
3-latéralement, l’articulation est limitée par le tissu synovial.
*nutrition : à partir du liquide synovial , car il est Dépourvus de périchondre.

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ROLE : il empêchet, avec le liquide synovial, le frottement des surfaces osseuses.
FIBRO-CARTILAGE : -dans les endroits nécessitant une rigidité + grande résistance tels que les disques
intervertébraux, symphyse pubienne, ménisque du genou, l’insertion du talon d’Achille etc.
- apte à résister de très fortes pressions, en gardant une certaine souplesse.
-épais faisceaux orientés de collagène type I,visibles par coloration au trichrome de Masson.
CARTILAGE ELASTIQUE : -une densité cellulaire plus importante que les autres types.
-présence de fibres élastiques (mise en évidence par l’orcéine) en réseaux 3D
- au niveau des zones nécessitant une grande flexibilité, tels que le conduit auditif externe,
l’épiglotte, la trompe d’eustache et certains cartilages du larynx.
NUTRITION DU CARTILAGE : il est avasculaire.
-La nutrition se fait soit à partir des capillaires sanguins (couche externe du périchondre),
soit grâce au liquide synovial pour les cartilages articulaires.
-La grande quantité de liquide dans la matrice permet la diffusion des gaz,nutriments et déchets.
- La calcification de la matrice entraine le blocage de diffusion -> mort des chondrocytes.
DEVELOPPEMENT DU CARTILAGE : La chondrogenèse se fait à partir des C mésenchymateuses qui
se transforment en chondroblastes, ceci synthétisent les constituants de la MEC et finissent par s’emmurer
pour devenir des chondrocytes.

CROISSANCE DU CARTILAGE :selon une double modalité : -


La croissance appositionnelle : apposition de couches périphériques résultante de la chondrification du
périchondre à partir des cellules les plus internes (la croissance en épaisseur). - La croissance dite
interstitielle : dépend du pouvoir mitogène des C du cartilage jeune et de l’orientation du plan de mitose :
groupes isogéniques groupes isogéniques
axiaux ou sériés coronaires
(croissance en longueur) (croissance en
épaisseur)
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*La croissance interstitielle par groupes isogéniques axiaux est
observée chez le fœtus + au cours de la croissance osseuse post-natale des os long.
DEGENERESCENCE DU CARTILAGE : due soit à une atteinte : *cellulaire (calcification, lyse).
*de la matrice extracellulaire: lyse de la SF et épaississement des fibres de collagène à l’origine de troubles
divers comme l’arthrose (dégénérescence du cartilage articulaire).

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LE TISSU OSSEUX
Rôles :  soutien du corps.
 protection du système nerveux central ( boite crânienne et vertèbres)
 contrôle du métabolisme phosphocalcique (conjointement avec l'intestin et les reins , il assure la
. libération ou le stockage de sels minéraux due aux pressions mécaniques)
lieu de l’hématopoïèse ( prolifération de la moelle hématopoïétique à l'origine des trois lignées
. sanguines).
mouvement ( il est dynamique ).
HISTOLOGIE DU TISSU OSSEUX :
T.O = C + MEC calcifiée ( fibres de collagène + substance fondamentale)

Substance organique : Substance minérale :


cellules matrice organique Cristaux hydroxy-apatites =
-ostéoformatrices :ostéoblastes, cellules protéoglycanes, sels minéraux composés de
bordantes et ostéocytes, glycoprotéines et phosphates et de Ca
-osteoresorbantes:osteoclastes. fibres collagènes.

LES OSTEOBLASTES :
-origine : mésenchymateuses ou cellules bordantes.
-forme : ovoïde et allongée.
-organisation: en tapis de C jointives et communicantes grâce aux jonctions gap. –cytoplasme : fortement
basophile riche en RE.
- rôle : synthèse des précurseurs prot de la MEC appelée aussi substance préosseuse qu’ils déposent
autour d’eux sous la forme de lamelles.
- IL élabore ensuite le phosphate-tricalcique
(Ca3(Po4)2), sous forme de cristaux
d’hydroxyapathite qui se déposent au
niveau des bandes claires des fibres de
collagène, induisant la calcification de la
substance préosseuse .
-Les ostéoblastes produisent et déposent
continuellement une nouvelle matrice
osseuse, par-dessus la précédente .
Par la suite, ils s'emmurent eux-mêmes.

LES CELLULES BORDANTES :


-Ce sont des ostéoblastes au repos (quiescentes), susceptibles, s’ils sont sollicités, de devenir des
ostéoblastes actifs.
– localisation : surfaces osseuses sans formation ni résorption osseuse.
-rôle : Elles empêchent l'attaque de l'os par l'ostéoclaste.
-forme : aplaties et allongées, possédant peu d’organites, reliées entre elles et avec les ostéocytes voisins
par des GAP.

LES OSTEOCYTES.
-Ce sont des ostéoblastes emmurés dans la M osseuse minéralisée
donc incapables de se diviser
-Chaque ostéocyte est situé dans une logette ovalaire ou
ostéoplastes, d'où partent des canalicules anastomosés contenants
des prolongements cytoplasmiques.
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-Les ostéocytes sont reliés à leurs congénères et aux cellules de la surface de
la travée osseuse grâce à ces canalicules. Elles garantirent la nutrition et la
communication avec le périoste et l’endoste.
-rôle : synthése très faible de précurseurs prot de la matrice préosseuse qu’ils
calcifient.

LES OSTEOCLASTES :
-origine : lignée hématopoïétique monocytaire.
- Structure : Cellules géantes + Bordure en brosse + Multinuclées + cytoplasme
acidophile Riche en lysosomes et enzymes,
- Hautement mobiles à la surface des travées osseuses creusant des cylindres
appelées "lacunes de Howship".
-rôle : Ostéoclasie = détruisent le tissu osseux ancien grâce à : l’exocytose des
acides et des hydrolases + Résorption de la matrice osseuse + phagocytose grâce à la bordure en brosse +
digestion grâce aux les lysosomes +exocytose des produits digérés.

Astuce! Généralement, les C qui assurent une synthèse ont un cytoplasme basophile riche en REG (ex :
ostéoblaste, fibroblaste…). Tandis que ,les C assurant une destruction ou lyse ont un cytoplasme acidophile
riche en lysosome.

LA MATRICE EXTRACELLULAIRE :
- se caractérise par des fibres de collagène de type I + SF solide et rigide (H2O ).
- absence de l’acide hyaluronique .
-La substance fondamentale regroupe :
La fraction organique : La fraction minérale :
- ostéopontine+ d'ostéonectine = la minéralisation par son affinité renferme essentiellement
pour les molécules de tropocollagène et le ca, de cristaux
- ostéocalcine = inhiber la formation osseuse d'hydroxyapatites,
- facteurs de croissance= régulation du remodelage et la minéralisation (phosphate-tricalcique
du tissu osseux. cristallisé) conférant à l'os
- glycosaminoglycanes sulfatés tels que l’héparane, la kératane et la sa rigidité.
chondroitine sulfate

VARIETES TISSULAIRES DES PIECES OSSEUSES :


pièce osseuse
tissu conjonctif tissu cartilagineux tissu osseux

périoste endoste moelles articulaire conjugaison réticulaire lamellaire


osseuses (non lamellaire)

LE PERIOSTE
- lame de TC périphérique sur toutes les pièces osseuses sauf au niveau des surfaces articulaires (cartilage
hyalin mature).
-constitué de 2 couches : - externe tendiniforme (fibres de collagène) vascularisée
- interne ostéogène d’Ollier
R ! interne = cellules mésenchymateuses + ostéoblastes +faisceaux de collagène arciformes ( fibres de
Scharpey qui servent comme points d’ancrage).

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- rôle : nutrition( couche externe .


Couche externe
vascularisée) + croissance appositionnelle .
des os (ostéoblastes de la couche interne) .
par élaboration du tissu osseux périostique .
Couche interne
(système fondamentale externe) sur lequel .
se pose le perioste.

Matrice osseuse

L’ENDOSTE :
-structure et role identique au periostre mais plus fin et mois active.
-Localisation : borde la cavité médullaire des os longs.
-Sa couche ostéogène élabore le SFI (système fondamental interne) = tissu osseux périostique associé à
l’endoste.

LES MOELLES OSSEUSES :


-origine : mésenchymateuses
-localisation : les aréoles de l’os spongieux + la cavité médullaire de la diaphyse des os longs.
- structure : varie en fonction de leurs localisations et l’âge du sujet.
La moelle osseuse rouge hématogène (M.O.R.H) au niveau de tous les os.
- comprend un TC réticulé qui contient les cellules souches des diverses lignées sanguines donc Elle est le
siège de l’hématopoïèse.
La moelle osseuse rouge ostéogène (M.O.R.O) apparaît dans les foyers
d’ossification au cours de l’ostéogénèse, croissance ou réparation osseuse.
-constituée de TC réticulé + riche en ostéoblastes.
La moelle osseuse jaune très riche en adipocytes.
- résulte de la transformation graisseuse des moelles rouges tout au long de la croissance.
R ! Cette transformation est réversible au cours de la réparation des fractures et de certaines maladies du
sang.
La moelle osseuse grise chez les personnes âgées.
-dégénérescence fibreuse non réversible de La moelle jaune constituée par un tissu conjonctif fibreux.

TISSU OSSEUX RETICULAIRE (NON LAMELLAIRE)


-un tissu osseux fibreux primere (1er T osseux lors du développ embryonnaire et au cours de la croissance)
non lamellaire et faiblement minéralisé.
-un aspect tissé due a une trame collagénique sans orientation.
-C’est un os mécaniquement fragile.
-Chez l’adulte on le trouve au niveau des osselets de l’oreille moyenne et des cals de fractures , car au
niveau des autres pièces osseuses, il est remplacé par le tissu osseux lamellaire ou secondaire.

TISSU OSSEUX LAMELLAIRE :


-formé à partir du tissu osseux réticulaire (primaire).
-aspect lamellaire donné par Les fibres de collagène parallèles.
- il est mécaniquement solide, représenté par 3 types :
TISSU OSSEUX PERIOSTIQUE :
-Localisation : constitue T O périostique des os courts.
le S F E à la périphérie de la diaphyse et le S F I autour de la cavité médullaire de l’os long.
les tables externe et interne de l’os plat.
TISSU OSSEUX HAVERSIEN DENSE :
-spécifique à la diaphyse et situé entre les S F externe et interne.
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-constitué par un ensemble de : TO harvasien dense
système de havers (ostéones) sont des structures . perioste
cylindriques, parallèles entre elles , ayant lamelles
concentriques ,et occupant l’axe longitudinal de la SFE
diaphyse. Au centre circulent des capillaires et des . Systeme harvasien
nerfs dans un canal de havers . Endoste
systèmes intermédiaires = des systèmes de havers . SEI .
non entièrement résorbés. systéme interméd
canaux de wolkman perpendiculaires aux systèmes .
de havers et parcourus par des vaisseaux sanguins; .
ils font communiquer le périoste et la cavité canal de havers
médullaire.
canal de walkman

TISSU OSSEUX HAVERSIEN AREOLAIRE :


-localisé au niveau des épiphyses des os longs , os
courts et diploé des os plats Système havers
- formé par des systèmes de havers regroupés aréoles parallèlement en
lames osseuses lame osseuse
Multidirectionnelles. Entre ces lames ya des aréoles .
contenant de la moelle osseuse.
Osteocyte
SFE

Système de havers perioste


(coupe transversale) lamelle osseuse
SEI canal de walkman
coupe longitudinale nerfs
cavité médullaire
capillaires sanguins
endoste
canal de havers

TO HARVESUIEN DENSE .

ANATOMIE DU TISSU OSSEUX : Cartilage hyalin articulaire


Cartilage hyalin articulaire
TO harvasien aréolaire.
Cartilage de conjugaison Perioste
SFE
TO periostique
Perioste
endoste TO harvasien aréolaire.
SFI

TO HARVESUIEN DENSE
Cavité médullaire.
Perioste
TO Periostique
cartilage articulaire
Dipolé (TO H aréolaire)
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OSSIFICATION
-C’est un processus de construction + destruction + croissance + remaniement du TO.
-Elle se déroule en deux étapes successives ;
L’ossification primaire : peut être
endoconjonctive : la formation d’un manchon d’os périostique (T.O primaire) a partir du périost .
endochondrale : formation d’un T.O endochondral (enchondral) à partir du cartilage hyalin immature
(cartilage de conjugaison).
Resultat : T.O primaire immature, fibreux, non lamellaire cependant temporaire.
Le modele osseux s’allonge et se creuse de cavité
L’ossification secondaire : C’est une ossification endo-osseuse = remplacement de T.O primaire (manchon
d’os périostique) par un T.O secondaire lamellaire et définitif (haversien dense ,haversien aréolaire , TO
périostique).
REMARQUE : L’ossification primaire et secondaire se distinguent par leur processus fondamental répété:

C mésenchymateuse ostéoblaste S préosseuse matrice osseuse ostéocytes ostéoclasie

OSSIFICATION D’UN OS LONG :


débute au niveau de la diaphyse chez l’embryon puis les épiphyses juste après la naissance

OSSIFICATION PRIMAIRE :
1-au niveau de la diaphyse : ENDOCONJONCTIVE
Manchon d’os perios
Le modèle sous la forme de maquette de cartilage hyalin immature .
. BCV
est entouré par le périchondre.
-Ce dernier se transforme en périoste en direction des épiphyses . d’ossif primair
Centre
sans les atteindre . pointe de penetration
-le perioste élabore le manchon d’os périostique autour du
cartilage hyalin immature. Cartilage hypertrofié
-Parallèlement, des ostéoclastes creusent des canaux dans le .
manchon d’os périostique et des chondroclastes creusent une chondrocyte
cavité, au centre de la diaphyse, dans le cartilage hyalin.
cartilage hyalin
-Par la suite des bourgeons conjonctivo-vasculaires (B.C.V) .
pénètrent le long des canaux creusés vers la cavité au centre de la .
perioste
diaphyse.
-Au contact des B.C.V, les chondrocytes se nourrissent et s’hypertrophient (aug du volume).
-calcification de la matrice cartilagineuse (cartilage hypertrophié calcifié)
-atrophie des chondrocytes qui finissent par mourir laissant de multiples cavités vides .
-Les chondroclastes digèrent le plancher de chaque cavité créant ainsi des couloirs longitudinals dans
lesquels s’engagent les B.C.V.
-déclanchement du processus fondamental de l’ossification.
-L’ossification endoconjonctive se poursuit jusqu'à atteindre les jonctions diaphyso-épiphysaires
supérieure et inferieure; zone ou vont se former les cartilages de conjugaison.

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HAMDANI 2020/2021
Résultat : formation du centre d’ossification primaire représenté par la cavité médullaire primaire et les
B.C.V (arbre vasculaire).

Modèle perioste manchon d’os centre d’ossif I centre d’ossif I centre d’ossif I TO primaire non
cartilagineux periostique de la diaphyse de l’épiphyse sup de l’épiphyse inf lamellaire

2- au niveau des cartilages de conjugaison inf et sup : ENDOCHONDRALE


Les chondrocytes proches des B.C.V reçoivent directement
les éléments nutritifs . Cartilage hyalin
- formation de groupes isogèniques axiaux : cartilage sérié +
hypertrophie chondrocytaire .
-calcification de la matrice cartilagineuse: cartilage hypertrophié Cartilage
. serré.
calcifié.
-atrophie chondrocytaire + formation de cavités vides.
C hypertro
- osteoclasie du plancher cartilagineux de chaque cavité selon .
une ligne d’érosion. C atrophié calssifié
- formation de couloirs dans lesquels s’engagent les B.V.C.
- Déclenchement du processus fondamental de l’ossification . Lacunes vides
-Ce phénomène se répète durant toute la croissance.
-Parallèlement à l’apparition et la disparition du TO enchondral, le Ligne
. d’erosion
périoste continue d’élaborer le manchon d’os périostique autour de la osteoblaste
.
diaphyse la rendant plus épaisse. TO endochondrale
osteoclaste .

R ! L’ossification primaire, au niveau des épiphyses se déroule de la même manière qu’a la diaphyse
cependant les B.C.V sont orientés de façon radiaire.
CONCLUSION de l’ossification primaire : Allongement du modèle.
Agrandissement de la cavité médullaire.

OSSIFICATION SECONDAIRE :
- Ostéoclasie du manchon d’os périostique + Formation du tissu osseux II aire temporaire.
-Les ostéoclastes, formés dans la cavité médullaire et le périoste, creusent des lacunes de Howship dans le
TO II aire temporaire : perpendiculaires à l’axe longitudinal de la diaphyse (futurs canaux de wolkman)
. parallèlement à l’axe longitudinal de la diaphyse (futurs système de Havers).
-En même temps les B.C.V pénètrent dans la lacune de Howship.
-Par la suite grâce au processus fondamental de L’ossification se mettent en place les
systèmes de havers : tissu osseux haversien dense.
- Le périoste et l'endoste apposent successivement, les SF externe et interne.

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Périoste
TO primaire SFE
lacune de Howship + BCV
Ostéoblaste
vaisseau sanguin Ostéoblaste
SFI
endoste
Osteoclaste
lamelle osseuse
TO harversien dense

Système de harvers

3-au niveau des épiphyse :


-A la naissance : formation du centre d’ossification II aire qui s’installedans l’épiphyse supérieure.
-Deux ans après la naissance : celui de l’épiphyse inférieure.

R ! La croissance en :longueur se fait grâce à l'activité des cartilages de conjugaison.


largeur a lieu grâce à l'activité du périoste.

OSSIFICATION DES OS COURTS :


-Pour les os véritablement courts, comme ceux du poignet (carpe), l’ossification se réalise comme dans
l’épiphyse. Elle démarre à partir d’un modèle cartilagineux (enchondrale)
-Pour les os courts longs de type métacarpe, l’ossification a lieu de la même manière que celle des os
longs: les extrémités des os court voir épiphyses + le corps de l’os court voir diaphyse.

OSSIFICATION DES OS PLATS : permet la formation d’os plats tels que ceux de la voûte du crâne. Au
dépend d’un TC ( endoconjonctive) .

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TISSU SANGUIN
-il constitue le milieu intérieur liquide, d’une origine = mésoblastique.
-Il est formé de : globules = cellules,
Plaquettes sanguines = débris cellulaires
plasma = phase liquide du sang.
-couleur rouge  l'hémoglobine portée par les globules rouges.
-ROLE : * transporteur des molécules (hormones, substances nutritives, gaz etc.) + les
produits de déchet vers le foie, les reins, et les intestins
*l’homéostasie
*la défense de l’organisme ( globules blancs)
-prop physiques : 38 °C, pH est légèrement basique (7.4±0.05 ), coagulation spontanée à l’air libre

LE PLASMA : liquide jaune ,representant 55 % du volume sanguin total ,dont :


l’eau (91.5 %) + les protéines de defense (immunoglobulines) + facteurs de
coagulation (fibrinogène) + les constituants nutritifs (glucose, AA , lipides et
vitamines) + les déchets du métabolisme + les gaz respiratoires + les hormones +
les électrolytes (fer et sels minéraux ),
- plasema = 2 phase ( liquide= sérum + solide=fibrine).
R ! Les proportions des molécules varient selon les conditions physiologiques et
pathologiques.

HEMATOPOESE :
-Les C sanguines ont une durée de vie limitée  constamment renouvelée (hématopoïèse) grâce à
l’activité des cellules souches des organes hématopoïétiques (le foie, la rate ‫ طحال‬, le thymus, la moelle
osseuse rouge hématogène et les organes lymphoïdes).
-Le nombre de globule et PS (défini dans l’hémogramme) reste stable durant toute la vie, grâce à
l’hématopoïèse.
-Toutes les cellules sanguines et PS sont produites à partir d'une même C indifférenciée dite souche
totipotente qui, Sous une stimulantion, va s'engager dans la différenciation d'une lignée cellulaire :
. C SOUCHE stimulée

un progéniteur (cellule souche différenciée ou engagée).


Division
Précurseurs (C identifiables morphologiquement spécif d’une ligne de C)
Maturation
Cellules matures fonctionnelles (qui passent dans le sang)

regulation : -hématopoïèses  sous la dépendance de facteurs de croissance ou CSF (colony stimulating


factor) appelées hématopoetines.
-l’érythropoïèse sous l’action de l’érythropoïétine synthétisée au niveau du foie + d’autres facteurs tels
que l’hémorragie, la diminution de la teneur en oxygène, le fer, la vitamine B12 et l’acide folique.
-La leucopoïèse  facteurs de croissance CSF libérés par les leucocytes sous l’effet des toxines
bactériennes.

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HAMDANI 2020/2021
FROTTIS SANGUIN : -Un volume sanguin est prélevé
dans un tube de Winrobe, contenant de l’héparine.
-On prélève une goutte de sang qu’on étale
uniformément sur une lame de verre, pour obtenir une
seule couche C.
- coloration au MGG= Giemsa et May-Grünwald Giemsa
(bleu de méthylène) pour révéler les G blancs et
les PS qui étaient transparentes + Les GR en rose ( car ils
sont acidophiles).
-BUT : étude morphologique et quantitatives des G et PS
déterminer les anomalies,
repérer un éventuel parasite dans le sang.

LES GLOBULES ROUGES :


-Les hématies se forment au niveau de la moelle osseuse rouge hématogène.
-ils seront captés par des cellules macrophagiques puis détruites dans le foie et la rate.
- L’érythropoïèse et la destruction des hématies sont équilibrées.
- ils sonts anucléées et sans organites .
- forme : disques biconcaves (7 μ de diamètre),
- le cytoplasme est acidophile , riche en : eau + hémoglobine
Hb = (prot + 4 atomes de fer = hèmes)  capture et transport d’O2 et CO2.
- la membrane plasmique présente : *des enzymes de surface,
*des agglutinogènes A et B, héréditaire et indépendants,  l’agglutination des GR en présence de
l’anticorps correspondant .
- il existe quatre groupes sanguins ; A, B, AB (receveur universel) et O (donneur universel).
- il’antigène D : porteurs de D (RH+) = 80 % de la population mondiale,
sans antigène D (RH-) = évalués à 20 %.
NUMERATION GLOBULAIRE : Toute diminution du chiffre normal  anémie.
Toute augmentation  polyglobulie
-Chez l’homme : 4 500 000 à 5 400 000 / mm3 de sang,
-chez la femme : entre 4 200 000 à 5 000 000 / mm3 de sang
- chez le nouveau-né : il y’a 6 millions / mm3 de sang.

LEUCOCYTES : cellules nucléées,présentant des organites cytoplasmiques.


-doués de : diapédèse, phagocytose et réactions immunitaires

NUMERATION GLOBULAIRE TOTALE : taux normal : 6 000 à 7 000 / mm3 de sang.


- d’hyperleucocytose : taux des leucocytes supérieur à la normale
-leucopénie : s’il est inférieur à la normale.
NUMERATION GLOBULAIRE PARTIELLE : de chaque type des leucocytes.

FORMULE LEUCOCYTAIRE : est le pourcentage respectif des leucocytes.


- les granulocytes (70%) : neutrophiles (67 %) - les mononucléaires (30%) : lymphocytes (23 %),
éosinophiles (1 à 2 %), monocytes (7 %)
basophiles (0,5 à 1 %).

Les granulocytes neutrophiles :


Noyau : jeunes  trois lobes.
âgées  cinq lobes.
- Le cytoplasme faiblement acidophile riche en : granulations neutrophiles, enzymes
spécifiques (équivalent de lysosomes).
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HAMDANI 2020/2021
-ROLE : phagocytose similaire aux macrophages
Les granulocytes éosinophiles
- noyau est bilobé (fer à cheval).
-Le cytoplasme acidophile, riche en granulations éosinophiles (histaminase).
-Le rôle :peu connu ( google = regulation des reactions allergiques)

les granulocytes basophiles :


- noyau : volumineux est bilobé, (2 lobes ovalaires).
-cytoplasme basophile avec des granulations volumineuses.
-rôle : inconnu.

Les monocytes :
-Ce sont les macrophages du sang.
-noyau : excentrique est réniforme
-cytoplasme riche en lysosomes.
-role : phagocytose apres migration du sang vers le TC irrité

Les lymphocytes :
-noyeau : occupant presque la tot de la C .
-ROLE : defense immunitaire.
- formés au niveau de la moelle osseuse généralement,mais aussi au niveau du système
lymphatique (ganglions lymphatiques, thymus et rate).
-représentés sous trois états morphologiques en fonction
de Leurs maturité :

petit lymphocyte lymphocyte moyen grand lymphocyte


- la taille = 8 μ. -taille 10 a 12 μ. -taille 15 μ.
-cytoplasme très -cytoplasme basophile plus -cytoplasme plus abondant basophile est
reduit abondant très riche en ribosomes et R.E.G.
-noyau rond. -noyau arrondi ou ovalaire. - noyau central, arrondi ou ovalaire.

LES PLAQUETTES SANGUINES (THROMBOCYTES)


-taille : 2 a 5 μ 2
- anucléés 1
Origine : fragments de cellule= mégacaryocyte plaquettaire de la moelle osseuse
rouge hématogène.
- cytoplasme =deux région : 1 centrale granulomére (riche en granulations)
2 Corticale claire hyalomére (homogène et pauvre en molécules).
-ROLE : l’hémostase et coagulation du sang = lors d'une brèche vasculaire fabrication d'un caillot
sanguin  stopper l'hémorragie.
-taux normal= entre 250 000 à 400 000 / mm3 de sang.
- hyperplaquetose = une augmentation du nombre de plaquettes .
- thrombopénie= Une baisse dun ombre de plaquettes (peut provoquer hémorragies).

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HAMDANI 2020/2021
LES TISSUS MUSCULAIRES
-ils comportent la « chaire » du corps et la majeure partie des parois des organes creux.
-ROLE : production d’un travail mécanique mouvements de l’organisme.
-formés de cellules appelées fibres musculaires (éléments allongés).
- PROP FONCTIONELLES des C : *contractilité (présence de myofibrilles).
*Conductibilité. *Élasticité
*Excitabilité. *Extensibilité

TYPES DES TISSUS MUSCULAIRES :

LISSE Strié MYOCARDIQUE Strié SQUELETTIQUE


taille 20-600 μm 100 à 200 μm jusqu'à 50 cm
noyeau unique unique Multiple
striations none transversales Transversales
contraction Lente ,involontaire Involontaire/automatique Volontaire

origine Mésenchymateuse mésenchymateuse Myoblaste

LE TISSU MUSCULAIRE LISSE


-localisation :*muscles de la peau,
*parois des vaisseaux sanguins,
*tuniques musculaires des organes creux/viscères (l’appareil digestif, voies urinaires, ect)
-ROLE : participe a la digestion, respiration et la circulation sanguine etc.
LES FIBRES MUSCULLAIRES LISSES :
- forme : allongées ou elliptiques, fusiformes et mononuclées.
-Elles appartiennent à la vie végétative.
- ORIGINE : mésenchymateuse.
-Au cours du développement embryonnaire, les C mésenchymateuses s'allongent, s'effilent puis
s'enrichissent progressivement en myofilaments.
Exemple : la splanchnopleure intraembryonnaire fibres musculaires lisses du tube digestif
- En coupe :*transversal = un contour polygonal.
*longitudinales = faisceaux linéaires
-taille : *vaisseaux sanguins = 20μ
1
*l’utérus gravide = 500 μ 2
3
-diamètre : 6 -20 μ. 4
-les fibres communiquent entre elles par des jonctions 5
6
Gap, qui permettent la diffusion de l'excitation d'une fibre .
à l'autre.
-elles sont formées par :
Sarcolemme 1 :regroupe une lame basale externe plaquée
contre une m.p dont la face interne présente des épaississements appelés plaques d’ancrage.
-Chaque fibre musculaire lisse est enveloppée par un endomysium.
les caveolae : de nombreuses petites invaginations de la mp spécifiques des fibres musculaires lisses.
-meme fonctionnement du systèmes T des FM striées : contrôlant l'entrée d'ions calcium dans la FML, et
en contact avec le réticulum sacroplasmique.
sarcoplasme : contient : noyau central, unique et souple. 2
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HAMDANI 2020/2021
R ! Le noyau se raccourcit lorsque la FM se contracte. Et se plisser par torsion passive.
-Les organites cytoplasmiques sont confinés au niveau des cônes sarcoplasmiques,dont : *des sarcosomes
en très faible quantité (mitochondries),
*un appareil de golgi vésiculaire + un diplosome juxta-nucléaire
*réticulum sarcoplasmique peu developpé (ses saccules sont au contact des caveolae).
*des inclusions pigmentaires et des enclaves lipidiques et glycogéniques.
Myoplasme 3 : myofibrilles périphériques et longitudinales, allant d’un pôle à l’autre. elles sont
rassemblées:
-champs de conheim ( coupe transversale)

- colonnettes de leidig (coupe longitudinale)


.

-Elles sont constituées de =


myofilaments fins :* rattachées aux plaques d’ancrage 5 et reliés entre eux par les corps denses 4
. (comparables aux stries Z) ,
*formés d’actine, tropomyosine et calmoduline Ca2+ dépendante au lieu de troponine.
myofilaments épais : composés de myosine différentes de celles des FM striées.
- elles sont instables = ne se formeraient que lorsque la fibre subit une excitation, par polymérisation des
molécules de myosine dispersées dans le sarcoplasme.
- moins nombreux que dans la FMS (environ 1 pour 12 myofilaments fins).
myofilaments intermédiaires : formés de desmine et de vimentine.

Myofibrille

Myofilament fin
corps dense
myofilament épais
myfilament intermédiaire
Plaque d’acrage
mp
lame basale
endomysium
CONTRACTION MUSCULAIRE :
-elle est lente, discontinue ,involontaire et différente de celle du TMS.
- le calcium libres est séquestrés dans le réticulum sarcoplasmique puis libérés dans le sarcoplasme au
moment de l'excitation membranaire.
- ils se lient à la calmoduline  active une enzyme située sur la myosine qui peut ainsi
se lier à l'actine.
- l’interaction actine-myosine est identique au muscle strié.
- L’ensemble des fibres peut se contracter comme une seule unité, ou comme une onde locale qui passe
tout au long de l’unité (ressemble à des vagues).
-La contraction peut maintenir une tension musculaire constante (tonus) dans un organe.

REGENERATION par différentiation de cellules mésenchymateuses


ou par mitoses de fibres musculaires lisses préexistantes.
R ! Le pouvoir de régénération est faible.
VASCULARISATION Les vaisseaux sanguins sont localisés au niveau
du périmysium (TC vascularisé)
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HAMDANI 2020/2021
Endomysium (TC avascularisé) Epimysium (TC entourant le muscle).
LES FML ATYPIQUES :
Cellules myoépithéliales : -origine : ectoblastique,
-localisation :entre la lame basale et les cellules glandulaires des acini de certaines glandes exocrines (Ex.:
glandes salivaires)
-multiples prolongements (riches en myofilaments) dont la contraction permet l’expulsion du produit.
Pericytes
-entourant les capillaires par de longs prolongements circonférentiels et
cytoplasmiques
-role : contraction  régulation du débit sanguin au niveau des capillaires et des
veinules régulation métabolique

LE TISSU MUSCULAIRE MYOCARDIQUE


-localisation : cœur , représenté par le myocarde
-Il est recouvert par l'épicarde (avec une couche de cellules
adipeuses et de revêtement), et tapissé de l'intérieur par
l'endocarde (renferme le tissu nodal).
-origine : mésenchymateuse.
-Le tissu musculaire myocardique est formé de FMS myocardiques
anastomosées à contractions involontaires.

Le tissu nodal : a un aspect embryonnaire


-formé de C cardionectrices volumineuses pauvre en myofibrilles périphériques.
-Role :la conduction périodique de l’influx nerveux contrôler et réguler la contraction des fibres du
muscle myocardique  responsable de l’automatisme cardiaque.

LES FIBRES MUSCULAIRES STRIEES MYOCARDIQUES (f.s.m.m) :


-caractéristiques principales :* L’aspect en réseau anastomosé .
*Le noyau central ;
*la présence de stries scalariformes (stries Z).

-forme : prisme, dont les extrémités présentent des bifurcations qui assurent la
connexion avec les fibres myocardiques adjacentes.
- taille : 100 à 200 μ de long sur 5 à 10 μ de diamètre
Le sarcolemme = une membrane plasmique + lame basale externe (séparant les fibres d’un tissu conjonctif
avoisinant :endomysium).
Les stries scalariformes= zones Z d’attache de deux f.m.s.m contiguës.
Ils ont une dispositionen escalier = en 2 segments
- transversaux (présentent des
desmosomes + des jonctions adhérentes
+ Les stries Z des sarcomères terminaux
qui transmettent par conséquent la
contraction d'une fibre à l'autre) -
longitudinaux ( jonctions gap qui
facilitent le passage de l'excitation
membranaire et synchronisent la
contraction musculaire).

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HAMDANI 2020/2021
Le sarcoplasme occupe la région axiale de la f.m.s.m.
- forme de fuseau sarcoplasmique. Contenant :
*un noyau unique, central et allongé .
*appareil de golgi juxta-nucléaire + sarcosomes en bâtonnets,
* des enclaves glycogéniques et lipidiques + pigments de myoglobine et de lipofushine.
* réticulum sarcoplasmique et les systèmes T.
R ! les sarcosomes et les grains de glycogène sont plus nombreux que dans les f.m.s.s.

Le myoplasme : occupe la totalité de la fibre, à l’exception du sarcoplasme axial.


-constitué de myofibrilles périphériques, parallèles entre elles et orientées selon de l’axe longitudinal de la
fibre. Bande A
1/2Bande I
-ils sont structurellement semblables à celles .
des fibres musculaires striées squelettiques, Bande M
Bande I Strie Z
cependant les sarcomères sont plus courts et .
les bandes I plus étroites.
-Chaque sarcomére présente :
deux stries Z (zwichensheibe),
*deux demi-bandes claires I (isotrope), *une
bande sombre A (anisotrope)
Strie M
*une bande H (Heller)
*une strie M (mittelmembran) MMF
-le MT révèle des myofilaments et des myofilament
molécules contractiles de même nature que épais
.celles du m.s squelettique.

SACROMERE

-les myofilaments fins : les myofilaments épais : formés de myosine


présents partout sauf au niveau de la et présents qu’au niveau de la bande A
bande H ,leur point d’attache est la strie Z. meromyosine légère meromyosine lourde
(LMM) (HMM)

la tropomyosine = est l’axe du MF sur lequel s’insèrent les molé d’actine et de troponine role : facteur de
relaxation qui inhibe l’activité ATPasique de la myosine.
la troponine = molécule globulaire qui se coince entre les molé d’actine .
role : facteur de sensibilisation qui se lie spécifiquement aux calcium  permet de démasquer les sites de
fixation de la myosine sur l’actine.
l’actine Le passage de la forme globulaire G à la forme fibrillaire F se fait par polymérisation
en présence d’ATP. Ils forment deux brins hélicoïdaux ou viennent s’insère les molécules de troponine et
de tropomyosine. Le rapport actine / troponine est de 1/7.
La HMM en helice = deux sous unités : S1 ( tètes globulaires identiques SF1 avec une activité ATPasique) et
la seconde S2 fibrillaire.
-chaque filament épais est au centre d’un hexagone dont les sommets sont occupés par des filaments
d’actine. Au repos il n’y’a pas de contact entre les deux types de myofilaments.
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HAMDANI 2020/2021
RAPPORTS DES MYOFIBRILLES AVEC LES ORGANITES
Sarcosomes Les systèmes T Le réticulum sarcoplasmique :
très =tubules plus larges moins développé que la f.m.s.s.
nombreux et que f.m.s.s. -Il entoure le sarcomère entre
associés aux invagination de la les 2 stries Z , et se terminent
myofibrilles. membrane plasmique par
entourant des citernes terminales
complètement la -Une citerne terminale +un
myofibrille. On les tubule du système T =une
observe au niveau diade.  deux diades par
des stries Z. sarcomére.
role: lieu de passage
CONTRACTION DU du ca.
MUSCLE STRIE MYOCARDIQUE.
-elle est comparable à celle du muscle squelettique à quelques différences :
- le besoin d'un stimulus nerveux du muscle squelettique, à la différence du muscle
myocardique qui s'excite lui-même ; il est dit myogénique.
-Prop des contractions : involontaires, brèves, rythmiques, automatiques et continues .

VASCULARISATION.
- par un vaste réseau de capillaires sanguins situés dans le T.C
lâche de l’endomysium interfibrillaire.
-la vascularisation importante reflète une demande puissante et
continue en oxygène et ATP.

REGENERATION DES FMSM


-Le muscle myocardique est dépourvu de cellules régénératrices (telles : les C satellites ou
mésenchymateuses ). donc pas de néoformation des fibres musculaires myocardiques.
-En cas de lésion, la réparation est assurée par du TC lâche de l’endomysium.

LE TISSU MUSCULAIRE STRIE SQUELETTIQUE


-localisation : la plupart sont raccordés aux os par des tendons
- couleur : rouge  une importante vascularisation + présence d’un pigment respiratoire rouge
(myoglobine).
-ROLE: contractions brèves, rapides et volontaires  constitution de l'appareil locomoteur.
-origine : mésoblaste (myotomes.)
-chaque cellule myotomiale 1 va se différencier en myoblaste 2, qui migrent par la suite, s'alignent entre
eux et fusionnent pour former un myotube 3 (syncytium plurinucléé). Ce dernier se différencie ensuite en
fmss 4

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HAMDANI 2020/2021
STRUCTURE DES F M S S :
-forme : cylindrique, avec des extrémités coniques ou effilées
(fusiformes).
-longueur : qlq mm à 30 cm / diamètre : 10 à 100 μ. (diametre muscle fort )
Le sarcolemme =membrane plasmique + une lame basale externe.
Il est transparent, élastique et solide. Endomysium
Le sarcoplasme = périphérique , contient : lame basale
* plusieurs noyaux ovalaires périphériques mp

*nombreux sarcosomes + appareil de


golgi périnucléaire, peu développé,
Noyau
*un R.sarcoplasmique + des tubules T,
app de golgi
*des inclusions glycogéniques, et sacrosome
lipidiques et des pigments respiratoires. enclaves
Le myoplasme =localisé dans l’axe central de la f.m.s.s.= myofibrilles groupées en faisceaux longitudinaux
parallèles .ils ont :
En coupe transversale l’aspect de champs de conheim,
En coupe longitudinale  des colonnettes de leidig.
-chaque myofibrilles est divisée en sarcomères de même structure et composition moléculaire
(myofilaments) que MSM.
Les sarcosomes : des mitochondries Myofibrille
allongées, aplaties et plaquées Sacrosome
contre les myofibrilles et parallèles Triade
à leurs axe . rôle énergétique dans
la contraction. noyau
Citerne terminale
Les systèmes T(systèmes transverses)
entourant BA
constituent un réseau de tubules riticulum
transverse, provenant de Citerne terminale sacroplasmique
l’invagination de la mp donc tjr en entourant BI
contact avec le milieu extracellulaire.
Ils constituent un lieu de passage du calcium.
-Le système T entoure complètement la myofibrille entre les bandes A et I
Le réticulum sarcoplasmique : un réseau très développé de tubules longitudinaux qui entourent les
myofibrilles, et se termine par des citernes terminales.
-sa structure varie selon qu’il encercle la bande A ou I.
2 citernes terminales + un tubule du système T =une triade  Chaque sarcomère possède 2 triades.

MECANISME DE LA CONTRACTION MUSCULAIRE DES F M S S :


Dés que l’influx nerveux arrive à la plaque motrice, la dépolarisation de la membrane plasmique se
propage le long des membranes du système T,puis au réticulum sarcoplasmique ce qui permet au Ca++
contenu surtt dans les citernes du réticulum sarcoplasmique d’en sortir par des canaux Ca++
transmembranaires vers le cytosol ;
le Ca++ se fixant sur la troponine C  rupture de la liaison troponine I-actine  déplacement de la
molécule de tropomyosine, dégageant ainsi les sites de liaison myosine-actinecontact actine-myosine ;
ce contact déclenche l’activation de l’ATP-ase de la myosine l’hydrolyse de l’ATP  la fixation de l’actine
sur la myosine et le changement de conformation de la tête de myosine,responsable du déplacement du
filament d’actine dans la bande A et donc la contraction des myofilamments (position de myosine sur
l’actine forme 90 °45 ° apres hydrolyse d’ATP).
-L’arrivée rapide d’ATP  dissociation de la liaison actine myosine  relâchement du sarcomère.

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HAMDANI 2020/2021
en microscope photonique, la contraction musculaire se manifeste par :
-dans la contraction modérée = raccourcissement des sarcomères, cependant la
longueur de la bande A reste inchangée et de bandes I et H se réduisent
progressivement.
- contraction maximale= les bandes I et H disparaissent donct les stries Z au contact
des extrémités de la bande A.
-étirement :, les bandes I et H s’élargissent , bande A toujours inchangée.
R ! Dans tous les cas les myofilaments fins et épais ne varient jamais en longueur.

VASCULARISATION :Il est richement vascularisé.


Les artérioles du périmysium s’arborisent en capillaires qui entourent les f.m.s.s dans l’endomysium.

INNERVATION MOTRICE :
Chaque muscle est desservi par un nerf moteur (motoneurone).
Un IN partant du cerveau vers la moelle osseuse puis se dirige le long d’un nerf moteur qui
va pénétrer dans le muscle en son milieu au niveau du point moteur.
- chaque ramification de ce nerf atteigne et innerve une fibre musculaire formant La jonction
neuromusculaire au centre de celle-ci (plaque motrice).
- unité motrice = ensemble des fibres musculaires (4 a plusieurs centaines) sous contrôle d'un
motoneurone , donc ils se contractent en même temps lors de l’excitation .
-Les fibres d’une unité motrice ne sont pas adjacentes, mais disséminer dans plusieurs faisceaux
musculaire.
- Les muscles qui nécessitent une grande précision ont de petites unités motrices (peu de fibre par
motoneurone),
- les unités motrices des muscles puissant (quadriceps) ont plsrs centaines de fibres.

INNERVATION SENSITIVE : innervé par des fibres nerveuses sensitives qui font synapse au niveau de
deux structures équipées de mécanorécepteurs :
Fuseaux neuromusculaires : récepteurs sensitifs = de petites fibres musculaires et
nerveuses situées dans tous le muscle.
-Lorsqu’ils sont étirés ,ces fuseaux neuromusculaires renseignent le système
nerveux sur l’état de tension du muscle.
-le ventre du muscle est trop étiré  contraction réflexe pour limiter l’étirement.
Organes neurotendineux de Golgi :
- recepteurs sensitives localisés entre les tondons et le muscle
-renseignent sur l’état d’étirement des tendons.
Si le muscle se contracte(une grande tension = risque de rupture)  les organes neurotendineux de Golgi
vont envoyer une stimulation inhibitrice  arrête la stimulation motrice et donc la contraction.

REGENERATION :
- les muscles squelettiques sont sujets à stress physique et blessures (traumatisme).
-régénération grâce aux cellules satellites ou souches
(se sont les précurseurs myogéniques)
-localisation : périphérie des fibres musculaires, entre la lame basale et la m.p .
- leur potentiel prolifératif et de différenciation donnent
de grands espoirs aux thérapies cellulaires pour réparer les muscles en cas de
maladies comme les dystrophies musculaires.

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HAMDANI 2020/2021
LE TISSU NERVEUX
-origine: neurectoblastique.
-il se distingue par: le système nerveux central (SNC) = cerveau + moelle épinière à partir du tube neural
le système nerveux périphérique (SNP) = ganglions +nerfs périphériques crête neurale

-ROLE :*régulation du fonctionnement des organes.


*réseau de communication
*perception, transmission et intégration des info (sous forme d’influx nerveux)
-Le TN comprend 2 variétés cellulaires :
*les neurones communication
* les cellules névrogliques (gliales)  soutien+ nutrition+défense des neurones.

LES TYPES DE CELLULES NERVEUSES: au nombre de trois :


LE NEURONE :
-La C nerveuse typique, principale ou fondamentale du SN.
-Il se caractérise par :
un cytone (ou corps cellulaire) entouré par une membrane
plasmique mp= neurolemme.
neuroplasme 1 = un cytoplasme fondamental qui offre :
*noyeau non mitotique centrale 6
*neurosomes 3 (mitochondries) courts et minces,
* glycogène 2 + un appareil de golgi développé 4,
* enclaves lipidiques et pigmentaires (mélanine et lipofushine)7.
*corps de Nissl 5 = substance basophile granuleuse=des lamelles de
REG disposées en groupes. il assure la synthèse des neurotransmetteurs.
*neurofibrilles=neurofilaments 8. Pour le transport des neurotransmetteurs
-Le corps cellulaire se prolonge par deux types neurites à polarité fonctionnelle opposée :
Dendrites
L’axone : unique, mince, peu ou pas ramifié. Composé de
* axolemme,
*axoplasme riche en neurofibrilles et neurosomes. Axone
Role : conduit l’IN vers l’extrémité terminale de la fibre .
Les dendrites : prolongements cytoplasmiques épais ramifiés ou non
Arborisation
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terminale
HAMDANI 2020/2021
Role : la surface réceptrice de l’information.
LES CELLULES NEUROSENSORIELLES : au niveau des organes des sens.
LES CELLULES NEUROGLANDULAIRES : cellules des noyaux hypothalamiques.

CLASSIFICATION MORPHOLOGIQUE DES NEURONES :


- le neurone unipolaire : 1 prolongement unique et ramifié (= l’axone + dendrite). Ex
: noyau masticateur du trijumeau.
- le neurone pseudo-unipolaire en T de Ranvier : deux branches (une .
est l’axone et l’autre dendrite).
Ex : neurones sensitifs en T des ganglions spinaux.
- le neurone bipolaire deux prolongements de part et d’autre du corps
cellulaire. Ex : cellules bipolaires de la rétine.
- le neurone multipolaire : un axone et beaucoup de dendrites.
Ce sont sont les plus nombreux et les plus variés.
Ex : neurones de Golgi du cortex cérébelleux et neurones pyramidaux du
cortexcérébral.

LES FIBRES NERVEUSES : 4 types


Les fibres nerveuses myélinisées avec gaine de Schwann :
-Localisation: SNP (nerfs cérébro spinaux)
étranglements de Ranvier
-formées par:
une gaine de myéline,discontinue.
axone au centre

une gaine de Schwann (C assurent la


myélinisation des fibres nerveuses).
Les fibres nerveuses myélinisées sans gaine de Schwann.
-localisation : SNC 1
- regroupe : 1 un axone. 2
. 2 des oligodendrocytes (assurent la myélinisation). 3 3
3 une gaine de myéline .
Les fibres nerveuses amyéliniques avec gaine de Schwann.
-ce sont les fibres post ganglionnaires du SNV.
-formé d’axones 1 + une gaine de Schwann épaisse (2+3+4)
Les fibres nerveuses amyéliniques sans gaine de Schwann :
-localisation : substance grise du SNC.

LES NERFS : LES SYNAPSES NERVEUSES :


l'endonevre =TC lâche, périnèvre + épinevre= TC -les connections interneuronale
(neuro-neuronale/neuro-somatique)
ou entre l’extrémité des fibres
nerveuses et d’autres éléments
histologiques .
Role :la transmission de
l’influx nerveux.
-types de synapses : axo-somatique
axo-dendritique
axo-axonique .

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HAMDANI 2020/2021
LA NEVROGLIE : l'ensemble des cellules gliales, associées aux neurones .
- d’origine :neurectoblastique à l’exception des microgliocytes qui dérivent du mésenchyme. – rôle :
soutien, la nutrition des neurones etc.
- elles sont plus nombreux que les C nerveuses.
-elles peuvent être rangées en 2 grandes catégories :
La névroglie centrale associée au SNC, comprenant :
la névroglie épithéliale : cellules qui tapissent les cavités du SNC (ventricules cérébraux et canal
épendymaire)

Ependymocytes cellules des plexus


(cellules épendymaires) choroïdes

la névroglie interstitielle :


microgliocytes
Olygodendrocyte périneurale

Olygodendrocyte interfasciculaire

R ! il existe aussi les astrocytes fibreux qui sont localisés dans la substance blance du SNC.

La névroglie périphérique associées aux éléments du SNP :


les cellules satellites et les cellules de Schwann des neurones périphériques.

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