Dimensionnement Des Systemes Solaires Sy
Dimensionnement Des Systemes Solaires Sy
Dimensionnement Des Systemes Solaires Sy
Licence Professionnelle
Filière : Technologie des Energies
Renouvelables Et Efficacité Energétique
A celui qui nous indiquons la bonne voie en nous rappelant que la volonté fait
toujours les grands Hommes, A celle qui a attendu avec patience les fruits de
sa bonne éducation nos chères mamans. C’est grâce à votre amour, votre
immense affection et vos encouragements. La confiance que vous m’avez
accordée ainsi que vos innombrables sacrifices que nous arrivons aujourd’hui
au terme de ce travail.
Sans qui la vie nous semblerons bien fade. Nous vous souhaitons une
excellente continuation
Nous avons fait une étude sur les panneaux solaires en générales et
l’installation photovoltaïque en fin nous avons calculé les paramètres de
dimensionnement pour réaliser un régulateur avec la technologie de MPPT.
Nous avons utilisé la logiciel MATLAB/SIMULINK .ce dernier permet nous de
modéliser et simuler notre system de commande .tout ce travail que nous
avons fait il ’est bien détaillé dans ce rapport
2. Fiche technique……………………………………………………………………………………8
1. Définition ………………………………………………………………………………...…15
4. Fluide caloporteur…………………………………………………………………………...23
6.Énergie d’Appointe……………………………………………………………………..……23
1.Problématique……………………………………………………………………………..…24
2 .Dimensionnement de l’installation…………………………………………………………24
b. Donnée de base…………………………………………………………………………...25
1. Cahier de charges……………………………………………………………………………28
2 .Dimensionnement de l’installation……………………………………………………….…28
1. Introduction …………………………………………………………………………….......37
1. Modélisation du GPV………………………………………………………………………..38
1.Defeintion…………………………………………………………………….…………….…44
III. Conclusion………………………………………………………………………………………..50
Conclusion général
Bibliographie et Webographie………………………………………………………………………..51
De nos jours, l'utilisation des énergies fossiles devient de plus en plus une énigme aux décideurs
politiques surtout en Afrique ou bon nombre de sociétés électriques dépendent de l'exploitation du
pétrole. De plus en plus à la nécessité d'assurer une continuité de service, de maîtriser l'énergie. Parmi
cette alternative aux énergies fossiles, l'énergie solaire photovoltaïque demeure la solution idéale pour
les contrées isolées ou en développement.
En effet dans les pays en voie de développement, la demande en eau est très forte avec parallèlement en
une disponibilité en rayonnement solaire tout aussi impressionnante. Le pompage solaire est ainsi une
alternative optimale
Effectif : 5 salariés
Email : confortvert@gmail.com
Mobile / Tel / Fax : +212 6 88 42 76 23/+212 6 25 46 66 36
Tableau (I.1): fiche technique
1ére Phase : Détermination des besoins en eau du champ à irriguer. Cette phase nécessite une
connaissance du type de plantes à irriguer, de la nature des sols, du type d’irrigation goutte à goutte
choisi et des conditions atmosphériques (vents, humidité, etc.) ; A cela, on associera toutes les pertes
d’eau dues à l’évaporation lorsque le bassin de rétention est ouvert. Un choix sur l’autonomie
recherchée doit être fait pour définir une capacité de stockage d’eau. Le débit recherché au niveau des
goutteurs peut conditionner la hauteur de stockage.
2éme Phase: Dimensionnement et choix du type de motopompe. Cela est fonction de la profondeur
du forage, de la hauteur de stockage, du débit de pompage recherché, de son alimentation électrique
en continu ou alternatif mono ou triphasé, etc.
3éme Phase : Dimensionnement et montage du système PV. Ce dimensionnement tient compte (en
gros) de la puissance nominale de la pompe majorée des différentes pertes (conversion de tension,
régulation, etc.) et de l’ensoleillement du site.
Les besoins en eau que l’on estime nécessaires pour les zones rurales des pays pauvres sont de l’ordre
de 20 litres par personne et 30 litres par tête de bétail .
Les besoins d’eau pour l’irrigation dépendent du type de culture, des facteurs météorologiques
comme la température, l’humidité, la vitesse du vent, l’évapotranspiration du sol, la saison de l’année
considérée et de la méthode d’irrigation. Cependant, il est important de se baser sur la pratique et
l’expérience locale.
La capacité du réservoir sera déterminée selon les besoins en eau journalières et l’autonomie requise
du système.
Page 10 of 52 Rapport de stage fin d’étude 2017/2018
2.2.dimensionnement de la capacité de stockage d’eau
Le stockage de l’eau dans le cadre d’une irrigation «goutte à goutte» est quasi obligatoire du fait des
impératifs que cette forme d’irrigation suscite. Il permet un décalage entre la disponibilité de l'énergie
solaire (midi) et les besoins en eau (matin, soir, nuit). On
Distingue de ce fait trois (3) principales raisons :
1-Lorsqu’ʼon opte pour une irrigation «goutte à goutte», c’est que l’on a pour premier souci de
réguler l’eau en évitant le gaspillage. Cela ne peut se faire que s’il y a une rétention préalable de l’eau
pompée au fil du soleil, suivie d’un contrôle de son versement au pied de la plante.
3-Un dispositif de rétention est finalement nécessaire pour les périodes D’ensoleillement
insuffisant. Une quantité d’eau supplémentaire doit être étudiée en fonction de l’autonomie
recherchée.
Le volume de stockage est souvent dimensionné entre 60% et 100% du volume moyen journalier de
l'eau pompée. Mais les dimensions peuvent varier en fonction des situations. Le coût du réservoir
peut être élevé (réservoir surélevé, tuyauterie). Les matériaux et les
Méthodes utilisés pour construire les réservoirs varient selon les qualifications locales et les
Matériaux disponibles. Les principaux matériaux utilisés dans la construction des réservoirs
De stockage sont :
- le ferrociment,
- la maçonnerie ou les blocs de béton,
- le béton renforcé avec du bambou,
- le plastique,
- le fer ou la tôle galvanisé.
2.3 .Choix et Dimensionnement de la pompe :
Donnée de base d’une pompe :
• Débit
Quantité d’eau que la pompe peut fournir durant un intervalle de temps donné. En pompage, le débit
est habituellement donné en litres par heure (l/h).
En pompage solaire, le débit (ou le besoin en eau) est souvent exprimé en m3 par jour.
• Hauteur manométrique totale :
La hauteur manométrique totale (HMT) d’une pompe est la différence de pression en mètres de
colonne d’eau entre les orifices d’aspiration et de refoulement.
Donc après avoir calculé la hauteur manométrie HMT et le besoin journalier de l’eau on peut
déterminer la pompe convenable pour notre installation a partir de graphe suivant.
Eh = g ρa Va HMT / 3600
Avec
Eh : énergie hydraulique (Wh/jour)
HMT : hauteur manométrique totale (m)
Va : volume d’eau (m3/jour)
ρa : densité de l’eau (1000 kg/m3)
g : accélération de la pesanteur (9,81m/s2)
Ou
Est habituellement exprimé en KWh
Le climat du site :
Il faut disposer :
-le gisement solaire : les données moyennes du rayonnement solaire les douze mois de l’année sont
nécessaires pour une bonne détermination de la ressource énergétique disponible.
- la température : élément important pour prendre en compte son impact sur le rendement des
modules PV
Nt
Ns
Np
« Dimensionner », c’est fixer la « taille », les caractéristiques optimales de chaque élément d’un
système dont on connait la configuration.
Donc la conception d'un système photovoltaïque est le résultat d'une optimisation réalisée par itération.
2. Procédure de dimensionnement du photovoltaïque autonome :
Pour faire les bons choix quand on s'équipe d'une source d'énergie autonome, il est important de faire
un certain nombre de calculs et de suivre des étapes permettant de déterminer le matériel le mieux
adapté. On appelle cela un dimensionnement.
La première des 6 étapes consiste à déterminer le moment où nous avons besoin d'électricité, et à
mesurer la consommation. Cette étape comporte peu de calculs, mais demande relativement beaucoup
de réflexion car une erreur à ce stade faussera vos résultats jusqu'à la fin.
a) Périodicité
Ce que l'on appelle la périodicité est en fait le rythme de la consommation d'électricité. Elle peut
être « continue » (chaque jour de l'année) ou « périodique » (pendant les vacances, le weekend, …).
Cette périodicité détermine le rapport qu'il doit y avoir entre la quantité de modules et la quantité de
batteries.
Il faut déterminer la durée des périodes de charge et de décharge, c'est à dire la durée pendant
laquelle on va produire et stocker l'électricité, et la durée pendant laquelle on va l'utiliser. Ces périodes
peuvent être légèrement sous évaluées (durée de charge plus courte et décharge plus longue) afin de
conserver une certaine souplesse.
b) Consommation
Pour calculer la consommation, on doit multiplier la durée d'utilisation moyenne des appareils par
leur puissance, et additionner l'ensemble pour connaitre la consommation totale
[ ] ∑
Avec la puissance corrigée est le rapport de puissance nominale par le facteur de correction (= 1
pour charges DC et pour charges AC le facteur de correction = l’efficacité de l’onduleur)
[ ]
Et
C’est le rapport d’énergie journalière total sur le voltage de la batterie (dépond de la tension d’entrée
de l’onduleur)
[ ]
d) La puissance maximale
La puissance AC maximale
La puissance DC maximale
Après avoir calculé nos besoins en électricité, et on dispose de deux résultats importants pour les
étapes suivantes :
Nous connaissons maintenant la quantité d'électricité nécessaire, et le temps dont nous disposons
pour la produire. L'étape suivante consiste à calculer la quantité de modules photovoltaïques que l'on
devra posséder pour couvrir ces besoins. Il faut pour cela calculer l'énergie que les modules doivent
L'objet de cette sous-partie est de savoir dimensionner le champ photovoltaïque d'une installation
photovoltaïque autonome.
- Il faut d’abord connaitre l’inclinaison optimale qui égale latitude + 15°.
- Et aussi le mois de dimensionnement :
C’est le rapport entre l’énergie totale demandée par jour et l’efficacité des batteries d’où :
Pour le calculer on multiple Uppm avec l’efficacité de la batterie a partir de la relation suivante :
[ ]
C’est le rapport entre le nombre de module requis pour assurer le besoin énergétique et le nombre de
modules en série (majoré) d’où :
On multiple le nombre de modules en série (majoré) avec nombre de modules en parallèle (majoré)
suivant la relation :
l) La puissance installée :
Il faut d’abord connaître la consommation d’électricité, et avoir calculé la production des modules
que l’on installera. Pour dimensionner ses batteries, il ne reste plus qu’à se poser trois questions :
Quelle est la quantité d'énergie que nous devons stocker au minimum pour couvrir nos
besoins ?
Quelle est la durée d'autonomie que l’on choisi en cas de problème avec l’installation ?
A quel point allons-nous solliciter les batteries (choisir la profondeur de décharge) ?
En fonction de tous ces critères, il sera alors possible de calculer la capacité des batteries.
1. Tout d’abord, plus on permet aux batteries de se décharger profondément, plus on réduit le
nombre de batteries nécessaires. En effet, une batterie que l’on décharge à 100% fournie
autant d’énergie que deux batteries identiques que l’on décharge à 50%. On économise donc
sur le coût initial de l’installation.
2. Cependant, la durée de vie d’une batterie est directement proportionnelle à sa profondeur de
décharge. Ainsi, une batterie que l’on décharge à 100% vivra deux fois moins longtemps
qu’une batterie que l’on décharge à 50%.
3. L'autonomie et la profondeur de décharge n'ont pas vraiment la même fonction, mais elles
permettent toutes les deux d'avoir une marge de sécurité en cas de gros imprévu. Il n'est donc
pas nécessaire de les cumuler. En cas de problèmes, il n'est pas dramatique de vider
entièrement les batteries à condition que cela reste relativement rare et qu'elles puissent se
recharger rapidement. Pour les installations dont l'utilisation sera périodique (weekend,
vacances), la profondeur de décharge peut également servir de réserve d'urgence et
remplacer l'autonomie. En effet, rien n'empêche la batterie de se vider complètement : la
profondeur de décharge n'est qu'un seuil que l'on choisit de ne pas dépasser dans le cadre
d'une utilisation normale.
On utilise donc plutôt l'autonomie dans les utilisations continues, et la profondeur de décharge dans
les utilisations périodiques. Dans notre étude en travail sur les utilisations continues, donc on va utiliser
nombre de jour d’autonomie
Jusqu'à présent nous avons utilisé le Wh comme unité dans nos calculs, mais la capacité d'une
batterie s'exprime davantage en Ampère-heure (Ah). Pour convertir nos résultats, il suffit de les diviser
par la tension des batteries :
Les batteries que nous allons choisir doivent tenir compte des précédents paramètres.
Pour cela, il faut les intégrer dans l'équation permettant de définir la capacité de la batterie :
C’est le rapport de la demande totale journalière 0,75 sur la capacité totale des batteries
Il existe deux types de régulateurs : les régulateurs de charge, et les régulateurs de charge/décharge.
Les premiers sont les plus simples et les moins chères car ils ne contrôlent que la charge de la batterie.
Les surcharges sont donc évitées, mais ils n’ont pas d’autre fonction. Ils peuvent toutefois convenir à
une installation pour laquelle on est sûr de ne jamais épuiser complètement les batteries. Dans le cas
contraire, les régulateurs de charge/décharge sont plus adaptés car ils permettent également d’éviter les
décharges profondes en coupant l’alimentation de tout ou partie des appareils électriques.
a) Tension et intensité
TENSION D’ENTRÉE :
La tension du régulateur est imposée par celle des modules. Ceux-ci produisent l'électricité avec une
tension de 12Vdc, 24Vdc et même jusqu'à 48Vdc. La "tension d'entrée" du régulateur doit donc être
identique. Remarque : lorsque les modules sont connectés en série, c'est la tension obtenue qui nous
intéresse. Avec deux modules de 12Vdc en série, la tension d'entrée du régulateur sera donc de 24Vdc.
TENSION DE SORTIE :
Il est rare que la tension de sortie soit différente de la tension d'entrée, mais certains régulateurs haut
de gamme peuvent proposer ce choix. Si ce n'est pas le cas, la tension de sortie du régulateur, les
batteries, le convertisseur de courant ou les appareils électriques devront tous avoir la même tension
que les modules, à savoir 12Vdc, 24Vdc ou 48Vdc.
INTENSITÉ D’ENTRÉE :
INTENSITÉ DE SORTIE :
Cela ne concerne que les régulateurs contrôlant la décharge. La démarche est la même que pour
l'intensité d'entrée, sauf qu'il faut additionner les intensités maximum que chaque appareil peut
consommer.
a) Choix du convertisseur
La tension d'entrée : c'est la même que la tension des batteries ou du régulateur (12, 24 ou 48V
DC).
La tension de sortie
La puissance nominale
La puissance maximale
Le rendement
b) Utilité du convertisseur
Il n'est pas nécessaire d'avoir un convertisseur de courant dans son installation photovoltaïque. Tout
dépend des appareils que vous voulez alimenter en électricité.
Jusqu'à présent, le courant électrique qui circulait dans les différents instruments que vous avez
dimensionné était continu (DC). Étant donné que la plupart des appareils du quotidien fonctionnent en
courant alternatif (AC), il faut se demander si l'utilité d'un onduleur se justifie ou non. C'est un choix
d'ordre économique car son prix est relativement élevé, et une partie de l'électricité transformée est
perdue (au minimum 10%). L'autre solution consiste à s'équiper d'appareils qui fonctionnent
directement en courant continu.
III. Dimensionnement de l’installation de ECS.
Le dimensionnement de l'installation (champ de capteurs et volume de stockage) se fera de Préférence
en fonction d'un optimum économique, défini comme la taille de système pour Laquelle
l'investissement solaire net par kWh de combustible économisé sur 25 années de Fonctionnement de
l'installation est minimum.
1. Estimation des besoins
La connaissance des besoins en eau chaude sanitaire est primordiale pour bien dimensionner un
chauffe-eau solaire. Il est recommandé de se baser sur les consommations réelles d’eau chaude. Il est
utile de rappeler que la quantité dépend aussi de la température.
Consommation moyenne d’eau chaude à 60°C :
b. source d’eau
-Qualité de l’eau : l’eau est de bonne qualité pour l’irrigation chargée en sable
-Donc la filtration : hydro cyclone plus filtre à disques
-Ni algues ni bactéries
Besoins de l’eau
=0.08911
HMT = Hg + Pc=33+8.95=41.95m
On a la hauteur géométrique donnée, Hg=33m
=15206.4Wh/jour
L’énergie électrique :
=34560Wh/jour
Nous aurons donc a installé une pompe de puissance électrique égale à 3.013KW.
3. dimensionnement du champ photovoltaïque.
= = 2
I. DAYAT HACHLAF
Pour le site à équiper, il faut disposer de :
Diamètre de la conduite 70 mm
Type de la conduite PVC PN 5 bar
Longueur de la tuyauterie 40 m
HMT 41.9m
Débit de la pompe 26m3/h
Puissance de la pompe 5.5 KW
Marque Pedrollo
Variateur de fréquence :
Marque FRECON
Numéro de série FR200-4T-5.5B
Puissance 5.5 KW
Caractéristiques Champ photovoltaïque :
Type Cuivre
Section du câble DC 10 mm2
Longueur du câble DC 30 m
Section du câble AC 16 mm2
Longueur totale du câble AC 225 m
Il reste d’autre composants pour l’installation et qui sont pour l’installateur à ajuster et à choisir :
- Armoire, disjoncteur, relais de niveau et bornes de connexion
- Boitiers de jonction des modules.
- Accessoires : les cosses, pince croché.
- Supports des modules photovoltaïques.
Schéma générale de l’installation
Résultats
a) Les panneaux PV
Résultats
Energie totale demandée par jour 4212
Voltage de fonctionnement du module PV 31.25
Puissance module PV 270
Nombre de modules en série (majoré) 2
Nombre de modules en parallèle (majoré) 2
Nombre de modules à acheter 4
Puissance installée en (Wc) 1080
- L’onduleur à mettre en place doit avoir une tension d’entrée continue de 24 V et fournir une
tension alternative de 230 V à une efficacité de 0,88
Cahier de charge :
Objet Culture Resource d’eau Adresse
Donnée de base
Le niveau de pronfondeure de la pompe est à210 m et
Besoins de l’eau
2. DIMENSIONNEMENT DE LA CAPACITE DE STOCKAGE DE L’EAU
Dans notre cas présent, le réservoir a été dimensionné à 4m de hauteur et à une capacité de388 qui est
approximativement Va+3 de la capacité journalière
Calcule le volume de basane :
On a le débit journalier d’eau 97m3/jour.
Donc :
V=97+3
Le volume de bassin est :
V= 4 8=416m3
=58275Wh/jour
Pour bien choisir la bonne pompe, on peut utiliser un abaque (HMT=f(Q)) permettant de savoir la conception
(centrifuge)
On distingue les onduleurs de tension et les onduleurs de courant, en fonction de la source d’entrée
continue : source de tension ou source de courant. La technologie des onduleurs de tension est la plus
maîtrisée et est présente dans la plupart des systèmes industriels, dans toutes les gammes de puissance
(quelques Watts à plusieurs MW).
Dans le cas d’une connexion directe le point de fonctionnement du GPV dépend de l’impédance de la
charge à laquelle il est connecté.
Fig(VI.3): Les points de fonctionnement d'un générateur photovoltaïque pour les trois
types de charges
De ces trois points de fonctionnement A, B, C de puissances respectives PA, PB, PC ;
on peut constater que le générateur photovoltaïque est mal exploité. De plus, selon les caractéristiques
de la charge sur laquelle le générateur photovoltaïque débite, nous pouvons trouver un très grand écart
entre la puissance potentielle du générateur et celle réellement transférée à la charge en mode connexion
directe, la différence étant perdue sous forme de chaleur dissipée dans le générateur.
Puisque certaines charges ont besoin de tensions et courants alternatifs, la connexion directe entre la
source est la charge n’est pas toujours valable car le générateur photovoltaïque fournit des courants
continus, de ce fait on a besoin d’ajouter un étage d’adaptation entre la source et la charge
Il existe environ une vingtaine de méthodes de recherche du point de puissance maximale d’un champ
de modules (Maximum Power Point Tracking), dont l’efficacité et la rapidité varient.
Les deux méthodes les plus couramment rencontrées sont celles dites du Hill-Climbing et du P&O
(Perturb and Observe). Ces deux méthodes fonctionnent sur le même principe qui consiste à perturber le
fonctionnement du système et à analyser ensuite comment le système réagit à cette perturbation :
modification du rapport cyclique de hachage pour la méthode de Hill-Climbing, modification de la
tension aux bornes du champ de modules photovoltaïques pour la méthode P&O. Le fait de modifier le
rendement de conversion de l’onduleur perturbe le courant continu issu des modules et par conséquent
la tension à leurs bornes et la puissance instantanée délivrée.
Ces deux méthodes sont donc basées sur le contrôle de la puissance instantanée délivrée par le champ de
modules PV en fonction de variations de la tension continue aux bornes du champ PV.
2. L’outil Matlab/Simulink.
MATLAB fait également partie d'un ensemble d'outils intégrés dédiés au traitement du Signal. En
complément du noyau de calcul Matlab, l'environnement comprend des modules optionnels qui sont
parfaitement intégrés à l'ensemble :
Le champ PV est constitué de modules connectés en série et en parallèle pour obtenir la puissance
souhaitée. Chaque module est lui-même composé de cellules. Pour la modélisation du champ PV, nous
partirons donc de l’élément de base qui est la cellule.
De nos jours il existe plusieurs modèles électriques de la cellule : on a le modèle à une diode, à deux
diodes, et à trois diodes.
Le modèle à une diode offre un bon compromis entre simplicité et précision : il apparaît très adapté à
notre étude.
Ce modèle est constitué de photo-courant, de diode, de résistance parallèle, et de résistance série
comme l’indique la Figure 1L’équation de la caractéristique tension courant de la cellule solaire est
donnée par l’équation
Le photon-courant
Le photon-courant est proportionnel à l’éclairement et dépend aussi de la température. Son expression
est la suivante
Avec
Is : Courant de Saturation ;
Vth : Tension thermique
Shunt courant
( )
[ ]
Ils sont souvent utilisés comme une interface d’adaptation qui assure la poursuite du point de puissance
maximale selon des stratégies de contrôle spécifiques.
Les panneaux solaires et la charge peuvent être soit de nature capacitive (source de tension), soit de
nature inductive (source de courant). La charge peut être de nature résistive aussi.
Hacheur Buck
C'est un convertisseur direct DC-DC. La source d'entrée est de type tension continue et la charge de
sortie continue de type source de courant. L'interrupteur K figure (II.12) peut être remplacé par un
transistor puisque le courant est toujours positif et que les commutations doivent être commandées (au
blocage et à l'amorçage).
Hacheur boost
C’est un convertisseur direct DC-DC. La source d'entrée est de type courant continu (inductance en série
avec une source de tension) et la charge de sortie est de type tension continue (condensateur en parallèle
avec la charge résistive). L'interrupteur K figure(II.14) peut être remplacé par un transistor puisque le
courant est toujours positif et que les commutations doivent être commandées (au blocage et à
l'amorçage).
Nous avons simulé le fonctionnement du système avec éclairement et température fixe puis nous simulé
le cas avec une variation de température. Les résultats de simulation présentent l’évolution du courant,
tension et puissance au niveau de la charge.
Cas température fixe :
La figure(VI.19) montre un établissement de la tension faiblement oscillant qui devient constant au
régime permanent.
La figure(VI.20) montre l’établissement du courant faiblement oscillant qui devient constant au régime
permanent.
La figure(VI.21) montre l’évolution de la puissance consommée par la charge. On note qu’elle est
légèrement inférieure à celle générée par le panneau PV, aussi elle présente de faible oscillation et elle
est constante au régime permanent.
La charge utilisée sur le côté (DC) est une résistance idéal (R=1600Ω)
La figure (III.6) illustre le bloc schématique de SIMULINK du système photovoltaïque adapté par la
commande MPPT « perturbation et observation »:
III. Conclusion
Dans ce chapitre nous avons étudié la commande MPPT, son principe, quelque méthode de mise en
œuvre en particulier nous avons développé la méthode dite perturbe et observe cette commande MPPT
numérique utilise directement la tension et le courant du panneau photovoltaïque pour chercher le point
de fonctionnement correspondant à la puissance maximale. Puis nous avons fait une application de la
commande MPPT choisie sur le système
PV associant panneau PV – hacheur – charge pour une variation de la température. Les résultats de
simulation montre un fonctionnement satisfaisant malgré les faibles oscillations sur la tension et la
puissance générée et au niveau de la charge.
Ce stage a été pour nous une bonne opportunité pour approfondir nos connaissances dans le domaine
pratique. Ainsi, savoir que la vie professionnelle est tout à fait différente de celle des études, et que
chaque formation a besoin d’une pratique pour pouvoir bien la maîtriser. Notre sujet est traité les
installations photovoltaïques grâce la formation solide que nous avons acquérir en Licences
professionnel a EST Fès nous avons fait cet étude en bonne condition, aucun problème trouvez au
niveau de organisation des taches et le gestion de temps, nous avons trouvez des contraints au niveau
technique, ce sujet permet nous d’intégré tout simple au monde industriel.
[2] : B. Gori, « modélisation et simulation d’un système PV adapté par une commande MPPT
analogique », Mémoire d’Ingéniorat, université Ouargla, 2011 [2] : WIKIPEDIA
[3] : strategie marocain energie renouvelablehttp://giz-energy.ma/contexte-energetique/la-strategie-
energetique-nationale/
[8] : http://www.expocarrelage.com/expo/scripts/trucs/pdf/FT%20-%20Norme%20UNE-EN.pdf