Droit Du Travail
Droit Du Travail
Droit Du Travail
I. Le recrutement
A. Les types de recrutement
B. L’offre d’emploi
L’intitulé du poste doit être indéfini quant au genre sexuel. Ex : déménageur (euse) ou H/F.
Aucun critères origine, la couleur de peau, religion n’est toléré, les critères d’âge sont aussi
interdits (exception : Il y’a juste les contrats d’apprentissage qu’on peut préciser la tranche
d’âge qu’on veut). La seule discrimination positive qui existe dans le code du travail c’est
l’obligation d’embaucher 6% de personnes ayant une reconnaissance de travailleur
handicapé (c’est un organisme appelé la maison des personnes handicapes qui attribue ce
statut). Toutefois, la discrimination positive connait des limites du fait qu’il peut y avoir
manque de compétences. La discrimination à l’embauche la plus répandue est la
discrimination contre les seniors à partir de 50 ans.
C. L’entretien de recrutement
Cas 1 :
Pourquoi l’employeur pose ces questions, quels sont les intérêts et est ce qu’il a le droit de
poser ces questions
C’est le contrat à durée indéterminée. L’esprit du code du travail, c’est que le cdi est le
contrat du principe, le contrat normal, la norme, le contrat auquel l’employeur doit penser
directement s’il envisage de recruter. Le CDI n’est pas obligatoirement écrit. Toute façon s’il
n’est pas écrit, c’est obligatoirement un CDI. L’élément essentiel de ce contrat c’est le lien de
subordination.
B. Le CDD
Contrat à durée déterminée, c’est l’exception. On fait un CDD que si on a des exceptions. On
a que 4 motifs pour faire ce type de contrat :
La durée maximum d’un CDD est de 18 mois, 2 renouvellements compris dans les 18 mois
(soit 6+6+6 ou 9+9 ou 2+2+2 même si ça ne fait pas 18, on a fait deux renouvellements). Un
délai de carence doit être respecté par l’entreprise avant de refaire un CDD (comme dans la
liste ci-dessus). Un délai de carence est égal à 1/3 de la période. A la fin du CDD le salarié
perçoit une prime de précarité égale à 10% des rémunérations brutes pendant toute la
période du CDD.
Ex : 2000 euros CDD de 10 mois solde de tout compte ?
2000 euros salaire mensuel, pour les 10 mois, on aura 20 000 euros. 10 % de ce montant
2 000 euros + les 2 000 des congés payés (10% également) ce qui fait 6 000 euros pour le
dernier salaire. Ce qui fait certains salariés adorent le CDD ou l’intérim.
C. Le CTT
Entreprise
intérimaire
Contrat de mission =
Contrat de mise à
contrat de travail
disposition
Les règles du CTT sont les mêmes qu’en CDD (prime précarité, les 4 motifs…).
Cas 3 :
Cette clause est non valable car elle remplit toutes les conditions sauf celle de la
compensation financière. En effet, les clauses sont cumulatives.
B. La clause de mobilité
Le salarié s’engage à l’avance à accepter une mutation géographique de son lieu de travail
sans pouvoir refuser (refus = licenciement pour faute).
Les conditions :
- Les zones géographiques doivent être précisées à l’avance. Ex toutes les filiales du
groupe à lister, un département…
- Il faut laisser un délai au salarié pour s’organiser
- La clause de mobilité ne doit pas être utilisée à titre de sanction. Mais la mutation
sanction existe et est légale sauf si on utilise la clause de mobilité pour la faire.
Cas 3 bis :
1ère question : il peut l’envoyer là-bas même si dans la deuxième partie de la clause c’est
illégal en plus le délai n’est pas mentionné (toutefois on peut utiliser cet argument pour
expliquer que cette clause est non valable par exemple si on est dans un examen). Elle ne
peut pas refuser la proposition, c’est sur Nice, dans la région de PACA. NB : mm si c’est
marqué aucun caractère de fixité et qu’il ya précisé Anger, ce n’est pas valable
2ème question : le contrat est écrit, il y a aussi une compensation financière, il y a intérêt
économique car elle veut créer son entreprise dans le même secteur d’activité mais sur la
durée, elle est limitée à 5 ans qui est quand même longue, ce qui est déraisonnable. La
compensation financière est beaucoup trop réduite contre toutes les exigences de
l’employeur. Roxane peut tout à fait monter sa boite dans le même domaine et juste en
face.
C. La période d’essai
Cas 2 :
Les petits CDD cumulés pourront être requalifiés en CDI. La dernière rupture de CDD pourrait
être analysée comme un licenciement abusif avec les indemnités qui vont avec. Les CDD sont
à date régulière depuis plusieurs années donc ce n’est pas un extra ni un accroissement
d’activité, il n y a pas de remplacement de salarié en congé.
1) Le principe c’est de s’habiller comme on veut au travail. Exception : pour des raisons
commerciales et images de la marque donc sauf raison commerciale ou pour des
raisons de sécurité (le casque, les chaussures, la blouse)
2) Le principe est illégal, illicite, sauf pour des questions de sécurité (conducteurs pour
les grandes enseignes, les conducteurs de tram, train…)
3) C’est une constante, pour des raisons de sécurité, on peut imposer le port du casque
4) Clause illicite car évince le rôle des syndicats
5) Ça n’a rien à avoir dans le règlement intérieur, ce n’est pas son rôle, on peut trouver
ça dans le contrat de travail ou convention collective
6) Clause illicite, la déclaration, des droits de l’homme DDHC sont au-dessus des lois
7) C’est illicite
8) La vie de privé est sacrée, c’est illicite, on fait ce que l’on veut avec qui on veut
9) Il y’a d’interdit, ça peut se faire
10) C’est interdit
11) A moins qu’il soit une fouille d’intérêt
B. Le pouvoir disciplinaire
- L’avertissement :
- Le blâme : c’est un élément qui reste inscrit dans le dossier administratif du
salarié au sein d’une même structure et qui correspond à des faits qui auraient pu
Par ordre de
gravité aboutir à un licenciement
- La mise en pied : suspension du contrat de travail
- La mutation : s’il y a pas de clause de mutation dans le contrat du travail Alternative au
licenciement
- La rétrogradation :
(mutation et rétro)
- Le licenciement par faute :
Les sanctions pécuniaires sont interdites. C’est l’employeur qui paye car il dispose d’une
assurance. L’avertissement est obligatoirement écrit.
C. Le pouvoir de surveillance
1. Les procédés
- Le badgeage électronique
- La vidéo de surveillance
- L’audiosurveillance comme dans les centres d’appel
- La cybersurveillance : c’est-à-dire vérifier les mails reçus, envoyés
- La délation : savoir si le salarié est là s’il n’ y a pas de badgeage
Page 4. L’employeur son obligation c’est d’adapter les salariés à l’évolution de leur
emploi. Le salaire doit rester le même car le temps de formation c’est du temps de
travail.
Pour le salarie, il est de son obligation de ne pas refuser la formation imposée par
l’employeur.
Cf pyramide de Maslow
accomplissemen
t de soi
estime de soi ou
reconnaissance
besoin d'appartenance à un
groupe
Maslow indique que l’individu ne peut passer à l’étage du dessus si les besoins les besoins de
l’étage précédent ne sont pas remplis. Critique : pas totalement vrai car
Avoir un enfant : aléatoire aussi, besoins de sécurité pour certains pour assurer la succession
La problématique qui se pose : Un employeur peut-il imposer un salarié contre son gré une
modification d’une partie de son contrat de travail ?
Si le salarié accepte : un avenant contrat est Si le salarié accepte : un avenant contrat est
signé. signé.
Si le salarié refuse : licenciement Le salarié n’a pas le droit de refuser ce petit
économique genre de modification
Cette distinction est subjective.
Cas 7 :
Cas 8 : Elle n’a pas le droit de refuser puisqu’elle est célibataire et n’a pas de contrainte.
C’est une modification du contrat de travail que le salarié ne peut refuser, donc l’employeur
peut la licencier pour faute.
La loi a mis en place au sein des entreprises des individus chargés de défendre et de
représenter les intérêts des salariés. Désormais, l’ensemble de ses représentants composent
le CSE (comité sociale et économique) et ont été fusionné (voir tableau ci-après ;, avant ils
étaient séparés).
CSE
Cas n°9 :
Participation Intéressement
La participation est un mécanisme facultatif : que celui-ci est un
obligatoire. mécanisme bon vouloir de l’employeur
2 conditions : un bénéfice et un seuil 50 Ici c’est l’employeur qui fait ses calculs,
salariés méthode à la discrétion de l’employeur
La méthode de calcul est dans le code du
travail
Pour répondre à la question : oui, a participation est due au salarié car il y a plus de 50
salariés et est largement bénéficiaire.
3) La prime
Quand une prime devient elle obligatoire ? Deux conditions pour qu’elle soit obligatoire (les
deux conditions sont cumulatives) :
La généralité : une prime est obligatoire quand elle est générale cad quand
elle est accordée à tous les salariés.
La fixité ou régularité : cad à une date fixe et répétée dans le temps
Pour le cas 10, la prime est obligatoire. L’employeur ne peut plus s’y soustraire sauf difficulté
économique car les deux conditions sont regroupées (généralité et fixité)
4) La possibilité de saisie sur salaire
Une entreprise X auprès de laquelle un salarié d’une entreprise Y a une dette, peut, munie
d’un titre exécutoire (un jugement) demander une saisie sur salaire à la source à l’entreprise
Y. Un barème est prévu par le code du travail de façon à laisser aux salariés une
rémunération au moins égale au RSA (572,52 €, 867 € pour un couple et voire 1000 € pour
un couple avec enfant)
Cas n°4 :
06/2018 test fait 30/06 1er/07début de son travail 31/07 remise de son contrat
de travail signature période essai 1 mois jusqu’au 31/08 26/09/2018 date fin essai
1) Du 1er juillet au 31 juillet, présence d’un lien de subordination avec des ordres, pas de
contrat de travail = CDI. La période d’essai à partir du 1er Aout est illégale. Le mois de
juillet c’est du contrat de travail dur.
2) La rupture de fin septembre s’analysera comme un licenciement abusif cad la rupture
s’est faite sans motif et sans procédure légale de licenciement.
En un siècle, la durée du travail a beaucoup diminué. Elle a été divisée par deux. La
diminution de l’âge de la retraite, la durée de la baisse hebdomadaire au travail,
l’augmentation de la durée des congé payés, la création de nouveaux congés (mariage,
décès, congé paternité, maternité..) , l’augmentation des arrêts maladies
La durée hebdomadaire :
Loi Aubry I et II : 1998-2000 : les 35 heures, on ne peut pas travailler plus de 35h. C’est le
seuil au-delà duquel se déclenche les heures supplémentaires avec un plafond de 48 h par
semaine à ne pas dépasser. Si c’est trop fait par l’entreprise, le seuil de 48h est zappé, il
passe de 44h
Pauses : la seule chose que nous dit le code du travail, c’est interdiction de faire 6h de
travail sans faire de pause.
Ce sont des périodes non travaillées mais rémunérés. 1936, 2 semaines de congé payé puis
on a avec De Gaulle en 1968 4 semaines de congés payés. En 1981, ils passent de 5
semaines. En matière de congé payé, il y a une année de référence qu’il faut apprendre par
cœur, c’est du 1er Juin au 31 Mai de l’année suivante. Et pour tout mois travaillé sur cette
période, le salarié cumule 2,5 jours ouvrables de congés payés cad sans compter le
dimanche. Le congé principal doit être pris entre le 1er Mai et le 31 Octobre. Pour avoir droit
à des congés payés, il faut avoir travaillé au moins 1 mois dans l’entreprise.
On ne peut pas non plus prendre ces 5 semaines d’affilé de congé payés. Voici les formules
possibles : 4 + 1, 3 + 2, 2 + 2 + 1 et non 1+1+1+1+1.Principe du code de travail : Les congés
payés ne sont pas reportables sur l’année suivante (sauf exception). L’employeur a le dernier
mot sur la période de congé payé à condition d’en informer ses salariés 1 mois avant la date
de départ. La période principale pour accorder les CP est entre Mai et Octobre (période
différente de la période de référence de calcul cad 1er juin et 31 Mai de l’année suivante).
2 possibilités
Le salaire habituel
La méthode du 10ème : règle des 10%, pendant les congés payés, le salarié
percevra une rémunération équivalente à 10% des rémunérations totales
brutes perçues sur la durée de référence (1er juin au 31 Mai de l’année
suivante). L’employeur a l’obligation de choisir la méthode la plus favorable
au salarié.
Cas 11 :
1) Non, elle n’a pas le droit d’avoir des CP pour avoir droit à des CP, il faut avoir travail 1
mois, s’il s’agit d’un CDD, c’est la règle des 10% que l’on va prendre, il aura une
indemnité
2) voir feuille détail, pour 2019, on 12,5 j ouvrables sans les dimanches. Puis en 2020,
on a 30 CP soit 35 jours si on compte les 5 dimanches de l’année 2020 car 7*5
3) Non car les deux conditions sont réunies : cad informer ses salariés avant 1 mois et le
congé est donné entre Mai et octobre,
4) Non car un salarié ne peut pas prendre 5 semaines d’affilé, les CP doivent être
fractionnés
5) (1560,59*9 + 1674,84*3) *1/10 = 1906,983 pour 5 semaines . Pour 4 semaines de cp on
1906,84*4/5= 1525, 58. Ce montant n’est pas très avantageux pour Madame Vince, donc
c’est le salaire habituel qui est à son avantage soit les 1674,84.voir détail feuille
6) Les CP sont considérés comme un avantage acquis et peu importe le degré de la faute
l’employé devra les rémunérer
Rupture conventionnelle
Licenciement : pour motif économique, pour faute, sans faute
La retraite
La démission
L’arrivée du terme pour un CDD : on ne le verra pas
Le décès du salarié : on ne verra pas
A. Le licenciement
Lié à la personne du salarié. Soit le salarié a fait une faute ou soit sans faute (peut être un
comportement que l’employeur n’apprécie pas).
Il y a une condition générale pour licencier : l’employeur doit avoir un motif réel et sérieux
Organisation juridictionnelle
Rôle apprécie Cour de cassation Les juges de la CA ont mal jugé : « casse et annule
le l’arrêt de la CA»
raisonnement
des juges de Former un pourvoi en cassation 1er envoi Cour de
la CA cassation
Cour d’appel Cour Assemblée
d’appel plénière
Ville x
ville Y
2ndenvoi
Une des parties interjette appel (o, refait le procès depuis le début)
Cas 12 :
On a un motif sérieux (fumer un joint sur le lieu de travail est un motif sérieux de
licenciement) et un motif réel car elles ont fumée un joint dans la salle, elles ont un aveu,
elles n’ont pas niés quand l’employeur les a vues.
Le vol est une faute grave. Fumer joint est une faute sérieuse. Une bagarre des salariés au
sein de l’entreprise est une faute grave. Dénigrer les produits de son entreprise est une faute
lourde.
Cas 13
1) Oui cause réelle et sérieuse classée dans les fautes graves. Gonfler ses notes de frais
est une faute grave
2) Oui faute sérieuse car ce sont des retards répétés
3) Ce n’est pas une faute, ce n’est pas sérieux sauf si c’est inclus dans sa fiche de poste
4) Ce n’est pas une faute sérieuse, on se marie avec qui on veut
5) Ce n’est pas une faute, c’est personnel
6) Ce n’est pas une faute il est protégé par l’arrêt maladie
7) Oui faute sérieuse, le fait de pousser à la démission des salariés. Devient Faute lourde
quand c’est du sabotage
Cas 14
Pour faire grève au sens juridique, il faut un contrat de travail, ce que les étudiants fonts
ce sont des manifestations.
Complétons le tableau de la dernière fois. Plus la faute est grave, pour les indemnités sont
moins importantes quand on va partir de l’entreprise (voir tableau précédent)
C’est une hypothèse qui sort de l’ordinaire puisque le salarié n’a commis aucune faute, il y a
aucun motif économique mais l’employeur est autorisé à le licencier.
L’employeur doit trouver dans ce type de motif qu’il a essayé de trouver des solutions. Dans
les licenciements sans faute, il y a les 3 indemnités.
2. Le licenciement économique
Il n’est pas nécessaire que l’entreprise éprouve des difficultés économiques ou financières
pour licencier pour motif économique. Ce n’est pas une condition de validité du
licenciement. Exemple : le remplacement de l’homme par la machine, Exemple « Maryflo »,
histoire d’une entreprise textile où le remplacement de l’homme par la machine.
3. La procédure de licenciement
Procédures en 3 étapes :
Cas n° 15 :
Le licenciement est considéré comme abusif. Ça doit être un licenciement sans faute
avec les indemnités car Mr Rambolage a perdu son permis de conduire en dehors de son
travail et non lors de son exercice.
B. La démission
C’est la rupture du contrat à l’initiative du salarié. La seule chose que nous dit le code travail,
pour que la démission soit valable, elle doit être claire et non équivoque.
Un employeur ne peut déduire d’une absence prolongée sans motif du salarié, une
démission. La démission n’ouvre pas droit aux assurances chômages.
Une démission écrite par le salarié sous la menace peut être requalifiée en licenciement
abusif.
Cas 16
Cas 17
C’est une démission à l’initiative de l’employeur donc elle est illégale puisque la salarié a été
contrainte de rédiger sa lettre de démission. Il aurait pu la licencier et ce qu’il a fait peut être
requalifié de licenciement abusif.
Cas 18 :
C. La rupture conventionnelle
C’est une rupture de contrat de travail négocié entre l’employeur et le salarié. Le Medef est
le syndicat des patrons qui a réclamé l’instauration de ce mode de rupture. Employeurs et
salariés se mettent d’accord sur une date de départ de l’entreprise du salarié. Entretien au
cours duquel est rempli un document « CERFA » un formulaire de l’Etat, su ce document on
met la date de l’entretien, la date de départ du salarié et le montant de l’indemnité de
rupture. Le montant de l’indemnité ne peut être inférieur au montant de l’indemnité de
licenciement. C’est-à-dire ¼ du salaire mensuel multiplié par le nombre d’années de travail.
Cas n°19 :
Cas 21
La démission étant à l’initiative de l’employeur est illégale dans ce cas et elle sera requalifiée
en licenciement.
Cas 22
D. Le départ en retraite
Cas 23 :
1er cas : monsieur PETIT
2ème cas :
3ème cas :
1) Un prof a deux missions : 1ère mission : former, apprendre à faire du cheval, 2ème
mission : assurer la sécurité de ses élèves
2) La formation et la sécurité ce sont des obligations de moyen
3) Que
L’obligation de sécurité qui pèse sur l’employeur envers ses salariés est une obligation très
sévère de résultat. L’employeur ne peut se soustraire de sa responsabilité en invoquant
qu’il avait tout mis en œuvre pour éviter l’accident.
Si l’employeur a mis en œuvre tous les moyens pour éviter l’accident, il s’agit d’une
responsabilité civile et l’assureur indemnisera le salarié (et non l’employeur).
Si l’employeur n’a pas mis en œuvre tous les moyens nécessaires, l’assureur refusera
d’indemniser, de prendre en charge l’indemnisation et il s’agit également de la
responsabilité pénale cad amende à verser à l’Etat et/ou prison.
Harcèlement moral :