Cartographie
Cartographie
Cartographie
La cartographie est la réalisation et l'étude des cartes géographiques et géologiques. Elle est très dépendante de la géodésie,
science qui s'efforce de décrire, mesurer et rendre compte de la forme et des dimensions de la Terre. Le principe majeur de la
cartographie est la représentation de données sur un support réduit représentant un espace généralement tenu pour réel. L'objectif
de la carte, c'est une représentation concise et efficace, la simplification de phénomènes complexes (politiques, économiques,
sociaux, etc.) à l'œuvre sur l'espace représenté afin de permettre une compréhension rapide et pertinente. La création de carte
débute avec la définition du projet cartographique. La collecte d'informations est en deux parties : 1. le relevé des contours et de
l'espace support à représenter (fond de carte) ; 2. le relevé des données statistiques à représenter sur cet espace. Vient ensuite un
travail de sélection des informations, de conception graphique (icônes, styles), puis d'assemblage (création de la carte), et de
renseignement de la carte (légende, échelle, rose des vents).
Histoire et développement
Supports
Les supports actuels employés pour la représentation cartographie sont le papier et les périphériques informatiques de sorties tels
1
qu'écran et projecteur. Il a existé des réalisations sur pierre, métal , parchemin, etc., généralement de forme plate et rectangulaire
ou ronde. Depuis l'ère des grandes découvertes, les expéditions et l'amélioration des techniques de cartographie ont permis une
amélioration des représentations d'un globe cohérent qui devient enfin réaliste. Un pas décisif est finalement franchi avec
l'exploration spatiale et la cartographie satellitaire et numérique, la précision devenant impressionnante. Les supports émergent
devenant aussi respectivement les globes personnels, puis l'informatique avec cartes planes où les pseudo-globes virtuels.
« Pour les raisons invoquées plus haut, il serait bon de conserver droites les lignes qui
représentent les méridiens et de représenter les parallèles de latitude par des arcs de
cercle dessinés autour d'un même centre. Les lignes méridiennes droites devront être
dessinées depuis ce centre — qui est pris au Pôle Nord — de telle sorte que soit
préservée la ressemblance avec une surface sphérique du point de vue de la forme et
Carte possiblement de l'apparence. Car les lignes méridiennes intersectent les parallèles de latitude à
basée sur les voyages angle droit et, en même temps se joignent au même pôle commun. Maintenant puisqu'il
de Zheng He est impossible de préserver les proportions sphériques à chaque parallèle de latitude,
représentant les voies de il serait suffisant de le faire pour le parallèle qui passe à Thulé et pour l'équateur. De
navigations entre Ormuz cette façon, les limites environnant nos latitudes seront précisément
et Kozhikode (Calicut) 2
proportionnées . »
Par la suite les relevés sont assemblés par des cartographes experts et alimentés par les
premiers essais de statistiques rassemblés par les représentants de l'autorité (époque antique romaine, époque des moines savants
du Moyen Âge, époque des grandes découvertes). Les supports utilisés — notamment les cartes marines — sont grossières car
elles ne respectent ni les angles, ni les distances réelles. (Voir les Cartes dites « Portulans » ou le planisphère de Cantino).
Abraham Cresques, chef de file de l'école majorquine de cartographie, à Palma de Majorque, reste un contributeur mal connu de
3 4
ces travaux . Il fut maître des cartes du roi d'Aragon. Cette école, selon Charles de la Roncière avait une grande renommée .
Le véritable développement intervient avec l'amélioration des outils de mesure mis au point par la géodésie et les géomètres, ainsi
que l'amélioration des registres de tous types, devenant de larges sources statistiques. Aussi, les traits et les données s'affinent.
Les recherches en matière de projection cartographique avancent ; le cartographe portugais Pedro Nunes théorise dans des écrits
publiés à Bâle vers 1540 les principes qui permettent à Mercator en 1569 de proposer la projection cylindrique dite Projection de
Mercator (projection des rayons d'une sphère sur un cylindre que l'on déroule à plat ensuite). En 1599, le mathématicien Edward
Wright complète les travaux de Mercator en publiant une table permettant de corriger en chaque point la déformation des
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distances due à la projection cylindrique .
Ces améliorations méthodologiques mettent toutefois du temps à s'imposer. Ainsi, Petrus Plancius (1552-1622) préfère-t-il
s'inspirer des cartes portugaises, du fait de leur plus grande précision empirique, plutôt que d'utiliser la nouvelle technique de
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Mercator . Lisbonne est alors un important centre cartographique, avec six ateliers employant dix-huit personnes en 1552 . La
cartographie était alors un enjeu important de pouvoir : au Portugal, la peine de mort était prévue pour quiconque transférait des
cartes à un étranger, de même que pour les pilotes émigrant ; une lourde sanction qui, toutefois, n'empêcha pas la diffusion de ces
6 e 7
cartes et savoirs . Malgré la ré-invention de l'imprimerie par Gutenberg au XV siècle , les cartes portugaises demeurent des
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exemplaires uniques (dont la plupart ont été perdus ), l'impression en étant également interdite .
La ramification des champs d'étude, des outils statistiques, et la rationalisation des États — source de données et commanditaire
majeur de cartes — augmentent le nombre d'applications cartographiques. Ainsi les premières mesures astronomiques (longitudes
et latitudes) de localités de la France effectuées par Jean Picard commencées en 1671, permettent à La Hire d'établir en 1682 une
carte corrigée qui affine le contour du littoral et réduit considérablement les vraies proportions de la France. Une cartographie de
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la France en 180 feuilles est levée de 1750 à 1791 sous la direction de Cassini de Thury et de son fils le Comte de Cassini.
Travail considéré comme le point de départ de la cartographie moderne : ses repères géodésiques reposent intégralement sur la
triangulation, l'œuvre finale est une carte géométrique et non topographique ainsi que la décrit le Comte de Cassini en 1784 :
« Les ingénieurs en partant de bases qui leur sont données ont cherché à déterminer — par des observations
d'angle faites dans le plus grand nombre des clochers d'un canton — la position de tous les objets
environnants qu'ils peuvent découvrir et qui sont dans le cas d'être géométriquement décrits. La détermination
géométrique précise n'a lieu que pour les objets qui intéressent, tels que villes, bourgs, villages et grands
châteaux. Les petites chapelles, fermes et metayeries, composées de trois ou quatre maisons ne peuvent se
placer qu'à vue d'œil, surtout à une échelle aussi petite que la nôtre. La topographie offre la description
détaillée et scrupuleuse non seulement des objets mais même de la conformation du terrain, de l'élévation et
du contour exact des vallées, des montagnes, des coteaux, des rivières, prés, bois, etc. C'est une partie de la
géographie tellement étendue, si minutieuse, si longue et si coûteuse dans l'exécution, qu'elle ne peut être
entreprise dans une carte générale, mais seulement partiellement et par petits cantons. »
XX
e siècle
e
L'utilisation des engins aéronautiques (dirigeables, avions, hélicoptères) à partir du début du XX siècle permet d'affiner et de
mettre à jour plus rapidement la couverture cartographique, mais pour des espaces à chaque fois relativement limités et
e
concernant presque uniquement les terres émergées. Dans la dernière partie du XX siècle, un pas technique majeur est franchi
avec l'utilisation et le traitement numérique des ondes émises par des satellites : les contours terrestres sont alors pour la première
fois photographiés depuis le ciel. Des cartographies du fond des océans ou des zones inaccessibles deviennent beaucoup plus
précises. La cartographie complète de la Lune et de Mars est réalisée grâce aux satellites d'exploration ou sondes spatiales.
L'ère numérique
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10
des fonds de chercheurs… » . Dans le cadre de la directive Inspire et de la convention d'Aarhus, un mouvement de libération
des données (Open data) est également en cours, qui avec des organisations comme OpenStreetMap devraient permettre de
largement développer la cartographie historique et collaborative.
Procédés de géolocalisation
L'apparition d'une cartographie dont le contenu est fait par des citoyens bénévoles est un principe de représentation sélective
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jusque-là inédit . Des projets libres comme OpenStreetMap, relevant les données sur le terrain afin de constituer une couverture
mondiale, ou Wikipédia, créant des cartes encyclopédiques, aboutissent à des représentations où les frontières et l'espace des
nations voient leur importance réduite. En 2012, la NASA a également proposé un projet ouvert et ludifié pour améliorer la
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cartographie de Mars .
Il existe de nombreux types de cartographies posant des problématiques spécifiques de relevé d'informations. Ci-dessous
quelques exemples :
Cartographie physique
Cartographie biologique
Cartographie humaine (statique)
Cartographie politique et administrative
Cartographie flux
Cartographie historique
Projections
Les projections cartographiques sont des méthodes de représentation de la réalité
sphérique du globe sur un plan plat. Il existe de nombreuses projections, chacune
faisant un compromis spécifique entre déformations des distances, formes,
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surfaces, et découpage de l'espace, en fonction de l'espace du sujet à exposer .
Plus le sujet est large, plus on traite d'une réalité courbe, et plus les
Monde, en Projection de Winkel-
transformations seront importantes. Pour les cartes du monde, la National Tripel, avec indicatrices de Tissot des
Geographic Society et le National Geographic préfèrent aujourd'hui la Projection déformations.
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de Winkel-Tripel . Pour une carte de la France métropolitaine, la projection
officielle est la Lambert-93 (décret du 26 décembre 2000 (http://www2.equipem
ent.gouv.fr/bulletinofficiel/fiches/bo200024/a0240017.htm)).
SIG
Les Systèmes d'Information Géographique (SIG) sont des systèmes
informatiques de représentation de données sur l'espace spatial terrestre réel en
associant coordonnées géographiques et données récoltées, toutes sortes de
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données peuvent être ainsi représentées . Les données sont généralement
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organisées par calques thématiques . La topographie (points), les rivières
(lignes) et zones d'eau (polygones), les bordures (lignes) et zones (polygones)
administratives, routes et voies ferrées sont des calques courants, mais les SIG France, en Lambert-93, avec échelle,
peuvent aussi accueillir des données démographiques, économiques, sanitaires, quadrillage (plutôt que rose des
biologiques, climatiques, criminelles, etc ou la présence de clients, fournisseurs, vents), et localisateur.
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etc. qui peuvent également être représentées dans l'espace réel . Les données
peuvent être stockées en matriciel (.tif, etc.) ou vectoriel (.shp). Ces fichiers
peuvent être chargés dans un logiciel SIG (ex: QGIS, ArcGIS), et même aujourd'hui des solutions SIG en fullweb comme chez
geosigweb superposés, stylisés, et édités afin de générer la carte souhaitée. La géomatique permet de traiter ces données, et
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d'aider à la prise de décision et gestion de l'espace .
Symbologie
Les couleurs zones, icônes, polices d'écriture, palette de couleurs doivent aussi bien s'accorder, qu'être contrastées, afin de mettre
en valeur les informations en fonction de leur importance.
Limites
« La carte géographique n'est pas le territoire. Elle en est tout au plus une représentation ou une “perception”.
La carte n’offre aux yeux du public que ce que le cartographe (ou ses commanditaires) veut montrer. Elle ne
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donne qu'une image tronquée, incomplète, partiale, voire trafiquée de la réalité . »
La relativité politique des cartes est un des éléments centraux du propos d'Yves Lacoste dans son célèbre ouvrage La géographie,
ça sert, d'abord, à faire la guerre, où l'auteur cible l'appropriation stratégique de la géographie par les états-majors. Cette critique
a également été formulée à l'encontre des services de cartographie en ligne, notamment Google Maps dont plusieurs chercheurs
comme le géographe Jérôme Staub ou le géopolitologue Jean-Christophe Victor (créateur de l'émission Le Dessous des cartes)
ont déploré la relativité politique des représentations des frontières, accusant la société Google de préférer se conformer aux
20, 21, 22, 23
visions géopolitiques locales pour ne se fermer aucun marché .
Au XVIIIe siècle, les cartographes ont commencé à souligner le nom de l'auteur original, inscrivant conventionnellement « D'après
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le croquis de M. [Explorateur] » .
Afin de rendre une carte unique et d'identifier les plagiats, certaines cartes contiennent des « erreurs volontaires » : nom
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imaginaire, ou faute d'orthographe qui créent autant d'éléments pièges apportant la preuve d'un emprunt subreptice .
Cartographie en art
La cartographie est utilisée voire détournée dans plusieurs mouvements artistiques. Par exemple, Terry Atkinson et Michael
Baldwin, du mouvement d'artistes conceptuels Art & Language ont créé l’œuvre Map to not indicate…, une carte qui indique
uniquement deux États et qui précise ne pas indiquer plusieurs dizaines d'entités géographiques, pourtant dans le champ de la
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carte .
Notes et références
1. En -499, lors de la Révolte de l'Ionie, Aristagoras de Milet demande le soutien de Sparte, et dévoile une carte de
métal désignant la Turquie actuelle, en notant que les faibles guerriers mèdes ne résisteraient pas aux
légendaires troupes spartiates.
2. Michel Rival, Grandes inventions de l'humanité, Paris, Larousse, 2005
3. https://books.google.fr/books?
id=Z_8GZo5NHFsC&pg=PA36&lpg=PA36&dq=cartographie+cresques+majorque&source=bl&ots=OacGc32SU3&sig
4. https://books.google.fr/books?
id=qiIJyoDYWfoC&pg=PA406&lpg=PA406&dq=cartographie+cresques+majorque&source=bl&ots=Qv3Vs-
_UMk&sig=ukyDMJiERgfNqndcZITUPA4P9OM&hl=fr&sa=X&ved=0CEcQ6AEwB2oVChMIqMHCrMvsyAIVSu4aCh2
5. Cité par Michel Rival, op. cit.
6. Luís Filipe Thomáz (de), « The image of the Archipelago in Portuguese cartography of the 16th and early 17th
centuries », in Archipel, Volume 49 Numéro 1 pp. 79-124, accessible sur Persée.
7. On a trouvé des preuves d'invention antérieures en Asie, cf. caractère (typographie) et imprimerie.
8. Celles qui restent ont, pour la plupart, été publiées dans les années 1960 dans le Portugaliae Monumenta
Cartographica.
9. qui assemblées formeraient une carte de 10 m de haut et de 10,5 m de large
10. Huma-num (2013) Consortiums (http://www.huma-num.fr/service/consortium) (version mise à jour 2 avril 2013,
consultée 25 juin 2013).
11. « Creating maps for everyone and network effects for the data driving them » (http://www.receiver.vodafone.com/c
reating-maps-for-everyone)(Archive (http://web.archive.org/web/*/http://www.receiver.vodafone.com/creating-maps-for-everyone) • Wikiwix
(http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.receiver.vodafone.com/creating-maps-for-everyone) • Archive.is (http://archive.is/http://www.receiv
er.vodafone.com/creating-maps-for-everyone) • Google (https://www.google.fr/search?q=cache:http://www.receiver.vodafone.com/creating-maps-for
-everyone) • Que faire ?) (consulté le 24 mars 2013), Sean Gorman, on receiver.vodafone.com
12. http://beamartian.jpl.nasa.gov/maproom#/MapMars
13. Hugo Lopez, « Techniques du cartographe : grandes étapes » (http://Cartopress.com/Technique.html),
Cartopress.com, 2008
14. Jochen Albrecht, « Maps projections » (http://www.geo.hunter.cuny.edu/~jochen/gtech201/lectures/lec6concepts/
map%20coordinate%20systems/how%20to%20choose%20a%20projection.htm), Introduction to Mapping
Sciences, 2005 (http://www.geo.hunter.cuny.edu/~jochen/gtech201/201syllabusSp05.htm)
15. « Winkel Tripel Projections » (http://www.winkel.org/other/Winkel%20Tripel%20Projections.htm), sur winkel.org
16. « Qu'est-ce qu'un SIG ? » (http://www.esrifrance.fr/sig1.asp), ESRIfrance.fr
17. « Comment fonctionne un SIG » (http://www.esrifrance.fr/sig3.asp), ESRIfrance.fr
18. « Les données pour un SIG » (http://www.esrifrance.fr/sig5.asp), ESRIfrance.fr
19. Philippe Rekacewicz, « La cartographie, entre science, art et manipulation » (http://www.monde-diplomatique.fr/2
006/02/REKACEWICZ/13169), Le Monde diplomatique, février 2006.
20. Jérôme Staub, « Les frontières dans Google Maps, un enjeu géopolitique » (http://eductice.ens-lyon.fr/EducTice/r
echerche/geomatique/veille/sites/lettre-info/articles/lettre-nb011/frontieres-google), sur eductice.ens-lyon.fr,
avril 2011 (consulté le 30 décembre 2016)
21. « Voici les 32 pays pour lesquels Google Maps ne dessine pas les frontières » (http://www.atlantico.fr/decryptage/
voici-32-pays-pour-lesquels-google-maps-ne-dessine-pas-frontieres-1614156.html), sur atlantico.fr, 17 juin 2014
(consulté le 30 décembre 2016)
22. Timothée Vilars, « Google Maps, des frontières à la carte pour ne froisser personne » (http://tempsreel.nouvelobs.
com/les-internets/20150602.OBS9998/google-maps-des-frontieres-a-la-carte-pour-ne-froisser-personne.html), sur
tempsreel.nouvelobs.com, 6 juin 2015 (consulté le 30 décembre 2016)
23. Laurence Defranoux, « Jean-Christophe Victor: «On s’est aperçu que Google Maps mentait» » (http://www.liberati
on.fr/debats/2016/12/25/jean-christophe-victor-on-s-est-apercu-que-google-maps-mentait_1537394), sur
liberation.fr, 25 décembre 2016 (consulté le 30 décembre 2016)
24. En quête de la vérité: Contrefaçon, imitation et tromperie (http://www.collectionscanada.ca/contrefacon/002035-3
00-f.html?PHPSESSID=vp146f03fkp5n42vu1lfl7j7d7), une exposition de musée virtuel à Bibliothèque et Archives
Canada
25. (en) Mark Monmonier, How to Lie with Maps, Chicago, University of Chicago Press, 1996, 2e éd.
(ISBN 978-0-226-53421-3, LCCN 95032199 (https://lccn.loc.gov/95032199)), p. 51
26. Osborne, Peter, 1958-, Art conceptuel, Phaidon, 2006 (ISBN 0714858048 et 9780714858043,
OCLC 421523006 (https://worldcat.org/oclc/421523006&lang=fr), lire en ligne (https://www.worldcat.org/oclc/4215
23006)), p. 120
Voir aussi
Articles connexes
Atlas géographique Cartographie thématique et Isochronisme
Atlas maritime statistique Jeppesen
Carte marine Cartographique génétique Mappemonde
Carte Carte géologique Nomenclature urbaine
Carte Michelin Cartographie des risques alphanumérique
Carte picturale Cartographie sémantique Orthodromie
Cartographie des corridors Cartographie de la végétation Plan-relief
biologiques Géographie mathématique Planisphère
Cartographie dynamique Géolocalisation Projection cartographique
Cartographie de transports Globe terrestre Service hydrographique et
urbains Hydrographie océanographique de la marine
Cartographie et localisation Hydrologie Système d'information
simultanées géographique
Institut géographique national
Sélénographie
Topographie Cartographes célèbres Représentation
Toponymie Histoire cartographique de cartographique de données
l'Arménie statistiques
Bibliographie
Brabant, Pierre, « Une méthode d’évaluation et de cartographie de la dégradation des terres », in Les dossiers
thématiques du CSFD, août 2010 [lire en ligne (http://www.csf-desertification.org/index.php/bibliotheque/doc_details/139-bra
bant-pierre-2010-une-methode-devaluation-et-de-cartographie-de-la-degradation-des-terres-) (page consultée le 9 août 2010)].
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Josef Konvitz, Cartography in France, 1660-1848: science, engineering and statecraft, Chicago-Londres, 1987.
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(en) Ferland, « Les défis théoriques posés à la cartographie mènent à la cognition » (http://cybergeo.revues.o
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Liens externes
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