Spé Maths Tle
Spé Maths Tle
Spé Maths Tle
Indice Maths
Tle
Programme 2020
ENSEIGNEMENT DE SPECIALITE
Livre du professeur
Sous la direction de
Michel PONCY
Denis VIEUDRIN
Jean-Louis BONNAFET
Mickaël BORDONARO
Nicolas BUYLE-BODIN
Sébastien CANTE
Stéphane GAMEL
Arnaud GAZAGNES
Maxime GUERY
Catherine LEBERT
Xavier MORER
Jean-Philippe PERRET
Marie-Christine RUSSIER
SOMMAIRE
Chapitre 1
Combinatoire et dénombrement
4 Réponses c et d.
6 1. Il y a 9 codes différents.
2. Il y a 4 codes avec une unique voyelle.
3. 4 codes ne contiennent pas la lettre « b ».
C Activités
Activité 1 Henri Poincaré et la récurrence
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
1. « Le théorème est vrai du nombre 1 » signifie « 𝑢1 ≥ 0 ». Cette inégalité est vraie car 𝑢1 =
𝑎 et 𝑎 ≥ 0.
2. a. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire 𝑢2 = 2𝑎 +
5 au lieu de 𝑢2 = 2𝑎 + 1.
2. Le nombre (64) représente le nombre d’équipes formées de 4 membres des Avengers (sans
tenir compte de l’ordre). Or, dès qu’une équipe de 4 membres est formée, il y a une unique
équipe de 2 membres qui peut se former (car il y a 6 membres au total). Donc il y a autant
d’équipes composées de 4 membres que d’équipes composées de 2 membres. Ainsi, (64) =
(62).
D Exercices
Automatismes et rituels
1 1. 75 2. 0,5 3. 3.
2 1. 𝑓(2) = 10 2. 𝑔(2) = 0,25.
2 8𝑠−5
3 1. 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑥 2 + 15𝑥 2 2. 𝑔′ (𝑠) = 3. ℎ′ (𝑟) = 4𝑒 𝑟 + 1.
3
8 𝑣31 = 2 + 31 × 3 = 95
1−512
9 1 + 5 + 25 + ⋯ + 511 = = 61 035 156.
1−5
10 a. 𝐴 = −7𝑥 2 − 15𝑥 + 6
b. 𝐵 = 9𝑥 3 + 24𝑥 2 − 44𝑥 + 16
c. 𝐶 = −6𝑥 3 + 33𝑥 2 − 15𝑥
11 a. 𝐴 = (𝑥 + 1)(𝑥 − 4)
b. 𝐵 = (3𝑥 − 5)(3𝑥 + 5)
12 1. L’équation est équivalente à – 4𝑥 2 + 6𝑥 + 4 = 0. Le discriminant est égal à 100. Les
solutions sont – 0,5 et 2.
2. L’équation est équivalente à 𝑥(3𝑥 2 + 𝑥 − 2) = 0. Le discriminant du deuxième facteur est
2
égal à 25. Les solutions de l’équation sont – 1, 0 et 3.
14 1. 𝑥 = 3 et 𝑦 = −2 2. 𝑥 = −18 et 𝑦 = 25.
15 a. Vrai. b. Faux. c. Faux.
16 a. – 1 b. 2
c. 𝑦 = 2𝑥 − 3 d. 2.
19 1. 𝑢𝑝 = 4.
2. On doit montrer que 𝑃(𝑝 + 1) est vraie, c’est-à-dire montrer que 𝑢𝑝+1 est égal à 4. Or,
𝑢𝑝+1 = 3𝑢𝑝 − 8 = 3 × 4 − 8 = 4. Ainsi, si 𝑃(𝑝) est vraie, alors 𝑃(𝑝 + 1) est vraie. Donc la
propriété 𝑃(𝑛) est héréditaire.
20 1. 𝑢0 = 1 ≥ 1.
2. a. 𝑢𝑝 ≥ 𝑝.
b. 𝑃(𝑝 + 1) : « 𝑢𝑝+1 ≥ 𝑝 + 1 ».
c. 𝑢𝑝+1 = 2𝑢𝑝 − 𝑝 + 1 ≥ 2𝑝 − 𝑝 + 1 soit 𝑢𝑝+1 ≥ 𝑝 + 1.
3. Pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 ≥ 𝑛.
22 Faux : 11 × 11 = 121.
24 1. 𝑘 = 3.
2. (0,0,0) ; (0,0,1) ; (0,1,0) ; (1,0,0) ; (0,1,1) ; (1,0,1) ; (1,1,0) ; (1,1,1) : il y a 8 triplets.
3. 23 = 8.
26 45 = 1 024.
27 1. 9.
2. Le programme renvoie le nombre de k-uplets d’un ensemble de n éléments.
29 1. 24
2. Cet algorithme permet de calculer 𝑛 !.
30 1. 𝑘 = 3.
2. (0,1,2) ; (0,2,1) ; (1,0,2) ; (1,2,0) ; (2,0,1) ; (2,1,0). Il y a 6 permutations.
3. 3! = 3 × 2 = 6.
32 1. Réponses b et c.
2. Réponses a, b et d.
3. Réponses b, c et d.
33 1. Vraie.
2. a. « Si F est une combinaison de deux éléments de E, alors 𝐹 = {𝑒1 , 𝑒2 } ».
b. Cette proposition réciproque est fausse car {𝑒2 , 𝑒3 } est aussi une combinaison de deux
éléments de E.
35 1. Oui.
2. Non car dans un classement il y a un ordre.
3. Oui.
38 1. a.
b. 35
2. a. 7! = 5040, (7 − 4)! = 3! = 6 et 4! = 24.
7! 5040
b. (74) = (7−4)!4! = = 35.
6×24
Pour s’entraîner
39 Initialisation : 20 + 5 = 1 + 5 = 6 = 𝑢0 .
Hérédité : soit p un entier naturel tel que 𝑢𝑝 = 2𝑝 + 5.
𝑢𝑝+1 = 2𝑢𝑝 − 5 = 2(2𝑝 + 5) − 5 soit 𝑢𝑝+1 = 2𝑝+1 + 5.
Conclusion : pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 = 2𝑛 + 5.
40 Initialisation : (−3)1 + 2 = −3 + 2 = −1 = 𝑣1 .
Hérédité : soit p un entier naturel tel que 𝑣𝑝 = (−3)𝑝 + 2.
𝑣𝑝+1 = −3𝑣𝑝 + 8 = −3((−3)𝑝 + 2) + 8 soit 𝑣𝑝+1 = (−3)𝑝+1 + 2.
Conclusion : pour tout entier naturel non nul n, 𝑣𝑛 = (−3)𝑛 + 2.
41 Initialisation : 3 × 41 − 1 = 12 − 1 = 11 = 𝑡1 .
Hérédité : soit p un entier naturel tel que 𝑡𝑝 = 3 × 4𝑝 − 1.
𝑡𝑝+1 = 4𝑡𝑝 + 3 = 4(3 × 4𝑝 − 1) + 3 soit 𝑡𝑝+1 = 3 × 4𝑝+1 − 1.
Conclusion : pour tout entier naturel non nul n, 𝑡𝑛 = 3 × 4𝑛 − 1.
42 Initialisation : 𝑣1 = 2 ≤ 5.
Hérédité : soit p un entier naturel tel que 𝑣𝑝 ≤ 5.
3 3
𝑣𝑝+1 = 5 𝑣𝑝 + 2 ≤ 5 × 5 + 2 soit 𝑣𝑝+1 ≤ 5.
Conclusion : pour tout entier naturel non nul n, 𝑣𝑛 ≤ 5.
43 Initialisation : 𝑤0 = 0 ≥ 0.
Hérédité : soit p un entier naturel tel que 𝑤𝑝 ≥ 𝑝.
𝑤𝑝+1 = 3𝑤𝑝 − 2𝑝 + 3 ≥ 3𝑝 − 2𝑝 + 1 soit 𝑤𝑝+1 ≥ 𝑝 + 1.
Conclusion : pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛 ≥ 𝑛.
44 1. 𝑢1 = 5.
2. Initialisation : 5 ≤ 8 donc 𝑢1 ≤ 𝑢0 .
45 1. 𝑣1 = 5.
2. Initialisation : 5 ≥ 3 donc 𝑣1 ≥ 𝑣0 .
Hérédité : soit p un entier naturel tel que 𝑣𝑝+1 ≥ 𝑣𝑝 .
1 1
𝑣𝑝+2 = 𝑣𝑝+1 + 4 ≥ 𝑣𝑝 + 4 soit 𝑣𝑝+2 ≥ 𝑣𝑝+1 .
3 3
Conclusion : pour tout entier naturel n, 𝑣𝑛+1 ≥ 𝑣𝑛 .
3. La suite (𝑣𝑛 ) est croissante.
3
47 1. a. 𝑓 ′ (𝑥) = (1+2𝑥)2 > 0. f est strictement croissante sur [0 ; +∞[.
b. La fonction f est croissante sur [0 ; 1] donc si 𝑥 ∈ [0 ; 1], alors 𝑓(𝑥) ∈ [𝑓(0); 𝑓(1)], soit
𝑓(𝑥) ∈ [0 ; 1].
2. Initialisation : 𝑢0 = 0,7 donc 0 ≤ 𝑢0 ≤ 1.
Hérédité : soit p un entier naturel tel que 0 ≤ 𝑢𝑝 ≤ 1.
D’après la question précédente, 0 ≤ 𝑓(𝑢𝑝 ) ≤ 1, soit 0 ≤ 𝑢𝑝+1 ≤ 1.
Conclusion : pour tout entier naturel n, 0 ≤ 𝑢𝑛 ≤ 1.
2𝑢𝑛 (1−𝑢𝑛 )
3. 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 = .
1+2𝑢𝑛
2𝑢𝑛 ≥ 0, (1 − 𝑢𝑛 ) ≥ 0 et 1 + 𝑢𝑛 ≥ 0 donc 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 ≥ 0 donc la suite (𝑢𝑛 ) est croissante.
1(1+1)(2×1+1)
48 Initialisation : = 1 = 12 .
6
𝑝(𝑝+1)(2𝑝+1)
Hérédité : soit p un entier naturel non nul tel que ∑𝑝𝑘=1 𝑘 2 = .
6
𝑝+1 𝑝 𝑝(𝑝+1)(2𝑝+1)
Alors ∑𝑘=1 𝑘 2 = ∑𝑘=1 𝑘 2 + (𝑝 + 1)2 = + (𝑝 + 1)2 ,
6
(𝑝+1)(𝑝(2𝑝+1)+6(𝑝+1))
soit ∑𝑝+1 2
𝑘=1 𝑘 = .
6
Or, 𝑝(2𝑝 + 1) + 6(𝑝 + 1) = 2𝑝2 + 7𝑝 + 6 = (𝑝 + 2)(2𝑝 + 3).
(𝑝+1)(𝑝+2)(2𝑝+3)
Ainsi, ∑𝑝+1 2
𝑘=1 𝑘 = .
6
𝑛(𝑛+1)(2𝑛+1)
Conclusion : pour tout entier naturel non nul n, ∑𝑛𝑘=1 𝑘 2 = .
6
12 (1+1)2
49 Initialisation : = 1 = 13 .
4
𝑝2 (𝑝+1)2
Hérédité : soit p un entier naturel tel que ∑𝑝𝑘=1 𝑘 3 = .
4
𝑝2 (𝑝+1)2
Alors ∑𝑝+1 3 𝑝 3 3
𝑘=1 𝑘 = ∑𝑘=1 𝑘 + (𝑝 + 1) = + (𝑝 + 1)3,
4
(𝑝+1)2 (𝑝2 +4(𝑝+1)) (𝑝+1)2 (𝑝+2)2
soit ∑𝑝+1 3
𝑘=1 𝑘 = . Ainsi, ∑𝑝+1 3
𝑘=1 𝑘 = .
4 4
𝑛2 (𝑛+1)2
Conclusion : pour tout entier naturel non nul n, ∑𝑛𝑘=1 𝑘 3 = .
4
50 1. 𝑢0 = 2 ≠ 6 et 𝑢1 = 3 × 2 − 12 = −6 ≠ 6.
2. Soit p un entier naturel tel que 𝑢𝑝 = 6.
Alors 𝑢𝑝+1 = 3 × 6 − 12 = 6. Donc 𝑃(𝑛) est héréditaire.
3. Ici 𝑃(𝑛) est héréditaire mais 𝑃(0) et 𝑃(1) sont fausses, donc l’hérédité ne suffit pas pour
affirmer que 𝑃(𝑛) est vraie pour tout entier naturel n.
51 1. E ∪ F a 8 éléments, E × F a 15 éléments.
2. (2 + 3) × 2 = 10. Il y a 10 parcours différents.
52 2 × 4 × 6 = 54. Il y a 54 possibilités.
53 1. Réponse b. 2. Réponse c.
54 1. 45 = 1 024. 2. 44 = 256.
56 47 = 16 384.
57 1. 26 = 64. 2. 25 = 32. 3. 23 = 8.
58 1. 26 = 64. 2. 23 = 8.
59 1. 9 × 8 × 7 × 6 = 3 024.
2. a. 9 × 8 × 7 × 6 × 5 × 4 = 60 480.
b. 8 × 7 × 6 × 5 × 4 = 6 720.
60 1. 10 × 9 × 8 × 7 × 6 = 30 240.
2. a. 9 × 8 × 7 × 6 = 3 024.
b. 8 × 7 × 6 = 336.
61 1. 9! = 362 880.
2. a. 6! = 720. b. 4! = 24.
62 5! = 120.
64 1. Vrai.
2. Réciproque : « Si p est un n-uplet, alors p est une permutation de E ».
Cette réciproque est fausse. Par exemple, E = {1,2,3} et 𝑝 = (1,1,1).
65 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. a. 8 × 7 × 6 × 5 = 1 680.
b. Aucun, car il n’y a que 8 éléments dans E donc il ne peut pas y avoir plus de 8 éléments
distincts dans un uplet.
2. a.
Si 𝑘 > 8 Alors
𝑁← 0
Sinon
𝑁←1
Pour i allant de 9-k à 8
𝑁 ←𝑖×𝑁
Fin Pour
Fin Si
b.
c.
67 1. 10 2. (52) ou (53).
7! 7×6×5
68 1. (74) = (7−4)!4! = = 35.
3×2
7! 7×6
2. (75) = (7−5)!5! = = 21.
2
69 1. (39) = 84.
2. (49) = 126 et (59) = (9−4
9
) = (49) = 126.
3.
k 0 1 2 3 4 5 6
6 1 6 15 20 15 6 1
( )
𝑘
4. (15
9
) = 5 005.
70 1. (10
3
) = 120 et (10
7
) = (10
3
) = 120.
71 1. (52
8
) = 752 538 150.
2. a. (49) = 126. b. (83) = 56.
72 1. (12
3
) = 220. 2. (32) = 3.
3. a. 220 × 3 = 660. b. (11
2
) × (21) = 110.
(41)×(31) 4
74 1. Vrai. 2. Faux : (72)
= 7.
75 1. a. (50
5
) = 2 118 760. b. (12
2
) = 66.
1
2. 2 118 760×66 ≈ 7 × 10−9 .
76 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1.
2.
80 1. (86) = 28.
8! 8×7
2. (86) = 2!6! = = 28.
2
83 1.
84 1. a.
k 0 1 2 3 4 5 6 7 8
𝟖 1 8 28 56 70 56 28 8 1
( )
𝒌
b. (𝑥 + 1)8 = 𝑥 8 + 8𝑥 7 + 28𝑥 6 + 56𝑥 5 + 70𝑥 4 + 56𝑥 3 + 28𝑥 2 + 8𝑥 + 1.
2. (𝑥 + 2)5 = 𝑥 5 + 10𝑥 4 + 40𝑥 3 + 80𝑥 2 + 80𝑥 + 32.
85 1. 62 = 36.
2. 6.
3. 36 − 6 = 30.
86 10 × 10 × 9 × 4 = 3 600.
87 1. 28 = 256.
2. 26 = 64.
3. (83) = 56.
4. (85) + (86) + (87) + (88) = 93.
88 1. Les tirages sont réalisés successivement donc il y a un ordre. On remet la boule tirée
dans l’urne, donc il y a répétition possible.
89 On peut s’aider d’un arbre pour lequel chaque chemin est composé d’exactement trois A
et deux N, comme ci-dessous.
Il y a bien 10 chemins dans l’arbre.
90
92
1. 23. 2. 200.
4 1
93 1. 36 = 9 2. 7.
94
Issues 0 1 2 3 4 5
Probabilités 4 7 6 4 2 1
24 24 24 24 24 24
4
95 1. 13 = 28 561.
2. 13 × 12 × 11 × 10 = 17 160.
3. 30.
96 1. Faux : (20
2
) = 190.
2. Vrai : 11 × 11 + 22 × 3 = 187.
97 1. Réponses b et d. 2. Réponse b.
3. Réponse b. 4. Réponse c.
98 22.
99 1. a. 85 = 32 768. b. 5 × 3 × 83 = 7 680.
c. 5 × 5 × 382 = 4 800.
2. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut « on extrait les
cinq boules » au lieu de « on extrait les sept boules ».
a. 8 × 7 × 6 × 5 × 4 = 6 720.
b. 5 × 3 × 6 × 5 × 4 = 1 800.
c. 5 × 4 × 3 × 5 × 4 = 1 200.
(3 ) 3 (52)+(32) 13
3. 𝑃(𝐴) = (28) = 28 ; 𝑃(𝐵) = (82)
= 28.
2
102 Initialisation : 30 − 5 × 0 = 1 = 𝑢0 .
Hérédité : soit p entier naturel tel que 𝑢𝑝 = 3𝑝 − 5𝑝.
Alors 𝑢𝑝+1 = 3𝑢𝑝 + 10𝑝 − 5, soit 𝑢𝑝+1 = 3 × (3𝑝 − 5𝑝) + 10𝑝 − 5, soit 𝑢𝑝+1 = 3𝑝+1 −
5𝑝 − 5, soit 𝑢𝑝+1 = 3𝑝+1 − 5(𝑝 + 1).
Conclusion : pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 = 3𝑛 − 5𝑛.
107 55 440.
32×31×30×29×28
110 Faux : (32
5
)= .
5×4×3×2
114 4 élèves.
115 Initialisation : 2 × 50 + 1 = 3 = 𝑢0 .
Hérédité : soit p entier naturel tel que 𝑢𝑝 = 2 × 5𝑝 + 1.
Alors 𝑢𝑝+1 = 5(2 × 5𝑝 + 1) − 4 = 2 × 5𝑝+1 + 5 − 4, soit 𝑢𝑝+1 = 2 × 5𝑝+1 + 1.
Conclusion : pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 = 2 × 5𝑛 + 1.
116 Initialisation : 31 + 1 = 4 = 𝑣1 .
Hérédité : soit p entier naturel non nul tel que 𝑣𝑝 = 3𝑝 + 𝑝.
Alors 𝑣𝑝+1 = 3 × (3𝑝 + 𝑝) − 2𝑝 + 1, soit 𝑣𝑝+1 = 3𝑝+1 + 3𝑝 − 2𝑝 + 1,
soit 𝑣𝑝+1 = 3𝑝+1 + 𝑝 + 1.
Conclusion : pour tout entier naturel non nul n, 𝑣𝑛 = 3𝑛 + 𝑛.
117 (5000
2
) = 12 497 500.
6
122 Γ10 = (10−1+6
6
) = (15
6
) = 5 005.
0 0
1 1+√5 1−√5 1
124 1. [( ) −( ) ]= [1 − 1] = 0 = 𝑢0 et
√5 2 2 √5
1 1
1 1 + √5 1 − √5 1
[( ) −( ) ]= × √5 = 1 = 𝑢1 .
√5 2 2 √5
2. Un terme de la suite ne dépend pas uniquement du terme précédent, donc si on considère
que l’égalité est vraie à un rang p, alors ne peut pas en déduire qu’elle est vraie au rang p+1.
3. Si P(p) est vraie, alors on a directement que l’égalité est vraie pour up+1 et on a
𝑝+1 𝑝+1 𝑝 𝑝
1 1+√5 1−√5 1 1+√5 1−√5
𝑢𝑝+2 = [( ) −( ) ]+ [( ) −( ) ],
√5 2 2 √5 2 2
𝑝 𝑝
1 1+√5 1+√5 1−√5 1−√5
donc 𝑢𝑝+2 = [( ) (( ) + 1) − ( ) (( ) + 1)].
√5 2 2 2 2
𝑝 𝑝
1 1+√5 3+√5 1−√5 3−√5
Ainsi, 𝑢𝑝+2 = [( ) × −( ) × ].
√5 2 2 2 2
2 2
1+√5 3+√5 1−√5 3−√5
Or, en montrant que ( ) = et ( ) = , on a bien le résultat et la propriété
2 2 2 2
est héréditaire.
D’après la question 1, P(0) est vraie. Donc par le principe de récurrence, on a, pour tout entier
𝑛 𝑛
1 1+√5 1−√5
n, 𝑢𝑛 = [( ) −( ) ].
√5 2 2
𝑛−𝑝 𝑛−𝑝
127 ∑𝑘=0 (𝑝1) × (𝑛−𝑝
𝑘
) = 𝑝 ∑𝑘=0 (𝑛−𝑝
𝑘
) = 𝑝 × 2𝑛−𝑝 .
2. a. (48
9
) = 1 677 106 640. b. (48
3
) × (45
3
) × (42
3
) ≈ 2,8 × 1012 .
3. a. 21.
b. 21 possibilités commençant par 1, 21 possibilités commençant par 2 et 12 possibilités
commençant par 3. Au total, 53 possibilités de composer son tour de jeu.
(3)×(4) 1
130 1. a. (29)×(28) = 56.
2 2
(32)×(42)+3×6×4×4+(62)×(42) 11
b. (92)×(82)
= 28.
3×2×4×3 1
2. 9×8×7×6 = 56.
131 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. La probabilité que les 23 personnes aient tous une date d’anniversaire différente de celles
365×364×…×(365−22)
des autres est égale à . Donc la probabilité qu’au moins deux personnes
36523
365×364×…×(365−22)
aient la même date d’anniversaire est égale à 1 − , soit environ 0,51.
36523
2. Reprendre le raisonnement de la question 1. en remplaçant 23 par k.
3.
132 1. Il n’y a pas de dérangement possible à partir d’un ensemble à un seul élément.
2. (𝑒2 , 𝑒1 ) est le seul dérangement possible lorsque 𝑛 = 2. Donc 𝐷2 = 1.
3. a. Pour construire une permutation laissant k éléments invariants, on choisit d’abord ces
k éléments invariants : on a (𝑛𝑘) possibilités.
Les 𝑛 − 𝑘 éléments restants doivent être permutés de sorte qu’aucun ne soit invariant : on
procède donc à un dérangement de l’ensemble composé de ces 𝑛 − 𝑘 éléments. Or, il y a
𝐷𝑛−𝑘 dérangements possibles à partir de cet ensemble à 𝑛 − 𝑘 éléments.
134 62 980 000 Français ont un smartphone. De plus, le nombre de triplets « Groupe
Sanguin/Date d’anniversaire/Code PIN » est égal à 4 × 365 × 104 , soit 14 600 000.
62 980 000
Ainsi, 14 600 000 ≈ 4,3 < 5. Donc Guillaume a raison.
Travaux pratiques
TP1 Tirage aléatoire d’une permutation
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
A. Exemple
1. 3! = 6. Il y a 6 permutations de E : (1,2,3) ; (1,3,2) ; (2,1,3) ; (2,3,1) ; (3,1,2) et (3,2,1).
2. b. L’instruction de la ligne 7 permet d’obtenir aléatoirement l’indice d’un élément qui
compose la liste E, cette liste perdant un élément à chaque passage dans la boucle.
L’instruction de la ligne 8 permet d’ajouter l’élément de la liste E dont la position est obtenue
3.
3. a.
Sujet B
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. a. (10
3
) = 120. b. (73) = 35.
c. (72) × (31) = 63. d. (63) = 20.
2. Le nombre de manières de choisir simultanément 5 jetons parmi les 8 est (85).
D’après la formule de Pascal, (85) = (74) + (75) = 35 + 21 = 56.
3. a. 103 = 1 000. b. 73 = 343.
c. 72 × 3 × 3 = 441. d. 63 = 216.
4. 1 × 9 × 8 = 72.
Sujet C
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. 𝑛𝑛 .
2. a. Si on n’a qu’une case et qu’une boule, on est certain que la case contienne la boule.
Donc 𝑃1 = 1.
Si on a 2 cases et 2 boules, il y a 22 soit 4 rangements possibles.
2
Parmi eux, seulement 2 permettent d’avoir une boule dans chaque case. Donc 𝑃2 = 4 = 0,5.
b. Il y a 𝑛! façons de ranger les n boules dans des cases différentes (n choix pour la première
boule, n – 1 choix pour la deuxième etc.). Il y a au total 𝑛𝑛 façons de ranger les n boules dans
𝑛!
les n cases. Donc 𝑃𝑛 = 𝑛𝑛.
5!
c. 𝑃5 = 55 ≈ 0,04 au centième près.
3. a. L’appel fac(5) retourne 120.
b. La fonction fac, de paramètre n un entier naturel non nul, retourne le nombre 𝑛!.
c.
1
Conclusion : l’inégalité 𝑃𝑛 ≤ 2𝑛−1 est vraie pour tout entier naturel non nul n.
Sujet D
1. a. 35 = 243.
b. On a (52) possibilités pour placer les deux « B » ; puis (32) possibilités pour placer les deux
« A » et enfin la lettre « C » est placée à la place restante.
Donc le nombre de mots-réponses contenant deux « B », deux « A » et un « C » est égal à
(52) × (32), soit 30. On peut aussi raisonner avec un arbre partiel : 12 mots commencent par
« A » donc 12 commencent par « B » et enfin 6 commencent par « C ».
2. Le nombre de mots-réponses ne contenant aucune bonne réponse est égal à 25 , soit 32.
32
Donc 𝑃(𝐸) = 243 ≈ 0,13.
Le nombre de mots-réponses contenant exactement une bonne réponse est égal à (51) × 24 ,
80
soit 80. Donc 𝑃(𝐹) = 243 ≈ 0,33.
Sujet E
Partie A.
1. Réponse c. 2. Réponse d.
Partie B.
1. Réponse c. 2. Réponse b.
Partie C.
Réponses a. et d.
Sujet F
1. Affirmation 1 : Faux, car il y a 105 codes possibles.
Affirmation 2 : Vrai
Affirmation 3 : Faux, il y en a 9 × 1 × 8 × 7 × 6, soit 3 024.
2. Affirmation 4 : Vrai (faire un diagramme).
Sujet G
1. 55 520. 2. (62) = 15.
3. a. 6! = 720. b. 5! = 120.
4. a. (15
5
) = 3 003. b. (14
4
) = 1 001.
5. a. =B15+A15. b. La cellule F16.
Chapitre 2
Vecteurs, droites et plans de l’espace
Le premier thème concerne la géométrie non repérée. Il s’agit tout d’abord d’étendre
à l’espace la notion de vecteur, de rappeler les propriétés usuelles définies en classe de
Seconde et d’introduire la notion de combinaison linéaire de vecteurs. La partie suivante
caractérise vectoriellement les droites et les plans de l’espace, avec pour ces derniers, la
caractérisation d’une base. Cette partie se conclut en définissant la notion de vecteurs
coplanaires. Enfin, la troisième partie est consacrée aux positions relatives de droites et de
plans de l’espace et particulièrement au parallélisme.
3 Exercices, TP et algorithmes
Nous avons essayé d’équilibrer les différents types d’exercices pour ce chapitre :
lecture graphique, construction, décomposition, calculs et raisonnements sont abordés. La
notion de vecteurs de l’espace est bien évidemment centrale dans ce chapitre et vous
trouverez de nombreux exercices y faisant appel.
La page TP permettra aux élèves de faire apparaître et visualiser la section d’un cube
par un plan. Enfin, deux exercices présentent des algorithmes permettant de prouver que
deux vecteurs de l’espace sont colinéaires, puis que trois vecteurs de l’espace sont
coplanaires.
5 1. Réponses a. et d.
2. Réponses b., c. et d.
⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
6 AD ⃗⃗⃗⃗⃗ + CD
BC = AC ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
BC = AC ⃗⃗⃗⃗⃗ = AC
BC + CD ⃗⃗⃗⃗⃗ + BD
⃗⃗⃗⃗⃗ .
7 a.
KL = ⃗⃗⃗⃗⃗
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ KA + ⃗⃗⃗⃗⃗
AL
−4 1 1
⃗⃗⃗⃗⃗ =
KL ⃗⃗⃗⃗⃗
BC + AC ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
BA
3 2 2
−4 1
⃗⃗⃗⃗⃗
KL = ⃗⃗⃗⃗⃗
BC + ⃗⃗⃗⃗⃗
BC
3 2
5
⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
KL BC.
6
⃗⃗⃗⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗
Les vecteurs KL BC sont colinéaires, donc les droites (KL) et (BC) sont parallèles.
8 a. 2 𝑢⃗ (4 ; 6).
b. 𝑤
⃗⃗ (–14 ; 29).
9 a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(–2 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(4 ; –6).
b. AC = –2 AB, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐴𝐵 et ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 sont colinéaires.
Par conséquent, les points A, B et C sont alignés.
C Activités
Activité 1 Alignement de trois points dans l’espace
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = EF ⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗DC = ⃗⃗⃗⃗⃗ HG
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
b. AB + CG = DG = AF ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
3. a. DC ⃗⃗⃗⃗⃗ + BG ⃗⃗⃗⃗⃗ = A𝐆 ⃗⃗⃗⃗⃗
D𝐁 = ⃗⃗⃗⃗⃗
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ DA + ⃗⃗⃗⃗⃗ DC
c. H𝐁 = HE + HG + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ HD
d. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG + FD ⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 B𝐂 ⃗⃗⃗⃗⃗
4. a.
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
BR = ⃗⃗⃗⃗
BF + ⃗⃗⃗⃗⃗
FR = ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
BF + FE GB = ⃗⃗⃗⃗⃗
GE
5. a.
b. ⃗⃗⃗⃗
BS = ⃗⃗⃗⃗⃗
BA + ⃗⃗⃗⃗
AS = ⃗⃗⃗⃗⃗
BA + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = ⃗⃗⃗⃗⃗
AC
⃗⃗⃗⃗⃗ = EG
6. AC ⃗⃗⃗⃗⃗ donc BS
⃗⃗⃗⃗ = RB
⃗⃗⃗⃗⃗ . On en déduit que B est le milieu de [RS].
1. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC est un représentant du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
AD dont les extrémités sont dans le plan (BCH).
⃗⃗⃗⃗⃗
2. CH est un représentant du vecteur KF ⃗⃗⃗⃗⃗ dont les extrémités sont dans le plan (BCH).
3. J est le milieu de [CH], donc J est un point du plan (BCH).
E et H sont des points du plan (BCH), leur milieu I est donc aussi un point de ce plan.
1
4. a. 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD est un représentant du vecteur ⃗⃗⃗
EI dont les extrémités sont dans le plan (ADG).
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG est un vecteur de la direction du plan (ADG) car A et G sont des points de ce plan.
J est le centre du carré CDHG, donc J est le milieu de [GD]. Comme G et D sont des points du
plan (ADG), JD ⃗⃗⃗⃗ = 1 GD
⃗⃗⃗⃗⃗ est un vecteur de la direction de ce plan.
2
Par conséquent, les vecteur ⃗⃗⃗ JD et ⃗⃗⃗⃗⃗
EI, ⃗⃗⃗⃗ AG sont coplanaires.
D Exercices
Automatismes et rituels
1 a. 75 min b. 4,5 h c. 45 min d. 0,2 h
3
2 a. x = 2 b. x = 5 c. x = –4 d. x = 0
1
4 a. 1 b. e10 c. 4 d. 5 × 23 = 40
−4
5 a. f ’(x) = 4x3 – 6x2 + 6 b. g’(x) = 𝑥²
−17 −5 4 1
6 a. A = b. B = × −5 = 6
9 24
b.
1
c. Δ = 64, les racines sont 3 et 3. On en déduit le tableau suivant :
9 1. L’image de 0 par f est l’ordonnée du point d’intersection entre C et l’axe des ordonnées.
2. Les antécédents de 3 sont les abscisses des points de C qui ont pour ordonnée 3.
3. f ’(4) est le coefficient directeur de la tangente à C au point d’abscisse 4, c’est-à-dire le
coefficient directeur de T.
4. Le signe de f est donné par la position de C par rapport à l’axe des abscisses. Lorsque C est
au-dessus de cet axe, f est positive. Lorsque C est en-dessous de cet axe, f est négative.
5. Le signe de f’ est lié aux variations de f. Lorsque f est croissante, f ’ est positive. Lorsque f
est décroissante, f ’ est négative.
11 1. f ’(x) = 3x2 + 1.
2. On a f ’(–2) = 13 et f (–2) = –9.
La tangente à C au point d’abscisse –2 a pour équation y = 13x + 17.
13 a. Vrai b. Vrai
c. Faux d. Faux
e. Vrai f. Faux
14 1. La somme des probabilités P(X = k) doit être égale à 1, donc on résout l’équation
d’inconnue a : 0,38 + 0,35 + 0,15 + a + 0,03 = 1.
2. L’espérance de X est la somme E(X) = ∑5𝑘=1 𝑘 × P(𝑋 = 𝑘).
3. L’écart-type est la racine carrée de la variance V(X), avec :
V(X) = ∑5𝑘=1[𝑘 − 𝐸(𝑋)]2 × P(𝑋 = 𝑘).
B𝐇 = ⃗⃗⃗⃗⃗
16 1. ⃗⃗⃗⃗⃗ BA + ⃗⃗⃗⃗⃗
BG 2. ⃗⃗⃗⃗⃗ BE + ⃗⃗⃗⃗⃗
B𝐀 = ⃗⃗⃗⃗⃗ DC + ⃗⃗⃗⃗⃗
GD
⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
3. C𝐅 = CA + DG ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
4. A𝐇 = AC + DE + ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ BD
17 1. 2.
4
18 1. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = −3 AC 2. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 3 AC
19 a. AF ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + AE ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = AD
b. AH ⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
⃗⃗⃗⃗⃗ c. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + AD⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
⃗⃗⃗⃗⃗
EB = ⃗⃗⃗⃗⃗
d. ⃗⃗⃗⃗⃗ AB – ⃗⃗⃗⃗⃗
AE e. ⃗⃗⃗⃗
CF = – ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE BH = – ⃗⃗⃗⃗⃗
f. ⃗⃗⃗⃗⃗ AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE
21 1. Faux, il existe trois réels a, b et c non tous nuls tels que a 𝑢 ⃗⃗ = ⃗0, donc 𝑢
⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗,𝑣
et 𝑤
⃗⃗ sont coplanaires.
2. Vrai.
22 𝑢
⃗ = 3 𝑣, donc 𝑢
⃗ et 𝑣 sont colinéaires.
23 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗ BC = – ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AC, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, ⃗⃗⃗⃗⃗
AC et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC sont coplanaires.
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
2. a. BC est un représentant du vecteur AD dans le plan (BCG).
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC, CF ⃗⃗⃗⃗ et BG
⃗⃗⃗⃗⃗ sont des vecteurs de la direction du plan (BCG). Puisque AD ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
BC, les
vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ AD, ⃗⃗⃗⃗
CF et ⃗⃗⃗⃗⃗
BG sont coplanaires.
3. E n’est pas un point du plan (ABC), donc ⃗⃗⃗⃗⃗ BE n’est pas un vecteur de la direction du plan
(ABC). De plus, ⃗⃗⃗⃗⃗ AB et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC ne sont pas colinéaires et forment une base de (ABC).
Par conséquent, ⃗⃗⃗⃗⃗ BE, ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC ne sont pas coplanaires.
24 1. Il existe trois réels x, y et z non tous nuls tels que x ⃗⃗⃗⃗⃗ BD + z ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + y ⃗⃗⃗⃗⃗ CD = 0, donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AD, ⃗⃗⃗⃗⃗
BD
⃗⃗⃗⃗⃗
et CD sont coplanaires.
2. a. BD ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
BA + AD ⃗⃗⃗⃗⃗ = – ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + AD⃗⃗⃗⃗⃗ .
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
CD = ⃗⃗⃗⃗⃗ CA + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD = – ⃗⃗⃗⃗⃗
AC + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
⃗⃗⃗⃗⃗
c. L’égalité – 3 AD + 5 BD ⃗⃗⃗⃗⃗ + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
CD = ⃗0 équivaut à – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD – 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD – 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD = ⃗0,
5 1
soit à 4 ⃗⃗⃗⃗⃗AD = 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC, donc à ⃗⃗⃗⃗⃗ AD = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AC.
4 2
3 3 3
29 1. ⃗JI = ⃗⃗⃗
JA + ⃗⃗⃗
AI = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
BA + ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
BC.
4
2. ⃗JI et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC sont colinéaires. On en déduit que (IJ) est parallèle au plan (BCD).
⃗ (3 ; –2 ; 1).
31 1. 𝑢
2. A(–2 ; 1 ; 3).
33 𝑤
⃗⃗ (6 ; 2 ; 5).
34 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(–10 ; 8 ; 2).
2. I(4 ; 0 ; 2).
36 On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(1 ; 0 ; 2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
DC(1 ; 0 ; 2).
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
Puisque AB = DC, le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
39 Vrai.
41 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB (7 ; 3 ; –10).
𝑥 = −3 + 7 𝑡
2. { 𝑦 = 2 + 3 𝑡 avec tIR.
𝑧 = 8 − 10𝑡
−8
3. a. xC = –11, donc t = 7 .
−8 −10 −8 136
b. yC = 2 + 3 × = et zC = 8 – 10 × ( 7 ) = .
7 7 7
⃗ (–3 ; 9 ; –12).
42 1. Un vecteur directeur de d est 𝑢
Un vecteur directeur de d’ est 𝑣(2 ; –6 ; 8).
–3
2. On a 𝑢
⃗ = ⃗ et 𝑣 sont colinéaires. Dès lors, les droites d et d’ sont parallèles.
𝑣, donc 𝑢
2
Pour s’entraîner
43
44
2 1
45 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
CG = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
CD + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
CB.
b.
1
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AH = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
b.
46 1. et 2.
⃗⃗⃗⃗ = 2 ⃗⃗⃗
3. a. FE JA + 2 ⃗⃗⃗
AI = 2 ⃗JI = ⃗⃗⃗⃗⃗
BC. Par conséquent, BCEF est un parallélogramme.
b. En raisonnant de manière analogue, DCGF est aussi un parallélogramme. Dès lors les
diagonales [BE], [CF] et [DG] se coupent en leur milieu.
4 2
BK = 7 ⃗⃗⃗⃗⃗
47 1. ⃗⃗⃗⃗⃗ BA + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
BC.
⃗ = 3 EA
2. IJ ⃗⃗⃗⃗⃗ – 1 EH
⃗⃗⃗⃗⃗ .
4 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
48 1. AM AB +
1
⃗⃗⃗⃗⃗ + 2 AE
AD ⃗⃗⃗⃗⃗ .
7 3 3
1 1
2. ⃗⃗⃗⃗⃗
AO = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
AB + 2 AD ⃗⃗⃗⃗⃗ .
1 1
49 ⃗IJ = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
BC.
2 1 2
50 1. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AM = 7 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
1 1
2. ⃗⃗⃗⃗⃗
AO = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
50 1. 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AK = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
BK
= ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + BD ⃗⃗⃗⃗⃗ + BE ⃗⃗⃗⃗⃗
= ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + AD ⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
⃗⃗⃗⃗⃗ .
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = 3 AK⃗⃗⃗⃗⃗ , donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ AG et AK⃗⃗⃗⃗⃗ sont colinéaires.
On en déduit que les points A, K et G sont alignés.
51 1.
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AC + ⃗⃗⃗⃗⃗ AE.
b. KG = KA + ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ AG
−3
= 2 AC ⃗⃗⃗⃗⃗ + AC
⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
⃗⃗⃗⃗⃗
−1
= ⃗⃗⃗⃗⃗
AC + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
2
−3
KL = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
3. a. ⃗⃗⃗⃗⃗ AC + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE .
KL = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ KL et ⃗⃗⃗⃗⃗
KG, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ KG sont colinéaires. On en déduit que les points K, G et
L sont alignés.
⃗⃗⃗⃗ = −1 ⃗⃗⃗⃗⃗
52 1. EF
1
AB + 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
1
AC + 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
4
−3 3
⃗⃗⃗⃗⃗ =
2. EG ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + 3 AD
AB + 4 AC ⃗⃗⃗⃗⃗ .
4 4
⃗⃗⃗⃗⃗ = 3 EF
3. EG ⃗⃗⃗⃗⃗ et EF
⃗⃗⃗⃗ , donc les vecteurs EG ⃗⃗⃗⃗ sont colinéaires. On en déduit que les points E, F et
G sont alignés.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
54 EM = ⃗⃗⃗⃗⃗
ED + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗DM
= ED + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ DC + ⃗⃗⃗⃗ FC
= 2 ED⃗⃗⃗⃗⃗ + 2 DC ⃗⃗⃗⃗⃗
= 2 ⃗⃗⃗⃗
EC.
Puisque les vecteurs EM ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗
EC sont colinéaires, on en déduit que E, C et M sont alignés.
La proposition est vraie.
2 1 1 3 1
55 1. On a ⃗⃗⃗
AI = ⃗⃗⃗⃗⃗
AE + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD ; ⃗⃗⃗
AJ = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE et ⃗⃗⃗⃗⃗
AK = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 6 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
1 2
2. D’une part, ⃗IJ = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
⃗⃗⃗ = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
D’autre part, IK
1
⃗⃗⃗⃗⃗ – AE
AB – 2 AD ⃗⃗⃗⃗⃗ .
2
3
Puisque ⃗⃗⃗
IK = 2 ⃗IJ, les vecteurs ⃗⃗⃗
IK et ⃗IJ sont colinéaires et les points I, J et K sont alignés.
1
56 D’une part, ⃗⃗⃗⃗⃗
GE = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB – ⃗⃗⃗⃗⃗
AC + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
1 1 1
FH = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
D’autre part, ⃗⃗⃗⃗⃗ DC + k ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = k ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC – 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
⃗⃗⃗⃗⃗ sont colinéaires lorsque k = −1 ×
⃗⃗⃗⃗⃗ et FH
GE
1
=
−1
.
2 2 4
⃗
57 1. IJ ⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗
= IA AJ
−1 1
= 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC car I et J sont les milieux respectifs de [AB] et [AC]
2. ⃗⃗⃗⃗⃗
KL = ⃗⃗⃗⃗⃗
KD + ⃗⃗⃗⃗⃗ DL
1
= 2 AD⃗⃗⃗⃗⃗ + 1 DC
⃗⃗⃗⃗⃗ car K et L sont les milieux respectifs de [AD] et [DC]
2
1
= ⃗⃗⃗⃗⃗
AC
2
−1
⃗ – KL
3. IJ ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ , KL
AB, donc les vecteurs IJ AB sont coplanaires.
2
58 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + AC⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 AI
⃗⃗⃗ .
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AF − 2 ⃗⃗⃗ AI = ⃗⃗⃗⃗⃗ AF − ⃗⃗⃗⃗⃗
AB − ⃗⃗⃗⃗⃗
AC
= ⃗⃗⃗⃗⃗
AF + ⃗⃗⃗⃗⃗
BA + ⃗⃗⃗⃗⃗
CA
= ⃗⃗⃗⃗
BF + ⃗⃗⃗⃗⃗
CA
= ⃗⃗⃗⃗⃗
AE + ⃗⃗⃗⃗⃗
CA
= CE⃗⃗⃗⃗
= 2 CD ⃗⃗⃗⃗⃗ .
⃗ = 1 CD
b. I et J sont les milieux respectifs des segments [BC] et [BD], donc IJ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
2
On en déduit que 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
CD = 4 ⃗IJ et ⃗⃗⃗⃗⃗
AF − 2 ⃗⃗⃗ AI = 4 ⃗IJ.
c. L’égalité précédente équivaut à ⃗⃗⃗⃗⃗AF = – 2 ⃗⃗⃗
AI + 4 ⃗⃗⃗
AJ, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AF, ⃗⃗⃗
AI et ⃗⃗⃗
AJ sont
coplanaires.
3 1
59 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB − ⃗⃗⃗⃗⃗
AC, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AE, ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC sont coplanaires.
2
4
60 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
MN = −2AB AC ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ +
MP = −2AB ⃗⃗⃗⃗⃗
AD et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + 18 ⃗⃗⃗⃗⃗
MQ = −6AB AC − 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
3
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 3 MP
2. a. 6MN ⃗⃗⃗⃗⃗⃗= −12 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 18 AC ⃗⃗⃗⃗⃗ + 6 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB − 4 AD⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ + 18 AC
= −6AB ⃗⃗⃗⃗⃗ − 4 AD⃗⃗⃗⃗⃗ .
b. Puisque ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MQ = 6 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MN – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MP, les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ MP et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MN, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ MQ sont coplanaires.
61 1. On démontre que les points A, E et F sont alignés en prouvant, par exemple, que les
vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AE et ⃗⃗⃗⃗⃗
AF sont colinéaires.
2. On démontre que les droites (FG) et (DE) sont parallèles en prouvant, par exemple, que les
vecteurs ⃗⃗⃗⃗
FG et ⃗⃗⃗⃗⃗
DE sont colinéaires.
3. D’après les deux questions précédentes, les points A, D, E, F et G sont coplanaires.
63 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
EG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗ EB = ⃗⃗⃗⃗⃗
AD ; ⃗⃗⃗⃗⃗ AB − ⃗⃗⃗⃗⃗
AE et ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
EK = 6AB AD − 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
2. EK = 2EG + 4 EB. ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ , EG
3. Les vecteurs EK ⃗⃗⃗⃗⃗ et EB
⃗⃗⃗⃗⃗ sont coplanaires.
4. Les points B, E, G et K sont donc coplanaires.
64 1. a. K est le milieu de [AE] et [AE] est un segment du plan (ADH), donc K appartient à
(ADH).
1
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
b. (AD KH = ⃗⃗⃗⃗⃗
AE) est une base de (ADH) et ⃗⃗⃗⃗⃗ AD + ⃗⃗⃗⃗⃗ KH et ⃗⃗⃗⃗⃗
AE, donc ⃗⃗⃗⃗⃗ AD ne sont pas
2
colinéaires.
c. (AD) et (KH) sont sécantes.
2. On suppose que (AL) et (KH) sont parallèles.
Dès lors (AL) et (KH) sont coplanaires, ce qui signifie que L est un point du plan (ADH).
Ceci est absurde car ABCDEFGH est un cube et L est un point de (ABE) qui n’appartient pas
à la droite (AE). Par conséquent, (AL) et (KH) ne peuvent pas être parallèles.
2
65 1. On a ⃗IJ = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
BC, donc les vecteurs ⃗IJ et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC sont colinéaires.
On en déduit que les droites (IJ) et (BC) sont parallèles.
2
2. Puisque ABCD est un parallélogramme, ⃗IJ = ⃗⃗⃗⃗⃗AD. On en déduit que AIDJ est un trapèze.
3
Dès lors, les droites (AJ) et (DI) sont sécantes.
1
67 1. On a ⃗⃗⃗⃗
BF = 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
BD, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗
BF et ⃗⃗⃗⃗⃗
BD sont colinéaires.
On en déduit que F est un point de la droite (BD).
1
2. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
BG = 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
BA, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
BG et ⃗⃗⃗⃗⃗
BA sont colinéaires.
On en déduit que G est un point de la droite (AB).
1
3. On a ⃗⃗⃗⃗
FG = 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
DA, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗
FG et ⃗⃗⃗⃗⃗
DA sont colinéaires.
On en déduit que les droites (FG) et (AD) sont parallèles.
68 1. et 2.
3. E et F sont deux points dans le plan (SAC), donc les droites (EF) et (AC) sont soit sécantes,
⃗⃗⃗⃗ = −1 SA
soit parallèles. Or EF ⃗⃗⃗⃗ + 3 SC
⃗⃗⃗⃗ et AC
⃗⃗⃗⃗⃗ = − SA
⃗⃗⃗⃗ + SC
⃗⃗⃗⃗ .
3 4
⃗⃗⃗⃗ = k ⃗⃗⃗⃗⃗
Il n’existe pas de réel k tel que EF AC, donc les droites (EF) et (AC) sont sécantes.
1 1 1
69 1. ⃗IJ = ⃗⃗⃗
IS + ⃗⃗⃗
SJ = 3 ⃗⃗⃗⃗
AS + 3 ⃗⃗⃗⃗
SB = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, donc les vecteurs ⃗IJ et ⃗⃗⃗⃗⃗
AB sont colinéaires.
⃗⃗⃗ = JS
JK ⃗⃗⃗⃗ = 1 BS
⃗⃗⃗ + SK ⃗⃗⃗⃗ + 1 SC
⃗⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC, donc les vecteurs JK BC sont colinéaires.
3 3 3
⃗ et JK
2. IJ ⃗⃗⃗ sont deux vecteurs non colinéaires du plan (IJK) qui sont respectivement égaux à
1 1
⃗⃗⃗⃗⃗
AB et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC, deux vecteurs non colinéaires du plan (ABC). On en déduit que les plans (IJK)
3 3
et (ABC) sont parallèles.
1
70 1. D’une part, ⃗⃗⃗
AI = ⃗⃗⃗⃗⃗ EI = ⃗⃗⃗⃗⃗
AE + ⃗⃗⃗ AE + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
1
D’autre part, ⃗⃗⃗⃗
BL = ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
BF + FL AE + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
1 1
JK = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
71 On a ⃗⃗⃗ AD et ⃗⃗⃗
IK = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
BD.
⃗⃗⃗
JK et ⃗⃗⃗ IK sont deux vecteurs non colinéaires du plan (IJK) qui sont respectivement égaux à
1 1
⃗⃗⃗⃗⃗
AB et BD ⃗⃗⃗⃗⃗ , deux vecteurs non colinéaires du plan (ABD). On en déduit que les plans (IJK)
2 2
et (ABD) sont parallèles.
72 On a ⃗⃗⃗⃗⃗ BE = ⃗⃗⃗⃗⃗
CH et ⃗⃗⃗⃗⃗
BD = ⃗⃗⃗⃗⃗
FH.
⃗⃗⃗⃗⃗ et BD
BE ⃗⃗⃗⃗⃗ sont deux vecteurs non colinéaires du plan (BED) qui sont respectivement égaux à
⃗⃗⃗⃗⃗ et FH
CH ⃗⃗⃗⃗⃗ , deux vecteurs non colinéaires du plan (CFH). On en déduit que les plans (BED) et
(CFH) sont parallèles.
73 1.
MN = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗MG + ⃗⃗⃗⃗⃗ GE + ⃗⃗⃗⃗⃗ EN
−1
= 4 GF ⃗⃗⃗⃗ + GF ⃗⃗⃗⃗ + GH ⃗⃗⃗⃗⃗ − 3 GF⃗⃗⃗⃗
4
⃗⃗⃗⃗⃗
= GH
⃗⃗⃗⃗⃗ + AH
⃗⃗⃗⃗⃗ = PA
3. D’une part, PH ⃗⃗⃗⃗⃗ = −1 AD⃗⃗⃗⃗⃗ + AH
⃗⃗⃗⃗⃗ .
4
−1
D’autre part, ⃗⃗⃗⃗⃗
AN = ⃗⃗⃗⃗⃗ HN = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AH + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
AH.
On en déduit que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗MN = ⃗⃗⃗⃗⃗
GH et ⃗⃗⃗⃗⃗
AN = ⃗⃗⃗⃗⃗
PH.
⃗⃗⃗⃗⃗ sont deux vecteurs non colinéaires du plan (AMN) qui sont respectivement égaux à
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ et AN
MN
⃗⃗⃗⃗⃗
GH et ⃗⃗⃗⃗⃗
PH, deux vecteurs non colinéaires du plan (GHP). On en déduit que les plans (AMN) et
(GHP) sont parallèles.
De plus, G n’est pas un point de (BCE) car G appartient au plan (ADF) qui est strictement
parallèles au plan (BCE). Dès lors, les plans (BCE) et (ECG) sont sécants selon la droite (EC).
⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 EC
3. a. GH ⃗⃗⃗⃗ .
3
b. Les droites (GH) et (EC) sont parallèles donc les points G, H, E et C sont coplanaires,
c’est-à-dire H est un point du plan (ECG).
c. G et H sont des points communs aux plans (DFA) et (ECG).
De plus, E n’est pas un point de (AFD) car E appartient au plan (BCE) qui est strictement
parallèles au plan (AFD). Dès lors, les plans (BCE) et (AFD) sont sécants selon la droite
(GH).
4. Les droites d1 et d2 sont parallèles d’après les questions 3. a. et 3. b.
75 1. (AB) est parallèles à (DC), et (DC) est incluse dans le plan (SDC), donc (AB) est
parallèle au plan (SDC).
2. S est un point commun aux plans distincts (SAB) et (SCD), donc (SAB) et (SCD) sont
sécants.
3. a. Les droites d et (AB) sont parallèles et S est un point de d, donc d est une droite du plan
(SAB).
b. En raisonnant de manière analogue, d est une droite du plan (SCD).
Par conséquent, les plans (SAB) et (SCD) sont sécants selon la droite d.
1 1
76 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
EG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗ EJ = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD ; ⃗⃗⃗ AD − ⃗⃗⃗⃗⃗ IF = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE et ⃗⃗⃗ AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
1
2. 4 EG ⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ − EJ AB +
1
⃗⃗⃗⃗⃗ − 1 AD
AD ⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ + AE ⃗⃗⃗⃗⃗ = IF
AB + AE ⃗⃗⃗ .
4 4 4 4
3. Les vecteurs IF ⃗⃗⃗⃗⃗ et EJ
⃗⃗⃗ , EG ⃗⃗⃗ sont donc coplanaires.
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗
Or (EG EJ) est une base du plan (EGJ), donc la droite (IF) est parallèle au plan (EGJ).
1 1
80 1. a. ⃗⃗⃗
AI = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC.
1
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = ⃗⃗⃗
AI − 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
BC.
⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
2. a. AJ AB +
1
⃗⃗⃗⃗⃗ + AD
AC ⃗⃗⃗⃗⃗ .
2 2
⃗⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
b. DI
1
⃗⃗⃗⃗⃗ − AD
AB + 2 AC ⃗⃗⃗⃗⃗ .
2
84 1. Les vecteurs 𝑢 ⃗ et 𝑣 sont non nuls tels que 𝑦𝑣⃗ = 0 mais 𝑦𝑢⃗ ≠ 0, donc 𝑢⃗ et 𝑣 ne sont pas
colinéaires : ils forment une base de plan.
−5𝑎 + 𝑏
2. Les coordonnées du vecteur a 𝑢 ⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗⃗ sont ( 6𝑎 + 3𝑐 ).
−4𝑎 − 2𝑏 + 5𝑐
−5𝑎 + 𝑏 = 0 𝑏 = 5𝑎
L’égalité a 𝑢⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗
⃗⃗ = 0 équivaut à { 6𝑎 + 3𝑐 = 0 soit à { 𝑐 = −2𝑎
−4𝑎 − 2𝑏 + 5𝑐 = 0 −4𝑎 − 10𝑎 − 10𝑎 = 0
𝑏=0
donc à { 𝑐 = 0 .
𝑎=0
Dès lors, 𝑢 ⃗⃗ ne sont pas coplanaires : ils forment une base de l’espace.
⃗ , 𝑣 et 𝑤
3
86 𝑢
⃗ = 2 𝑣, donc 𝑢
⃗ et 𝑣 sont colinéaires : ils ne forment pas une base de plan.
87 Les vecteurs 𝑢 ⃗ et 𝑣 sont non nuls tels que 𝑧𝑣⃗ = 0 mais 𝑧𝑢⃗ ≠ 0, donc 𝑢
⃗ et 𝑣 ne sont pas
colinéaires : ils forment une base de plan.
𝑎 = −2𝑏
𝑎 + 2𝑏 = 0 1
89 L’égalité a 𝑢 ⃗⃗ = ⃗0 équivaut à { 𝑏 − 4𝑐 = 0 soit à {
⃗ +b𝑣+c𝑤 𝑐 = 4𝑏 donc à
1
3𝑎 − 2𝑐 = 0 −6𝑏 − 𝑏 = 0 2
𝑏=0
{𝑐 = 0.
𝑎=0
Dès lors, 𝑢 ⃗⃗ ne sont pas coplanaires : ils forment une base de l’espace.
⃗ , 𝑣 et 𝑤
3𝑎 + 6𝑏 + 2𝑐 = 0
90 L’égalité a 𝑢 ⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗⃗ = ⃗0 équivaut à { 3𝑎 − 2𝑐 = 0 soit à
3𝑎 + 9𝑏 + 2𝑐 = 0
2
3 × 3 𝑐 + 6𝑏 + 2𝑐 = 0 6𝑏 + 4𝑐 = 0 𝑏=0
2 2
𝑎 = 3𝑐 c’est-à-dire à { 𝑎 = 3 𝑐 donc à {𝑎 = 0.
2 9𝑏 + 4𝑐 = 0 𝑐=0
3 × 𝑐 + 9𝑏 + 2𝑐 = 0
{ 3
Dès lors, 𝑢 ⃗⃗ ne sont pas coplanaires : ils forment une base de l’espace.
⃗ , 𝑣 et 𝑤
3𝑏 + 𝑐 = 0
91 L’égalité a 𝑢⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗⃗ = ⃗0 équivaut à { 3𝑎 + 9𝑏 = 0 soit à
2𝑎 + 18𝑏 + 4𝑐 = 0
𝑐 = −3𝑏 𝑐 = −3𝑏
{ 𝑎 = −3𝑏 donc à {𝑎 = −3𝑏.
−6𝑏 + 18𝑏 − 12𝑏 = 0 0=0
En choisissant b = 1, l’égalité devient –3 𝑢 ⃗ +𝑣–3𝑤 ⃗⃗ = ⃗0.
Dès lors, 𝑢 ⃗⃗ sont coplanaires : ils ne forment pas une base de l’espace.
⃗ , 𝑣 et 𝑤
−1
𝑐= 𝑎
𝑎 + 2𝑐 = 0 2
1
92 L’égalité a 𝑢 ⃗⃗ = ⃗0 équivaut à {−𝑎 + 2𝑏 = 0 soit à
⃗ +b𝑣+c𝑤 𝑏 = 2𝑎 donc à
𝑏+𝑐 =0 −1 1
𝑎 + 2𝑎 = 0
{2
−1
𝑐= 𝑎
2
{ 𝑏 = 𝑎 . En choisissant a = 2, l’égalité devient 2 𝑢
1 ⃗ +𝑣–𝑤 ⃗⃗ = ⃗0.
2
0=0
Dès lors, 𝑢 ⃗⃗ sont coplanaires : ils ne forment pas une base de l’espace.
⃗ , 𝑣 et 𝑤
93 On constate que 𝑣 – 𝑢
⃗ =𝑤
⃗⃗ , donc 𝑢
⃗ , 𝑣 et 𝑤
⃗⃗ sont coplanaires : ils ne forment pas une base
de l’espace.
5𝑏 + 2𝑐 = 0
94 L’égalité a 𝑢
⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗⃗ = ⃗0 équivaut à {4𝑎 + 𝑏 − 6𝑐 = 0 soit à
−5𝑎 + 3𝑏 = 0
−5
𝑐= 2 𝑏
𝑐=0
3 −5
4 × 5 𝑏 + 𝑏 − 6 × ( 2 𝑏) = 0 donc à {𝑏 = 0.
3 𝑎=0
{ 𝑎 = 𝑏
5
Dès lors, 𝑢 ⃗⃗ ne sont pas coplanaires : ils forment une base de l’espace.
⃗ , 𝑣 et 𝑤
𝑏−𝑐 =0 𝑏=𝑐
97 1. L’égalité a 𝑢 ⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗⃗ = ⃗0 équivaut à { 𝑎 + 𝑏 + 3𝑐 = 0 soit à { 𝑎 + 4𝑐 = 0 donc
2𝑎 + 30𝑏 + 𝑐 = 0 2𝑎 + 31𝑐 = 0
𝑏=0
à {𝑎 = 0.
𝑐=0
Dès lors, 𝑢 ⃗⃗ ne sont pas coplanaires : ils forment une base de l’espace.
⃗ , 𝑣 et 𝑤
2. On recherche trois réels a, b et c tels que 𝑡 = a 𝑢 ⃗ +b𝑣+c𝑤 ⃗⃗ .
𝑏−𝑐 =5 𝑏 = 5+𝑐
On résout le système { 𝑎 + 𝑏 + 3𝑐 = −4 qui équivaut à { 𝑎 + 5 + 𝑐 + 3𝑐 = −4 soit à
2𝑎 + 30𝑏 + 𝑐 = 5 2𝑎 + 30(5 + 𝑐) + 𝑐 = 5
−12
𝑏 = 23
𝑏 =5+𝑐
301
{ 𝑎 = −9 − 4𝑐 donc à 𝑎 = 23 .
2(−9 − 4𝑐) + 31𝑐 = −145 −127
{𝑐 = 23
301 −12 −127
Les coordonnées de 𝑡 dans la base (𝑢 ⃗ , 𝑣, 𝑤
⃗⃗ ) sont ( 23 ; 23 ; 23 ).
99 On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(1 ; 2 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗ AC(–1 ; –1 ; –1).
Puisque 𝑥AC⃗⃗⃗⃗⃗ = – 𝑥AB ⃗⃗⃗⃗⃗ ≠ – 𝑦AB
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ mais 𝑦AC
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , les vecteurs AB et AC ne sont pas colinéaires, donc les
points A, B et C ne sont pas alignés.
Puisque ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = –2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE, les points A, B et E sont alignés.
104 On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(1 ; –3 ; 0) et ⃗⃗⃗⃗⃗AC(3 ; 3 ; 3).
Puisque 𝑧AB⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 mais 𝑧AC
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ≠ 0, les vecteurs AB et AC ne sont pas colinéaires.
On a ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐷(6 ; 5 ; 9).
Déterminons deux réels α et β tels que ⃗⃗⃗⃗⃗ AD = α ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + β ⃗⃗⃗⃗⃗
AC. Pour cela, on résout le système :
𝛼 + 3𝛽 = 6
𝛼 = −3
{−3𝛼 + 3𝛽 = 5. Les première et troisième équations donnent { .
𝛽=3
3𝛽 = 9
Vérifions : –3 α + 3 β = –3 × (–3) + 3 × 3 = 18, ce qui ne convient pas car 18 ≠ 5.
Puisqu’il n’existe pas de réels α et β tels que ⃗⃗⃗⃗⃗ AD = α ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + β ⃗⃗⃗⃗⃗
AC, les points A, B, C et D ne
sont pas coplanaires.
105 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AD(6 ; 0 ; 4) et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC(–9 ; 0 ; –6).
−3
⃗⃗⃗⃗⃗
BC = ⃗⃗⃗⃗⃗ , les vecteurs AD
AD ⃗⃗⃗⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗
BC sont colinéaires.
2
2. On en déduit que les points A, B, C et D sont coplanaires.
107 1. a. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(3 ; –7 ; 3), AC ⃗⃗⃗⃗⃗ (–1 ; –2 ; 0) et AD
⃗⃗⃗⃗⃗ (6 ; 6 ; –12).
3𝑎 − 𝑏 + 6𝑐 = 0 18𝑐 − 𝑏 = 0
b. L’égalité a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + b AC ⃗⃗⃗⃗⃗ + c AD
⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0 équivaut à {−7𝑎 − 2𝑏 + 6𝑐 = 0 soit à {−2𝑏 − 22𝑐 = 0
3𝑎 − 12𝑐 = 0 𝑎 = 4𝑐
𝑏 = 18𝑐 𝑏=0
c’est-à-dire à {−58𝑐 = 0 donc à { 𝑐 = 0 .
𝑎 = 4𝑐 𝑎=0
Dès lors, ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, AC⃗⃗⃗⃗⃗ et AD
⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas coplanaires : les points A, B, C et D ne sont pas non plus
coplanaires.
5 −3 9 7
2. On a I(2 ; ; 2) et J(2 ; 4 ; −3).
2
3 −7 9 11 23 −21
3. On a E(2 ; ; 2) et F( 2 ; ; ).
2 2 2
7
4. Le milieu de [EF] a pour coordonnées (2 ; 4 ; −3), donc J est le milieu de [EF].
b. ⃗⃗⃗
IF est un vecteur de la direction du plan (EGJ), donc la droite (IF) est parallèle au plan
(EGJ).
𝑥 = 3 + 3𝑡
110 { 𝑦 = 5 + 2𝑡 avec 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = −2 − 𝑡
𝑥 = 2 + 3𝑡
111 { 𝑦 = −5𝑡 avec 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = −2
113 On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2 ; 3 ; –3), donc une représentation paramétrique de la droite (AB) est :
𝑥 = 3 + 2𝑡
{𝑦 = −1 + 3𝑡 avec 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = −3𝑡
114 On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(5 ; –6 ; 5), donc une représentation paramétrique de la droite (AB) est :
𝑥 = 1 + 5𝑡
{ 𝑦 = 2 − 6𝑡 avec 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = −2 + 5𝑡
115 ⃗⃗⃗⃗⃗
BC(–4 ; 8 ; 6) est un vecteur directeur de la droite (BC), donc une représentation
paramétrique de la droite d passant par le point A(5 ; 2 ; –1) est :
𝑥 = 5 − 4𝑡
{ 𝑦 = 2 + 8𝑡 avec 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = −1 + 6𝑡
−4 = −5 + 𝑡 𝑡=1
116 1. Le système { 1 = 8 − 7𝑡 donne {𝑡 = 1, donc A appartient à la droite d et il a pour
3 = 1 + 2𝑡 𝑡=1
paramètre t = 1.
2. B(–5 ; 8 ; 1) est un autre point de d et 𝑢⃗ (1 ; –7 ; 2) est un vecteur directeur de d.
3. 𝑣(–2 ; –14 ; 4) est un vecteur directeur de d’.
Puisque 𝑦𝑣⃗ = 2 𝑦𝑢⃗ mais 𝑥𝑣⃗ ≠ 2 𝑥𝑢⃗ , les vecteurs 𝑢⃗ et 𝑣 ne sont pas colinéaires, donc les droites
d et d’ ne sont pas parallèles.
3=3
𝑡=3
117 1. Le système {0 = 6 − 2𝑡 donne { , donc A n’appartient pas à la droite d.
𝑡=1
4 = 4𝑡
⃗ (0 ; –2 ; 4) est un vecteur directeur de d.
2. E(3 ; 6 ; 0) est un point de d et 𝑢
3. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC(0 ; 8 ; –16) est un vecteur directeur de la droite (BC).
Puisque ⃗⃗⃗⃗⃗
BC = –4 𝑢⃗ , les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
BC et 𝑢
⃗ sont colinéaires, donc les droites (BC) et d sont
parallèles.
−4 = 1 + 5𝑡 𝑡 = −1
118 1. Le système { 5 = 2 − 3𝑡 donne {𝑡 = −1, donc A appartient à la droite d et il a pour
−6 = 1 + 7𝑡 𝑡 = −1
paramètre t = –1.
2. E(16 ; –7 ; 22).
3. a. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(6 ; –5 ; 10) et ⃗⃗⃗⃗⃗ AC(8 ; –2 ; 8).
Puisque 𝑧AC ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0,8 𝑧AB ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ mais 𝑦AC
⃗⃗⃗⃗⃗ = 0,4 𝑦AB
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , les vecteurs AC et AB ne sont pas colinéaires,
donc les points A, B et C définissant un plan.
b. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AE(20 ; –12 ; 28).
On constate que AE ⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ , donc les vecteurs AE
AB + AC ⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ sont coplanaires.
AB et AC
On en déduit que E est un point du plan (ABC).
c. A et E sont deux points de d qui appartiennent au plan (ABC), donc la droite d est incluse
dans ce plan.
119 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2 ; 4 ; –4) est un vecteur directeur de la droite (AB), donc une représentation
paramétrique de cette droite est :
𝑥 = 3 + 2𝑡
{𝑦 = −2 + 4𝑡 avec 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 4 − 4𝑡
⃗ ), alors yC = 0.
On nomme C le point d’intersection entre la droite (AB) et le plan (O ; 𝑖, 𝑘
𝑥C = 3 + 2𝑡 𝑥𝐶 = 4
1
Le système {0 = −2 + 4𝑡 donne { 𝑡 = 2 .
𝑧C = 4 − 4𝑡 𝑧𝐶 = 2
La droite (AB) coupe le plan (O ; 𝑖, 𝑘⃗ ) en C(4 ; 0 ; 2).
⃗ = 3 𝑖 – 4 𝑗.
122 𝑢
𝑢
⃗ est un vecteur de la direction du plan (O ; 𝑖, 𝑗), donc la droite d est parallèle à ce plan.
126 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(–1 ; 0 ; –1), 𝑢⃗ (–1 ; 1 ; –1) et 𝑣(1 ; 2 ; 1).
Puisque 𝑣 = 2 𝑢 ⃗ –3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, 𝑢⃗ et 𝑣 sont coplanaires.
2. On en déduit que les droites d et d’ sont coplanaires : elles sont soit sécantes, soit parallèles.
Puisque 𝑢⃗ et 𝑣 ne sont pas colinéaires, les droites d et d’ sont sécantes.
1−𝑡 =𝑘
3. On résout le système {1 + 𝑡 = 1 + 2𝑘.
−𝑡 = −1 + 𝑘
1
𝑘+𝑡 =1 𝑘=3
Les deux premières équations donnent { , soit { 2.
2𝑘 − 𝑡 = 0 𝑡=3
−2 −2
Vérifions avec la troisième égalité : –t = et –1 + k = , ce qui convient.
3 3
1 5 −2
Par conséquent, les droites d et d’ sont sécantes en C(3 ; ; ).
3 3
127 On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(–4 ; 0 ; 0), ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ (7 ; 5 ; 9).
AC(–2 ; 2 ; 2) et EF
−4𝑎 − 2𝑏 + 7𝑐 = 0
L’égalité a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + b AC⃗⃗⃗⃗⃗ + c EF
⃗⃗⃗⃗ = ⃗0 équivaut à { 2𝑏 + 5𝑐 = 0 soit à
2𝑏 + 9𝑐 = 0
−4𝑎 − 2𝑏 + 7𝑐 = 0 𝑎=0
{ 2𝑏 = −5𝑐 donc à {𝑏 = 0.
−5𝑐 + 9𝑐 = 0 𝑐=0
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗
Dès lors, AB, AC et EF ne sont pas coplanaires : (EF) n’est pas une droite du plan (ABC).
𝑥 = 3 − 2𝑘
De plus, une représentation paramétrique de la droite (AC) est { 𝑦 = 2𝑘 avec 𝑘 ∈ ℝ et une
𝑧 = 1 + 2𝑘
𝑥 = −7 + 7𝑠
représentation paramétrique de la droite (EF) est {𝑦 = −2 + 5𝑠 avec 𝑠 ∈ ℝ.
𝑧 = −3 + 9𝑠
5 1 3
Dès lors, les droites (EF) et (AC) sont sécantes en G(2 ; 2 ; 2).
−1 1 1 1
Enfin, ⃗⃗⃗⃗⃗
AG ( 2 ; ; 2). Puisque ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC, on en déduit que la droite (EF) coupe le plan
2
(ABC) en un point G appartenant au segment [AC].
⃗⃗⃗⃗ = EA
2. EF ⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 BD
⃗⃗⃗⃗⃗ + AF ⃗⃗⃗⃗⃗ . On en déduit que (EF) et (BD) sont parallèles.
5
⃗ = – 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
130 𝑢 ⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, donc 𝑢 AB sont colinéaires.
133 1. Le théorème de la droite des milieux dans le triangle ABC permet de justifier que (IJ)
et (BC) sont parallèles.
2. D appartient à (DIJ) et (BCD), donc ces plans ne sont pas parallèles.
3. (AD) est la droite d’intersection entre (ABD) et (ACD).
134 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages. Le point I est mal placé
sur la figure, il faut voir :
2
⃗⃗⃗⃗⃗ , donc JI
⃗ = GE
1. JI ⃗⃗⃗⃗⃗ sont colinéaires.
⃗ et GE
5
2. (FI) est sécante au plan (EGJ) au point I.
136 a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AN = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗ AB + ⃗⃗⃗⃗⃗ AH + ⃗⃗⃗ AI.
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
• OC = AB – AH – AI.⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
• HL AB – AH ⃗⃗⃗⃗⃗ + AI ⃗⃗⃗ .
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
AN = ⃗⃗⃗⃗⃗
KN – ⃗⃗⃗ KJ – ⃗⃗⃗⃗⃗
KB.
⃗⃗⃗⃗⃗
• OC = – KN –2 KJ + ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ KB.
⃗⃗⃗⃗⃗ = – KN
• HL ⃗⃗⃗⃗⃗ –2 KJ ⃗⃗⃗ – KB ⃗⃗⃗⃗⃗ .
141 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 2 𝑢⃗ – 4 𝑣, donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, 𝑢⃗ et 𝑣 sont coplanaires.
2. d et d’ sont coplanaires, 𝑢
⃗ et 𝑣 ne sont pas colinéaires, donc d et d’ sont sécantes.
3. C(–7 ; 7 ; –1) est le point d’intersection entre d et d’.
144 a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BD = –AB ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD et ⃗⃗⃗⃗⃗
DE = –AD ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
⃗⃗⃗⃗⃗ = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
b. 3 AP AB + 3 BP ⃗⃗⃗⃗⃗ = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 BD ⃗⃗⃗⃗⃗ + DE
⃗⃗⃗⃗⃗ .
D’où 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AP = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB –2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗AD –AD⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
Alors 3 𝐴𝑃 = 𝐴𝐵 + 𝐴𝐷 + 𝐴𝐸 . ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
Puisque ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = AB ⃗⃗⃗⃗⃗ + AD
⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
⃗⃗⃗⃗⃗ = 3 AP
⃗⃗⃗⃗⃗ , on en déduit que les points A, G et P sont alignés.
𝑥 =5−4𝑡
145 Une représentation paramétrique de la droite (AB) est { 𝑦 = −5 𝑡 , avec t IR.
𝑧 = −2 + 𝑡
De plus, C(17 ; 15 ; –5).
𝑥 =7−8𝑡
146 Une représentation paramétrique de la droite (AB) est {𝑦 = −2 + 4 𝑡, avec t IR.
𝑧 =4−8𝑡
De plus, C(–5 ; 4 ; –8).
148 1. Le barycentre G du système {(A ; 3), (B ; 1)} existe car la somme des coefficients
n’est pas nulle. On en déduit 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
GA + GB⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0.
1
2. L’égalité précédente équivaut à 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
GA = −AB ⃗⃗⃗⃗⃗ , soit à ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB.
3. Le système {(A ; 2), (B ; –2)} n’a pas de barycentre car la somme des coefficients est nulle.
150 G est le barycentre du système {(A ; a), (B ; b)} donc 𝑎 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0.
GA + 𝑏 GB
Puisque k ≠ 0, on a alors 𝑘𝑎 ⃗⃗⃗⃗⃗
GA + 𝑘𝑏 ⃗⃗⃗⃗⃗
GB = ⃗0.
Dès lors, G est aussi le barycentre du système {(A ; ka), (B ; kb)}.
−1 1 1 1 1
151 On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
BA + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = ⃗⃗⃗⃗⃗
BC.
2
⃗⃗⃗⃗⃗ = − ⃗⃗⃗⃗⃗
152 1. On a AK AB.
153 1. K est le milieu de [AC], donc K est le barycentre de {(A ; 1), (C ; 1)}.
Par associativité, G est le barycentre de {(K ; 2), (D ; 2)} donc G est le milieu de [KD].
2. G est le barycentre de {(A ; 1), (J ; 3)}.
154 I est le milieu de [AB], donc I est le barycentre de {(A ; 1), (B ; 1)}.
J est le milieu de [BC], donc J est le barycentre de {(B ; 1), (C ; 1)}.
K est le milieu de [AC], donc K est le barycentre de {(A ; 1), (C ; 1)}.
L est le milieu de [AD], donc L est le barycentre de {(A ; 1), (D ; 1)}.
M est le milieu de [BD], donc M est le barycentre de {(B ; 1), (D ; 1)}.
N est le milieu de [CD], donc N est le barycentre de {(C ; 1), (D ; 1)}.
Soit O le barycentre du système {(A ; 1), (B ; 1), (C ; 1), (D ; 1)}, alors :
- O est le barycentre de {(I ; 2), (N ; 2)}, donc O est le milieu de [IN] ;
- O est le barycentre de {(J ; 2), (L ; 2)}, donc O est le milieu de [JL] ;
- O est le barycentre de {(K ; 2), (M ; 2)}, donc O est le milieu de [KM].
Ainsi, les droites (KM), (JL) et (IN) sont concourantes en O.
157 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. Il existe k ∈ ℝ tel que x2 = k x1, y2 = k y1 et z2 = k z1.
Alors x1 y2 – x2 y1 = x1 k y1 – k x1 y1 = 0.
De même, pour x1 z2 – x2 z1 = 0 et y1 z2 – y2 z1 = 0.
2. a. On suppose que x1 = y1 = 0. On a donc z1 ≠ 0.
Puisque x1 z2 – x2 z1 = 0, alors x2 z1 = 0 et x2 = 0.
Puisque y1 z2 – y2 z1 = 0, alors y2 z1 = 0 et y2 = 0.
Les triplets sont donc de la forme (0 ; 0 ; z1) et (0 ; 0 ; z2) : ils sont proportionnels.
b. On suppose x1 = 0, y1 ≠ 0 et z1 ≠ 0.
Puisque x1 y2 – x2 y1 = 0, alors x2 y1 = 0 et x2 = 0.
𝑦 𝑧
De plus, y1 z2 – y2 z1 = 0, alors y1 z2 = y2 z1, d’où 𝑦2 = 𝑧2 puisque y1 ≠ 0 et z1 ≠ 0.
1 1
𝑦2
Soit k = . On a alors z2 = k z1, y2 = k y1 et x2 = k x1, donc les triplets (x1 ; y1 ; z1) et (x2 ; y2 ; z2)
𝑦1
sont proportionnels.
c. On suppose x1 ≠ 0, y1 ≠ 0 et z1 ≠ 0.
𝑦 𝑥
On a x1 y2 – x2 y1 = 0, alors 𝑦2 = 𝑥2.
1 1
𝑧 𝑥2
De plus, x1 z2 – x2 z1 = 0, alors 𝑧2 = .
1 𝑥1
𝑥
Soit k = 𝑥2. On a alors x2 = k x1, y2 = k y1 et z2 = k z1, donc les triplets (x1 ; y1 ; z1) et
1
(x2 ; y2 ; z2) sont proportionnels.
d. En conclusion, pour deux triplets (x1 ; y1 ; z1) et (x2 ; y2 ; z2) non nuls, ces triplets sont
𝑥1 𝑦2 − 𝑥2 𝑦1 = 0
proportionnels si, et seulement si, { 𝑥1 𝑧2 − 𝑥2 𝑧1 = 0 .
𝑦1 𝑧2 − 𝑦2 𝑧1 = 0
3. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages. La capture d’écran du
programme Python comporte des pointillés en trop à la ligne 5, il faut voir :
Le programme complété :
158 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
⃗ =2𝑣–3𝑤
1. On a 𝑢 ⃗⃗ , donc les vecteurs 𝑢 ⃗ , 𝑣 et 𝑤
⃗⃗ sont coplanaires.
2. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages. Il faut lire : « Ce
déterminant est nul si, et seulement si, les trois vecteurs sont coplanaires ».
a. d = 15 × (–4) × (–4) + 6 × 2 × 12 + (–1) × (–14) × 0 – 12 × (–4) × (–1) – 0 × 2 × 15 – (–4)
× (–14) × 6,
d’où d = 240 + 144 + 0 – 48 – 0 – 336, soit d = 0.
Cette valeur confirme la coplanarité des vecteurs 𝑢 ⃗ , 𝑣 et 𝑤
⃗⃗ .
b. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB (–3 ; 0 ; 3), AC⃗⃗⃗⃗⃗ (0 ; –3 ; 3) et AD ⃗⃗⃗⃗⃗ (–2 ; –2 ; 1). On calcule leur déterminant :
d = –3 × (–3) × 1 + 0 × (–2) × 3 + (–2) × 0 × 3 – 3 × (–3) × (–2) – 3 × (–2) × ( –3) – 1 × 0 × 0,
d’où d = 9 + 0 + 0 – 18 – 18 – 0, soit d = –27.
Puisque d ≠ 0, les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ et AD
AB, AC ⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas coplanaires, donc les points A, B, C et D
ne le sont pas non plus.
3. Le programme Python complété :
1 1
𝑡=3 𝑝
3
1 1
𝑡=𝑝
On résout le système 𝑡 = 3 𝑝 d’où { 3.
3 𝑝=
1 4
𝑡 =1−𝑝
{3
3 3
E est le point de (AN) de paramètre t = 4 et le point de (DM) de paramètre p = 4, donc les
1 1 1
coordonnées de E sont (4 ; 4 ; 4).
⃗⃗⃗⃗⃗ (1 ; 1 ; 1) et AN
b. On a AE ⃗⃗⃗⃗⃗ (1 ; 1 ; 1), donc AE
⃗⃗⃗⃗⃗ = 3 AN
⃗⃗⃗⃗⃗ .
4 4 4 3 3 3 4
160 2. a.
IB + ⃗⃗⃗
b. I est le milieu de [BC], donc ⃗⃗⃗ IC = ⃗0.
Or l’égalité ⃗⃗⃗⃗⃗
GB + ⃗⃗⃗⃗⃗
GC + ⃗⃗⃗⃗⃗
GD = ⃗0 équivaut à ⃗⃗⃗ IB + ⃗⃗⃗
GI + ⃗⃗⃗ GI + ⃗⃗⃗
IC + ⃗⃗⃗ ID = ⃗0, soit à 3 ⃗⃗⃗
GI + ⃗⃗⃗⃗ GI = ⃗⃗⃗⃗
DI.
Par conséquent, les vecteurs ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ sont colinéaires, donc les points D, G et I sont alignés.
GI et DI
De manière analogue, les points B, G et J sont aussi alignés.
c.
3. a. E et F appartiennent aux plans (ABD) et (EFG), donc (EF) est une droite commune à ces
deux plans. Comme G n’est pas un point de (ABD), les plans (ABD) et (EFG) se coupent
selon la droite (EF).
b. E est un point de la droite d’intersection entre les plans (ABC) et (EFG). Or deux plans
sont sécants selon une droite : il est nécessaire de connaître un second point d’intersection
entre ces plans pour pouvoir tracer leur droite d’intersection.
4. a. ⃗⃗⃗⃗⃗ BH – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AH – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗ CH = ⃗0, donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ BH et ⃗⃗⃗⃗⃗
AH, ⃗⃗⃗⃗⃗ CH sont coplanaires et H appartient
au plan (ABC).
1 1 1 1 1
b. Tout d’abord, ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD, d’où ⃗⃗⃗⃗⃗
EG = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC + 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
3 3 4 3
De plus, ⃗⃗⃗⃗⃗ BH – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AH – 3 ⃗⃗⃗⃗⃗ CH = ⃗0, d’où ⃗⃗⃗⃗⃗
AH = 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + 5 ⃗⃗⃗⃗⃗ EH = 15 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC et ⃗⃗⃗⃗⃗ AB + 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
AC.
−1 3
⃗⃗⃗⃗ =
Enfin, EF ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
AB + 4 AD
3
9 4
EH = 5 ⃗⃗⃗⃗⃗
c. On constate que ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ , donc les vecteurs EF
EG − 5 EF EH et ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ EG sont coplanaires et les
points E, F, G et H sont coplanaires.
5. a.
b. G et K appartiennent aux plans (BCD) et (EFG), donc (GK) est une droite commune à ces
deux plans. Comme E n’est pas un point de (BCD), les plans (BCD) et (EFG) se coupent
selon la droite (GK).
On nomme L le point d’intersection entre (GK) et (CD). En raisonnant de manière analogue,
(FL) est la droite d’intersection entre les plans (ACD) et (EFG).
c. On en déduit la trace ci-dessous :
𝑥 = 5000 + 11𝑡
161 1. Une représentation paramétrique de la droite d est {𝑦 = −3200 + 8𝑡 avec 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 2200 − 2𝑡
2. 4 minutes correspondent à 240 secondes. On cherche l’altitude correspondant au paramètre
t = 240 : z = 2 200 – 2 × 240 = 1 720.
Après 4 minutes de vol, le vautour se trouve à 1 720 mètres d’altitude.
3. On cherche t tel que 1 000 = 2 200 – 2t, soit t = 600.
Les coordonnées de sa colonie sont donc (11 600 ; 1 600 ; 1 000).
4. a. La trajectoire de retour passe par les coordonnées de la colonie (pour k = 0).
Partie B : Application
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (6 ; –7 ; –2) et MP
1. On a MN ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (6 ; –6 ; 0).
Puisque 𝑧⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ≠ 0, les vecteurs MN et MP ne sont pas colinéaires, donc M, N et P
MP = 0 mais 𝑧MN
définissent un plan.
𝑥 = 1 + 6 𝑡 + 6𝑡′
2. Une représentation paramétrique du plan (MNP) est { 𝑦 = 3 − 7𝑡 − 6𝑡′ avec (𝑡 ; 𝑡 ′ ) ∈ ℝ².
𝑧 = 4 − 2𝑡
3. a. 𝑣 (–1 ; 2 ; 1) est un vecteur directeur de la droite d.
6𝑎 + 6𝑏 − 𝑐 = 0 4𝑎 + 6𝑏 = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
L’égalité a MN + b MP + c 𝑣 = 0 équivaut à {−7𝑎 − 6𝑏 + 2𝑐 = 0 soit à {−3𝑎 − 6𝑏 = 0
−2𝑎 + 𝑐 = 0 𝑐 = 2𝑎
𝑎=0
donc à {𝑏 = 0.
𝑐=0
Dès lors, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MN, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MP et 𝑣 ne sont pas coplanaires : la droite d n’est donc pas parallèle au plan
(MNP).
1 + 6 𝑡 + 6𝑡 ′ = 9 − 𝑘 6 𝑡 + 6𝑡 ′ + 𝑘 = 8
′
b. On résout le système {3 − 7𝑡 − 6𝑡 = −4 + 2 𝑘 qui équivaut à {−7𝑡 − 6𝑡 ′ − 2𝑘 = −7
4 − 2𝑡 = 1 + 𝑘 𝑘 =3−2𝑡
4 𝑡 + 6𝑡 = 5′ 𝑡 = 4
−11
soit à {−3𝑡 − 6𝑡 ′ = −1 donc à {𝑡 ′ = 6 .
𝑘 =3−2𝑡 𝑘 = −5
Dès lors, les coordonnées du point E sont (14 ; –14 ; –4).
Polyèdre
Sommets 4 8 6 20 12
Arêtes 6 12 12 30 30
Faces 4 triangles 6 carrés 8 triangles 12 pentagones 20 triangles
équilatéraux équilatéraux réguliers équilatéraux
chaque face possède p arêtes et chaque arête est commune à exactement deux faces,
2𝐴
donc p F = 2A, soit F = ;
𝑝
d’un sommet partent q arêtes et chaque arête relie exactement 2 sommets, donc
2𝐴
q S = 2A, soit S = .
𝑞
2𝐴 2𝐴 1 1 1 1
En substituant dans la formule d’Euler : −𝐴+ = 2 qui équivaut à 𝑝 + 𝑞 = 2 + 𝐴.
𝑞 𝑝
1 1 1
Comme A est strictement positif, cela conduit à l’inégalité 𝑝 + 𝑞 > 2.
p et q sont deux entiers strictement supérieurs ou égaux à 3. En énumérant les cas pour chaque
valeur entière de p et q, on peut conclure qu’il n’existe que cinq possibilités : (3 ; 3), (4 ; 3),
(3 ; 4), (5 ; 3) et (3 ; 5).
167 1. et 2.
Dès lors, les plans (IJK) et (BCD) sont sécants selon la droite (MK). Cette droite coupe (BD)
en L.
Le quadrilatère IJKL représente la trace de la section du tétraèdre ABCD par le plan (IJK).
168 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + DC⃗⃗⃗⃗⃗ = AL
⃗⃗⃗⃗⃗ + LK⃗⃗⃗⃗⃗ + KB ⃗⃗⃗⃗⃗ + DL ⃗⃗⃗⃗⃗ + LK ⃗⃗⃗⃗⃗ + KC ⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 LK ⃗⃗⃗⃗⃗ car AL ⃗⃗⃗⃗⃗ + DL ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0 et KB ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0.
⃗⃗⃗⃗⃗ + KC
2. P est un point du segment [LK], donc il existe un réel t tel que ⃗⃗⃗⃗⃗ KP = t ⃗⃗⃗⃗⃗KL.
Existence : On définit les points M et N par BM = t BA et CN = t CD. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
On a alors PM⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + PN
⃗⃗⃗⃗⃗ = PK ⃗⃗⃗⃗⃗ + KB ⃗⃗⃗⃗⃗ + BM ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + PK ⃗⃗⃗⃗⃗ + KC ⃗⃗⃗⃗⃗ + CN ⃗⃗⃗⃗⃗
= 2 ⃗⃗⃗⃗⃗ PK + t ⃗⃗⃗⃗⃗ BA + t ⃗⃗⃗⃗⃗ CD
⃗⃗⃗⃗⃗
= 2 PK + 2 t KL ⃗⃗⃗⃗⃗
= –2 t ⃗⃗⃗⃗⃗ KL + 2 t ⃗⃗⃗⃗⃗ KL
= 0. ⃗
P est donc le milieu de [MN].
Unicité : Soit M un point quelconque de [AB]. Il existe x ∈ [0 ; 1] tel que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ BM = x ⃗⃗⃗⃗⃗
BA.
Soit N un point quelconque de [CD]. Il existe y ∈ [0 ; 1] tel que CN ⃗⃗⃗⃗⃗ = y CD ⃗⃗⃗⃗⃗ .
Comme précédemment, on obtient :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + PN
PM ⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 t LK ⃗⃗⃗⃗⃗ + x ⃗⃗⃗⃗⃗ BA + y CD ⃗⃗⃗⃗⃗ = (x – t)BA ⃗⃗⃗⃗⃗ + (y – t)CD ⃗⃗⃗⃗⃗ .
Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
BA et ⃗⃗⃗⃗⃗
CD n’étant pas colinéaires, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ PM + ⃗⃗⃗⃗⃗ PN = ⃗0 implique que x – t = 0 et y – t = 0,
soit x = t et y = t.
Travaux pratiques
TP Section plane d’un cube
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
A. Construction d’un point défini par une égalité vectorielle
𝑏
1. a. L’égalité a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ BM = ⃗0 équivaut à a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AM + b ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ AM + b ⃗⃗⃗⃗⃗
BA + b ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AM = ⃗0, donc à ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AM = 𝑎+𝑏 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB.
𝑏 𝑏
b. Puisque A, B et 𝑎+𝑏 sont définis de manière unique avec 𝑎+𝑏 ≠ 0, le point M existe.
𝑏
De plus, 0 < ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ est strictement inférieure à celle de ⃗⃗⃗⃗⃗
< 1, donc la norme de AM ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AB, avec AM
𝑎+𝑏
et ⃗⃗⃗⃗⃗
AB de même sens. Par conséquent, M est un point duu segment [AB], distinct de A et de B.
2. Voir le fichier 02_Indice_Tlespe_TP1_2_prof.ggb disponible sur le manuel numérique
enseignant.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝑏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑎 AM BM
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + b BM
3. b. Puisque a + b ≠ 0, a AM ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0 équivaut à = ⃗0.
𝑎+𝑏
c. Voir le fichier 02_Indice_Tlespe_TP1_3_prof.ggb disponible sur le manuel numérique
enseignant.
d. Les points A, B et M sont alignés. On peut donc les assimiler à leur abscisse sur la droite
𝑎 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AM + 𝑏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
BM
(AB) munie d’une origine et d’une unité (la longueur AB). Ainsi, l’égalité = ⃗0
𝑎+𝑏
𝑎(𝑥M −𝑥A )+ 𝑏 (𝑥M −𝑥B ) 𝑎 𝑥A + 𝑏 𝑥B
implique = 0 soit xM = .
𝑎+𝑏 𝑎+𝑏
1.
5
⃗⃗⃗⃗⃗ = AB
2. AG ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + AE ⃗⃗⃗⃗⃗ et AK
⃗⃗⃗⃗⃗ = AB
⃗⃗⃗⃗⃗ + AE ⃗⃗⃗⃗⃗ .
9
3. a. 6 ⃗⃗⃗IG = 6 ⃗⃗⃗ IA + 6 ⃗⃗⃗⃗⃗ AG
⃗⃗⃗⃗⃗
= − AB + 6 ⃗⃗⃗⃗ AB + 6 ⃗⃗⃗⃗⃗AD + 6 ⃗⃗⃗⃗ AE
⃗⃗⃗⃗ + 6 AD
= 5 AB ⃗⃗⃗⃗⃗ + 6 AE ⃗⃗⃗⃗ .
b. 4 ⃗⃗⃗
JG = 4 ⃗⃗⃗
JA + 4 ⃗⃗⃗⃗⃗
AG
⃗⃗⃗⃗⃗ + 4 AB
= − AD ⃗⃗⃗⃗ + 4 AD
⃗⃗⃗⃗⃗ + 4 AE
⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ + 3 AD
= 4 AB ⃗⃗⃗⃗⃗ + 4 AE
⃗⃗⃗⃗ .
c. 9 ⃗⃗⃗⃗⃗
KG ⃗⃗⃗⃗⃗ + 9 ⃗⃗⃗⃗⃗
= 9 KA AG
= −9 AB ⃗⃗⃗⃗⃗ − 5 AE⃗⃗⃗⃗ + 9 AB
⃗⃗⃗⃗ + 9 AD
⃗⃗⃗⃗⃗ + 9 AE
⃗⃗⃗⃗
= 9 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + 4 ⃗⃗⃗⃗ AE.
4. a. 9 KG = 4 × 6 IG – 5 × 4 ⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ JG.
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗
b. Les vecteurs KG, IG et JG sont coplanaires, donc les points G, I, J et K le sont aussi.
5. (IK) est une droite du plan (ADF). G est un point du plan (DCG) parallèles à (ADF) mais J
n’est pas un point de ce plan. Dès lors, les droites (IK) et (GJ) ne sont pas parallèles.
Sujet B
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Réflexion par (O ; 𝑖, 𝑗) : ⃗⃗⃗⃗𝑢1 (a ; b ; –c).
Réflexion par (O ; 𝑗, 𝑘 ⃗ ) : ⃗⃗⃗⃗
𝑢2 (–a ; b ; –c).
𝑢3 (–a ; –b ; –c).
Réflexion par (O ; 𝑖, 𝑘) : ⃗⃗⃗⃗
𝑢3 = –𝑢
⃗⃗⃗⃗ ⃗ donc le rayon final est parallèle au rayon initial.
𝑥 =2−2𝑡
2. a. d2 : { 𝑦 = 3 − 𝑡 avec tIR.
𝑧=𝑡
b. L’abscisse d’un point quelconque de (O ; 𝑗, 𝑘 ⃗ ) est nulle.
0= 2−2𝑡 𝑡=1
c. { 𝑦 = 3 − 𝑡 donne {𝑦 = 2 d’où I2(0 ; 2 ; 1).
𝑧=𝑡 𝑧=1
3. I3(4 ; 0 ; 3).
4. a. d1, d2 et d3 ne sont pas coplanaires.
b. d1, d2 et d4 ne sont pas coplanaires.
Sujet C
a. Faux b. Faux c. Faux
Sujet D
1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB (2 ; 0 ; 0), donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 2 𝑖 : la droite (AB) est parallèle à l’axe des abscisses (O ; 𝑖).
⃗⃗⃗⃗⃗ (0 ; 4 ; 3), donc CD
2. On a CD ⃗.
⃗⃗⃗⃗⃗ = 4 𝑗 + 3 𝑘
⃗⃗⃗⃗⃗
CD est un vecteur de la direction du plan P et C est un point de P, donc la droite (CD) est
incluse dans P.
⃗ ). Dès
3. La droite (AB) est parallèle à l’axe (O ; 𝑖) et le plan P est parallèle au plan (O ; 𝑗, 𝑘
lors, la droite (AB) et le plan P sont sécants.
4. a. On a ⃗⃗⃗⃗
CE (0 ; –1 ; 4), donc ⃗⃗⃗⃗ ⃗.
CE = –𝑗 + 4 𝑘
11
⃗⃗⃗⃗⃗ (11 ; 0 ; 0), donc AE
b. On a AE ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB.
2
E est bien le point d’intersection entre la droite (AB) et le plan P.
⃗⃗⃗⃗ et CD
5. Les vecteurs CE ⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas colinéaires, donc E n’est pas un point de la droite (CD).
Par conséquent, les droites (AB) et (CD) ne sont pas sécantes.
Sujet E
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB, ⃗⃗⃗⃗⃗ AD et ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
AE ne sont pas coplanaires, donc (AB AD, ⃗⃗⃗⃗⃗
AE) est une base de l’espace.
⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
2. a. CE = –AB – AD + AE. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
b. AL AB + AD
1
⃗⃗⃗⃗⃗ + 2 AE⃗⃗⃗⃗⃗ .
3 3 3
3. ⃗⃗⃗⃗⃗
AF + ⃗⃗⃗⃗⃗ AH = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗AD + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AE = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
AL.
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
Donc AF, AH et AL sont coplanaires.
1 1 3
4. ⃗⃗⃗⃗⃗
AK = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AF + 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AH = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AL, donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AK et ⃗⃗⃗⃗⃗
AL sont colinéaires et A, K et L sont alignés.
Sujet F
1. a. S1(0) a pour coordonnées (140 ; 105 ; –170).
⃗ de ce sous-marin a pour coordonnées (–60 ; –90 ; –30).
b. Le vecteur vitesse 𝑢
−17
c. L’équation 0 = –170 – 30 t équivaut à t = .
3
Il a fallu 5 minutes et 40 secondes au sous-marin pour se rendre de la surface au point S1(0).
𝑥(𝑡) = 68 − 90 𝑡
2. Les coordonnées du point S2(t) sont {𝑦(𝑡) = 135 − 180 𝑡.
𝑧(𝑡) = −68 − 60 𝑡
3. a. L’équation –170 – 30t = – 68 – 60t équivaut à t = 3,4.
Au bout de 3 minutes et 24 secondes, les sous-marins sont à la même profondeur.
b. Le vecteur vitesse 𝑢⃗ du premier sous-marin a pour coordonnées (–60 ; –90 ; –30).
Le vecteur vitesse 𝑣 du second sous-marin a pour coordonnées (–90 ; –180 ; –60).
Puisque 𝑧𝑣⃗ = 2 𝑧𝑢⃗ mais 𝑥𝑣⃗ ≠ 2 𝑥𝑢⃗ , les vecteurs 𝑢
⃗ et 𝑣 ne sont pas colinéaires : les trajectoires
de ces sous-marins ne sont donc pas parallèles.
140 − 60 𝑡 = 68 − 90 𝑡′ −60 𝑡 + 90 𝑡 ′ = −72
On résout le système { 105 − 90 𝑡 = 135 − 180 𝑡′ soit { −90 𝑡 + 180 𝑡′ = 30 .
−170 − 30 𝑡 = −68 − 60 𝑡′ −30 + 60𝑡 ′ = 102
𝑡 = 5,8
Les deux premières équations donnent { ′ 46.
𝑡 = 15
46
On vérifie dans la troisième équation : –30 × 5,8 + 60 × 15 = 10 et 10 ≠ 102.
Par conséquent, les sous-marins suivent des trajectoires non coplanaires.
Chapitre 3
Orthogonalité dans l’espace
2 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BA(−3 ; −2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
BD(−4 ; 6).
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 donc les droites (AB) et (BD) sont perpendiculaires.
BA · BD
2.a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC(5 ; −1), ⃗⃗⃗⃗⃗
BA · ⃗⃗⃗⃗⃗
BC = − 13 ; BA = √13 et BC = √26.
̂ ) = −√2 et ABC
b. cos(ABC ̂ = 135.
2
3 1. ⃗IJ = ⃗⃗⃗⃗
ID + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
DH + HJ⃗⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
1
AE + ⃗⃗⃗⃗⃗
1
HG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
1
AE + ⃗⃗⃗⃗⃗
AB.
2 2 2 2
BM = ⃗⃗⃗⃗⃗
2. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + 2AE AB.
3. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗ . Donc (BM) et (IJ) sont parallèles.
BM = 2IJ
5 1. Faux. 2. Vrai.
6 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(6 ; −2 ; −1).
𝑥 = −1 + 6𝑡
2. { 𝑦 = 3 − 2𝑡 , t ∈ ℝ.
𝑧 =5−𝑡
C Activités
Activité 1 Approche du produit scalaire dans l’espace
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou
sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à
votre guise.
1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
AH = 𝑎2 .
⃗⃗⃗⃗⃗ , AE
2. a. Les vecteurs AD ⃗⃗⃗⃗⃗ et CF
⃗⃗⃗⃗ sont coplanaires car CF
⃗⃗⃗⃗ = DE
⃗⃗⃗⃗⃗ = −⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
AD + AE
⃗⃗⃗⃗⃗ · DE
b. AH ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 car [AH] et [DE] sont les diagonales du carré ADHE.
3. a. AD⃗⃗⃗⃗⃗ · DC⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
⃗⃗⃗⃗⃗ · HG
b. AD ⃗⃗⃗⃗⃗ = AD ⃗⃗⃗⃗⃗ · DC
⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
4. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AD = ⃗⃗⃗⃗
FG donc AFGD est un parallélogramme et AG = DF donc les diagonales du
parallélogramme AFGD sont de même longueur ce qui prouve que AFGD est un
rectangle. On en déduit que (AD) et (DG) sont perpendiculaires.
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
AD = 𝑎².
⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
AH + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
HG = 𝑎² + 0 = 𝑎².
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
AG = ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
AH + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
HG.
−1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ·MK
MF ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 1
̂) =
b. cos(FMK = 16
= − 3.
MF × MK √3 √3
×
4 4
̂ ≈ 109,5° à 0,1° près.
FMK
D Exercices
Automatismes et rituels
1 a. x = 1 b. x = – 3
2 a. (√2 + 1)(√2 + 1) = 2 − 1 = 1.
2
b. (2 − √5) = 9 − 4√5.
3 10
4 a. b. 1 c.
4 3
1
5 a. x = 2 b. x = − 2 ou x = 3
1
6 a. f ’(x) = 6x² +14x – .
𝑥²
b. g’(x) = 2e2x – 2e–x.
7 u1 = 5 ; u2 = 11 et u3 = 23.
8 6 = 246.
9 13 % de réduction.
10 1. Faux. 2. Vrai.
11 1. f(3) = –2
2.
x 9 −6 0 9
2 3
f (x)
− 2,5 −4
3. 6 = {− 2 ; 2}.
12 1. 6 = [− 7 ; − 5] ∪ [7 ; 9].
2.
x 9 −8 −4 5 9
f (x) − 0 + 0 − 0 +
3. 6 = ]8,5 ; 9].
⃗ . (𝑣 + 𝑤
18 a. 𝑢 ⃗⃗ ) = 𝑢
⃗ ·𝑣+𝑢
⃗ ·𝑤
⃗⃗ .
⃗ . (𝑣 + 𝑤
b. 𝑢 ⃗⃗ ) = 15.
19 𝑢
⃗ · 𝑣 = 0.
21 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = −40√3.
22 a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC · ⃗⃗⃗⃗
BF = 0. b. ⃗⃗⃗⃗⃗
CD · ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
HD = 0.
c. ⃗⃗⃗⃗⃗
AD · ⃗⃗⃗⃗⃗
AD = 9. d. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC · ⃗⃗⃗⃗⃗
HE = −9.
e. ⃗⃗⃗⃗⃗
AE · ⃗⃗⃗⃗⃗
GH = 0. f. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AF = 16.
23 a. 𝑣 . (7𝑢
⃗ ) = 35. b. 𝑣 . 𝑢
⃗ = 5.
⃗ . (𝑣 − 𝑤
c. 𝑢 ⃗⃗ ) = 8.
⃗ · (2𝑣 + 3𝑤
24 1. 𝑢 ⃗⃗ ) = 0.
2. Les vecteurs 𝑢
⃗ et 2𝑣 + 3𝑤
⃗⃗ sont orthogonaux.
BD = ⃗⃗⃗⃗⃗
25 1. ⃗⃗⃗⃗⃗ BA + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD.
⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
2. BD AC = −1.
26 1. Réponse c.
2. 𝑢
⃗ · 𝑣 = 1 × 4 + 2 × 5 + 3 × 6 = 4 + 10 + 18 = 32.
27 a. 𝑢
⃗ . 𝑣 = −6.
b. 𝑢
⃗ . 𝑣 = −7.
29 1. 𝑢
⃗ · 𝑣 = 0.
2. Les vecteurs 𝑢
⃗ et 𝑣 sont orthogonaux.
32 1. ‖𝑢
⃗ ‖ = √𝑥² + 𝑦² + 𝑧².
2. a. ‖𝑢⃗ ‖ = 3.
b. ‖𝑢⃗ ‖ = 7.
c. ‖𝑢
⃗ ‖ = 17.
33 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(3 ; − 8 ; 2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(− 2 ; − 3 ; − 4).
2. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 10.
1
⃗ · 𝑣 = (‖𝑢
34 1. 𝑢 ⃗ ‖2 − ‖𝑣‖²).
⃗ + 𝑣‖² − ‖𝑢
2
2. 𝑢
⃗ · 𝑣 = −12.
35 d et d’ sont orthogonales.
36 𝑢
⃗ · 𝑣 = 0 et 𝑢
⃗ ·𝑤
⃗⃗ = 0.
37 1. 𝑢
⃗ · 𝑣 = 0.
⃗ · 𝑣 = 0, d et d’ sont orthogonales.
2. Comme 𝑢
38 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2 ; 1 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(−5 ; 7 ; 1).
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0.
2. (AB) et (AC) sont perpendiculaires.
39 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(−5; 4; 1).
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · 𝑣 = 0 et ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · 𝑤⃗⃗ = 0.
b. La droite (AB) est perpendiculaire au plan 3.
40 1. Vrai.
⃗ · 𝑣 = 0 alors d est perpendiculaire à 3. »
2. a. « Si 𝑢
b. La réciproque est fausse.
43 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB.
2. Le projeté orthogonal de E sur le plan (ABC) est A.
44 𝑢
⃗ · 𝑛⃗ = 0 et 𝑣 · 𝑛⃗ = 0.
2 1
46 1. ⃗⃗⃗⃗
𝑛1 = 3𝑛⃗ , ⃗⃗⃗⃗
𝑛2 = − 𝑛⃗ et ⃗⃗⃗⃗
𝑛3 = 𝑛⃗.
3 2
2. 𝑣 n’est pas un vecteur normal au plan 3 car ce vecteur n’est pas colinéaire à 𝑛⃗.
50 z = 0.
51 x = 0.
53 d = − 8.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝑥 − 5; 𝑦 − 1; 𝑧 + 3).
55 1. AM
2. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AM · 𝑛⃗ = 𝑥 + 2𝑦 − 7𝑧 − 28.
3. 𝑥 + 2𝑦 − 7𝑧 − 28 = 0.
Pour s’entraîner
56 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AF = 𝑎².
b. ⃗⃗⃗
EI · ⃗⃗⃗⃗⃗
HF = 0.
1
BJ · ⃗⃗⃗⃗⃗
c. ⃗⃗⃗ CG = 2 𝑎².
1
⃗ = ⃗⃗⃗
2. a. IJ ⃗⃗⃗ =
IG + GJ ⃗⃗⃗⃗⃗ + 1 GB
EG ⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 EB
⃗⃗⃗⃗⃗ .
2 2 2
1
⃗⃗⃗⃗⃗ · IJ
b. EA ⃗ = 𝑎².
2
1
57 1. ⃗⃗⃗⃗
SA · ⃗⃗⃗⃗
SB = 𝑎². 2
2. H est le pied de la hauteur issue de S dans le triangle SAC.
⃗⃗⃗⃗⃗ · AC
3. a. SH ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
⃗⃗⃗⃗⃗ · DB
b. AH ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
1
HI · ⃗⃗⃗⃗
c. ⃗⃗⃗⃗ SA = − 4 𝑎².
1
d. ⃗⃗⃗⃗
HI · ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
DH = 𝑎².
4
1 1
59 1. ⃗⃗⃗
AI = ⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE et ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
BJ = −AB AD.
2 2 2
1 1
2.a. ⃗⃗⃗
AI · ⃗⃗⃗
BJ = − 2 AB2 + 2 AD2 = 0.
b. (AI) et (BJ) sont orthogonales.
60 1. Faux. 2. Vrai.
61 1. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AM · ⃗⃗⃗⃗⃗
AN = 2AB² − 6AD2 + 4AE 2 = 0.
2. Le triangle MAN est rectangle en A.
62 1. Vrai. 2. Faux.
63 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(7 ; −1 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(1 ; 4 ; −1).
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · AC ⃗⃗⃗⃗⃗ sont orthogonaux.
AB et AC
2. Le triangle ABC est rectangle en A.
64 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2 ; 2 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
DC(2 ; 2 ; 3) ; ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = ⃗⃗⃗⃗⃗
DC donc ABCD est un parallélogramme.
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AD(1 ; 2 ; −2) on obtient ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AD = 0.
b. ABCD est un rectangle.
65 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(7 ; 4 ; −2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
DC(7 ; 4 ; −2) ; ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = ⃗⃗⃗⃗⃗
DC donc ABCD est un parallélogramme.
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ (−8 ; −2 ; −6).
AC(6 ; 6 ; −10) et BD
⃗⃗⃗⃗⃗ · BD
AC ⃗⃗⃗⃗⃗ et BD
⃗⃗⃗⃗⃗ = 0. Donc les vecteurs AC ⃗⃗⃗⃗⃗ sont orthogonaux.
b. ABCD est un losange.
66 1. Réponse b. 2. Réponses a et d.
68 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(−2; 6; 9) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(−2; 3; 6).
⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 76.
b. AB = 11 et AC = 7.
̂ ) = 76 donc BAC
2. cos(BAC ̂ ≈ 9,24°.
77
1 1 1
69 1. O ( ; ; ).
2 2 2
1
2. ⃗⃗⃗⃗⃗
OA · ⃗⃗⃗⃗⃗
OC = − 4.
√3
3. OA = .
2
̂) = − 1 donc AOC
4. cos(AOC ̂ ≈ 109,5° à 0,1° près.
3
7 1
70 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ (4 ; 0 ; ).
BC(1 ; 1 ; − 2), J (4 ; − 4 ; ) et BJ
2 2
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ = 3.
BC · BJ
√65
b. BC = √6 et BJ = .
2
̂ ≈ 72,31° à 0,01° près.
2. CBJ
⃗⃗⃗ = 3 , IJ = √5 et IK = √5.
⃗ · IK
IJ 4 2 2
̂ ) = 3 donc JIK
b. cos(JIK ̂ ≈ 53,13° à 0,01° près.
5
1 2 1
72 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BA · ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = (‖BA ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ − ‖AC
AC‖² − ‖BA ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖²) = (BC² − BA2 − AC²)
2 2
1
soit ⃗⃗⃗⃗⃗
BA · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 2 (BC² − AB2 − AC²).
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
BA · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = − 44 donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 44.
̂ = 44 = 11 et BAC
2. cos(BAC) ̂ ≈ 38,21° à 0,01° près.
7×8 14
75
73 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
BC = − .
2
75
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
BA · ⃗⃗⃗⃗⃗
BC = 2 .
75
̂ ) = et ABC
2. cos(ABC ̂ ≈ 38,62° à 0,01° près.
96
1 1
74 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
DA · ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = (‖DA ⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗
AB‖² − ‖DA ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ‖² − ‖DA
AB‖²) = (‖DB CD‖²)
4 4
1
donc ⃗⃗⃗⃗⃗
DA · ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = (DB² − CA²).
4
2. ABCD est un rectangle si et seulement si (DA) et (AB) sont perpendiculaires donc si
1
⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
et seulement si DA AB = 0 ce qui équivaut à (DB² − CA²) = 0 soit à DB² = CA²
4
donc à DBD = CA.
1
⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
75 DA AB = (4² − 10²) = −21.
4
76 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(1; −6; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(2; 2; 1).
Les triplets (1 ; –6 ; 3) et (2 ; 2 ; 1) ne sont pas proportionnels donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et
⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas colinéaires , les points A, B et C ne sont donc pas alignés : ces points
AC
définissent un plan.
DE(−12; 5; 14). ⃗⃗⃗⃗⃗
2. ⃗⃗⃗⃗⃗ AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
DE = 0, donc (AB) et (DE) sont orthogonales.
3. ⃗⃗⃗⃗⃗
AC · ⃗⃗⃗⃗⃗
DE = 0 donc (DE) est orthogonale à (AC). La droite (DE) est donc orthogonales
à deux droites sécantes du plan (ABC) : (DE) est donc orthogonales au plan (ABC).
MN(9; 3; 2) et ⃗⃗⃗⃗
78 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ RS(1; −3; 0).
⃗⃗⃗⃗ = 0, donc (MN) et (RS) sont orthogonales.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · RS
MN
79 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2; −1; −1) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(1; 0; −1).
Les triplets (2 ; – 1 ; – 1) et (1 ;0 ; –1) ne sont pas proportionnels donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB
et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC ne sont pas colinéaires , les points A, B et C ne sont donc pas alignés : ces points
définissent un plan.
2. ⃗⃗⃗⃗⃗
DE(4 ; 4 ; 4).
⃗⃗⃗⃗⃗ DE = 0 et ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗ AC · ⃗⃗⃗⃗⃗
DE = 0 donc ⃗⃗⃗⃗⃗
DE est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de
la direction du plan (ABC) ce qui prouve que (DE) est orthogonales au plan (ABC).
81 Comme ABC est équilatéral, (AI) est la hauteur issue de A dans ce triangle.
Par conséquent, (AI) est orthogonal à (BC).
De même, (DI) est orthogonale à (BC).
(BC) est orthogonale à deux droites sécantes du plan (AID), donc (BC) est
perpendiculaire au plan (IAD).
82 1. Dans le triangle isocèle (ABC), (AI) est la hauteur issue de A, donc (AI) est
perpendiculaire à (BC).
De même, (DI) est perpendiculaire à (BC). (BC) est donc orthogonale à deux droites
sécantes de (AID) : (BC) est perpendiculaire à (AID).
2. (AD) est incluse dans (AID) et (BC) est perpendiculaire à (AID), donc (AD) est
orthogonale à (BC).
83 1. a. ABED est un rectangle donc (AD) et (DE) sont perpendiculaires. ADFC est un
rectangle donc (AD) et (DF) sont perpendiculaires. De plus (DE) et (DF) sont deux
droites sécantes du plan (DEF) donc (AD) est perpendiculaire à (DEF).
b. Comme (AD) est perpendiculaire à (DEF) et (FH) est incluse dans (DEF), (FH) est
orthogonale à (AD).
H est le pied de la hauteur issue de F dans le triangle DEF donc (FH) est perpendiculaire
à (DE).
(FH) est orthogonale à deux droites sécantes (DE) et (AD) du plan (ABE) donc (FH) est
perpendiculaire à (ABE).
2. (AH) est incluse dans (ABE) et (FH) est perpendiculaire à (ABE) donc (AH) est
orthogonale à (FH) : le triangle AHF est rectangle en H.
De même (HB) est orthogonale à (FH) donc FHB est rectangle en H.
84 1. (OH) est perpendiculaire à (ABC) et (BC) est incluse dans (ABC) donc (OH) est
orthogonale à (BC).
2. (OA) est orthogonale à (OC) et à (OB) donc (OA) est perpendiculaire à (OBC) donc
(OA) est orthogonale à (BC).
(BC) est orthogonale à (OA) et à (OH) donc (BC) est perpendiculaire à (OHA) donc
(AH) est orthogonale à (BC).
(AH) est donc la hauteur issue de A dans le triangle ABC.
85 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(4 ; 1 ; −5) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(1 ; 1 ; 1).
Les triplets (4 ; 1 ; – 5) et (1 ; 1 ; 1) ne sont pas proportionnels donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et
⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas colinéaires , les points A, B et C ne sont donc pas alignés : ces points
AC
définissent un plan.
2. 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 0 et 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (ABC) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (ABC).
86 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(3 ; 2 ; 1) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(5 ; − 1 ; 3).
Les triplets (3 ; 2 ; 1) et (5 ; – 1 ; 3) ne sont pas proportionnels donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et
⃗⃗⃗⃗⃗
AC ne sont pas colinéaires , les points A, B et C ne sont donc pas alignés : ces points
définissent un plan.
2. 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 0 et 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (ABC) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (ABC).
88 1. 𝑛
⃗ ·𝑢
⃗ = 0 et 𝑛⃗ · 𝑣 = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan 3 donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan 3.
𝑛1 (0 ; 21 ; 7).
2. ⃗⃗⃗⃗
1
3. ⃗⃗⃗⃗
𝑛2 (0; −1; − 3).
4. Non.
90 1. Faux. 2. Vrai.
⃗⃗⃗⃗⃗ (1 ; 1 ; −4) et AH
91 1. AH ⃗⃗⃗⃗⃗ · 𝑛⃗ = 0 donc H appartient à 3.
2.a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BH(10 ; 10 ; 5) donc ⃗⃗⃗⃗⃗
BH = 5𝑛⃗. Donc (BH) est perpendiculaire à 3 et comme H
appartient à 3, H est le projeté orthogonal de B sur 3.
b. BH = 15.
3.a. ⃗⃗⃗⃗⃗
CH(0 ; − 6 ; − 8) , ⃗⃗⃗⃗⃗
BC(− 10 ; − 4 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
CH · ⃗⃗⃗⃗⃗
BC = 0.
De plus C appartient à (BC) donc C est le projeté orthogonal de H sur (BC).
b. CH = 10.
95 H(14 ; 0 ; 2).
96 H(7 ; 7 ; 0).
97 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire « Soit
d la droite passant par les points A(2 ;3 ;5) et B(6 ;–5 ;1) ».
1. H(3 ; 1 ; 4).
2. CH = 3√14 , AB = 4√6 et l’aire de ABC est 12√21.
3. RH ⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ (16 ; 0 ; 16) ; RH AB = 0 et H appartient à d donc H est le projeté orthogonal de
R sur la droite d.
98 1. – 2x + 4y – 5z – 17 = 0.
2. x – y + z + 3 = 0.
99 –x + 9y +z –24 = 0.
100 –y +3z +8 = 0.
105 –2x + 3y + 7z – 55 = 0.
106 x + 3z – 6 = 0.
108 4x + 11y – 2z + 30 = 0.
109 x + 3y – 6z – 3 =0.
1 1
110 1. I ( ; 0 ; 0), J (0 ; 1 ; ) et G(1 ; 1 ; 1).
2 2
1 1
⃗ (− ; 0 ; 0) et ⃗⃗⃗
2. IJ IG (2 ; 1 ; 1).
2
1 1
⃗ et ⃗⃗⃗
Les triplets (– 2 ; 0 ; 0) et (2 ; 1 ; 1) ne sont pas proportionnels donc les vecteurs IJ IG
ne sont pas colinéaires , les points I, J et G ne sont donc pas alignés : ces points
définissent un plan.
⃗ = 0 et 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗
3. a. 𝑛⃗ · IJ IG = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (IJG) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (IJG).
b. 2x + 3y – 4z –1 = 0.
𝑛1 (4 ; −7 ; 2).
118 a. ⃗⃗⃗⃗
𝑛2 (0 ; 1 ; 4).
b. ⃗⃗⃗⃗
𝑛3 (−2 ; 0 ; 1).
c. ⃗⃗⃗⃗
𝑛1 (1 ; 0 ; −2).
119 a. ⃗⃗⃗⃗
𝑛2 (4 ; 2 ; 0).
b. ⃗⃗⃗⃗
𝑛3 (0 ; 1 ; −1).
c. ⃗⃗⃗⃗
120
𝑥 = 5 + 4𝑡
{𝑦 = −1 + 2𝑡, 𝑡 ∈ 𝑅.
𝑧 = 2 − 5𝑡
122 1. Vrai.
2. Faux.
1 1
2. a. N (2 ; 2 ; 1).
1 1
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (− 1 ; 1 ; 0).
NC (2 ; 2 ; −1) et ML 2 2
130 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(3 ; −2 ; −4) et 𝑛⃗(1 ; 0 ; 0)est un vecteur normal au plan 3.
𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 3 donc d est sécante au plan 3.
7 2
2. 𝐻 (0 ; ; 3).
3
131 1. On a ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2 ; − 7; 3) et 𝑛⃗(4 ; −7 ; 3) est un vecteur normal au plan 3.
𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 = 78 donc d est sécante au plan 3.
𝑥 = 4 + 2𝑡
2. a. {𝑦 = −6 − 7𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 2 + 7𝑡
106 59 97
b. 𝐻 ( 39 ; − 39 ; − 39).
1
134 1. I( ; 0 ;0)
2
⃗⃗⃗⃗⃗
FD(– 1 ; 1 ; – 1).
1
2. –x + y –z + = 0.
2
1 1 1 1 1
3. J(1 ; 2 ; 0) , K(1 ; 1 ; 2) , L(2 ; 1 ; 1) M(0 ; 2 ; 1) et N(0 ; 0 ; 2).
Les coordonnées de chacun des points vérifient l’équation du plan 3 donc ces points
appartiennent à 3.
4. IJKLMN est un hexagone régulier.
136 Partie A
1 1
1. a. I est le milieu de [AH] avec A(0 ; 0 ; 0) et H(0 ; 1 ; 1) donc I(0 ; 2 ; 2).
1 1 3
⃗⃗⃗ (−1 ;
b. FI ⃗⃗⃗ (0 ; 1 ; − ).
; − 2) et FJ
2 5
⃗⃗⃗ = 0 et 𝑛⃗ · FJ
𝑛⃗ · FI ⃗⃗⃗ = 0. 𝑛⃗ est un vecteur non nul orthogonal à deux vecteurs non
colinéaires de la direction du plan (FIJ), donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (FIJ).
c. (FIJ) a une équation de la forme – x + 3y + 5z + d = 0.
F(1 ; 0 ;1) appartient à (FIJ) donc – 1 + 3 × 0 + 5 × 1 + d = 0 donc 4 + d = 0 soit d = – 4.
(FIJ) a pour équation : – x + 3y + 5z – 4 = 0.
2. a.
𝑥 =1−𝑡
{ 𝑦 = 3𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 5𝑡
b.
6
= 1−𝑡
7
3 1 6 3 5
= 3𝑡 équivaut à t = donc le point de coordonnées ( ; ; ).
7 7 7 7 7
5
{ 7 = 5𝑡
Ce point appartient également au plan (FIJ) car ses coordonnées vérifient l’équation de
ce plan.
6 3 5
Donc M a pour coordonnées (7 ; 7 ; 7).
1 3 5
3. a. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
BM (− 7 ; 7 ; 7) et ⃗⃗⃗⃗
BF(0; 0; 1).
⃗⃗⃗⃗ = 5.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · BF
BM 7
5
b. BM = √7 et BF = 1.
̂ ) = √5 et MBF
cos(MBF ̂ ≈ 32° au degré près.
7
Partie B
1. Les faces (BCGF) et (ADHE) sont parallèles ; donc le plan (FIJ) coupent ces deux
faces suivant deux parallèles (FJ) et (KL). De même les faces (ABFE) et (DCGH) sont
parallèles ; le plan (FIJ) coupent ces deux faces suivant deux parallèles (FK) et (JL).
Le quadrilatère (FJLK) ayant ses côtés opposés parallèles est un parallélogramme.
𝑎²
2. FJ² = 1+ (a – 1)² et JL² = 1 + 4 .
𝑎²
FKLJ est un losange si et seulement si FJ² = JL² ce qui équivaut à 1+ (a – 1)² = 1 + 4
2
soit à a = 3 ou a = 2 or a est un réel de [0 ; 1] donc FKLJ est un losange si et seulement
2
si a = 3 .
⃗⃗⃗⃗⃗ (4 ; 0 ; −4)
137 1. CD
𝑥 = 4𝑡
{ 𝑦 = 3 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 2 − 4𝑡
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
CH(1 ; 0 ; −1) ; ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ : H appartient à (CD).
CD = 4CH
BH ⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ (− 1 ; 4 ; −1) ; BH CD = 0.
H est le projeté orthogonal de B sur la droite (CD).
b. BH = √18 , CD = √32.
√18×√32 24
L’aire de BCD est égale en cm² à : = = 12.
2 2
3. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC(−4 ; 4 ; 2).
𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
BC = 0 et 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
CD = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (BCD) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (BCD).
b. 2x + y +2z – 7 = 0.
𝑥 = 2 + 2𝑡
c. { 𝑦 = 1 + 𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 4 + 2𝑡
d. On détermine l’intersection de (BCD) et de ∆.
2
L’équation 2(2 + 2t) + (1 + t) + 2(4 + 2t) – 7= 0 équivaut à t = − 3.
2 1 8
On obtient alors x = 3 , y = 3 et z = 3.
2 1 8
Donc I(3 ; 3 ; 3).
4. AI = 2 cm et V = 16 cm3.
138 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2 ; 4 ; −2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(4; −4; −4).
⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0 donc ABC est un triangle rectangle en A.
⃗⃗⃗⃗ (− 4 ; 0 ; − 4).
2.a. SO
⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
SO ⃗⃗⃗⃗ · AC
AB = 0 et SO ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
b. x + z = 0.
c. xO + zO = 0 + 0 = 0 donc O appartient à (ABC).
3.a. O est le projeté orthogonal de S sur (ABC) donc [SO] est la hauteur issue de S du
tétraèdre SABC.
b. SO = 4√2.
c. SO = 4√2 , l’aire du triangle ABC est égal à 12√2 donc le volume de SABC est égal
à 32.
139 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, le point D a
pour coordonnées (18 ;– 3 ;– 25).
1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ (− 2 ; 3 ; − 1).
AB(1 ; 1 ; 1) et AC
⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0 donc ABC est rectangle en A.
√42
b. AB = √3, AC = √14 . L’aire du triangle ABC est .
2
2.a. 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 donc 𝑛⃗ est orthogonal à chacun des vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 0 et 𝑛⃗ · AC ⃗⃗⃗⃗⃗ .
AB et AC
b. – 4x – y + 5z – 16 = 0.
c. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
DH(− 20 ; − 5 ; 25) donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗DH = 5𝑛⃗.
140 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC(1 ; 0 ; 2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
CD(6 ; 5 ; −3).
⃗⃗⃗⃗⃗
BC · ⃗⃗⃗⃗⃗
CD = 0 donc le triangle BCD est rectangle en C.
1 5
Son aire est 2 × √5 × √70 soit 2 √14.
⃗⃗⃗⃗⃗ · 𝑛⃗ = 0 et ⃗⃗⃗⃗⃗
2. a. 𝐵𝐶 𝐶𝐷 · 𝑛⃗ = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (BCD) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (BCD).
b. –2x + 3y + z – 5 = 0.
3.
𝑥 = 5 − 2𝑡
{𝑦 = −5 + 3𝑡, 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 2+𝑡
4. H(1 ; 1 ; 4).
70
5. AH = √56 et V = .
3
6. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(− 6 ; 6 ; −2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(−5 ; 6 ; 0).
AB = 2√19 et AC = √61.
b. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 66.
̂ ≈ 14,2° au dixième de degré près.
BAC
141 1.
𝑥 = 1 + 2𝑡
{ 𝑦 = 𝑎 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 𝑎² − 𝑡
2. On déterminer le point d’intersection H de la droite d et du plan 3.
𝑎²+1
2(1 + 2t) – (a² – t) – 3 = 0 équivaut à 𝑡 = .
5
2𝑎²+7 4𝑎²−1 𝑎²+1
On obtient alors ( ;𝑎 ; ). AH = .
5 5 √5
AH est minimale pour a = 0.
142 Errata : une erreur de numérotation peut se trouver dans certains ouvrages pour
les questions 4 et 5 qui peuvent être numérotées 5 et 6.
2
⃗⃗⃗⃗ (− 6 ; 0 ; 0) donc FE
1. FE ⃗⃗⃗⃗ (4 ; 0 ; 0).
3
𝑥L − 6 = −4 𝑥L = 2
2
⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗
FL = 3 FE équivaut à { 𝑦L − 0 = 0 soit à {𝑦L = 0.
𝑧L − 6 = 0 𝑧L = 6
2. a.
𝑥 = 6 − 4𝑡
{ 𝑦 = 0 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 6𝑡
b. Soit T le point de coordonnées (0 ; 0 ; 9).
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ donc T appartient à l’axe (AK).
AT = 9AK
3
T appartient à la droite (BL) car il s’agit du point de paramètre 2 dans la représentation
paramétrique précédente de la droite (BL).
T est donc le point S qui a donc comme coordonnées (0 ; 0 ; 9).
3.a. BD ⃗⃗⃗⃗⃗ (−6 ; 6 ; 0) et BL
⃗⃗⃗⃗ (−4; 0; 6)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 et 𝑛⃗ · 𝐵𝐿
𝑛⃗ · 𝐵𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (BDL) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (BDL).
b. 3x + 3y + 2z – 18 = 0.
𝑥=0
c. { 𝑦 = 𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧=6
d. M(0 ; 2 ; 6).
4. Volume = 2.
⃗⃗⃗⃗ (− 2 ; 0 ; 3) et LE
5. LS ⃗⃗⃗⃗ (−2 ; 0 ; 0).
4 2
⃗⃗⃗⃗ · LE
LS ̂=
⃗⃗⃗⃗ = 4, cos(SLE) = .
√13 ×2 √13
̂ ≈ 56,31° à 0,01° près.
On obtient SLE
La contrainte est respectée.
143 a. ⃗⃗⃗⃗⃗
BC · ⃗⃗⃗⃗⃗
BG = 16.
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 64.
AB · AF
c. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = −16.
BC · HF
1
144 1. ⃗JI = − 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AD + ⃗⃗⃗⃗⃗
AE et ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + 1 ⃗⃗⃗⃗⃗
JK = −AB AD +
1
⃗⃗⃗⃗⃗
AE.
4 2
1 1
⃗ · JK
2. JI ⃗⃗⃗ = AE² − 8 AD2 = 0.
2
3. IJK est un triangle rectangle en J.
146 1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 116.
b. AB = √276 = 2√69 et AC = 7.
̂ ≈ 4,07° à 0,01° près.
2. BAC
150 𝑛⃗ · 𝑢
⃗ =0 et 𝑛⃗ · 𝑣 = 0. 𝑛⃗ est non nul et orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de
la direction du plan 3 donc 𝑛⃗ est un vecteur normal à 3.
152 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AH(2 ; 0 ; − 4) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AH · 𝑛⃗ =0 donc H appartient au plan 3.
2. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐻 = 2𝑛⃗ et H∈P donc H est le projeté orthogonal de B sur 3.
3. BH = √24 = 2√6.
153 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(15 ; – 3 ; – 6) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(5 ; – 1; – 2) donc ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ : C appartient à (AB).
AC = 3AB
De plus ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
CD = 0 donc C est le projeté orthogonal de D sur (AB).
2. CD = √11.
156 –x + y –3z – 5 = 0.
157 1. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(−1 ; 0 ; 2) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(2 ; 2 ; 1). ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC ne sont pas colinéaires donc A, B et C
ne sont pas alignés : ces points définissent un plan.
2. a. 4xA – 5yA + 2zA + 1 = 0 donc A ∈ 3.
4xB – 5yB + 2zB + 1 = 0 donc B ∈ 3.
4xC – 5yC +2zC + 1 = 0 donc C ∈ 3.
Donc 3 est le plan (ABC).
b. 𝑛⃗(4; − 5; 2).
√350 5√14
160 1. BCD est rectangle en C. L’aire de BCD est égale à soit à .
2 2
70
2. AH= √56 donc le volume de ABCD est égal à .
3
161 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(1 ; 2 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
CD(−1 ; −1 ; 1).
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 donc (AB) et (CD) sont orthogonales.
AB · CD
162 1. 𝑢
⃗ · 𝑣 = 0 et 𝑢
⃗ ·𝑤
⃗⃗ = 0 donc 𝑢
⃗ est orthogonal à chacun des vecteurs 𝑣 et 𝑤
⃗⃗ .
2. d est perpendiculaire à 3.
163 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB(7 ; 2 ; 3) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(−2 ; 1 ; 4).
⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0 donc ABC est rectangle en A.
164 1. A(0 ; 0 ; 0), F(1 ; 0 ; 1), C(1 ; 1 ; 0), H(0 ; 1 ; 1) et G(1 ; 1 ; 1).
2. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ (0 ; 1 ; −1) et FH
AG(1 ; 1 ; 1) , FC ⃗⃗⃗⃗⃗ (−1 ; 1 ; 0).
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ = 0 et ⃗⃗⃗⃗⃗
AG · FC ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
AG · FH
⃗⃗⃗⃗⃗
AG est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du plan (FCH) donc
⃗⃗⃗⃗⃗
AG est un vecteur normal au plan (FCH) donc (AG) est perpendiculaire à (FCH).
165 x – 3y + 5z + 15 = 0.
166 6x – y + z – 9 = 0.
167 2x + 5y + z = 0.
171 1. La sphère de centre A et de rayon 3 est l’ensemble des points M de l’espace tels
que AM = 3.
2. a. AM² = (x – 1)² + (y – 5)² + (z – 3)².
b. M appartient à S si et seulement si (x – 1)² + (y – 5)² + (z – 3)² = 9.
3. (x – 1)² + (y – 5)² + (z – 3)² = 9 équivaut à x² – 2x + 1 + y² – 10y + 25 + z² – 6z + 9 = 9
donc à x² + y² + z² – 2x –10y – 6z + 26 = 0.
172
𝑥 = −2 + 5𝑡
1. { 𝑦 = 1 + 2𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 =1+𝑡
2. (– 2 + 5t)² + (1 + 2t)² (1 + t)² – 2(– 2 + 5t) – 10(1 + 2t) – 6(1 + t) + 26 = 0 équivaut à
2
30t² – 50t + 20 = 0 donc à 3t² – 5t + 2 = 0. Cette équation a pour solution t = 1 et t = 3.
4 7 5
d coupe la sphère en deux points M1(3 ; 3 ; 2) et M2( ; ; ).
3 3 3
3. AM1 = AM2 = 3.
175 Partie A
⃗⃗⃗⃗ sont colinéaires, donc : |𝑛⃗ · IH
1. 𝑛⃗ et IH ⃗⃗⃗⃗ | = ‖𝑛⃗‖ × IH = IH√𝑎² + 𝑏² + 𝑐².
2. ⃗⃗⃗⃗
IH(xH – xI ; yH – yI ; zH – zI)
donc 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗
IH = – axI – byI – czI + axH + byH + czH
= – axI – byI – czI – d
car axH + byH + czH = – d puisque H appartient au plan 3.
|𝑛 ⃗⃗⃗⃗ |
⃗ · IH |𝑎𝑥I + 𝑏𝑦I + 𝑐𝑧I +𝑑 |
3. IH = = .
√𝑎²+𝑏²+𝑐² √𝑎²+𝑏²+𝑐²
Partie B
1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ (3 ; 3 ; 3) et AB
AB(3 ; 0 ; 3), AC ⃗⃗⃗⃗⃗ · AC
⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
ABC est donc rectangle en A.
9√6
b. !ABC = .
2
2. a. 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 0 et 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (ABC) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (ABC).
b. x – 2y + z – 9 = 0.
3. a. d(D, (ABC)) = √6.
b. VABCD = 9.
4. 4 est parallèle à 3.
11 2 ⃗⃗⃗⃗⃗ donc E [AD] car 0 2 1.
⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 AD
5. E( ; – ; 0) et AE
3 3 3 3
1 1 1
DE = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
6. ⃗⃗⃗⃗⃗ DA et de même ⃗⃗⃗⃗⃗ DB et ⃗⃗⃗⃗⃗
DF = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗ DG = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗
DC
1 3 1
donc VEFGD = (3) 𝑉𝐴𝐵𝐶𝐷 = 3 .
Partie C
Il s’agit de la réunion des plans d’équations respectives :
177 1. 2x – y + z – 2 = 0.
2. a.
𝑥 = 1 + 2𝑡
{ 𝑦 = −𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 1+𝑡
1 1
b. On a K(0; 2 ; 2) et
1
1 + 2𝑡 = 0 𝑡 = −2
1
{ −𝑡 = 2 qui équivaut à
1
𝑡 = −2 .
1
1+𝑡 =2 𝑡 = −2
1
{
Ce système a une solution donc K appartient à ∆.
c.
1
𝑡 = −6
2𝑥 − 𝑦 + 𝑧 + 2 = 0 6𝑡 + 1 = 0 2
𝑥=3
{ 𝑥 = 1 + 2𝑡 équivaut à { 𝑦= =
𝑥 1 + 2𝑡 soit à
−𝑡 .
𝑦 = −𝑡 𝑦=6
1
𝑧 =1+𝑡 𝑧 = 1+𝑡 5
{ 𝑧=6
2 1 5
(BGI) et sont donc sécants en L(3 ; 6 ; 6).
1 1 5 1 1 5 1
BL (− 3 ; 6 ; 6), ⃗⃗⃗
d. ⃗⃗⃗⃗ GI (− 2 ; −1; 0) et ⃗⃗⃗⃗
GL (− 3 ; − 6 ; − 6).
BL · ⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ GI = 0 et ⃗⃗⃗⃗
GL · ⃗⃗⃗
BI = 0
Comme de plus L appartient à (BGI), L est l’orthocentre de BGI.
178 Partie A
1.
𝑥=2
{ 𝑦 = 4 + 2𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
1
𝑧 = 0,25 + 2 𝑡
2. a. PQ ⃗⃗⃗⃗⃗ (0 ; 1 ; 1) et PU
⃗⃗⃗⃗⃗ (10 ; 0 ; 0).
𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
PQ = 0 et 𝑛⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗ PU = 0.
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (PQU) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (PQU).
b. y – z – 10 = 0.
1 25
3. (4 + 2𝑡) − (0,25 + 2 𝑡) − 10 = 0 équivaut à 𝑡 = .
6
𝑥=2 𝑥=2
25 37
{ 𝑦 = 4 + 2 × 6 équivaut à {𝑦 = 3 donc (AB) coupe le plan (PQU) en I(2 ; 3 ; 3).
37 7
1 25 7
𝑧 = 0,25 + 2 × 6 𝑧=3
4. Le drone d’Alex ne rencontre pas l’obstacle car les points de cet obstacle ont une cote
comprise en 0 et 1 et zI > 1.
Partie B
1 1
1. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (0 ; 2𝑎 ; 0,5𝑎) on en déduit M (2 ; 4 + 2𝑎 ; + 𝑎).
AB(0 ; 2 ; 0,5) donc AM 4 2
⃗⃗⃗⃗⃗ (−2 ; 0 ; 0) donc CN
CD ⃗⃗⃗⃗⃗ (−2𝑏 ; 0 ; 0) et on déduit N(4 − 2𝑏 ; 6 ; 0,25).
1
On a alors ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MN (2 − 2𝑏 ; 2 − 2𝑎 ; − 2 𝑎).
1
2. a. MN² = (2 – 2b)² + (2 – 2a)² +(− 2 𝑎)²
17 17 16 2 4
MN² = (2 − 2𝑏)² + 𝑎² − 8𝑎 + 4 = (2 − 2𝑏)2 + (𝑎 − 17) + 17.
4 4
16
b. b = 1 et 𝑎 = 17.
c. Dans le cas où MN est minimale, on a :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (0 ; 2 ; − 8 ) et ⃗⃗⃗⃗⃗
MN AB(0 ; 2 ; 0,5).
17 17
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
MN ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · CD
AB = 0 et MN
Donc (MN) est orthogonale à (AB) et à (CD).
179 Partie A
Soit I le projeté orthogonal de Ω sur 3 et M un point de l’espace.
M appartient à 3 si et seulement si ⃗⃗⃗⃗
MI · ⃗⃗⃗⃗
IΩ = 0 ce qui équivaut à MI² + IΩ² = MΩ² soit à
MI² = MΩ² – d².
180 Partie A
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · MA
1. MA² = MA ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = (MI ⃗⃗⃗ ) · (MI
⃗⃗⃗⃗ + IA ⃗⃗⃗ ) = MI² + 2MI
⃗⃗⃗⃗ + IA ⃗⃗⃗ + IA².
⃗⃗⃗⃗ · IA
⃗⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗
De même MB² = MI² + 2MI IB + IB².
⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗
Donc MB² = MI²– 2MI IA + IA².
AB²
MA² + MB² = 2MI² + 2IA² = 2MI² + .
2
1 1
2. MA²+ MB² = AB² équivaut à 2MI² + AB² = AB² donc à MI²= AB² soit à
2 4
1
MI = 2AB.
1
% est la sphère de centre I et de rayon 2AB c’est-à-dire la sphère de diamètre [AB].
Partie B
1. Les triplets (3 ; 4 ; 1) et (1 ; – 2 ;– 1) ne sont pas proportionnels donc les plans sont
sécants.
2. a. 3xA + 4yA + zA – 1 = 0 donc A ∈ 3.
xA –2yA–zA+5 =0 donc A ∈ 4.
On en déduit que A ∈ ∆.
b. Soit C le point tel que ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 𝑢⃗ . On a C(0 ; – 2 ; 9) et on vérifie que C ∈ 3 et C ∈ 4.
On en déduit que C ∈ donc 𝑢 ⃗ est un vecteur directeur de ∆.
𝑥 = −1 + 𝑡
c. { 𝑦 = −2𝑡 , 𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = 4 + 5𝑡
3. % est la sphère de centre I(1 ;–2 ; 3) et de rayon AB = 6.
% a pour équation x² + y² + z² – 2x + 4y – 6z + 5 = 0.
14 2 23
L’intersection de % et ∆ est constitué des points A et 𝐹 (− 15 ; − 15 ; − 15).
181 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, à la question 2. c
il faut lire « Démontrer que le plan 5 d’équation 3x + 6y + 6z + 51 = 0 est tangente à 6
en un point que l’on déterminera ».
1. a. A est le projeté orthogonal de Ω sur le plan 3.
Partie B
1.a. ⃗⃗⃗⃗⃗ NB + ⃗⃗⃗⃗⃗
NA + ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
NC − 3ND NO + ⃗⃗⃗⃗⃗
NO + ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
NO − 3NO OA + ⃗⃗⃗⃗⃗
OB + ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
OC − 3OD
Or ⃗⃗⃗⃗⃗
OA + ⃗⃗⃗⃗⃗
OC = ⃗0 et ⃗⃗⃗⃗⃗
OB = ⃗⃗⃗⃗⃗
DO donc
⃗⃗⃗⃗⃗ NB + ⃗⃗⃗⃗⃗
NA + ⃗⃗⃗⃗⃗ NC − 3ND⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 4DO
OB − 3OD ⃗⃗⃗⃗⃗ .
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
b. MA² = MN² + 2MN NA + NA².
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
MB² = MN² + 2MN NB + NB².
⃗⃗⃗⃗⃗ + NC².
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · NC
MC² = MN² + 2MN
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ND
MD² = MN² + 2MN ⃗⃗⃗⃗⃗ + ND².
g(M) = NA² + NB² + NC² – 3ND² + 2MN ⃗⃗⃗⃗⃗ + NB
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · (NA ⃗⃗⃗⃗⃗ − 3ND
⃗⃗⃗⃗⃗ + NC ⃗⃗⃗⃗⃗ )
⃗⃗⃗⃗⃗ = g(N) + 8MN
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · 4DO
donc g(M) = g(N) + 2MN ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
DO.
2. a. g(O) = 0.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
b. g(M) = 0 équivaut à MO DO=0.
%3 est le plan passant par O et de vecteur normal ⃗⃗⃗⃗⃗
OD.
Il s’agit du plan médiateur de [AC].
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
3. a. g(M) = 32 équivaut à g(O) + 8MO ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
DO = 32 ce qui équivaut à 8MO DO = 32 soit
à ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MO · ⃗⃗⃗⃗⃗
DO = 4.
b. H est le milieu de [OD].
c. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MO · ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
DO = 4 équivaut à (MH HO) · ⃗⃗⃗⃗⃗ MH · ⃗⃗⃗⃗⃗
DO = 4 donc à ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ DO + ⃗⃗⃗⃗⃗
HO · ⃗⃗⃗⃗⃗
DO = 4 soit à
MH · ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ DO = 0 car H appartient à %4 donc ⃗⃗⃗⃗⃗
HO · ⃗⃗⃗⃗⃗
DO = 4.
%4 est donc le plan passant par H et de vecteur normal ⃗⃗⃗⃗⃗
DO.
𝑥 + 2𝑦 − 𝑧 = 0
186 L’équation équivaut au système { qui caractérise la droite
𝑥 − 𝑦 + 2𝑧 + 6 = 0
passant par A(– 4 ; 2 ; 0) et de vecteur directeur 𝑢
⃗ (–1 ; 1 ; 1).
188 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, pour la
deuxième condition il faut lire « AB² + ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝑃 · ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝑄 = 0 ».
⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
Les points P et Q jouant le même rôle, on peut remplacer AP ⃗⃗⃗ où I est le
AQ par 2AI
milieu de [PQ].
1
⃗⃗⃗⃗⃗
AB + ⃗⃗⃗⃗⃗
AP + ⃗⃗⃗⃗⃗
AQ = ⃗0 équivaut à ⃗⃗⃗
AI = − 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB donc I est un point fixe.
De plus :
⃗⃗⃗⃗⃗ · ⃗⃗⃗⃗⃗
AB² + AP ⃗⃗⃗ + IP
AQ = 0 équivaut à AB² + (AI ⃗⃗⃗ − IP
⃗⃗⃗ ) · (AI ⃗⃗⃗ ) = 0 ce qui équivaut à :
√5
IP² = AB² + AI² soit à IP = AB.
2
La double condition est donc équivalente au fait que P appartiennent à la sphère de
√5 1
centre I et de rayon AB avec I tel que ⃗⃗⃗
AI = − 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB.
2
Les couples (P, Q) sont les extrémités des diamètres de cette sphère.
Travaux pratiques
TP Un tétraèdre dans un cube
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
A. Construction et conjectures avec un logiciel
2. a. Pour a = 0, M et N sont confondus avec le point A.
Pour a = 1, M et P sont confondus avec le point B.
1
b. Lorsque a = 4 , on peut conjecturer que le volume.
1
c. Dans le cas a = 4 les points M, N, P et Q sont coplanaires.
3.a. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
̂ ».
« Faire afficher la valeur de l’angle 𝑁𝑀𝑃
b. On conjecture que le triangle MNP est rectangle en M.
4. a 0,71.
B. Optimisation du volume
1. a. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 6𝑎𝑖 donc M(6a ; 0 ; 0).
AM = 𝑎AB
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 6𝑎𝑗 donc N(0 ; 6a ; 0).
AN = 𝑎AD
On obtient également :
P(6 ; 6 – 6a ; 6 – 6a) et Q(0; 6 – 6a ; 6a).
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MN(−6𝑎 ; 6𝑎 ; 0) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MP(6 − 6𝑎 ; 6 − 6𝑎 ; 6 − 6𝑎).
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ · MP
b. MN ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 donc MNP est rectangle en M.
3. a. xM + yM – 2zM – 6a = 0 ; xN + yN – 2zN – 6a = 0 et xP + yP – 2zP – 6a = 0
donc le plan (MNP) a pour équation x + y – 2z – 6a = 0.
1
b. Pour a = 4.
c. Ce résultat est conforme à la conjecture faite.
𝑥=𝑡
4. a. {𝑦 = 6 − 6𝑎 + 𝑡 , t ℝ.
𝑧 = 6𝑎 − 2𝑡
b. On résout le système :
𝑥 + 𝑦 − 2𝑧 − 6𝑎 = 0
{ 𝑥=𝑡
𝑦 = 6 − 6𝑎 + 𝑡
𝑧 = 6𝑎 − 2𝑡
𝑡 = 4𝑎 − 1
on obtient : {𝑥 = 4𝑎 − 1.
𝑦 = 5 − 2𝑎
𝑧 = 2 − 2𝑎
Donc H a pour coordonnées (4a – 1 ; 5 – 2a ; 2 – 2a).
5. a. MN = √36𝑎² + 36𝑎² = 6√2𝑎 puisque a > 0.
MP = √3(6 − 6𝑎)² = √3(6 − 6𝑎) car 6–6a > 0 puisque a < 1.
Soit !MNP l’aire du triangle MNP.
1
!MNP = 2 MN MP puisque MNP est rectangle en M.
On obtient donc :
1
!MNP = 2 × 6√2𝑎 × √3(6 − 6𝑎) = 18√6(1 − 𝑎)𝑎.
b. QH² = (4a – 1)² + (5 – 2a – 6 + 6a)² + (2 – 2a – 6a)²
QH² = (4a – 1)² + (– 1 + 4a)² + (2 – 8a)²
QH² = 6 (4a – 1)².
1
On a donc QH = √6(4𝑎 − 1) car 4a – 1 0 puisque a 4.
1
6. a. V(a) = 3 !MNP QH = 6√6(1 − 𝑎)𝑎 × √6 × (4𝑎 − 1) = 36(– 4a3 + 5a² – a).
b. V’(a) = 36(– 12a² + 10a – 1).
5+√13 5−√13
c. Le polynôme – 12a² + 10a – 1 a deux racines : = et = .
12 12
1
On déduit le tableau de variations de la fonction V sur l’intervalle [ ; 1[ :
4
x 1 1
4
V’(a) +
V()
f
5+√13
d. La valeur de a pour laquelle le volume est maximal est a = = .
12
Ce résultat est conforme à la conjecture faire puisque 0,71 à 0,01 près.
Sujet B
1 1
1. I (0; 2 ; 1) et J (1; 0; 2).
1
BI (−1 ; 2 ; 1) et ⃗⃗⃗⃗⃗
2. a. ⃗⃗⃗ BG(0 ; 1 ; 1).
𝑛⃗ · ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0.
BI = 0 et 𝑛⃗ · BG
𝑛⃗ est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (BGI) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (BGI).
b. x – 2y + 2z – 1 = 0.
3. K n’appartient pas à (BGI).
4. a. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire « En
1
utilisant le triangle FIG, démontrer que le volume du tétraèdre FBIG est égal à 6 ».
1×1 1
L’aire de FIG est égale à soit 2.
2
1 1 1
Le volume de FBIG est égal à 3 × 2 × 𝐵𝐹 = 6.
𝑥 =1+𝑡
b. { 𝑦 = −2𝑡 avec t réel quelconque.
𝑧 = 1 + 2𝑡
c. On détermine l’intersection de la droite ∆ et du plan (BGI) :
2
(1 + 𝑡) − 2(−2𝑡) + 2(1 + 2𝑡) − 1 = 0 équivaut à 𝑡 = − .
9
7 4 5
On a alors 𝑥 = 9, 𝑦 = 9 et 𝑧 = 9.
7 4 5
F’ a pour coordonnées (9 ; 9 ; 9).
2
5. FF’ = 3.
1
1 3𝑉 3× 3
6
𝑉 = 3 𝐴𝐵𝐺𝐼 × 𝐹𝐹′ donc 𝐴𝐵𝐺𝐼 = 𝐹𝐹′ = 2 = 4.
3
Sujet C
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles
dans le manuel numérique enseignant.
Partie A
1. L’appel retourne 7.
2. f permet de déterminer la distance entre deux points dont les coordonnées dans un
repère orthonormé.
Partie B
1 1 1
1. A(0 ; 0 ; 0), G(1 ; 1 ; 1), I(1 ; 0 ; 2), J(1 ; 2 ; 0) et K(2 ; 1 ; 0).
1 1 1 1
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG(1 ; 1 ; 1) , ⃗IJ(0 ; 2 ; − 2) et ⃗⃗⃗
IK(− 2 ; 1; − 2).
⃗⃗⃗⃗⃗
AG · ⃗IJ = 0 et ⃗⃗⃗⃗⃗
AG · ⃗⃗⃗
IK = 0.
⃗⃗⃗⃗⃗
AG est un vecteur non nul, orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du
plan (IJK) donc 𝑛⃗ est un vecteur normal au plan (IJK).
3
b. x + y +z – 2 = 0.
1 1 1 1
3. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AN (2 ; 2 ; 2) donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AN = 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AG ce qui prouve que N est un point de (AG).
1 1
⃗⃗⃗⃗ IN · ⃗⃗⃗⃗⃗
IN (− 2 ; 0; 2) et ⃗⃗⃗⃗ AG = 0 donc (IN) est orthogonale à (AG).
Finalement N est le projeté orthogonal de I sur (AG).
√𝟐
b. IN = .
𝟐
3 1 1 1 3
4.a. 𝑥𝑁 + 𝑦𝑁 + 𝑧𝑁 − 2 = + 2 + 2 − 2 = 0 donc N appartient à (IJK).
2
1 1
b. ⃗⃗⃗⃗
IN (− 2 ; 2 ; 0) et ⃗⃗⃗⃗
BF(0 ; 0 ; 1), ⃗⃗⃗⃗
IN · ⃗⃗⃗⃗
BF = 0.
(IN) est orthogonale à (BF) et comme I appartient à (BF) ces droites sont sécantes : (IN)
est donc perpendiculaire à (BF).
Sujet D
1. (AC) est orthogonale à (AB) et (AC) est orthogonale à (BD).
(AB) et (BD) étant deux droites sécantes du plan (BAD) on en déduit que (AC) est
perpendiculaire à (BAD).
2. (DB) est perpendiculaire à (BAC) et (AB) est incluse dans (BAC) donc (DB) est
orthogonale à (AB) : DBA est donc un triangle rectangle en B.
(DB) est perpendiculaire à (BAC) et (BC) est incluse dans (BAC) donc (DB) est
orthogonale à (BC) : DBC est donc un triangle rectangle en B.
(AC) est perpendiculaire à (BAD) et (AD) est incluse dans (BAD) donc (AC) est
orthogonale à (AD) : DCA est donc un triangle rectangle en A.
Comme de plus ABC est rectangle en A, les quatre faces du tétraèdre ABCD sont des
triangles rectangles donc ABCD est un bicoin.
3. a. ADC est rectangle en A donc DC > AD et DC > AC
DBC est rectangle en B donc DC > DB et DC > BC
ABC est rectangle en B donc BC > AB, donc DC > BC > AB.
Finalement [DC] est la plus longue arête de ABCD.
b. ADC est rectangle en A et I est le milieu de [DC] donc ID = IA = IC.
DBC est rectangle en B donc ID = IB = IC.
Finalement IA = IB = IC = ID.
Partie B
1. 2x – 2y + z +1 = 0.
2. 2(2t + 1) – 2(–2t + 9) + (t –3) +1 = 0 équivaut à 9t –18 = 0 soit à t = 2.
On a obtient x = 5 ; y = 5 et z = –1.
Le point d’intersection du plan 3 avec la droite d est le point B(5 ;5 ;–1).
3. 2xC – 2yC + zC +1 = 2 × 7 – 2 × 3 + (–9) + 1 = 14 – 6 – 9 + 1 = 0.
Donc C appartient 3.
⃗⃗⃗⃗⃗
AB(2 ; 4 ; 4) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AC(4 ; 2 ; −4) donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = 0.
De plus AB = AC = 6.
ABC est rectangle isocèle en A.
4. a. (AB) est incluse dans le plan 3 et d est orthogonale à 3donc (AB) est orthogonale à
d c’est-à-dire à (BM).
Le triangle ABM est donc rectangle en B.
b. ABM est isocèle en B si et seulement si BM = AB.
ce qui équivaut à BM² = AB² donc à (2t – 4)² + (–2t + 4)² +(t – 2)² = 36
et à 9t² – 36t =0 soit à t² – 4t = 0.
c. M1(1 ; 9 ; −3) et M2(9 ; 1 ; 1).
Sujet E
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant,
le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
1. a. AC ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
AG.
b. ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ + AE
⃗⃗⃗⃗⃗ = (AC
AG · BD ⃗⃗⃗⃗⃗ ) · BD
⃗⃗⃗⃗⃗ donc ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ · BD
⃗⃗⃗⃗⃗ = AC
AG · BD ⃗⃗⃗⃗⃗ · BD
⃗⃗⃗⃗⃗ + AE ⃗⃗⃗⃗⃗ .
ABCD est un carré donc (AC) et (BD) sont perpendiculaires d’où ⃗⃗⃗⃗⃗
AC · ⃗⃗⃗⃗⃗
BD = 0.
(AE) est perpendiculaire au plan (BCD) donc ⃗⃗⃗⃗⃗ BD = 0. Donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AC · ⃗⃗⃗⃗⃗ AG · ⃗⃗⃗⃗⃗
BD = 0.
c. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de la direction du plan (BDE) donc
⃗⃗⃗⃗⃗
AG est un vecteur normal au plan (BDE) : (AG) est perpendiculaire à (BDE).
2. a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AG(1; 1; 1) et ⃗⃗⃗⃗⃗
AG est un vecteur normal à (BDE) donc (BDE) a une équation de la
forme x + y + z + d = 0. B ∈ (BDE) donc xB + yB + zB + d = 0 ce qui conduit à d = – 1.
Donc (BDE) a pour équation x + y + z – 1 = 0.
1 1 1
b. K(3 ; 3 ; 3).
1
c. Le volume de BDEG est égal à 3.
Sujet F
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire « Choisir
la bonne réponse ».
1. Réponse d.
2. Réponse b.
3. Réponse c.
Chapitre 4
Les suites
Une page consacrée au Grand Oral fournit à l’élève des pistes de réflexion
liées au thème des suites pour préparer l’épreuve en reprenant des modélisations
courantes traitées dans les exercices du chapitre.
2 Les objectifs des activités
Les activités proposées dans le chapitre construisent progressivement et via des
situations variées la notion de limite d’une suite numérique conformément au
programme officiel. Elles permettent également d’introduire des outils pour démontrer
la convergence d’une suite.
Les activités d’introduction ont donc pour objectif principal de présenter la
notion de limite finie (Activité 1) et de limite infinie (Activité 2). Dans un deuxième
temps, on illustre sur un exemple les conditions de validité et l’utilité du théorème des
« gendarmes » (Activité 3). Enfin, un exemple plus concret mais tiré de la recherche
mathématique permet à l’élève de découvrir le théorème de convergence des suites
monotones (Activité 4).
3 Exercices, TP et algorithmes
Les deux TP proposés présentent à l’élève deux applications de la notion de
suites convergentes pour obtenir une approximation facile à piloter de constantes
fréquemment rencontrées. Ils s’appuient sur une étude mathématique complète du
problème qui est ensuite mise en application en ayant recours au tableur ou à un
programme Python.
Des exercices d’application de difficultés croissante et d’objectifs variés
couvrant l’ensemble du programme sont proposés. Le chapitre propose aussi d’autres
applications des suites comme outils de modélisation des phénomènes discrets en
sciences expérimentales (Physique exercice 96, SES exercices 98 et 99), SVT exercice
100) mais aussi parfois de manière plus théorique en initiant à l’étude de suites
récurrentes linéaires d’ordre 2 (exercice 125), de fractales (exercice 126), de suites
imbriquées (exercice 127)… Quasi systématiquement, la programmation sous
Python ou le recours au tableur sont mis à contribution comme outils de conjecture.
2 1. Vrai.
2. Faux.
1
3 1.a. u1 = u0 + 2 × 02
= – 1.
1
b. Pour tout entier naturel n, un+1 – un = un + 2 × n2 – un
1
= 2 × n2.
1
Or pour tout entier naturel n, 2 × n2 ≥ 0.
La suite (un) est donc croissante.
2. a. Pour tout entier naturel n non nul, vn+1 = – 5n² – 11n – 3.
b. Pour tout entier naturel n non nul, vn+1 – vn = – 10n – 6.
Or pour tout entier naturel n, – 10n – 6 < 0.
La suite (vn) est donc (strictement) décroissante.
4 a. Faux. b. Faux.
5 1. Faux 2. Vrai.
1 𝑛
7 a. Pour tout entier naturel n, vn = 5 × (3) .
b. lim 𝑣𝑛 = 0.
𝑛→+∞
c. Pour tout entier naturel n :
1 𝑛+1
1 − (3)
𝑆𝑛 = 5 ×
1
1−3
15 1 𝑛+1
= × (1 − ( ) )
2 3
C Activités
Activité 1 La chance s’en va !
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant
ou sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la
modifier à votre guise.
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, dans l’énoncé à la
dernière ligne il faut lire « …la probabilité de tirer la boule bleue » et non rouge.
1 1
1. a. p1 = 2 b. p2 = 3
1
c. Au 3e tirage, il y a une boule bleue et trois boules rouges dans l’urne donc p3 = 4.
1
2. Au ne tirage, il y a une boule bleue et n boules rouges dans l’urne donc pn = 𝑛 + 1.
1
3. a. On détermine N tel que pN < 0,1. Donc 𝑁 + 1 < 0,1.
On a alors : N > 9. Donc N = 10.
1 1
b. Pour tout entier naturel n tel que n ≥ N, on a 𝑛 + 1 ≤ 𝑁 + 1.
1
Or, par définition de N : < 0,1. Donc pn < 0,1.
𝑁+1
4. On détermine N’ tel que pour tout entier naturel n supérieur ou égal à N’, on a :
1
< 10−3 . Donc n > 999. Donc N’= 1 000.
𝑛+1
5. Soit a > 0. On détermine N’’ tel que pour tout entier naturel n ou égal à N’’, on a :
– a < pn < a
1
−𝑎 < 𝑛 + 1 < 𝑎.
1 1
Or 𝑛 + 1 > 0 donc la double inégalité précédente est équivalente à 𝑛 + 1 < 𝑎.
1
Donc 𝑛 > 𝑎 + 1. On appelle N’’ le premier entier naturel strictement supérieur à
1
+ 1. Pour tout entier naturel n supérieur ou égal à N’’, on a – a < pn < a.
𝑎
Activité 3 On l’embarque !
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant
ou sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la
modifier à votre guise.
Un fichier logiciel est disponible dans le manuel numérique enseignant.
1. Non car (sin(n)) est une suite usuelle qui n’admet pas de limite.
2. v1 ≈ 0,84 ; v2 ≈ 0,64 ; v3 ≈ 0,08 ; v4 ≈ – 0,38 ; v5 ≈ – 0,43 ; v6 ≈ – 0,11 ;
v7 ≈ 0,25 ; v8 ≈ 0,35 ; v9 ≈ 0,14 ; v10 ≈ – 0,17.
3. On conjecture que la suite converge vers 0.
4. a. Pour tout entier naturel non nul n, – 1 ≤ sin (n) ≤ 1 puis on divise les membres de
cette double inégalité par √𝑛.
b. Les deux suites convergent vers 0.
c. Oui. La suite (vn) oscille entre les suites (un) et (wn) mais semble bien être
contrainte de tendre vers 0.
1. v1=√2, 𝑣2 = √2 + √2, 𝑣3 = √2 + √2 + √2
2. Par récurrence sur la propriété P(n) : 0≤vn≤ vn+1≤ 2.
Initialisation : on a v0=0 et v1=√2 donc 0≤v0≤ v1≤ 2et P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que P(n) est vraie, c’est-à-dire tel que
0≤vn≤ vn+1≤ 2. On montre que P(n+1) est vraie, c’est-à-dire que 0≤vn+1≤ vn+2≤ 2.
On a : 0≤vn≤ vn+1≤ 2
2≤2+vn≤2+ vn+1≤ 4
0 < √2 ≤ √2 + 𝑣𝑛 ≤ √2 + 𝑣𝑛+1 ≤ √4
Donc 0≤vn+1≤ vn+2≤ 2. P(n+1) est donc vraie.
Conclusion : la propriété est vraie pour n=0 et est héréditaire. Donc d’après le
principe de récurrence, P(n) est vraie pour tout entier naturel n, c’est-à-dire que
0≤vn≤ vn+1≤ 2 pour tout entier naturel n.
3. a. La suite est croissante.
b. 2 est un majorant de la suite.
4. On conjecture une limite égale à 2.
D Exercices
Automatismes et rituels
16 1 2 1 9
1 a. b. 6 c. 15 d. − 6 e. 14 f. 20
5
2 a. 32 b. 6 c. 1
1 1
25−4 e5 −e2 − 1
7 a. =7 b. c. 6 3 3 = − 18
5−2 3
8 T:y=–x+4
1 1
9 a. On a : Δ < 0. Donc pour tout réel x, 3𝑥 2 − 2 𝑥 + 3 > 0.
Donc 6 = ℝ.
3
b. 6 = {0; 4}.
10 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire « On
se place dans un repère orthonormé du plan. »
⃗⃗⃗⃗⃗
AB(9 ; −3) et CD⃗⃗⃗⃗⃗ (−2 ; −6). Donc ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = −18 + 18 = 0. Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗
AB · CD ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et CD
sont orthogonaux donc les droites (AB) et (CD) sont perpendiculaires.
12 a. On calcule les coordonnées des vecteurs et on montre que leur déterminant est
nul.
b. Si les abscisses des deux points sont égales on obtient une droite parallèle à l’axe
des ordonnées d’équation x = k où k est l’abscisse commune aux deux points. Sinon
l’équation est de la forme y = mx + p et on calcule d’abord la pente m avec la formule
Chapitre 4 Les suites – 123
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
4 5 29 1
13 1. 𝑃(A ∩ B) = 15 + 8 − 40 = 6.
4 5 1
2. 𝑃(A) × 𝑃(B) = 15 × 8 = 6.
Donc 𝑃(A ∩ B) = 𝑃(A) × 𝑃(B). A et B sont donc indépendants.
14 Vrai.
1
15 a. La première en partant du haut à droite. Elle est affectée de la probabilité 4.
̅ ).
b. Avec la formule des probabilités totales en utilisant la partition (A; A
18 La suite (vn) est une suite usuelle telle que lim 𝑣𝑛 = −∞.
𝑛→+∞
Donc pour tout réel A, et en particulier pour A = – 10 000, il existe un rang N à partir
duquel tous les termes vn appartiennent à l’intervalle ]- ∞; 𝐴[.
On est donc assuré de l’existence d’un rang N tel que si n est supérieur ou égal à N
alors vn est strictement inférieur à – 10 000.
22 1. +∞ 2. –∞
23 1. +∞ 2. –∞
24 1. +∞ 2. –∞
25 1. +∞ 2. +∞
26 1. –∞ 2. –∞
27 1. 0 2. 0
28 1. 0 2. 0
30 1. –∞ 2. – 3
31 a. +∞ b. –∞
32 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire à la
fin de l’énoncé « ...alors (vn) converge vers 2… »
Vrai d’après le théorème des gendarmes.
36 1. Pour tout entier naturel n non nul, – 1 ≤ sin (n) ≤ 1. Puis on divise par n.
1 1
2. lim = 0 et lim − 𝑛 = 0 donc d’après le théorème des gendarmes
𝑛→+∞ 𝑛 𝑛→+∞
sin(𝑛)
lim = 0.
𝑛→+∞ 𝑛
6 𝑛 6
40 Pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 = (7) . Donc 𝑞 = 7 et – 1 < q < 1 donc la suite
converge vers 0.
42 1. Faux. Si une suite est majorée par 6 cela signifie que tous les termes sont
inférieurs ou égaux à 6.
2. Vrai. Si une suite est minorée par 2 cela signifie que tous les termes sont supérieurs
ou égaux à 2. Or 2 étant strictement supérieur à 1, cela implique donc que tous les
termes sont supérieurs ou égaux à 1.
3. Vrai. La suite est croissante et majorée donc elle converge d’après le théorème de
convergence monotone.
44 On a u1 = 2 donc la suite (un) n’est pas majorée par 1. Pour tout entier naturel n
1
non nul, 𝑛 ≤ 1 donc u n ≤2 et la suite (un) est majorée par 2.
13 53 187 617
49 1. a. u0 = 2 ; u1 = ≈ 4,3 ; u2 = ≈ 5,9; u3 = ≈ 6,9 ; u4 = ≈ 7,6 ;
3 9 27 81
1 963 6 113 18 787 57 257
u5 = ≈ 8,1 ; u6 = ≈ 8,4; u7 = ≈ 8,6; u8 = ≈ 8,7; u9 ≈ 8,8.
243 729 2 187 6 561
b. (un) semble être croissante et majorée par 9.
2. Par récurrence sur la propriété P(n) : un ≤ 9.
Initialisation : on a u0 ≤ 9 . P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que un ≤ 9. Alors en multipliant
2
chaque membre de l’ inégalité par et en ajoutant 3 on obtient un+1 ≤ 9.
3
2 1
3. Pour tout entier naturel n, un+1 – un = 3 un + 3 – un =− 3 un + 3.
1
Comme un ≤ 9 alors − 3 un + 3 ≥ 0 et donc un+1 – un ≥ 0. La suite est croissante.
4. La suite est croissante et majorée donc elle converge. (Théorème de convergence
monotone)
Pour s’entraîner
50 1. On résout l’inéquation vn > 1 000. On obtient n > 335. L’inégalité est donc
vraie à partir du rang n = 336.
On résout l’inéquation vn > 106. On obtient n > 333 335. L’inégalité est donc vraie à
partir du rang n = 333 336.
2. Soit un réel A strictement positif. On cherche à déterminer s’il existe un entier n0
non nul tel que pour tout entier naturel n supérieur ou égal à n0 on ait vn ∈ ]A ;+∞[ .
Supposons vn ∈ ]A ; +∞[ alors A < vn. Donc A < 3n – 5.
𝐴+5
Il suffit alors de choisir n0 comme le premier entier immédiatement supérieur à .
3
La suite (vn) diverge donc vers +∞.
51 1. On résout l’inéquation un < – 1 000. On obtient n > 200,4. L’inégalité est donc
vraie à partir du rang n = 201.
2. Soit un réel A strictement négatif. On cherche à déterminer s’il existe un entier n0
non nul tel que pour tout entier naturel n supérieur ou égal à n0 on ait un ∈ ]–∞ ; A[.
Supposons vn ∈ ]– ∞ ; A[ alors un < A. Donc 2 – 5n < A.
2−𝐴
Il suffit alors de choisir n0 comme le premier entier immédiatement supérieur à .
5
La suite (vn) diverge donc vers -∞.
52 1. On résout l’inéquation 1,99 < vn < 2,01. On obtient n > 10. La double inégalité
est donc vraie à partir du rang n = 11.
2. Soit un réel a strictement positif.
On cherche à déterminer s’il existe un entier n0 non nul tel que pour tout entier
naturel n supérieur ou égal à n0 on ait vn ∈ ]2 – a ; 2 + a[.
1
Supposons vn ∈ ]2 – a ; 2 + a[ alors 2 – a < vn < 2 + a. Donc 2 – a < 2 + 𝑛² < 2 + a.
1
Il suffit alors de choisir n0 comme le premier entier immédiatement supérieur à √𝑎.
Pour tout réel a strictement positif vn ∈ ]2 – a ; 2 + a[ dès que n ≥ n0. La suite (vn)
converge donc vers 2.
2. a.
2. a. La réciproque s’écrit : « Si à partir d’un certain rang tous les termes de la suite
(un) appartiennent à ]l – 0,2 ; l + 0,2[ alors la suite (un) converge vers l. »
b. La réciproque est fausse. Le fait que à partir d’un certain rang tous les termes de la
suite (un) appartiennent à ]l – 0,2 ; l + 0,2[ n’implique pas que pour tout a
strictement positif (notamment pour a < 0,2) il existe un rang à partir duquel tous les
termes de la suite (un) appartiennent à ]l – a ; l + a[. Un contre-exemple possible : la
1
suite (un) définie pour tout entier naturel n par 𝑢𝑛 = 0,1 + 𝑛 et l = 0.
57 1. Faux. Une suite géométrique de raison q < – 1 diverge par absence de limite.
2. Vrai. Si pour tout a strictement positif il existe un rang à partir duquel tous les
termes de la suite (un) appartiennent à ]– a ;a[ alors tous les termes de la suite (vn)
également.
58 1. +∞ 2. -∞ 3. -∞ 4. 0
59 1. +∞ 2. +∞ 3. -∞ 4. 0
1
60 1. Faux. La suite (un) définie pour tout entier naturel non nul n par un = 𝑛 est un
contre-exemple.
2. Vrai si la raison est non nulle car pour tout entier naturel un=u0+rn. Si la raison est
nulle alors la suite est constante et donc convergente.
2
61 1. +∞ 2. –∞ 3. +∞ 4. 0 5. − 3 6.+∞
62 1. –∞ 2. – 1 3. +∞ 4. 0
63 1. +∞ 2. –∞ 3. +∞
64 1. Pour tout entier naturel non nul n, – 1 ≤ sin (n) donc n – 1 ≤ n – sin(n).
Or lim 𝑛 − 1 = +∞. Donc par comparaison lim 𝑢𝑛 = +∞.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
2. Pour tout entier naturel non nul n, – 1 ≤ cos(n) ≤ 1 donc – n2 + cos (n) ≤ – n2 + 1.
Or lim −𝑛2 + 1 = −∞. Donc par comparaison lim 𝑢𝑛 = −∞.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
3. Pour tout entier naturel non nul n, – 1 ≤ cos(n) ≤ 1 donc 1 ≤ 2 + cos(n) ≤ 3.
𝑛 𝑛 𝑛
Donc 3 ≤ 2+cos(𝑛) ≤ 𝑛. Or lim = +∞. Donc par comparaison lim 𝑢𝑛 = +∞.
𝑛→+∞ 3 𝑛→+∞
4. Pour tout entier naturel non nul n, – 1 ≤ sin (n) ≤ 1 donc n – 1 ≤ n – sin (n) ≤ n + 1.
𝑛−1 𝑛−sin(𝑛) 𝑛+1 𝑛−1 𝑛+1
Donc 𝑛2 +1 ≤ ≤ 𝑛2 +1. Or lim = lim = 0. Donc d’après le
𝑛2 +1 𝑛→+∞ 𝑛2 +1 𝑛→+∞ 𝑛2 +1
théorème des gendarmes lim 𝑢𝑛 = 0.
𝑛→+∞
66 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire à la
1 2
question 3 : « 𝑛 ≤ 𝑢𝑛 ≤ 𝑛 » ;
1. Par comparaison, lim 𝑢𝑛 = +∞.
𝑛→+∞
2. Par comparaison, lim 𝑢𝑛 = −∞.
𝑛→+∞
3. D’après le théorème des gendarmes, lim 𝑢𝑛 = 0.
𝑛→+∞
67 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
« Indiquer si l’affirmation est vraie ou fausse, puis justifier »
Faux. En considérant comme contre-exemple la suite (vn) définie pour tout entier
naturel n non nul par vn = sin (n) qui diverge par absence de limite.
69 1. Réponse c. 2. Réponses a et c.
70 1. 0 2. +∞ 3. +∞ 4. 0
71 1. +∞.
2. Pour tout entier naturel n, un = 3n(– 2 × 4n + 1) – 5. Donc lim 𝑢𝑛 = −∞.
𝑛→+∞
3. +∞.
4. 2.
5. Pour tout entier naturel n, un = 4n(1 + (– 0,5)n) + 4. Donc lim 𝑢𝑛 = +∞.
𝑛→+∞
6. +∞.
72 1. 0. 2. – 1. 3. +∞.
73 a. 0. b. +∞. c. 0.
74 Supposons que la suite (un) admette une limite (finie ou infinie) alors la suite (vn)
définie pour tout entier naturel n par vn = 7 × un également. Or pour tout entier naturel
n, vn = (– 2)n n’admet pas de limite (finie ou infinie).
75 Supposons que la suite (un) admette une limite (finie ou infinie) alors la suite (vn)
définie pour tout entier naturel n par vn = 0,5 × un également. Or pour tout entier
15 𝑛
naturel n, vn=(− 7 ) n’admet pas de limite (finie ou infinie).
𝑞 𝑛+1 −1
77 Vrai. On a : ∑𝑛𝑘=0 𝑞 𝑘 = . Or lim 𝑞 𝑛+1 = 0 donc la suite converge vers
𝑞−1 𝑛→+∞
1
.
1−𝑞
1
78 1.On reconnaît la somme des termes d’une suite géométrique de raison 𝑞 = 10 de
1
premier terme 𝑢0 = 10² . On a (n + 1) – 2 + 1 = n donc la somme compte n termes.
1 𝑛
1 1 1−( ) 1 1
∑𝑛+1
𝑘=2 10𝑘 = 10² × 10
1 = 90 (1 − 10𝑛 ).
1−
10
2. On écrit le terme général de la suite à l’aide de la somme des termes d’une suite
géométrique et on utilise la question 1. pour la convergence.
1 1 1
vn=1,2 + 7 × ∑𝑛+1
𝑘=2 10𝑘 = 1,2 + 7 × (1 − 10𝑛).
90
1 1 23
lim = 0 donc lim 𝑣𝑛 = 1,2 + 7 × 90 = .
𝑛→+∞ 10𝑛 𝑛→+∞ 18
1
79 1. Par récurrence sur la propriété P(n) : 𝑣𝑛 = 3 − (−2)𝑛 .
2 1 2
Initialisation : on a v0= − 3 et 3 − (−2)0 = − 3 . P(0) est vraie.
1
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que 𝑣𝑛 = 3 − (−2)𝑛 .
Alors en multipliant chaque membre de l’ égalité par −2 et en ajoutant 1 on obtient
1
𝑣𝑛+1 = 3 − (−2)𝑛+1 .
2. La suite n’admet pas de limite.
81 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire à la
question 1 « Montrer par récurrence que, pour tout entier naturel n, un = 2n – n » et à
𝑢𝑛+1 −1 𝑢𝑛 −1 𝑛
la question 2 « Montrer que, pour tout entier naturel n : = + 2𝑛 ».
2𝑛 2𝑛−1
1. Par récurrence sur la propriété P(n) : un=2n – n.
Initialisation : on a u0=1 et 20-0=1 donc P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que un = 2n – n.
Alors un + 1 = 2un + n – 1 = 2n+1 – 2n + n – 1 = 2n+1 – (n + 1). Donc P(n + 1) est
vraie.
5
84 Pour tout entier naturel n, vn – 5= − 𝑛+1.
Donc pour tout entier naturel n, vn ≤ 5.
1 1 𝑛 13
85 1. Pour tout entier naturel n, − 2 ≤ (− 2) ≤ 1 donc −1 ≤ 𝑢𝑛 ≤ .
2
2. Pour tout entier naturel n, – 4 ≤ un ≤ 2.
3. Pour tout entier naturel n, 0 < 𝑢𝑛 < 1.
𝑛+2
87 1. Par récurrence sur la propriété P(n) : 𝑢𝑛 = 2 − .
2𝑛
1 1+2 1
Initialisation : on a u1 = 2 et 2 − = 2. P(1) est vraie.
21
𝑛+2
Hérédité : On considère un entier naturel n non nul tel que 𝑢𝑛 = 2 − .
2𝑛
𝑛+1 𝑛+2 𝑛+1 (𝑛+1)+2
Alors 𝑢𝑛+1 = 𝑢𝑛 + 2𝑛+1 = 2 − + 2𝑛+1 = 2 − . Donc P(n+1) est vraie.
2𝑛 2𝑛+1
𝑛+2
2. Pour tout entier naturel non nul n, 𝑢𝑛 − 2 = − . Donc 𝑢𝑛 ≤ 2.
2𝑛
3. Par récurrence sur la propriété P(n) : n + 2 ≤ 2n.
Initialisation : on a 2 + 2 = 4 et 22 = 4. P(2) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n supérieur ou égal à 2 tel que n + 2 ≤ 2n.
Alors 2n + 4 ≤ 2n+1. Or n + 3 ≤ 2n + 4. Donc P(n + 1) est vraie.
𝑛+2
4. Pour tout entier n supérieur ou égal à 2, ≤ 1. Donc pour tout entier naturel n
2𝑛
1
supérieur ou égal à 2 un ≥ 1. Or u0 = 0 et u1 = 2 donc la suite est minorée par 0.
90 1. 41 jours. 2. 0 jours.
3. Par définition une suite de records fournit des durées de plus en plus courtes. Cette
suite est donc décroissante.
4. La suite est décroissante et minorée par 0 donc elle est convergente.
5. Oui d’après la question précédente. Mais on ne connaît pas sa valeur.
5
Initialisation : on a u1 = 3 et u0 = 1,8. P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que un+1 ≤ un. Comme 0 ≤ un+1 ≤ un < 3
alors par décroissance de la fonction f sur [0 ;3[ on obtient f (un+1) ≤ f (un).
Donc un+2 ≤ un+1 et P(n + 1) est vraie.
3. La suite est minorée et décroissante donc elle converge.
4. On conjecture une limite égale à 1.
(−1)𝑛
93 1. Faux. La suite définie pour tout entier naturel n par 𝑢𝑛 = converge vers 0
𝑛
et pourtant elle n’est ni croissante ni décroissante.
2. Vrai d’après la propriété du cours page 134.
3. Faux. On peut donner comme contre-exemple n’importe quelle suite géométrique
de raison strictement inférieure à – 1.
94 1. f est dérivable sur l’ensemble des réels positifs et pour tout réel x ≥ 0, 𝑓 ′ (𝑥) =
3
. Donc f est strictement croissante sur l’ensemble des réels positifs avec f(0)=0
(1+2𝑥)²
3
et lim 𝑓(𝑥) = 2.
𝑥→∞
2.a. Par récurrence sur la propriété P(n) : 0 < un < 1.
Initialisation : on a 0 < u0 < 1. P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que 0 < un < 1. Alors en utilisant la
croissance stricte de f sur ]0 ;1[ et le fait que f (0) = 0 et f (1) = 1, on obtient :
0 < f (un) < 1. Donc P(n+1) est vraie.
b. On montre que la suite est croissante. Par récurrence sur la propriété P(n) :
un+1 ≥ un.
3 1
Initialisation : on a u1 = 4 et u0 = 2. P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que un+1 ≥ un.
Comme 0 < un ≤ un+1 < 1 alors par croissance de la fonction f sur ]0 ; 1[ on obtient
f (un) ≤ f (un+1). Donc un+1 ≤ un+2 et P(n + 1) est vraie.
3. La suite est croissante et majorée donc elle converge.
3𝑛
4. Par récurrence sur la propriété P(n) :𝑢𝑛 = 3𝑛 +1.
1 30 1
Initialisation : on a u0 = 2 et 30 + 1 = 2 . P(0) est vraie.
3𝑛
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que 𝑢𝑛 = 3𝑛 + 1.
3𝑛
3 𝑛 3𝑛+1
3 +1
Alors 𝑢𝑛+1 = 3𝑛 = 3𝑛+1 + 1. P(n + 1) est vraie.
1+2 𝑛
3 +1
Donc la suite converge vers 1.
95 On montre d’abord par récurrence que pour tout entier naturel n non nul,
un ≥ n + 1.
Initialisation : on a u1 = 2 donc u1 ≥ 1 + 1 : P(1) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n non nul tel que un ≥ n + 1.
Alors, un+1 ≥ n + 1 + √𝑛 et n + 1+ √𝑛 ≥ n + 2, car n ≥ 1.
D’où un+1 ≥ n + 2 et P(n + 1) est vraie.
On a : lim (𝑛 + 1) = +∞, donc par un théorème de comparaison : lim (𝑢𝑛 ) = +∞.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
99
Partie A.
1. v0 = 12 et v1 = 12,6.
2. La suite (vn) est géométrique de raison 1,05.
3. Pour tout entier naturel n, vn = 12 × 1,05n.
4. Cette suite est croissante et a pour limite +∞. Il existe donc un rang à partir duquel
les termes de la suite seront strictement supérieurs à 60 ce qui ne répond pas aux
contraintes en termes d’équipements. Après exécution de l’algorithme ci-contre la
variable n contient l’année à partir de laquelle ce ne sera plus le cas. Ce sera en 2053
u← 12
n←0
Tant que u ≤ 60
u ← 1,05 × u
n←n+1
Fin Tant que
Partie B.
2,2
1. a. Pour tout x appartenant à [0 ;60], 𝑔′ (𝑥) = − 605 𝑥 + 1,1.
Or pour tout x appartenant à [0 ;60], g’(x) >0 donc g est croissante sur [0 ; 60],
654
g(0) = 0 et g(60) = .
11
1,1
b. g(x) = x équivaut à (− 605 𝑥 + 0,1) 𝑥 = 0 qui équivaut à x = 0 ou x = 55. Cette
équation admet donc deux solutions réelles qui sont 0 et 55. (Donc g(0) = 0 et
g(55) = 55.)
2. a. u1 = g(u0) = g(12) ≈ 12,938 (arrondi à 10–3 près). En 2021, la population sera
d’environ 12 938 individus.
b. Par récurrence sur la propriété P(n) : 0 ≤ un ≤ 55.
Initialisation : on a u0 = 12. P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que 0 ≤ un ≤ 55. Alors par croissance
de la fonction g sur [0 ;60] on obtient g(0) ≤ g(un) ≤ g(55).
Donc 0 ≤ un+1 ≤ 55 et P(n + 1) est vraie.
c. Par récurrence sur la propriété P(n) : un ≤ un+1.
Initialisation : on a u0 =12 et u1 ≈ 12,938. P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que un ≤ un+1. Alors par croissance de
la fonction g sur [0 ;60] on obtient g(un) ≤ g(un+1).
Donc un+1 ≤ un+2 et P(n + 1) est vraie.
d. La suite est croissante et majorée donc elle converge (théorème de convergence
monotone).
e. Si la limite l vérifie g(l) = l alors l = 0 ou l = 55. Or la suite est croissante donc l =
0 est impossible donc l = 55 ce qui est un résultat qui répond aux contraintes
d’équipements.
3. Ligne 2 : 0
Ligne 3 : U ≤ 50
1,1
Ligne 4 : − 605 𝑈 2 + 1,1𝑈
Ligne 5 : N + 1
102
103 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
« pour tout entier naturel n non nul ».
a. D’après la règle sur la limite d’une somme : lim 𝑢𝑛 = −∞.
𝑛→+∞
b. D’après la règle sur la limite d’une somme : lim 𝑢𝑛 = −∞.
𝑛→+∞
c. D’après la règle sur la limite d’une somme : lim 𝑢𝑛 = +∞.
𝑛→+∞
105 1. D’après la règle sur la limite d’une somme, on est en présence de la forme
indéterminée « ∞-∞ ». On factorise par n2 pour n entier naturel non nul car c’est le
terme prépondérant : lim 𝑢𝑛 = −∞. L’affirmation est donc fausse.
𝑛→+∞
2. D’après la règle sur la limite d’une somme, on est en présence de la forme
indéterminée « ∞-∞ ». On factorise par n3 pour n entier naturel non nul car c’est le
terme prépondérant : lim 𝑢𝑛 = +∞. L’affirmation est donc vraie.
𝑛→+∞
2𝑛2 − 1 2𝑛2 + 1
108 a. ≤ 𝑢𝑛 ≤ donc par le théorème des gendarmes la limite est 2.
𝑛2 − 1 𝑛2 − 1
b. un ≥ 2n3 – 1 donc la limite est +∞.
√𝑛−1 √𝑛+1
c. ≤ 𝑢𝑛 ≤ donc par le théorème des gendarmes la limite est 0.
𝑛 𝑛
111 1. +∞.
2. 0.
3. +∞.
4. On factorise par 15n et on obtient une limite égale à – ∞.
5. On factorise au numérateur par 4n et par 5n au dénominateur. On obtient une limite
égale à 0.
99 𝑛 99 𝑛 99 𝑛
112 a. On a pour tout entier naturel n, − (100) ≤ (100) sin(𝑛) ≤ (100) .
Donc, d’après le théorème des gendarmes, lim 𝑢𝑛 = 0.
𝑛→+∞
115 1. a0 = 7 000. 80 % des abonnés de l’année 2020 + n dont le nombre est noté an
se réabonnent (0,8an) et il y a 4 000 nouveaux abonnés (+ 4 000).
2. Par récurrence sur la propriété P(n) : an ≤20 000.
Initialisation : a0 = 7 000 donc a0 ≤ 20 000. P(0) est vraie.
Hérédité : on considère un entier naturel n tel que an ≤20 000.
Alors 0,8an + 4 000 ≤ 0,8 × 20 000 + 4 000. Donc an+1 ≤ 20 000.
3. Pour tout entier naturel n, an+1 – an = – 0,2an + 4 000.
Or an ≤ 20 000. Donc an+1 – an ≥ 0. La suite est croissante.
4. La suite est croissante et majorée donc elle converge (théorème de convergence
monotone).
122 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
dans la Piste 2.a. « Utiliser le fait que la suite (vn) est géométrique ».
1 1
1. a. Pour tout entier naturel n, vn+1 = un+2 – αun+1 = − (2 + α) 𝑢𝑛+1 + 2 𝑢𝑛 .
Donc comme (vn) est géométrique de raison β alors vn+1= βvn= βun+1 – βαun.
1 1
Donc − (2 + α) 𝑢𝑛+1 + 2 𝑢𝑛 = β𝑢𝑛+1 − βα𝑢𝑛
1 1
donc − (2 + α + β) 𝑢𝑛+1 = − (2 + αβ) 𝑢𝑛
1 1
donc − (2 + α + β) 𝑢1 = − (2 + αβ) 𝑢0
donc α + β = αβ.
Or, un+2 – αun+1 = β(un+1 – αun)
donc un+2 = (α + β)un+1 – αβun.
1 1
Comme on a aussi : 𝑢𝑛+2 = − 2 𝑢𝑛+1 + 2 𝑢𝑛 ,
1 1
alors (α + β + 2) 𝑢𝑛+1 + (−αβ − 2) 𝑢𝑛 = 0
1 1
donc (α + β + 2) 𝑢2 + (−αβ − 2) 𝑢1 = 0.
1
Or u2 = 0. Donc αβ = − 2.
1
La somme α + β est égale à − 2 et le produit αβ également donc α et β sont solutions
1 1
de l’équation : 𝑋 2 + 2 𝑋 − 2 = 0.
1
b. α = −1 et β = 2.
1
2. a. La suite (vn) est géométrique de raison β égale à 2 et de premier terme
v0 = 1 – (– 1) = 2.
b. La suite (wn) est géométrique de raison 𝛼 égale à −1 et de premier terme
1 1
w0=1 − 2 = 2.
(−1)𝑛
Donc pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛 = .
2
3. Pour tout entier naturel n, wn – vn = (α – β)un.
(−1)𝑛 1 𝑛 1 𝑛
−2×( ) 4 × ( ) − (−1)𝑛
2 2 2
Donc 𝑢𝑛 = 3 =
− 3
2
3 𝑛−5
𝑢𝑛 ≤ (4) 𝑢5 . Alors en multipliant par 3, puis en divisant par 4 chaque membre de
3 3 𝑛+1−5
cette inégalité on obtient 4 𝑢𝑛 ≤ (4) 𝑢5 .
3
Or pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 5, un+1 < 4un
3 𝑛+1−5
donc 𝑢𝑛+1 ≤ (4) 𝑢5 .
b. Soit n un entier naturel supérieur ou égal à 5,
3 𝑛−5
𝑢𝑛 ≤ ( ) 𝑢5
4
3 𝑛−1−5
𝑢𝑛−1 ≤ ( ) 𝑢5
4
3 6−5
𝑢6 ≤ ( ) 𝑢5
4
3 5−5
𝑢5 ≤ (4) 𝑢5 .
En sommant les inégalités précédentes membres à membres, on obtient :
3 32 3 n – 5
Sn 1 + + + …+ u5.
4 4 4
3. Pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 5, Sn+1 – Sn > 0 donc la suite (Sn) est
croissante.
Pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 5,
3 32 3 n – 5
Sn 1 + + + …+ u5 .
4 4 4
3 3 2 3 𝑛−5 3 𝑛−4
Or 1 + 4 + (4) + ⋯ + (4) = 4 (1 − (3) )
et pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 5,
3 𝑛−4
4 (1 − ( ) ) ≤ 4
3
donc Sn 4u5.
Donc la suite (Sn) est majorée. Elle est donc convergente.
125 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
Partie A
1. =5*B3/4-B2/4
2.
Partie B
5 1
1. a. Pour tout entier naturel n, vn+1 – vn = 𝑢𝑛+2 − 4 𝑢𝑛+1 + 4 𝑢𝑛 = 0.
Donc la suite (vn) est constante.
21
b. Pour tout entier naturel, vn = v0 = .
4
1 21
Donc pour tout entier naturel 𝑛, 𝑢𝑛+1 = 4 𝑢𝑛 + .
4
2. a. Par récurrence sur la propriété P(n) : 0 < un < un+1 < 15.
Initialisation : on a u0 = 3 et u1 = 6. P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que 0 < un < un+1 < 15.
1 21
Alors en multipliant par 4 et en ajoutant dans chaque membre de l’inégalité on
4
obtient 0 < un+1 < un+2 < 15. Donc P(n + 1) est vraie.
b. La suite (un) est croissante et majorée donc elle converge.
1 1
3. a. Pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛+1 = 4 (𝑢𝑛 − 7) = 4 𝑤𝑛 .
1
Donc la suite (wn) est géométrique de raison 4 et de premier terme w0 = – 4.
1 𝑛 1 𝑛−1 1 𝑛−1
b. Pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛 = −4 (4) = − (4) donc 𝑢𝑛 = 7 − (4) .
c. La suite (un) converge vers 7.
126
Partie A
1. La suite (Cn) est une suite géométrique de raison 4 et de premier terme C1 = 3.
Donc pour tout entier naturel n non nul, 𝐶𝑛 = 3 × 4𝑛−1 .
2. Par récurrence.
Partie B
1
1. La suite (un) est une suite géométrique de raison 3 et de premier terme u1=1.
1 𝑛−1
Donc pour tout entier naturel n non nul, 𝑢𝑛 = (3) .
1 𝑛−1 4 𝑛−1
2. Pour tout entier naturel n, pn = Cn × un = 3 × 4𝑛−1 × (3) = 3 (3) .
4
3. > 1 donc lim 𝑝𝑛 = +∞.
3 𝑛→+∞
Partie C
√3 √3
1. Soit h1 la hauteur du triangle P1. Alors ℎ1 = et !1 = .
2 4
2. La différence !n+1 – !n est égale à l’aire des triangles « rajoutés » pour passer de Pn à
Pn+1. On rajoute Cn triangles pour passer de Pn à Pn+1. Le côté de chacun de ces
√3 √3
triangles est égal à un+1 et leur hauteur à 𝑢 . Donc !n+1 – !n = 𝐶𝑛 𝑢 2.
2 𝑛+1 4 𝑛+1
3√3 2 2𝑛
3. Pour tout entier naturel n non nul, !n+1 – !n = (3) . En écrivant :
16
3√3 2 2(𝑛−1)
!n – !n-1 = (3 )
16
3√3 2 2(𝑛−2)
!n-1 – !n-2 = (3)
16
3√3 2 2×1
!2 – !1= (3)
16
puis en sommant les égalités et en simplifiant on obtient :
3√3 2 2𝑘 3√3 4 𝑘
!n – !1= ∑𝑛−1
𝑘=1 (3) = ∑𝑛−1
𝑘=1 (9)
16 16
27√3 4 4 𝑛 √3
donc !n= (9 − (9) ) + .
80 4
4 2 3
4. 9 < 1 donc la limite de la suite (An) est égale à .
5
Partie B
1
1. a. Pour tout entier naturel n, un+1=an+1 – cn+1 = 3(an – cn).
1
La suite (un) est géométrique de raison 3 et de premier terme u0=1.
1 𝑛
b. Pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 = ( ) .
3
2. a. La famille d’événements {An ; Bn ; Cn} forment une partition de E donc la
somme de leurs probabilités est égale à 1.
b. Pour tout entier naturel n,
4
vn+1 = bn+1 – 7
2 1 2 4
vn+1 = 3 𝑎𝑛 + 2 𝑏𝑛 + 3 𝑐𝑛 − 7
2 1 4
𝑣𝑛+1 = (𝑎𝑛 + 𝑐𝑛 ) + 𝑏𝑛 −
3 2 7
2 1 4
𝑣𝑛+1 = (1 − 𝑏𝑛 ) + 𝑏𝑛 −
3 2 7
1
𝑣𝑛+1 = − 6 𝑣𝑛 .
4 1 𝑛
c. Pour tout entier naturel n, 𝑣𝑛 = − 7 (− 6) .
4 4 4 1 𝑛
3. Pour tout entier naturel n,𝑏𝑛 = 𝑣𝑛 + 7 = 7 − 7 (− 6)
et d’autre part :
1 𝑛
𝑎𝑛 − 𝑐𝑛 = ( )
3
4 4 1 𝑛
𝑎
{ 𝑛 + 𝑐𝑛 = 1 − + (− )
7 7 6
Donc
3 1 1 𝑛 2 1 𝑛 3 1 1 𝑛 2 1 𝑛
𝑎𝑛 = 14 + 2 (3) + 7 (− 6) 𝑐𝑛 = 14 − 2 (3) + 7 (− 6) .
4. On calcule les limites des suites (an), (bn) et (cn).
3 4 3
lim 𝑎𝑛 = 14 , lim 𝑏𝑛 = 7 et lim 𝑐𝑛 = 14.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞ 𝑛→+∞
Ce qui confirme la conjecture faite dans la Partie A.
7
129 À la deuxième étape, on enlève 7 cubes sur 27, c’est-à-dire 27 du cube initial qui
20
est de volume 1. Il reste donc 27 du volume du cube initial c’est-à-dire que le volume
20
à l’étape 2 est égal à 27.
20
À la troisième étape on va encore laisser 27 de l’éponge précédente et ainsi de suite.
20
Soit Vn le volume à l’étape n. La suite (Vn) est géométrique de raison 27 et de premier
20 𝑛−1
terme 1. Donc pour tout entier naturel n non nul, 𝑉𝑛 = ( ) .
27
20 𝑛−1 1 ln(2) ln(2)
On résout donc (27) ≤ 2 qui équivaut à 𝑛 ≥ 1 + 27 . Or 1 + 27 ≈ 3, 3. Donc
ln( ) ln( )
20 20
1 1 𝑛+1 𝑛
130 1. Pour tout entier naturel n non nul, 𝑛 − 𝑛+1 = 𝑛(𝑛+1) − 𝑛(𝑛+1)
1 1 1
2. Pour tout entier naturel n non nul, 𝑢𝑛 = 1 + 1×2 + 2×3 + ⋯ + 𝑛×(𝑛+1)
1 1 1 1 1 1
𝑢𝑛 = 1 + ( − ) + ( − ) + ⋯ + ( − )
1 2 2 3 𝑛 𝑛+1
1
𝑢𝑛 = 2 − .
𝑛+1
Donc la suite (un) converge vers 2.
Travaux pratiques
TP1 Approximation du nombre e
Des fichiers logiciels et des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou
Texas) sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
« Partie C : 2.b. Montrer que, pour tout entier naturel non nul 𝑛 : 𝑒𝑛 ≤ 𝑒 ≤ 𝑢𝑛 . »
B. Étude mathématique
1
1. Pour tout entier naturel n, 𝑒𝑛+1 = 𝑒𝑛 + (𝑛+1)!.
2.
4. Pour tout entier naturel n, en+1 – en>0 donc la suite (en) est croissante.
1 1 1 1
5. a. 0 ! = 1 et 20−1 = 2 donc 0 ! ≤ 20−1 .La propriété est donc vraie pour n = 0.
1 1
Par récurrence sur la propriété P(k) :𝑘! ≤ 2𝑘−1 .
1 1 1 1
Initialisation : 1! = 1 et 21−1 = 1 donc ≤ 21−1 . P(1) est vraie.
1!
1 1
Hérédité : on considère un entier naturel non nul k tel que 𝑘! ≤ 2𝑘−1.
1
Alors en multipliant par 𝑘+1 chaque membre de l’inégalité on obtient :
1 1 1
≤ 2𝑘−1 𝑘+1.
(𝑘+1)!
1 1 1 1
Or pour tout entier naturel non nul k, 𝑘+1 ≤ 2 un donc (𝑘+1)! ≤ 2𝑘.
P(k + 1) est vraie.
1
1 𝑛+1 −1 1
b. ∑𝑛𝑘=0 2𝑘−1 = 2 2 1 = 4 − 2𝑛−1 donc pour tout entier naturel en ≤ 4.
−1
2
c. La suite (en) est majorée et croissante donc elle converge. On note e sa limite.
A. Étude algébrique
𝑎+𝑏 𝑎 1
1. Si x vérifie les égalités 𝑥 = = 𝑏 alors 𝑥 = 1 + 𝑥 donc x² – x – 1 = 0.
𝑎
1−√5 1+√5 1+√5
2. a. On obtient deux solutions distinctes : 𝑥1 = et 𝑥2 = donc φ = .
2 2 2
C. Valeurs approchées de 𝛗
1.
2 𝑛−1
2. lim ( ) |φ1 − φ| = 0 donc le résultat du test « (2/3)**(n-1)*abs(2-
𝑛→+∞ 3
(1+sqrt(5))/2)>p » sera faux à partir d’un certain rang n. La condition de sortie de la
boucle While est donc assurée et le programme se termine bien.
3. a. Le programme retourne pour p = 10– 3 une valeur approchée de φ à 10–3 près de
1,618.
Sujet B
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles
dans le manuel numérique enseignant.
3
1. On a : u0 + u1 = u0 × u1 donc 3 + u1 = 3 × u1. On obtient : 𝑢1 = 2.
3 3
De même, u0 + u1 + u2 = u0 × u1 × u2 donc 3 + 2 + 𝑢2 = 3 × 2 × 𝑢2 .
9
On obtient : 𝑢2 = 7.
2. a. Pour tout entier naturel n strictement positif,
𝑠𝑛+1 = 𝑢0 + 𝑢1 + ⋯ + 𝑢𝑛−1 + 𝑢𝑛 = 𝑠𝑛 + 𝑢𝑛 .
Comme pour tout entier naturel n strictement positif, un ≥ 0 alors sn ≥ u0. De plus,
u0 > 1 donc pour tout entier naturel n strictement positif, sn > 1.
b. Pour tout entier naturel n strictement positif,
𝑠𝑛+1 = 𝑠𝑛 + 𝑢𝑛 .
𝑠𝑛
Et 𝑠𝑛+1 = 𝑢0 𝑢1 … 𝑢𝑛−1 𝑢𝑛 = 𝑠𝑛 𝑢𝑛 donc 𝑠𝑛 𝑢𝑛 = 𝑠𝑛 + 𝑢𝑛 . Or 𝑠𝑛 > 1 donc 𝑢𝑛 = 𝑠 .
𝑛 −1
𝑠𝑛
c. On a : 𝑢0 > 1 et pour tout entier naturel n strictement positif, 𝑢𝑛 = 𝑠 .
𝑛 −1
𝑠𝑛
Or 𝑠𝑛 > 𝑠𝑛 − 1 et 𝑠𝑛 − 1 > 0 car 𝑠𝑛 > 1 donc > 1.
𝑠𝑛 −1
3. a.
Sujet C
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique
enseignant, le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles
dans le manuel numérique enseignant.
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire à la
question 3 « On considère la suite (un) définie pour tout entier naturel n par un=0,8n
et 0.8**n≥0,01 ».
1. Faux. Un contre-exemple : la suite (un) définie pour tout entier naturel n supérieur
(−1)𝑛
ou égal à 1 par un= .
𝑛
2. Faux. Soit n un entier naturel : pn+1 – pn = 2n – 41. Pour n supérieur ou égal à 21,
on a pn+1 – pn ≥ 0 et pn+1 – pn ≤ 0 pour n inférieur ou égal à 21.
Conclusion : la suite (pn) est donc croissante à partir du rang n = 21 et décroissante
avant ce rang. Elle n’est donc pas strictement décroissante.
3. Vrai. À l’aide de la boucle Tant que on répète le calcul des termes de la suite
jusqu’à en trouver un strictement inférieur à 0,01. La condition d’entrée dans la
boucle est donc bien 0,8n≥0,01 qui s’écrit 0.8**n≥0,01 en Python.
4.Vrai. Pour tout entier naturel n , (n + 1)2 > 0. Donc :
𝑛² 𝑛2 + 𝑛
≤ 𝑤𝑛 ≤
(𝑛 + 1)² (𝑛 + 1)²
𝑛² 𝑛2 +𝑛
Or lim = lim = 1.
𝑛→+∞ (𝑛+1)² 𝑛→+∞ (𝑛+1)²
D’après le théorème des gendarmes lim 𝑤𝑛 = 1.
𝑛→+∞
1 𝑛
5. Faux. lim 1 + (− 3) = 1. De plus : lim 1 + 𝑛2 = +∞.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
1 𝑛
1+(− )
D’après la règle sur la limite d’un quotient : lim 3
= 0.
𝑛→+∞ 1+𝑛²
Sujet D
Un fichier logiciel est disponible dans le manuel numérique enseignant.
2+3×3 11
1. u1 = f (u0) = f (3) = = .
4+3 7
2. a. =(2+3*B2)/(4+B2)
b. La suite (un) semble être convergente et admettre pour limite 1.
3. La fonction f est définie et dérivable sur [0 ; 4] comme quotient de fonctions
dérivables dont le dénominateur ne s’annule jamais. Pour tout x appartenant à [0 ; 4],
10
𝑓 ′ (𝑥) = (4 + 𝑋)². Donc la fonction f’ est strictement positive sur [0 ; 4] et la fonction f
est donc strictement croissante sur [0 ; 4].
4. Pour tout entier naturel n, P(n) : « 1 ≤ un+1 ≤ un ≤ 3».
11
Initialisation : u0 = 3 et u1 = 7 ≈ 1,57 donc 1 ≤ u1 ≤ u0 ≤ 3. P(0) est vraie.
Hérédité : On considère un entier naturel n tel que P(n) est vraie, c’est-à-dire tel que
1 ≤ un+1 ≤ un ≤ 3. On montre que P(n + 1) est vraie, c’est-à-dire que :
1 ≤ un+2 ≤ un+1 ≤ 3.
On a : f est strictement croissante sur [0 ; 4] donc f (1) ≤ f (un+1) ≤ f (un) ≤ f (3).
11
Or f (1) = 1 et f (3) = donc f (3) ≤ 3. De plus f (un+1) = un+2 et f (un) = un+1.
7
Donc : 1 ≤ un+2 ≤ un+1 ≤ 3.
Conclusion : La propriété est vraie au rang 0 et est héréditaire, donc d’après le
principe de récurrence, pour tout entier naturel n, P(n) est vraie, c’est-à-dire que l’on
a 1 ≤ un+1 ≤ un ≤ 3 pour tout entier naturel n.
5. La suite est décroissante et minorée donc elle est convergente (théorème de
convergence monotone).
Sujet E
Partie A.
K W U V
0 2 10
14
1 2 8
3
14 52 43
2
3 9 6
Partie B.
1. a. Pour tout entier naturel n,
𝑢𝑛 + 3𝑣𝑛 2𝑢𝑛 + 𝑣𝑛
𝑣𝑛+1 − 𝑢𝑛+1 = −
4 3
3𝑢𝑛 + 9𝑣𝑛 − 8𝑢𝑛 − 4𝑣𝑛
=
12
5
= 12 (𝑣𝑛 − 𝑢𝑛 ).
5
b. Pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛+1 = 12 𝑤𝑛 . Donc la suite (wn) est géométrique de
5 5 𝑛
raison 12 et de premier terme w0 = 8. Donc pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛 = 8 (12) .
2𝑢𝑛 +𝑣𝑛 𝑣𝑛 −𝑢𝑛 𝑤𝑛
2. a. Pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 = − 𝑢𝑛 = = .
3 3 3
Or pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛 > 0. Donc la suite (un) est croissante.
𝑢𝑛 +3𝑣𝑛 𝑣𝑛 −𝑢𝑛 𝑤𝑛
De même, pour tout entier naturel n, 𝑣𝑛+1 − 𝑣𝑛 = − 𝑣𝑛 = − =− .
4 4 4
Or pour tout entier naturel n, 𝑤𝑛 > 0. Donc la suite (vn) est décroissante.
b. Par récurrence sur la propriété P(n) : 𝑢𝑛 ≤ 10 et 𝑣𝑛 ≥ 2.
Initialisation : u0 = 2 et v0 = 10. P(0) est vraie.
Hérédité : on considère un entier naturel n tel que 𝑢𝑛 ≤ 10 et 𝑣𝑛 ≥ 2 .
2𝑢𝑛 +𝑣𝑛 20+𝑣𝑛 𝑢𝑛 +3𝑣𝑛 𝑢𝑛 +6
Donc ≤ et ≥ .
3 3 4 4
Or (vn) est décroissante donc pour tout entier naturel n, vn ≤ v0 c’est-à-dire vn ≤ 10 et
(un) est croissante donc pour tout entier naturel n, un ≥ u0 c’est-à-dire un ≥ 2.
20+10 2+6
Donc 𝑢𝑛+1 ≤ et 𝑣𝑛+1 ≥ . On obtient 𝑢𝑛+1 ≤ 10 et 𝑣𝑛+1 ≥ 2.
3 4
P(n + 1) est vraie.
c. La suite (un) est croissante et majorée et la suite (vn) est décroissante et minorée.
Elles sont donc toutes les deux convergentes.
3. lim 𝑤𝑛 = 0 donc lim 𝑣𝑛 − 𝑢𝑛 = 0. Ainsi lim 𝑣𝑛 = lim 𝑢𝑛 .
𝑛→+∞ 𝑛→+∞ 𝑛→+∞ 𝑛→+∞
4. a. Pour tout entier naturel n,
2𝑢𝑛 + 𝑣𝑛 𝑢𝑛 + 3𝑣𝑛
tn+1 = 3un+1 + 4vn+1 = 3 +4 = 3un + 4vn = tn.
3 4
(tn) est donc constante.
b. Pour tout entier naturel n, tn = t0 = 46 donc lim 𝑡𝑛 = 46.
𝑛→+∞
46
Soit l la limite commune de (un) et (vn) alors lim 𝑡𝑛 = 3𝑙 + 4𝑙 = 7𝑙. Donc 𝑙 = .
𝑛→+∞ 7
Chapitre 5
Fonctions : limites et dérivation
3 Exercices, TP et algorithmes
Les exercices sont progressifs et variés.
Les approfondissements : asymptotes obliques et dérivée n-ième d’une fonction
sont traités page 189, et les branches paraboliques dans l’exercice 180.
L’objectif du TP est d’étudier de manière mathématique un problème d’optique.
L’utilisation d’un logiciel de géométrie permet de créer et d’observer l’image
formée par une lentille convergente, selon la place de l’objet sur l’axe focal, de faire
une conjecture sur cette image dans les cas « limites » où l’objet est « à l’infini » et où
il est très proche du foyer. Ces conjectures sont démontrées dans la dernière partie (la
relation de conjugaison que l’on utilise est écrite par les physiciens avec des mesures
algébriques et non l’abscisse des points).
3 1. Réponse a.
2. Réponse c.
4 1. Réponses a et c.
2. Réponses b et c.
1 (√𝑥−1)(√𝑥+1)+1 𝑥
5 Pour tout réel x positif, √𝑥 − 1 + = = .
√ 𝑥+1 √𝑥+1 √𝑥+1
−𝑥 2 +1
9 Pour tout réel x, f ’(x) = (𝑥 2 +1)2.
C Activités
Activité 1 Émergence de la notion de limite
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant
ou sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la
modifier à votre guise.
𝟏
Activité 3 Limites en 0 des fonctions x ↦ (n∈N*)
𝒙𝒏
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant
ou sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la
modifier à votre guise.
1 1
Soit f et g les fonctions définies sur ]–∞ ; 0[∪]0 ; +∞[ par f (x)= 𝑥 et g(x) = 𝑥 2 .
1. a. On se place dans l’intervalle ]0 ; + ∞[.
x 0,1 0,01 0,001 0,000 1 0,000 01
f(x) 10 100 1 000 10 000 100 000
b. f (x) prend des valeurs de plus en plus grandes.
c. Pour que f (x) >10 000, on doit choisir x > 0,000 1.
d. Pour que f (x) >107, on doit choisir x > 10–7
1
2. a. Pour que f (x) > A, on doit choisir x > 𝐴.
b. On en déduit que la limite de f lorsque x tend vers 0, en étant strictement supérieur à
0, est égale à + ∞.
3. a.
x 0,1 0,01 0,001 0,000 1 0,000 01
6 8
g(x) 100 10 000 10 10 1010
b. On conjecture que la limite de g lorsque x tend vers 0, en étant strictement supérieur
à 0, est égale à +∞.
4. On conjecture que : lim 𝑔(𝑥) = +∞.
𝑥→0
𝑥<0
3. a.
D Exercices
Automatismes et rituels
1 1 3
1 1. + = 10.
5 10
6
2. 1 + 0,2 = 5.
1
3. 0,1 × 0,2 = 50.
1 1
2 1. + = 0,6.
2 10
3
2. 5 + 0,1 = 0,7.
1
3. 10 × 25 = 0,4.
4 1. f (– 1) = – 1.
2. g(– 1) = – 8.
9 u2 = 54 et u11 = 27.
12 On calcule les coordonnées de deux vecteurs formés à partir de ces trois points et
on détermine s’ils sont colinéaires ou non. Pour cela, on peut calculer le déterminant
de ces deux vecteurs.
14 f ’(1) = 2.
22 1. a. lim 3 = 3 et lim 3 = 3.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
b. lim x = –∞ et lim x = + ∞.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
c. lim x2 = +∞ et lim x2 = + ∞
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
d. lim x3 = –∞ et lim x3 = + ∞.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
e. lim x4 = +∞ et lim x4 = + ∞.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
f. lim ex = 0 et lim ex = + ∞.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
1 1
g. lim = 0 et lim = 0.
𝑥→−∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥
1 1
h. lim = 0 et lim = 0.
𝑥→−∞ 𝑥 2 𝑥→+∞ 𝑥 2
1 1
2. lim 𝑓(𝑥) = lim = –∞ et lim 𝑓(𝑥) = lim = +∞.
𝑥→0 𝑥→0 𝑥 𝑥→0 𝑥→0 𝑥
𝑥<0 𝑥<0 𝑥>0 𝑥>0
1 1
lim 𝑔(𝑥) = lim = +∞ et lim 𝑔(𝑥) = lim = +∞.
𝑥→0 𝑥→0 𝑥 2 𝑥→0 𝑥→0 𝑥 2
𝑥<0 𝑥<0 𝑥>0 𝑥>0
1 1
29 • D’après le cours, lim 𝑓(𝑥) = lim = –∞ et lim 𝑓(𝑥) = lim = +∞.
𝑥→0 𝑥→0 𝑥 𝑥→0 𝑥→0 𝑥
𝑥<0 𝑥<0 𝑥>0 𝑥>0
2 1
• lim = lim (2 × 𝑥) = –∞ donc lim 𝑔(𝑥) = –∞.
𝑥→0 𝑥 𝑥→0 𝑥→0
𝑥<0 𝑥<0 𝑥<0
2 1
lim = lim (2 × 𝑥) = +∞ donc lim 𝑔(𝑥) = +∞.
𝑥→0 𝑥 𝑥→0 𝑥→0
𝑥>0 𝑥>0 𝑥>0
4 1
• lim (− 𝑥) = lim (−4 × 𝑥) = +∞ donc lim ℎ(𝑥) = +∞.
𝑥→0 𝑥→0 𝑥→0
𝑥<0 𝑥<0 𝑥<0
4 1
lim (− 𝑥) = lim (−4 × 𝑥) = –∞ donc lim ℎ(𝑥) = –∞.
𝑥→0 𝑥→0 𝑥→0
𝑥>0 𝑥>0 𝑥>0
32 1. On calcule la limite de chaque terme puis on utilise les règles sur la limite
d’une somme de fonctions :
lim (3x2) = +∞ et lim (5x + 1) = +∞ donc lim (3x2+ 5x + 1) = +∞.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
2. On calcule la limite de chaque terme puis on utilise les règles sur la limite d’une
somme de fonctions :
lim (2ex) = 0 et lim (x + 7) = –∞ donc lim (2ex + x + 7) = –∞.
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 𝑥→−∞
1 1 1
35 lim = 0 et lim = 2.
𝑥→−∞ 𝑓(𝑥) 𝑥→+∞ 𝑓(𝑥)
3
37 1. lim (2 + ex) = 2 donc lim f (x) = 2.
𝑥→−∞ 𝑥→−∞
2. lim (2 + ex) = +∞ donc lim f (x) = 0.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞
42 1. Réponse c.
2. Réponse a.
1 2
44 1. a. lim = 0 et lim = 0.
𝑥→ + ∞ 𝑥²+1 𝑥→ + ∞ 𝑥²+1
b. D’après le théorème des gendarmes : lim 𝑓(𝑥) = 0.
𝑥→ + ∞
2. lim f(x) = 0
x→−∞
Pour s’entraîner
51 1. lim f (x) = +∞ et lim f (x) = 7.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2. La courbe a une asymptote d’équation y = 7 en +∞.
3. lim f (x) = +∞ donc tout intervalle de la forme ]A ; +∞ [ , et en particulier
𝑥→−∞
l’intervalle ]1 000 ; +∞ [ , contient toutes les valeurs f (x) dès que x est suffisamment
« petit », c’est-à-dire négatif et grand en valeur absolue.
Donc il existe un réel x0 tel que l’intervalle ]1 000 ; +∞ [ contient toutes les valeurs
f (x) dès que x < x0.
52 1.
x –1 2 5
f (x) ║ +∞ ║ 2
║ –∞ ║ –∞
b.
2.
55 1. Vrai.
Tout intervalle de la forme ] –∞ ; B[ , et en particulier l’intervalle ] –∞ ; –1 000[ ,
contient toutes les valeurs f (x) dès que x est suffisamment « grand ».
Donc il existe un réel x0 tel que l’intervalle ] –∞ ; –1 000[ contient toutes les valeurs
f (x) dès que x > x0.
2. Faux.
On peut donner un contre-exemple à l’aide d’une courbe représentant une fonction
décroissante et dont la limite en +∞ est finie (par exemple la courbe représentat la
fonction f définie sur ℝ par f (x) = e–x).
19
57 a. lim (5x² + 3x – ) = –∞.
𝑥→0 𝑥
𝑥>0
1
b. lim (4 – 3x + 𝑥 2 ) = +∞.
𝑥→0
𝑥<0
2
60 a. lim e𝑥 (– 5 + 𝑥) = 0.
𝑥→ -∞
3
b. lim (x – 1)(2 +𝑥 3 ) = + ∞
𝑥→0
𝑥<0
2
62 a. lim(1 – 2ex)(1 +𝑥) = –∞.
𝑥→0
𝑥>0
b. lim (1 – ex)(1 – x) = +∞.
𝑥→ −∞
68 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire :
Calculer les limites en +∞ et en 0 de la fonction f définie sur ]0 ; +∞[ par
2𝑥 3 +3𝑥−5
f(x)= .
𝑥
5
lim f (x) = lim (2𝑥 2 + 3 − 𝑥.) = +∞ et lim f (x) = –∞.
𝑥→ +∞ 𝑥→ +∞ 𝑥→0
𝑥>0
(𝑥 10 +10)²−100 𝑥 20 +20𝑥 10
69 lim = lim = lim (x20 + 20) = 20.
𝑥→ 0 𝑥 10 𝑥→ 0 𝑥 10 𝑥→ 0
𝑥<0 𝑥<0 𝑥<0
𝑥+1
b. 𝑓(𝑥) − 1 = .
𝑥²
Sur ] –∞ ; –1], f (x) – 1≤ 0 et sur [–1 ; 0[∪]0 ; + ∞[, f (x) – 1 ≥ 0.
c. Sur ] –∞ ; –1], f (x) ≤ 1 donc # est au-dessous de d.
Sur [–1 ; 0[∪]0 ; + ∞[, f (x) ≥ 1 donc # est au-dessus de d.
74 1. lim f (x) = 0.
𝑥→+∞
2. a. Sur ]0 ; +∞[, ex – 1 >0.
b. lim f (x) = +∞.
𝑥→0
𝑥>0
75 1. lim f(x) = 0
x→+∞
2. a. Si x appartient à [0 ; 3[, –x² + 9> 0 et si x > 3, –x² + 9 < 0
b. limf(x) = +∞ et . limf(x) = –∞
x→3 x→3
x<3 x>3
1
76 1. lim f (x) = 3 donc lim g(x) = 3.
𝑥→−∞ 𝑥→−∞
lim f (x) = –∞ donc lim g(x) = 0.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞
2. a. Si x ≤ 1, alors f (x) ≥ 0 ; si x ≥ 1, alors f (x) ≤ 0.
b. lim g(x) = +∞ et limg(x) = –∞.
𝑥→1 𝑥→1
𝑥<1 𝑥>1
77 La proposition n’est pas vraie pour tout réel k. Pour k = 0, elle est fausse.
e𝑥
78 a. Vrai, lim = 0 car lim ex = 0 et lim x = –∞.
𝑥→ −∞ 𝑥 𝑥→ −∞ 𝑥→ −∞
e𝑥
b. Faux, lim ex = 1 et lim x = 0– donc lim = –∞.
𝑥→0 𝑥→0 𝑥→0 𝑥
𝑥<0 𝑥<0 𝑥<0
𝑥
c. Vrai, car lim x = –∞ et lim ex = 0+ donc lim = –∞.
𝑥→ −∞ 𝑥→ −∞ 𝑥→ −∞ e𝑥
2𝑥−1
90 a. f définie sur ]1 ; +∞[ par f (x) = 𝑥−1
2𝑥²
b. f définie sur ]6 ; +∞[ par f (x) = 𝑥−6.
7𝑥²
c. f définie sur ℝ par f (x) = 𝑥 2 ∓1
1
d. f définie sur ℝ par f (x) = 3 − 𝑒 𝑥 +1
1
94 f = v o u avec u(x) = x2 + x + 1 et v(x) = 𝑥 4 .
lim 𝑓 (𝑥) = 0 et lim 𝑓 (𝑥) = 0.
𝑥→ −∞ 𝑥→ +∞
95 a. lim e3x–2 = 0.
𝑥→ −∞
b. lim √2 + 𝑥 + e−𝑥 = +∞.
𝑥→ +∞
2 +𝑥+1
96 a. lim e−𝑥 = 0.
𝑥→+∞
2
b. lim e𝑥 = +∞.
𝑥→0
𝑥>0
99 1. lim 𝑓(𝑥) = −2 .
𝑥→ −∞
e−𝑥 (e2𝑥 −2) e𝑥 −2e−𝑥
2. a. Pour tout réel x, 𝑓(𝑥) = = .
e−𝑥 (e𝑥 +1) 1+e−𝑥
b. lim 𝑓(𝑥) =+ ∞.
𝑥→ +∞
4𝑒 𝑥
111 a. lim (2 − ) = –∞.
𝑥→ + ∞ 𝑥
𝑒𝑥
b. lim (1 + 2𝑥 2 ) = +∞.
𝑥→ + ∞
4e𝑥
112 a. lim (1 + ) = +∞.
𝑥→ + ∞ √𝑥
√𝑥e𝑥 e𝑥
b. lim ( ) = lim ( 𝑥) = +∞.
𝑥→ + ∞ 𝑥 𝑥→ + ∞ √
5𝑥
113 a. lim = 0.
𝑥→ + ∞ e𝑥
5−3𝑥
b. lim = 0.
𝑥→ + ∞ e𝑥
e𝑥
115 a. lim (3x – ex ) = lim 𝑥(3 – ) = –∞.
𝑥→ + ∞ 𝑥→ + ∞ 𝑥
𝑒𝑥
b. lim (3x² –2ex) = lim x²(3 –2 𝑥² ) = –∞.
𝑥→+ ∞ 𝑥→+ ∞
e𝑥
116 a. lim (x2 – xex ) = lim x²(1 – ) = –∞.
𝑥→+ ∞ 𝑥→+ ∞ 𝑥
b. lim (ex – x)ex = lim (e2x – xex) = 0.
𝑥→ −∞ 𝑥→ −∞
e2𝑥
121 a. lim = +∞.
𝑥→ + ∞ 𝑥
e−3𝑥
b. lim = –∞.
𝑥→ − ∞ 𝑥
e0,1𝑥
c. lim = +∞.
𝑥→ + ∞ 2𝑥
𝑥 −8𝑥 3
123 f ’(x) = √𝑥 2 ; g’(x) = 9(3x + 1)2 ; h’(x) = (𝑥 4 +3)3
+2
−3(2𝑥+1) −4e𝑥 e𝑥
124 f ’(x) = (𝑥 2 +𝑥+1)4 ; g’(x) = (e𝑥 +3)5 ; h’(x) = 2√e𝑥 +1
2
125 f ’(x) = –9(1 – x)2 ; g’(x) = –10ex(1 – 5ex) ; h’(x) = (2x + 1)e1+𝑥+𝑥 .
e−𝑥
126 f ’(x) = 6ex(2ex – 1)2 ; g’(x) = (e−𝑥 +3)2 ;
2e2𝑥 (e2𝑥 + 3)− e2𝑥 × 2e2𝑥 6e2𝑥
h’(x) = = (e2𝑥 +3)2
(e2𝑥 + 3)2
2𝑥 𝑥2
127 Pour tout réel x, f ’(x) = √𝑥 2 + 4 + x = √𝑥 2 + 4 + √𝑥 2 .
2√𝑥 2 +4 +4
𝑥 2 +4+𝑥 2 2(𝑥 2 +2)
Donc f ’(x) = √𝑥 2 +4
== √𝑥 2 +4
.
2𝑥
2√𝑥2 +2 3𝑥
128 Pour tout réel x, f ’(x) = −3 × = − √𝑥 2 .
𝑥 2 +2 +2(𝑥 2 +2)
−1 2
129 Pour tout réel x de [0 ; +∞[, f ’(x) = et f ’’(x) = (𝑥+1)3 .
(𝑥+1)2
−3 12
130 Pour tout réel x de [0 ; +∞[, f ’(x) = et f ’’(x) = (1+𝑥)5 .
(1+𝑥)4
2 2
133 Pour tout réel x, f ’(x) = e𝑥 + 2𝑥 2 e𝑥 .
Coefficient directeur de d1 : f ’(–1)= 3e.
Coefficient directeur de d2 : f ’(1)= 3e.
Les tangentes d1 et d2 sont parallèles car f ’(–1) = f ’(1).
𝑎
134 f (0) = 0,5 donc 2 = 0,5. Par conséquent, a = 1.
𝑎𝑏𝑒 −𝑏𝑥 𝑏𝑒 −𝑏𝑥
Pour tout réel x de [0 ; +∞[, f ’(x) = 2 = 2 puisque a = 1.
(1+𝑒 −𝑏𝑥 ) (1+𝑒 −𝑏𝑥 )
Le coefficient directeur de (AB) est égal à 0,05.
𝑏
Donc f ’(0) = 0,05 , soit 4 = 0,05 et par suite, b = 0,2.
On conjecture que sur ] – ∞ ; –0,5], # est au-dessous de d et sur [–0,5 ; +∞[, # est au-
dessus de d.
2𝑥+1
c. Pour tout réel x, f (x) – 1 = 𝑥 2 +2.
Sur ] – ∞ ; –0,5], # est au-dessous de d et sur [–0,5 ; +∞[, # est au-dessus de d.
(2𝑥+2)(𝑥 2 +2)−2𝑥(𝑥 2 +2𝑥+3) 2(−𝑥 2 −𝑥+2)
2. a. Pour tout réel x, f ’(x) = (𝑥 2 +2)2
= (𝑥 2 +2)2
.
b.
x –∞ –2 1 +∞
f ’(x) – 0 + –
f (x) 1 2
0,5 1
b.
t 0 +∞
f ’(t) +
f(t) 3
1
3.
144 Partie A
1. • lim 𝑥 2 = +∞ et lim e 𝑋 = +∞ donc par composition lim 𝑓(𝑥) = +∞.
𝑥→ − ∞ 𝑋→ + ∞ 𝑥→ − ∞
lim 𝑥 2 = +∞ et lim e 𝑋 = +∞ donc par composition lim 𝑓(𝑥) = +∞.
𝑥→ + ∞ 𝑋→ + ∞ 𝑥→ + ∞
𝑥2
• Pour tout réel x, f ’(x) = 2x𝑒 .
2
Pour tout réel x, e𝑥 > 0 donc f ’(x) a le même signe que 2x.
Sur ]–∞ ; 0], f ’(x) ≤ 0 donc f est décroissante sur cet intervalle.
Sur [0 ; +∞[, f ’(x) ≥ 0 donc f est croissante sur cet intervalle.
• f (0) = e0 = 1.
2 2
2. a. Pour tout réel x, h’(x) = 2x𝑒 𝑥 − 2𝑥 = 2x(𝑒 𝑥 − 1).
2 2
b. Pour tout réel x, x2 ≥ 0 donc e𝑥 ≥ 1 et par suite, e𝑥 − 1 ≥ 0.
h’(x) a donc le même signe que 2x.
Sur ]–∞ ; 0], h’(x) ≤ 0 et sur [0 ; +∞[, h’(x) ≥ 0.
c. h(0) = e0 – 0² – 1 = 0.
x –∞ 0 +∞
h’(x) – 0 +
h(x) +∞ +∞
0
2
Pour tout réel x, h(x) ≥ 0, donc e𝑥 ≥ x² + 1.
Partie B
1. lim g(x) = –∞ et lim g(x) = +∞.
𝑥→0 𝑥→0
𝑥<0 𝑥>0
2
𝑥2 e𝑥 1 1
2. Pour tout réel x > 0, e ≥ x + 1 donc
2
≥ x + 𝑥 , soit g(x) ≥ x + 𝑥.
𝑥
1
lim (x + 𝑥) = +∞ donc par comparaison lim g(x) = +∞.
𝑥→ + ∞ 𝑥→ + ∞
2
𝑥2 e𝑥 1
3. a. Pour tout réel x<0, e ≥ x² + 1 donc ≤ x + 𝑥.
𝑥
1
b. lim (x + 𝑥) = –∞ donc par comparaison lim g(x) = –∞.
𝑥→ − ∞ 𝑥→ – ∞
2 2 2
2𝑥𝑒 𝑥 ×𝑥− 𝑒 𝑥 𝑒 𝑥 (2𝑥 2 −1)
4. a. Pour tout réel x non nul, g’(x) = =
𝑥² 𝑥²
2
Pour tout réel x non nul e𝑥 > 0 et x2 > 0 donc g’(x) a le même signe que 2x² – 1.
b.
x –∞ √2 0 √2 +∞
−
2 2
g’(x) + 0 – ║ – 0 +
g(x) −√2𝑒 0,5 ║ +∞ +∞
║
–∞ –∞ ║ √2𝑒 0,5
2 1
146 lim 𝑓(𝑥 ) = lim ( 𝑥 – 𝑒 𝑥 ) = –∞
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 3 3
1
lim g(x)= lim (7x² – 1 + 𝑥 ) = +∞.
𝑥→−∞ 𝑥→−∞
147 1. Réponse a.
2. Réponse d.
153 Réponses a et d.
1 1
155 • Pour tout réel x > 1, on a : 2+ 𝑥²−1 ≤ f (x) et lim (2+ 𝑥²−1) = +∞
𝑥→1
𝑥>1
donc lim f (x) = + ∞.
𝑥→1
𝑥>1
1 1
• Pour tout réel x > 1, on a : 2+ 𝑥²−1 ≤ f (x) ≤ 2 +𝑥−1.
1 1
lim (2 + ) = lim (2 + 𝑥−1) = 2 donc d’après le théorème des gendarmes
𝑥→+∞ 𝑥²−1 𝑥→+∞
lim 𝑓(𝑥) = 2.
𝑥→+∞
e𝑥
156 • lim e𝑥 = 1 et lim x = 0+ donc par quotient lim = + ∞, et par conséquent lim
𝑥→0 𝑥→0 𝑥→0 𝑥 𝑥→0
𝑥>0 𝑥>0 𝑥>0
𝑓(𝑥)= –∞.
e𝑥
• Par croissances comparées, lim = +∞ donc lim 𝑓(𝑥) = –∞.
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞
lim (7e𝑥 ) = 0 et par croissances comparées, lim (𝑥e𝑥 ) = 0 donc par somme
𝑥→−∞ 𝑥→−∞
lim 𝑓(𝑥) = 0.
𝑥→−∞
• lim (7 − 𝑥) = –∞ et lim e𝑥 = +∞ donc par produit lim f (x) = –∞.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
2 +3) 2 +3)
158 f ’(x) = 2(3x2 + 3)e𝑥(𝑥 = 6(x² + 1) e𝑥(𝑥
−6𝑥
g’(x) = – 3 × 2x(x2 + 3)– 4 = (𝑥 2 +3)4.
159 Réponse c.
b. Pour tout réel x de ]0 ; +∞[, f ’(x) < 0 donc f est décroissante sur ]0 ; +∞[.
–6
2
165 1. lim 2 = 2 et lim(3 – x) = 0– donc lim 3−𝑥 = –∞.
𝑥→3 𝑥→3 𝑥→3
𝑥>3 𝑥>3 𝑥>3
𝑥−1
2. lim (x – 1) = 1 et lim (2 – x) = 0+ donc lim 2 − 𝑥 = +∞.
𝑥→2 𝑥→2 𝑥→2
𝑥<2 𝑥<2 𝑥<2
1
3. lim (2 + ex) = +∞ donc lim = 0.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 2 + e𝑥
1 1
4. lim (2 + ex) = 2 donc lim = 2.
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 2 + 𝑒 𝑥
5. lim (2 – x2) = – ∞ et lim (√𝑥– 5 ) = + ∞ donc lim (2 – x2) (√𝑥 − 5 ) = – ∞.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
2 2
6. lim (3x ) = +∞ et lim
3
= 0 donc lim (3x + 𝑥 ) = +∞.
3
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞
7. lim (x ) = – ∞ et lim (– 4x²+ 9) = – ∞ donc lim (x3 – 4x²+ 9) = – ∞.
3
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 𝑥→−∞
8. lim x = – ∞ et lim (e +1) = 1 donc lim (x + ex +1) = – ∞.
x
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 𝑥→−∞
9. lim e = 0 et lim (e –1) = –1 donc lim ex (ex – 1 )= – 1.
x x
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 𝑥→−∞
ex
10. lim ex = e4 et lim (x – 4) = 0– donc lim = –∞.
𝑥→4 𝑥→4 𝑥→4 𝑥−4
𝑥<4 𝑥<4 𝑥<4
1−2𝑥
c. lim (g(x) – 2x) = lim = −2.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 1+𝑥
La droite d n’est pas une asymptote à la courbe car lim (g(x) – 2x) ≠ 0.
𝑥→+∞
d. lim (g(x) – 2x + 2) = 0.
𝑥→+∞
La droite d’équation y = 2x – 2 est une asymptote oblique à la courbe en +∞.
168 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire :
𝑥²
« 2. Soit f la fonction définie sur ] – ∞ ; – 2[ par f(x) = 2+𝑥 et Cf sa courbe
représentative. Démontrer que la courbe #f admet une asymptote oblique en –∞. »
1. lim (f (x) – (2x – 1)) = lim ex = 0 donc la droite d’équation y = 2x – 1 est une
𝑥→−∞ 𝑥→−∞
asymptote à #f en –∞.
𝑓(𝑥) 𝑥² −2𝑥
2. lim = lim = 1 et lim (f (x) – x) = lim = – 2.
𝑥→−∞ 𝑥 𝑥→+∞ 2𝑥+𝑥² 𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 2+𝑥
lim (f (x) – (x – 2)) = 0 donc la droite d’équation y = x – 2 est une asymptote à #f en
𝑥→−∞
–∞.
20
172 1. 𝑃(𝑥) = 20−𝑥 𝑃0 .
2. a. lim P(x) = +∞.
x→20
x<20
b. Quand le volume tend vers 0, la pression tend vers +∞.
173 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
1. Créer un curseur « a », puis dans saisie g(x)=1/(x²+a)
Déplacer le curseur « a » et observer les courbes.
2. On a affiché la trace des courbes affichées par le logiciel.
Pour « a » = 0 : Pour « a » > 0 : Pour « a » < 0 :
1 1 −2𝑥
3. ga(x) = 𝑓 (𝑥) = 𝑥²+𝑎. g'a(x) = (𝑥²+𝑎)².
𝑎
ga’(x) + 0 –
ga 1
𝑎
0 0
(AB+CD)DH
174 1. L’aire du trapèze est : = (1 + x)√1 − 𝑥².
2
2. a. Pour tout réel x de [0 ; 1[,
−𝑥 −2𝑥²−𝑥+1
f ’(x)= √1 − 𝑥² + ( 1 + x) = .
√1−𝑥² √1−𝑥²
b.
x 0 0,5 1
f ’(x) + 0 – ║
f(x) 0,75√3 ║
1 0 ║
3. Le trapèze dont l’aire est maximale est tel que AH = 0,5, et par suite : AB = 2.
2𝑣
− 2 −𝑣
𝑐
177 1. a. Pour tout réel v de [0 ; c[, L’(v) = 𝐿0 = 𝐿0
𝑣2 𝑣2
2√1 − 2 𝑐 2 √1 − 2
𝑐 𝑐
𝑣2
𝑐2 √1 − 2
𝑐 𝑣
2. a. Pour tout réel v de [0 ; c[, m’(v) = 𝑚0 𝑣2
= 𝑚0 .
1− 2 𝑣2 𝑣2
𝑐 𝑐 2 √1 − 2 (1 − 2 )
𝑐 𝑐
178 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire :
« 4. c. Calculer l’abscisse du point d’intersection de T et d. »
𝑘
1. Pour tout réel t de [0 ; +∞ [, v’(t) = 9,81e− 𝑚𝑡 .
Pour tout réel t de [0 ; +∞ [, v’(t) > 0 donc la fonction v est croissante.
𝑘
𝑘
2. lim (− 𝑡) = –∞ et lim e𝑇 = 0 donc lim e− 𝑚𝑡 = 0 et par suite,
𝑡→+∞ 𝑚 𝑇→−∞ 𝑡→+∞
𝑚
lim v(t) = 9,81 𝑘 .
𝑡→+∞
𝑚
On note vL la vitesse limite. Ainsi vL = 9,81 𝑘 .
𝑚 𝑚 𝑚
3. Si t ≥ 5 𝑘 , alors v(t) ≥ v(5 𝑘 ) et donc v(t) ≥ 9,81 𝑘 (1−𝑒 − 5 ).
Par conséquent, v(t) ≥ (1−𝑒 − 5 ) vL
Comme 1 – e–5 ≈ 0,993, la vitesse de la goutte dépasse 99% de sa vitesse limite.
𝑚 𝑚
4. a. lim v(t) = 9,81 𝑘 donc la courbe admet une asymptote d’équation y = 9,81 𝑘 en
𝑡→+∞
+∞.
b. La tangente au point d’abscisse 0 a pour équation y = 9,81t.
𝑚
c. Le point d’intersection de T et d a pour abscisse 𝑘 .
5. Par lecture graphique, le point d’intersection de T et d a pour abscisse 1,5.
𝑚
Donc = 1,5.
𝑘
𝑥²
179 1. La fonction x ⟼ 𝑥²+1 est dérivable et strictement positive sur ]– ∞ ; 0[ et sur
]0 ; +∞[ donc la fonction f est dérivable sur ]– ∞ ; 0[ et sur ]0 ; +∞[.
𝑓(0+ℎ)−𝑓(0) 𝑓(ℎ)
2. a. Le taux d’accroissement de f entre 0 et 0 + h est : r(h) = = .
ℎ ℎ
ℎ² 1 1 |ℎ| 1
Or f(h) = √ℎ²+1 = √ℎ² × √ℎ²+1 = |h| √ℎ²+1 donc r(h) = √ .
ℎ ℎ²+1
1
b. Si h > 0, r(h) = √ℎ²+1 donc lim r(h) = 1.
ℎ→0
ℎ>0
1
c. Si h < 0, r(h) = −√ℎ²+1 donc lim r(h) = − 1.
ℎ→0
ℎ<0
3. fd’(0) = 1 et fg’(0) = − 1.
fd’(0) ≠ fg’(0) donc f n’est pas dérivable en 0.
4.
180 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
1. a. et b.
On conjecture que lorsque l’abscisse x de M tend vers +∞ la pente de la droite (OM) tend
vers 0.
1+√𝑥
c. Lorsque l’abscisse de M est x, la pente de (OM) est m(x) = .
𝑥
1+√𝑥 1 1
lim = lim (𝑥 + ) = 0.
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ √𝑥
d. La « position limite » de la droite (OM) est l’axe des abscisses.
2. a.
On conjecture que lorsque l’abscisse x de M tend vers +∞ la pente de la droite (OM) tend
vers +∞.
𝑥2 + 1
Lorsque l’abscisse de M est x, la pente de (OM) est m(x) = .
𝑥
𝑥2 + 1 1
lim = lim (𝑥 + 𝑥) = +∞.
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞
La « position limite » de la droite (OM) est l’axe des ordonnées.
b.
On conjecture que lorsque l’abscisse x de M tend vers +∞ la pente de la droite (OM) tend
vers 2.
2𝑥 + 1 + √𝑥
Lorsque l’abscisse de M est x, la pente de (OM) est m(x) = .
𝑥
2𝑥 + 1 + √𝑥 1 1
lim = lim (2 + 𝑥 + ) = 2.
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ √𝑥
La « position limite » de la droite (OM) est la droite d’équation y = 2x.
c.
On conjecture que lorsque l’abscisse x de M tend vers +∞ la pente de la droite (OM) tend
vers 2.
1
2𝑥 + 1 + 2
Lorsque l’abscisse de M est x, la pente de (OM) est m(x) = 𝑥 +1
.
𝑥
1
2𝑥 + 1 + 2 1 1
𝑥 +1
lim = lim (2 + 𝑥 + 𝑥(𝑥 2 +1)) = 2.
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞
La « position limite » de la droite (OM) est la droite d’équation y = 2x.
3. a. La courbe représentative de la fonction f définie sur [0 ; +∞[ par f (x)=1 + √𝑥
a une branche parabolique de direction l’axe des abscisses.
La courbe représentative de la fonction f définie sur [0 ; +∞[ par f (x) = x2 + 1
a une branche parabolique de direction l’axe des ordonnées.
b. • Pour f (x) = 2x + 1 + √𝑥 :
2𝑥 + 1 + √𝑥
lim = 2 et lim [2𝑥 + 1 + √𝑥 − 2𝑥] = lim [1 + √𝑥] = +∞ donc la courbe
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
#f a une branche parabolique de direction la droite d’équation y = 2x.
1
• Pour f (x) = 2x + 1 + 𝑥 2 + 1 :
1
2𝑥+1+ 2 1 1
𝑥 +1
lim = 2 et lim [2𝑥 + 1 + 𝑥 2 +1 − 2𝑥] = lim [1 + 𝑥 2 +1] = 1
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
donc la courbe #f a une asymptote d’équation y = 2x + 1.
𝑓(𝑎+𝑒)−𝑓(𝑎)
et enfin supprime e : lim
𝑒→0 𝑒
𝑏
La valeur trouvée est 2.
182 Lorsque la fusée atteint son altitude maximale hmax, sa vitesse v est nulle.
1 1
On en déduit que : v02 = 2GM( ).
R R hmax
2𝐺𝑀
La limite de v0 lorsque hmax tend vers l’infini est égale à √
𝑅
–11 –1 –2
avec G ≈ 6,67 × 10 m .kg .s ; M ≈ 6 × 10 kg et R ≈ 6,4 × 106 m.
3 24
e𝑥 1 1
183 lim f (x) = –∞ et lim f (x) = lim x2(𝑥 2 − 0,5 − 𝑥 + 𝑥 2 ) = +∞.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
Pour tout réel x, f ’(x) = e – x – 1 et f ’’(x) = ex – 1.
x
x –∞ 0 +∞
f ’’(x) – 0 +
f ’(x) +∞ +∞
0
f ’(x) + 0 +
+∞
f(x) 2
–∞
184 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
1. Dans le champ de saisie, écrire O=(0,0) puis f(x)=Si[x>0,1/x].
Construire le point M avec l’outil Point sur Objet.
Construire le segment [OM] avec l’outil Segment.
Déplacer le point M et observer la longueur du segment [OM] dans la fenêtre
d’affichage.
Travaux pratiques
TP Image formée par une lentille convergente
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
A. Construction et animation de la figure
Ouvrir le fichier logiciel.
Construction de A’ :
Construire :
● la droite passant par A et O ;
Chapitre 5 Fonctions : limites et dérivation – 199
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
C. Étude théorique
1 1 1 𝑝+f ' 1 pf ' – pf
1. – = donc = d’où q = =
𝑞 𝑝 f' pf ' 𝑞 𝑝+f ' p– f
– pf
2. lim = – f = f ’ : l’image est très proche de F’.
p p– f
3.
p –∞ f 0
p–f – 0 +
lim (– pf) = – f 2 et lim (p – f) = 0− donc lim q = + ∞.
𝑝→𝑓 𝑝→𝑓 𝑝→𝑓
𝑝<𝑓 𝑝<𝑓
L’image est de l’autre côté et s’éloigne « indéfiniment » de F’.
lim (– pf) = – f 2 et lim (p – f) = 0+ donc lim q = – ∞ =.
𝑝→𝑓 𝑝→𝑓 𝑝→𝑓
𝑝>𝑓 𝑝>𝑓
L’image est du même côté que l’objet et s’éloigne « indéfiniment » de F.
f ’(x) – 0 + 0 +
f (x) +∞ +∞
5
f(– 2)
7 2
7 2107
avec f (– 2) = – 32
Sujet B
1. Pour tout x positif , f ’(x) = 10u’(x) eu(x)
𝑥
1 1
Or u’(x) = 10 e2− 10 = − 10u(x) donc f ’(x) = − u(x)eu(x).
f est croissante sur [0 ; +∞[.
2. lim u(x) = 0 donc lim f (x) = 10.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞
3. a. Pour tout x positif, f ’(x) = −u’(x)eu(x) − u(x)u’(x)eu(x) = − u’(x)eu(x) (1 + u(x)).
1 1
Comme u’(x) = −10 u(x), on a : f ′′(x) = 10 u(x)eu(x) (1 + u(x)).
b. La fonction f ’ est croissante sur [0 ; 20] et décroissante sur [20 ; +∞[.
c. La vitesse de croissance de la longueur de la queue du lézard est maximale au bout
de 20 jours.
Sujet C
Partie A
1. Pour tout réel x > 0, (x – 1)2 ≥ 0 donc − x 2 ≤ − 2x + 1.
2
Par croissance de la fonction exponentielle, on en déduit que : e−𝑥 ≤ e −2x + 1.
2. a. Pour tout réel x > 0, xe −2x + 1 = xe × e −2x.
Donc xe −2x + 1 = e × (−0,5) × (−2)xe −2x = − 0,5e × (− 2xe−2x).
2
b. Pour tout réel x > 0, 0 < 𝑥e−𝑥 ≤ xe −2x + 1.
De plus, lim xe −2x + 1 = lim (− 0,5e × (− 2xe −2x )) = 0 donc d’après le théorème
𝑥→+∞ 𝑥→+∞
des gendarmes, lim f (x) = 0.
𝑥→+∞
2 2 2
3. Pour tout réel x de [0 ; +∞[, f ’(x) = e−𝑥 + x(− 2xe−𝑥 ) = (1 – 2x²)e−𝑥 .
√2 √2
4. f est croissante sur [0 ; ] et décroissante sur [ 2 ; +∞[.
2
Partie B
1. L’aire du rectangle ONMP est égale à : ON ×NM, soit xf (x).
Donc pour tout réel x de l’intervalle [0 ; 2], on a : A(x) = xf (x) = xe−x².
√2
2. L’aire du rectangle ONMP est maximale lorsque l’abscisse de N est égale à .
2
√2 √2 −0,5
3. L’aire maximale est égale à : A( 2 ) = 𝑒 , soit environ 0,43. À 10−2 près, l’aire
2
de la surface à peindre en bleu est de 0,43 m2.
Sujet D
1. MH = √1 − 𝑥² et V = πx²√1 − 𝑥².
− 2𝑥
2. a. Pour tout réel x de ]0 ; 1[, g’(x) = 2π𝑥 √1 − 𝑥² + πx2 .
2√1 − 𝑥²
2π𝑥(1 − 𝑥2 )− π𝑥 3 𝜋𝑥(2 − 3𝑥²)
Donc 𝑔′ (𝑥) = = .
√1 − 𝑥² √1 − 𝑥²
b.
2
x 0 √ 1
3
g’(x) ║ + 0 – ║
g(x) ║ 2𝜋
√3 ║
9
║ ║
2
3. Le cylindre de plus grand volume est tel que OH = √3 (en mètre) et
1 √3
MH = √3 (en mètre). Le volume de ce cylindre est de 2π m2.
9
4.
v←0
x←0
Tant que v ≤ 1
x ← x + 0,001
v ← πx²√1 − 𝑥²
Fin Tant que
Sujet E
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique
enseignant, le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
𝑡
Pour tout nombre réel t positif, par : f (t) = 980e− 5 + 20.
𝑡
𝑡
1 a. lim (− 5) = – ∞ et lim e 𝑋 = 0 donc par composition lim e− 5 = 0 et par
𝑡→+∞ 𝑋→−∞ 𝑡→+∞
conséquent, lim 𝑓(𝑡) = 20.
𝑡→+∞
𝑡 𝑡
1
b. Pour tout réel t positif, f ’(t) = 980 × (− 5) 𝑒 − 5 , soit f ’(t) = – 196e− 5 .
Pour tout réel t positif, f ’(t) < 0 donc f est décroissante sur [0 ; +∞[.
t 0 +∞
f ’(t) –
f(t) 1 000
20
2. a. Pour tout nombre réel t positif :
𝑡 𝑡+1
d(t) = 980e− 5 + 20 – (980e− 5 + 20)
𝑡 𝑡 1
−
d(t) = 980e 5 – 980e− −
5 5
𝑡 𝑡 1
d(t) = 980e− 5 – 980e− 5 × e− 5
𝑡 1
d(t) = 980e− 5 (1 − e− 5 )
𝑡
b. lim e− 5 = 0 donc lim 𝑑(𝑡) = 0.
𝑡→+∞ 𝑡→+∞
c. On peut en déduire que la température finira par se stabiliser et comme on a
lim 𝑓(𝑡) =20, elle se stabilisera avec le temps à 20 °C.
𝑡→+∞
Sujet F
1. Réponse c.
2. Réponse a.
3. Réponse d.
4. Réponse c.
3 Exercices, TP et algorithmes
Les exercices sont progressifs et variés et permettent ainsi de bien pratiquer la différenciation
pédagogique.
Les approfondissements : fonctions continues de ℝ dans ℝ telles que f (x + y) = f (x) + f (y) et
prolongement par continuité sont traités page 223.
L’objectif du TP est d’étudier une méthode pour trouver une valeur approchée de la solution
d’une équation de la forme f (x) = 0, autre que la méthode balayage ou que celle de dichotomie.
Cette méthode est celle dite de la sécante.
206
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
4 Réponse b.
6 1.
x -3 -2,5 -2 -1,5 -1 -0,5 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4
f(x) -63 -38,25 -21 -9,75 -3 0,75 3 5,25 9 15,75 27 44,25 69 102,75 147
2.
207
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
C Activités
Activité 1 La mue du criquet
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
1.
2. Le premier graphique représente une fonction qui est discontinue contrairement au second
graphique.
2. On peut reformuler la phrase ainsi « la variable x dont la valeur est comprise entre les valeurs
réelles x0 et X »
3. Une figure ne peut servir en général de preuve.
208
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
209
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
D Exercices
Automatismes et rituels
1 On trouve x = – 6.
2 On trouve x ≥ 4.
5 1. f (1) = 4.
2. g (3) = 9.
7 A = e4 et B = e6.
10 1. On calcule le discriminant qui vaut 7, puis on utilise le signe d’un polynôme du second
degré pour résoudre cette inéquation.
2. On transpose les éléments du second membre dans le premier. Puis on calcule le discriminant
qui vaut – 31, puis on utilise le signe d’un polynôme du second degré pour résoudre cette
inéquation.
11 a. On trouve x = 2 et y = – 1.
210
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1
b. On trouve x = et y = 3.
2
12 Réponse b et c.
13 Pour tout réel x : f (x) = 3x2 – 4 puis une équation de la tangente en 2 est y = 8x – 14.
16 a = e– 1 ; b = e24 et c = e6x.
17 1. On trouve x = 5 ou x = 0.
2. On trouve x = 0.
18 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
1. a. L’appel f(10,40) renvoie (40,10).
b. L’appel f(20,60) renvoie (60,20).
2. Cette fonction permute les variables a et b.
19 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
a. L’appel f(4) renvoie 9 : c’est vrai.
b. Pour tout entier x, l’appel f(x) renvoie un entier impair.
Le programme renvoie tout le temps 2x + 1. C’est vrai.
20 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
211
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
21 1.
2.
1 1 1 3 1 5
26 u1 = 1 + = 1 + = 2, puis u2 = 1 + = et u3 = 1 + = .
u0 1 u1 2 u2 3
27 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut prendre sur le
graphique en ordonnée, 0,5 comme graduation et non 5.
1. L’ordonnée de A0 correspond à u1.
2. Les points ont les coordonnées suivantes : B1 (u1 ; u1) ; A1 (u1 ; u2) ; B2 (u2 ; u2) ; A2 (u2 ; u3).
28
1.
29 f est continue sur ℝ et 0 est compris entre f (– 7) négatif et f (2) positif. Donc d’après le
théorème des valeurs intermédiaires l’équation f (x) = 0 possède au moins une solution dans
[– 7 ; 2] donc dans ℝ.
212
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
31 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
32 1. Les fonctions polynômes sont continues sur ℝ, f est donc continue sur ℝ, donc sur [5 ; 8].
2. a. f (5) = 4 et f (8) = – 9.
b. f est continue sur [5 ; 8], 0 est compris entre f (5) = 4 et f (8) = – 9, et de plus f est strictement
décroissante sur [5 ; 8], d’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation
f (x) = 0 possède une unique solution dans [5 ; 8].
34 1. Pour tout réel x de [1 ; 5] : f (x) = 0,9x8 donc f (x) > 0, f est strictement croissante sur
[1 ; 5], et comme f est une fonction polynôme, f est continue sur [1 ; 5]
2. f (2) < 0 et f (3) > 0, f est continue sur [1 ; 5], strictement croissante, d’après le corollaire du
théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 0 possède une unique solution dans
[1 ; 5].
3. f (2,7) < 0 et f (2,8) > 0 donc 2,7 < < 2,8.
35 Un encadrement d’amplitude 0,01 de est 3,69 < < 3,70 puisque f (3,69) < 50
et f (3,70) > 50.
36 f est convexe, par exemple, car sa courbe est située au-dessus de toutes ses tangentes,
sur [– 2 ; 4].
37 Les deux courbes sont respectivement chacune en dessous de toutes leurs tangentes, donc
les fonctions représentées sont concaves.
213
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
38 1. L’affirmation « si la fonction f est croissante sur [4 ; 7], alors f est concave sur cet
intervalle » est fausse. Il faut écrire « alors f est convexe sur cet intervalle ».
2. L’affirmation « si f (x) >0 pour tout réel x de [– 1 ; 2], alors f est convexe sur cet intervalle »
est vraie. C’est une propriété du cours.
41 a. Vrai.
b. Faux.
c. Vrai.
d. Faux.
Donc ce sont les réponses a et c.
42 « Il existe une fonction polynôme du troisième degré dont la courbe n’a pas de point
d’inflexion ».
1. Cette proposition fausse car sa négation est vraie.
Voir la démonstration faite à l’exercice 123.
2. La négation de cette proposition s’écrit « Quelle que soit la fonction polynôme du troisième
degré, sa courbe possède au moins un point d’inflexion ». Cette proposition est vraie.
Pour s’entraîner
43 1. f n’est pas continue en 5.
2. f est continue sur [– 1 ; 3].
214
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
46 « Si une fonction est dérivable sur un intervalle I alors elle est continue sur I ».
1. Cette proposition est vraie. Voir démonstration D1 page 210.
2. La réciproque est « Si une fonction est continue sur un intervalle I alors elle est dérivable sur
I ». Cette proposition est fausse. On peut prendre la fonction valeur absolue qui est continue en
0 mais non dérivable en 0.
47 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut prendre sur le
graphique en ordonnée, 0,2 comme graduation et non 1.
1. u0 = 1,2
2. On peut conjecturer que la suite (un) est croissante et qu’elle converge vers 2.
3. Pour tout réel x, f (x) = – x2 + 4x – 2 puis f (x) = – 2x + 4.
– 2x + 4 ≥ 0 équivaut à x ≤ 2 donc sur ]– ; 2], f (x) ≥ 0 : f est croissante.
Sur [2 ; + [, f (x) ≤ 0, f est décroissante.
4. Pour tout entier naturel n, posons P(n) la propriété « un ≤ un+1 ≤ 2 ».
u0 = 1,2 ; u1 = 1,36 et 1,2 ≤ 1,36 ≤ 2 : P(0) est vraie.
Soit k un entier naturel fixé tel que P(k) est vraie, à savoir tel que uk ≤ uk + 1 ≤ 2.
On a uk ≤ uk + 1 ≤ 2 or sur ]– ; 2], f est croissante donc f (uk) ≤ f (uk + 1) ≤ f (2) ce qui donne
uk + 1 ≤ uk + 2 ≤ 2 puisque f (2) = 2. P (k + 1) est vraie. Selon le principe de récurrence, P (n) est
vraie donc (un) est bien croissante et majorée par 2.
5. (un) est croissante majorée, donc c’est une suite convergente vers un réel L qui vérifie
L = f (L) car f est continue sur ℝ et, pour tout entier naturel n, un + 1 = f(un).
On a L = – L2 + 4L – 2 ce qui équivaut à – L2 + 3L – 2 = 0 ce qui équivaut à L = 1 ou L = 2.
Or comme u0 = 1,2 et (un) est croissante, il vient que L = 2.
3x + 2 10
48 1. Sur [0 ; 1], f (x) = puis f (x) = donc f (x) > 0 sur [0 ; 1] : f est croissante.
x+4 (x + 4)2
f (0) = et f (1) = 1, donc pour tout réel x de [0 ; 1], on a bien f (x) appartient à , 1 ce qui
1 1
2 2
donne bien f (x) appartient à [0 ; 1].
2. Pour tout entier naturel n, posons P (n) la propriété « 0 ≤ un ≤ 1 ».
u0 = 0 donc u0 appartient à [0 ; 1] : P (0) est vraie.
215
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Soit k un entier naturel fixé tel que P (k) est vraie. On a : 0 ≤ uk ≤ 1, or pour tout réel x
de [0 ; 1], f (x) appartient à [0 ; 1] donc on obtient 0 ≤ uk + 1 ≤ 1 : P (k + 1) est vraie. Selon le
principe de récurrence, P (n) est vraie donc pour tout naturel n : un appartient bien à [0 ; 1].
3. a. et b.
1
50 1. Pour tout réel x de [1 ; + [, f (x) = donc f (x) > 0.
2 x+1
f est croissante sur [1 ; +[.
2. Pour tout naturel n, posons P (n) la propriété « 1 ≤ un+ 1 ≤ un ».
u0 = 2 ; u1 = 3 donc 1 ≤ u1 ≤ u0 : P (0) est vraie.
Soit k un entier naturel fixé tel que P (k) est vraie. On a : 1 ≤ uk + 1 ≤ uk donc uk appartient à
[1 ; + ], intervalle sur lequel f est décroissante donc f (1) ≤ f (uk + 1) ≤ f (uk), or f (1) = 2 , donc
il vient 1 ≤ 2 ≤ uk + 2 ≤ uk + 1. P (k + 1) est vraie.
Selon le principe de récurrence, P (n) est vraie donc (un) est bien décroissante et minorée par 1.
3. (un) est décroissante minorée par 1, donc converge vers un réel L.
4. Ce réel L vérifie L = f(L) car f est continue sur [1 ; + [ et pour tout naturel n, un+ 1 = f(un).
216
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1– 5
On a L positif et L = 1 + L , ce qui équivaut à L2 – L – 1 = 0 ce qui équivaut à L = (qui
2
1+ 5 1+ 5
est négatif donc impossible) ou L = . La limite est L = .
2 2
51 1. a. Réponse vraie.
b. Réponse fausse.
c. Réponse fausse.
C’est donc la réponse a.
2. a. Réponse fausse.
b. Réponse fausse.
c. Réponse vraie.
C’est donc la réponse c.
52 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, la question 4 doit être
numérotée comme la question 3.
1. Diminuer de 15 % revient à multiplier par 0,85, donc quel que soit l’entier naturel n :
pn + 1 = 0,85pn + 150.
2. a. Pour tout réel x : f (x) = 0,85x + 150 puis f (x) = 0,85 donc f (x) > 0 ; f est croissante sur
ℝ.
b. Pour tout entier naturel n, posons P (n) la propriété « 1 000 ≤ pn + 1 ≤ pn ».
p0 = 2 000 ; p1 = 1 850 donc 1 000 ≤ u1 ≤ u0 : P (0) est vraie.
Soit k un entier naturel fixé tel que P (k) est vraie. On a : 1 000 ≤ pk + 1 ≤ pk, or f est croissante
sur ℝ donc f (1 000) ≤ f (pk + 1) ≤ f (pk), et f (1 000) = 1 000, donc il vient 1 000 ≤ pk + 2 ≤ pk + 1.
P (k + 1) est vraie. Selon le principe de récurrence, P (n) est vraie donc (pn) est bien décroissante.
3. (pn) est décroissante minorée par 1 000, donc converge vers un réel L qui vérifie L = f (L) car
f est continue sur ℝ et pour tout entier naturel n, pn + 1 = f (pn). On a alors L = 0,85L + 150 ce
qui équivaut à L = 1 000. À terme, la population se stabilisera autour de 1 000 individus.
53 f (x) = x3 – 6x + 1.
1. f (– 2) = 5 : f (– 2) > 0 et f (2) = – 3 : f (2) < 0 ; f est continue sur ℝ, d’après le théorème des
valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 0 a au moins une solution.
2.a. Pour tout réel x : f (x) = 3x2 – 6 = 3(x2 – 2).
Si x > 2 alors x2 > 4 donc x2 – 2 > 0 et f (x) > 0 donc f est strictement croissante sur [2 ; + [.
b. f est continue strictement croissante sur [2 ; + [, f (2) = – 3 et lim f (x) = + donc d’après
x+
le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 0 possède une unique
solution dans [2 ; + [.
8 8 8
54 Pour tout réel x : f (x) = x3 – 8x + 1 et f (x) = 3x2 – 8 = 3(x – ) = 3(x –
2
)( x + ).
3 3 3
En utilisant la règle du signe d’un polynôme du second degré, on en déduit que f (x) est
8 8
strictement négative sur ]– ; [ intervalle dans lequel est inclus l’intervalle [– 1 ; 1]
3 3
donc f est strictement décroissante sur [– 1 ; 1], f est continue sur [– 1 ; 1] ; f (1) = – 6 et
217
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
f (– 1) = 8 donc 0 est compris entre f (1) et f (– 1) ; selon le corollaire du théorème des valeurs
intermédiaires, l’équation f (x) = 0 admet une unique solution dans [– 1 ; 1].
55 1. Pour tout réel x : f (x) = 4x5 + 2x – 2 et f (x) = 20x4 + 2 donc f (x) > 0.
f est strictement croissante sur ℝ.
2. lim f (x) = – et lim f (x) = + or 8 ]– ; + [, f est continue, strictement croissante
x– x+
56 1. Pour tout réel x : f (x) = e4x + 7 + x3 – 10 puis f (x) = 4e4x+ 7 + 3x2 donc f (x) > 0 sur ℝ.
f est strictement croissante sur ℝ.
2. lim f (x) = – et lim f (x) = + or 0 ]– ; + [, f est continue, strictement croissante
x– x+
57 1. Pour tout réel x : f (x) = x3 + 2x2 +10x puis f (x) = 3x2 + 4x + 10. C’est un polynôme du
second degré de discriminant = – 104 donc < 0, on en déduit que f (x) est toujours
strictement positif sur ℝ donc f est strictement croissante sur ℝ.
2. lim f (x) = – et lim f (x) = + or 20 ]– ; + [, f est continue, strictement croissante
x– x+
218
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
x – 0 1 +
h (x) – 0 – 0 +
h (x) + a +
a–1
Si –1 + a > 0, c’est-à-dire si a > 1 : il n’y a pas de solution à l’équation h (x) = 0.
Les courbes Cf et Cg ne se coupent pas.
Si –1 + a = 0, c’est-à-dire si a = 1 : il y a une unique solution à l’équation h (x) = 0,
qui est x = 1. Les courbes Cf et Cg se coupent en un point.
Si –1 + a < 0, c’est-à-dire si a < 1 : il y a deux solutions à l’équation h (x) = 0.
Les courbes Cf et Cg se coupent en deux points.
61 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
1. Pour tout réel x : f (x) = x3 + x2 – 5 puis f (x) = 3x2 + 2x = x(3x + 2).
Sur [1 ; 2], x > 0 et 3x + 2 > 0 donc f (x) > 0 ; ainsi f est strictement croissante sur [1 ; 2],
continue ; 0 est compris entre f (1) = – 3 et f (2) = 7 donc selon le corollaire du théorème des
valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 0 possède une unique solution dans [1 ; 2].
1
2.a. L’appel sol(3) renvoie un encadrement de d’amplitude 3 = 0,125.
2
1
b. L’appel sol(4) renvoie un encadrement de d’amplitude 4 = 0,0625.
2
62 Soit x un réel positif. Le cube a pour volume x3, en cm3, et le parallélépipède rectangle
6 2(2x + 5) = 12(2x + 5). On doit résoudre, dans [0 ; + [, l’équation x3 = 12(2x + 5) qui
équivaut à x3 – 24x – 60 = 0. Soit la fonction f définie sur [0 ; + [ par f (x) = x3 – 24x – 60, puis
f (x) = 3x2 – 24 = 3(x2 – 8). En utilisant le signe d’un polynôme du second degré, on obtient le
signe de f (x) puis le tableau de variation de f :
x 0 2 2 +
f (x) – 0 +
– 60 +
f (x) – 32 2 – 60
Sur [0 ; 2 2 ], f (x) < 0.
Sur [2 2 ; + [, f est continue, strictement croissante, 0 [f (2 2 ) ; lim f (x)[ donc d’après
x+
le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 0 a une unique solution
dans [2 2 ; + [ et donc sur [0 ; + [ puis une valeur approchée de à 0,01 près (par
défaut) est 5,85.
219
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
63 L’affirmation est vraie. Pour tout réel x, soit f la fonction définie par f (x) = x3 – 3x – k où k
est un réel de l’intervalle ]–2 ; 2[. Pour tout réel x, f (x) = 3x2 – 3. En étudiant le signe de f (x)
et les limites de f, on obtient le tableau de variation suivant :
x – –1 1 +
f (x) + 0 – 0 +
2–k +
f
– –2–k
Comme k appartient à ]–2 ; 2[, 2 – k > 0 et – 2 – k < 0. On applique trois fois de suite, le
corollaire du théorème des valeurs intermédiaires à f, qui est continue et strictement monotone,
respectivement sur les intervalles ]– ; – 1], [– 1 ; 1] et [1 ; + [. L’équation f (x) = 0, qui
équivaut à x3 – 3x = k, possède bien exactement trois solutions.
64 1. Pour tout réel x : g(x) = x3 + x – 1 puis g (x) = 3x2 + 1 ; g (x) > 0 donc g est strictement
croissante sur ℝ ; g est continue sur ℝ et lim g (x) = – ; lim g (x) = + donc 0 appartient
x– x+
à ] lim g(x); lim g(x)[, donc selon le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires,
x– x+
65 1. Pour tout réel x : g(x) = 2x3 – 3x2 – 1 puis g (x) = 6x2 – 6x = 6x(x – 1) ; g (x) est un
polynôme du second degré ; en utilisant le signe d’un polynôme du second degré, on obtient le
signe de g (x).
Sur ]– ; 0[ ∪ ]1; + [, g (x) > 0 donc g est strictement croissante sur ]– ; 0[ et strictement
croissante sur ]1 ; + [.
Sur ]0 ; 1[, g (x) < 0, donc g est strictement décroissante.
2. g (0) = –1, c’est le maximum de g sur ]– ; 1] donc sur cet intervalle, g (x) < 0.
Sur [1 ; + [, g est continue, strictement croissante, g (1) = – 2 et lim g (x) = + donc selon
x+
le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation g (x) = 0 possède une unique
solution dans [1 ; + [ mais également dans ℝ.
Un encadrement de à 0,1 près : 1,6 < < 1,7.
3. On en déduit que :
x – +
g (x) – 0 +
1–x 2x3 – 3x2 – 1 g (x)
4. a. Pour tout réel x de ]– 1 ; + [, f (x) = 3 puis f (x) = = 3 .
x +1 (x3 + 1)2 (x + 1)2
b. Comme (x3 + 1) > 0 sur ]– 1 ; + [, le signe de f (x) est celui de g (x).
Donc sur ]– 1 ; ], comme f (x) ≤ 0, f est décroissante.
Sur ] ; + [, comme f (x) ≥ 0, f est croissante.
220
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
66 1. Pour tout réel x : f (x) = x4 + 3x2 – 5x + 1, f (x) = 4x3 + 6x – 5 et f (x) = 12x2 + 6.
2. Pour tout réel x : f (x) > 0 donc f est strictement croissante sur ℝ.
lim f (x) = – et lim f (x) = + .
x– x+
x – +
f (x) +
f (x) – 0 +
3.a. f est continue et strictement croissante sur ℝ, 0 appartient à ] lim f (x) ; lim f (x)[, donc
x– x+
selon le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 0 possède une
unique solution dans ℝ. Un encadrement de à 0,1 près est : 0,6 < < 0,7.
b. On en déduit :
x – +
f (x) – 0 +
c. Puis le tableau de variation de f :
x – +
f (x) – 0 +
f (x) + +
f ()
67 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
1. Soit f définie sur ℝ par f (x) = x3 + 7x2 + 25x puis f (x) = 3x2 + 14x + 25 ; f (x) est un
polynôme du second degré, de discriminant = – 104. Donc f (x) est du signe du coefficient
de x2, sur ℝ. Pour tout réel x : f (x) > 0 donc f est strictement croissante sur ℝ. f est continue
sur ℝ. f est donc continue sur [0 ; 2] et strictement croissante ; 80 est compris entre f (0) = 0 et
f (2) = 86, donc d’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation
f (x) = 80 a une unique solution dans [0 ; 2].
2. La modification proposée permet de déterminer un encadrement de la solution d’une
équation de type f (x) = k avec k réel quelconque, et non plus seulement du type f (x) = 0, par la
méthode de dichotomie.
3. L’appel dicho(0,2,80,0.01) renvoie (1.8984375, 1.90625) ; une valeur approchée de à
0,01 près par défaut est 1,90.
221
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
74 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, la question 1.c. est à
numéroter question 2.
1. a. Pour tout réel x de l’intervalle [0 ; 5], f (x) = 0,125x3 – 0,75x2 + 4 puis
f (x) = 0,375x2 – 1,5x = 0,375x(x – 4).
b. Rechercher les tangentes horizontales à Cf , c’est résoudre l’équation f (x) = 0 qui équivaut
à 0,375x(x – 4) = 0 ce qui équivaut à x = 0 ou x = 4. Il y a deux tangentes horizontales à la
courbe de f : au point d’abscisse 0 et au point d’abscisse 4.
2. Sur [0 ; 5], x ≥ 0 donc le signe de f (x) est celui de x – 4.
Il vient donc que sur [0 ; 4], f (x) ≤ 0 donc f est décroissante et sur [4 ; 5], f (x) ≥ 0 donc f est
croissante.
3. a. Pour tout réel x de [0 ; 5], f (x) = 0,75x – 1,5.
On résout, sur [0 ; 5], l’inéquation f (x) ≥ 0 ce qui équivaut à x ≥ 2.
f (x) s’annule et change de signe en x = 2 donc le point I (2 ; f (2)) où f (2) = 2 est le seul point
222
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
d’inflexion.
b. Une équation de la tangente T en ce point I est donnée par y = – 1,5x + 5.
c. La tangente T traverse la courbe au point d’abscisse x = 2.
75 1. Réponse c.
2. Réponse b.
3. Réponse a.
x–1 x–2
77 1. Pour tout réel x de [0,5 ; 12], f (x) = 2 puis f (x) = – .
x x3
2. On détermine le signe de f (x) puis on obtient :
x 0,5 2 12
f (x) + 0 –
Convexité convexe concave
f est concave sur [2 ; 12].
79 1. Pour tout réel x : f (x) = x3 – 5x2 + 4x + 3 puis f (x) = 3x2 – 10x + 4 puis f (x) = 6x – 10.
10 10 5
6x – 10 ≥ 0 équivaut à x ≥ donc f (x) s’annule et change de signe en = .
6 6 3
Le point , est le seul point d’inflexion de la courbe de f.
5 11
3 27
1 3 1 3 6
2. Pour tout réel x non nul : f (x) = x – puis f (x) = + 2 puis f (x) = – 3.
2 x 2 x x
Pour f (x) < 0 pour x > 0 et f (x) > 0 pour x < 0 mais il n’y a pas de point d’inflexion car et
f (x) est non nul. Ainsi la courbe de f n’a aucun point d’inflexion.
223
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
80 a. Réponse fausse. f (x) s’annule deux fois donc il y a deux tangentes horizontales.
b. Réponse vraie. f est croissante sur [5 ; 15] donc f est bien convexe.
c. Réponse fausse. f change une seule fois de variation donc f change une seule fois de
convexité. Il y a un unique point d’inflexion.
81 1. Soit la proposition : « Si le point A(a ; f (a)) est un point d’inflexion de Cf alors f (a) = 0 ».
La proposition est vraie car d’après le cours A(a ; f (a)) est un point d’inflexion si et seulement
si f s’annule (et change de signe en a).
2. La réciproque s’énonce : « si f (a) = 0 alors le point A(a ; f (a)) est un point d’inflexion de
Cf ». La proposition est fausse. On peut prendre f (x) = x4, f (x) = 4x3 , f (x) = 12x2.
f (0) = 0 ; pour autant le point (0 ; f (0)) n’est pas un point d’inflexion car f est toujours convexe.
82 Pour tout réel x : f (x) = x3 – 21x2 + 19 puis f (x) = 3x2 – 42x puis f (x) = 6x – 42.
On résout l’inéquation f (x) ≥ 0 ce qui équivaut à x ≥ 7. f (x) s’annule et change de signe en 7
donc étant donné que f (7) = – 667, le point (7 ; – 667) est le seul point d’inflexion.
83 Pour tout réel x : f (x) = x4 – 2x3 – 120x2 + 3 puis f (x) = 4x3 – 6x2 – 240x
puis f (x) = 12x2 – 12x – 240 = 12(x + 4)(x – 5). f (x) s’annule et change de signe en – 4 puis
en 5.
x – –4 5 +
f (x) + 0 – 0 +
f (– 4) = – 1 533 ; f (5) = – 2 622.
La courbe de f possède deux points d’inflexion (– 4 ; – 1 533) et (5 ; – 2 622).
x+3 3
84 Réponse vraie. Pour tout réel x de [0,5 ; + [, on a : f (x) = – puis f (x) = – 2.
x x
Quel que soit le réel x de [0,5 ; + [, f (x) < 0 donc f est concave donc sa courbe est située au-
dessous de toutes ces tangentes.
85 1. a. Pour tout réel x de [0 ; 6] : f (x) = ax3 + bx2 + cx + d puis f (x) = 3ax2 + 2bx + c.
b. La tangente en x = 0 est horizontale donc f (0) = 0. La tangente en x = 6 est horizontale donc
f (6) = 0. De plus, f (x) est un polynôme du second degré donc il existe un réel m tel que l’on
puisse factoriser f (x) en f (x) = m(x – 0)(x – 6) = mx(x – 6).
Puis pour tout réel x de [0 ; 6] : f (x) = mx2 – 6mx et f (x) = 3ax2 + 2bx + c.
On en déduit par identification que m = 3a.
c. f (0) = 0 et f (0) = c, donc c = 0.
f (6) = 0 donc 3a 36 + 2b 6 = 0 ce qui donne 9a + b = 0 donc b = – 9a.
2. Pour tout réel x de [0 ; 6] : f (x) = ax3 – 9ax2 + d.
f (0) = 4 donc 0 + d = 4 soit d = 4.
4 1
f (6) = 0 donc 216a – 9a 36 + 4 = 0 soit finalement – 108a + 4 = 0 puis a = = .
108 27
1 1 1
b = – 9a = – . Finalement, pour tout réel x de [0 ; 6] : f (x) = x3 – x2 + 4.
3 27 3
1 1
Une équation de la courbe Cf est y = x3 – x2 + 4.
27 3
224
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1 3 1 2 1 2 2 2
3. a. Pour tout réel x de [0 ; 6] : f (x) = x – x + 4 puis f (x) = x2 – x puis f (x) = x – .
27 3 9 3 9 3
f (x) ≥ 0 équivaut à x ≥ 3. Sur [3 ; 6], f (x) ≥ 0 donc f est convexe. Sur [0 ; 3], f (x) ≤ 0 donc
f est concave. Le point (3 ; 2), f (3) = 2, est le seul point d’inflexion de Cf sur [0 ; 6].
b. La glissière est donc placée à 3 mètres au sol par rapport au point N, et sera positionnée à
une hauteur de 2 mètres.
86 1. a. Pour tout réel x de [0 ; 10] : f (x) = x3 – 15x2 + 75x puis f (x) = 3x2 – 30x + 75 puis f
(x) = 6x – 30.
b. On résout l’inéquation f (x) ≥ 0 qui équivaut à x ≥ 5.
Donc sur [5 ; 10], f (x) ≥ 0 : f est croissante.
Sur [0 ; 5], f (x) ≤ 0 : f est décroissante.
f (5) = 0 est donc le minimum de f sur [0 ; 10] donc pour tout réel x de [0 ; 10] : f (x) ≥ 0.
c. On déduit de la question précédente que f est croissante sur [0 ; 10].
d. f (x) s’annule et change de signe en 5 donc le point (5 ; 125), f (5) = 125, est le seul point
d’inflexion de la courbe de f sur [0 ; 10].
2. Le coût marginal correspond à f (x) et, sur [0 ; 5], f décroît, donc pour x compris entre 0 et
5 tonnes, le coût marginal diminue.
88 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, pour la question 1, il faut
lire : déterminer le montant en euro des coûts fixes, c’est-à-dire CT (0).
A. 1. CT (0) = 5 000.
2. Pour tout réel x de [0 ; 70], CT (x) = x3 – 60x2 + 1 500x + 5 000.
Donc Cm (x) = CT (x + 1) – CT (x) = 3x2 – 117x + 1 441.
Pour la suite on prendra Cm (x) CT (x) et CT (x) = 3x2 – 120x + 1 500.
3. Sur [0 ; 20], f semble concave et sur [20 ; 70], f semble convexe.
225
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1 1 2
89 1. Pour tout réel x > 0 : f (x) = x + puis f (x) = 1 – 2 puis f (x) = 3.
x x x
Pour tout réel x > 0, f (x) > 0 donc f est convexe sur ]0 ; + [.
2. Une équation de la tangente au point d’abscisse 1 est y = 2.
3. f est convexe sur ]0 ; + [ donc la courbe de f est située au-dessus de toutes ses tangentes y
1
compris celle en 1, donc pour tout réel x > 0 : f (x) ≥ 2 soit x + ≥ 2.
x
90 1. Pour tout réel x : f (x) = x6 + 3x2 + 6 puis f (x) = 6x5 + 6x puis f (x) = 30x4 + 6
donc f (x) > 0 et f est bien convexe sur ℝ.
2. Une équation de la tangente au point d’abscisse 1 est y = 12x – 2.
3. f est convexe sur ℝ donc la courbe de f est située au-dessus de toutes ses tangentes y compris
celle en 1 donc pour tout réel x : f (x) ≥ 12x – 2 soit x6 + 3x2 + 6 ≥ 12x – 2.
91 1. Pour tout réel x : g(x) = e– x + 3x4 puis g (x) = – e– x + 12x3 puis g (x) = e– x + 36x2 donc
g (x) > 0 et g est bien convexe sur ℝ.
2. Une équation de la tangente au point d’abscisse 0 est y = – x + 1.
3. g est convexe sur ℝ donc la courbe de g est située au-dessus de toutes ses tangentes y compris
celle en 0 donc pour tout réel g (x) ≥ – x + 1 ce qui équivaut à e– x + 3x4 ≥ – x + 1
puis à e– x + 3x4 + x – 1 ≥ 0 donc la courbe de f est bien située au-dessus de l’axe des abscisses.
92 Pour tout réel x : f (x) = 2x + 3 – ex puis f (x) = 2 – ex puis f (x) = – ex donc f (x) < 0 ; ainsi
f est concave sur ℝ, donc sa courbe est située au-dessous de toutes ses tangentes.
226
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1
94 Soit f définie sur [0 ; + [ par f (x) = x , pour tout réel x strictement positif : f (x) =
2 x
1
puis f (x) = – donc f (x) < 0 ; f est concave sur [0 ; + [.
4x x
Soit a et b deux réels positifs, et les points A(a ; a ) et B(b ; b ) puis M le milieu du segment
a+b a+ b
[AB] : M ( ; ). Comme f est concave, le segment [AB] est situé au-dessous de la
2 2
a+b a+b
courbe de f. Soit N le point de la courbe de f de coordonnées ( ; ), N est donc situé
2 2
a+b a+ b
au-dessus de M donc ≥ .
2 2
95 A. 1. Pour tout réel x de [0 ; 15], f (x) = (x + 2)e– 0,5x puis f (x) = – 0,5x e– 0,5x.
Pour tout réel x de [0 ; 15] : 0,5e– 0,5x > 0 et – x < 0 d’où le tableau de variations :
x 0 15
f (x) –
2
f (x) 0,1
17e– 7,5
2. f est continue, strictement décroissante sur [0 ; 15] ; 0,1 est compris entre f (0) = 2 et f (15)
car f(15) 0,0094, donc d’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation
f (x) = 0,1 admet une unique solution dans [0 ; 15].
3. Un encadrement d’amplitude 0,1 de est 9,4 < < 9,5.
4. Pour tout réel x de [0 ; 15], f (x) = – 0,5x e– 0,5x
donc f (x) = – 0,5e– 0,5x + (– 0,5x)(– 0,5e– 0,5x) = e– 0,5x (0,25x – 0,5).
5. Pour tout réel x de de [0 ; 15], e– 0,5x > 0, le signe de f (x) est celui de 0,25x – 0,5.
On résout l’inéquation 0,25x – 0,5 ≥ 0 ce qui équivaut à x ≥ 2.
Donc sur [2 ; 15], f (x) ≥ 0 : f est convexe. Sur [0 ; 2], f (x) ≤ 0 : f est concave.
Ainsi comme f change de convexité en 2, le point d’abscisse 2 est un point d’inflexion.
B. 1. D’après la partie A : f (x) > 0,1 lorsque x < donc le médicament est actif pendant environ
9,5 heures soit 9 heures 30 minutes.
2. f est décroissante sur [0 ; 15] et devient convexe à partir de x = 2, donc la baisse de la
concentration ralentit au bout de 2 heures.
227
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
97 1.
1
98 1. Pour tout réel x de [0 ; 2], f (x) = ; f (x) > 0 sur [0 ; 2] donc f croît sur [0 ; 2].
4 3 + 0,5x
2 1
2. Pour tout entier naturel n ≥ 1, soit P(n) : « 0 ≤ un ≤ un+1 ≤ 2 » : u1 = et u2 = 12 + 2 ;
2 2
u1 0,7 et u2 1,8 donc P(1) est vraie car 0 ≤ u1 ≤ u2 ≤ 2. Soit n un entier naturel non nul fixé
tel que P(n) est vraie, prouvons que P(n + 1) est vraie. Par hypothèse : 0 ≤ un ≤ un+1 ≤ 2 et
comme sur [0 ; 2], f est croissante, donc f(0) ≤ f(un) ≤ f (un+1) ≤ f(2),
c’est-à-dire 3 ≤ un+ 1 ≤ un+2 ≤ 2 donc P(n+1) est vraie.
D’après le principe de récurrence P(n) est vraie.
3. (un) est croissante majorée donc converge vers un réel L qui vérifie L = f (L) car f est continue
sur [0 ; 2] et pour tout entier naturel n, un + 1 = f(un). L’équation f(x) = x équivaut à 3 + 0,5x = x2
ce qui équivaut à x = – 1,5 ou x = 2 or (un) est minorée par 0 donc L = 2.
228
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
99 1. Pour tout réel x : f (x) = 5x4 + 3x2 + 1, donc f (x) > 0 sur ℝ ; f croît strictement sur ℝ.
2. lim f(x) = – et lim f(x) = + ; f est continue, strictement croissante, l’équation f(x) = 4
x– x+
possède une unique solution.
100 1. f (–10) = –938 et f (10) = 942, d’où f (–10) f(10) < 0 ; de plus f est continue sur
[–10 ;10] donc l’équation f(x) = 0 possède au moins une solution sur [–10 ;10].
2. Pour tout réel x : f (x) = 3x2 – 6 puis f (x) = 3(x – 2 )(x + 2 ).
Ce polynôme du second degré est positif strictement à l’extérieur de ses racines – 2 et 2 ,
en particulier sur ]– ; – 2 [ donc sur [–3 ; –2] ; f croît strictement sur cet intervalle.
3. f est continue strictement croissante sur [–3 ; 2], f (–3) = –7 et f (–2) = 6
donc l’équation f(x) = 0 possède bien une unique solution.
4. – 2,7 < < – 2,6.
101 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, pour la question 1, il faut
lire : Recopier et compléter le programme Python suivant pour que l’appel d() renvoie les deux
bornes d’un encadrement d’amplitude 0,01 de α.
1. a. Pour tout réel x : f (x) = ex(x + 1). f (x) est du signe de x + 1 puisque ex > 0.
Sur [–3 ; – 1], x + 1 ≤ 0 donc f (x) ≤ 0, f décroît, f (–3) = – 3e–3 et f(–1) = – e– 1
donc f (x) < 1 sur [– 3 ; –1].
Sur ]–1 ; 3], x + 1 > 0 donc f (x) > 0, ainsi f croît strictement sur ]–1 ; 3],
f est continue sur [–1 ; 3] et 1 est compris entre f(–1) = – e– 1 et f(3) = 3e3 : l’équation f(x) = 1 a
une seule solution dans [– 1 ; 3] et ainsi dans [– 3 ; 3].
b. f(0) = 0 et f(1) = e : [0 ; 1].
2.
229
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
103
104 Pour tout réel x : f (x) = – 4x3 – 6x2 + 72x et f (x) = – 12x2 – 12x + 72 = – 12(x + 3)(x – 2) :
f est négative sur ]– ; – 3[ ∪ ]2 ; + [ et positive sur [– 3 ; 2] donc f est concave
sur ]–; – 3] puis f est convexe sur [– 3; 2], et concave sur [2 ; +[.
105 Réponse d.
106 Pour tout réel x : f (x) = –3 e– 3x + 4 (3x – 50) et f (x) = 27e– 3x + 4 (x – 17).
La courbe de f possède un seul point d’inflexion en x = 17 car f s’annule et change de signe
uniquement en 17.
107 1. Pour tout réel x, f (x) = – e– x + 2x et f (x) = e– x + 2 : f est toujours strictement positive
donc f est convexe sur ℝ.
2. L’équation recherchée est y = – x – 3.
3. f est convexe donc sa courbe est située au-dessus de toutes ses tangentes d’où pour tout réel
x : f(x) ≥ – x – 3.
109 1. Pour tout réel x : f (x) = – e– x – 1 : f (x) < 0 ; f décroît strictement sur ℝ, et donc sur [0 ;
3], f est continue, f(0) = 9 ; f(3) 5,05 donc l’équation f(x) = 6 possède une seule solution .
2. Une valeur approchée de à 0,01 près est 2,12.
230
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1
110 Pour tout réel x : f (x) = 36x2 – 24x et f (x) = 72x – 24. Sur ]– ; ], f (x) ≤ 0 donc f est
3
1 1
concave et sur [ , + [, f (x) ≥ 0 donc f est convexe. Le point d’abscisse x = est le seul point
3 3
d’inflexion.
1
111 Pour tout réel x : f (x) = e3x (2 –3x) et f (x) = 3e3x(1 – 3x). Sur ]– ; ], f (x) ≥ 0 donc f
3
1 1
est convexe puis sur [ , + [, f (x) ≤ 0 donc f est concave. Le point d’abscisse x = est le seul
3 3
point d’inflexion.
231
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
6. Réciproquement, soit f une fonction définie sur ℝ par f (x) = ax où a est un réel. f est bien
continue sur ℝ car c’est une fonction affine.
De plus, pour tout réel x et y : f (x + y) = a(x + y) = ax + ay = f (x) + f (y).
Donc f satisfait à la relation (R).
7. Les fonctions continues f de ℝ dans ℝ telles que f (x + y) = f (x) + f (y) sont les fonctions
linéaires.
115 1. a.
232
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
116 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire « soit f la
fonction définie sur [0 ; 1[ ∪ ]1 ; +[ ».
On conjecture que lim f (x) = 2.
x1
Pour tout réel x positif et différent de 1 :
x–1 x 2 – 1 ( x – 1)( x + 1)
f (x) = = = = x+1
x –1 x –1 x–1
or lim ( x + 1) = 2 donc lim f (x) = 2.
x1 x1
On peut donc bien définir un prolongement par continuité de f en 1 avec, pour tout réel x positif
et différent de 1, f (x) = f (x) et f (1) = 2.
233
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
118 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, les questions 4 et 5
sont à numéroter 3 et 4.
90 e– 0,25x + 6
1. Pour tout réel x de [10 ; 50], h (x) = puis h (x) = 22,5 .
1 + e– 0,25x + 6 (1 + e– 0,25x + 6)2
– 0,25e– 0,25x + 6 (1 + e– 0,25x + 6)2 – e– 0,25x + 62(– 0,25 e– 0,25x + 6)(1 + e– 0,25x + 6)
h (x) = 22,5
(1 + e– 0,25x + 6)4
(1 + e– 0,25x + 6) – 2e– 0,25x + 6 e– 0,25x + 6 – 1
= 22,5(– 0,25e– 0,25x + 6 ) = 5,625 e– 0,25x + 6
(1 + e– 0,25x + 6)3 (1 + e– 0,25x + 6)3
2. Pour tout réel x de [10 ; 50], 5,625 e– 0,25x + 6 > 0 et (1 + e– 0,25x + 6)3 > 0, le signe de h (x) est
celui de e– 0,25x + 6 – 1.
e– 0,25x + 6 – 1 ≥ 0 équivaut à e– 0,25x + 6 ≥ e0 ce qui équivaut à – 0,25x + 6 ≥ 0 ce qui équivaut à
x ≤ 24. Sur [10 ; 24], h (x) ≥ 0 donc h est convexe et sur [24 ; 50], h (x) ≤ 0 donc h est concave.
3. La fonction « envie » est la dérivée de h, or, sur [24 ; 50], h est négatif, donc h décroît à
partir de x = 24. Le salaire annuel est alors de 24 000 euros.
90
4. Il faut résoudre l’équation h(x) = 80 qui équivaut à = 80 puis, en simplifiant,
1 + e– 0,25x + 6
1
cela équivaut à e– 0,25x + 6 = .
8
À l’aide de la calculatrice on trouve x 32 ce qui donne environ 32 milliers d’euro.
119 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
« si f
an + bn an + bn an + bn
≥ 0 alors an+1 = an et bn+ 1 = 2 ; sinon an+1 = 2 et bn+ 1 = bn ».
2
f est définie, continue sur l’intervalle I ; a et b sont dans I et a < b.
On suppose que 0 est compris entre f (a) et f (b) et de plus que f (a) < f (b).
On considère les suites (an) et (bn) définies par a0 = a et b0 = b et si f
an + bn
≥0
2
; si f
an + bn an + bn an + bn
alors an+1 = an et bn+ 1 = < 0 , an+1 = et bn+ 1 = bn.
2 2 2
1. Pour tout entier naturel n posons, P (n) : « a ≤ an ≤ bn ≤ b ».
a0 = a et b0 = b ; ainsi a ≤ a0 ≤ b0 ≤ b : P (0) est vraie.
Soit n un entier naturel fixé tel que P(n) est vraie, c’est-à-dire tel que a ≤ an ≤ bn ≤ b.
On raisonne par disjonction des cas.
Dans le cas où f
an + bn an + bn
≥ 0, an+1 = an et bn + 1 = .
2 2
an + bn
Comme an + 1 = an et a ≤ an , on a donc a ≤ an+1 puis bn + 1 = est compris entre an = an+1
2
et bn, donc il vient que a ≤ an+1 ≤ bn+1 ≤ b donc P(n + 1) est vraie.
Dans le cas où f
an + bn an + bn
< 0, an+1 = 2 et bn+ 1 = bn, on a de même a ≤ an+1 ≤ bn+1 ≤ b donc
2
P(n + 1) est vraie.
D’après le principe de récurrence, pour tout entier naturel n : a ≤ an ≤ bn ≤ b.
2. Pour tout entier naturel n :
bn – an
soit f
an + bn an + bn an + bn
≥ 0 alors an+1 = an et bn+ 1 = auquel cas, bn+ 1 – an+ 1 = – an =
2 2 2 2
234
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
an + bn bn – an
soit f
an + bn an + bn
< 0, an+1 = 2 et bn+ 1 = bn auquel cas bn+ 1 – an+ 1 = bn – 2 = 2 .
2
1
Dans les deux cas bn+ 1 – an+ 1 = (bn – an).
2
1
On en déduit que (bn – an) est une suite géométrique de raison .
2
1
3. (bn – an) converge vers 0 car la suite est géométrique de raison qui appartient à [0 ;1[.
2
4. a. On sait que pour tout entier naturel n : a ≤ an ≤ bn ≤ b, nécessairement, on a
an + bn
an ≤ ≤ bn puis :
2
Dans le cas où f
an + bn an + bn
≥ 0, an+1 = an et bn+ 1 = 2 d’où bn+ 1 ≤ bn.
2
Dans le cas où f
an + bn an + bn
< 0, an+1 = d’où an+1 ≥ an et bn+ 1 = bn.
2 2
Donc (an) est bien croissante majorée et (bn) est décroissante minorée.
b. (an) est croissante majorée donc c’est une suite convergente vers un réel L1 tout comme (bn)
qui est décroissante minorée qui converge vers un réel L2 (en utilisant le théorème de la
convergence monotone).
c. Par passage à la limite de l’encadrement valable pour tout entier n, a ≤ an ≤ bn ≤ b, on a
l’encadrement suivant : a ≤ L1 ≤ L2 ≤ b. Or lim (bn – an) = 0 d’après la question 3, de plus,
n +
comme (an) et (bn) convergent, on a lim bn = lim an. Soit L cette limite commune aux deux
n + n +
suites (an) et (bn) qui appartient bien à [a ; b].
5. a. Comme f est continue sur [a ; b] et L appartient à [a ; b], f est continue en L donc
lim f(x) = f(L), puis par composition de limites,
xL
comme lim bn = lim an = L et lim f (x) = f (L), il vient que lim f (bn) = lim f (an) = f (L).
n + n + xL n + n +
Démontrons enfin, par récurrence que pour tout entier n, f (an) ≤ 0 ≤ f (bn).
Par définition, 0 est un réel compris entre f (a) et f (b), donc la proposition est vraie au rang 0.
Soit n un entier naturel fixé tel que P(n) est vraie, c’est à dire tel que f (an) ≤ 0 ≤ f (bn).
Dans le cas où f
an + bn an + bn
≥ 0, an+1 = an et bn+ 1 = . Donc f (an+1) = f (an) qui est inférieur
2 2
à 0 et f (bn+ 1) = f
an + bn
qui est supérieur à 0, d’où f (an+1) ≤ 0 ≤ f (bn+1).
2
Dans le cas où f
an + bn an + bn
< 0, an+1 = 2 et bn+ 1 = bn donc f (bn+1) = f (bn) qui est supérieur
2
à 0 et f (an+ 1) = f
a n + b n
qui est inférieur à 0, d’où f (an+1) ≤ 0 ≤ f (bn+1).
2
Dans les deux cas, la proposition est vraie au rang n + 1.
D’après le principe de récurrence, pour tout entier n, f (an) ≤ 0 ≤ f (bn).
b. Comme lim f (bn) = lim f (an) = f (L), par passage à la limite dans l’encadrement :
n + n +
f (an) ≤ 0 ≤ f (bn) , on obtient f (L) ≤ 0 ≤ f (L), autrement dit , f (L) = 0.
On vient de déterminer l’existence d’un réel c dans l’intervalle [a ; b] qui a pour image 0.
6. Soit k un réel compris entre f (a) et f (b).
On applique la démonstration précédente à g définie sur I par g(x) = f(x) – k.
235
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
120 1. Pour tout réel t de [0 ; 4], f (t) = 25e– 0,25t ; f (0) = 25 et f (1) = 25e– 0,5.
f (1) – f (0)
On calcule p = ce qui donne p 39 % à 1 % près.
f (0)
2. a. Pour tout réel t de [4 ; 10 ], g(t) = 20e– 0,1t + t – 4,65
2
c. Pour tout réel t de [4 ; 10] 0,8e– 0,1t > 0 et comme t > 4 alors t2 > 16 > 5 donc g (t) > 0 ainsi
2
121 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, à la question 5b, il faut
lire « À partir de quelle valeur de x la baisse de la quantité d’objets demandés ralentit-elle ?
Justifier la démarche.
1. Pour tout réel x de [0 ; 20], f (x) = 1 000(x + 5)e– 0,2x puis f (x) = – 200xe– 0,2x .
2. Pour tout réel x de [0 ; 20], 200e– 0,2x > 0 donc le signe de f (x) est celui de – x or – x < 0 sur
]0 ;20]. Donc f (0) = 0 et f (x) < 0 si 0 < x ≤ 20 : f est strictement décroissante sur [0 ; 20].
f (0) = 5 000 et f (20) = 25000e– 4 458.
x 0 20
f (x) –
f (x) 5 000 3000 458
3. f est continue, strictement décroissante sur [0 ; 20], f (0) > 3000 et f (20) < 3 000 donc d’après
le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 3 000 possède une unique
solution dans [0 ; 20]. Une valeur approchée de à 0,01 près est 6,89.
4. a. Pour tout réel x de [0 ; 20], f (x) = 40(x – 5)e – 0,2x.
b. Pour tout réel x de [0 ; 20], 40e – 0,2x > 0, le signe de f (x) est celui de x – 5. Or x – 5 ≥ 0
équivaut à x ≥ 5. Sur [0 ; 5], f (x) ≤ 0 donc f est concave. Sur [5 ; 20], f (x) ≥ 0, f est convexe.
5. a. En-dessous du prix unitaire de 6,88 €, la demande est supérieure à 3 000 objets.
b. f est décroissante, devient convexe à partir de x = 5, donc à partir du prix unitaire de 5 euros,
la baisse de la quantité d’objets demandés, ralentit.
122 Jérôme Cardan est né le 24 septembre 1501 à Pavie et mort le 21 septembre 1576 à Rome.
En 1539, il effectue des recherches sur les équations algébriques. Il apprend une méthode pour
résoudre les équations de degré 3 du type x3+ px = q dont il expose la méthode de résolution
dans son ouvrage « Ars Magna » (Le Grand Art) publié en 1545. Leonardo Fibonacci a donné
vers 1225, une valeur approchée très précise de la solution positive de l'équation cubique
236
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
123 a, b, c et d sont quatre réels et a 0. Soit f définie sur ℝ par f (x) = ax3 + bx2 + cx + d.
Pour tout réel x : f (x) = 3ax2 + 2bx + c puis f (x) = 6ax + 2b.
1
f (x) ≥ 0 équivaut à 6ax + 2b ≥ 0 ce qui équivaut à ax ≥ – b.
3
1
On suppose a > 0 : f (x) ≥ 0 équivaut à x ≥ – b.
3a
1
Donc f s’annule et change de signe en – b.
3a
1
On suppose désormais a < 0 : f (x) ≥ 0 équivaut à x ≤ – b.
3a
1
Donc f s’annule et change de signe également en – b.
3a
1
La courbe de f possède bien un seul point d’inflexion en x = – b.
3a
237
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
2e cas :
1 1
Si a = – , sur ]– ; 0], fa (x) s’annule en – et en désignant par l’unique solution
27 3
dans [0 ; + [ de l’équation fa (x) = 0, il vient que :
1
x – – 0 +
3
fa (x) – 0 – 0 +
3e cas :
1 1
Si – < a < 0, fa (x) s’annule sur ]– , – ] en en désignant par l’unique solution
27 3
1 1
dans ]– , – ], sur [– ; 0] en et sur [0 ; + [ en .
3 3
1
x – – 0 +
3
fa (x) – 0 + 0 – 0 +
4e cas :
Si a = 0 ; fa (x) s’annule une seule fois en dans ]– , 0[ et une seule fois, en 0, sur [0 ; + [.
x – 0 +
fa (x) – 0 + 0 +
5e cas :
1
Si a > 0 : fa (x) s’annule une seule fois en (avec < – ), dans ]– ; + [.
3
1
x – – +
3
fa (x) – 0 +
126 Soit m un réel et f définie sur ℝ par f (x) = (x2 + (m – 1)x + 3m – 1)e– x.
Pour tout réel x : f (x) = (– x2 + (3 – m)x – 2m)e– x puis f (x) = (x2 + (m – 5)x + m + 3)e– x.
Pour tout réel x : e– x > 0, le signe de f (x) est celui du polynôme du second degré
P(x) = x2 + (m – 5)x + m + 3, dont le discriminant factorisé est = (m – 1)(m – 13).
1er cas : < 0 c’est-à-dire lorsque m appartient à ]1 ; 13[.
P(x) est du signe du coefficient de x2 sur ℝ donc strictement positif donc f (x) > 0 : f est convexe
sur ℝ.
2e cas : = 0 c’est-à-dire lorsque m = 1 ou m = 13.
P(x) est du signe du coefficient de x2 sur ℝ, c’est-à-dire strictement positif si x 2 et nul pour
x = 2 (si m = 1) ou bien strictement positif si x – 4 et nul pour x = – 4 (si m = 13).
Donc f (x) ≥ 0 : f est convexe sur ℝ.
3e cas : > 0, c’est-à-dire si m appartient à ]– ; 1[ ∪ ]13 ; +[. P(x) possède deux racines x1
et x2 en nommant x1 la plus petite. P(x) est du signe du coefficient de x2 à l’extérieur des racines
et du signe contraire entre ; il en est de même pour f (x).
238
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Ainsi sur ]– ; x1] ∪ [x2 ; + [, f est convexe et sur [x1 ; x2], f est concave.
Conclusion : les valeurs de m pour lesquelles f est convexe sur ℝ sont toutes les valeurs de
l’intervalle [1 ; 13].
Travaux pratiques
TP Méthode de la sécante
Un fichier logiciel et des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont
disponibles dans le manuel numérique enseignant.
A. Méthode de Lagrange, cas d’une fonction convexe
1. Soit f définie sur ℝ par f (x) = 0,02x3 – 4 alors f (x) = 0,06x2 ; sur [1 ; 9], f (x) > 0 donc sur
199 529
[1 ; 9], f est strictement croissante et continue, de plus f (1) = – < 0 et f (9) = > 0.
50 50
D’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = 0 possède une
unique solution dans [1 ; 9].
2. a. Pour tout réel x : f (x) = 0,12x ; sur [1 ; 9], f (x) > 0 donc f est convexe.
b. Le segment [AB] est au-dessus de Cf , puisque f est convexe.
c.
3. a. On a : A (a ; f (a)) et B (b ; f (b)). La droite (AB) est dirigée par AB (b – a ; f (b) – f (a))),
soit de plus M (x ; y) un point de (AB) : AM (x – a ; y – f (a)) est colinéaire à AB ce qui équivaut
à det (AB ,AM) = 0 ce qui équivaut à (b – a)(y – f (a)) – (x – a)(f (b) – f (a)) = 0 ce qui équivaut
à (b – a)(y – f (a)) = (x – a)(f (b) – f (a)) puis, en développant et simplifiant, cela équivaut à
f (b) – f (a) bf (a) – af (b)
y= x+ puisque b a.
b–a b–a
b. c1 est l’abscisse du point d’intersection de [AB] avec l’axe des abscisses donc on a :
f (b) – f (a) bf (a) – af (b)
c1 + = 0 ce qui équivaut à c1(f (b) – f (a)) + b f (a) – a f (b) = 0
b–a b–a
a f (b) – bf (a)
ce qui équivaut à c1(f (b) – f (a)) = – b f (a) + a f (b) puis à c1 =
f (b) – f (a)
puisque f (b) – f (a) 0
239
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
B. Programmation en Python
1. a. La valeur retournée lors de l’appel à sec(1) est 3.1868131868131866.
b. On doit faire l’appel sec(4).
2. a.
b. On n’a pas, avec ce programme, la connaissance de la précision.
Sujet A
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
1. Pour tout réel x : f (x) = e– x (57 – 25x) ; pour tout réel x : e– x > 0 et 57 – 25x > 0 équivaut à
x < 2,28.
2. Sur [1,5 ; 2,28[, f (x) > 0, et sur ]2,28 ; 6], f (x) < 0.
Sujet B
1. a. u0 = 0,4 et k = 1 donc f est définie sur [0 ; 1], par f (x) = x(1 – x) = x – x2
puis f (x) = 1 – 2x.
f (x) ≥ 0 équivaut à 1 – 2x ≥ 0 ce qui équivaut à x ≤ 0,5.
Sur [0 ; 0,5], f ≥ 0 donc f est croissante et sur [0,5 ; 1], f (x) ≤ 0 donc f est décroissante.
Le maximum de f sur [0 ; 1], est f (0,5) = 0,25.
b. Pour tout entier naturel n posons, P (n) : « 0 ≤ un ≤ 0,5 ».
u0 = 0,4 qui est dans [0 ; 0,5] donc P (0) est vraie.
240
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Soit n un entier naturel fixé tel que P(n) est vraie à savoir tel que 0 ≤ un ≤ 0,5, or sur [0 ; 0,5], f
est croissante donc f (0) ≤ f (un) ≤ f (0,5) c’est-à-dire 0 ≤ un+ 1 ≤ 0,25 ≤ 0,5 donc P(n + 1) est
vraie.
D’après le principe de récurrence, pour tout entier naturel n : 0 ≤ un ≤ 0,5.
(un) est donc minorée.
Pour tout entier naturel n posons, P (n) : « un + 1 ≤ un ».
u0 = 0,4 , u1 = 0,24 soit u1 ≤ u0 donc P (0) est vraie.
Soit n un entier naturel fixé tel que P(n) est vraie à savoir tel que un + 1 ≤ un , or tous les termes
un appartiennent à [0 ; 0,5] et sur [0 ; 0,5], f est croissante, donc f (un+ 1) ≤ f (un) c’est-à-dire
un+ 2 ≤ un+ 1 donc P(n + 1) est vraie.
D’après le principe de récurrence, pour tout entier naturel n : un+1 ≤ un : (un) est décroissante.
c. (un) est décroissante minorée donc c’est une suite convergente vers un réel L de [0 ; 1], qui
vérifie L = f (L) car f est continue sur [0 ; 1] et pour tout naturel n, un+ 1 = f(un).
On résout l’équation dans [0 ; 1], x – x2 = x ce qui équivaut à x = 0. Donc L = 0.
d. Sur le long terme, la population de coccinelles va s’éteindre.
2. a. u0 = 0,3 et k = 1,8, f est définie sur [0 ; 1], par f (x) = 1,8x(1 – x) = 1,8x – 1,8x2
puis f (x) = 1,8 – 3,6x.
f (x) ≥ 0 équivaut à 1,8 – 3,6x ≥ 0 ce qui équivaut à x ≤ 0,5.
Sur [0 ; 0,5], f ≥ 0 donc f est croissante et sur [0,5 ; 1], f (x) ≤ 0 donc f est décroissante.
Le maximum de f sur [0 ; 1], est f (0,5) = 0,45 qui appartient bien à [0 ; 0,5].
b. Pour tout entier naturel n posons, P (n) : « 0 ≤ un ≤ 0,5 ».
u0 = 0,3 qui est dans [0 ; 0,5] donc P (0) est vraie.
Soit n un entier naturel fixé tel que P(n) est vraie à savoir tel que 0 ≤ un ≤ 0,5, or sur [0 ; 0,5], f
est croissante donc f (0) ≤ f (un) ≤ f (0,5) c’est-à-dire 0 ≤ un+ 1 ≤ 0,45 ≤ 0,5 donc P(n + 1) est
vraie.
D’après le principe de récurrence, pour tout naturel n : 0 ≤ un ≤ 0,5. (un) est donc majorée.
Pour tout entier naturel n posons, P (n) : « un + 1 ≥ un ».
u0 = 0,4 , u1 = 0,378 soit u1 ≥ u0 donc P (0) est vraie.
Soit n un entier naturel fixé tel que P(n) est vraie à savoir tel que un + 1 ≥ un , tous les termes un
appartiennent à [0 ; 0,5] et sur [0 ; 0,5], f est croissante donc f (un+ 1) ≥ f (un) c’est-à-dire
un+ 2 ≥ un+ 1 donc P(n + 1) est vraie.
D’après le principe de récurrence, pour tout naturel n : un+1 ≥ un : (un) est croissante.
c. (un) est croissante majorée donc (un) est convergente vers un réel L de [0 ; 1],
qui vérifie L = f (L) car f est continue sur [0 ; 1] et pour tout entier naturel n, un+ 1 = f(un).
4
On résout dans [0 ; 1], l’équation 1,8x – 1,8x2 = x ce qui équivaut à x = 0 ou à x = . Comme
9
4
(un) est croissante on a L = .
9
d. L 0,44. À long terme la population tend vers environ 444 000 individus, au millier près.
241
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
3. a.
Graphique 1
Graphique 2
Graphique 3
242
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
b. On conjecture, que sous l’hypothèse du troisième cas, la suite (un) ne converge pas.
On ne peut donc rien dire quant à l’évolution à long terme de la population.
Sujet C
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Réponse c.
2. Réponse b.
3. Réponses b et c.
Sujet D
1 e4,5 – x
A. 1. a. Pour tout réel x de [0 ; 10], f (x) = – 0,6 4,5 – x puis f (x) = – 0,6 .
e +e (e + e4,5 – x)2
– e4,5 – x(e– 0,6 + e4,5 – x)2 – e4,5 – x(– 2e4,5 – x)(e– 0,6 + e4,5 – x)
b. Pour tout réel x de [0 ; 10], f (x) =
(e– 0,6 + e4,5 – x)4
– 0,6 4,5 – x 4,5 – x
–e –e + 2e e4,5 – x – e– 0,6
puis f (x) = e4,5 – x puis f (x) = e4,5 – x
.
(e– 0,6 + e4,5 – x)3 (e– 0,6 + e4,5 – x)3
51
2. a. e4,5 – x – e– 0,6 ≥ 0 équivaut à e4,5 – x ≥ e– 0,6 équivaut à 4,5 – x ≥ – 0,6 équivaut à x ≤ .
10
b. Pour tout réel x de [0 ; 10], e 4,5 – x
> 0 et (e – 0,6
+e ) > 0 donc le signe de f (x) est celui
4,5 – x 3
de e 4,5 – x
– e . Donc sur [0 ; 5,1], f (x) ≥ 0 et sur [5,1 ; 10], f (x) ≤ 0.
– 0,6
3. La dérivée seconde s’annule en changeant de signe pour x = 5,1 donc la courbe de f possède
un point d’inflexion I d’abscisse x = 5,1 et d’ordonnée y 0,91.
4. Sur [5,1 ; 10], f (x) ≤ 0 donc f est concave.
1
B. 1. a. f (10) = – 0,6 soit f (10) 1,81.
e + e– 5,5
e4,5 – x
b. Pour tout réel x de [0 ; 10], f (x) = – 0,6 donc f (x) ≥ 0 ainsi f est croissante sur
(e + e4,5 – x)2
[0 ; 10]. Ainsi, pour tout réel x de [0 ; 10] on a f (x) ≤ f (10), c’est à dire f (x) ≤ 2.
Selon ce modèle, jusqu’en 2150, la température terrestre ne dépassera pas de plus de 2 °C la
température de l’année 1900. L’objectif de l’accord de Paris serait respecté.
2. a. L’abscisse du point d’inflexion I est 5,1 ; 5,125 = 127,5 donc cela correspond à l’année
2028 (en arrondissant à l’unité).
1
b. f (5,1) = e0,6 soit f (5,1) 0,9. L’année correspondant à l’abscisse du point I, la température
2
a augmenté de 0,9 °C par rapport à la température de l’année de référence.
3. a. L’affirmation est fausse. La fonction f est croissante sur [0 ; 10], donc après 2030 (année
correspondant à l’abscisse 5,2), la température terrestre augmentera.
b. La vitesse du réchauffement climatique est modélisée par f .
Sur [5,1 ; 10], f (x) ≤ 0 donc f est décroissante donc après 2030 (année correspondant à
l’abscisse 5,2), la vitesse du réchauffement climatique diminuera bien. L’affirmation est vraie.
4. On résout graphiquement l’inéquation f (x) ≤ 1,5, on trouve environ que x ≤ 6,6.
Puis 6,6 25 = 165. C’est donc à partir de l’année 2065, que la température terrestre dépassera
de plus de 1,5 °C la température de l’année de référence.
243
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Sujet E
A. 1. Sur [3 ; 4], f semble convexe car la courbe de f est située au-dessus de l’axe des abscisses
(ou encore f est croissante sur [3 ; 4]).
2. f s’annule et change de signe pour une valeur de x située entre 2 et 3 donc Cf possède un
point d’inflexion dont l’abscisse est comprise entre 2 et 3.
244
Chapitre 6 Continuité et convexité
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Dans la troisième séquence, on découvre les limites de la fonction logarithme ainsi que l’étude
des croissances comparée du logarithme népérien et de x ↦ xn (en 0 et en + ∞). On y découvre
la seconde démonstration au programme : le calcul de la limite en 0 de x ↦ xln(x).
D’autres démonstrations sur les croissances comparées sont proposées dans la page
« Démontrer ».
L’activité 2 permet, à l’aide d’un fichier de géométrie dynamique, d’émettre une conjecture sur
l’expression de la dérivée de la fonction logarithme népérien puis de démontrer cette conjecture.
L’activité 4, propose d’étudier une famille de courbe, ce qui permet, entre autres, de préparer
l’étude des croissances comparées du logarithme népérien et des fonctions x ↦ xn en 0 et
en + ∞.
245
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
3 Exercices, TP et algorithmes
Les exercices proposés permettent de travailler les capacités liées à ce chapitre :
- utiliser l’équation fonctionnelle de l’exponentielle ou du logarithme pour transformer une
écriture, résoudre une équation, une inéquation ;
- dans le cadre d’une résolution de problème, utiliser les propriétés des fonctions exponentielle
et logarithme.
Les exercices de la partie « Pour maîtriser les bases » permettent de travailler sur les généralités
liées à la fonction logarithme népérien : dérivée, variations, équations inéquations ; d’utiliser
les propriétés algébriques et de calculer des limites. Dans la partie « Pour s’entraîner » les
élèves vont pouvoir aborder des exercices d’un niveau permettant la mise en œuvre des
différentes capacités.
La partie « Approfondissements du programme » permet de prolonger le travail entrepris sur
« logarithmes et puissances ». Quant au TP2, il permet, conformément au programme, de
découvrir et d’étudier l’algorithme de Briggs.
𝑥+3
3 a. 𝑥 − 4 positif sur ] ; 3] ]4 ; +[ et négatif sur [3 ; 4[.
b. 𝑥 3 − 2𝑥 2 − 3𝑥 positif sur [1 ; 0] [3 ; +[ et négatif sur ] ; 1] [0 ; 3].
e𝑥 3 3
c. 2𝑥 + 3 positif sur ]− 2 ; +[ et négatif sur ] ; − 2 [.
5 5
d. e2𝑥−5 − 1 positif sur [ 2 ; +[ et négatif sur ] ; 2 ].
4 Réponses a. et c.
6 a. x = 7 b. x = 2 c. x = 1 d. x = 0 ou x = 1
2
7 a. Faux : f (x) = 2𝑥e𝑥 −9.
b. Vrai : formule du cours.
c. Faux : lim 𝑥e𝑥 = 0.
𝑥→−∞
e𝑥 − 𝑥e𝑥 + 1 −e1−𝑥
8 a. f (x) = (x + 3)ex b. f (x) = (e𝑥 + 1)2
c. f (x) = (2x + 1)e2x+1 d. (1 + e−𝑥)2
246
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
10 y = e x.
C Activités
Activité 1 La fonction exponentielle comme dans un miroir
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
Un fichier logiciel est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le site enseignant
indice.editions-bordas.fr, ainsi que dans le manuel numérique élève et le site élève
lycee.editions-bordas.fr.
247
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
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d.
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lycee.editions-bordas.fr.
1. a.
x 0,1 0,2 0,5 1 2 5 10
m 10 5 2 1 0,5 0,2 0,1
1
On constate que m = 𝑥.
b. Le point N semble décrire une branche d’hyperbole, la courbe représentative de la fonction
inverse.
1
c. Il semble que f (x) = 𝑥.
2. a. g’(x) = u’(x)eu(x).
b. g(x) = eln(x) = x, d’ou g’(x) = 1.
1
c. u’(x) eln(x) = 1, donc u’(x) = 𝑥.
248
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
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Un fichier logiciel est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le site enseignant
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lycee.editions-bordas.fr.
Une animation est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le site enseignant
indice.editions-bordas.fr, ainsi que dans le manuel numérique élève et le site élève
lycee.editions-bordas.fr.
Partie A
ln(𝑥) ln(𝑥)
1. a. lim = et lim = 0.
𝑥→0 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥
b. f1 semble croissante sur ]0 ; 2,7] et décroissante sur [2,7 ; +[.
1
× 𝑥 − ln(𝑥)×1 1 − ln(𝑥)
2. a. f1’(x) = 𝑥
= .
𝑥2 𝑥2
b. f1 est croissante sur ]0 ; e] et décroissante sur [e ; +[.
Partie B
ln(𝑥) ln(𝑥)
1. a. lim = et lim = 0.
𝑥→0 𝑥 𝑛 𝑥→+∞ 𝑥 𝑛
b. Par exemple : f2 semble croissante sur ]0 ; 1,65] et décroissante sur [1,65 ; +[.
f3 semble croissante sur ]0 ; 1,4] et décroissante sur [1,4 ; +[.
249
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1
× 𝑥𝑛 − ln(𝑥)× 𝑛𝑥 𝑛−1 1 − 𝑛ln(𝑥)
2. a. fn’(x) = 𝑥 = .
(𝑥 𝑛 )2 𝑥 𝑛+1
1
b. On obtient 0 < x < e𝑛
1 1
c. fn est croissante sur ]0 ; e𝑛 ] et décroissante sur [e𝑛 ; +[.
D Exercices
Automatismes et rituels
1 a. 5 b. 15 c. 30
2 a. 9 b. 2n1
7 3 7
4 a. x = 3 b. x = 5 c. x = 15 d. x = 4
7 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages : il faut lire « Indiquer si
l’affirmation est vraie ou fausse, puis justifier. »
Faux : l’équation est y = 7x 4.
8 Réponses b et d.
9 Réponses a, c et d.
1 1 5
10 a. x = b. x > c. x
2 2 2
11 a. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB (5 ; 2).
2 12
b. y = 5x + 5 .
c. AB = √29.
250
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
2 2
13 a. sin(x) = 3 b. sin(x) = − 3
14 Réponse b.
15 Tableau de valeurs :
Valeur 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Effectif 8 4 7 6 2 3 2 1 1 5
1. Moyenne : 4,36.
2. Écart-type : 2,97.
3. Médiane : 4 ; 1er quartile 2 ; 3e quartile : 6.
16 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages : il faut lire « on note : G
l’événement « l’élève choisi est un garçon » … »
251
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1 1
22 1. ln(7) < ln(11) 2. ln(5) > ln(6) 3. ln(3) > ln(e)
7
23 a. ln(5) > 0 b. ln(0,9) < 0 c. ln (8) < 0
d. ln(√2) > 0 e. ln(100) > 0 f. ln(3 10–2) < 0
25 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1.
3 1 1 1
26 1. f ’(x) = 𝑥 2. g(x) = − 𝑥 3. h(x) = 𝑥 4. k(x) = 𝑥 + 2
2
27 1. f ’(x) = 𝑥
2. f est croissante sur ]0 ; +[.
1 𝑥−1
28 1. f ’(x) = 1 𝑥 = 𝑥
2. f décroissante sur ]0 ; 1] et croissante sur [1 ; +[.
2 2 − 0,1𝑥
29 1. f ’(x) = 0,1 + 2 2𝑥 = .
𝑥
2. f est croissante sur [15 ; 20] et décroissante sur [20 ; 60].
3. C’est à 20 ans que la capacité pulmonaire est maximale. Elle est alors d’environ 5,4 litres.
30 Réponse c.
ln(7) − 1
33 a. Solution : x = 2ln(2) b. Solution : x = 2
252
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
e−2 e2
34 1. Solution : x = 2. Solution : x =
5 4
38 a. Pas de solution.
3
b. Ensemble des solutions : ]0 ; e2 [.
c. Ensemble des solutions : ]0 ; +[.
41
x 1 5 +
5x – 0 – 0 +
ln(x) – 0 + 0 +
(5 x) ln(x) + 0 – 0 +
1
42 1. ln(2) + ln(5) 2. ln(7) ln(3) 3. 2ln(11)
3 3 1
43 1. 3ln(2) 2. 2ln(2) 3. 2ln(2) + 2
253
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
3
47 1. Solution : x = 15 2. Solution : x = 2
49 Réponse c.
2. a. lim (3 – x)= 0+, car si x < 3, x 3 < 0. b. lim g(x) = lim ln(𝑋) = .
x3 x3 𝑋→0
𝑋>0
x<3 x<3
ln(𝑥)
55 1. lim = 0.
𝑥→+∞ 𝑥
ln(𝑥)
2. lim ( + 1) = 1.
𝑥→+∞ 𝑥
ln(𝑥)
56 1. Il suffit de développer 𝑥 ( − 3), on obtient f(x).
𝑥
ln(𝑥)
2. a. lim = 0.
𝑥→+∞ 𝑥
ln(𝑥)
b. lim ( – 3) = 3.
𝑥→+∞ 𝑥
c. lim 𝑓(𝑥) = .
𝑥⟶+∞
254
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Pour s’entraîner
57 1. Pas de solution ; 2. Solution : x = e 3. Solution : x = 3 4. Solution : x = ln(3)
3
62 1. L’équation est définie si et seulement si x < 2 ou x > 2.
1
Solutions : x = − 2 ou x = 4.
2. L’équation est définie si et seulement si x < 0 ou x > 2.
Pas de solution.
1
66 1. L’inéquation est définie si et seulement si x > 4.
1
Ensemble des solutions : ] 4 ; 1].
255
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
68 1. P(x) = 0, solutions : x = 3 ou x = 5.
P(x) < 0, ensemble des solutions : ]–3 ; 5[.
2. L’équation est définie si et seulement si x > 0.
Si on pose X = ln(x), les solutions sont X = 3 ou X = 5 soit x = e3 ou x = e5.
3. L’inéquation est définie sur ℝ.
Si on pose X = ex, comme X > 0 ; on obtient 0 < X < 5 soit 0 < ex < 5.
L’ensemble des solutions est : ] ; ln(5)[.
71 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. a. f(3) 85,35. Il n’est pas nécessaire de porter des protections individuelles contre le bruit.
b. L’ouvrier doit être situé à au moins 1,91 m de la machine.
2. a. Les trois lignes (3 à 5) permettent de définir la fonction f qui sera utilisée dans la
fonction « niveau ».
b. niveau() retourne la valeur 2.
c. Cette valeur représente, à 10 cm près, la distance, en mètres, à laquelle peut s’approcher un
ouvrier sans avoir à porter des protections individuelles.
256
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
72 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
73 1. Proposition vraie.
2. Réciproque : « Si le réel a est solution de l’équation ln(x(x – 2)) = ln(8), alors a est solution
de l’équation ln(x) + ln(x–2) = ln (8) ».
Réciproque fausse : exemple x = 2.
1 1 1
75 f ’(x) = 2 𝑥. f est décroissante sur ]0 ; 2] et croissante sur [2 ; +[ .
2𝑥 + 3
76 1. Si x > 2, 2x + 3 > 0 et x 2 > 0 soit > 0.
𝑥−2
−7
2. g’(x) = (𝑥 − 2)(2𝑥 + 3) ; donc g est décroissante sur ]2 ; +[.
1 −𝑥 2 + 2𝑥 + 15
77 1. f ’(x) = x + 2 + 15 𝑥 = .
𝑥
2. f est croissante sur [1 ; 5] et décroissante sur [5 ; 11] :
x 1 5 11
5
15ln(5) 2
f (x)
77
1,5 15ln(11) 2
1
79 1. a. g’(x) = 1 + 𝑥 ; donc g est croissante sur ]0 ; +[.
b. g(1) = 0. Donc g(x) 0 sur ]0 ; 1] et g(x) 0 sur [1 ; +[.
1 𝑥 − 1 𝑔(𝑥)
2. a. f ’(x) = 𝑥 2 ln(𝑥) + 𝑥 2 = 𝑥 2 .
b. f est décroissante sur ]0 ; 1] et croissante sur [1 ; +[.
2
81 1. f ’(x) = 𝑥(1 ln(x)).
f est croissante sur ]0 ; e] et décroissante sur [e ; +[.
257
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
2. y = (2e2)x + 2.
3. Il y a deux points d’intersection d’abscisses 1 et e2.
3(ln(𝑥))2
82 1. f ’(x) = + 1.
𝑥
2. y = x.
3. La courbe C est au-dessous de T sur ]0 ; 1] et au-dessus de T sur [1 ; +[.
8 −2(𝑥 − 1)(𝑥 − 4)
83 1. f ’(x) = 2x + 10 𝑥 = 𝑥
.
2. f ’(x) positif sur [1 ; 4] et négatif sur [4 ; 6].
3.
x 1 4 6
15 16ln(2)
f (x)
0 15 8ln(6)
4. a. Il faut produire 400 pièces.
b. Bénéfice maximal : environ 39 096 euros.
1
84 1. Équation de T : y = 𝑎x + ln(a) 1.
Intersection avec l’axe des ordonnées : M(0 ; ln(a) 1).
2. Il faut enlever 1 à la valeur de l’ordonnée du point A(a ; ln(a)), placer cette valeur sur l’axe
des ordonnées. On obtient alors le point M(0 ; ln(a) 1). Il suffit ensuite de tracer la droite
(AM).
1
85 Équation de la tangente au point d’abscisse a : y = (1 − 𝑎)x ln(a) + 1.
La tangente passe par l’origine si et seulement si ln(a) + 1 = 0 soit a = e.
1
86 1. Soit f(x) = ln(x) alors f ’’(x) = − 𝑥 2 < 0. Donc f est concave sur ]0 ; +[.
2. y = x 1.
3. Comme f est concave sur ]0 ; +[, la courbe Cf est située au-dessous de chacune de ses
tangentes soit ln(x) x 1.
87 1. y = x.
1
2. a. f ’’(x) = − (𝑥+1)2 < 0. Donc f est concave sur ]1 ; +[.
b. Comme f est concave sur ]1 ; +[, la courbe Cf est située au-dessous de chacune de ses
tangentes soit ln(1 + x) x.
1
88 f ’’(x) = − 𝑥 2 < 0. Donc f est concave sur ]0 ; +[.
𝑎+𝑏 ln(𝑎) + ln(𝑏)
Soit M le milieu du segment [AB], M( ; ) et N le point de la courbe de f de même
2 2
𝑎+𝑏 𝑎+𝑏
abscisse que M : N( ; ln ( )).
2 2
Comme f est concave, le segment [AB] est situé au-dessous de la courbe de f.
𝑎+𝑏 ln(𝑎) + ln(𝑏)
M est donc situé au-dessous de N. Ainsi : ln ( )≥ .
2 2
258
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
89 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages : il faut lire « Indiquer si
l’affirmation est vraie ou fausse, puis justifier »
3
Vrai : f ’’(x) = − 𝑥 2 < 0, donc f est concave sur [0,5 ; 10].
91 1. Proposition vraie.
1
2. a. Réciproque : « Si f ’(x) = 𝑥, alors f (x) = ln(x) ».
b. Réciproque fausse, car on peut avoir par exemple f (x) = ln(x) + 1.
92 1. La magnitude est 0.
2. La magnitude est environ 1,48.
3. Le rapport entre l’éclat apparent ES du Soleil et celui E0 de Vega est d’environ 4,8 1010.
4. Une étoile qui a une magnitude apparente négative est plus brillante que Véga.
𝐸 𝐸′
5. a. m < m’ équivaut à ln(𝐸 ) > ln(𝐸 ) soit E > E ’.
0 0
b. Entre deux étoiles d’éclats différents, la plus brillante est celle qui a la plus petite
magnitude.
93 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages : question 3 il faut lire
« Montrer que, pour tout réel x strictement positif et différent de 1 … »
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
𝑥−1
1. a. f ’(x) = 𝑥 2 . Donc f est décroissante sur ]0 ; 1] et croissante sur [1 ; +[.
b. f (1) = 0. D’où f (x) > 0 pour tout réel de ]0 ; +[ distinct de 1.
1−𝑥
2. a. g’(x) = 𝑥 . Donc g est croissante sur ]0 ; 1] et décroissantes sur [1 ; +[.
b. g(1) = 0. D’où g(x) < 0 pour tout réel de ]0 ; +[ distinct de 1.
3. On a, pour x strictement positif et différent de 1 : g(x) < 0 < f (x), soit
1 1
ln(x) + 1 – x < 0 < ln(x) – 1 + 𝑥 ou encore : x – 1 > ln(x) > 1 – 𝑥.
Il y a égalité pour x = 1.
1 1 1
1
4. a. Le nombre e𝑛 est différent de 1, donc : 1 – 1 < ln(e𝑛 ) < e𝑛 – 1.
𝑒𝑛
1
1 1
1 1 𝑛 1 𝑛
On obtient e−𝑛 > 1 – 𝑛 et e𝑛 > 𝑛 + 1 soit e−1 > (1 – 𝑛) et e > (1 + 𝑛) .
1 𝑛 1
On en déduit que : (1 + 𝑛) < e < 1 𝑛
.
(1 – )
𝑛
9
b. < e < 4
4
259
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
5. a.
96 Réponse b.
97 1. ln(√2 1) + ln(√2 + 1) = 0.
𝑥−7
2. ln ((𝑥 + 3)2 ).
98 Réponse a.
3
99 3 ln(√2 + 1) + ln(5√2 − 7) = ln((√2 + 1) ) + ln(5√2 − 7) = ln(5√2 + 7) + ln(5√2 − 7) = ln(1) = 0.
1 1
100 1. a. ln(4) b. ln(10).
1
2. ln(𝑛 + 1).
260
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
101 a. Les fonctions f et g ne sont pas égales : f est définie sur ]0 ; +[ et g est définie sur
] ; 1[ ]0 ; +[.
b. Les fonctions f et g ne sont pas égales : f est définie sur ]0 ; 1[ ]1 ; +[ et g est définie
sur ]1 ; +[.
𝑥 1 𝑥 𝑥+1
102 a. ln(𝑥 + 1) + ln(1 + 𝑥) = ln(𝑥 + 1) + ln( ) = ln(1) = 0.
𝑥
2 2
b. ln(√e + 𝑥 − √𝑥) + ln(√e + 𝑥 + √𝑥) = ln(√e + 𝑥 − √𝑥 ) = ln(e) = 1.
3 3 1
103 Pour tout entier n N, vn+1 = ln(2𝑛+1 ) = ln(2𝑛) + ln(2) = vn ln(2).
(vn) est une suite arithmétique de raison ln(2).
111 1. Proposition vraie : l’équation ln(x) + ln(x – 1) = ln 6 a pour solution 3, alors que
l’équation ln(x(x – 1)) = ln 6 a pour solutions –2 et 3.
261
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1
114 1. Condition d’existence : x > 3.
1 1
Pour x > 3, l’inéquation équivaut à 3x(x – 1) 0. Ensemble des solutions : ]3 ; 1].
2. Condition d’existence : x > 3.
Pour x > 3, l’inéquation équivaut à 3x(x + 1) 0. Il n’y a aucune solution.
1
115 1. Condition d’existence : x > 3.
1 1
Pour x > 3, l’inéquation équivaut à 3x(x – 1) 0. Ensemble des solutions : ]3 ; 1].
1
2. Condition d’existence : x > 2.
1
Pour x > , l’inéquation équivaut à ln(3x 1) + ln(2x 1) ln(2) soit à 6x2 5x 1 0.
2
1
Ensemble des solutions : ]2 ; 1].
116 n = 10.
117 1. n = 13 2. n = 55
118 1. On cherche le plus petit entier naturel n tel que 3,5 0,98n 3 soit n = 8 ; c’est-à-dire
en 2027.
2. On cherche le plus petit entier naturel n tel que 1,7 1,025n 2,23 soit n = 11 ; c’est-à-dire
en 2030.
3. On cherche le plus petit entier naturel n tel que 1,7 1,025n 3,5 0,98n soit n = 17 ;
c’est-à-dire en 2036.
119 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1.
2. On cherche le plus petit entier naturel n tel que 1,08n 104 soit n0 = 120.
262
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
𝑥−1
120 1. On a f ’(x) , soit :
𝑥
x 0 1 +
f ’(x) 0 +
f (x)
0
Donc f(x) 0 sur ]0 ; +[, soit ln(x) ≤ x – 1.
𝑎 𝑏 𝑐 𝑎 𝑏 𝑐 𝑎𝑏𝑐
2. ln (𝑚) + ln (𝑚) + ln (𝑚) 𝑚 + 𝑚 + 𝑚 − 3, soit ln ( 𝑚3 ) 0 donc abc m3.
𝑥 𝑥
121 1. ex – xn = 0 ln(ex) = ln(xn) 𝑛 = ln(x) soit ln(x) 𝑛 = 0.
𝑥 𝑛−𝑥
2. Posons fn(x) = ln(x) 𝑛. On a fn’(x) = , soit :
𝑛𝑥
x 0 n +
fn’(x) + 0
ln(n) 1
fn(x)
fn(x) = 0 possède deux solutions si et seulement si ln(n) 1 > 0 c’est-à-dire n > e ;
soit pour n 3.
3𝑥 + 5 3𝑥 + 5
122 1. lim = 0 et lim = .
𝑥→0 ln 𝑥 𝑥→1 ln 𝑥
La courbe représentative de f admet une asymptote verticale d’équation x = 1.
5𝑥
2. lim ln (2𝑥 − 4) = +.
𝑥→2
𝑥 3 𝑥 3
123 lim (3 − ln 𝑥 ) = + et lim (3 − ln 𝑥) = .
𝑥→+∞ 𝑥→1
La courbe représentative de f admet une asymptote verticale d’équation x = 1.
b. lim ℎ(𝑥) = 2.
𝑥→+∞
La courbe représentative de h admet une asymptote horizontale d’équation y = 2.
2
127 1. lim ln(𝑥² + 3𝑥 + 2) = + 2. lim ln(1 + 𝑥 2 ) = 0
𝑥→+∞ 𝑥→+∞
3+𝑥 2𝑥 + 3
128 1. lim ln(1 − 𝑥) = + 2. lim ln(4 − 𝑥 2 ) = +
𝑥→1 𝑥→−2
𝑥<1 𝑥<−2
ln(𝑥)
129 1. lim =0 2. lim 𝑥 3 − ln(𝑥) = +
𝑥→+∞ 𝑥+3 𝑥→+∞
𝑥
3. lim(𝑥 3 ln(𝑥 3 )) = 0. 4. lim (𝑥 − ln(𝑥)) = 0.
𝑥→0 𝑥→0
𝑥>0 𝑥>0
𝑥+2 1
132 1. lim ( )= 2. lim ( + ln(𝑥)) = +
𝑥→0 𝑥 2 ln(𝑥) 𝑥→0 𝑥
𝑥>0 𝑥>0
ln(𝑥)
133 1. lim = 0. 2. lim 𝑥 2 + 2𝑥 − 3 − ln(𝑥) = +.
𝑥→+∞ √𝑥 𝑥→+∞
ln(𝑥) − 5𝑥 ln(𝑥)
134 1. lim =0 2. lim =0
𝑥→+∞ 3𝑥 2 𝑥→+∞ 𝑥 + 1
ln(𝑥 3 ) ln(𝑋)
135 1. Faux : lim = lim =0
𝑥→+∞ 𝑥3 𝑋→+∞ 𝑋
𝑥2 1 1
2. Vrai : lim ln(𝑥 2 ) = lim 2 = lim ln(𝑋) = +
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ ln(𝑥 ) 𝑋→+∞
𝑥2 𝑋
e𝑥
2. f ’(x) = e𝑥 +1 ; f ‘(x) > 0 sur ℝ.’
x +
f ’(x) +
+
f (x)
0
3. D’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = m admet une
unique solution pour tout réel m de ]0 ; +[.
1
4. Équation de la tangente a Cf au point de coordonnées (0 ; ln(2)) : y = 2x + ln(2).
5. f (x) – x = ln(1 + ex) ln(ex) = ln(1 + e–x) > 0, donc f (x) > x pour tout réel x.
Cf est toujours située au-dessus de (d).
6.
30
139 1. f ’(x) = 𝑥(1 − 𝑥) ; f ’(x) > 0 sur ]0 ; 1[, donc f est strictement croissante sur ]0 ; 1[.
2
e3 e4
2. f (x) = 20 équivaut à x = 2 et f (x) = 120 équivaut à x = e4 + 20.
e3 + 20
2
e3 e4
f étant strictement croissante, 20 < f (x) < 120 équivaut à 2 < x < e4 + 20
e3 + 20
soit 0,08 < x < 0,73 Le diamètre du tronc est compris entre 8 cm et 73 cm environ.
1
× 𝑥 2 − (1 + ln(𝑥)) × 2𝑥 −1 − 2 ln(𝑥)
2.a. f ‘(x) = 𝑥 = .
𝑥4 𝑥3
1
−
b. Pour x > 0, –1 – 2ln(x) > 0 ⇔ x < e 2
1 1
f ’(x) > 0 sur ]0 ; e− 2 [ et f ’(x) < 0 sur ]e− 2 ; +[.
c.
1
x 0 e− 2 +
f ’(x) + 0
1
e
2
f(x)
0
–1
3. a. f (x) = 0 ⇔ x = e .
Le point d’intersection a pour coordonnées (e–1 ; 0).
b. f (x) < 0 sur ]0 ; e–1[ ; f (x) > 0 sur ]e–1 ; +[ et f (x) = 0 pour x = e–1.
11
142 A = − ln(3),
2
3
B = 8ln(3) 2 ln(2),
9
C = ln(3) + ln(2) + 2,
3 3
DE = 2 2ln(3) 2ln(2),
𝑥2 1
144 2ln x ln(x² + 1) = ln( ) = ln ( 1 ).
𝑥2 + 1 1+ 2
𝑥
e𝑥 + 1
145 1. ln(ex + 1) x = ln(ex + 1) ln(ex) = ln( ) = ln(1 + ex).
e𝑥
2. f(x) > 0 pour tout x réel.
266
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
2
Valeurs solutions : x ]0 ; e3 [ ∪ ]e5 ; +∞[.
150 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1.
3𝑥 + 2
152 1. lim (ln(𝑥) − 1) = 0.
𝑥→0
𝑥>0
3𝑥 + 2
lim (ln(𝑥) − 1) = .
2. 𝑥→e
𝑥<e
La droite d’équation x = e est asymptote verticale à la courbe.
𝑥2 − 9
154 1. lim ln (𝑥 2 + 1) = .
𝑥→3
𝑥>3
𝑥2 − 9
lim ln (𝑥 2 + 1) = 0.
𝑥→+∞
2. La droite d’équation x = 3 est asymptote verticale à la courbe.
La droite d’équation y = 0 est asymptote horizontale à la courbe.
𝑥 √𝑥
156 1. lim = +.
𝑥→+∞ ln( 𝑥)
267
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
157 f ’(x) = ex 3.
f est décroissante sur ] ; ln(3)] et croissante sur [ln(3) ; +[.
𝑥−5
158 1. lim ln (𝑥 + 2) = +.
𝑥→−2
𝑥<−2
𝑥−5
lim ln (𝑥+2) = 0.
𝑥→−∞
La droite d’équation x = 2 est asymptote verticale à la courbe.
La droite d’équation y = 0 est asymptote horizontale à la courbe.
7
2. f ’(x) = (𝑥 − 5)(𝑥 + 2).
f est croissante sur ] ; 2[.
159 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages : question 4 il faut lire
« Montrer que l’équation g(x) = 10 possède deux solutions … »
1. lim 𝑔(𝑥) = 0.
𝑥→0
lim 𝑔(𝑥) = .
𝑥→+∞
Pas d’asymptote.
2. g’(x) = 3 ln(x).
g est croissante sur ]0 ; e3] et décroissante sur [e3 ; +[.
3. g(x) est positive sur ]0 ; e4] et négative sur [e4 ; +[.
4. On applique le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires sur ]0 ; e3] et sur [e3 ; +[.
3,72 < < 3,73 et 43,35 < < 43,36.
268
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
2𝑥
164 f’(x) = 2ln(x 1) + 𝑥 − 1.
2 ln(𝑥) + 4
165 f’(x) = .
𝑥
−2 ln(𝑥) − 1
166 f’(x) = .
𝑥2
269
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
e0+ℎ − e0 eℎ − 1
170 1. Soit f(x) = ex, on sait que f ’(0) = 1, ainsi lim = lim = 1.
ℎ→0 ℎ ℎ→0 ℎ
1
e𝑛 − 1 eℎ − 1
2. un = 1 , lim 𝑢𝑛 = lim = 1.
𝑛→+∞ ℎ→0 ℎ
𝑛
172 Partie A
−𝑥
1. a. f ’(x) = 1 + 𝑥, donc f est décroissante sur [0 ; +[.
b. f (0) = 0, donc f (x) 0 pour x 0.
𝑥2
2. a. g’(x) = 1 + 𝑥, donc g est croissante sur [0 ; +[.
b. g(0) = 0, donc g(x) 0 pour x 0.
1
3. Pour x 0 : f (x) 0 donc ln(1 + x) x, et g(x) 0 donc ln(1 + x) 𝑥 − 2 𝑥 2 .
Partie B
1×2×3
1. La propriété est vraie pour n = 1, car 12 = 6 .
𝑛(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1)
On la suppose vraie pour n soit 12 + 22 + … + n2 = 6
𝑛(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1) (𝑛+1)(𝑛+2)(2𝑛+3)
Alors 1 + 2 + … + n + (n + 1) =
2 2 2 2
+ (n + 1)2 = .
6 6
La propriété est vraie au rang n + 1.
1 2 𝑛
2. vn = ln (1 + 𝑛2 ) + ln (1 + 𝑛2 ) + ⋯ + ln (1 + 𝑛2 ).
On applique la double inégalité (3) à chacun des termes précédents, d’où :
1 1 1 2 1 1
− 2 (𝑛2 ) ln (1 + 𝑛2 ) 𝑛2
𝑛2
2 1 2 2 2 2
− 2 (𝑛2 ) ln (1 + 𝑛2 ) 𝑛2
𝑛2
…
𝑛 1 𝑛 2 𝑛 𝑛
− 2 (𝑛2 ) ln (1 + 𝑛2 ) 𝑛2
𝑛2
On ajoute membre à membre ces n inégalités :
1 2 𝑛 1 1 22 𝑛2 1 2 𝑛
+ 𝑛2 + ⋯ + 𝑛2 − 2 (𝑛4 + 𝑛4 + ⋯ + 𝑛4 ) vn 𝑛2 + 𝑛2 + ⋯ + 𝑛2
𝑛2
1 𝑛(𝑛 + 1) 1 𝑛(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1) 1 𝑛(𝑛+1)
D’où 𝑛2 × − 2𝑛4 × vn 𝑛2 ×
2 6 2
1 1 (𝑛 + 1)(2𝑛 + 1) 1 1
Soit 2 (1 + 𝑛) − vn 2 (1 + 𝑛)
12𝑛3
1
3. Par le théorème des gendarmes : lim 𝑣𝑛 = 2, d’où lim 𝑢𝑛 = √e.
𝑛→∞ 𝑛→∞
173 1. a. N(I0) = 0.
b. Niveau sonore : 170 décibels.
2. I = 1011 × I0.
3. Intensité acoustique d’un violon : 107 × I0
271
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Pour 10 violons, l’intensité acoustique est 108 × I0, donc le niveau sonore est 80 décibels.
𝐼 𝐼 𝐼
4. N(IC) = N(IB) – 15, d’où 10 log( 𝐼𝐶 ) = 10 log( 𝐼𝐵 ) 15 soit log( 𝐼𝐵 ) = 1,5.
0 0 𝐶
𝐼𝐵
Ainsi : 𝐼 = e 1,5ln(10)
≈ 32.
𝐶
174 1. a. f ’(x) = ln(x) + p 1. f est croissante sur ]0 ; e𝑝−1] et décroissante sur [e𝑝−1 ; +[.
Maximum atteint pour xp = e𝑝−1 et ce maximum est f(e𝑝−1) = e𝑝−1
2. Soit p un réel et Sp le sommet de la courbe Cp, on a Sp(e𝑝−1 ; e𝑝−1 ) donc Sp appartient à la
droite d’équation y = x.
Ainsi, tous les points Sp appartiennent à la droite d’équation y = x.
Réciproquement :
Soit S(xS ; xS) un point de la droite d’équation y = x. S est un sommet d’une courbe Cp si et
seulement si il existe un unique réel p tel que e𝑝−1 = xS.
Ce réel p existe si et seulement si xS > 0. On a alors p = 1 + ln(xS).
Finalement : un point de la droite d’équation y = x est un sommet Sp si et seulement si son
abscisse est strictement positive.
Ainsi l’ensemble des sommets Sp est la demi-droite ouverte d’origine O et passant par le point
A(1 ; 1).
175 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. a. f1(0) = 0 ; f1(1) = 1 ; f1 est continue sur [0 ; 1].
f1’(x) = 3(2x – 1)2 ; f1’(x) > 0, donc f1 est croissante sur [0 ; 1].
b.
272
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
176 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages : la question 1.a. est en
fait la question 1. Et la question 1.b. est en fait la question 2.
1 1
1. a. x 2x2 ≤ ln(1 + x) équivaut à x ln(1 + x) ≤ 2 x2.
1
L’erreur commise est : x ln(1 + x) ≤ x2.
2
b. Pour x = 0,14, on obtient une erreur inférieure à 0,0098.
𝑡 𝑛 ln(2)
3. On veut n tel que (1 + 100) 2 soit n 𝑡
ln(1 + )
100
100ln(2)
4. En utilisant l'approximation ln(1 + x) ≈ x, l'inégalité précédente devient n 𝑡
70
On obtient n = environ.
𝑡
𝑡 𝑛 100 ln(3)
5. Pour tripler le capital, on veut n tel que (1 + 100) 3 soit n .
𝑡
110
On obtient n = environ.
𝑡
𝑡 𝑛 100 ln(10)
Pour décupler le capital, on veut n tel que (1 + 100) 10 soit n .
𝑡
230
On obtient n = environ.
𝑡
177 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages : question 1 il faut lire
« Démontrer que pour tout x dans ]–1 ; 1[, ln (1 + x) x »
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
𝑥
1. f ’(x) = 𝑥 + 1, sur ]1 ; 1[, f est décroissante sur ]1 ; 0] et croissante sur [0 ; 1[.
Le minimum de f est f(0) = 0, donc f est positive sur ]1 ; 1[. Ainsi ln(1 + x) x.
1
2. a. Si k entier naturel non nul, 1 𝑘 1.
1 1 1
Alors ln (1 + 𝑘) 𝑘 ce qui équivaut à ln(𝑘 + 1) − ln(𝑘) 𝑘.
1
b. Si k est un entier naturel non nul, 1 − 𝑘 + 1 1.
1 1 1
Alors ln (1 − 𝑘 + 1) − 𝑘 + 1 ce qui équivaut à ln(𝑘 + 1) − ln(𝑘) 𝑘 + 1.
3. a. On a :
1
ln(2) − ln(1) 1
273
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1
ln(3) − ln(2) 2
…
1
ln(𝑛 + 1) − ln(𝑛) 𝑛
En ajoutant membre à membre ces n inégalités, on obtient :
1 1 1
ln(𝑛 + 1) − ln(1) 1+ 2 + 3 + ⋯ + 𝑛 soit ln(𝑛 + 1) un.
b. Comme lim ln(𝑛 + 1) = +, la suite (un) diverge.
𝑛→∞
4. a. On a vn = 𝑢𝑛 − ln(𝑛) 𝑢𝑛 − ln(𝑛 + 1) 0.
1
b. vn+1 vn = 𝑛+1 ln(n+1) + ln(n) 0 d’après l’inégalité (2). Donc vn+1 vn
5. La suite (vn) est décroissante et minorée par 0, donc elle converge.
6. a.
b. lim 𝑣𝑛 0,5772157.
𝑛→∞
178 Le tremblement de terre le plus puissant jamais enregistré est celui du 22 mai 1960 au
Chili avec une magnitude estimée de 9,5. Ce tremblement de terre a fait plusieurs milliers de
morts et occasionné de nombreux dégâts matériels.
Le vendredi 13 septembre 2019, un tremblement de terre de magnitude 4,8 s’est produit en
Martinique sans faire de victime ni occasionner de dégâts.
Si la magnitude du premier séisme est à peu près le double de celle du second, il a pourtant
libéré plus de 11 millions fois plus d’énergie que le séisme qui a eu lieu en Martinique.
Explication :
Lors d’un séisme de magnitude M, l’énergie sismique E, exprimée en joules, est telle que :
3
log(E) = 4,8 + 2 M, où log est la fonction logarithme décimal définie sur ]0 ; +[ par
ln(𝑥)
log(x) =
ln(10)
Si on note E1 l’énergie sismique d’un séisme de magnitude M1 et E2 l’énergie sismique d’un
𝐸 3
séisme de magnitude M2, on a : log (𝐸1 ) = 2 (𝑀1 − 𝑀2 )
2
Si E1 est l’énergie sismique d’un séisme de magnitude M1 = 9,5 et E2 est l’énergie sismique
d’un séisme de magnitude M2 = 4,8, on a :
𝐸 3 𝐸
log (𝐸1 ) = 2(9,5 4,8) soit 𝐸1 11 220 185.
2 2
274
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
179 On appelle fonction logarithme décimal la fonction notée log, définie sur ]0 ; + ∞[
ln(𝑥)
par log (x) = ln(10) . On a alors : log (1) = 0 et log (10) = 1.
De plus, pour tout entier n : log(10n) = n.
Le potentiel hydrogène, noté pH, permet de mesurer l’acidité d’une solution.
Il est lié à la concentration en ions oxonium H3O+ dans la solution.
C’est un nombre sans unité compris entre 0 et 14. Sa valeur est définie par la relation :
pH = log[H3O+]
où [H3O+] est la concentration en ions oxonium H3O+ exprimée en moles par litre.
Les solutions acides sont les solutions de pH < 7, les solutions basiques sont les solutions de
pH > 7.
Quelques valeurs de pH :
Si [H3O+] = 1 mol.L1 alors pH = log (100) et donc pH = 0.
Si [H3O+] = 101 mol.L1 alors pH = log (101) et donc pH = 1.
Si [H3O+] = 102 mol.L1 alors pH = log (102) et donc pH = 2.
Et ainsi de suite jusqu'à la concentration [H3O+] = 1014 mol.L1 où pH = 14.
Ainsi, plus la concentration en ions oxonium est faible, plus le pH augmente et plus la
solution est basique.
Le pH d’une solution dont la concentration a décuplé a sa valeur qui diminue d’une unité.
1 𝑘+1
180 1. 𝑢𝑛 = ∑𝑘=𝑛 𝑘=𝑛
𝑘=1 ln (1 + 𝑘) = ∑𝑘=1 ln ( 𝑘
) = ln(n + 1).
2. La suite (un) a pour limite + : elle diverge.
𝑥
181 Sur ]1 ; +[, x kln(x) = 0 équivaut à ln(𝑥) = k.
𝑥 ln(𝑥) − 1
Soit g(x) = ln(𝑥), g'(x) = (ln(𝑥))2
, ainsi :
x 1 e +
g’(x) 0 +
+ +
g(x)
e
Si 0 < k < e, pas de solution à l’équation g(x) = k, aucun point d’intersection entre Ck et l’axe
des abscisses.
Si k = e, une solution à l’équation g(x) = k, un point d’intersection entre Ck et l’axe des
abscisses.
Si k > e, deux solutions à l’équation g(x) = k, deux points d’intersection entre Ck et l’axe des
abscisses.
D’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation g(x) = 0 possède une
unique solution sur ]0 ; +[ : 0,653.
Ainsi g(x) < 0 sur ]0 ; α[ ; g(x) > 0 sur ]α ; +[ et g(x) = 0 pour x = α.
Recherche du minimum de la fonction d
x 1 +
d’(x) 0 +
+ +
d(x)
d()
La distance minimale de O à la courbe de ln est atteinte en α, et cette distance est d(), soit
environ 0,78.
Travaux pratiques
Partie A
1. a. Voir le fichier logiciel.
b. Un seul réel a répond au problème, a = 0,6 à 0,1 près.
1
2. a. TM : y = 𝑎x + ln(a) 1 ; TN : y = eax + ea aea.
1
TM et TN sont parallèles si et seulement si 𝑎 = ea.
1
b. h'(x) = e𝑥 + 𝑥 2 ; donc h est strictement croissante sur ]0 ; +[.
lim ℎ(𝑥) = et lim ℎ(𝑥) = + ; donc 0 ]lim 𝑔(𝑥) ; lim 𝑔(𝑥)[.
𝑥→0 𝑥→+∞ 𝑥→0 𝑥→+∞
D’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation h(x) = 0 possède une
unique solution sur ]0 ; +[. On obtient 0,57.
c. Il existe un unique réel tel que les tangentes TM et à TN soient parallèles.
4. a. h(x) < 0 sur ]0 ; α[ ; h(x) > 0 sur ]α ; +[ et h(x) = 0 pour x = α.
b. Sur ]0 ; α[ TM est plus pentue que TN ; sur ]α ; +[ TM est moins pentue que TN.
276
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Partie B
1. Voir le fichier logiciel.
Pour a 4,5 et b 1,5, ainsi que pour a 0,21 et b 1,55, les tangentes TA et TB semblent
confondues.
1
2. TA : y = 𝑎x + ln(a) 1 ; TB : y = ebx + eb beb.
1
3. Les droites TA et TB sont confondues si et seulement si 𝑎 = eb et ln(a) 1 = eb beb.
ln(𝑥) 1 −(ln(𝑥) + 𝑥)
4. a. f '(x) = − −𝑥= .
𝑥2 𝑥2
1 1 1
b. ln(x) + x > 0 équivaut à x > ln(𝑥) soit ex > 𝑥 ou encore ex 𝑥 > 0.
c. f est croissante sur ]0 ; α] et décroissante sur [α ; +[.
d. lim 𝑓(𝑥) = ; lim 𝑓(𝑥) = et f(α) 2,33 > 0.
𝑥→0 𝑥→+∞
0 ]lim 𝑓(𝑥) ; 𝑓(𝛼)[ et 0 ]𝑓(𝛼); lim 𝑔(𝑥)[.
𝑥→0 𝑥→+∞
D’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation f(x) = 0 possède une
solution unique x1 sur ]0 ; α[ et une solution unique x2 sur ]α ; +[.
x1 0,21 et x2 4,68.
A. Étude préliminaire
𝑓(𝑎 + ℎ) − 𝑓(𝑎)
1. lim = f ’(a).
ℎ→0 ℎ
1
2. a. g'(x) = 𝑥 et g'(1) = 1.
ln(1 + ℎ) ln(1 + ℎ) − ln(1)
b. lim ℎ
= lim = g'(1) = 1.
ℎ→0 ℎ→0 ℎ
B. Étude de l’algorithme
1 1 1 1
1. u1 = 𝑎(2) ; u2 = 𝑎(4) ; u3 = 𝑎(8) et u4 = 𝑎(16) .
1 1
2. Pour tout entier n, vn+1 = ln(un+1) = ln(√𝑢𝑛 ) = 2 ln(un) = 2 vn.
1
(vn) est la suite géométrique de raison 2 et de premier terme v0 = ln(a).
1 𝑛
3. a. vn = ln(a) (2) .
1 𝑛 1 𝑛 1 𝑛 1
ln(𝑎)×( ) ( )
b. un = e = 2 = 𝑎 (2 ) = 𝑎 ( 2 𝑛 ) .
(eln(𝑎) ) 2
4. lim 𝑣𝑛 = 0 donc lim 𝑢𝑛 = 1.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
5. On pose h = un 1 quand n est « assez grand », h = un 1 est proche de 0, on peut utiliser
l’approximation ln(1 + (un 1)) ≈ un 1, soit ln(un) ≈ un 1.
𝑛 1
6. ln(𝑢𝑛 (2 ) ) = 2𝑛 ln(𝑢𝑛 ) 2𝑛 (𝑢𝑛 − 1) = 2𝑛 (𝑎(2𝑛) − 1).
1 (2𝑛 )
(2𝑛 )
7. ln(𝑢𝑛 )= ln ((𝑎(2𝑛) ) ) = ln(a), d’où l’égalité.
277
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
C. Programmation de l’algorithme
1.
2. L’écart entre la valeur contenue dans la variable u et le réel 1 est inférieur à 0,001.
3.
Sujet A
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Réponse c.
2. Réponse b.
3. Réponse c.
4. Réponse d.
5. Réponse c.
6. Réponse c.
7. Réponse d.
Sujet B
1. lim 𝑓(𝑥) = +, la droite d’équation x = 0 est asymptote verticale à la courbe.
𝑥→0
2
2 (𝑙𝑛(√𝑥))
𝑙𝑛(√𝑥) 1 1 (ln( 𝑥))2
2. a. 4 ( ) =4 2 = 4 × 4 (ln( 𝑥))2 × 𝑥 = = f(x).
√𝑥 (√𝑥) 𝑥
𝑙𝑛(𝑋) 2
b. lim 𝑓(𝑥) = lim 4 ( ) = 0.
𝑥→+∞ 𝑋→+∞ 𝑋
La droite d’équation y = 0 est asymptote horizontale à la courbe.
278
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1
2 × ln(𝑥) × 𝑥 − (ln(𝑥))2 × 1 ln( 𝑥)(2 − ln( 𝑥))
𝑥
3. a. f '(x) = =
𝑥2 𝑥2
b.
x 0 1 e2 +
ln(x) – 0 + +
2 ln(x) + + 0 –
f '(x) – 0 + 0 –
4
c. f(1) = 0 ; f(e2) = e2 0,54.
3. D’après le tableau de variation donné dans l’énoncé, l’équation f(x) = 1 admet une solution
unique sur ]0 ; +∞[ ; cette solution α appartient à l’intervalle ]0 ; 1[.
On a : 0,49 < α < 0,50
Sujet C
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
Partie A
1. Une seule solution : x = 0.
2. lim 𝑓(𝑥) = .
𝑥→−∞
(𝑥−1)2
f '(x) = 𝑥 2 +1
f est dérivable sur ℝ et sa dérivée est strictement positive sur ℝ, sauf pour x = 1 : f '(1) = 0.
f est strictement croissante sur ℝ.
3. Pour tout x de [0 ; 1] : f(0) < f(x) < f(1) soit 0 < f(x) < 1 ln(2) < 1.
4. a. La fonction valeur(A) retourne la plus petite valeur entière de N pour laquelle f(N) est
supérieur ou égal à A.
b. valeur(100) retourne la valeur 110.
Partie B
1. Pour tout entier naturel n, notons Pn la propriété : un ∈ [0 ; 1].
P0 est vraie.
Supposons Pn vraie, c’est-à-dire 0 un 1.
D’après la question 3., on a : 0 f(un) 1 soit 0 un+1 1.
Donc Pn+1 est vraie.
2. un+1 un = ln(un2 + 1).
un2 + 1 1 donc ln(un2 + 1) 0. Ainsi un+1 un 0, la suite (un) est décroissante.
3. (un) est décroissante et minorée par 0, donc elle converge.
4. f(l) = l, soit l = 0.
279
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Sujet D
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
6 𝑥 2 − 7𝑥 + 6
1. f ′(x) = 𝑥 − 7 + 𝑥 = .
𝑥
2. a.
X 1 6 9
f ’(x) 0 0 +
f 7,5 4,68
0,75
b. Sur [6 ; 9], f (x) < 5, pas de solution, sur [1 ; 6] une solution : on applique le corollaire du
théorème des valeurs intermédiaires.
c. 2,55 < < 2,56.
d. La variable X contient la valeur 2,56, première valeur au centième pour laquelle Y 5.
3. Le coût moyen est minimum pour une production de 600 pneus, ce coût moyen est
d’environ 75 euros.
Sujet E
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
1. a. f(1) = 2 ; f ’(1) = 0.
𝑏
× 𝑥 − (𝑎 + 𝑏 ln(𝑥)) × 1 (𝑏 − 𝑎) − 𝑏 ln(𝑥)
b. f '(x) = 𝑥 =
𝑥2 𝑥2
c. f(1) = 2, d’où a = 2 ; f ’(1) = 0 d’où b 2 = 0 ou encore b = 2.
−2 ln(𝑥)
2. a. f '(x) = .
𝑥2
b. lim 𝑓(𝑥) = et lim 𝑓(𝑥) = 0.
𝑥→0 𝑥→+∞
c.
280
Chapitre 7 Fonction logarithme népérien
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur © Bordas
Chapitre 8
Fonctions trigonométriques
4 sin x = – 0,6
C Activités
Activité 1 Point par point, la courbe d’une fonction
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant
ou sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la
modifier à votre guise.
Une animation Cabri est disponible dans le manuel numérique enseignant.
1.
π π π π
Réel a 0
6 4 3 2
√3 √2 1
cos(a) 1 0
2 2 2
2. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire : cinq
points.
√2 √2
b. De plus, f ’() = 40 (cos – ) (cos + ).
2 2
π π π
Donc f est croissante sur [0 ; 4 ] et décroissante [ 4 ; 2 [ : f admet un maximum pour
π
= 4.
π
c. f (4 ) = 10.
3.
2. a.
4π
b. N est associé au réel .
3
2π 4π
c. 6 = [ 3 ; ].
3
2π 2π
d. 6 = [– π ; – ] [ 3 ; π].
3
2π 4π
3. Les points d’intersection ont pour abscisses et .
3 3
D Exercices
Automatismes et rituels
1 a. 23 b. 6
5 1
2 a. 6 b. 3
7π π
3 a. 12 b. 12
4 a. e3 x + 8 b. e2 x + 2 c. e4 x + e–3 x d. e2 x – e–2 x
5 a. 375 cm b. 250 000 cm2 c. 42 cm d. 0,097 km
6 a. 109 b. 105 c. 108 d. 10–4
7 a. 10 b. 12
4𝑛 7𝑛 𝑛2 – 4
8 a. b. 15 c.
3 2𝑛
9 a. 5 √2 b. −√3 c. 2 d. 10
10 5,5 %.
11 30 0,8 = 24 €.
13 un = 2 3n.
30 a. u(x) = 7 x + 35
b. u’ cos (u)
c. u’(x) = 7 ; f’(x) = 7 cos (7 x + 35)
31 a. u(x) = x2 + 1
b. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
(cos(u))’ au lieu de (sin(u))’.
(cos(u))’ = – u’ sin (u).
c. u’(x) = 2 x ; f’(x) = – 2 x sin (x2 + 1)
37 1. a. f (– x) = – f (x)
b. La courbe admet l’origine du repère comme centre de symétrie.
2. a. f(x + 2 ) = f(x)
b. La courbe est invariante par translations de vecteurs 2 k π 𝑖⃗, k étant un entier.
38 1. a. f (– x) = f (x)
b. La courbe admet l’axe des ordonnées comme axe de symétrie.
2. a. f (x + 2 ) = f (x)
b. La courbe est invariante par translations de vecteurs 2 k π 𝑖⃗, k étant un entier.
39 1. f (– x) = – f (x)
La courbe admet l’origine du repère comme centre de symétrie.
2. f (– x) = f (x)
La courbe admet l’axe des ordonnées comme axe de symétrie.
3. #f est la courbe ; #g est la courbe .
4. Représentations sur la calculatrice.
40 2. a. f (– x) = f (x).
b. La fonction est paire.
c. La courbe admet l’axe des ordonnées comme axe de symétrie. Voir ci-dessous.
3. a. f (x + 2 ) = f (x)
b. On effectue une translation de vecteur 2 π 𝑖⃗ de la réunion des deux tracés
précédents.
41 2. a. f (– x) = – f (x)
b. La fonction est impaire.
c. La courbe admet l’origine du repère comme centre de symétrie. Voir ci-dessous.
3. a. f (x + 2) = f (x)
b. On effectue une translation de vecteur 2π𝑖⃗ de la réunion des deux tracés précédents.
42 1. 6 = {0 ; 2π}.
2. 6 = {–π ; 0 ; π} ; 6 = {0 ; π ; 2π}.
π π
43 1. 6 = {− 6 ; 6 }.
π 5π
2. 6 = [3 ; ].
3
44 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire –0,5
au lieu de 0,5.
1. C’est sur le cercle n° 2.
2π 4π
2. L’ensemble solution est [ 3 ; ].
3
45 1. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
les solutions au lieu de la solution.
3π 3π 5π
Solutions indiquées sur le graphique : − ; ; .
4 4 4
3π 5π
2. 6 = { 4 ; }.
4
3π 3π
3. 6’ = {− ; }.
4 4
1 √3
46 a. 2 cos (x) 2
√3 √3
b. − cos (x)
2 2
1
c. −1 cos (x) 2.
47 Réponse a.
48 1. Cercle d.
π 5π
2. 6 = [3 ; ]
3
3π √2 5π √2
49 1. cos ( 4 ) = − ; cos ( 4 ) = −
2 2
2.
3π 5π
x 0 2π
4 4
√𝟐
cos(x) + + 0 – 0 +
𝟐
50 a. 0 1 – cos (x) 2
b. 1 2 + cos (x) 3
c. –5 5 cos (x) 5
51 1. f ’(x) = 5 + 2 cos (x)
2. a. On a cos (x) –1. Donc 2cos (x) – 2. Donc 5 + 2cos (x) 3. Donc f ’(x) 3.
b. Puisque 3 > 0, on déduit que, sur [0 ; 2 ], on a f’(x) > 0.
3. La fonction f est donc croissante sur [0 ; 2 ]. De plus, f(0) = 0 et f(2 ) = 10.
D’où le tableau de variation de f :
x 0 2π
10 π
f (x)
0
52 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
f(x) = 2 – 3 cos (x) au lieu de f(x) = 2 – 3 sin (x).
1. f(– x) = f(x) ; f(x + 2 ) = f(x)
2. Périodicité [–π ; π] puis parité [0 ; π]
3. f’(x) = 3 sin (x)
4. f’(x) 0 sur [0 ; π]
5.
x 0 π
5
f (x)
–1
6.
π π π
53 1. g(x) 0 sur [0 ; 6 ] et g(x) 0 sur [ 6 ; 2 ].
2. a. f ’(x) = 3 cos (3x).
b. f ’(x) = g(x).
π π
x 0
6 2
1
f(x)
0 0
55 1. f(x + 2 ) = f(x)
b. La courbe est invariante par translations de vecteurs 2 k π 𝑖⃗, k étant un entier
(relatif).
c. [0 ; 2 π] a pour amplitude 2 π.
cos 𝑥
2. a. f’(x) = − (sin 𝑥 + 2)2
b. (sin x + 2)2 > 0
c. Tableau de variation :
π 3π
x 0 2π
2 2
1 1
2
f(x) 1 1
3 2
2.
56 1. a. f (0) = 6 et f (0) = a.
b. f (x) = 6 cos (x) + 2 sin (x).
2. a. f (x + 2 ) = f (x).
b. La courbe est invariante par translations de vecteurs 2kπ𝑖⃗, k étant un entier (relatif).
57 1. a. f (– x) = – f (x)
b. La courbe admet l’origine du repère comme centre de symétrie.
2. a. f ’(x) = 2cos(x) – 1
π
b. 6 = { 3 }
π
c. 6 = [0 ; 3 [
π π
d. f ’(x) ≥ 0 sur [0 ; 3 ] et f ’(x) ≤ 0 sur [ 3 ; π].
3. Tableau de variation :
π
x 0 π
3
𝜋
√3 −
f (x) 3
0 −𝜋
4.
Pour s’entraîner
58 f ’(x) = cos (x) – x sin (x) ; g’(x) = sin (x) + x cos (x)
𝑥 cos(𝑥) – sin (𝑥) − 𝑥 sin(𝑥) – cos(𝑥)
59 f ’(x) = ; g’(x) =
𝑥2 𝑥2
cos(𝑥) sin(𝑥)
64 f ’(x) = – (sin(𝑥))2 ; g’(x) = (cos(𝑥))2
1 1
65 f ’(x) = (cos(𝑥))2 ; g’(x) = – (sin(𝑥))2
1 1
68 f ’(x) = – 2x sin (x2 + 1) ; g’(x) = – 𝑥 2 cos (𝑥)
69 f’(x) = – 3 sin (3x) + 8 cos (2x) ; f ’’(x) = – 9 cos (3x) –16 sin (2x)
3π π √2
70 f ’( 4 ) = g’( 4 ) = – 2
75 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire :
« f (x) = 4 sin (2x) – 3 cos (2x) » au lieu de « f (x) = 4 sin (3x) – 3 cos (2x) ».
a = 1 et b = 0.
76 1. Vrai.
2. Vrai.
3. Faux.
π π π 11π
84 a. 6 = {− 6 ; 6 } ; 6’ = { 6 ; }.
6
π π π 5π
b. 6 = {− 3 ; 3 } ; 6’ = { 3 ; }.
3
85 a. 6 = {0} ; 6’ = {0 ; 2π}.
b. 6 = {–π ; π} ; 6’ = {π}.
5π 5π 5π 7π
86 a. 6 = {− ; } ; 6’ = { 6 ; }.
6 6 6
3π 3π 3π 5π
b. 6 = {− ; } ; 6’ = { 4 ; }.
4 4 4
π 5π
87 6 = {6 ; }.
6
π 7π
88 6 = {16 ; 16 }.
89 1.
√3 √3 −5π π π 5π
91 cos (x) = − ou cos (x) = ;6={ ;−6 ; 6 ; }.
2 2 6 6
π π π 5π
94 a. 6 = ] – π ; – 3 ] [ 3 ; π] ; 6’ = [ 3 ; ].
3
b. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
√3 √3
cos(x) au lieu de cos (x) = .
2 2
π π π 11π
6 = ] –π ; – 6 ] [ 6 ; π] ; 6’ = [ 6 ; ].
6
3π 3π 3π 5π
95 a. 6 = [ − ; ] ; 6’ = [0 ; ][ ; 2π[
4 4 4 4
5π 5π 5π 7π
b. 6 = ] –π ; – ][ ; π] ; 6’ = [ 6 ; ]
6 6 6
96 1. f (x) 0 (f s’annule en π)
2. f (x) < 0
3. f (x) 0 (f s’annule en 0 et 2π)
4. f (x) > 0.
3π 3π 3π 3π
97 f (x) 0 sur [– π ; − ] [ 4 ; π] et f (x) 0 sur [− ; ].
4 4 4
3π 5π 3π 5π
f (x) 0 sur [ 4 ; 4 ] et f (x) 0 sur [0 ; ] [ 4 ; 2π].
4
π π π π
98 f (x) 0 sur [− 4 ; 4 ] et f (x) 0 sur [– π ; − 4] [ 4 ; π]
π 7π π 7π
f(x) 0 sur [0 ; 4 ] [ 4 ; 2π] et f (x) 0 sur [ 4 ; ].
4
π π π π
99 f (x) 0 sur [− 6 ; 6 ] et f (x) 0 sur [– π ; − 6 ] [ 6 ; π]
π 11π π 11π
f (x) 0 sur [0 ; 6 ] [ ; 2π] et f (x) 0 sur [ 6 ; ].
6 6
π π
100 1. 2cos (x) – 1 0 sur [0 ; 3 ] et 2 cos(x) – 1 0 sur [ 3 ; π].
2.
π π
x 0 2π
3 2
f (x) – 0 + 0 –
x 0 π
2
f(x)
0,4
5.
104 1. y = x.
2. f ’’(x) = x cos (x) ; f ’’(x) 0 sur I.
3. # est donc au-dessus de sa tangente en O donc f (x) x,
donc 2 sin (x) – x cos (x) x.
1 π √3
105 1. y = 2 x – 6 + .
2
2. f ’’(x) = – sin (x) ; f ’’(x) 0 sur I.
1 π √3
3. # est donc au-dessous de sa tangente donc f (x) 2x – 6 + ,
2
1 π √3
donc sin (x) 2x – 6 + .
2
π
106 a. f ’’(x) = 2ex cos (x) ; f ’’(x) s’annule en 2 en changeant de signe donc la courbe
π
de f admet un point d’inflexion en 2 .
π π
b. (2 ; exp(2 )).
107 1. AH = sin .
1
2. !() = 2 (AB + DC) AH = sin (1 + cos ).
3. !’() = 2 cos 2 + cos – 1.
4. a. 2(X + 1) (X – 0,5).
b. !’() = 2 (cos + 1) (cos – 0,5).
5.
0 π π
3 2
!’() + 0 –
3 √3
!() 4
𝜋 3 √3
6. L’aire est maximale pour = 3 et vaut .
4
108 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
π π π π
[4 ; 2 [ au lieu de [ 4 ; 2 ].
1 cos(α)
1. a. EB = 2 sin 𝛼 et EI = 2 sin(α)
sin(α) − cos (α)
b. EF = 1 – 2 EI = sin(α)
sin(α) − cos (α + 2)
c. f() = EF + 4 EB = sin(α)
1 − 2 cos (α)
2. a. f’() = (sin(α))2
π
b. f admet un minimum en 3 qui vaut 1 + √3.
π 3π
x 0 π
4 4
0,5 0
f(x)
0 –0,5
4.
c.
t 0 0,5 1
0,1 0,1
a(t)
–0,1
4. a.
b. Dans [0 ; 2] :
a) 6 = {0,25 ; 0,75 ; 1,25 ; 1,75}
b) 6 = {0, 5 ; 1,5}
1 5 7 11
c) 6 = {6 ; 6 ; 6 ; }.
6
1+ 2 cos (𝑥)
5. a. f ’(x) = (2 + cos (𝑥))2.
b.
2π
x 0 π
3
f’(x) + 0 –
c.
2π
x 0 π
3
√3
f(x) 3
0 0
6.
Donc y = 15 (x – 0) + 3.
Donc l’équation de la tangente à la courbe au point A est y = 15x + 3.
• Au point B, d’abscisse a = :
f () = 3 cos (4) + 5 sin (3) = 3 1 + 5 0 = 3
f ’() = – 12 sin (4) + 15 cos (3) = – 12 0 + 15 (– 1) = – 15.
Donc y = – 15 (x – ) – 3.
Donc l’équation de la tangente à la courbe au point A est y = –15x + 15 + 3.
π π 3π 3π
120 1. f est croissante sur [0 ; 2 ], décroissante sur [ 2 ; ] et croissante sur [ 2 ; 2π].
2
2. a. Si x appartient à [0 ; 2π], alors x + 2π appartient à [2π ; 4π].
Or f (x + 2π) = f (x). On peut donc utiliser la périodicité.
b. • Si x appartient à [0 ; 2π], alors x – 2π appartient à [– 2π ; 0].
Or f (x – 2π) = f (x – 2π + 2π) = f(x).
On peut donc utiliser la périodicité.
• Si x appartient à [0 ; 2π], alors – x appartient à [– 2π ; 0].
Or f (– x) = – f (x). On peut donc utiliser la parité.
c. Si x appartient à [– 4π ; – 2π], alors x + 4π appartient à [0 ; 2π].
Or f (x + 4π) = f (x + 2π + 2π) = f (x + 2π) = f (x).
On peut donc utiliser la périodicité.
3. a.
b.
c.
121 a. Vrai : cos (x + 4) = cos ((x + 2) + 2) = cos (x + 2) = cos (x).
b. Vrai : f (–x) = cos (–x) + a = cos (x) + a = f (x).
c. Vrai : il suffit de prendre b = 0. La fonction f est alors définie par f (x) = sin (x).
d. Faux : f (–x) = –x sin (–x) = – x (–sin(x)) = x sin (x) = f (x).
La fonction f est donc paire.
Donc la courbe est symétrique par rapport à l’axe des ordonnées.
122 La bonne réponse est la réponse b.
cos(x) + 2 cos (–x) + 3 cos (x + 6) = cos (x) + 2 cos (x) + 3 cos (x) = 6 cos (x).
√2
123 a. 2 cos (x) = √2 équivaut à cos (x) = .
2
π π
6 = {− 4 ; 4 }.
√3
b. 8 cos (x) + 4 √3 = 0 équivaut à 8 cos (x) = – 4 √3, ce qui équivaut à cos (x) = − .
2
5π 5π
6 = {− ; }.
6 6
c. 3 cos (x) + 3 = 0 équivaut à 3 cos (x) = – 3, ce qui équivaut à cos (x) = – 1.
6 = {– π ; π }.
√2
d. – 2 cos (x) – √2 = 0 équivaut à – 2 cos (x) = √2, ce qui équivaut à cos (x) = − .
2
3π 3π
6 = {− ; }.
4 4
√3
124 a. 2 cos (x) √3 équivaut à cos (x) .
2
√3 π π 11π
Or = cos ( 6 ). De plus, 2 – 6 = .
2 6
π 11π
6 = [6 ; ].
6
√2
b. 4 cos (x) + 2√2 0 équivaut à 4 cos (x) – 2 √2, ce qui équivaut cos (x) – .
2
√2 3π 3π 5π
Or – = cos ( 4 ). De plus, 2 – = .
2 4 4
3π 5π
6=[4 ; ].
4
1
c. 6 cos (x) 3 équivaut à cos (x) 2.
1 π π 5π
Or 2 = cos (3 ). De plus, 2 – 3 = .
3
π 5π
6 = [3 ; ].
3
√2
d. – 6 cos (x) + 3 √2 0 équivaut à – 6 cos (x) – 3√2, ce qui équivaut cos (x) .
2
√2 π π 7π
Or = cos ( ). De plus, 2 – 4 = .
2 4 4
π 7π
6 = [4 ; ].
4
126 1. (2 cos (x)– 1)(cos (x)+ 1) = 2 cos 2 (x)+ 2 cos (x)– cos (x) – 1
= 2 cos 2 (x)+ cos (x) – 1.
1
2. • 2 cos (x) – 1 ≤ 0 équivaut à cos (x) ≤ 2.
1 π π π
Or 2 = cos ( 3 ). Donc 2 cos (x) – 1 ≤ 0 pour x [−π ; − 3 ] [3 ; π] et
π π
2 cos (x) – 1 ≥ 0 pour x [− ; ].
3 3
• Comme cos (x) –1, cos (x) + 1 0.
De plus, cos (x) + 1 = 0 équivaut à cos (x) = – 1, ce qui équivaut à x = – π ou x = π.
3. On dresse un tableau de signes de f (x) :
π π
x –π − π
3 3
2 cos (x) – 1 − + 0 − 0
cos (x) + 1 0 + + + 0
f (x) 0 − 0 + 0 − 0
2
2 cos (x) + cos (x) – 1 ≥ 0 équivaut à (2 cos (x) – 1)(cos (x) + 1) ≥ 0.
π π
D’après le tableau de signes, S = [− 3 ; 3 ] {– π ; π}.
127 1. a. f’(x) = 1 + (–sin(x) sin (x) + cos (x) cos (x)) – 4 cos (x)
= 1 – sin 2(x) + cos 2(x) – 4 cos (x)
= cos 2(x) + cos 2(x) – 4 cos (x)
= 2 cos 2(x) – 4 cos (x)
= 2 cos (x) (cos(x) – 2).
π 3π π 3π
Donc f ’(x) ≤ 0 pour x [0 ; ] [ ; 2π] et f ’(x) ≥ 0 pour x [ ; ].
2 2 2 2
b. Puisque, pour tout réel x de [0 ; 2π], on a cos (x) ≤ 1, on a cos (x) – 2 ≤ – 1 < 0.
Donc le signe de f ’(x) est celui de cos (x).
π π 3π 3π
Donc f ’(x) est positif sur [0 ; 2 ], négatif sur [ 2 ; 2 ] et positif sur [ 2 ; 2π].
π π 3π 3𝜋
Ainsi, f est décroissante sur [0 ; 2 ], croissante sur [ 2 ; 2
] et décroissante sur [ 2 ; 2π].
2. a. f ’’(x) = – 2 sin (x) (cos(x) – 2) + 2 cos (x) (– sin (x))
= – 2 sin (x) [(cos (x) – 2) + cos (x)]
= – 2 sin (x) [2 cos (x) – 2]
= – 4 sin (x) (cos (x) – 1).
b. Puisque, pour tout réel x de [0 ; 2π], on a cos (x) ≤ 1, on a cos (x) – 1 ≤ 0.
Donc le signe de f ’’(x) est celui de – 4 sin (x), c’est-à-dire le signe opposé de celui de sin (x).
f ’’(x) est donc positif sur [0 ; π] et négatif sur [π ; 2π].
Donc f est convexe sur [0 ; π] et concave sur [π ; 2π].
Puisque f ’’ s’annule en π en changeant de signe, la courbe admet un point d’inflexion en π.
128 1. f (– x) = (cos(– x))2 + cos (– x) = (cos (x))2 + cos (x) = cos 2 (x) + cos (x) = f (x).
f est paire.
2. f (x + 2 π) = (cos (x + 2 π))2 + cos (x + 2 π) = (cos (x)) 2 + cos (x) = f (x).
f est périodique de période 2π.
3. f ’(x) = 2 (– sin (x)) cos (x) – sin (x) = – sin (x) (2 cos (x) + 1).
4. a. Pour tout x [0 ; π], on a sin (x) 0.
Donc le signe de f ’(x) est celui de – 2 cos (x) – 1.
2π
De plus, – 2 cos (x) – 1 0 équivaut à cos (x) – 0,5 , ce qui équivaut à x [ 3 ; π].
2π 2π
Donc f ’(x) est positif sur [ 3 ; π] et négatif sur [0 ; ].
3
2π 2π
b. Donc f est croissante sur [ 3 ; π] et décroissante sur [0 ; ].
3
2π
De plus, f (0) = 2, f ( 3 ) = – 0,25 et f (π) = 0.
D’où le tableau de variation de f :
5. a. et b.
b. On obtient le tracé (en bleu) sur [– π ; 0] par la symétrie par rapport à l’axe des
ordonnées puis le tracé (en rouge) sur [π ; 2π] par la translation de vecteur 2π𝑖⃗ du
tracé bleu.
d.
On obtient le tracé (en bleu) sur [– π ; 0] par la symétrie par rapport l’origine du tracé
noir puis le tracé (en rouge) sur [π ; 2π] par la translation de vecteur 2π𝑖⃗ de la réunion
des tracés bleu et noir.
3. L’équation f (x) = 0 admet au moins une solution sur [0 ; π] car f est continue sur
[0 ; π] et 0 appartient à l’intervalle image [– π + 1 ; 1].
Cette solution est unique car f est strictement décroissante sur I.
133 1.
π
x1 = 3
2.
π π 2π
Puisque 3 est une solution de l’équation cos x = 0,5 , alors x1 = − 3 = est une
3
solution de l’équation cos (x) = –0,5.
2𝜋
Dans l’intervalle [– ; ], x2 = −x1 = − .
3
2π 2π
6={− ; }.
3 3
2π 4π
Dans l’intervalle [0 ; 2], x2 = 2 − x1 = 2 − = .
3 3
2π 4π
6’ = { ; }.
3 3
3.
π
x1 = 4 .
π
Dans l’intervalle [– ; ], x2 = −x1 = − 4.
π π
6 = { − 4 ; 4 }.
π 7π
Dans l’intervalle [0 ; 2], x2 = 2 − x1 = 2 − 4 = .
4
π 7π
6’ = { ; }.
4 4
4.
π
x1 = 6 .
𝜋
Dans l’intervalle [– ; ], x2 = −x1 = − 6 .
π π
6 = { − 6 ; 6}
π 11π
Dans l’intervalle [0 ; 2], x2 = 2 − x1 = 2 − 6 = .
6
π 11π
6’ = { 6 ; }.
6
5.
π π
135 1. a est différent de – 2 et de 2 . Donc (OM) n’est pas une droite « verticale »
donc (OM) et d sont bien sécantes.
2. Équation de (OM) : y = (tan (a)) x
N(1 ; tan (a)).
π π
3. tan (a) = ℕ quand a ∈ [0 ; 2 [, et tan(a) = – ℕ quand a ∈ ]– 2 ; 0],
π π π
4. 6 = { 4 } ; 6’ = [ 4 ; 2 [.
5π π
136 1. b. − et − 6.
6
5π π
c. 6 = {− ; − 6 }.
6
2. a.
5π π
b. 6 = ]− ; − 6 [.
6
π 5π π 5π
137 a. 6 = { 6 ; } ; 6’ = { 6 ; }.
6 6
3π π 5π 7π
b. 6 = {− ; − 4} ; 6’ = { 4 ; }.
4 4
π 3π π 3π
c. 6 = [–π ; [ ] ; π] ; 6’ = [0 ; [ ] ; 2π].
4 4 4 4
2π π 4π 5π
d. 6 = [–π ; − ] [− 3 ; π] ; 6’ = [0 ; ][ ; 2π].
3 3 3
f() + +
4√𝐴
e. C’est le carré de même aire (dont le côté mesure √𝐴).
Ce périmètre minimal est égal à 4√𝐴.
π
x 0
2
0
g(x)
–2π
3. Le minimum de f est supérieur au maximum de g. #f est toujours au-dessus de #g.
2π
4. f ’(x) = g’(x) cos (x) = –0,5 x = 3 .
2π 2π 4π
M( 3 ; 1 + √3) ; N( 3 ; –√3 − ).
3
140 1. a. f ’(x) = 1 – cos (x) donc f’(x) 0 : f est croissante sur [0 ; π].
b. Le minimum de f est donc f (0) = 0 donc f (x) 0 sur [0 ; π].
2. g’(x) = x – sin (x) = f (x) donc g’(x) 0 : g est croissante sur [0 ; π].
Le minimum de g est donc g(0) = 0 donc g(x) 0 sur [0 ; π].
𝑥2
h’(x) = –1 + + cos (x) = g(x) donc h’(x) 0 : h est croissante sur [0 ; π].
2
Le minimum de h est donc h(0) = 0 donc h(x) 0 sur [0 ; π].
𝑥3
3. Sur [0 ; π], f (x) 0 donc sin (x) x ; h(x) 0 donc sin (x) x – .
6
𝑥3
Donc x – sin (x) x
6
1 1 π 1 1 𝜋 𝜋
141 1. a = 2 ; b = – 2 ; c = 2 ; f(x) = 2 – 2 sin (4 x + 2 ).
π π π √2π
2. a. f’(x) = – 8 cos (4 x + 2 ) ; f’(1) = 0,28.
16
𝜋2 π π
b. f’’(x) = 32 sin (4 x + 2 ) ; f’(x) 0 sur [0 ; 2] et f’(x) 0 sur [2 ; 4]
f’ admet un maximum en 2. La pente est maximale au milieu de la rampe
𝜋
(et vaut 8 0,39).
142 1. f est concave sur [0 ; π] donc #f est toujours située au-dessus de chacune de
𝑎+𝑏
ses cordes, en particulier [AB]. Donc Q, d’ordonnée sin ( ), est toujours au-dessus
2
sin(𝑎) + 𝑠𝑖𝑛 (𝑏)
de 3, d’ordonnée .
2
𝜋 𝑎+𝑏 sin(𝑎) + 𝑠𝑖𝑛 (𝑏)
Donc pour tous a et b de [0 ; 2 ], on a : sin ( ) .
2 2
2. • En prenant b = 0 dans l’inégalité précédente, on a,
π 𝑎 sin(𝑎)
pour tout a de [0 ; 2 ], sin (2) .
2
π 𝜋 𝑎+𝑏
• cos est concave sur [0 ; 2 ] : pour tous a et b de [0 ; 2 ], on a : cos ( )
2
cos(𝑎) + 𝑐𝑜𝑠 (b)
.
2
π
143 f’’(x) = 4 cos (x) sin (x) ; f ’’ s’annule sur [0 ; 2] en , et en changeant de signe.
2
π
La pente est maximale en 0 (au début de la descente) et 2 (à la fin de la montée 1).
Travaux pratiques
TP1 Travaux de récupération d’eaux de pluie
Un programme GeoGebra est disponible dans le manuel numérique enseignant.
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
5 sin 𝛼− 5 cos 𝛼 + 10
question 2 de la partie B : g() = .
sin 𝛼
A. Conjecture
1. Ouvrir le fichier correspondant.
2. Conjecture : = 60°, longueur minimale 13,66.
B. Validation de la conjecture
𝜋
1. IBCH est un carré et lorsque M est en H, on a = 4 .
5 5 sin 𝛼− 5 cos 𝛼
2. MA = MB = sin 𝛼 et MH = 5 – tan = sin 𝛼
d’où le résultat.
5 (1 − 2 cos 𝛼)
3. g’() = .
(sin 𝛼)2
𝜋
4. = 3 (= 60°) ; g() = 5 √3 + 5 , soit environ 13,66 mètres.
2. Voir le fichier.
3. f ’(t) = 2 cos 2(t) + cos (t) – 1 = 2 (cos (t) + 1) (cos (t) – 0,5).
π π π
f ’(t) 0 sur [0 ; 3 ] et f ’(t) 0 sur [3 ; 2 ].
π π π
f est donc croissante sur [0 ; 3 ] et décroissante sur [ 3 ; 2 ].
5.
2π
x 0 π
3
0 0
f(x)
3√3
−
4
6.
Sujet B
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique
enseignant, le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Vrai.
f (– x) = √2 (– x) + 2 sin (– x) = – √2 x – 2 sin (x) = – (√2 x – 2 sin (x)) = – f (x)
donc f est impaire.
2. Faux.
f (x + 2) = √2 (x + 2) + 2 sin (x + 2)
= √2 x + 2 √2 + 2 sin x
= √2 x + 2 sin x + 2 √2
= f(x) + 2 √2 .
Donc f(x + 2) f (x).
3. Vrai.
f ’(x) = √2 + 2 cos (x)
f ’’(x) = – 2 sin x.
3π 3π
Or, si − x 0 alors sin (x) 0 et si 0 x alors sin (x) 0.
4 4
3π 3π
Donc si − x 0 alors f ’’(x) 0 et si 0 x alors f ’’(x) 0.
4 4
3π 3π
Donc f ’ est décroissante sur [0 ; ] et f ’ est croissante sur [− ; 0].
4 4
Donc f ’ admet en 0 un minimum qui vaut f ’(0) = √2 + 2 cos (0) = √2 + 2.
3π 3π
Donc, pour tout réel x de [− ; ], f ’(x) 0.
4 4
3π 3π
Donc f est croissante sur [− ; ].
4 4
4. Faux.
f ’’(x) = – 2 sin (x).
Si π x 2π, alors sin (x) 0. Donc f ’’(x) 0.
Donc f est convexe sur [ ; 2].
5. Vrai.
Pour tout réel x, on a sin (x) – 1.
Donc f (x) √2 x – 2. Or la limite de √2 x – 2 en + est +.
Donc, par théorème de comparaison, la limite de f en + est +.
6. Vrai.
𝑓(𝑥) √2 𝑥 + 2 sin (𝑥)
= .
𝑥 𝑥
√2 𝑥 −2 √2 𝑥 + 2 sin (𝑥) √2 𝑥 + 2
Or – 1 sin (x) 1. Donc, pour x > 0, .
𝑥 𝑥 𝑥
2 2 2
Donc √2 − 𝑥 f (x) √2 + 𝑥. Or la limite de 𝑥 en + est 0.
𝑓(𝑥)
Donc, par le théorème des gendarmes, la limite de en + est √2.
𝑥
Sujet C
3 2
2 (cos(𝑥)) – 3 (cos(𝑥)) + 1
1. 𝑓 ′ (𝑥) = 2 ;
(cos(𝑥))
𝑓 ′ (𝑥) a le même signe que 2 cos 3(x) – 3 cos 2(x) + 1.
2. a. P’(X) = 3 X2 – 6X = 3 X (X – 2)
P est décroissante sur [0 ; 1].
b. P(1) = 0. Donc pour tout réel x de [0 ; 1], on a : P(x) ≥ 0.
𝑃(cos(𝑥))
3. 𝑓 ′ (𝑥) = 2 donc 𝑓 ′ (𝑥) ≥ 0. Donc f est croissante sur I.
(cos(𝑥))
Donc pour tout réel x de [0 ; 1], on a : f (x) ≥ f (0).
Or f (0) = 0. Donc pour tout réel x de [0 ; 1], on a : f (x) ≥ 0.
sin(𝑥) sin(𝑥)
Donc f (x) = 2 sin (x) + cos(𝑥) – 3x ≥ 0. Par conséquent, 2 sin (x) + cos(𝑥) ≥ 3x.
Sujet D
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique
enseignant, le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1
1. L’aire est égale à 2 AH HM.
Or AH = AO + OH = 1 + cos () et HM = sin (). D’où le résultat.
1 1
2. A’() = 2 cos () (1 + cos ()) + (2 sin ()) (– sin ())
1 1 1
= 2 cos () + 2 𝑐𝑜𝑠 2() – 2 sin 2()
1 1 1
= 2 cos () + 2 𝑐𝑜𝑠 2() – 2 (1 – cos 2())
1 1 1 1
= 2 cos () + 2 𝑐𝑜𝑠 2() – 2 + 2 cos 2()
1 1
= cos 2() + 2 cos () – 2.
1 1
3. a. X1 = −1 est une racine évidente. Puisque X1 X2 = – 2, on a X2 = 2.
Par conséquent, P(X) = (X – 0,5) (X + 1).
b. On remarque que l’on a A’() = P(cos ).
Donc A’() = (cos () – 0,5) (cos () + 1).
π
4. Pour tout réel x de ]0 ; 2 ], cos () + 1 0 (car cos () –1).
Donc le signe de A’() est celui de cos – 0,5.
π
cos () – 0,5 0 équivaut à cos () 0,5. Or 0,5 = cos ( 3 ).
π π π
Donc cos () 0,5 équivaut, sur ]0 ; 2 ], à [ 3 ; 2 ].
π π π
Donc A’() 0 sur ]0 ; 3 ] et A’() 0 sur [ 3 ; 2 ].
π π π π 3 √3
5. Donc A est croissante sur ]0 ; ] et décroissante sur [ ; ]. De plus, A( ) = et
3 3 2 3 8
π 1 π
A(2 ) = 2. D’où le tableau de variation de A sur [0 ; 2 ] :
0 π π
3 2
3√3
A() 8
1
2
π
6. Par lecture du tableau précédent, l’aire est maximale pour = 3 et cette aire vaut
3√3
.
8
Sujet E
1. a. f (– x) = – f (x).
b. #2 est symétrique de #1 par rapport à l’origine du repère.
2. a. f (x + 2) = f (x) + 2 √3π.
b. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MM ′ = 2π𝑖⃗ + 2√3π𝑗⃗ : c’est un vecteur constant.
c. #3 est l’image de #1 dans la translation de vecteur 2π𝑖⃗ + 2√3π𝑗⃗.
√3
3. f ’(x) = √3 – 2 cos (x) = – 2 (cos (x) – ).
2
π π 11π 11π
f est décroissante sur [0 ; 6 ], croissante sur [ 6 ; ] et décroissante sur [ ; 2π].
6 6
4.
Sujet F
4 4 cos 𝜃
1. a. AD = sin 𝜃 ; CD = CB + BD = 7 + sin 𝜃 .
b. La vitesse du camion est égale à 50 km/h = 1 000 m/min et celle du lapin à
500 m/min. Pendant t minutes, le lapin parcourt 500 t mètres et le camion
1 000 t mètres.
1 4 1
500 t1 = AD ⇔t1 = 500 × sin(θ) = 125 sin (θ)
1 4 cos(θ)
c. 1 000 t2 = CD ⇔t2 = 1 000 ( 7 + ).
sin(θ)
2. Le lapin traverse la route sans encombre si et seulement si t1 < t2.
1 1 4 cos 𝜃
t1 < t2 ⇔125 sin 𝜃 < (7 + )
1 000 sin 𝜃
8 4 cos(θ) 4 cos(θ) 8
⇔ <7 + ⇔7 + − >0
sin(θ) sin(θ) sin(θ) sin(θ)
7 2 cos(θ) 4
⇔2 + − sin 𝜃 > 0 ⇔ f (t) > 0.
sin(θ)
4 cos(θ) − 2
3. a. f’(θ) = .
(sin(θ))2
π π π
b. f est croissante sur ]0 ; 3 ] et décroissante sur [ 3 ; 2 ].
π 7 π
4. f admet donc un maximum en , qui vaut − 2 √3 ≈ 0,036 , donc f ( ) > 0.
3 2 3
Le lapin aura donc traversé la route avant le passage du camion, s’il choisit la bonne
direction, c’est-à-dire celle d’angle 60°.
Sujet G
Partie A
1. lim 𝑢(𝑥) = – ; lim 𝑢(𝑥) = + .
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2. u’(x) = 1 + sin (x) donc u’(x) ≥ 0 donc u est strictement croissante sur ℝ.
3. a. u est continue sur ℝ. De plus, u(0) = –1 < 0 et u(π) = π + 1 > 0.
Donc d’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation u(x) = 0
admet une unique solution dans ℝ.
b. 0,7 < < 0,8.
4. Si x < alors u(x) < 0 et si x > alors u(x) > 0.
Partie B
1. lim 𝑓(𝑥) = + ; lim 𝑓(𝑥) = + .
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2. f ’(x) = 2 x – 2 cos (x) = 2 u(x) : f ’(x) est du signe de u(x).
3. f est donc strictement décroissante sur ]– ; ] et strictement décroissante sur
[ ; [.
4. f ’’(x) = 2 + 2 sin (x) = 2 (1 + sin (x)) donc f ’’(x) ≥ 0. Donc f est convexe sur ℝ.
Partie C
1. Le coefficient directeur de T est 2 et celui de D est 2 cos (). Or, d’après la
question A 3. a., u() = 0, ce qui implique 2 = 2 cos (). Les deux coefficients
directeurs étant égaux, les deux tangentes sont parallèles.
2. Non, d’après l’unicité de .
Chapitre 9
Primitives et équations différentielles
3 Exercices, TP et algorithmes
Les exercices, très progressifs, sont très calculatoires, car l’élève a besoin d’un
entraînement pour être à l’aise dans la recherche de primitives et la résolution
3 a. C’est faux.
Par exemple, les fonctions f et g définies sur ℝ par f(x) = x et g(x) = x + 1 ont même
dérivée sur ℝ (f’(x) = g’(x) = 1), mais elles ne sont pas égales.
b. C’est vrai.
Pour tout réel x, f’(x) = – e-x = – f(x).
1 7 7 2
5 Pour x différent de 2, , 2𝑥−1 = 2 × 2𝑥−1 . On a donc : k = 1.
1 1 e2𝑥 7 2e2𝑥
6 Pour tout réel x : 1+e−2𝑥 = 1 = e2𝑥 +1 = 2 × e2𝑥 +1 .
1+ 2𝑥
e
1
8 La réponse a est juste, car f’(x) = – 𝑥 2 = – (f (x))2 .
1
La réponse b est juste, car f’(x) = – (𝑥+5)2 = – (f (x))2.
2 4
La réponse c est fausse, car f ’(x) = 𝑥 2 et – (f (x))2 = 𝑥 2 .
1 1
La réponse d est fausse, car f ’(x) = 𝑥 2 et – (f (x))2 = – 𝑥 2 .
C Activités
Activité 1 Recherche d’une courbe vérifiant une propriété
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant
ou sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la
modifier à votre guise.
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
D Exercices
Automatismes et rituels
4 1 3
1 1. 2. – 3. 4. 6
3 5 10
2 1. 4 2. 2√2 3. 2 ln(2) 4. e9
4
3 1. 5 2. 1 3. – 3 4. 0
1
4 1. 4x – 5 2. – 𝑥 2 – 8x
14 5
5 1. A = 2. B = 2
3
6 1. A = – x2 – 7x – 3 2. B = 2x3 – 3x2 + 1
3. C = 2x3 – 11x2 – 21x
43 1
7 1. Une solution : . 2. Deux solutions : 3 et 2.
3
3 3
3. Deux solutions : – 2 et 2.
8 1. A = ex (ex – 4) 2. B = (x – 1) (5x + 4)
3. C = (x – 2) (x + 2) (x2 + 4) 4. D = (– x + 1) (3x – 1)
5
9 Factorisation : 2 (x – 3) (𝑥 + 2).
12 1. 71,5 % 2. 10 % 3. 90 %
17 1. F’(x) = 8x + 1.
2. F’(x) = 8x + 1 pour tout réel x, donc f est solution de l’équation y’ = 8x + 1.
18 1. u’(x) = 3 et v’(x) = 3.
2. u et v vérifient y’ = 3.
3. Autre fonction solution w : w(x) = 3x + 11.
1 1
20 1. F(x) = 5x ; G(x) = ex ; H(x) = 2 x2 ; I(x) = 3 x3
2. Oui, car v’(x) = u’(x) = f (x).
1 5 1 √2 4
25 1. F(x) = x4 2. U(x) = x4; V(x) = – x4 ; W(x) = x.
4 4 8 4
1
26 1. F(x) = ln(x) 2. P(x) = 7 ln(x) ; Q(x) = 3 ln(x) ; R(x) = x + ln(x).
28 1. F(x) = x3 2. F1(x) = x3 – 1
1
1 −
-5 -4 4
29 1. u(x) = x 2. U(x) = −4 x =
𝑥4
1 1 1
30 F(x) = – 𝑥 ; G(x) = – 2𝑥 2 ; H(x) = – 2𝑥 4
1 1
31 1. F(x) = e2x 2. G(x) = 2 e2x ; H(x) = 𝑎 eax
2
32 1. u(x) = x2 2. F(x) = e𝑥
𝑢′ (𝑥)
33 1. u(x) = 2x – 1 ; u’(x) = 2 ; donc f(x) = .
𝑢(𝑥)
2. F(x) = ln (2x – 1).
1 𝑢′ (𝑥)
35 1. Soit u(x) = 2x – 3. Alors, u’(x) = 2 et f(x) = 2 .
√𝑢(𝑥)
2. F(x) = √2𝑥 − 3 .
4 4
37 1. y’ = 5y (a = 5) 2. y’ = –3 y (a = – 3)
1 1
3. y’ = 2 y (a = 2 ) 4. y’ = πy (a = π)
38 1. y’ = 10y est une équation différentielle de la forme y’ = ay, avec a = 10, donc
ses solutions sont de la forme x ⟼ C eax, avec a = 10.
2. f(x) = 2 e10x – 10
5
40 1. L’équation différentielle 2y’ – 5y = 0 s’écrit aussi 2(y’ – 2y) = 0,
5 5
soit y’ – 2 y = 0, en simplifiant par 2, soit y’ = 2y.
5
On a bien écrit cette équation sous la forme y’ = ay, avec a = 2 .
2. L’ensemble des solutions de l’équation différentielle y’ = ay est formé des
fonctions f de la forme f(x) = C eax, où C est un réel donné.
5
On en déduit que les fonctions solutions sont de la forme f(x) = C 𝑒 2𝑥 , où C est un
réel.
1
44 1. y = - 2. 2. y = C e5x + 2, avec C réel.
Pour s’entraîner
48 g’(x) = – 3 e-3x, donc g’(x) + 3g(x) = 12 pour tout réel x, donc g est solution de
cette équation.
−2𝑥 4𝑥
49 f’(x) = – 2 × (𝑥 2 +3)2 = (𝑥 2 +3)2 .
Donc f’(x) – x (f(x))2 = 0 pour tout réel x, donc f est une solution de cette équation.
51 f’(x) = a, donc f est une solution de cette équation si et seulement si, pour tout réel
x, – ax – 2b = 5x + 6, soit a = –5 et b = –3.
2 1
52 Pour x > 0, f’(x) = – donc x f’(x) + f(x) = – pour tout x > 0, et f est bien
𝑥3 𝑥2
solution de cette équation différentielle.
53 1. Pour tout réel x, g’(x) = – sin (x) + x cos (x) + sin (x) = x cos (x) = f(x) donc g
est une primitive de f sur ℝ.
2. Les primitives de f sont les fonctions x ⟼ cos (x) + x sin (x) + C , où C est un réel.
1
− 2
54 1. g’(x) = – 𝑥
1 = f (x), donc g est une primitive de f sur ]0 ; +∞[.
1+
𝑥
1
2. g1(x) = – ln (1 + 𝑥) + ln (2).
2 2 1
55 F’(x) = 3 √𝑥 + 3 𝑥 = √𝑥 pour tout x > 0, donc F est une primitive de f.
2 √𝑥
1
56 F’(x) = 1 – 𝑥+1 = f(x) pour tout x > – 1, donc F est une primitive de f.
3
58 1. F’(x) = 2 √2 − 𝑥 .
2 2 2
2. f(x) = 3 F’(x), donc une primitive de f est x ⟼ 3 F(x), soit x ⟼ 3 (x – 2) √2 − 𝑥 .
1
65 f (x) = x – 1, donc une primitive F de f a pour expression F(x) = 2 x2 – x + C, où C
1
est une constante réelle. On a : g(1) = h(1) = – 1, soit C = – 2 .
1 1 1
Donc F(x) = 2 x2 – x – 2 . Alors, F(0) = – 2 , ce qui est réalisé pour la courbe #1 : la
fonction cherchée est g.
66 1. Faux, car f (0) = F’(0) et F’(0) n’est pas nul (tangente en O).
2. Vrai, car f (1) = F’(1) = 0 (tangente horizontale en 1).
3. Faux, car F’(x) ≤ 0 sur [– 1 ; 0].
4. Vrai, car F est décroissante sur [0 ; 1], donc F’(x) ≤ 0 sur [0 ; 1].
1 1 3 1
69 1. F(x) = 2 x4 + x3 – 2 x2 + 2x 2. G(x) = – 𝑥 – 2 ln(x)
5 3 2 1
70 1. F(x) = 4 x4 – 2 x2 + 7x 2. G(x) = 5 x5 – 8 x4
1 1 4 7
71 1. F(x) = 6 x6 – 2 x2 2. G(x) = 5 x5 – 2 x2 + √2 x
1
72 1. F(x) = 2 sin (x) + 3 cos (x) 2. G(x) = 10x – 3 ex + 2 x2
1 1 4
73 1. F(x) = 3 x3 + 2 x2 – 2x 2. G(x) = 3 x3 + 2x2 + x
1 1
74 1. F(x) = 15 x3 + 6 x 2. G(x) = 1,24 x10 – x7 + 3x5
3 1 4
75 1. F(x) = x2 + x + ln (x) 2. G(x) = x3 –
2 3 𝑥
1 1 1 1
76 1. F(x) = 2 x2 – 2 𝑥 2 2. G(x) = 2 x2 – 2 ln (x)
7 3 1
77 1. F(x) = – 2 𝑥 2 2. G(x) = 4 ln (x) + 𝑥 – 3 𝑥 3
5 1
78 1. F(x) = ln(x) – 𝑥 2. G(x) = 2 x2 – x + 2 ln (x)
11 1
79 1. F(x) = 3x + 2. G(x) = 10√𝑥 – 2 x2 + 6x
𝑥
4 1
80 1. F(x) = – 𝑥 − 2√𝑥 2. G(x) = 2√𝑥 + 3x3
1 1
81 1. F(x) = 3 (𝑥 3 + 1)3 2. G(x) = 2 ln(x2 + 1)
3
3. H(x) = – e–x + 3 4. I(x) = √2𝑥 2 + 7
2
1 2 +3
82 1. F(x) = e3x+4 2. G(x) = 2 e𝑥
e−3
83 1. F(x) = x3 2. G(x) = ln(ex + 4)
3
2
85 1. F(x) = 9 (3𝑥 2 − 8)3 2. G(x) = 2 √𝑥 3 + 3
1 1
86 1. F(x) = 4 (𝑒 𝑥 + 4)4 2. G(x) = 10 (2𝑥 − 1)5
1 1 1 𝜋
87 1. F(x) = – 3 cos (3x) – 2 sin (2x) 2. G(x) = – 5 cos (5𝑥 + 4 )
1 1
88 1. F(x) = 2 sin2(x) 2. G(x) = – 3 cos3(x)
1
89 F(x) = esin(x) ; G(x) = 4 (1 − cos(𝑥))4
1 1
90 F(x) = 2 ln (x2 + x + 1) ; G(x) = – 2 𝑥 2 −2𝑥+4
2
92 F(x) = 3 (𝑙𝑛(𝑥) + 2)3
2 1 1
93 F(x) = – 3 3𝑥−1 + 3 ln(3x – 1)
1
94 F(x) = 2 (ln (x))2
1
96 F(x) = 𝑒 𝑥 +3𝑥
99 F(x) = 2 √sin(𝑥)
1
100 F(x) = 2 e− 𝑥
1
101 1. y = 2 x2 + cos (x) + C, où C est une constante réelle.
1
2. F(x) = 2 x2 + cos (x) + 1
102 1. a = 2 et b = 1.
2. F(x) = 2 ln (x – 2) + ln (2x +1) + C, où C est une constante réelle.
103 1. a = 2 et b = 1.
2
2. F(x) = – 𝑥+1 + ln (x +1) + C, où C est une constante réelle.
1
104 Z(x) = – F(– x) + 2 F(2x + 1) + ln(F(x)) sur tout intervalle où F(x) > 0.
1
Z(x) = – F(– x) + 2 F(2x + 1) + ln (– F(x)) sur tout intervalle où F(x) < 0.
𝑙
105 1. f (0) = 0 ; f ’(2) = 0.
1 1 1 1
2. f ’(x) = – 2 kFx2 + 8 kFl2 ; f(x) = – 6 kFx3 + 8 kFl2x.
1
3. Flèche maximale : 24 kFl3.
2
107 1. y = C e–2x, avec C ∈ ℝ 2. y = C e3 𝑥 , avec C ∈ ℝ
3. y = C e0,1x, avec C ∈ ℝ 4. y = C e–x ln(2), avec C ∈ ℝ
110 1. N(t) = 1 500 e–t ln (100) 2. N(1) = 15, donc 15 tours par minute.
ln(1 500)
3. N(t) = 1 équivaut à t = . La vitesse sera d’un tour par minute au bout
ln(100)
d’environ 1,59 minutes.
112 1. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
K au lieu de k.
g(t) = 2 e–Kt
1 𝐺
2. K = - ln ( 1 )
𝑡1 2
3. Pour le sujet X, K ≈ 0,0170, donc les résultats sont normaux.
3 3
115 1. y= 2 . 2. Fonctions f telles que f (x) = 2 + C e–2x, où C ∈ ℝ.
116 Un fichier logiciel est disponible dans le manuel numérique élève et dans le
manuel numérique enseignant.
L’équation différentielle y’ + 4y = 8 a pour solutions les fonctions f définies sur ℝ par
f (x) = C e–4x + 2, où C ∈ ℝ.
1
117 La fonction solution a pour expression : f (x) = 6 (1 – e-3x + 6).
118 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
« y’ + 0,0002y = 0,02 au lieu de y’ + 0,002y = 0,02. »
1. g(t) = 100 – 80 e–0,0002t.
2. g(3 600) ≈ 61,06 donc la température du liquide est d’environ 61,06° au bout d’une
heure.
16 16
3. g(t) > 85 équivaut à t > 5 000 ln( 3 ), et 5000 ln( 3 ) ≈ 8370, donc la température
dépassera 85°C au bout de 2 heures 19 minutes et 30 secondes.
119 1. Faux, car (E) admet pour solutions les fonctions définies sur ℝ par
2
f(x) = C e3x - 3 , avec C réel. (On peut aussi remarquer que la fonction x ↦ 2 n’est pas
solution).
5
2. Vrai, car f est de la forme des fonctions solutions, avec C = 3, et de plus f(0) = 1,
donc c’est bien la solution de (E) telle que f(0) = 1.
3. Vrai, car g est de la forme des fonctions solutions, avec C = 1, et de plus
122 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
« mv’(t) + 25 v(t) =9,81m » au lieu de « mv’(t) + 25 v(t) =9,81 », et
« v(t) = 31,392 (1 – e-0,3125t) » au lieu de « v(t) = 0,3924 (1 – e-0,3125t) »
1. L’équation s’écrit v’(t) = – 0,3125 v(t) + 9,81.
Elle a pour solution générale y = 31,392 + C e–0,3125t avec C réel.
Puisque v’(0) = 0, on a C = –31,392, d’où le résultat.
20
−𝑙𝑛(1− )
31,392
2. v(t) > 20 équivaut à t > : c’est à partir de 3,24 secondes.
0,3125
325
3. 130 km·h–1 = m·s–1 ≈ 36,1 m·s–1 : c’est impossible, car v(t) < 31,392.
9
31,392 𝑉(2)−𝑉(0)
4. V(t) = 31,392 t – 0,3125 e–0,3125t, d’où ≈ 8.
2
La vitesse moyenne lors des deux premières secondes est d’environ 8 m·s–1.
1 1 1 1
125 1. a = 2 et b = – 4 2. y = 2 x – 4 + C ex, avec C constante réelle.
127 1. a = – 1 et b = – 1
2. y = (– x – 1) ex + C e2x, avec C constante réelle
3. Fonction f d’expression f(x) = (– x – 1) ex + e2x
128 1. a = -2, b = 0 et c = 0
2. y = – 2x2 + C e2x, avec C constante réelle
3. Fonction f d’expression f(x) = – 2x2 + 3 e2x – 2
𝑥𝑛 𝑥𝑛
132 1. a. g’(x) + g(x) = 𝑒 −𝑥 équivaut à h’(x)e– x – h(x) e– x + h(x) e– x = e−𝑥
𝑛! 𝑛!
𝑥𝑛
soit à h’(x) = e−𝑥 .
𝑛!
𝑥 𝑛+1
b. Solution particulière : y = (𝑛+1)! e−𝑥 .
𝑥 𝑛+1
2. a. Solution générale de (En) : y = e−𝑥 + Ce– x, avec C constante réelle.
(𝑛+1)!
𝑥 𝑛+1
b. f(x) = (𝑛+1)! e−𝑥 .
𝑥𝑛
3. Propriété de récurrence P(n) : fn(x) = e−𝑥 .
𝑛!
P(1) est vraie, car f1(x) = x e–x.
′ 𝑥𝑛
Soit n tel que P(n) est vraie. Alors, 𝑓𝑛+1 (x) + 𝑓𝑛+1(x) = 𝑓𝑛 (x) = e−𝑥 .
𝑛!
Donc fn+1 est la solution de (En) telle que fn+1(0) = 0, donc d’après la question 2.b,
𝑥 𝑛+1
fn+1(x) = (𝑛+1)! 𝑒 −𝑥 : P(n + 1) est vraie.
1
133 1. g’(x) = x3 × 𝑥 + 3x2 ln(x) = f (x), donc g est une primitive de f.
2. g1(x) = x3 ln(x).
1 2
134 1. y = 2 x4 – 4x2 – + C, avec C constante réelle.
𝑥
2. y = 5ln(x) – 4√𝑥 + C, avec C constante réelle.
𝑎 𝑏 (𝑎+𝑏)𝑥−2𝑎−𝑏
135 1. 𝑥−1+𝑥−2 = . D’où a = -4 et b = 7.
(𝑥−1)(𝑥−2)
2. F(x) = – 4 ln (x – 1) + 7 ln (x – 2).
3. F1(x) = – 4ln (x– 1) +7 ln (x – 2) + 4 ln (3).
1 1 3 1 1 3
138 a. f(x) = 2×ln(x) × 𝑥 - 2 ×𝑥 donc F(x) = 2 (ln(x))2 - 2 ln(x).
6 1 1
b. g(x) = x – 4 + 𝑥 + , d’où : G(x) = 2 x2 -4x + 6 ln(x) + 2√𝑥.
√𝑥
𝑒 −2𝑥 1 1 1
c. h(x) = (𝑒 −2𝑥 +4)3 , de la forme - 2 u’u-3, d’où : H(x) = 4 (𝑒 −2𝑥 +4)2 .
𝑥 2 − 2𝑥 𝑥 2 −2𝑥 𝑥2
140 f’(x) = (𝑥 − 1)2 , et (x – 1) f ’(x) + f (x)= + 𝑥−1 = 2x, donc f est solution de
𝑥−1
l’équation différentielle de l’énoncé.
141 Réponses b et c.
3
143 1. La solution constante est y = 2 .
3
L’ensemble des solutions est formé des fonctions u telles que u(x) = Ce–2x + 2 ,
avec C réel.
3
2. f (x) = – e– 2x + 2 .
144 Réponses a et d.
5 5
D’où : a =2 et b = – 2. La fonction x ↦ 2x – 2 est une solution de (E).
5
2. y = Ce–2x + 2x – 2, où C ∈ ℝ.
1 1 1 5
3. y(1) = 0, soit Ce–2 – 2 =0, et C = 2 e2. Ainsi : y = 2 e2 – 2x + 2x – 2.
5 2
151 1. 𝑦 = 𝐶e– 4x + 4, où 𝐶 ∈ ℝ 2. y = Ce–3𝑥 + 3, où 𝐶 ∈ ℝ
3. 𝑦 = 𝐶e–7x + 2, où 𝐶 ∈ ℝ 4. y = 𝐶e-2𝑥 + 3, où C ∈ ℝ
1
5. y = Ce9x, où C ∈ ℝ 6. y = 𝐶e4𝑥 – 4, où C ∈ ℝ
1
7. y = Ce–11x, où C ∈ ℝ 8. y = 𝐶e2𝑥 + 8, où C ∈ ℝ
1 1 𝑧′
153 a. z = 𝑦 , donc y = 𝑧 et y’ = – 𝑧 2 , soit z’ = – z2 y’.
𝑧′ 𝑎 1
(E2) équivaut à - 𝑧 2 = 𝑧 (1 − 𝑧), soit z’ = -az + a.
b. (E3) a pour solution générale z = 1 + Ce–at,
1
avec C réel. D’où y = 1 + 𝐶e−𝑎𝑡 .
Puisque g(0) = 0,01, on a C = 99.
1
On en déduit : g(t) = 1 + 99 e−0,05𝑡 .
4,95 e−0,05𝑡
c. g’(t) = (1 + 99e−0,05𝑡)2, donc g’(t) > 0 sur [0 ; +∞[ :
g est croissante sur [0 ; +∞[ .
On a aussi : lim 𝑔(𝑡) = 1.
𝑡→+∞
155 a. 𝑓0′′ (x) = – cos(x), donc 𝑓0′′ (x) + f0(x) = 0 pour tout réel x.
b. Soit la fonction h définie sur ℝ par h(x) = [f (x)]2 + [f ’(x)]2.
Alors, h’(x) = 2 f (x) f ’(x) + 2 f ’(x) f ’’(x) = 2f ’(x) (f ’’(x) + f (x)) = 0.
Donc h(x) est constant pour tout réel x.
c. g’(x) = f ’(x) + f (0) sin(x) – f ’(0) cos(x) et
g’(x) = f ’’(x) + f ’(0) cos(x) + f’(0) sin(x),
donc g’’(x) + g(x) = 0 pour tout réel x, donc g appartient à E.
d. g ∈ E, donc [g(x)]2 + [g’(x)]2 est constant, égal à [g(0)]2 + [g’(0)]2 = 0.
D’où g(x) = 0 pour tout réel x.
e. Soit f ∈ E ; alors f (x) = f (0) cos(x) + f ’(0) sin(x) = A cos(x) + B sin(x),
avec A et B réels.
f. h(x) = cos (x) + 2 sin (x).
1 𝑓 ′ (𝑡) 1
157 1. Pour t ≥ 0, f ’(t) = – 20 f (t) (3 – ln(f(t))) équivaut à = – 20 (3 – ln(f(t))),
𝑓(𝑡)
1
car f (t) ≠ 0 sur [0 ; +∞[, ce qui équivaut à g’(t) = – 20 (3 – g(t)), si on pose
1 3
g(t) = ln(f(t)), soit encore à g’(t) = 20 g(t) – 20 .
1
2. Solution générale : z = 3 + Ce20𝑡 , avec C constante réelle.
1 1
𝑡
3. g(0) = ln f(0) = ln (1) = 0, d’où g(t) = 3 (1 – e20𝑡 ). On en déduit : f(t) = e3−3e20 .
ln(0,02) ln(0,02)
4. f(t) < 0,02 équivaut à t > 20 ln(1 − ), et 20 ln(1 − ) ≈ 16,7.
3 3
Donc, la taille de l’échantillon sera inférieure à 20 individus au bout de 17 ans (en
2037).
𝑥
159 1. a. y’ = √𝑥 2 .
+ 𝑎2
𝑥
b. Une primitive de la fonction x ⟼ √𝑥 2 est la fonction x ⟼ √𝑥 2 + 𝑎2 .
+ 𝑎2
1
2. La seconde équation est : y’ = √𝑥 2 .
+ 𝑎2
𝑓(𝑥0 )
166 Soit P (x0 ; f(x0)) : la tangente en P coupe l’axe (Ox) en N (− ; 0).
𝑓 ′ (𝑥0 )
𝑓(𝑥 )
f vérifie donc, pour tout réel x0 tel que f’(x0) ≠ 0 : 𝑓′ (𝑥0 ) = k, avec k réel non nul.
0
1
1 𝑥
On résout l’équation y’ = 𝑘 y, ce qui donne f(x) = C 𝑒 , avec C et k constantes réelles
𝑘
non nulles.
168 Soit f une fonction solution, dérivable sur un intervalle I où f’ ne s’annule pas.
𝑓(𝑥0 ) 𝑓(𝑥0 ) 𝑓(𝑥0 )
Alors : M (x0 ; f(x0)), N (𝑥0 − ; 0) et I (𝑥0 − ; ).
𝑓 ′ (𝑥0 ) ′
2𝑓 (𝑥0 ) 2
𝑓(𝑥) 𝑓 ′ (𝑥) 1 1
On obtient l’équation différentielle 𝑥 − = 0, soit = 2𝑥 , soit (ln(f))’(x) = 2𝑥 .
2𝑓 ′ (𝑥) 𝑓(𝑥)
Les solutions sont les fonctions définies sur ]0 ; +∞[ par : f(x) = k √𝑥, où k ∈ ℝ*.
e−2𝑥 1
169 𝑓(𝑥) = 2 – e−2𝑥 +1 , d’où 𝐹(𝑥) = 2𝑥 + 2 ln (e−2𝑥 + 1).
2𝑦 ′
170 𝑧’ = – . L’équation s’écrit 𝑦3 𝑧’ + 𝑦 = – 𝑥𝑦3, soit 𝑦 = 0 ou 𝑧’ + 2𝑧 = – 2𝑥.
𝑦3
1
𝑧’ + 2𝑧 = – 2𝑥 a pour solutions les fonctions φk : 𝑥 ⟼ – 𝑥 + 2 + 𝑘 e–2𝑥, avec 𝑘 réel.
L’équation donnée a pour solutions la fonction nulle et les fonctions φk.
1
171 𝑔’(𝑥) = – sin(𝑥) 𝑓’(cos(𝑥)) = – sin(𝑥) ×− sin(𝑥) = 1.
π 𝜋 𝜋
D’où 𝑔(𝑥) = 𝑥 + 𝐶 ; g(− 2 ) = f(0) = 0, d’où C = 2 . On en déduit : g(x) = x + 2 .
Travaux pratiques
TP1 Équation y’ = f par la méthode d’Euler
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles
dans le manuel numérique enseignant.
A. Méthode d’Euler
1. Comme g est solution de l’équation différentielle, g’(0)= (0 +1) e0 = 1.
Donc, T0 passe par A0(0 ; 0,1) et a pour pente 1, d’où son équation : y = x + 0,1.
2. a. La droite T1 passe par A1(x1 ; y1) et a pour pente g’(x1), donc T1 a pour équation
y = y1 + (x – x1) g’(x1), soit y = y1 + (x – x1) f(x1).
b. A2 (x2 ; y2) appartient à T1 et x2 – x1 = h, donc y2 = y1 + h f(x1).
c. An+1 (xn+1 ; yn+1) appartient à Tn, d’équation y = yn + (x – xn) f(xn),
d’où yn+1 = yn + h f(xn).
B. Programmation en Python
1. a. La fonction fon renvoie l’image d’un réel par la fonction f de l’énoncé.
b. Les listes Lx et Ly contiennent respectivement les valeurs xn et yn en fin de
programme.
c. La ligne 9 contient la boucle bornée « for » qui
répète 10 fois le calcul de yi et de xi, pour i entier
compris entre 1 et 10.
d. Affichage de la liste Ly :
[0.1, 0.2, 0.3215688009883213,
0.4681371319675417, 0.6436187769524221,
0.8524742346222, 1.0997824252272193,
1.3913214332897006, 1.7336593935596816,
2.134256760688326, 2.601581351808146].
2. Modification de la fonction euler.
2. Programme modifié.
B. Équation y’ = ay + b
2. Formules saisies en E2, D3 et E3.
1
2. a. y = 4 (–2x2 – 2x – 1) + Ce2x
1
b. y = 16 (4xex – ex) + C e–3x
1 2
c. y = 2 + Ce−2𝑥
𝑥
−
1+𝐶e 2
d. y = 𝑥
−
1−𝐶e 2
Sujet B
1. a. S’il existe x0 tel que f ’(x0) = 0, alors (f (x0))2 = – 1, ce qui est impossible.
Donc f ’(x) ≠ 0 pour tout réel x.
b. (f ’(0))2 – (f (0))2 = 1 et f ’(0) = 1, donc f (0) = 0.
2. En dérivant : 2 f ’(x) f ’’(x) – 2 f (x) f ’(x) = 0, soit 2 f ’(x) (f ’’(x) – f (x)) = 0, ce qui
équivaut à f ’’(x) = f (x) puisque f ’(x) ≠ 0 pour tout réel x.
3. a. u(0) = 1 et v(0) = 1.
b. u’ = f ’’ + f ’ = u’ ; v’ = f ’’ – f ’ = f – f ’ = – v.
c. u(x) = ex ; v(x) = e–x.
e𝑥 − e−𝑥
d. u(x) – v(x) = 2 f (x), soit f (x) = .
2
4. a. lim 𝑓(𝑡) = – ∞ ; lim 𝑓(𝑡) = +∞.
𝑡→−∞ 𝑡→+∞
e𝑥 + e−𝑥
b. f’(x) = , donc f ’(x) > 0 sur ℝ.
2
Tableau de variation :
x +
f (x) +
+∞
f(x)
-∞
Sujet C
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique
enseignant, le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. La pente de la tangente est y’.
La condition s’écrit : y’= 2(x + y), soit y’ = 2y + 2x.
1
2. u(x) = – x – 2 .
1
3. y = Ce2x – x – 2 , avec C constante réelle.
1 1 1 1
4. a. g(0) = 2 , soit C – 2 = , soit C = 1. D’où g(x) = e2x – x – 2 .
2
b. g’(x) = 2e2x – 1.
1 − ln(2)
g’(x)≥0 équivaut à e2x ≥ 2, soit x ≥ .
2
− ln(2) −ln(2)
Donc g est décroissante sur ]-∞ ; ] et croissante sur [ ; +∞[.
2 2
lim 𝑔(𝑥)=+∞, car lim (e2𝑥 ) =0.
𝑥→−∞ 𝑥→−∞
e2𝑥 1 1 e2𝑥
g(x) = 2x ( 2𝑥 − 2) − 2. Or, lim ( 2𝑥 )=+∞, d’où lim 𝑔(𝑥)=+∞.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞
c. Représentation graphique.
Sujet D
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique
enseignant, le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. y = C e-0,124t, où C est une constante réelle.
2. f (0) =15,3 équivaut à C =15,3. Donc, f(t) = 15,3 e–0,124t.
3. lim (e−0,124𝑡 ) = lim (e 𝑋 ) =0.
𝑡⇾+∞ 𝑋⇾−∞
C’est donc à partir de 46 800 ans qu’un organisme ne peut plus être daté au carbone
14.
Sujet E
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles
dans le manuel numérique enseignant.
1. Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire
1 1
« a t 𝑒 −2𝑡 » au lieu de « a(t) e−2𝑡 ».
1 1
1 1
u’(t) = a e−2𝑡 - 2 at e−2𝑡 . On en déduit : a = 2 .
1
1
2. a. g(t) = 2 t e−2t .
b. lim 𝑔(𝑡) = 0 : la quantité de principe actif présent dans le sang devient
𝑡⇾+∞
négligeable au fil du temps.
1
1
c. g’(t) = 4 (2 – t) e−2t . Ainsi, g’(t) ≥ 0 pour t ≤ 2 et g’(t) ≤ 0 pour t ≥ 2.
Tableau de variation :
x 0 1 +
f (x) + 0
e−1
f(x)
0 0
3. a. La fonction g a pour limite 0 en +∞, donc il existe un réel A tel que, pour tout
réel x > A, g(x) ≤ 0,1. Donc la boucle « while » n’est pas parcourue indéfiniment, il
existe une valeur à partir de laquelle on sort de la boucle et la fonction retourne la
valeur cherchée.
b. On obtient la valeur 8.
c. La quantité de principe actif présente dans le sang est inférieure ou égale à 0,1 mg à
partir de 16 heures.
Sujet F
1. Affirmation vraie.
La fonction f a pour expression f(x) = 2 + C e-3x, où C est un réel.
Puisque f a pour limite 2 en +∞, la courbe représentant f admet la droite d’équation
y = 2 comme asymptote (horizontale) en +∞.
2. Affirmation vraie.
F’(x) = f (x) pour tout réel x > 0, donc F est une primitive de f sur ]0 ; +∞[.
3. Affirmation fausse.
g’(x) = 2 g(x) + 1, et g(x) ≥ 0, donc g’(x) > 0 sur ℝ : g est croissante sur ℝ.
4. Affirmation fausse.
Soit u une fonction affine solution : u(x) = ax + b, avec a et b réels.
Alors, pour tout réel x, ax – (ax + b) = x + 1, soit -b = x + 1 : impossible.
5. Affirmation vraie.
La fonction solution f a pour expression f(x) = 2 – 2e-2x.
Elle a pour limite –∞ en –∞ et elle a pour limite 2 en +∞ : seule la courbe #3
correspond à ceci.
Chapitre 10
Calcul Intégral
3 Exercices, TP et algorithmes
Les exercices du chapitre déclinés dans les rubriques « Pour maîtriser les bases » et
« Pour s’entraîner » couvrent les différentes parties du cours et les capacités attendues.
L’interdisciplinarité est présente via des applications en lien avec la Physique, la SVT et les
SES.
Des exercices sont aussi déclinés dans la rubrique « Automatismes et rituels ». Ces
exercices indépendants du calcul intégral visent comme leurs noms l’indiquent à renforcer les
notions mathématiques relevant des automatismes au travers d’exercices rituels.
Des exercices sont aussi proposés dans la rubrique « Faire le point avec des exercices
corrigés » pour permettre à l’élève de gérer l’acquisition des nouveaux savoirs de façon
autonome.
En lien avec les préconisations du programme officiel, dans la rubrique « Parcours
différenciés » sont traités l’approximation d’une aire par l’utilisation de suites adjacentes et
l’encadrement de la série harmonique par des intégrales.
La rubrique « Pour aller plus loin » propose des exercices permettant d’approfondir
davantage le calcul intégral avec des contextes variés.
Les deux TP proposés présentent à l’élève trois méthodes de calcul d’aire que sont la
méthode des rectangles, la méthode des milieux et celle des trapèzes et l’algorithme de
Brouncker pour le calcul de ln (2). Le premier TP vient renforcer la construction de la notion
d’aire sous une courbe. Le deuxième vise in fine à l’obtention d’un nombre très connu à l’aide
de l’outil calcul intégral.
La place des algorithmes est régulière dans le chapitre et est en lien avec la
programmation sous Python. Ces algorithmes sont utilisés comme outils de conjecture et / ou
de validation.
1
4 1. a. Pour tout réel x, F(x) = 𝑥 3 + 𝑥.
3
3 −2𝑥
b. Pour tout réel x, F(x) = −2e .
1 2
c. Pour tout réel x, F(x) = √𝑥 + 1.
2
1
2. Pour tout réel x > 0, F(x) = 𝑥 2 + ln(𝑥).
2
1 1
5 a. Pour x réel, F(x) = 2 𝑒 𝑥² − 2 𝑒.
1
b. Pour x réel, F(x) = 𝑠𝑖𝑛4 (𝑥).
4
1 4
c. Pour x réel, F(x) = 𝑠𝑖𝑛(3𝑥) + .
3 3
6 La fonction g est dérivable sur ℝ et pour tout réel x, g’(x) = f (x). Donc g est une primitive
de f sur ℝ.
7 1. Réponses a et d.
2. Réponses b et d.
C Activités
Activité 1 Encadrer une aire par la méthode des rectangles
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
Une animation est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le site enseignant
indice.editions-bordas.fr, ainsi que dans le manuel numérique élève et le site élève
lycee.editions-bordas.fr.
Un fichier logiciel est disponible dans le manuel numérique enseignant.
1. a. L’ordonnée du point A est 0,062 5. L’aire du rectangle AEIH est 0,015 625 u.a.
b. L’aire du rectangle BIJF est 0,062 5 u.a. et l’aire du rectangle CJKG est 0,140 625 u.a.
2.
x←0
u←0
v←0
Pour k allant de 0 à 3
u ← u + 0,25 × x²
x ← x + 0,25
v ← v + 0,25 × x²
Fin Pour
b. La fonction f est continue et positive sur l’intervalle [0 ; 3]. L’intégrale de f entre 0 et 3 est
donc égale à l’aire, en u.a., de la surface délimitée par #, l’axe des abscisses et les droites
d’équations x = 0 et x = 3.
2. a. b. c. Voir logiciel.
d. h ≈ 0,18 dam.
1 3
3. h = ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
3
D Exercices
Automatismes et rituels
1 a. 150 b. 125 c. 90
d. 480 e. 2250 f. 2500
1 3
2 a. 6 = {– 2} b. 6 = {− } c. 6 = {1 ; − }
8 2
d. 6 = {0 ; 7} e. 6 = {– 4 ; 4} f. 6 = {– 3 ; 3}
3 a. A = 10² b. B = 2-1
c. C = 3-15 d. D = 7-6
4 a. Pour x ∈ ℝ, f ’(x) = 1.
b. Pour x ∈ ℝ, g’(x) = 2x – 3.
c. Pour x ∈ ℝ, h’(x) = – 6x² – 10x + 1.
c. Pour x ∈ ℝ, i’(x) = 1 + ex.
5 1. 50 % 2. – 20 %
6 1. Faux. Le prix final est inférieur au prix initial, c’est une baisse de 36 %.
2. Faux. Le loyer augmente de 6,25 %.
3. Vrai. Augmenter une quantité de 2 % par an pendant 35 ans revient à la multiplier par
1,0235 et 1,0235 ≈ 2.
8 1. Réponse c. 2. Réponse b.
e𝑥+1
10 1. Pour tout réel x, = e𝑥+1−3𝑥−1 = e−2𝑥 = (e−𝑥 )².
e3𝑥+1
e2𝑥 −1 (e𝑥 −1)(e𝑥 +1)
2. Pour tout réel x, = = e𝑥 − 1.
e𝑥 +1 e𝑥 +1
12 Ce sont les polynômes dont une forme factorisée est : a (x + 5)(x – 2) avec a réel non nul.
5
13 1. P(A∪B) = 0,8. 2. 𝑃A (B) = .
6
14 1.
15 1. 𝑥 = 16,12 2. 𝜎 ≈ 4,38
2
17 La fonction f est continue et positive sur [–2 ; 4] donc ∫−1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 représente l’aire, en
u.a., de la surface délimitée par la courbe #, l’axe des abscisses et les droites d’équations
x = –1 et x = 2.
1
18 ∫−3 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 8.
1
19 ∫−3 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 5.
5
20 ∫−3 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 puisque la fonction est continue et positive sur [– 3 ; 5].
2
21 ∫−2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 représente l’aire, en u.a., du trapèze coloré.
2 (1 + 3)× 4
Donc ∫−2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = = 8.
2
1 1 3
22 a. ∫−1(1 − 𝑥 2 )𝑑𝑥. b. ∫0 𝑒 𝑥 𝑑𝑥 . c. ∫−2 ln(𝑥 + 3)𝑑𝑥 .
2 3 4
23 a. 3 < ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 < 7 b. 14 < ∫−1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 < 23 c. 8 < ∫−1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 < 14
Remarque : Il n’y a pas qu’une seule réponse possible. Par exemple pour la question 3, on
peut aussi encadrer l’intégrale par 9 et 11.
1 3 5
24 1. ∫−2 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 = 6 2. ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 = 3 3. ∫−2 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 = 16
25 Réponses a et d.
26 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. Ligne 5 : la variable u joue le rôle d’un accumulateur dans laquelle on stocke la somme des
aires des rectangles de dimensions h et f (x), ces rectangles étant contenus dans le domaine
délimité par la courbe de f, l’axe des abscisses et les droites d’équations x = 0 et x = 2.
Ligne 6 : on augmente la valeur de x de la valeur du pas h.
Ligne 7 : la variable v joue le rôle d’un accumulateur dans laquelle on stocke la somme des
aires des rectangles de dimensions h et f (x), la réunion de ces rectangles contenant dans le
domaine délimité par la courbe de f, l’axe des abscisses et les droites d’équations x = 0 et
x = 2.
2. Voir logiciel.
3. L’appel rectangles() retourne : « 2.25, 6.25 ».
4. L’aire, en u.a., du domaine délimité par la courbe de f, l’axe des abscisses et les droites
d’équations x = 0 et x = 2 est comprise entre 2,25 et 6,25.
27 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
1 1
question 4 : « ∫−2 𝑥²𝑑𝑥 < 0 » au lieu de « ∫−2 𝑥𝑑𝑥 < 0 ».
1. Faux c’est F (4) – F(–3).
2. Vrai d’après la relation de Chasles sur les intégrales.
1 1 1 1 1
3. Vrai. En effet, ∫−1 𝑥𝑑𝑥 = [ 𝑥²] = 2 − 2 = 0.
2 −1
4. Faux. La fonction carré est positive sur [– 2 ; 1] donc son intégrale sur cet intervalle est
positive.
28 1. F est dérivable sur ℝ et pour tout réel x, F’(x) = 8x3 – 6x² + 1 = f (x). Donc F est une
primitive de f sur ℝ.
1
2. ∫−2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = −45.
29 1. F est dérivable sur ℝ et pour tout réel x, F’(x) = e3x + 3xe3x = f (x).
Donc F est une primitive de f sur ℝ.
1
2. ∫−1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = F(1) – F(–1) = e3 + e−3 .
33 1. I = 6 2. J = 21
34 1. I = 10,5 2. J = 0
√3
35 1. I = 2. J = 1
2
3
36 ∫−5 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 10
3
37 a. ∫−1 7𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 14
3
b. ∫−1(𝑓(𝑥) + 𝑔(𝑥))𝑑𝑥 = −3
3
c. ∫−1(2𝑓(𝑥) − 3𝑔(𝑥))𝑑𝑥 = 19
𝟕 7 7 7
38 ∫−𝟓 −1𝑑𝑥 ≤ ∫−5 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ ∫−5 3𝑑𝑥 c’est-à-dire −12 ≤ ∫−5 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 36.
39 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
première ligne du tableau un 2 à la place du 7.
4
1. f est positive sur [– 1 ; 4] donc ∫−1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≥ 0.
2. a. Pour x de [2 ; 4], 1 ≤ f (x) ≤ 5.
4
b. 2 ≤ ∫2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 10.
1 1
41 1. On pose u(x) = ln(x) et v’(x) = x² donc u’(x) = et v (x) = 3 𝑥 3 .
𝑥
1 2 21
Donc K = [3 𝑥 3 ln(𝑥)] − ∫1 3 𝑥²𝑑𝑥.
1
2
8 𝑥3 8 7
2. K = = ln(2) − [ ] = ln(2) − .
3 9 1 3 9
3 26 26
42 1. ∫1 𝑥²𝑑𝑥 = . L’aire est égale à u.a.
3 3
5
2. μ = .
2
43 1.
2
2. f est continue et positive sur [1 ; 2] donc l’aire de S, en u.a., est égale à ∫1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 .
2 15
Or, ∫1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = .
4
15
Donc aire(S) = u.a.
4
44 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire : » une unité
pour deux carreaux sur l’axe des ordonnées ».
1. Pour x de [0 ; 1], x² ≤ x donc #f est en dessous de #g sur [0 ; 1].
1
2. a. #f est en dessous de #g sur [0 ; 1] donc l’aire de S est donnée par ∫0 (𝑔(𝑥) − 𝑓(𝑥))𝑑𝑥
1
c’est-à-dire ∫0 (𝑥 − 𝑥²)𝑑𝑥.
1 1 1 2
b. ∫0 (𝑥 − 𝑥²)𝑑𝑥 = . Donc aire(S) = 6 u.a = 3 cm².
6
5
45 1. ∫2 (2𝑥 − 3) 𝑑𝑥 = 12.
2. μ = 4.
Pour s’entraîner
46 1. a. La fonction f est positive sur [–2 ; 4].
4
b. I = ∫−2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 .
1
2. ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≈ 2.
3. 3 < I < 11.
47 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
𝑏
1. I = ∫𝑎 √𝑥 𝑑𝑥 .
𝑏−𝑎
2. a. h = .
𝑛
b.
0 1
50 a. Vrai car F(0) = ∫0 𝑑𝑡.
1−𝑡²
1
b. Vrai. La fonction 𝑡 ⟶ est continue et positive sur [0 ; 1[. D’après le théorème
1−𝑡²
1
fondamental, F’(x) = 1−𝑥². Donc F’(0) = 1.
1
c. Faux. Pour x de [0 ; 1[,F’(x) = > 0. Donc F est croissante sur [0 ; 1[.
1−𝑥²
51 1. Cet énoncé est vrai. Soit F une primitive de f sur [a ; b] et soit G une primitive de g sur
[a ; b]. Alors F (x) = G (x) + k avec k réel.
𝑏 𝑏
∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎) = 𝐺(𝑏) + 𝑘 − (𝐺(𝑎) + 𝑘) = 𝐺(𝑏) − 𝐺(𝑎) = ∫ 𝑔(𝑥)𝑑𝑥.
𝑎 𝑎
𝑏 𝑏
2. Si pour tout réel x de [a ; b], ∫𝑎 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫𝑎 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 alors f (x) = g (x).
110 28
52 1. I = 2. J =
3 3
53 1. I = e – 2 2. J = 34,5
3 1
55 1. I = + 3ln(2) 2. J =
2 2
𝑒4 1 1
56 1. I = 4 − 2. J = −
4 3 3𝑒
2 1 4
57 1. I = ln ( ) 2. J = ln ( )
1+e−1 2 3
1 1
58 1. I = (√15 − √3) 2. J =
2 6
8
59 1. I = 2. J = 20
3
1
60 1. I = 2(√3 − √2) 2. J =
2
61 1. I = 0 2. J = 0
√2
62 1. I = 0 2. J = −ln ( )
2
1 26
63 1. Vrai car ∫−1(𝑥 2 − 5𝑥 + 4)𝑑𝑥 = .
3
On peut également justifier que la fonction f est continue et positive sur l’intervalle [– 1 ; 1] et
que par conséquent son intégrale sur cet intervalle est positive.
ln5 21
2. Faux. ∫ln2 e2𝑥 d𝑥 = 2
.
1 (2𝑥−1)(𝑥+1)+1 2𝑥 2 +𝑥
64 1. Pour x de I, 2𝑥 − 1 + = = = 𝑓(𝑥).
𝑥+1 𝑥+1 𝑥+1
1
2. ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ln(2).
69 Réponse b et c.
𝑒+1
70 1. I = 𝑙𝑛 ( ) et I + J = 1.
2
𝑒+1
2. J = 1 − 𝑙𝑛 ( ).
2
1
71 1. I = ln(2).
2
1 1
2. I + J = ∫0 𝑥𝑑𝑥 = .
2
1 1
3. J = − ln(2).
2 2
π
72 1. I + J = et I – J = 0.
2
π
2. I = J =
4
5 0 5
73 ∫−3|𝑥|d𝑥 = ∫−3 −𝑥 d𝑥 + ∫0 𝑥 d𝑥 = 17.
3 0 3
2. ∫−1 𝑓(𝑥)d𝑥 = ∫−1(𝑥 + 3)d𝑥 + ∫0 (−𝑥 + 3)d𝑥 = 7 .
4
75 ∫−3 𝑓(𝑥)d𝑥 = 26,5.
3 26
77 a. −8 ≤ ∫1 𝑓(𝑥)d𝑥 ≤
3
2 3
b. ≤ ∫1 𝑓(𝑥)d𝑥 ≤ ln(3)
3
π
79 1. Pour tout réel x de [0 ; ], 0 ≤ sin(𝑥) ≤ 1 donc 1 ≤ 1 + sin(𝑥) ≤ 2
2
et 1 ≤ √1 + sin(𝑥) ≤ √2.
π
π π√2
2. D’après la propriété de comparaison, ≤ ∫02 √1 + sin(𝑥)𝑑𝑥 ≤ .
2 2
80 Réponses a, b et d.
3
81 1. I = [(𝑥 + 1)e𝑥 ]3−2 − ∫−2 e𝑥 𝑑𝑥 = 3e3 + 2e−2 .
1 1 1 1 2𝑥 1 1
2. J = [ e2𝑥 ] − ∫0 e 𝑑𝑥 = 4 e2 + 4 .
2 0 2
𝑒
82 1. I = [𝑥𝑙𝑛(𝑥)]1𝑒 − ∫1 𝑑𝑥 = 1.
1 𝑒 𝑒1 2 1
2. J = [ 𝑥 3 ln(𝑥)] − ∫1 𝑥 2 𝑑𝑥 = 9 e3 + 9 .
3 1 3
π π
π
83 1. I = [𝑥 sin(𝑥)]02 − ∫02 sin(𝑥) 𝑑𝑥 = − 1.
2
π
2. J = [−(𝑥 + 1)cos(𝑥)]π
0 + ∫0 cos(𝑥) 𝑑𝑥 = π + 2 .
1 π π1 π
84 1. I = [− 𝑡 cos(2𝑡)] + ∫0 cos(2𝑡) 𝑑𝑡 = − 2 .
2 0 2
2
2. J = [−(3𝑡 + 1)e−𝑡 ]2−1 + ∫−1 3e−𝑡 𝑑𝑡 = −10e−2 + e .
85 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
1
question 1 : « Montrer que I = 121 − 4 𝐼 » au lieu de « Montrer que I = 121 − 𝐼 ».
1 9 1 9 𝑥² 1
1. I = [ 𝑥²√𝑥] − ∫1 𝑑𝑥 = 121 − 4 𝐼. 2. I = 96,8.
2 4 1 √ 𝑥
1 1
86 ∫0 ln(𝑥 + 1) 𝑑𝑥 = [(𝑥 + 1) ln(𝑥 + 1)]10 − ∫0 𝑑𝑥 = 2 ln(2) − 1.
π π π
87 1. a. I = [e𝑥 sin(𝑥)]02 − ∫02 e𝑥 sin(𝑥) 𝑑𝑥 = e 2 − J.
π π
b. J = [−e𝑥 cos(𝑥)]02 + ∫02 e𝑥 cos(𝑥) 𝑑𝑥 = 1 + I.
𝜋 𝜋
𝑒 2 −1 𝑒 2 +1
2. I = et J = .
2 2
88 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
1 𝑥e𝑥 1 𝑥e𝑥
question 2 : « J = ∫0 𝑑𝑥 » au lieu de « J = ∫0 𝑑𝑥 ».
(1+e𝑥 )² (1+e𝑥 )
e−𝑥 e−𝑥 1
1. a. Pour tout réel x, e−𝑥 + 1 = e−𝑥 (1 + e𝑥 )
= 1 + e𝑥 .
2
b. I = ln (1 + e−1 ).
𝑥 1 1 1 −1 2
2. J= [− ] + ∫0 𝑑𝑥 = 1 + e + 𝑙𝑛 (1 + e−1 ).
1 + e𝑥 0 1 + e𝑥
89 1. I0 = e – 1.
1
2. In+1 = [𝑥 𝑛+1 e𝑥 ]10 − ∫0 (𝑛 + 1)𝑥 𝑛 e𝑥 𝑑𝑥 = e − (𝑛 + 1)𝐼𝑛 .
3. I1 = 1, I2 = e – 2 et I3 = 6 – 2e.
90 1. a. In représente l’aire sous la courbe #n. Cette aire semble augmenter donc on
conjecture que la suite (In) est croissante.
2 2 2
b. Pour n de ℕ*, In+1 – In = ∫1 e𝑛𝑥 (e𝑥 − 1)𝑑𝑥 .
2 2 2
Or, pour n de ℕ* et x de [1 ; 2], e𝑛𝑥² > 0 et e𝑥 − 1 > 0. Donc e𝑛𝑥 (e𝑥 − 1) > 0.
Donc pour n de ℕ*, In+1 – In > 0 d’après la propriété de positivité de l’intégrale.
La suite (In) est donc croissante.
2 2
2. a. Pour n de ℕ* et pour x de [1 ; 2], e𝑥 ≥ e et e𝑛𝑥 ≥ e𝑛 .
2
D’après la propriété de comparaison, on en déduit que pour n de ℕ*, 𝐼𝑛 ≥ ∫1 e𝑛 𝑑𝑥.
2
Or, ∫1 e𝑛 𝑑𝑥 = e𝑛 . Finalement, pour n de ℕ*, In ≥ en.
b. lim e𝑛 = +∞ donc d’après le théorème de comparaison, lim 𝐼𝑛 = +∞.
𝑛⟶+∞ 𝑛⟶+∞
1 1 1
91 1. Soit n de ℕ*. Pour x ∈ [n ; n + 1], ≤𝑥≤𝑛.
𝑛+1
2. D’après la propriété de comparaison, on a :
𝑛+1 1 𝑛+1 1 𝑛+1 1 1 1
∫𝑛 𝑑𝑥 ≤ ∫𝑛 𝑑𝑥 ≤ ∫𝑛 𝑑𝑥 c’est-à-dire 𝑛+1 ≤ 𝐼𝑛 ≤ 𝑛 .
𝑛+1 𝑥 𝑛
1 1
3. lim = 0 et lim = 0 donc d’après le théorème des gendarmes, lim 𝐼𝑛 = 0.
𝑛⟶+∞ 𝑛+1 𝑛⟶+∞ 𝑛 𝑛⟶+∞
𝑛+1 1
4. Pour n de ℕ*, In = 𝑙𝑛 ( ) = 𝑙𝑛 (1 + 𝑛).
𝑛
1
Or, lim 1 + 𝑛 = 1 et par composition, lim 𝐼𝑛 = 0 .
𝑛⟶+∞ 𝑛⟶+∞
e
93 1. Pour n de ℕ*, In+1 – In = ∫1 (ln (𝑥))𝑛 (ln(𝑥) − 1)𝑑𝑥 .
Or, pour n de ℕ* et x de [1 ; e], (ln(𝑥))𝑛 ≥ 0 et ln(𝑥) − 1 ≤ 0.
Donc (ln(𝑥))𝑛 (ln(𝑥) − 1) ≤ 0.
Donc pour n de ℕ*, In+1 – In ≤ 0 d’après la propriété de positivité de l’intégrale.
La suite (In) est donc décroissante.
2e
2. Pour n de ℕ*, Jn+1 – Jn = ∫e (ln(𝑥))𝑛 (ln(𝑥) − 1)𝑑𝑥 .
Or, pour n de ℕ* et x de [e ; 2e], (ln(𝑥))𝑛 ≥ 0 et ln(𝑥) − 1 ≥ 0.
Donc (ln(𝑥))𝑛 (ln(𝑥) − 1) ≥ 0.
Donc pour n de ℕ*, Jn+1 – Jn ≥ 0 d’après la propriété de positivité de l’intégrale.
La suite (Jn) est donc croissante.
94 1. u0 = ln (2).
2. a. Pour tout entier naturel n,
1 𝑥 𝑛+1 +𝑥 𝑛 1 𝑥 𝑛 (1+𝑥) 1 1
un+1 + un = ∫0 𝑑𝑥 = ∫0 𝑑𝑥 = ∫0 𝑥 𝑛 𝑑𝑥 = 𝑛+1.
1+𝑥 1+𝑥
b. u1 = 1 – ln (2).
1 𝑥 𝑛 (𝑥−1)
3. Pour tout entier naturel n, un+1 - un = ∫0 𝑑𝑥.
1+𝑥
𝑥𝑛 𝑥 𝑛 (𝑥−1)
Or, pour n de ℕ et x de [0 ; 1], 1+𝑥 ≥ 0 et x – 1 ≤ 0. Donc ≤ 0.
1+𝑥
Donc pour n de ℕ, In+1 – In ≤ 0 d’après la propriété de positivité de l’intégrale.
La suite (In) est donc décroissante.
1
95 1. a. Pour n de ℕ* et x de [0 ; 1], 1 + xn ≥ 1 donc ≤ 1.
1+𝑥 𝑛
1
b. D’après la propriété de comparaison, In ≤ ∫0 𝑑𝑥 donc pour tout entier naturel n non nul,
In ≤ 1.
𝑥𝑛
2. a. Pour n de ℕ* et x de [0 ; 1], ≥ 0. Donc d’après la propriété de positivité, Jn ≥ 0.
1+𝑥 𝑛
1 𝑥𝑛
De plus 1+𝑥 𝑛 ≤ 1 donc 1+𝑥 𝑛 ≤ 𝑥 𝑛 puisque xn ≥ 0.
1 1 1
D’après la propriété de comparaison, Jn ≤ ∫0 𝑥 𝑛 𝑑𝑥. Or, ∫0 𝑥 𝑛 𝑑𝑥 = 𝑛+1.
1
Finalement, pour n de ℕ*, 0 ≤ 𝐽𝑛 ≤ 𝑛+1.
1
b. lim = 0 donc d’après le théorème des gendarmes, lim 𝐽𝑛 = 0.
𝑛⟶+∞ 𝑛+1 𝑛⟶+∞
3. a. Pour n de ℕ*, In + Jn = 1.
b. Pour n de ℕ*, In = 1 – Jn. De plus lim 𝐽𝑛 = 0 donc lim 𝐼𝑛 = 1.
𝑛⟶+∞ 𝑛⟶+∞
96 D’après la formule d’intégration par parties, on a pour tout entier naturel n non nul :
𝑥𝑛 𝑒 𝑒 𝑥 𝑛−1 𝑒𝑛 1 1
𝐼𝑛 = [ 𝑛 ln(𝑥)] − ∫1 𝑑𝑥 = (1 − 𝑛) + 𝑛².
1 𝑛 𝑛
𝑒𝑛 1 1
Par croissance comparée, lim = +∞. De plus, lim 1 − 𝑛 = 1 et lim = 0.
𝑛⟶+∞ 𝑛 𝑛⟶+∞ 𝑛⟶+∞ 𝑛²
Donc d’après les règles opératoires, lim 𝐼𝑛 = +∞.
𝑛⟶+∞
98 1.
2 2
3. La fonction f est continue et positive sur [1 ; 2]. ∫1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = .
3
2
L’aire de la surface est égale à 3 u.a.
4 2
4. La fonction f est continue et négative sur [2 ; 4]. ∫2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = − .
3
2
L’aire de la surface est égale à 3 u.a.
1−2 ln(𝑥)
101 1. Pour x > 0, f ’(x) = . x3 > 0 donc f ’(x) est du signe de 1 – 2 ln(x).
𝑥3
1
Si x ∈ ]0 ; e2 [ alors f ’(x) > 0.
1
Si x ∈ ] e2 ; +∞[ alors f ’(x) < 0.
1
Si x = e2 alors f’(x) = 0.
1
La fonction f est donc strictement croissante sur ]0 ; e2 ] et strictement décroissante sur
1
[ e2 ; +∞[.
2. x > 0 donc f (x) est du signe de ln(x).
Si x ∈ ]0 ; 1[ alors f (x) < 0.
Si x ∈ ]1 ; +∞[ alors f (x) > 0.
Si x = 1 alors f (x) = 0.
3.
102 1.
2. Pour tout réel x de [0 ; 1], x3 ≤ x donc #f est en dessous de #g sur cet intervalle.
1
3. ∫0 (𝑔(𝑥) − 𝑓(𝑥))𝑑𝑥 = 0,25. Donc l’aire, en u.a., du domaine est égale à 0,25.
𝑥 3 −1
103 1. Pour x > 0, f (x) – g (x) = .
𝑥
Le signe de f (x) – g (x) est donné par le signe de x3 – 1.
Si x ∈ ]0 ; 1[ alors f (x) – g (x) < 0.
Si x ∈ ]1 ; +∞[ alors f (x) – g (x) > 0.
Si x = 1 alors f (x) – g (x) = 0.
2. Sur l’intervalle ]1 ; +∞[, f (x) – g (x) > 0 c’est-à-dire f (x) > g(x) et donc #f est au-dessus de
e
#g. L’aire, en u.a., de la surface est donnée par ∫1 (𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥))𝑑𝑥 .
e e3 −4 e3 −4
Or, ∫1 (𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥))𝑑𝑥 = . L’aire est donc égale à u.a.
3 3
104 1. a. On conjecture que #f est au-dessus de #g sur les intervalles ]−∞ ; 1] et [5 ; +∞[ et
que #f est en-dessous de #g sur l’ intervalle [1 ; 5].
b. Pour tout réel x, f (x) – g (x) = x2 – 6x + 5.
Le calcul du discriminant et des racines conduit à :
Si x ∈ ]–∞ ; 1[∪]5 ; +∞[ alors f (x) – g (x) > 0 soit f (x) > g (x).
Si x ∈ ]1 ; 5[ alors f (x) – g (x) < 0 soit f (x) < g (x).
Si x = 1 ou x = 5 alors f (x) – g (x) = 0 soit f (x) = g(x).
La conjecture est alors validée.
4 22
2. Sur l’intervalle [2 ; 4], #f est en-dessous de #g. De plus, ∫2 (𝑔(𝑥) − 𝑓(𝑥))𝑑𝑥 = .
3
22
L’aire cherchée est donc égale à u.a.
3
3
L’aire, en u.a., de la surface est donnée par ∫1 (𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥))𝑑𝑥.
3 4 4
Or, ∫1 (𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥))𝑑𝑥 = . L’aire est donc égale à 3 u.a.
3
106 1. T : y = x – 1.
2. La fonction ln est concave sur ]0 ; +∞[ donc T est au-dessus de # sur ]0 ; +∞[.
e
3. L’aire, en u.a., de la surface est donnée par ∫1 (𝑥 − 1 − ln(𝑥))𝑑𝑥.
e e e
∫1 (𝑥 − 1 − ln(𝑥))𝑑𝑥 = ∫1 (𝑥 − 1)𝑑𝑥 − ∫1 ln(𝑥) 𝑑𝑥.
e e2 1
Or, ∫1 (𝑥 − 1)𝑑𝑥 = −e+ .
2 2
e
À l’aide d’une intégration par parties, ∫1 ln(𝑥) 𝑑𝑥 = 1.
e2 1
Finalement l’aire cherchée est égale à − e − 2 u.a.
2
109 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages ; il faut lire que
l’intervalle est fermé en 1 et non ouvert.
ln(𝑡)
1. a. Sur l’intervalle [1 ; +∞[, la fonction 𝑡 ⟶ est continue et positive.
𝑡²
ln(𝑥)
D’après la théorème fondamental, la fonction g est dérivable sur [1 ; +∞[ et g’(x) = ≥ 0.
𝑥²
Donc g est strictement croissante sur [1 ; +∞[.
ln(𝑡)
b. g(3) représente l’aire, en u.a., de la surface délimitée par la courbe de la fonction 𝑡 ⟶ ,
𝑡²
l’axe des abscisses et les droites d’équations x = 1 et x = 3.
1 𝑥 𝑥1 ln(𝑥)+1
2. a. Pour x ≥ 1, g (x) = [− ln(𝑡)] + ∫1 𝑑𝑡 = 1 − .
𝑡 1 𝑡² 𝑥
ln(𝑥) 1
b. Pour x ≥ 1, g (x) = 1 − − 𝑥.
𝑥
ln(𝑥) 1
Or, par croissance comparée : lim = 0. De plus, lim = 0.
𝑥⟶+∞ 𝑥 𝑥⟶+∞ 𝑥
D’après les règles opératoires, lim 𝑔(𝑥) = 1.
𝑥⟶+∞
𝜆 𝜆 𝜆
2. a. Pour 𝜆 > 0, 𝐴(𝜆) = ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = [−(𝑥 + 1)e−𝑥 ]0𝜆 + ∫0 e−𝑥 𝑑𝑥 = 2 − .
e𝜆
b. lim 𝐴𝜆 = 2.
𝜆⟶+∞
La fonction f est continue est positive sur [0 ; +∞[. L’aire, en u.a., du domaine situé sous la
courbe de la fonction f sur cet intervalle tend vers 2.
ln(𝑥)
112 1. Pour tout réel x > 0, f (x) – x = − .
𝑥²
x² > 0 donc f (x) – x est du signe de – ln(x).
Sur l’intervalle ]0 ; 1], f (x) ≥ x donc # est au-dessus de d.
Sur l’intervalle [1 ; +∞[, f (x) ≤ x donc # est en dessous de d.
𝛼 ln(𝑥)
2. a. 𝐴(𝛼) = ∫1 𝑑𝑥 .
𝑥²
1 𝛼 𝛼 1 ln(𝛼) 1
b. 𝐴(𝛼) = [− ln(𝑥)] + ∫1 𝑑𝑡 = 1 − − 𝛼.
𝑥 1 𝑥² 𝛼
ln(𝛼) 1
c. Par croissance comparée : lim = 0. De plus, lim = 0.
𝛼⟶+∞ 𝛼 𝛼⟶+∞ 𝛼
e e2 −e−2
114 1. μ = 0,5. 2. 𝜇 = 3. μ =
e−1 4
1 2
115 1. μ = −63,75 2. μ = ln(2) 3. μ =
3 e²−1
−2 3√3
116 1. μ = 2. μ = 3. μ = √5 − √2
3π 8π
1 5
118 1. ∫0 𝐶(𝑥)𝑑𝑥 = 1 − 5e−5 ≈ 0,966.
5
2. Pour une production de 0 à 5000 objets par semaine, le coût de production moyen d’un
objet s’établit à environ 966 euros.
890
119 1. μ = .
3
2. Il s’agit de la vitesse moyenne du mobile sur les 20 premières secondes
(environ 296,7 m.s-1).
5
120 μ = ln(26) ≈ 8,145.
2
La concentration moyenne sur les 10 premières heures est d’environ 8,145 mg/L.
121 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
question 1 : « la fonction f1 » et non « la fonction f ».
1. a. lim 𝑓1 (𝑥) = −∞.
𝑥⟶−∞
b. lim 𝑓1 (𝑥) = 0.
𝑥⟶+∞
3. La fonction f1 est négative sur ]−∞ ; –2] et elle est positive sur [–2 ; +∞[.
4.
1 4
5. ∫0 𝑓1 (𝑥)𝑑𝑥 = 3 − . Or, 1 u.a. = 16 cm2.
e
4
L’aire du domaine 61 est égale à 16 (3 − e) cm2 soit environ 24,456 cm².
6. a. Soit n de ℕ*.
1 1 1
In+1 – In = ∫0 (𝑥 + 2)e−(𝑛+1)𝑥 d𝑥 − ∫0 (𝑥 + 2)e−𝑛𝑥 d𝑥 = ∫0 (𝑥 + 2)e−𝑛𝑥 (e−𝑥 − 1)d𝑥 .
b. Pour n de ℕ* et x de [0 ; 1], (𝑥 + 2)e−𝑛𝑥 (e−𝑥 − 1) ≤ 0.
D’après la propriété de positivité, on a donc : In+1 – In ≤ 0.
La suite (In) est donc décroissante.
c. Soit n de ℕ* et x de [0 ; 1].
D’une part, la fonction fn est positive sur [0 ; 1] donc In ≥ 0.
D’autre part, x + 2 ≤ 3 et donc fn (x) ≤ 3e−𝑛𝑥 puisque e−𝑛𝑥 > 0.
1
Ainsi, In ≤ ∫0 3e−𝑛𝑥 𝑑𝑥.
1 3
Or, ∫0 3e−𝑛𝑥 𝑑𝑥 = 𝑛 (1 − e−𝑛 ).
3
Donc, pour tout entier naturel n non nul, 0 ≤ In ≤ (1 − e−𝑛 ).
𝑛
3 3
d. lim = 0 et lim 1 − 𝑒 −𝑛 = 1 donc lim (1 − e−𝑛 ) = 0.
𝑛⟶+∞ 𝑛 𝑛⟶+∞ 𝑛⟶+∞ 𝑛
D’après le théorème des gendarmes, lim 𝐼𝑛 = 0.
𝑛⟶+∞
La suite (In) converge donc vers 0.
123 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant et le manuel numérique élève.
1. ligne 2 : h = 0.2
ligne 3 : for i in range (1,6)
ligne 4: x = x + h
ligne 5: S = S+h*exp(x)
ligne 6: return (S)
1
2. On remplace la ligne 1 par def somme(n), la ligne 2 par h = et la ligne 3 par :
𝑛
for i in range (1,n+1).
1 1
124 1. Vrai. Une primitive de 𝑥 → e2𝑥+1 est la fonction 𝑥 → 2e2𝑥+1 puis on calcule
l’intégrale.
3
2. Faux, c’est ln ( ).
2
3 3 1
3. Vrai. Le calcul donne ln(5) et ln(5) = 3 × ln(5) = 3ln(√5).
2 2 2
1
4. Faux. F’(x) = > 0 donc F est croissante sur [1 ; +∞[.
𝑥
π√3 √3 10e3 +5
125 1. − − 1 2.
3 2 9
e𝑥 (𝑥−1)
127 1. Pour x de [1 ; 4], f '(x) = ≥ 0. Donc f est croissante sur [1 ; 4].
𝑥²
e4
2. On en déduit que : f (1) ≤ f (x) ≤ f (4) soit e ≤ 𝑓(𝑥) ≤ .
4
4 3e4
3. 3e ≤ ∫1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ .
4
1
128 1. a. In+1 – In = ∫0 𝑥 𝑛+1 sin(𝑥) − 𝑥 𝑛 sin(𝑥) 𝑑𝑥
1
= ∫0 𝑥 𝑛 sin(𝑥) (𝑥 − 1)𝑑𝑥.
b. Pour x de [0 ; 1], 𝑥 𝑛 sin(𝑥) (𝑥 − 1) ≤ 0 donc pour tout n de ℕ∗ , In+1 – In ≤0 et (In) est
décroissante.
2. a. Pour x de [0 ; 1], 0 ≤ sin(x) ≤ 1 et xn ≥ 0 donc 0 ≤ xn sin(x) ≤ xn.
1 1
b. 0 ≤ 𝐼𝑛 ≤ ∫0 𝑥 𝑛 𝑑𝑥 donc 0 ≤ 𝐼𝑛 ≤ .
𝑛+1
1
c. lim = 0 donc d’après le théorème des gendarmes, lim 𝐼𝑛 = 0.
𝑛→+∞ 𝑛+1 𝑛→+∞
131 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
question 3 : « en déduire la position relative entre # et T sur l’intervalle ]–∞ ; 2] ».
1. f '(x) = e-x (1 – x). On a f ’(0) = 1 et f (0) = 1 donc T : y = x +1.
2. f’’(x) = – e–x(1 – x) – e–x = e–x (x – 2).
3. f est concave sur ]-∞ ; 2] et convexe sur [2 ; +∞[. # est en dessous de T sur ℝ.
4. a. f (x) – (x + 1) = xe-x + 1 – x – 1 = x(ex – 1).
1
b. ∫0 𝑥(𝑒 −𝑥 − 1)𝑑𝑥 = 0.5 − 2𝑒 −1 ≈ −0,236.
c. L’aire, en u.a., de la surface délimitée par #, T et les droites d’équations x = 0 et x = 1 est
environ égale à 0,236.
200
b. La fonction F définie sur [0 ; 12] par F(t) = − × e−0,15𝑡 est une primitive de f sur
3
200
[0 ; 12]. Donc I = F(12) – F(0) = (1 − e−1,8 ).
3
2. On calcule la valeur moyenne 𝜇 de la fonction f sur [0 ; 12].
1 50
𝜇 = 12 𝐼 = (1 − 𝑒 −1,8 ) ≈ 4,6.
9
En moyenne, 4,6 g de substance médicamenteuse est présente chaque heure dans le sang.
2−√2
135 a. J = 8 b. K =
6
1 1 𝜋²
c. L = d. M = sin ( )
4 2 16
1
140 1. Pour tout entier naturel n ≥ 1 : un+1 – un = > 0. Donc (Hn) est croissante.
𝑛+1
1 1 1
2. a. Pour tout entier k ≥ 1, si k ≤ x ≤ k +1 alors ≤ ≤ 𝑘.
𝑘+1 𝑥
1 𝑘+1 1 1
b. D’après la propriété de comparaison : ≤ ∫𝑘 𝑥 𝑑𝑥 ≤ 𝑘.
𝑘+1
L’aire, en u.a., du domaine délimité par la courbe de la fonction inverse et les droites
d’équation x = k et x = k + 1 est comprise entre l’aire du rectangle de largeur 1 et de hauteur
1 1
et l’aire du rectangle de largeur 1 et de hauteur 𝑘 .
𝑘+1
3. a. On applique l’inégalité précédente pour k = 1, 2, 3, …, n.
D’après la relation de Chasles, on obtient :
1 1 1 𝑛+1 1 1 1 𝑛+1 1
+ 3 + ⋯ + 𝑛+1 ≤ ∫1 𝑑𝑥 ≤ 1 + 2 + ⋯ + 𝑛 c’est-à-dire 𝐻𝑛+1 − 1 ≤ ∫1 𝑑𝑥 ≤ 𝐻𝑛 .
2 𝑥 𝑥
𝑛+1 1 1 𝑛+1 1
b. 𝐻𝑛+1 − 1 ≤ ∫1 𝑑𝑥 ≤ 𝐻𝑛 ⇔ 𝐻𝑛 + 𝑛 + 1 − 1 ≤ ∫1 𝑑𝑥 ≤ 𝐻𝑛
𝑥 𝑥
𝑛+1 1 𝑛+1 1 1
⇔ ∫1 𝑑𝑥 ≤ 𝐻𝑛 ≤ ∫1 𝑑𝑥 + 1 − 𝑛 + 1.
𝑥 𝑥
𝑛+1 1
4. Pour tout entier naturel n ≥ 1, ∫1 𝑑𝑥 = ln(𝑛 + 1). Donc Hn ≥ ln(𝑛 + 1).
𝑥
lim ln(𝑛 + 1) = +∞ donc d’après le théorème de comparaison, lim 𝐻𝑛 = +∞.
𝑛⟶+∞ 𝑛⟶+∞
143 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans
1 𝑥² 1 𝑥
l’énoncé : « J = ∫0 √𝑥 2 +2
𝑑𝑥 » au lieu de « J = ∫0 √𝑥 2 +2
𝑑𝑥 ».
1. a. Pour tout réel x de [0 ; 1], 𝑥 + √𝑥 2 + 2 > 0 donc f est définie sur [0 ; 1].
1
b. f est dérivable sur [0 ; 1] et pour tout réel x de [0 ; 1], f’(x) = .
√𝑥 2 +2
c. I = f (1) – f (0) = ln(1 + √3) − ln(√2).
1 𝑥² 1 2 1
2. a. J + 2I = ∫0
√𝑥 2 +2
d𝑥 + ∫0 √𝑥 2 +2
d𝑥 = ∫0 √𝑥 2 + 2 d𝑥 = K.
1 1 𝑥2
b. K = [𝑥√𝑥 2 + 2] − ∫0 d𝑥 = √3 − J.
0 √𝑥 2 +2
1 1
c. J = √3 − I = √3 −ln(1 + √3) + ln(√2).
2 2
1 1
K = I + 2 √3 = ln(1 + √3) − ln(√2) + 2 √3.
144 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
e e
question 3 : « I = ∫2 (ln(𝑥))²𝑑𝑥 » au lieu de « I = ∫2 (ln(𝑥))𝑑𝑥 ».
π2 π√3
1. I = − + − 1.
18 3
2. J = 2 – 5e–1.
3. I = e – 2(ln (2))2 + 4 ln (2) – 4.
eπ −1
4. J = .
5
145 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
question 4 : « le segment [OB] » au lieu de « le segment [OI] ».
1. La fonction f est strictement décroissante sur ]0 ; 1] et strictement croissante sur [1 ; +∞[.
2. L’équation f (x) = 0 a pour unique solution x = 1. Donc A(1 ; 0).
3. Notons b l’abscisse du point B.
2
La tangente à # au point B a pour équation réduite y = 𝑏 ln(𝑏) 𝑥 − 2 ln(𝑏) + (ln(𝑏))².
Cette tangente passe par l’origine du repère donc −2 ln(𝑏) + (ln(𝑏))²= 0.
Or, −2 ln(𝑏) + (ln(𝑏))2 = 0 ⟺ ln(𝑏) (−2 + ln(𝑏)) = 0 ⇔ 𝑏 = 1 𝑜𝑢 𝑏 = 𝑒².
Or, A et B sont distincts donc b = e² et B(e² ; 4).
4.
L’aire, en u.a., de la surface hachurée est égale à la somme de l’aire du triangle OAC où # est
le point de coordonnées (1, 4e–2) et de l’aire ! de la surface délimitée par la courbe #, le
segment [OB] et les droites d’équations x = 1 et x = e².
e² 4
Aire (OAC) = 2e–2 u.a et ! = ∫1 (e2 𝑥 − (ln(𝑥))2 ) 𝑑𝑥 u.a.
e² 4 4 e² e²
∫1 (e2 𝑥 − (ln(𝑥))2 ) 𝑑𝑥 = e² ∫1 𝑥 𝑑𝑥 − ∫1 (ln(𝑥)²𝑑𝑥.
4 e²
Or, e² ∫1 𝑥 𝑑𝑥 = 2e2 − 2e−2 et à l’aide d’une double intégration par parties,
e²
∫1 (ln(𝑥)²𝑑𝑥 = 2e2 − 2.
L’aire cherchée est donc égale à 2 u.a.
𝑏+√𝑎
A = ∫𝑏−√𝑎 (2𝑏𝑥 + 𝑎 − 𝑏 2 − 𝑥 2 )𝑑𝑥
𝑏+√𝑎 𝑏+√𝑎 𝑏+√𝑎
A = 2𝑏 ∫𝑏−√𝑎 𝑥𝑑𝑥 + (𝑎 − 𝑏 2 ) ∫𝑏−√𝑎 𝑑𝑥 − ∫𝑏−√𝑎 𝑥 2 𝑑𝑥
4
A = 3 𝑎√𝑎.
148 1. I0 = 1 et J0 = 1.
2. Soit n un entier naturel non nul.
π π
a. In = [−e−𝑛𝑥 cos(𝑥)]02 − 𝑛 ∫02 e−𝑛𝑥 cos(𝑥) 𝑑𝑥 soit In + nJn = 1.
π π 𝜋
1 1
sin(𝑥)] + ∫02 e−𝑛𝑥 cos(𝑥) 𝑑𝑥 soit –nIn + Jn = e−𝑛2 .
−𝑛𝑥 2
b. In = [− 𝑒
𝑛 𝑛
0
𝑛𝜋
− 𝜋
1 𝑛e 2 1 𝑛
3. a. Pour tout entier naturel n non nul, In = − = et Jn = e−𝑛2 + 𝑛2 +1.
1+𝑛² 1+𝑛² 𝑛2 +1
b. lim 𝐼𝑛 = 0 et lim 𝐽𝑛 = 0.
𝑛⟶+∞ 𝑛⟶+∞
e𝑡
149 1. a. La fonction 𝑡 ⟶ est continue et positive sur I donc d’après le théorème
𝑡
e𝑥
fondamental, f est dérivable sur I et f’(x) = .
𝑥
b. La fonction f est strictement croissante sur I.
e𝑡 e 𝑥e
2. a. Pour t ≥ 1, et ≥ e donc ≥ 𝑡 et d’après la propriété de comparaison, f (x) ≥ ∫1 𝑡 𝑑𝑡.
𝑡
𝑥e
Or, ∫1 𝑡 𝑑𝑡 = e ln(𝑥) donc pour tout réel x ≥ 1, on a : f (x) ≥ e ln(x).
b. D’après le théorème de comparaison, lim 𝑓(𝑥) = +∞.
𝑥⟶+∞
1 e𝑡
3. a. Pour tout x de ]0 ; 1], f (x) = − ∫𝑥 𝑡 𝑑𝑡.
e𝑥 e𝑡 e
Pour tout réel t tel que 𝑥 ≤ 𝑡 ≤ 1, e𝑥 ≤ e𝑡 ≤ e et ≤ ≤ 𝑡.
𝑡 𝑡
1e 1 e𝑥
Donc d’après la propriété de comparaison, ∫𝑥 𝑡 𝑑𝑡 ≤ 𝑓(𝑥) ≤ ∫𝑥 𝑑𝑡.
𝑡
Ainsi, pour tout x de ]0 ; 1], e ln(x) ≤ f (x) ≤ ex ln(x).
b. D’après le théorème de comparaison, lim 𝑓(𝑥) = −∞.
𝑥⟶−∞
(𝑥−1)𝑒 𝑥
5. a. Pour x de I, f’’(x) = .
𝑥²
b. f’’(x) s’annule pour x = 1. Donc A(1 ; 0).
La tangente T a pour équation réduite y = ex – e.
6. a. La fonction f est continue et strictement croissante sur [1 ; +∞[. L’image de [1 ; +∞[ par
f est [0 ; +∞[ et n appartient à cet intervalle. Donc d’après le corollaire du théorème des
valeurs intermédiaires, l’équation f (x) = n admet une unique solution un sur [1 ; +∞[.
b. f (un) = n et f (un+1) = n + 1. De plus f est croissante donc la suite (un) est croissante.
c. Supposons que la suite (un) soit majorée. Alors elle converge, ce qui est absurde.
d. lim 𝑢𝑛 = +∞.
𝑛⟶+∞
Partie B : applications
1. g(0,8) ≈ 0,558. Dans l’entreprise G, 80 % des employés ayant les salaires les plus bas
détiennent environ 55,8 % de la masse salariale.
1 1 1 1
2. a. AL = ∫0 (𝑥 − 𝑔(𝑥))𝑑𝑥 = donc 𝛾𝑔 = 2 × 2𝑒 = 𝑒.
2𝑒
b. Plus le coefficient de Gini est petit, plus l’aire AL est petite et donc plus la courbe de la
fonction L est proche de la droite d représentant une situation égalitaire.
1
c. 𝛾𝑓 = 2 ∫0 (𝑥 − 𝑥 3 )𝑑𝑥 = 0,5 et 𝛾𝑓 > 𝛾𝑔 donc la répartition est plus égalitaire dans
l’entreprise G.
1 e e (ln(𝑥))𝑛 1
151 1. Pour n de ℕ, In+1 = [− (ln(𝑥))𝑛+1 ] + (𝑛 + 1) ∫1 𝑑𝑥 = − e + (𝑛 + 1)𝐼𝑛 .
𝑥 1 𝑥²
1 1 𝑛 1
2. Soit P(n) : 𝐼 =1− ∑ .
𝑛! 𝑛 e 𝑘=0 𝑘!
1 1 1 1
Pour n = 0 : 𝐼 = 𝐼0 = 1 − e =1 − e ∑𝑛𝑘=0 𝑘!. Donc P(0) est vraie.
𝑛! 𝑛
Démontrons que P(n) implique P(n+1) :
1 1 1 1 1 1 1 1
𝐼 = (𝑛+1)! (− e + (𝑛 + 1)𝐼𝑛 ) = − (𝑛+1)!e + 1 − e ∑𝑛𝑘=0 𝑘! = 1 − e ∑𝑛+1
𝑘=0 𝑘!.
(𝑛+1)! 𝑛+1
Donc P(n + 1) est vraie.
La propriété est initialisée et elle est héréditaire sur ℕ donc pour tout entier naturel n,
1 1 1
𝐼 = 1 − 𝑒 ∑𝑛𝑘=0 𝑘!.
𝑛! 𝑛
(ln(𝑥))𝑛 1
3. a. Pour n de ℕ et x de [1 ; e], 0 ≤ (ln(𝑥))𝑛 ≤ 1 donc 0 ≤ ≤ 𝑥².
𝑥²
e (ln(𝑥))𝑛 e 1
D’après la propriété d’ordre, 0 ≤ ∫1 𝑥² 𝑑𝑥 ≤ ∫1 𝑥² 𝑑𝑥.
e 1 1
Or, ∫1 𝑑𝑥 = 1 − e.
𝑥²
Donc, 0 ≤ 𝐼𝑛 ≤ 1.
𝐼𝑛 1 𝐼𝑛
b. Pour n de ℕ, 0 ≤ ≤ 𝑛 !. D’après le théorème des gendarmes, lim = 0.
𝑛! 𝑛⟶+∞ 𝑛 !
1
4. La question 2 et la question précédente conduisent à lim ∑𝑛+1
𝑘=0 𝑘! = e.
𝑛⟶+∞
1 1
152 1. a. Pour tout réel t tel que 𝑛 + 𝑘 ≤ 𝑡 ≤ 𝑛 + 𝑘 + 1 alors ≤ 𝑛+𝑘.
𝑡
𝑛+𝑘+1 1 𝑛+𝑘+1 1 𝑛+𝑘+1 1 1
b. D’après la propriété de comparaison, ∫𝑛+𝑘 𝑑𝑡 ≤ ∫𝑛+𝑘 𝑑𝑡 soit ∫𝑛+𝑘 𝑑𝑡 ≤ 𝑛+𝑘.
𝑡 𝑛+𝑘 𝑡
1 1
c. Pour tout réel t tel que 𝑛 + 𝑘 − 1 ≤ 𝑡 ≤ 𝑛 + 𝑘 alors ≥ .
𝑡 𝑛+𝑘
𝑛+𝑘 1 𝑛+𝑘 1 𝑛+𝑘 1 1
D’après la propriété de comparaison, ∫𝑛+𝑘−1 𝑡 𝑑𝑡 ≥ ∫𝑛+𝑘−1 𝑛+𝑘 𝑑𝑡 soit ∫𝑛+𝑘−1 𝑡 𝑑𝑡 ≥ 𝑛+𝑘.
𝑛+𝑘+1 1 1 𝑛+𝑘 1
2. On a : ∫𝑛+𝑘 𝑑𝑡 ≤ ≤ ∫𝑛+𝑘−1 𝑑𝑡.
𝑡 𝑛+𝑘 𝑡
On applique cette inégalité pour k allant de 0 à n et d’après la relation de Chasles :
2𝑛+1 1 2𝑛 1 2𝑛+1
∫𝑛+1 𝑑𝑡 ≤ 𝑢𝑛 ≤ ∫𝑛 𝑑𝑡 soit 𝑙𝑛 ( 𝑛+1 ) ≤ 𝑢𝑛 ≤ ln(2).
𝑡 𝑡
3. D’après le théorème des gendarmes, lim 𝑢𝑛 = ln(2).
𝑛⟶+∞
1
153 1. La fonction h définie sur ]0 ; +∞[ par h (x) = + ln(𝑥) − 1 est décroissante sur
𝑥
]0 ; 1] et croissante sur [1 ; +∞[. Elle atteint un minimum égal à 1 pour x = 1.
1
Donc pour x > 0, h (x) ≥ 0 c’est-à-dire 𝑥 + ln(𝑥) ≥ 1.
2. a. lim 𝑓(𝑥) = −∞ et lim 𝑓(𝑥) = +∞.
𝑥⟶0 𝑥⟶+∞
1
b. f est dérivable sur ]0 ; +∞[ et f ’(x) = ln(𝑥) + 1 + > 0 d’après la question 1.
𝑥
Donc f est croissante sur ]0 ; +∞[.
3. a. La fonction f est continue et positive sur [n ; n + 1] donc un représente l’aire, en u.a., du
domaine délimité par la courbe # de f, l’axe des abscisses et les droites d’équations x = n et
x = n + 1.
b. f est croissante sur ]0 ; +∞[ donc si 𝑛 ≤ 𝑥 ≤ 𝑛 + 1 alors 𝑓(𝑛) ≤ 𝑓(𝑥) ≤ 𝑓(𝑛 + 1).
D’après la propriété de comparaison, 𝑓(𝑛) ≤ 𝑢𝑛 ≤ 𝑓(𝑛 + 1).
c. La suite (un) est croissante.
d. D’après le théorème de comparaison, lim 𝑢𝑛 = +∞.
𝑛⟶+∞
154 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans la
𝑛+1 1 𝑛+1 1 𝑛+1 1
question 1 : « ∫𝑛 𝑑𝑥 » au lieu de « ∫𝑛 𝑑𝑥 » et dans la question 2. a. : « ∫1 𝑑𝑥 »
𝑥² 𝑥 𝑥²
𝑛+1 1
au lieu de « ∫1 𝑑𝑥 ».
𝑥
𝑛+1 1 −1 𝑛+1 1
1. Pour n de ℕ*, ∫𝑛 𝑑𝑥 = [ 𝑥 ] = 𝑛(𝑛+1).
𝑥² 𝑛
2 1 3 1 𝑛+1 1 𝑛+1 1
2. a. Pour n de ℕ*, Sn = ∫1 𝑥² 𝑑𝑥 + ∫2 𝑑𝑥 + ⋯ + ∫𝑛 𝑑𝑥 = ∫1 𝑑𝑥 d’après la relation
𝑥² 𝑥2 𝑥²
de Chasles.
𝑛
b. Pour n de ℕ*, Sn = .
𝑛+1
c. lim 𝑆𝑛 = 1.
𝑛⟶+∞
155 1. a. Pour tout réel x de I, f’(x) = x – sin (x) et f’’(x) = 1 – cos (x).
b. La fonction f ’ est croissante sur I. De plus pour tout réel x de I, f’(x) ≥ 0 donc la fonction f
est croissante sur I.
c. D’une part, pour tout réel x de I, cos(x) ≤ 1 et d’autre part f (x) ≥ 0.
𝑥2
Donc 1 − ≤ cos(𝑥) ≤ 1.
2
2. a. D’après la question précédente et la propriété de comparaison, on a pour tout réel x de I :
𝑥 𝑡² 𝑥 𝑥
∫0 (1 − 2 ) d𝑡 ≤ ∫0 cos(𝑡) 𝑑𝑡 ≤ ∫0 𝑑𝑡.
𝑥3
b. Le calcul des intégrales précédentes conduit à : 𝑥 − ≤ sin(𝑥) ≤ 𝑥.
3!
𝑥 𝑡3 𝑥 𝑥
3. a. Pour tout réel x de I : ∫0 (𝑡 − ) d𝑡 ≤ ∫0 sin(𝑡) 𝑑𝑡 ≤ ∫0 𝑡𝑑𝑡 .
3!
Le calcul des intégrales précédentes et les règles sur les inégalités conduisent à :
𝑥2 𝑥2 𝑥4
1− ≤ cos(𝑥) ≤ 1 − + .
2! 2! 4!
𝑥3 𝑥3 𝑥5
b. De la même façon, pour tout réel x de I, 𝑥 − ≤ sin(𝑥) ≤ 𝑥 − + .
3! 3! 5!
π
4. La fonction cosinus est paire donc pour tout réel x de [− ; 0] :
2
𝑥2 𝑥2 𝑥4
1− ≤ cos(𝑥) ≤ 1 − + .
2! 2! 4!
π
La fonction sinus est impaire donc pour tout réel x de [− 2 ; 0] :
𝑥3 𝑥5 𝑥3
𝑥− + ≤ sin(𝑥) ≤ 𝑥 − .
3! 5! 3!
sin(𝑥)−𝑥 1 2cos(𝑥)−2
5. lim = − 6 et lim = − 1.
𝑥→0 𝑥3 𝑥→0 𝑥2
𝑥2
𝑥 −
156 1. La fonction f est dérivable sur ℝ et pour tout réel x, f ’(x) = − e 2 . Sa dérivée est
√2π
donc du signe de – x. De plus la fonction f est paire. f est donc croissante sur ]−∞ ; 0] et
décroissante sur [0 ; +∞[.
De plus, lim 𝑓(𝑥) = 0 et lim 𝑓(𝑥) = 0.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2.
3. On peut programmer l’algorithme suivant qui donne un encadrement de l’aire, en u.a., sous
la courbe de la fonction sur l’intervalle [a ; b].
La suite de l’exercice peut alors déboucher sur un exposé sur Archimède et la quadrature de
la parabole.
π3
159 Pour n = 0, I0 = .
3
2π(−1)𝑛
À l’aide d’une double intégration par parties, pour tout entier naturel n non nul, In = .
𝑛²
160 L’abscisse du point d’intersection de la courbe # et de l’axe des abscisses est égale à e–1.
1
De plus ∫e−1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 1 et c’est la moitié de l’aire du rectangle OABC. Ainsi, la courbe #
partage le rectangle OABC en deux domaines d’aires égales.
1
161 In = ((ln(e𝑛+2 )2 − (ln(e𝑛 )2 ) = 2n + 2.
2
lim 𝐼𝑛 = +∞.
𝑛→+∞
Travaux pratiques
TP1 Méthode des rectangles, des milieux et des trapèzes
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
A. Questions préliminaires
− 8𝑥
1. f est dérivable sur ℝ et f ’(x) = .
(1 + 𝑥 2 )²
d. 6 trapèzes.
e. 152 rectangles.
1
3. Chaque trapèze a une hauteur égale à .
𝑛
𝑘 𝑘+1
𝑓 (𝑛) correspond à la longueur de la petite base et 𝑓 ( ) à celle de la grande base.
𝑛
On somme alors les aires de tous les trapèzes.
4. a. et b.
B. L’algorithme de Brouncker
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire dans
l’algorithme en ligne 4 : « A = … » au lieu de « B = … ».
21
1. ∫1 𝑑𝑥 = ln(2) u.a.
𝑥
1 1 𝑛+1−𝑛 1
2. a. Pour n entier naturel non nul, − 𝑛+1 = 𝑛(𝑛+1) = 𝑛(𝑛+1).
𝑛
Sujet B
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. La fonction fn est continue et positive sur [1 ; 2].
In représente l’aire sous la courbe de la fonction fn sur l’intervalle [1 ; 2].
On remarque que #n+1 est en dessous de #n sur cet intervalle. Donc on conjecture que la suite
(In) est décroissante.
2. a. I2 = e − √e.
1 1
2 1 2 1 1
b. Pour n ≥ 2, In+1 = = ∫1 e𝑥 𝑑𝑥 = ∫1 × 𝑥² e𝑥 d𝑥 .
𝑥 𝑛+1 𝑥 𝑛−1
1 2
1 2 1−𝑛 1 √e
Donc In+1 = [− 𝑥 𝑛−1 e𝑥 ] + ∫1 e𝑥 d𝑥 = e − 2𝑛−1 + (1 − 𝑛)𝐼𝑛
1 𝑥𝑛
1
c. I3 = √e.
2
1 1 1
2 1 2 1 2 1 1
3. Pour n ≥ 2, In+1 – In = ∫1 𝑛+1
e𝑥 𝑑𝑥 − ∫1 𝑛
e𝑥 𝑑𝑥 = ∫1 𝑛
e𝑥 ( − 1) 𝑑𝑥.
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
1 1
1 1 1−𝑥 1 1
Pour x ∈ [1 ; 2], 𝑥 𝑛 e > 0 et 𝑥 − 1 =
𝑥 < 0. Donc 𝑥 𝑛 e (𝑥 − 1) < 0. 𝑥
𝑥
Donc, pour n ≥ 2, In+1 – In < 0 et la suite (In) est décroissante.
1 1 1
1 1 1 1 e
4. a. Pour x ∈ [1 ; 2], ≤ 𝑥 ≤ 1 et e2 ≤ e𝑥 ≤ e. De plus 𝑥 𝑛 > 0. Donc 0 ≤ 𝑥 𝑛 e𝑥 < 𝑥 𝑛.
2
b. Pour n ≥ 2, on a d’après la propriété de positivité, In ≥ 0 et d’après la propriété de
2 e 2 e e 1
comparaison, In ≤ ∫1 𝑑𝑥. Or, ∫1 𝑑𝑥 = − 𝑛−1 (2𝑛−1 − 1) .
𝑥𝑛 𝑥𝑛
−e 1
Donc, pour n ≥ 2, 0 ≤ 𝐼𝑛 ≤ 1 − 𝑛 (2𝑛−1 − 1).
c. D’après le théorème des gendarmes, lim 𝐼𝑛 = 0.
𝑛→+∞
Sujet C
1. L’affirmation est vraie :
e² 1 e² 1 e²
∫e 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = e² ∫e ln(𝑥) 𝑑𝑥 = ([𝑥ln(𝑥)]e²
e − ∫e 𝑑𝑥 ) = 1.
e²
2. L’affirmation est vraie :
Sur l’intervalle [1 ; 4], #f est au-dessus de #g.
4
L’aire cherchée, en u.a., est donnée par ∫1 (𝑥 − (𝑥 − 2)2 )𝑑𝑥.
Or, cette intégrale est égale à 4,5.
3. L’affirmation est fausse :
1 1 1
μ = 3 ∫−2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 et à l’aide d’une intégration par parties, ∫−2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = e3 − 4.
4. L’affirmation est vraie :
2 𝑎
D’une part, ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 2 ln(5) et d’autre part, ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 2 ln(√5) = ln(5).
Sujet D
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
10
1. 25 < ∫2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 < 33.
2. a. F est dérivable sur ]0 ; +∞[.
𝑥+1 1
Pour x > 0, F’(x) = ln (x) + – 1 = ln(x) + 1 + 𝑥 – 1 = f (x).
𝑥
Donc F est une primitive de f sur ]0 ; +∞[.
1 10 11 3
b. μ = ∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ln(10) − 8 ln(2) − 1 ≈ 1,91.
10−2 2 8
1
3. a. La tangente T a pour équation réduite : y = x + ln (2).
4
1 1
b. Pour x > 0, f’(x) = − .
𝑥 𝑥²
1 − 2𝑥 1 2 2−𝑥
De plus f ’ est dérivable sur ]0 ; +∞[ et f ’’(x) = − 𝑥 2 − ( ) = − 𝑥2 + 𝑥3 = .
𝑥4 𝑥3
x3 > 0 car x > 0 donc f’’(x) est du signe de 2 – x. Donc f est concave sur [2 ; +∞[.
c. D’après la question précédente, on peut dire que f est convexe sur ]0 ; 2] et concave sur
[2; +∞[. Le point d’abscisse 2 est un point d’inflexion.
Donc # est au-dessus de T sur ]0 ; 2] et # est en dessous de T sur [2 ; +∞[.
4. Sur l’intervalle [2 ; 8], # est en dessous de T. On note ! l’aire, en u.a., de S.
8 1
Ainsi, ! = ∫2 (4 𝑥 + ln(2) − 𝑓(𝑥)) 𝑑𝑥 u.a.
8 1
Or, ∫2 (4 𝑥 + ln(2) − 𝑓(𝑥)) 𝑑𝑥 = 13,5 – 18 ln(2).
Donc ! = 13,5 – 18 ln (2) u.a. soit environ 1,02 u.a.
Sujet E
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire en question 2. a.
𝑘+1
1 𝑘 1 𝑘+1
« Justifier que, pour tout entier k compris entre 0 et 4, 5 𝑓 (5) ≤ ∫𝑘 5 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 5 𝑓 ( ) » et
5
5
1 0 1 4 1 1 1 2 5
(𝑓 (5) + 𝑓 (5) + ⋯ + 𝑓 (5)) ≤ ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 5 (𝑓 (5) + 𝑓 (5) + ⋯ + 𝑓 (5)).
5
1 1 1
Donc 5 𝑆4 ≤ ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 5 (𝑆5 − 1).
1 1
3. a. La variable U représente le nombre 𝑆4 et la variable V le nombre (𝑆5 − 1).
5 5
b. Cette fonction donne un encadrement (par la méthode des rectangles) de l’aire, en u.a., du
domaine situé sous la courbe de la fonction f sur l’intervalle [0 ; 1].
𝑥2 (1 − 𝑥)(1 + 𝑥) + 𝑥 2 1
4. a. Pour x de [0 ; 1], 1 − 𝑥 + = = 1 + 𝑥.
1+𝑥 1+𝑥
1 1 𝑥²e𝑥 1
b. ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫0 (e𝑥 (1 − 𝑥) + ) 𝑑𝑥 = ∫0 (1 − 𝑥)e𝑥 𝑑𝑥 + 𝐼 d’après la propriété de
1+𝑥
linéarité.
1
c. À l’aide d’une intégration par parties, ∫0 (1 − 𝑥)e𝑥 𝑑𝑥 = e − 2.
d. L’utilisation de la fonction Python de la question 3 permet d’obtenir l’encadrement
1
suivant : 1,091 ≤ ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 1,164.
Ainsi, 1,091 − (e − 2) ≤ 𝐼 ≤ 1,164 − (e − 2) soit 0,37 ≤ 𝐼 ≤ 0,45.
3 Exercices, TP et algorithmes
Le chapitre contient de nombreux exercices d’applications directes de difficulté progressive.
Une page est consacrée aux automatismes, sur les thèmes du calcul mental, des évolutions et
pourcentages, du calcul numérique et algébrique ainsi que des lectures graphiques.
Dans les exercices, la calculatrice (voir pages 372 et 373) s’avèrera être un outil précieux,
notamment pour déterminer des valeurs particulières prises par la variable aléatoire (voir
Capacité 7 et les exercices 80 et 108 par exemple). Le tableur est également un outil privilégié
(exercices 48, 77 et 130), tout comme la programmation Python (exercice 83).
Des exercices spécifiques à la pratique de l’oral (exercices 27, 60) ou à la pratique du travail en
groupe (exercice 131) sont également présents. L’interdisciplinarité intervient aussi bien en
SVT (exercices 61, 67, 94, 97 et 129) qu’en Physique (exercice 88).
395
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Deux pages de travail en autonomie, comprenant une carte mentale et des exercices viennent
compléter les exercices. S’ensuivent alors les parcours différenciés : Revoir des points
essentiels traite tout particulièrement de la modélisation d’une situation par une loi binomiale
et du calcul de probabilités. La page Approfondissements du programme présente quant à elle
la loi géométrique et introduit la loi de Poisson comme limite de lois binomiales.
Après des exercices d’approfondissement comprenant des prises d’initiatives, trois TP arrivent
en prolongement de ce chapitre pour une étude plus approfondie des notions vues ici ainsi que
de leurs applications, et permettront de mettre en œuvre les compétences « Modéliser »,
« Chercher » et « Raisonner ». Le recours au tableur permet de rapidement mettre en œuvre
des simulations, tout comme l’utilisation du langage Python.
Les pages Cap vers le bac s’enchaînent de la façon suivante :
- une page Des pistes pour le Grand oral qui s’intéresse à la question suivante :
« Comment interpréter les résultats d’un test diagnostique en médecine ? » ;
- une page Zoom sur l’algorithmique qui traite de la simulation de tirages d’une boule dans
une urne à l’aide du langage Python ;
- une page Sujet commenté présente un exercice classique de Bac avec sa solution ;
- les deux dernières pages Pour se préparer à l’écrit comportent quatre sujets de Bac dont
deux sont corrigés en fin de manuel et qui permettent de travailler toutes les capacités du
chapitre.
2 1. Vrai.
3
2. Faux : cette probabilité vaut .
8
3. Vrai.
3 1. Réponse c.
2. Réponses c. et d.
4 1. Réponse c.
2. Réponses c. et d.
5 1. a = 0,1.
2. 𝑃(1 ≤ 𝑋 ≤ 3) = 0,8 et 𝑃(𝑋 > 2) = 0,35.
396
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
C Activités
Activité 1 Fort Louvois
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
̅ }.
1. Ω1 = {A , A
̅ } × {M , M
2. a. {A , A ̅ }.
̅ ; M) et (A
̅ ), (A
b. Les couples possibles sont (A ; M), (A ; M ̅; M
̅ ).
3 1 1
c. 𝑃(A ; M) = 𝑃(A) × 𝑃(M) = 4 × 3 = 4.
̅ } × {M , M
3. a. {A , A ̅ } × {C , C̅}.
̅ ; M ; C), (A
̅ ; C), (A
b. Les triplets sont (A ; M ; C), (A ; M ̅; M
̅ ; C), (A ; M ; C̅), (A ; M
̅ ; C̅),
̅ ; M ; ̅C) et (A
(A ̅; M̅ ; C̅).
3 1 1 1
c. 𝑃(A ; M ; C) = 𝑃(A) × 𝑃(M) × 𝑃(C) = 4 × 3 × 2 = 8
̅; M
et 𝑃(A ̅ ; C̅) = 𝑃(A ̅ ) × 𝑃(C̅) = 1 × 2 × 1 = 1 .
̅) × 𝑃(M
4 3 2 12
397
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
3. En replaçant la pierre dans l’urne après chaque tirage, on garantit que l’univers de l’épreuve
répétée n’est pas modifié entre deux répétitions. Il y a ainsi indépendance des tirages.
1 3 1 2 3 8
2. 𝑃(𝑌 = 3) = (3) = 27 et 𝑃(𝑌 = 0) = (3) = 27.
4. a. (42) = 6.
2 4 16
b. 𝑃(𝑌 = 0) = (3) = 81.
1 2 3 32
𝑃(𝑌 = 1) = 4 × × ( ) =
3 3 81
398
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1 2 2 2 8
𝑃(𝑌 = 2) = 6 × (3) × (3) = 27
Il n’y a qu’un unique chemin menant au casier M. Par symétrie de la figure, il n’y a qu’un
unique chemin menant au casier R, et quatre menant au casier Q.
399
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
On a matérialisé trois chemins commençant par un rebond à droite du premier clou menant au
casier P : Par symétrie de la figure, il a donc 6 chemins menant au casier Q.
c. Avec un total de 16 chemins possibles (soit 24 , le nombres de rebonds possibles au total),
on obtient la tableau suivant :
Arrivée au point M N P Q R
Probabilité que 1 1 3 1 1
cela arrive 16 4 8 4 16
Il y a bien cohérence avec les résultats de la question 1.
D Exercices
Automatismes et rituels
1 a. 1,609 km
b. 0,17 m
c. 0,33 L
d. 0,25 L
e. 10 000 cm2
f. 0,17 cm2
2 a. 1.
𝟐𝟓
b. .
𝟏𝟐
c. 48.
d. 6.
9
e. .
64
2
f. .
27
3 a. 5 %.
b. 60 %.
c. 12 %.
d. 2,5 %.
400
Chapitre 11 Loi binomiale
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4 a. R = 2.
b. R = 5.
5 1. −4𝑥 2 + 9.
2. −𝑥 3 + 8𝑥 2 − 15
6 Réponse b.
7 1. On peut modéliser cette évolution par une suite géométrique de raison 1,1.
1
2. On peut modéliser cette évolution par une suite géométrique de raison .
2
8 a. 2−15 .
b. 5−14 .
c. 1033 .
d. 2−18 × 5−57 .
1
9 a. {0, 2}.
b. {1}.
c. {1,4}.
d. Errata attention, dans certains manuels, il peut y avoir une inéquation, il s’agit bien d’une
équation.
{−6}.
10 Errata attention, dans certains manuels, il peut manquer une puissance 2 au second
terme : il s’agit de 2x² + 6x + 8.
On fait un tableau de signes avec une ligne pour chaque expression du second degré.
11 a. 𝑥 = 2 et 𝑦 = 1.
b. 𝑥 = 1 et 𝑦 = −1.
401
Chapitre 11 Loi binomiale
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3
13 L’équation réduite est 𝑦 = − 2 𝑥 + 2.
14
402
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
16 Les issues possibles sont : (Pile ; Cœur), (Pile ; Carreau), (Pile ; Trèfle), (Pile ; Pique),
(Face ; Cœur), (Face ; Carreau), (Face ; Trèfle) et (Face ; Pique).
403
Chapitre 11 Loi binomiale
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18 1. La première boule tirée étant remise dans l’urne, le premier tirage n’influe pas le
second : on peut modéliser cette expérience aléatoire par une succession d’épreuves
indépendantes.
2.
19 1. Faux : l’univers est modifié par chacune tirage, rendant les tirages successifs
dépendants les uns des autres.
2. Faux : il y a 6 issues à la première expérience et 4 à la seconde, ce qui fait au total 24
issues.
4
22 1. Cette probabilité vaut .
11
7 4
2. X ne prend bien que deux valeurs : 0 avec la probabilité , et 1 avec la probabilité .
11 11
4
X suit la loi de Bernoulli de paramètre .
11
404
Chapitre 11 Loi binomiale
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2
23 1. 𝑃(𝑋 = 0) = 3 .
24 1. X ne peut suivre une loi de Bernoulli : elle ne prend pas uniquement 0 ou 1 comme
valeurs.
2
2. X suit la loi de Bernoulli de paramètre .
3
25 1. Soit X la variable aléatoire qui prend 1 comme valeur si l’élève provient de la Terminale
2
1, et 0 s’il provient de la Terminale 2. X suit alors la loi de Bernoulli de paramètre .
5
3
2. Oui, on peut échanger les deux classes, X suit alors la loi de Bernoulli de paramètre .
5
27 1. « Obtenir Pile » lors du lancer d’une pièce équilibrée est une épreuve de Bernoulli de
paramètre 0,5. On répète trois fois de façon identique et indépendante cette épreuve de
Bernoulli. On peut donc modéliser cette expérience aléatoire par un schéma de Bernoulli de
paramètres n = 3 et p = 0,5.
2. Il y a trois chemins (PPF, PFP et FPP).
3
3. Ce coefficient binomial est (2).
28 Réponse c.
405
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
30
31 « Marquer un panier ou non » est une épreuve de Bernoulli de paramètre 0,85, répétée trois
fois de façon identique et indépendante. Nous sommes donc en présence d’un schéma de
Bernoulli de paramètre n = 3 et p = 0,85.
406
Chapitre 11 Loi binomiale
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2. On répète trois fois la même épreuve de Bernoulli de paramètre 0,32 : on est en présence
d’un schéma de Bernoulli de paramètres n = 3 et p= 0,32.
3
34 1. 𝑃(𝑆) = 5.
3
2. On répète trois fois la même épreuve de Bernoulli de paramètre : on est en présence d’un
5
3
schéma de Bernoulli de paramètres n = 3 et p = .
5
3.
35 Faux : il y en a 8.
407
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
38
1
39 1. On a une répétition d’une même épreuve de Bernoulli de paramètre .
2
1
Y suit la loi binomiale de paramètres n = 5 et p = .
2
1 2 1 5−2
2. 𝑃(𝑌 = 2) = (52) × (2) × (2) = 0,3125.
2. 𝑃(𝑋 = 1) = (31) × 0,3 × 0,72 = 0,441 et 𝑃(𝑋 = 3) = (33) × 0,30 × 0,73 = 0,343.
41 1.
408
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Le tirage d’une carte est une épreuve de Bernoulli dont le succès « obtenir un as » se réalise
4 1
avec une probabilité égale à 32 = 8. On répète deux fois cette épreuve de Bernoulli de façon
identique et indépendante. X est la variable aléatoire qui compte le nombre de succès. Donc X
1
suit la loi binomiale de paramètres n = 2 et p = 8.
3. L’événement {X = 1} correspond à deux issues : obtenir un as en premier et pas d’as en
1 7 7
deuxième, ou pas d’as en deuxième et un as ensuite : 𝑃(𝑋 = 1) = 2 × 8 × 8 = 32.
2 1
42 1. Il y a deux multiples de 3 : 3 et 6. Donc la probabilité est 6 = 3.
1
2. X suit la loi binomiale de paramètres n = 2 et p = 3.
43 La probabilité d’apparition du 3 n’étant pas la même sur les deux dés, il n’y a pas
répétition d’une même épreuve de Bernoulli : X ne suit pas une loi binomiale.
44 Z ne peut suivre une loi binomiale : en ne remettant pas le bonbon tiré, on modifie
l’univers de l’expérience, donc les tirages ne sont pas réalisés de façon identique et
indépendante.
2. Il y a (15
6
) = 5 005 chemins de ce type.
3. 𝑃(𝑋 = 6) = (15
6
) × 0,46 × 0,69 ≈ 0,207.
12 3
46 1. Cette probabilité vaut 32 = 8.
2. Le tirage d’une carte est une épreuve de Bernoulli dont le succès « obtenir une figure » se
3
réalise avec une probabilité égale à . On répète cinq fois cette épreuve de Bernoulli de façon
8
identique et indépendante. X est la variable aléatoire qui compte le nombre de succès. Donc X
3
suit la loi binomiale de paramètres n = 5 et p = .
8
47 1. a. 𝑃(𝑋 = 5) = (20
5
) × 0,25 × 0,815 et 𝑃(𝑋 = 10) = (20
10
) × 0,210 × 0,810 .
409
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Pour s’entraîner
50 1. Oui car choisir un disque n’influe pas sur le choix du livre.
2. {H, R, C} × {P, SF, B}.
3.
4. Les issues possibles sont (H ; P), (H ; SF), (H ; B), ( R ; P), (R ; SF), (R ; B), (C ; P),
(C ; SF) et (C ; B).
410
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
4. Les issues possibles sont (1 ; S), (2 ; S), (3 ; S), (4 ; S), (5 ; S), (1 ; S̅), ( 2 ; S̅), (3 ; S̅),
(4 ; S̅) et (5 ; S̅).
On a 𝑃(𝑘 ; S) = 0,08 et 𝑃(𝑘 ; S̅) = 0,12 pour k allant de 1 à 5.
̅ }.
52 1. {C, T, J} × {A, B} × {O, O
2.
1 1 2 1
3. 𝑃(E) = 3 × 2 × 3 = 9.
̅ )) = 1 × 1 × 2 = 1.
4. 𝑃((T ; B ; O 3 2 3 9
411
Chapitre 11 Loi binomiale
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53 1. Oui car le tirage dans une urne n’influe pas sur les tirages dans les autres urnes.
2. {B, N} × {B, N} × {B, N}.
3.
2 3 4 3 2 4 3 3 1 57
4. 𝑃((B; N; N)) + 𝑃((N; B; N)) + 𝑃((N; N; B)) = 5 × 5 × 5 + 5 × 5 × 5 + 5 × 5 × 5 = 125.
̅ )) + 𝑃((A ; B
3. 𝑃((A ; B ; A ̅)) + 𝑃((A
̅ ;A ̅ ; B ; A)) + 𝑃((A
̅ ;B
̅ ; A))
= 0,8 × 0,7 × 0,2 + 0,8 × 0,3 × 0,2 + 0,2 × 0,7 × 0,8 + 0,2 × 0,3 × 0,8 = 0,32.
1
55 1. Oui, de paramètre .
3
57 Vrai.
412
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
2
59 1. 𝑝 = 3 .
2. a. On répète trois fois de façon identique et indépendante une épreuve de Bernoulli dont la
2 2
probabilité de succès est . On identifie un schéma de Bernoulli de paramètres n = 3 et 𝑝 = 3 .
3
b.
2 2 1 4
c. 𝑃(𝑋 = 2) = 3 × (3) × 3 = 9.
4 8 20
𝑃(𝑋 ≥ 2) = 𝑃(𝑋 = 2) + 𝑃(𝑋 = 3) = 9 + 27 = 27.
413
Chapitre 11 Loi binomiale
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3
63 Oui, X suit la loi binomiale de paramètres n = 5 et p = .
10
64 1. X ne suit pas une loi binomiale, on ne répète pas une épreuve de Bernoulli un nombre de
fois donné.
2. X suit la loi binomiale de paramètres n = 100 et p = 0,05.
414
Chapitre 11 Loi binomiale
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66 X ne suit pas une loi binomiale, on ne répète pas une épreuve de Bernoulli de façon
identique puisque l’univers de l’expérience est modifié à chaque fois que l’on mange un fruit.
67 1. Y ne suit pas une loi binomiale, on ne répète pas une épreuve de Bernoulli un nombre de
fois donné.
2. Y suit la loi binomiale de paramètres n = 500 et p = 0,15.
1 1 2 4 80
69 1. 𝑃(𝑋 = 1) = (51) × (3) × (3) = 243.
2 5 80 1 2 2 3 64
𝑃(𝑋 ≤ 2) = 𝑃(𝑋 = 0) + 𝑃(𝑋 = 1) + 𝑃(𝑋 = 2) = (3) + 243 + (52) × (3) × (3) = 81.
2. Errata : dans certains manuels, il est écrit «𝑃(𝑋 = 17) » au lieu de « 𝑃(𝑌 = 17) ».
𝑃(𝑌 = 17) ≈ 0,2054.
415
Chapitre 11 Loi binomiale
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75 1. a. 0,34 = 0,0081.
b. Cette probabilité vaut 1 – 0,0081=0,9919.
2.a. 𝑃(𝑋 ≥ 1) = 1 − 0,3𝑛 .
b. On doit résoudre 1 − 0,3𝑛 ≥ 0,999, soit 0,3𝑛 ≤ 0,001, soit 𝑛 × ln(0,3) ≤ ln(0,001), soit
ln(0,001)
𝑛≥ . La plus petite valeur est n = 6.
ln(0,3)
76 1. Soit X la variable aléatoire qui, à une série de tirages au sort sur 4 semaines
consécutives, associe le nombre de membres pratiquant le tennis. X suit la loi binomiale de
paramètres n = 4 et p = 0,7. On cherche 𝑃(𝑋 = 2) = (42) × 0,72 × 0,32 = 0,2646.
2. a. 𝑝𝑛 = 1 − 0,3𝑛 .
b. On doit résoudre 1 − 0,3𝑛 ≥ 0,95, soit 0,3𝑛 ≤ 0,05, soit 𝑛 × ln(0,3) ≤ ln(0,05), soit 𝑛 ≥
ln(0,05)
. Le nombre minimal est n = 3 (semaines).
ln(0,3)
2. 𝑃(𝑋 = 0) = (𝑛0) × 0,50 × 0,5𝑛 = 0,5𝑛 . 𝑃(𝑋 = 1) = (𝑛1) × 0,51 × 0,5𝑛−1 = 𝑛 × 0,5𝑛 .
416
Chapitre 11 Loi binomiale
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79 Soit X la variable aléatoire qui, à chaque tirage de n boules, associe le nombre de boules
1
rouges tirées. X suit la loi binomiale de paramètres n et .
2
̅ ̅ est la réunion
A est l’événement : « on n’obtient des boules que d’une seule couleur », donc A
des événements {X = 0} et {X = n}.
𝑛 𝑛 𝑛−1
̅) = P(X = 0) + P(X = n) = (1) + (1) = (1)
Ainsi : P(A .
2 2 2
1 𝑛−1
D’où : P(A) = 1 – (2) .
1 𝑛 1 1 𝑛−1 𝑛+1
On a : P(B) = P(X = 0) + P(X = 1) = (2) + n 2 (2) = .
2𝑛
2n – n – 3 un
P(A) – P(B) = = n , en notant un = 2n – n – 3.
2n 2
La suite (un) est croissante, car un+1 – un = 2n+1 – n – 1 – 3 – 2n + n + 3 = 2n – 1, et 2n – 1 est
positif ou nul pour tout valeur de l’entier naturel n.
1
Pour n = 2, P(A) – P(B) = – , donc P(A) < P(B).
4
Pour n 3 : un u3, soit un 2, donc un > 0. Ainsi, P(A) – P(B) > 0 et P(A) > P(B).
En conclusion, A est l’événement le plus probable, sauf dans le cas de deux tirages.
417
Chapitre 11 Loi binomiale
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83 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. L’appel ber() retourne la valeur 2.
2. Voici la fonction modifiée :
85 1.
418
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2. 𝑃(C ∩ H) = 0,08.
̅ ) = 𝑃(A ∩ H
3. 𝑃(H ̅ ) + 𝑃(B ∩ H
̅ ) + 𝑃(C ∩ H
̅ ) = 0,25 + 0,21 + 0,12 = 0,58.
1 1 1 2
87 1. 𝑃(I ∩ T) = 𝑃(I) × 𝑃(T) = 3 × 5 = 15 = 30 donc deux élèves font partie des deux clubs
en même temps.
2 3
88 1. 𝑃(A) = 5, 𝑃(B) = 5, 𝑃A (D) = 0,014 et 𝑃B (D) = 0,024.
2.
1
3. 𝑃(D) = 𝑃A (D) × 𝑃(A) + 𝑃B (D) × 𝑃(B) = 50.
𝑃(A ∩ D)
4. 𝑃D (A) = = 0,28.
𝑃(D)
89 1. Le fait joueur réussisse ou non ses deux lancers francs successifs n’a pas d’influence sur
les autres : X suit la loi binomiale de paramètres n = 5 et p = 0,45.
419
Chapitre 11 Loi binomiale
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2. 𝑃(𝑋 = 3) = (53) × 0,713 × 0,292 ≈ 0,301, 𝑃(𝑋 = 4) = (54) × 0,714 × 0,291 ≈ 0,368.
2. 𝑃(𝑋 = 1) = (15
1
) × 0,2 × 0,814 ≈ 0,1319, cette probabilité est celle de l’événement
« exactement 1 chiot sur le lot de 15 présente une forte réaction au vaccin ».
3. 𝑃(𝑋 ≥ 299) = 𝑃(𝑋 = 299) + 𝑃(𝑋 = 300) = 300 × 0,03 × 0,97299 + 0,97300 ≈ 0,001.
96 1. Soit X la variable aléatoire qui, à une heure donnée, associe le nombre de personnes qui
souscrivent au nouveau forfait : X suit la loi binomiale de paramètres n = 60 et p = 0,12.
𝑃(𝑋 = 5) = (10 5
) × 0,125 × 0,8855 ≈ 0,12.
420
Chapitre 11 Loi binomiale
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97 𝑃(A) = (10
4
) × 0,414 × 0,596 ≈ 0,2503.
10 10 10
𝑃(B) = 0,5910 + ( ) × 0,411 × 0,599 + ( ) × 0,412 × 0,598 + ( ) × 0,413 × 0,597
1 2 3
≈ 0,3575.
99 1. Le fait qu’un fruit présente un défaut d’aspect n’a pas d’influence sur les autres : X suit
la loi binomiale de paramètres n = 12 et p = 0,05.
2. 𝑃(𝑋 = 3) = (10
3
) × 0,053 × 0,957 ≈ 0,017.
421
Chapitre 11 Loi binomiale
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1 3
4. 𝑃(SSS) = 𝑃(S̅S̅S̅) = 8, 𝑃(SSS̅) = 𝑃(SS̅S) = 𝑃(S̅SS) = 8
3
et 𝑃(SS̅S̅) = 𝑃(S̅S̅S) = 𝑃(S̅SS̅) = .
8
13 1
102 1. 52 = 4 = 0,25.
2. a. Soit S le succès : « obtenir un trèfle ».
L’univers de l’expérience aléatoire est {𝑆 ; 𝑆̅} × {𝑆 ; 𝑆̅} × {𝑆 ; 𝑆̅}.
b. On a :
103 a. Faux.
b. Vrai.
422
Chapitre 11 Loi binomiale
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105 Soit X la variable aléatoire qui, à l’examen de vingt enfants, associe le nombre d’enfants
présentant une forte réaction au vaccin. Alors : 𝑃(𝑋 = 4) ≈ 0,18 et 𝑃(3 ≤ 𝑋 ≤ 7) ≈ 0,59.
106 1. Réponse c.
2. Réponse d.
3. Réponse c.
108 1. Réponse c.
2. Réponse b.
b. 𝑃(T) = 0,0965.
c. Non car 𝑃M (T) ≠ 𝑃(T).
423
Chapitre 11 Loi binomiale
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113 On répète treize fois de façon identique et indépendante une épreuve de Bernoulli de
1 1
paramètre . X suit la loi binomiale de paramètres n = 13 et p = .
2 2
1 5 25 125
3. 𝑃(𝑋 = 1) = 6, 𝑃(𝑋 = 2) = 36, 𝑃(𝑋 = 3) = 216 et 𝑃(𝑋 = 4) = 1 296.
4. Errata : attention, dans certains manuels au lieu de « 𝑃(𝑋 = 𝑘) = 𝑝𝑘−1 𝑞 », il faut lire
« 𝑃(𝑋 = 𝑘) = 𝑞 𝑘−1 𝑝 ».
Dans l’arbre tronqué, si le succès est réalisé après k lancers, le chemin correspondant est
constitué de k – 1 échecs suivis d’un succès ; la probabilité correspondante est 𝑞 𝑘−1 𝑝.
424
Chapitre 11 Loi binomiale
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6 3
117 1. 20 = 10.
2.
3 21 147 1 029
3. 𝑃(𝑋 = 1) = 10, 𝑃(𝑋 = 2) = 100, 𝑃(𝑋 = 3) = 1 000, 𝑃(𝑋 = 4) = 10 000
7 203
et 𝑃(𝑋 = 5) = 10 0000.
425
Chapitre 11 Loi binomiale
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426
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
La probabilité que trois points exactement appartiennent au disque D est : P(Y = 3) 0,271.
b. La probabilité qu’au moins un de ces points appartienne au disque D est :
P(Y 1) = 1 – P (Y = 0) 0,947.
5. On note Z la variable aléatoire égale au nombre de points appartenant au disque D sur n
4
tirages de deux boules avec remise : Z suit la loi binomiale de paramètres n et p = .
9
La probabilité qu’au moins un de ces points appartienne au disque D est :
5 𝑛
P(Z 1) = 1 – P(Z = 0) = 1 – (9) .
5 𝑛
P(Z 1) 0,9999 équivaut à (9) 0,0001.
5 15 5 16
La calculatrice fournit : (9) 0,00015 et (9) 0,00008 ; donc le plus petit entier n tel que
P(Z 1) soit supérieure ou égale à 0,9999 est 16.
427
Chapitre 11 Loi binomiale
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428
Chapitre 11 Loi binomiale
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7
3. S suit la loi binomiale de paramètres n = 12 et p = . P(S = 11) 0,35.
8
7 13
4. a. P13 = (8) 0,18.
b. Errata : dans certains manuels il est écrit « Expliquer pourquoi la loi de la variable
aléatoire R est une loi de Bernoulli et calculer son espérance. » Il faut lire : « Donner la loi
de la variable aléatoire R et calculer son espérance ».
Loi de probabilité de R :
ri 0 2
P(R = ri) 0,82 0,18
L’espérance mathématique de R est : E(R) = 0,36.
7
5. a. Y suit la loi binomiale de paramètres n = 13 et p = .
8
b. Voir fichier logiciel.
c. Ce sont des nombres de Crédits entrant fois la probabilité que cette somme rentre dans les
caisses de l’association.
d. On saisit la formule =SOMME(C2:C15).
e. Le gain moyen de l’association pour une journée vaut le résultat en C16 moins l’espérance
de R, soit 11,015.
6. Si le dirigeant n’avait pas pris cette décision, le gain moyen aurait été l’espérance de S.
7
D’après le chapitre 12, cette espérance vaut 𝑛𝑝 = 12 × 8 =10,5.
Donc le dirigeant a pris une bonne décision pour l’association.
131 1. Soit M l’événement « la personne est malade » et T l’événement « le test est positif ».
𝑃(M ∩ T) 𝑃 (T) × 𝑃(M) 𝑃M (T) × P(M) 0,99 × 0,0001
𝑃T (M) = = M = (T)×𝑃(M)+𝑃 ̅
(T)×𝑃(M
= ≈ 0,09.
𝑃(T) 𝑃(T) 𝑃M ̅̅̅
M ) 0,99 × 0,0001 + 0,9999 × 0,001
𝑃 (B) × 𝑃(A)
2. Pour deux événements A et B de probabilités non nulles : 𝑃B (A) = A 𝑃(B)
L’inférence bayésienne est une méthode de raisonnement qui permet de calculer les
probabilités de diverses causes à partir de faits observés.
On peut également se référer à la page Des pistes pour le Grand oral (page 393 du livre) qui
traite de la question de l’efficacité d’un test diagnostique en médecine.
429
Chapitre 11 Loi binomiale
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1
En résolvant 𝑓(𝑥) = 𝑔(𝑥) on détermine que l’abscisse du point A est , et en résolvant
3
2
𝑔(𝑥) = ℎ(𝑥) on détermine que l’abscisse du point B est .
3
1
Ainsi lorsque 𝑝 ∈ ]0 ; 3 [, c’est 𝑃(𝑋 = 0) qui est maximale.
1 2 2
Lorsque 𝑝 ∈ ] 3 ; 3 [, c’est 𝑃(𝑋 = 1) qui est maximale et lorsque 𝑝 ∈ ] 3 ; 1[, c’est 𝑃(𝑋 = 2)
qui est maximale.
1
p 0 1
3
’(p) 0 + 0 - 0
80
(p) 243
0 0
430
Chapitre 11 Loi binomiale
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1 1
Ainsi, P(X = 2) est maximum pour p = : il est donc raisonnable d’estimer la valeur de p à .
3 3
Remarque : cette méthode est appelée « méthode du maximum de vraisemblance ».
135 Si une variable aléatoire Y suit la loi binomiale de paramètres n = 280 et p = 0,6, la
probabilité d’obtenir entre 0 et 154 succès vaut environ 0,05. L’affirmation de l’organisation
gouvernementale semble être erronée.
Travaux pratiques
TP1 Simuler une loi binomiale
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
1. a. La formule saisie en A1 peut être =SI(ALEA()<0,35;1;0) ou =ENT(ALEA()+0,35).
b. Voir fichier logiciel.
c. La formule saisie en A102 est =NB.SI(A1:A100;1)/100.
2. Voir fichier logiciel.
3. a. La formule saisie en B104 est =ECARTYPE.PEARSON(A102:SF102).
431
Chapitre 11 Loi binomiale
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c.
432
Chapitre 11 Loi binomiale
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433
Chapitre 11 Loi binomiale
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2. {L , L̅} × {M , M
̅ }.
̅ ), (L̅ ; M) et (L̅ ; M
3. Les issues possibles sont (L ; M), (L ; M ̅ ).
Sujet B
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Partie A
1. 𝑃(A) = 0,53, 𝑃(R) = 0,32 et 𝑃A (R) = 0,25.
2.
434
Chapitre 11 Loi binomiale
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Partie B
1. Soit X la variable aléatoire qui, parmi une série de 45 clients reçus par Camille en un mois,
associe le nombre de clients convaincus. X suit la loi binomiale de paramètres n = 45
et p = 0,23. 𝑃(𝑋 = 10) ≈ 0,141.
2. 𝑃(10 ≤ 𝑋 ≤ 14) ≈ 0,532.
3. 𝑃(𝑋 ≥ 15) ≈ 0,075.
Sujet C
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Partie A
1. 𝑃(V ∩ A) = 𝑃A (V) × 𝑃(A) = 0,588.
2. 𝑃(B ∩ V) = 𝑃(V) − 𝑃(A ∩ V) = 0,372.
0,372
𝑃B (V) = = 0,93.
0,4
3. Oui car 𝑃V̅ (B) = 0,7.
Partie B
1. a. Soit X la variable aléatoire qui, à un sachet de 40 billes, associe le nombre de billes de
1
couleur noire. X suit la loi binomiale de paramètres n = 40 et p = .
5
On a 𝑃(𝑋 = 10) ≈ 0,107.
b. 𝑃(𝑋 ≤ 12) ≈ 0,957 donc on ne peut pas remettre en cause le réglage de la machine.
2. Soit n le nombre de billes total d’un sachet. X suit alors la loi binomiale de paramètres n et
p = 0,2. On veut 𝑃(𝑋 ≥ 1) ≤ 0,01 ce qui est vrai à partir de n = 17.
Sujet D
Partie A
1.
̅) = 𝑃(E
2. 𝑃(E ̅ ∩ A) + 𝑃(E
̅ ∩ I) = 0,05 × 0,3 + 0,02 × 0,7 = 0,029 d’après la formule des
probabilités totales.
̅ ∩ A)
𝑃(E 0,05 × 0,3 15
3. 𝑃E̅ (A) = ̅)
= = 29 ≈ 0,517.
𝑃(E 0,029
435
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Partie B
1. 𝑃(𝑋 = 202) = 0,971202 ≈ 2,6 × 10−3 .
2. 𝑃(𝑋 = 201) ≈ 0,0158.
3. 𝑃(𝑋 ≥ 201) ≈ 0,0184.
Partie C
Si une variable aléatoire Y suit la loi binomiale de paramètres n = 400 et p = 0,98, la
probabilité d’obtenir entre 0 et 396 succès vaut environ 0,959.
Le résultat donné ne peut pas contredire l’affirmation de la compagnie.
436
Chapitre 11 Loi binomiale
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
Chapitre 12
Variables aléatoires et loi des grands
nombres
3. Exercices, TP et algorithmes
Le chapitre contient de nombreux exercices d’applications directes de difficulté
progressive. Une page est consacrée aux automatismes, sur les thèmes du calcul
numérique et algébrique, de la géométrie ainsi que des lectures graphiques.
La programmation Python intervient dans les exercices quand elle est pertinente
(exercices 28 et 106).
Des exercices spécifiques à la pratique de l’oral (exercices 49 et 107) ou à la
pratique du travail en groupe (exercice 107) sont également présents, ainsi que des
questions ouvertes (exercices 47, 57, 64 et 77).
L’interdisciplinarité intervient avec les SES (exercices 56) où l’exploitation de
l’étude d’échantillons est fréquente.
Deux pages de travail en autonomie, comprenant une carte mentale et des
exercices corrigés viennent compléter cet entraînement. S’ensuivent alors les parcours
différenciés : « Revoir des points essentiels » traite tout particulièrement des propriétés
de l’espérance et de la variance vis-à-vis des opérations sur les variables aléatoires, et de
l’utilisation de l’inégalité de Bienaymé-Tchebychev. La page « Approfondissements du
programme » présente la démonstration de la relation E(XY) = E(X) E(Y) pour deux
variables aléatoires indépendantes. On l’applique au calcul à la variance de la somme de
ces variables aléatoires, pour finir par travailler la notion d’intervalles de confiance.
Après une page d’exercices d’approfondissement, guidés ou s’appuyant de façon
essentielle sur la prise d’initiatives, trois TP arrivent en prolongement de ce chapitre pour
une étude plus approfondie des notions vues ici ainsi que de leurs applications, et
permettront de mettre en œuvre les compétences « Modéliser », « Chercher » et
« Raisonner ». Le recours au langage Python est ici systématique pour illustrer et
compléter les études théoriques par des simulations.
Les pages « Cap vers le bac » s’enchaînent de la façon suivante :
– une page « Grand Oral » qui s’intéresse à la question suivante : « Comment les
mathématiques permettent-elles de construire et d’interpréter des sondages ? » ;
– une page « Sujet commenté » qui présente un exercice classique de Bac avec sa
solution ;
– les deux dernières pages « Pour se préparer à l’écrit » qui comportent six sujets
de Bac dont deux sont corrigés et qui permettent de travailler toutes les capacités du
chapitre.
3 1.
1 24 8 2
2. 𝑃(𝑇 = 0) = 3 . 𝑃(𝑇 = 1) = 45
=
15
. 𝑃(𝑇 = 2) =
15
.
2
4 1. 𝑛 = 5. 𝑃 = 5.
2. 𝑃(𝑋 = 2) ≈ 0,346.
3. 𝑃(𝑋 ≥ 4) ≈ 0,087.
5 1. Réponse c.
2. Réponse d.
6
𝐸(𝐷) = 3; 𝑉(𝐷) = 1.
7 a. Faux.
b. Vrai.
C Activités
Activité 1 Jeux de cartes en double
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou
sur le site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à
votre guise.
Erratum : Dans certains manuels, la question 4. b. est incorrecte, il faut lire « En
déduire P(Z = 2), puis la loi de Z. »
1. Les valeurs prises par X sont 0, 1 et 2.
Les valeurs prises par Y sont 0 et 1.
Les valeurs prises par Z sont 0, 1, 2 et 3.
1 3 1
2. Loi de X : 𝑃(𝑋 = 0) = 2 , 𝑃(𝑋 = 1) = 8 , 𝑃(𝑋 = 2) = 8.
3 1
Loi de Y : 𝑃(𝑌 = 0) = 4 . 𝑃(𝑌 = 1) = 4.
3. a. L’événement {Z = 0} est égal à l’événement {X = 0 et Y = 0}.
b. Les deux tirages étant indépendants,
3
𝑃(𝑋 = 0 et 𝑌 = 0) = 𝑃(𝑋 = 0) × 𝑃(𝑌 = 0) = .
8
c. L’événement {Z = 3} est égal à l’événement {X = 2}et {Y = 1}.
Les deux tirages étant indépendants,
1
𝑃(𝑋 = 2 et 𝑌 = 1) = 𝑃(𝑋 = 2) × 𝑃(𝑌 = 1) = .
32
4. a. L’événement {Z = 1} est égal à l’union des événements incompatibles
{X = 1 et Y = 0} et {X = 0 et Y = 1}.
Donc 𝑃(𝑍 = 1) = 𝑃(𝑋 = 1 et 𝑌 = 0) + 𝑃(𝑋 = 0 et 𝑌 = 1).
3
×3 9
Comme les tirages sont indépendants, 𝑃(𝑋 = 1 et 𝑌 = 0) = 8
4
= 32
et
1 1 1 13
𝑃(𝑋 = 0 et 𝑌 = 1) = 2
× 4 = 8. Ainsi 𝑃(𝑍 = 1) = 32
.
3
4. b. 𝑃(𝑍 = 2) = 1– (𝑃(𝑍 = 0) + 𝑃(𝑍 = 1) + 𝑃(𝑍 = 3)) = 16
.
La loi de Z est donnée ci-dessous :
Zi 0 1 2 3
3 13 3 1
P(Z = zi)
8 32 16 32
5 31
5. 𝐸(𝑋) = 8. 𝑉(𝑋) = .
64
1 3
𝐸(𝑌) = 4. 𝑉(𝑌) = .
16
7 43
𝐸(𝑍) = 8. 𝑉(𝑍) = .
64
On constate que E(Z) = E(X) + E(Y) et que V(Z) = V(X) + V(Y).
1 1
donc 𝑃(|𝑆𝑛 − 𝐸(𝑆𝑛 )| > 𝛼𝜎(𝑆𝑛 )) ≤ 1– (1– 𝛼2), soit 𝑃(|𝑆𝑛 − 𝐸(𝑆𝑛 )| > 𝛼𝜎(𝑆𝑛 )) ≤ 𝛼2,
1
3. Le résultat devient 𝑃(|𝑆𝑛 | > 3) ≤ 9.La probabilité que 𝑆𝑛 prenne ses valeurs en dehors
1
de l’intervalle [– 3 ; 3] est inférieure ou égale à 9.
D Exercices
Automatismes et rituels
9 5 17 7
1 a. − . b. 2. c. 15. d. 6.
4
3 a. 7. b. 6. c. 12.
4 a. 𝐴 = 𝑥 2 + 3𝑥 − 4. b. 𝐵 = 4𝑥 3 − 𝑥.
40 16
5 a. 𝑥 = 0 b. 𝑥 = −4 c.𝑥 = d. 𝑥 =
3 3
3
6 a. 𝑥 < . b. 𝑥 ∈ [−√7; √7].
2
c. 𝑥 ∈ [−4 ; 0] ∪ [4; + ∞[ d. x < 9.
𝑥 = 2,1 𝑥= −2
7 1.{ 2. { 𝑦 = 1
𝑦 = − 3,2
1 1
8 1. 𝑐 = 𝑎+𝑏
– 1. 2. 𝑎 = 𝑐+1
− 𝑏.
1 1
10 a. Deux solutions, 3 et − 2.
b. Deux solutions :−3 − √3 et -3 + √3.
14 𝑑: 𝑦 = 2. 𝑓: 𝑦 = 3𝑥 – 3.
1 2 −1
𝑔: 𝑦 = 3
𝑥 + 3.
ℎ∶𝑦 = 2
𝑥 – 1.
15 a. L’ensemble des solutions est égal à l’union des intervalles [−4; 1]et [3; 5].
b. L’ensemble des solutions est l’union des intervalles [– 4 ; – 3[ et ]−1; 4[.
20 Erratum : dans certains manuels, l’énoncé est incomplet. Il faut supposer de plus les
lancers indépendants.
1. L’événement {Z = 0} est égal à {X = 0 et Y = 0}. Comme les lancers sont
indépendants, on a 𝑃(𝑍 = 0) = 𝑃(𝑋 = 0) × 𝑃(𝑌 = 0) = 0,25.
2. a. {𝑍 = 1} est égal à l’union de A et B.
b. Comme A et B sont incompatibles, P(Z = 1) = P(A) + P(B).
Comme X et Y sont indépendantes, 𝑃(𝐴) = 𝑃(𝑋 = 0) × 𝑃(𝑌 = 1) = 0,25 et
24 Réponse a.
28 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
33 1. La masse d’un lot est la somme des valeurs prises par Y sur 16 tirages
indépendants de la variable aléatoire Y, il s’agit donc de la variable aléatoire :
𝑆16 = 𝑌 + 𝑌 + … + 𝑌 (16 fois).
2. 𝐸(𝑆16 ) = 16𝐸(𝑌) = 16 × 125 = 2000.
3. 𝑉(𝑆16 ) = 16𝑉(𝑌) = 16𝜎(𝑌)2 = 16 × 1,22.
𝜎(𝑆16 ) = √𝑉(𝑆16 ) = √16 × 1,2² = 4 × 1,2 = 4,8.
1
40 1. L’inégalité de concentration appliquée à 𝑀𝑛 donne 𝑃(|𝑀𝑛 | ≥ 4) ≤ 42 𝑛.
Comme 412𝑛 ≤ 4𝑛
1 1
on a bien 𝑃(|𝑀𝑛 | ≥ 4) ≤ 4𝑛 .
2. Réponse b.
Pour s’entraîner
41
𝒛𝒊 0 1 2 3 4 5 6
1 5 2 1 1 1 1
𝑷(𝒁 = 𝒛𝒊 )
6 36 9 6 6 12 18
42 • Loi de X :
𝒙𝒊 0 1
4 3
𝑷(𝑿 = 𝒙𝒊 )
7 7
• Loi de Y :
𝑃(𝑌 = 1) = 𝑃(𝑋 = 1 et 𝑌 = 1) + 𝑃(𝑋 = 0 et 𝑌 = 1) car les événements sont
incompatibles.
3 1 11
𝑃(𝑋 = 1 𝑒𝑡 𝑌 = 1) = × 3 car X et Y sont indépendantes, d’où 𝑃(𝑌 = 1) = .
7 21
10
𝑃(𝑌 = 0) = 1– 𝑃(𝑌 = 1) = .
21
• Loi de Z :
𝒛𝒊 0 1 2
4 2 1
𝑷(𝒁 = 𝒁𝒊 )
21 3 7
44 1. • Loi de X :
𝒙𝒊 1 2
• Loi de Y :
𝒚𝒊 1 2 3
2. Loi de Z :
𝒛𝒊 2 3 4 5
On trouve donc :
𝑃(𝑋 + 𝑌 = 1)
= 𝑃(𝑋 = 0) × 𝑃𝑋 = 0 (𝑋 = 0 𝑒𝑡 𝑌 = 1) + 𝑃(𝑋 = 1) × 𝑃𝑋 = 1 (𝑋 = 1 et 𝑌 = 0)
= (1 − 𝑝)𝑛 × 𝑛𝑝(1 − 𝑝)𝑛−1 + 𝑛𝑝(1 − 𝑝)𝑛−1 × (1 − 𝑝)𝑛−1
= 𝑛𝑝(1 − 𝑝)2𝑛−2 (2 − 𝑝).
48 1.
𝐸(𝑋) = 0 × 0,02 + 1 × 0,06 + 2 × 0,08 + 3 × 0,25 + 4 × 0, + 5 × 0,13 + 6 ×
0,12 + 7 × 0,08 + 8 × 0,06
= 4,18.
𝜎(𝑋) ≈ √3,688 ≈ 1,92.
Le nombre annuel d’appartements vendus est donné par la variable aléatoire :
𝐴 = 𝑋 + 𝑋 + . . . + 𝑋 (12 fois) dont l’espérance est E(A) = 12E(X) = 50,16 et la
variance est 𝑉(𝐴) = 12𝑉(𝑋) ≈ 23,044. Ainsi 𝜎(𝐴) = √𝑉(𝐴) ≈ 4,8.
2. Le bénéfice annuel est donné par la variable aléatoire 𝐵 = 1 000𝐴 − 50 000.
𝐸(𝐵) = 1 000𝐸(𝐴𝑋) − 50 000 = 160 et la variance est :
𝑉(𝐵) = 1 0002 𝑉(𝐴) ≈ 23 043 740.
49 1.La durée de ses trajets pour une journée est donnée par la variable aléatoire :
J = D + D, la durée de ses trajets pour une semaine est donnée par la variable aléatoire :
S = J + J + J + J + J.
La variable aléatoire A donnant la durée annuelle de ses trajets est donnée par :
A = S + S + ... + S (46 fois) donc A est la somme de 46 × 5 × 2 = 460 tirages de la
variable aléatoire D, correspondant à 460 trajets.
2. Pour calculer l’espérance de A, on applique 459 fois la formule :
E(X + Y) = E(X) + E(Y) pour obtenir E(A) = E(D) + E(D) + ... + E(D) = 460 E(D).
On obtient l’écart-type comme la racine carrée de la variance V(D) elle-même calculée
en appliquant 459 fois la formule V(X + Y) = V(X) + V(Y), valable quand les variables
aléatoires X et Y sont indépendantes.
On obtient ici V(A) = 460V(D).
1
50 La loi de X est donnée par 𝑃(𝑋 = 𝑘) = pour tout k appartenant à l’ensemble
6
{1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6}.
1 1 1 1 1 1
𝐸(𝑋) = 1 × + 2 × + 3 × + 4 × + 5 × + 6 ×
6 6 6 6 6 6
1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6
=
6
21
= = 3,5.
6
Chapitre 12 Variables aléatoires et loi des grands nombres – 450
Indice Terminale Enseignement de spécialité – Livre du professeur
1 1 1 1 1
𝑉(𝑋) = (−2,5)2 × + (−1,5)2 × + (−0,5)2 × + (0,5)2 × + (1,5)2 ×
6 6 6 6 6
1 17,5
+ (2,5)2 ×
6 6
≈ 2,92.
1 1 1
51 1. 𝐸(𝑋) = 1 × 𝑛 + 2 × 𝑛 + … + 𝑛 × 𝑛
1 + 2 + …+ 𝑛
=
𝑛
𝑛(𝑛 + 1) 1
= ×
2 𝑛
𝑛 + 1
= .
2
2. a. Pour n = 1 : 1² + 2² + ... + n² = 1² = 1, et d’autre part
1×2×3
𝑛(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1)6 = = 1.
6
La formule est vraie pour n = 1.
𝑛(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1)
En supposant 𝑛 ≥ 1 et 1² + 2² + . . . + 𝑛² = , alors
6
12 + 22 + … + 𝑛2 + (𝑛 + 1)2
𝑛(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1)
= + (𝑛 + 1)2
6
𝑛(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1) + 6(𝑛 + 1)2
=
6
(𝑛 + 1)(𝑛(2𝑛 + 1) + 6(𝑛 + 1))
=
6
(𝑛 + 1)(2𝑛2 + 7𝑛 + 6)
=
6
(𝑛 + 1)(𝑛 + 2)(2(𝑛 + 1) + 1)
= .
6
L’égalité est héréditaire, donc vraie pour tout n d’après le principe de récurrence.
b. Soit e = E(X).
𝑛+1
On a alors 𝑒 = .
2
1 1 1
Ainsi, 𝑉(𝑋) = (1 − 𝑒)2 × 𝑛 + (2 − 𝑒)2 × 𝑛 + … + (𝑛 − 𝑒)2 × 𝑛.
Pour tout entier k, (𝑘 − 𝑒)2 = 𝑘 2 − 2𝑘𝑒 + 𝑒 2 ,
12 + 22 + … + 𝑛2 1+2+…+𝑛 𝑛e2
ce qui donne 𝑉(𝑋) = 𝑛
-2e 𝑛
+ 𝑛
en regroupant les termes.
(𝑛 + 1)(2𝑛 + 1) (𝑛 + 1)(𝑛−1)
On trouve 𝑉(𝑋) = – (𝑛 + 1)𝑒 + 𝑒 2 = .
6 12
3. E(X + Y) = E(X) + E(Y) = n + 1.
(𝑛 + 1)(𝑛−1)
Comme X et Y sont indépendantes, 𝑉(𝑋 + 𝑌) = 𝑉(𝑋) + 𝑉(𝑌) = .
6
𝑷(𝑿 = 𝒙𝒊 ) 0,01 0,07 0,172 5 0,205 0,197 5 0,18 0,097 5 0,045 0,022 5
3. E(X) = E(D + D) = E(D) + E(D) = 3,8.
Comme les deux périodes sont indépendantes,
𝑉(𝑋) = 𝑉(𝐷 + 𝐷) = 𝑉(𝐷) + 𝑉(𝐷) = 2,98.
Donc𝜎(𝑋) = √𝑉(𝐷) = √2,98 ≈ 1,73.
2
54 1. X suit la loi binomiale de paramètres n = 6 et 𝑝 = 3.
2. a. Son temps de parcours est constitué du temps mis pour parcourir 3 km à 15 km/h,
3
soit 15 × 60 = 12 minutes, auquel on ajoute 5 × 1,5 minutes d’attente aux 5 feux qui
ne sont pas verts, soit 7,5 minutes.
Le temps total mis est ainsi 12 + 7,5 = 19,5 minutes soit 19 minutes 30 secondes.
b. 𝑇 = 12 + 1,5 × (6 − 𝑋) = −1,5𝑋 + 21.
2
c. Par linéarité de l’espérance, 𝐸(𝑇) = −1,5𝐸(𝑋) + 21𝐸(𝑋) = 𝑛𝑝 = 6 × 3 = 4.
On a donc 𝐸(𝑇) = −1,5 × 4 + 21 = 15.
𝑉(𝑇) = (−1,5)2 × 𝑉(𝑋).
2 1 4
Comme 𝑉(𝑋) = 𝑛𝑝(1 − 𝑝) = 6 × 3 × 3 = 3,
4
on obtient 𝑉(𝑇) = (−1,5)2 × 3 = 3.
6
3. 𝑇 ≤ 15 s’écrit aussi −1,5𝑋 + 21 ≤ 15, qui équivaut à 𝑋 ≥ 1,5 soit 𝑋 ≥ 4.
𝑃(𝑇 ≤ 15) = 𝑃(𝑋 ≥ 4) ≈ 0,68.
Le nombre de pièces défectueuses que compte le prélèvement journalier est donné par la
variable aléatoire X = X₁ + X₂.
On a E(X) = E(X₁) + E(X₂) et, comme X₁ et X₂ sont indépendantes, on a :
V(X) = V(X₁) + V(X₂).
Par ailleurs 𝐸(𝑋1 ) = 10 × 0,05 = 0,5 et 𝑉(𝑋1 ) = 10 × 0,05 × 0,95 = 0,475.
Pour X₂ : 𝐸(𝑋2 ) = 20 × 0,02 = 0,4 et 𝑉(𝑋2 ) = 20 × 0,02 × 0,98 = 0,392.
On en retire E(X) = 0,5 + 0,4 = 0,9 et V(X) = 0,475 + 0,392 = 0,867.
Donc 𝜎(𝑋) = √𝑉(𝑋) ≈ 0,931.
59 1. 𝑋 = 𝑇1 + 𝑇2 + . . . + 𝑇𝑛 .
2. Pour chaque variable aléatoire Ti,
𝑎 𝑏 𝑎 𝑏 𝑎−𝑏
𝑃(𝑇𝑖 = 1) = et 𝑃(𝑇𝑖 = −1) = , d’où 𝐸(𝑇𝑖 ) = – = .
𝑎+𝑏 𝑎+𝑏 𝑎+𝑏 𝑎+𝑏 𝑎+𝑏
𝑎−𝑏
Donc 𝐸(𝑋) = 𝐸(𝑇1 + 𝑇2 + . . . + 𝑇𝑛 ) = 𝐸(𝑇1 ) + 𝐸(𝑇2 ) + . . . + 𝐸(𝑇𝑛 ) = 𝑛 𝑎 + 𝑏.
60 1.
1 1 1 1 1 1
𝐸(𝑋𝑘 ) = 1 × + 2× + 3× + 4× + 5× + 6×
6 6 6 6 6 6
1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6
= = 3,5.
6
1 1 1 1 1
𝑉(𝑋𝑘 ) = (−2,5)2 × + (−1,5)2 × + (−0,5)2 × + (0,5)2 × + (1,5)2 ×
6 6 6 6 6
1
+ (2,5)2 ×
6
35
= ≈ 2,92.
12
2. 𝐸(𝑌𝑖 ) = 0 × 0,5 + 1 × 0,5 = 0,5.
𝑉(𝑌𝑖 ) = (−0,5)2 × 0,5 + 0,52 × 0,5 = 0,25.
3. a. 𝑍 = 𝑋1 + 𝑋2 + 𝑋3 + 𝑌1 + 𝑌2 + 𝑌3 + 𝑌4 + 𝑌5.
b. 𝐸(𝑍) = 𝐸(𝑋1 ) + 𝐸(𝑋2 ) + 𝐸(𝑋3 ) + 𝐸(𝑌1 ) + 𝐸(𝑌2 ) + 𝐸(𝑌3 ) + 𝐸(𝑌4 ) +
𝐸 (𝑌5 )
= 3 × 3,5 + 5 × 0,5 = 13.
Comme toutes les variables aléatoires Xk et Yi sont indépendantes, on a de même
35
𝑉(𝑋) = 3 × 12 + 5 × 0,25 = 10.
63 1. a. La première boule est placée dans chacune des n urnes de façon équiprobable,
1
donc elle tombe dans l’urne i avec une probabilité 𝑛.
1
Elle n’y tombe pas avec la probabilité de l’événement contraire 1– 𝑛.
b. Chaque boule a la même probabilité que la première de ne pas se trouver dans l’urne
numéro i. L’urne numéro i est vide si aucune boule ne s’y trouve.
Ces n événements sont indépendants, donc P(Xi = 1) est égale au produit de leur
probabilité, calculée ci-dessus.
1 𝑛
Ainsi 𝑃(𝑋𝑖 = 1) = (1 − 𝑛) .
64 Le nombre de boules rouges tirées de la première urne est donné par une variable
5
aléatoire X₁ qui suit la loi binomiale de paramètres n et 8.
Le nombre de boules rouges tirées de la seconde est donné par une variable aléatoire X₂
3
qui suit la loi binomiale de paramètres n et 10.
5 3
On a 𝐸(𝑋1 ) = 𝑛 × 8 et 𝐸(𝑋2 ) = 𝑛 × 10.
La variable aléatoire X est égale à la somme X₁ + X₂ donc :
5 3
𝐸(𝑋) = 𝐸(𝑋₁ + 𝑋₂) = 𝐸(𝑋₁) + 𝐸(𝑋₂) = 𝑛 × + 𝑛 × = 0,925𝑛.
8 10
66 Erratum : Dans certains manuels, la question 2 est incorrecte. Il faut monter que
E(Z) = 11/2 et V(Z) = 43/12.
1
1. Loi de X : 𝑃(𝑋 = 𝑘) = pour tout entier k compris entre 1 et 6.
6
1
Loi de Y : 𝑃(𝑌 = 1) = 𝑃(𝑌 = 2) = 𝑃(𝑌 = 3) = 3.
1 1 1 1 1 1 7
𝐸(𝑋) = 1 × + 2× + 3× + 4× + 5× + 6× = .
6 6 6 6 6 6 2
1 1 1
𝐸(𝑌) = 1 × + 2 × + 3 × = 2.
3 3 3
1 1 1 1 1
𝑉(𝑋) = (−2,5)2 × + (−1,5)2 × + (−0,5)2 × + (0,5)2 × + (1,5)2 ×
6 6 6 6 6
1 35
+ (2,5)2 × =
6 12
≈ 2,92.
1 1 1 2
𝑉(𝑌) = (1 − 2)2 × 3 + (2 − 2)2 × 3 + (3 – 2)2 × 3 = 3.
7 11
2. On a Z = X + Y donc 𝐸(𝑍) = 𝐸(𝑋 + 𝑌) = 𝐸(𝑋) + 𝐸(𝑌) = + 2 = .
2 2
Comme X et Y sont indépendantes,
35 2 43
𝑉(𝑍) = 𝑉(𝑋 + 𝑌) = 𝑉(𝑋) + 𝑉(𝑌) = + = .
12 3 12
3. S étant la variable aléatoire somme d’un échantillon de taille 10 de Z,
100
𝐸(𝑆) = 10 × 𝐸(𝑍) = 55 et 𝑉(𝑆) = 10 × 𝑉(𝑍) = .
3
67 Les variables aléatoires Xi suivant toutes la même loi, elles ont même espérance E et
même variance V.
1 1 1 1 + 2 + …+ 𝑛 𝑛 + 1
𝐸 = 1× + 2× + … + 𝑛× = = .
𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 2
(𝑛 + 1)(𝑛−1)
𝑉 = 12
(voir exercice 51).
𝑛(𝑛 + 1) (𝑛−1)𝑛(𝑛 + 1)
On a 𝐸(𝑀𝑛 ) = 𝑛𝐸 = et 𝑉(𝑀𝑛 ) = 𝑛𝑉 = .
2 12
70 Erratum : Dans certains manuels, la valeur de V(X) est incorrecte : il faut lire
«V(X) = 4».
4
1. 𝑃(|𝑋– 16| ≥ 𝛿) ≤ 𝛿2 .
2. Les inégalités 12 ≤ 𝑋 ≤ 20 sont équivalentes à −4 ≤ 𝑋 – 16 ≤ 4 soit |𝑋 − 16| ≤ 4.
Avec 𝛿 = 4,l’inégalité de Bienaymé-Tchebychev devient 𝑃(|𝑋– 16| ≥ 4) ≤ 0,25.
La probabilité de l’événement contraire |𝑋 − 16| < 4 est donc minorée par :
1 − 0,25 = 0,75 et donc 𝑃(12 ≤ 𝑋 ≤ 20) > 0,75.
𝜎2
71 1.𝑃(|𝑋 − 𝜇| ≥ 𝛿) ≤ .
𝛿2
𝜎2 𝜎2
2. Avec 𝛿 = 15, il suffit que 1 − 𝛿2 ≥ 0,96 soit 0,04 ≥ 𝛿2 , soit 𝜎 ≤ 0,2 × 15.
Les 𝜎 qui conviennent sont tous les nombres réels de l’intervalle ]0 ; 3].
72 Réponse b.
1 − 𝑝𝑚 1
78 1. D’après l’énoncé, = 1,05, ce qui équivaut à 𝑝𝑚 = soit environ
𝑝𝑝 2,05
1–𝑝𝑐 1
0,488. De même, = 1,13 équivaut à 𝑝𝑐 = donc 𝑝𝑐 ≈ 0,469.
𝑝𝑐 2,13
2. a. X donne le nombre de succès (la personne est une femme) dans la répétition de
1,3 milliards de tirages indépendants de probabilité de succès pm.
X suit donc la loi binomiale de paramètres 1,3 × 10⁹ et pm.
b. F représente la proportion de femmes dans une population de 1,3 × 109 habitants
(telle que celle de la Chine).
1 1,3×109 ×𝑝𝑐
c. 𝐸(𝐹) = 𝐸(𝑋) = = 𝑝𝑐
1,3×109 1,3×109
2
1 𝑝𝑐 × (1 − 𝑝𝑐 )
𝑉(𝐹) = ( 9
) × 1,3 × 109 × 𝑝𝑐 × (1 − 𝑝𝑐 ) = .
1,3 × 10 1,3 × 109
𝑉(𝐹)
3. a. L’inégalité de Bienaymé-Tchebychev donne 𝑃(|𝐹 − 𝑝𝑚 | ≥ 0,01) ≤ 0,012 .
𝑉(𝐹)
La probabilité est donc majorée par 0,01² ≈ 0,000 002.
b. L’écart entre pc et pm est supérieur à 10–2 donc la probabilité que pc soit une
réalisation de F est majorée par 𝑃(|𝐹 − 𝑝𝑚 | ≥ 0,01), et donc par 0,000 002 d’après la
question précédente.
c. Il est donc très peu probable que la seule fluctuation d’échantillonnage explique le
sex-ratio de la Chine : certains phénomènes doivent probablement rendre la probabilité
de naître fille significativement différente de pm.
1 5
80 1. 𝑃(𝑋 = 1) = et 𝑃(𝑋 = 0) =
6 6.
1 1 1 1 2 5 5
𝐸(𝑋) = et 𝑉(𝑋) = (1 − 6) ² × 6 + (6) × 6 = .
6 36
L’inégalité de concentration s’écrit alors, pour tout nombre réel 𝛿 strictement positif,
1 5
𝑃 (|𝑀𝑛 – 6| ≥ 𝛿) ≤ 36𝑛𝛿2 .
1
2. Avec 𝛿 = l’inégalité de concentration devient :
100,
1 1 50 000 50 000 50 000
𝑃 (|𝑀𝑛 – | ≥ )≤ . 𝑛 ≤ 0,95 ce qui équivaut à 𝑛 ≥ .
6 100 36𝑛 36 36×0,95
Il suffit de 1 462 lancers.
82 Errata : Dans certains manuel, l’énoncé est incorrect. Dans la seconde phrase, il
1
faut lire « déterminer la taille d’un échantillon telle que 𝑃(|𝑀𝑛 – 40| < 2) ≥ 2 ».
10
L’inégalité de concentration s’écrit 𝑃(|𝑀𝑛 – 40| ≥ 2) ≤ 𝑛×22 soit
2,5
𝑃(|𝑀𝑛 – 40| ≥ 2) ≤ .
𝑛
En considérant l’événement contraire,
𝑃(|𝑀𝑛 − 40| < 2) = 1 − 𝑃(|𝑀𝑛 − 40| ≥ 2)
2,5
donc 𝑃(|𝑀𝑛 − 40| < 2) ≥ 1– .
𝑛
2,5 1
L’inégalité 1 − ≥ 2 équivaut à 𝑛 ≥ 5.
𝑛
Un échantillon de taille 5 convient.
83 Le nombre de fois que la face 6 est obtenue est donné par la variable aléatoire X qui
1 𝑛 5𝑛
suit la loi binomiale de paramètres n et 6, dont l’espérance est 6 et la variance 36.
𝑛
Il s’agit de déterminer une valeur de n telle que 𝑃 (𝑋 ≤ 3 ) ≥ 0,5.
5𝑛
𝑛 𝑛
L’inégalité de Bienaymé-Tchebychev relative à X donne 𝑃 (|𝑋 − 6 | ≥ 6) ≤ 36
𝑛 2
soit
( )
6
𝑛 𝑛 5
𝑃 (|𝑋 − | ≥ ) ≤ .
6 6 𝑛
Avec l’événement contraire,
𝑛 𝑛
𝑃(|𝑋 − 6| < 6 ) = 1 − 𝑃( |𝑋 − 𝑛6| ≥ 𝑛6 )
𝑛 𝑛 𝑛 5
donc 𝑃 (𝑋 ≤ 3) ≥ 𝑃 (|𝑋 − 6| < 6) ≥ 1– 𝑛.
5
Comme l’inégalité 1 − 𝑛 ≥ 0,5 équivaut à 𝑛 ≥ 10, il suffit de choisir n = 10.
86 Erratum : dans certains manuels, la question 3 .b. est erronée : il faut lire « le
temps d’étude de cet échantillon de dossiers soit strictement compris ».
1. On note F et A les variables aléatoires donnant le temps en heures consacré
respectivement à l’étude financière et administrative.
On a X = F + A donc E(X) = E(F + A) = E(F) + E(A) = 5 + 3 = 8.
Comme F et A sont indépendantes :
𝑉(𝑋) = 𝑉(𝐹) + 𝑉(𝐴) = 22 + 12 = 4 + 1 = 5, donc 𝜎(𝑋) = √5.
2. T est la variable aléatoire somme d’un échantillon de X de taille 100.
On a E(T) = 100E(X) = 800 et V(T) = 100V(X) = 500.
500
3. a. Pour tout nombre réel 𝛿 strictement positif, 𝑃(|𝑇 − 800| ≥ 𝛿) ≤ .
𝛿2
b. Avec 𝛿 = 100, la question précédente donne 𝑃(|𝑇 − 800| ≥ 100) ≤ 0,05.
L’événement {700 < 𝑇 < 900} est l’événement contraire de {|𝑇 − 800| ≥ 100} donc
𝑃(700 < 𝑇 < 900) est minorée par 1 – 0,05, soit 0,95.
2. X et Y étant indépendantes,
1
P(Z = 1) = P(X = 1 et Y = 0) = 𝑃(𝑋 = 1) × 𝑃(𝑌 = 0) = .
12
90 D = H – F.
Par linéarité de l’espérance : E(D) = E(H) – E(F) = 178 – 164 = 14.
En supposant H et F indépendantes, V(D) = V(H) + V(F) = 7² + 6² = 85.
91 E(X) = 10 × 0,4 = 4.
V(X) = 10 × 0,4×0,6 = 2,4.
E(Y) = 0,6.
V(Y) = 0,6 × 0,4 = 0,24.
Par linéarité de l’espérance : E(2X – Y) = 2E(X) – E(Y) = 7,4.
X sont Y indépendantes, donc :
V(2X – Y) = V(2X) + V(– Y) = 4V(X) + V(Y) = 9,84.
𝜎(𝑍) = √𝑉(𝑍) = √9,84.
1 1
95 On prend δ = 1 dans 𝑃(|𝑋 − 𝐸(𝑋)| ≥ 𝛿) ≤ 𝑉(𝑋)
𝛿2
: 𝑃 (|𝑋 − 2| ≥ 1) ≤ 8.
b. | Mn – E(B) | < 0,3 implique Mn > E(B) – 0,3 soit Mn > 1. On a donc :
𝑉(𝐵)
P(Mn > 1) ≥ P(|Mn – E(B)| ≤ 0,3) soit P(Mn > 1) ≥ 1 – P(| Mn – E(B) | ≥ 0,3) ≥ 1– 𝑛×0,3 2
soit 1– 𝑛9 .
c. 1 − 𝑛9 ≥ 0,9 entraîne 𝑛 ≥ 90. Il faut au moins 90 matches.
100 {30 < X < 50} est l’événement contraire de {| X – 40| ≥ 10}.
D’après l’inégalité de Bienaymé-Tchebychev, on a 𝑃(|𝑋 − 𝐸(𝑋)| ≥ 𝛿) ≤ 𝑉(𝑋)
𝛿2
.
𝜎(𝑋)2 49
Avec δ = 10, 𝑃(|𝑋 − 40| ≥ 10) ≤ = .
102 100
On en déduit que P(30 < X < 50) = 1 – P(| X – 40 | ≥ 10) est minoré par 1 – 0,49, d’où
𝑃(30 < 𝑋 < 50) ≥ 0,51.
𝐸(𝑋)𝐸(𝑌) = (𝑥1 𝑝1 + 𝑥2 𝑝2 + … + 𝑥𝑛 𝑝𝑛 ) × ∑ 𝑦𝑘 𝑞𝑘 .
𝑘=1
3. On développe par rapport au premier facteur :
𝑚 𝑚 𝑚
𝐸(𝑋)𝐸(𝑌) = 𝑥1 𝑝1 ∑ 𝑦𝑘 𝑞𝑘 + 𝑥2 𝑝2 ∑ 𝑦𝑘 𝑞𝑘 + … + 𝑥𝑛 𝑝𝑛 ∑ 𝑦𝑘 𝑞𝑘
𝑘=1 𝑘=1 𝑘=1
soit
𝑚 𝑚 𝑚
𝐸(𝑋)𝐸(𝑌) = ∑ 𝑥1 𝑝1 𝑦𝑘 𝑞𝑘 + ∑ 𝑥2 𝑝2 𝑦𝑘 𝑞𝑘 + … + ∑ 𝑥𝑛 𝑝𝑛 𝑦𝑘 𝑞𝑘 .
𝑘=1 𝑘=1 𝑘=1
4. L’énoncé suppose les variables X et Y indépendantes, ce qui entraîne :
𝑃(𝑋 = 𝑥𝑖 et 𝑌 = 𝑦𝑗 ) = 𝑃(𝑋 = 𝑥𝑖 ) × 𝑃(𝑌 = 𝑦𝑗 ) = 𝑝𝑖 𝑞𝑗 .
5. E(XY) est une somme dont chaque terme est le produit d’une valeur tk par la somme
des produits pi qj tels que tk = xi yj.
Ainsi, l’expression de E(XY) est la somme de tous les produits 𝑝𝑖 𝑦𝑗 𝑝𝑖 𝑞𝑗 qui y
apparaissent une et une seule fois.
Il en va de même dans l’expression E(X)E(Y) établie à la question précédente, donc on a
bien E(XY) = E(X)E(Y).
6. On note X et Y les variables aléatoires donnant le nombre situé respectivement sur la
face supérieure du premier et du second dé.
1 1 1 1 1 1
On a : 𝐸(𝑋) = 𝐸(𝑌) = 1 × 6 + 2 × 6 + 3 × 6 + 4 × 6 + 5 × 6 + 6 × 6 = 3,5.
Comme les deux lancers sont indépendants, E(XY) = E(X)E(Y) donc
𝐸(𝑇) = 3,52 = 12,15.
103 Erratum : dans certains manuels, la question 2 est erronée : il faut lire « vérifiant
l’inégalité 𝑃(|𝑀 − 0,13| < 𝛿) ≥ 0,95 ».
1. X suit une loi de Bernoulli de paramètre p = 0,13.
Son espérance est E(X) = 0,13 et sa variance V(X) = p(1 – p) = 0,113 1.
L’inégalité de concentration relative à M s’écrit pour tout nombre réel 𝛿 strictement
𝑉(𝑋) 0,1131×10−4
positif 𝑃(|𝑀 − 𝐸(𝑋)| ≥ 𝛿) ≤ 10000𝛿 2, soit 𝑃(|𝑀 − 0,13| ≥ 𝛿) ≤ 𝛿2
.
2. L’événement {|𝑀– 0,13| < 𝛿} est l’événement contraire de {|𝑀 – 0,13| ≥ 𝛿}.
0,113 1 × 10−4
Si 𝛿2
≤ 0,05 alors 𝑃(|𝑀 − 0,13| < 𝛿) ≥ 1– 0,05 = 0,95.
0,113 1 × 10−4 0,113 1 × 10−4
Comme 𝛿 > 0, 𝛿2
≤ 0,05 est équivalent à 𝛿 ≥ √ 0,05
.
27
104 1. Pour tout nombre réel 𝛿 strictement positif, 𝑃(|𝑀 – 55| ≥ 𝛿) ≤ 100𝛿2.
0,27
2. Il suffit de prendre I = [55 − 𝛿 ; 55 + 𝛿] avec 𝛿 2 ≤ 0,01 car alors {𝑀 ∈ I} est
l’événement contraire de {|𝑀 − 55| ≥ 𝛿} et sa probabilité est donc minorée par
1 − 0,01 = 0,99.
0,27 0,27
Comme 𝛿 est positif, l’inégalité 𝛿2
≤ 0,01 équivaut à 𝛿 ≥ √0,01.
106 Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
1. La variable aléatoire Xk prend les valeurs 0 et 1.
𝑃(𝑋𝑘 = 1) = 𝑃(𝐸) et 𝑃(𝑋𝑘 = 0) = 1 − 𝑃(𝐸).
2. La variable aléatoire Xk est une variable de Bernoulli de paramètre P(E).
Sa variance est P(E)(1 – P(E)) = m(1 – m). Comme Fn est la variable aléatoire moyenne
𝑚(1−𝑚)
d’un échantillon de taille n suivant cette loi, 𝐸(𝐹𝑛 ) = 𝑚 et 𝑉(𝐹𝑛 ) = 𝑛
.
1 𝑚(1−𝑚)
3. a. L’inégalité de Bienaymé-Tchebychev s’écrit 𝑃(|𝐹𝑁 − 𝑚| ≥ 𝛿) ≤ 2×
𝛿 𝑁
.
b. La fonction 𝑚 ↦ 𝑚(1 − 𝑚) est croissante puis décroissante et atteint son maximum
en m = 0,5, ce maximum vaut 0,5 × (1 − 0,5) = 0,25.
𝑚(1−𝑚)
c. Tout entier N tel que 𝑁×0,12
≤ 0,1 convient d’après la questions 3.a.
1
D’après 3.b, il suffit de prendre le plus petit entier N tel que 0,04𝑁 ≤ 0,1.
1
Cette inégalité équivaut à 𝑁 ≥ 0,004,donc N = 250 convient.
4. a. randint(0,1) simule un tirage à pile ou face avec une pièce équilibrée, avec 0 pour
« pile » et 1 pour « face ».
La liste L ainsi définie est un échantillon de 10 de ces tirages indépendants.
b. La ligne 6 fait la somme de 3 valeurs consécutives, commençant à celle d’indice i, et
l’affecte à a.
c. Ce test est un succès si et seulement si a = 0 ou a = 3, c’est-à-dire si la somme a est la
somme 0 + 0 + 0 ou bien la somme 1 + 1 + 1.
Le test détermine donc si les 3 valeurs consécutives commençant à celle d’indice i sont
identiques.
d.
𝑛×1
𝐸(𝑋1 + 𝑋2 + . . . 𝑋𝑛 ) = 𝐸(𝑋1 ) + 𝐸(𝑋2 ) + . . . + 𝐸(𝑋𝑛 ) = = 1.
𝑛
Le nombre moyen de points fixes d’une permutation est 1.
𝑛 + 𝑚
108 1. ( )est égal au nombre de façons de tirer r éléments dans l’union des
𝑟
ensembles E et F, qui est un ensemble à n + m éléments.
𝑛 𝑚
Si on en tire k dans E puis r – k dans F, il y a (𝑘 ) (𝑟 − 𝑘 ) façons de procéder, et
𝑛 + 𝑚
( ) est égal à la somme de toutes ces nombres pour k allant de 0 à r.
𝑟
𝑛 𝑚
2. 𝑃(𝑋 = 𝑘) = (𝑘 ) 𝑝𝑘 (1 − 𝑝)𝑛−𝑘 et 𝑃(𝑌 = 𝑟 − 𝑘) = (𝑟 − 𝑘 ) 𝑝𝑟−𝑘 (1 − 𝑝)𝑚−𝑟 + 𝑘 .
Comme X et Y sont indépendantes,
𝑛 𝑚
𝑃(𝑋 = 𝑘 et 𝑌 = 𝑟 − 𝑘) = ( ) 𝑝𝑘 (1 − 𝑝)𝑛−𝑘 ( ) 𝑝𝑟−𝑘 (1 − 𝑝)𝑚−𝑟 + 𝑘
𝑘 𝑟−𝑘
𝑛 𝑚
= ( )( ) 𝑝𝑟 (1 − 𝑝)𝑛 + 𝑚−𝑟 .
𝑘 𝑟−𝑘
P(X + Y = r) est égale à la somme pour k allant de 0 à r de P(X = k et Y = r – k), soit
𝑛 𝑚 𝑛 + 𝑚 𝑟
𝑃(𝑋 + 𝑌 = 𝑟) = ∑𝑛𝑘 = 0 ( ) ( ) 𝑝𝑟 (1 − 𝑝)𝑛 + 𝑚−𝑟 = ( ) 𝑝 (1 − 𝑝)𝑛 + 𝑚−𝑟 .
𝑘 𝑟−𝑘 𝑟
X + Y suit bien la loi binomiale de paramètres n + m et p.
Travaux pratiques
TP1 Calcul de la probabilité de {|𝑺𝒏 − 𝒏𝒑| ≥ √𝒏}, où 𝑺𝒏 suit la loi B(n, p), et
comparaison avec l’inégalité de Bienaymé-Tchébychev
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans
le manuel numérique enseignant.
A. Avec l’inégalité de Bienaymé-Tchébychev
1. 𝐸(𝑆𝑛 ) = 𝑛𝑝 et 𝑉(𝑆𝑛 ) = 𝑛𝑝(1 − 𝑝).
𝑉(𝑆𝑛 )
2. 𝑃(|𝑆𝑛 − 𝐸(𝑆𝑛 )| ≥ 𝛿) ≤ 𝛿 2.
𝑛𝑝(1−𝑝)
3. 𝑃(𝑆𝑛 − 𝑛𝑝 ≥ √𝑛) ≤ 𝑃(|𝑆𝑛 − 𝑛𝑝| ≥ √𝑛) ≤ 2 soit 𝑃(𝑆𝑛 − 𝑛𝑝 ≥ √𝑛) ≤ 𝑝(1 − 𝑝).
√𝑛
B. Simulations
1. 𝑃(𝑋 = 1) = 𝑝 et 𝑃(𝑋 = 0) = 1 − 𝑝.
2. Il s’agit de la loi binomiale de paramètres n et p.
3. a. On complète la ligne 19 par sqrt(n) et la ligne 21 par dehors/10000.
b. Les résultats retournés se situent autour de 0,02.
c. La question A.3 donne comme majorant 0,25.
L’inégalité de Bienaymé-Tchebychev est vérifiée, et on constate que le majorant qu’elle
fournit n’est pas le meilleur.
1 8 𝑛
e. Il s’agit de déterminer le plus petit entier n tels que 𝑛 (1 − (1 − 𝑛) ) ≤ 2 .
1 8 1 1
Cette inéquation équivaut à (1 − 𝑛) ≥ 2 soit 8 ln(1 − 𝑛) ≥ – ln (2),
1
et donc à n ≥ ln(2) .
−
1−e 8
Sujet B
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant,
le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Y = 2X + 10. Par linéarité de l’espérance : E(Y) = 2E(X) + 10 = 16.
V(2X + 10) = V(2X) = 2²V(X) = 4σ(X)² = 0,36.
𝜎(𝑌) = √𝑉(𝑌) = √0,36 = 0,6.
2. 𝑃(|𝑌 − 𝐸(𝑌)| ≥ 𝛿) ≤ 𝑉(𝑌)
𝛿2
.
Sujet C
Des programmes Python (ordinateur, Casio, NumWorks ou Texas) sont disponibles dans le
manuel numérique enseignant.
Errata : dans certains manuels, l’énoncé comporte des erreurs :
– question 1.a. il faut lire P(Xi = 1) ;
– question 3, ligne 3 du programme, il faut lire «in range(1001)» ;
– question 3, ligne 5 du programme, il faut lire «in range(1,999)».
1. a. 𝑃(𝑋𝑖 = 1) = 𝑝 et 𝑃(𝑋𝑖 = 0) = 1 − 𝑝.
b. L’événement {Yi = 1} est égal à l’union des événements incompatibles
{𝑋𝑖−1 = 0 et 𝑋𝑖 = 1} et {𝑋𝑖−1 = 1 et 𝑋𝑖 = 0}.
Comme 𝑋𝑖−1 et 𝑋𝑖 sont indépendantes,
𝑃(𝑋𝑖−1 = 0 et 𝑋𝑖 = 1) = 𝑃(𝑋𝑖−1 = 0) × 𝑃(𝑋𝑖 = 1) et
𝑃(𝑋𝑖−1 = 1 et 𝑋𝑖 = 0) = 𝑃(𝑋𝑖−1 = 1) × 𝑃(𝑋𝑖 = 0).
On en déduit 𝑃(𝑌𝑖 = 1) = 𝑃(𝑋𝑖−1 = 0) × 𝑃(𝑋𝑖 = 1) + 𝑃(𝑋𝑖−1 = 1) × 𝑃(𝑋𝑖 = 0).
c. 𝑃(𝑌𝑖 = 1) = 2𝑝(1 − 𝑝).
2. a. Chaque nouveau bloc fait passer une variable aléatoire 𝑌𝑖 à 1.
Sujet D
1. On a Z = 8X + 12Y.
Par linéarité de l’espérance,
𝐸(𝑍) = 𝐸(8𝑋 + 12𝑌) = 8𝐸(𝑋) + 12𝐸(𝑌) = 8 × 2 + 12 × 1 = 28.
V(Z) = V(8X + 12Y).
Comme X et Y sont indépendantes, 8X et 12Y le sont aussi donc :
𝑉(𝑍) = 𝑉(8𝑋) + 𝑉(12𝑌) = 82 𝑉(𝑋) + 122 𝑉(𝑌) = 64 × 2 + 144 × 1 = 272.
2.a. C est la variable aléatoire somme d’un échantillon de Z de taille 350.
𝐸(𝐶) = 350𝐸(𝑍) = 350 × 28 = 9 800
𝑉(𝐶) = 350𝑉(𝑍) = 350 × 272 = 95 200.
b. Il s’agit de minorer 𝑃(9 000 < 𝐶 < 10 600).
L’événement contraire de {9 000 < 𝐶 < 10 600} est l’événement {|𝐶 − 9 800| ≥ 800}.
95 200
L’inégalité de Bienaymé-Tchebychev relative à C s’écrit 𝑃(|𝐶 − 9 800| ≥ 800) ≤ 8002
95 200
d’où 𝑃(9 000 < 𝐶 ≤ 10 600) ≥ 1– 800²
≈ 0,85.
Sujet E
Erratum : dans certains manuels, la question 5 comporte une erreur : il faut trouver les
1
valeurs de V et n pour lesquelles 𝑃(|𝑀𝑛 | ≤ 3) ≥ 18.
1. Réponse b. 2. Réponse d. 3. Réponses a et c.
4. Réponse c. 5. Réponse a. 6. Réponse d.
Sujet F
Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant,
le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Xn suit la loi binomiale de paramètres n et p, d’où E(Xn) = np et V(Xn) = np(1 – p).
1
2. a. p(1 – p) a deux racines, 0 et 1. Son maximum vaut 4 , atteint en 𝑝 = 12.
𝐸(𝑋𝑛) 𝑉(𝑋𝑛)
2. b. 𝐸 (𝑋𝑛𝑛) = 𝑛
= 𝑝 et 𝑉 (𝑋𝑛𝑛) = 𝑛2
=
𝑝(1−𝑝)
𝑛
.
3. Il suffit de déterminer 𝑛 tel que 𝑋𝑛𝑛 s’éloigne de p d’au moins 0,01 avec une probabilité
d’au plus 0,05. D’après 2.b il suffit que 4𝑛 ×10,012 ≤ 0,05, soit n ≥ 50 000.