Test Abpsp Et Corrige
Test Abpsp Et Corrige
Test Abpsp Et Corrige
DE SCIENCES-PHYSIQUES (ABPSP)
Examen Blanc du BAC (7ème édition)
Série : D
Session de Mai 2016
Durée : 4 heures
CHIMIE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Pour préparer un test de recrutement au poste de technicien de laboratoire d’un collège, Vignon
se rapproche de son professeur de PCT. Ce dernier le soumet à une série de tâches à savoir :
- l’identification de cinq solutions contenues dans cinq flacons non étiquetés ;
- la préparation de solutions tampon ;
- la synthèse d’un dipeptide P;
- la détermination des formules semi-développées et des noms de quelques composés
organiques dans une série de réactions chimiques.
Support
• Les cinq solutions à identifier
S1 : Solution d’acide chlorhydrique (ou de HCl)
S2 : Solution d’ammoniac (NH3)
S3 : Solution d’hydroxyde de calcium (ou de Ca(OH)2)
S4 : Solution d’acide méthanoïque (HCOOH)
S5 : Solution de sulfate d’ammonium (ou de (NH4)2SO4)
• Toutes les cinq solutions ont la même molarité C = 5.10-2 mol/L
• Tableau N° 1 : Valeurs du pH du contenu de chacun des cinq flacons
N° du flacon 1 2 3 4 5
1.
1.1 Identifier les solutions se trouvant dans chaque flacon numéroté.
1.2 Indiquer parmi les solutions identifiées, les possibilités de mélange de deux solutions qui
permettent d’obtenir les solutions tampon T1 puis T2.
1.3 Déterminer les volumes des deux solutions à mélanger pour préparer la solution tampon T1.
2.
2.1 Faire le schéma annoté du dispositif de dosage.
2.2 Tracer la courbe du dosage pH = f(Va) et exploiter cette courbe pour déterminer la masse
molaire de l’acide -aminé X.
2.3 Ecrire les formules semi-développées et les noms en nomenclature officielle de l’acide
- aminé X et du composé organique A.
3.
3.1 -Donner sa représentation de Fischer de la molécule de l’alanine.
- Ecrire la formule semi-développée du dipeptide P et préciser les étapes de sa synthèse.
3.2 Déterminer les formules semi-développées et les noms des composés E, F, G et I qui
interviennent dans les réactions (1), (2), (3) et (4).
- Donner le nom et les caractéristiques de chacune des réactions (2) et (3).
3.3 - Ecrire l’équation-bilan de la réaction (6)
- Calculer le volume minimal V0 de la solution de dichromate de potassium nécessaire à
l’obtention de la masse m d’acide oxalique.
PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE
Contexte :
Des élèves en classe de terminale scientifique ont opté, au cours d’une séance
d’entraînement, pour l’étude du phénomène de résonance d’intensité d’un circuit (R, L, C) ; pour
la construction d’images d’un objet à travers des lentilles minces. Leur professeur de PCT de
passage a profiter pour leur fournir quelques explications sur les spectres atomiques.
Support
- Aux bornes du dipôle (R, L, C) série, on applique une tension alternative sinusoïdale u(t) de
fréquence N réglable et de valeur efficace U constante. On remarque, à l’aide d’un ampèremètre
en mode AC, que la valeur efficace I de l’intensité du courant électrique dans le circuit varie et
passe par une valeur efficace maximale I0 pour valeur N0 de la fréquence.
• U = 4,24 V
• I0 = 212 mA ; N0 = 125 Hz
• Pour deux fréquences N1 et N2 délimitant la bande passante, on a : I =
√
et N2 = 257 Hz.
• Sur la voie A, on visualise la tension u(t) aux bornes du générateur et sur la voie B on visualise
l’intensité i(t) dans le circuit.
• Sensibilité horizontale : 2 ms/div
• Sensibilité verticale sur les deux voies 1 V/ div
• Situation n°2 : les deux lentilles L1 et L2 sont disposées telles que O O = +50 cm. L’objet AB
plus grande que l’objet AB.
= 200 =589 .
- On donne les longueurs d’onde suivantes :
0 Etat ionisé
⬚
"
⬚
E5 = -0,85
- Lors du passage de l’état excité d’énergie E4 à
⬚
l’état fondamental, il y a émission d’une raie de E4
⬚
!
longueur d’onde = 330 nm.
⬚
E3 = - 1,52 Etats excités
⬚
- Lors du passage de l’état excité d’énergie E2 à
E2 = - 1,94
⬚
l’état excité d’énergie E1, il y a émission d’une
raie de longueur d’onde = 1138 nm E1
Figure 1
1.
1.1 Faire le schéma du circuit électrique réalisé pour étudier le phénomène de la résonance.
Donner l’allure de la courbe I = f(N) obtenue.
1.2 Etablir, en fonction de L, R, r et C, les expressions des fréquences N1 et N2 délimitant la bande
passante.
- Montrer que N1.N2 = N02.
- Calculer les valeurs de N1, r, L et C.
1.3 Représenter l’aspect de l’écran de l’oscilloscope pour la fréquence N0.
2.
2.1 Indiquer la nature de chacune des lentilles L1 et L2.
Préciser justification à l’appui, la lentille qu’il faut utiliser dans la situation n°1 et donner la
nature de l’objet AB.
2.2 Déterminer par calcul, les caractéristiques de l’image A’B’ de l’objet AB à travers le système
constitué par les deux lentilles L1 et L2.
2.3 Trouver la distance focale f’ de l’unique lentille L qui permettrait de produire à partir de
l’objet AB, une image de mêmes caractéristiques que A’B’.
3.
3.1 Expliquer la discontinuité des niveaux d’énergie de l’atome de sodium et calculer son énergie
d’ionisation.
3.2 Calculer E4 et E1.
SUJET
Compétences disciplinaires évaluées :
CD 1 : Elaborer une explication d’un fait ou d’un phénomène de son environnement naturel ou construit en mettant en
œuvre les modes de raisonnement propres à la Physique, à la Chimie et à la Technologie (P.C.T).
CD 2 : Exploiter la physique, la chimie et la démarche technologique dans la production, l'utilisation et la réparation
d'objets techniques.
CD 3 : Apprécier l’apport de la physique, de la chimie et de la technologie (P.C.T) à la vie de l’homme.
Critère de perfectionnement : Communiquer de façon précise et appropriée.
CHIMIE ET TECHNOLOGIE
Contexte
L’organisme de certains individus n’arrive pas à synthétiser à partir de la viande, des poissons et
des produits laitiers, la masse minimale de glycine qui permet d’assurer la régulation du foie et la
production de l’hormone de croissance. De même, les diabétiques sont obligés de contrôler leur
régime alimentaire pour ne pas avoir un excès de sucre dans le sang. Ils préfèrent consommer de
l’aspartame qui est un édulcorant. Un diabétique désire savoir d’une part, si la boisson (eau
aromatisée) qu’il consomme lui fait respecter la dose journalière admissible en aspartame (DJA) et
d’autre part, exploiter des procédés lui permettant de synthétiser artificiellement la masse de la
glycine dont il a besoin au quotidien.
Support
Masses molaires atomiques en g / mol : H : 1 ; C : 12 ; O : 16 ; N : 14 et Cl : 35,5.
Informations relatives à l’aspartame et à la DJA.
Voici ci-dessous, les formules semi-développées de l’aspartame et des produits A, B et C de son
hydrolyse.
Aspartame
- L'aspartame est un édulcorant artificiel à fort pouvoir sucrant mais à faible pouvoir calorifique. Il est
utilisé dans les boissons et aliments à faible apport calorique. La consommation d''aspartame ne
conduit pas aux inconvénients du sucre sur l'organisme d'un diabétique. Mais, à long à terme, elle
- La boisson (eau aromatisée) utilisée par le diabétique contient m1 = 50 mg d'aspartame par litre et
constitue la seule source d'aspartame dans son alimentation.
Page 1 sur 5
- La dose journalière admissible (DJA) pour l'aspartame est de 40 mg par kilogramme de masse
corporelle.
L’organisme d’un individu doit en synthétiser par jour, au moins m = 600 mg de glycine pour assurer
A propos de la synthèse de la glycine
m= 600 mg de glycine qui lui est nécessaire par jour et une masse m de chlorure d’ammonium.
- La masse m de chlorure d’ammonium obtenu est dissoute dans l’eau distillée pour préparer
V! = 1 L d’une solution S.
On donne : #$ % (&'() / &'+ ) = 9,2.
, − -'-. − -//' + 1&'+ 2334 , − -'(&'1 ) − -//' +&'( -.
♣ Deuxième procédé de préparation de la glycine
La décarboxylation de la sérine (5675 − 75(85 ) − 7665 ) et l’oxydation ménagée du produit
obtenu conduit à la glycine selon les schémas réactionnels (a) et (b) ci-dessous.
9:;<
(a) : 5675 − 75(85 ) − 7665 2334 = + 76
(b) : = + >?6@A (B? BCDèE) → 5 8 − 75 − 7665 + ⋯
couples redox : MK OA
@ / MK ; H N − CH − COOH / A.
)
1.
1.1- Entourer et nommer les quatre groupes fonctionnels caractéristiques de la molécule
d’aspartame.
Page 2 sur 5
1.2- Indiquer une méthode de préparation de l’aspartame à partir des composés A, B et C.
1.3- Vérifier si le diabétique respecte la DJA d’aspartame.
2.
2.1- Décrire le mode opératoire de la préparation du volume V de la solution
2.2- Déterminer le volume V de la solution d’ammoniac utilisé et la masse m de chlorure
d’ammoniaque.
PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Dans la conception des moteurs à essence, le système d’allumage classique s’appuie sur
l’électromagnétisme et sur les oscillations électriques. La production des étincelles aux bornes d’une
bougie provoquant la mise en marche du moteur cache une suite de phénomènes physiques à travers des
composants électriques à caractéristiques spécifiques. Les résultats d’expériences des experts permettent
de déterminer les grandeurs caractéristiques de certains composants.
Support
Description du fonctionnement du système d’allumage classique dans un moteur à essence
L’inflammation du mélange air-essence dans un moteur est provoquée par une étincelle qui jaillit entre
les bornes d’une bougie d’allumage. Cette étincelle apparaît lorsque la valeur absolue de la tension aux
bornes de la bougie est supérieure ou égale à dix mille volts (10 000 volts)
Le circuit électrique du système d’allumage modélisé comme schématisé ci-dessous comprend un circuit
primaire, un transformateur et un circuit secondaire. I r
R
Transformateur
r
E L
Figure 3
Page 3 sur 5
Le rupteur est un interrupteur commandé par le mouvement mécanique du moteur qui impose au
système un fonctionnement en deux étapes.
de la variation temporaire de la tension u (t) réellement observée est représenté comme ci-dessous
l’intensité du courant dans le circuit primaire et α une constante positive indépendante du temps. L’allure
u ( en 10@ V)
1,5
0,5
t( ms)
0 4 8 10 12 14 16 18
− 0,5
−1
− 1,5
Page 4 sur 5
Tâche : Expliquer des faits et décrire l’utilisation du matériel.
1.
1.1. -Déterminer l’intensité I du courant électrique dans le circuit du primaire en régime permanent
lorsque le rupteur est fermé (figure 2).
1.2. -Expliquer lorsque le circuit du primaire s’ouvre l’importance du condensateur placé aux bornes du
rupteur (figure 1).
1.3. Déterminer la variation du flux propre à travers la bobine du circuit du primaire lorsque le rupteur
est fermé.
2.
2.1. Expliquer lorsque le circuit du primaire s’ouvre l’apparition d’une tension électrique u aux bornes
de la bougie.
2.2. Montrer en s’appuyant sur la figure 3 que, lorsque le circuit du primaire s’ouvre, les équations
+n + no q = n
\< l m \l q
2.3. Expliquer pourquoi l’amplitude décroît au cours du temps et déterminer graphiquement la durée
du train d’étincelles aux bornes de la bougie.
3.
3.1. Faire le schéma du montage électrique réalisé par les élèves pour :
• suivre la variation de l’intensité efficace I du courant en fonction de la fréquence N du
générateur ;
• visualiser la tension u(t) aux bornes du générateur et la tension us (t) aux bornes du
Bonne composition !
Page 5 sur 5
O
CHIMIE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Une structure spécialisée a été contactée pour satisfaire à ces trois besoins suivants :
- déterminer le pourcentage massique d’hydrogénosulfate de sodium contenu dans une poudre
appelée « pH MOINS » utilisée pour abaisser le pH des eaux des piscines ;
- revêtir un médaillon d’argent métallique ;
- préparer une solution tampon (T) d’acide 2 − aminopropanoïque.
Les opérations menées pour satisfaire cette requête sont soumises à des demandeurs d’emploi dans
cette structure de contrôle.
Support
A propos de la poudre utilisée pour diminuer le pH des eaux des piscines
Une masse mଵ de cette poudre contenant l’hydrogénosulfate de sodium est dissoute dans de l’eau
pour obtenir un volume V d’une solution (S). On ajoute ensuite à la solution (S) une masse mଶ
concentration Cୟ en présence d’un indicateur coloré approprié. Le virage de ce dernier est observé
d’hydroxyde de sodium en excès. On dose l’excès de soude par une solution d’acide chlorhydrique de
hydrogénosulfate HSOି
On suppose que les propriétés acides de la solution (S) sont dues uniquement à la présence d’ion
ସ dans celle-ci.
Données :
Formule chimique de l’hydrogénosulfate de sodium : NaHSOସ .
Valeur du pKa du couple (HSOି ଶି
ସ /SOସ ) contenu dans la solution (S) : pKa = 1,9 à 25 °C
mଵ = 1,0 g ; V = 100 mL ; mଶ = 0,8 g ; Cୟ = 1,00 mol.Lିଵ; Vୟ = 12,2 mL
Masses molaires atomiques en g. molିଵ : M(Na) = 23 ; M(S) = 32 ; M(H) = 1 ; M(O) = 16
Page 1 sur 4
A propos du revêtement du médaillon d’argent métallique.
l’oxydation en milieu basique d’un aldéhyde X de formule brute ܥହ Hଵ O comportant un atome de
Pour revêtir la surface totale S du médaillon avec une couche d’argent d’épaisseur e, on réalise
carbone asymétrique, par le réactif de Tollens. Une masse m de cet aldéhyde a été utilisée pour
obtenir le dépôt d’argent nécessaire.
Données :
S = 25 mmଶ ; e = 3,5 mm
Masse volumique d’argent : ρ = 10,5.10ିଷkg.mିଷ
Masse molaire atomique en g. mol -1 : M(C)=12 ; M(H) =1 ; M(o)= 16 ; M(Ag) =108
Couple oxydant/réducteur mis en jeu dans le réactif de Tollens : Ag(NHଷ )ା
ଶ /Ag
Couple oxydant/réducteur relatif à l’aldéhyde : R − COO /R − CHO
ି
3.3 Décrire un mode opératoire permettant d’obtenir la solution (T) à partir des solutions S
3.2 Préciser les propriétés de la solution (T).
et Sଵ .
Page 2 sur 4
PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Un collège d’enseignement général a reçu du matériel pour accompagner la mise en œuvre de
l’enseignement apprentissage évaluation de la PCT. Dans le lot reçu se trouve des bobines inductives
et la lunette de Galilée.
Le laborantin décide de vérifier les caractéristiques de ce matériel à partir des expériences. Les
résultats de ces expériences sont soumis à des candidats à l’occasion d’un test d’évaluation des
connaissances.
Support
Vérification relative aux bobines inductives
• Inscription de la fiche technique des bobines
sans noyau L = 58 mH
Résistance des bobines : r = 10 Ω
Inductance : ൜
avec noyau L = 1,1H
• Première expérience
oscilloscope qui permet de visualiser sur la voie 1 la tension u aux bornes du GBF et sur la
que la tension efficace aux bornes du générateur est maintenue à la valeur constante U et un
I (m A)
N(Hz) 420 440 460 480 500 520 530 540 55 560 580 600 620 640 660 680
18,9 23,2 29,0 37,1 48,5 60,2 67,4 69,9 68,3 63,2 50,7 41,3 33,3 27,8 23,9 21
confondus. La première lentille Lଵ est une lentille convergente et de distance focale fଵᇱ . La
La lunette de Galilée est constituée de deux lentilles minces dont les axes optiques sont
Page 3 sur 4
deuxième lentille Lଶ est une lentille divergente de distance focale fଶᇱ . Les lentilles Lଵ et Lଶ de
la lunette sont distantes de O തതതതതതത
ଵ Oଶ = d Lଵ
grandissement est ߛ
et le
Tâche : Expliquer des faits, décrire l’utilisation du matériel approprié et apprécier l’apport de la
physique et technologie à la vie de l’homme.
1.
1.1 Représenter le spectre magnétique de la bobine pendant le passage du courant électrique lors
de la première expérience et expliquer le phénomène qui se produit après ouverture du
circuit.
1.2 Déterminer la résistance r et l’inductance L de la bobine utilisée et tirer une conclusion.
1.3 Etablir, en fonction du temps, l’expression de la f.é.m d’auto-induction après ouverture du
circuit.
2.
2.1 Faire le schéma du montage réalisé au cours de la deuxième expérience.
2.2 Déterminer graphiquement la largeur de la bande passante en fréquence et calculer le
facteur de qualité.
2.3 Déterminer les coordonnées du point de résonance et justifier que l’inscription de la fiche
technique de la bobine sans noyau est exacte.
3.
31. Déterminer par calcul les caractéristiques de l’image Aଵ Bଵ de l’objet AB à travers la
lentille Lଵ de la lunette de Galilée.
32. Déterminer graphiquement les caractéristiques de l’image définitive A’B’ puis vérifier par
33. Calculer la distance dᇱ entre les centres optiques des lentilles Lଵ et Lଶ pour qu’un œil
calcul le grandissement de cette lunette.
normal voie une image Aଶ Bଶ donnée par cette lunette sans accommodation.
FIN
Page 4 sur 4
O
CHIMIE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Dans les industries cosmétiques, des composés organiques sont ajoutés comme additifs pour assurer
des fonctions spécifiques. C’est le cas par exemple pour certaine crème à raser où :
- des parabènes sont utilisés pour empêcher la prolifération des bactéries et des champions ;
- la triéthanolamine, une substance chimique organique qui est à la fois une amine tertiaire et un
trialcool, stabilise le pH du produit.
On s’intéresse à la structure de ces composés organiques, à certaines de leurs propriétés chimiques et
à la préparation d’une crème à raser.
Support
Masses molaires atomiques en g. molିଵ : M(H) = 1 ; M(O) = 16 ; M(C) = 12 ; M(N) = 14
A propos des parabènes
• Formule des parabènes O
Les parabènes sont des composés dont la formule est sous la forme : OH– –C
O −R
avec R- un groupe alkyle saturé.
• Détermination de la fomule d’un parabène E contenu dans une crème à raser
- L’hydrolyse d’un parabène E donne un acide AH et un alcool X.
- Une masse m୶ de l’alcool X réagit avec le sodium métal et on recueille un volume V de gaz.
- L’oxydation ménagée de X en présence de la solution de dichromate de potassium en défaut
donne un composé Y qui réagit positivement avec la 2,4-DNPH et avec la liqueur de Fehling en
milieu basique.
- On donne : m୶ = 4,5 g ; V = 840 cm3; volume molaire Vm = 22,4 L. molିଵ
Couple oxydant/réducteur relatif à la liqueur de Fehling Cuଶା /Cuଶ O
• Synthèse du parabène E
- Pour préparer une masse m = 19,2 g de parabène E, on introduit en quantité équimolaire
dans un ballon en verre :
1
un volume V = 500 mL d’une solution Sa de l’acide AH ;
un volume V୶ =12 mL de l’alcool X ;
un volume V = 2 mL d’acide sulfurique concentré.
- Autres données : Masse volumique de l’alcool X : ρ = 0,80 g. cmିଷ ;
A propos de la triéthanolamine
• La triéthanolamine (notée B) est un composé organique de formule ሺHOCHଶ − CHଶ ሻ௫ N avec ݔun
entier à déterminer. La molécule de B renferme 9,4 % en masse d’azote.
• Propriétés chimiques
- Pour stabiliser le pH des produits cosmétiques, on utilise un volume V = 250 mL d’une solution
S de pH = 8 soigneusement préparée à partir de deux solutions Sଵ et Sଶ de même concentration
molaire C = 10ିଵ mol. Lିଵ .
- Sଵ : solution de la triéthanolamine et Sଶ : solution d’acide chlorhydrique
- Valeur du pKa du couple (ion triéthanolammonium / triéthanolamine) : pKa = 7,8 à 25 °C.
- On négligera les concentrations molaires des ions hydronium et hydroxyde devant celles des
autres espèces chimiques dans le mélange.
A propos de la crème à raser
• Les crèmes à raser sont préparées à partir des huiles végétales et de la solution concentrée de
d’hydroxyde de potassium (K ା + OH ି ). Les parabènes, la triéthanolamine, le parfum et les
colorants sont des additifs au choix
• On s’intéresse à la préparation d’une masse m = 150 g de la crème à raser par action de L’huile
d’amande avec la solution concentrée de d’hydroxyde de potassium.
• Données :
CHଶ − O − CO − Cଵ Hଷଷ
- L’huile d’amande contient 68,5 % en masse d’oléine
- Masse molaire moléculaire de l’oléine : M = 884 g. molିଵ . CH − O − CO − Cଵ Hଷଷ
- Masse molaire moléculaire de l’oléate de potassium :
CHଶ − O − CO − Cଵ Hଷଷ
Mᇱ = 320 g. molିଵ .
Tâche : Expliquer des faits, décrire l’utilisation du matériel Formule de l’oléine
approprié et apprécier l’apport de la chimie à la vie de l’homme.
1.
1.1 Déterminer les formules semi-développées de l’acide AH, de l’alcool X , du composé Y et du
parabène E.
1.2 Écrire l’équation-bilan traduisant le test positif donné par le composé Y avec la liqueur de
Fehling.
1.3 Calculer la concentration molaire Ca de l’acide AH et le pourcentage d’acide AH estérifié au
cours de la synthèse de parabène E.
2.
2.1 Prouver que B est à la fois une amine tertiaire et un trialcool et écrire l’équation-bilan de sa
réaction avec l’iodométhane.
2.2 Expliquer le caractère stabilisateur de la solution S
2.3 Déterminer les volumes Vଵ et Vଶ des solutions Sଵ et Sଶ à mélanger pour obtenir la solution
S .
2
3.
3.1 Ecrire l’équation globale de la réaction conduisant à la crème à raser.
3.2 Nommer et donner les caractéristiques de cette réaction.
3.3 Calculer la masse d’huile d’amande nécessaire pour la préparation de la masse m de la
crème à raser.
PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE
Contexte
La Physique, la Chimie et la Technologie se trouvent, entre autres, au cœur des questions liées au
divertissement, au bien-être et la lutte anti-fraude. Ces différentes questions sont le siège de
phénomènes physiques réels et complexes nécessitant la modélisation en vue d’une application
simplifiée des lois établies. On s’intéresse :
- au jeu de boulet qui met en jeu les lois de la mécanique ;
- aux oscillations électriques et mécaniques ;
- à la technique de détection des faux billets de banque.
Support
Par rapport au jeu du boulet A ݖ
D
• Schéma de la coupe verticale
du jeu de boulet α ݔ ݔ ݔ
ଵ ଶ
B C
• Le jeu consiste à : hେ
- régler la cible à atteindre
ࢉ࢈ࢋ
entre deux point Cଵ et Cଶ
d’abscisses respectives ݔଵ et ݔଶ
- lâcher, sans vitesse initiale en un point A du plan incliné de la piste ABC, un boulet de masse m
de telle façon qu’il atteigne la cible.
• Données :
- Pour un premier essai où D = 0,50 m la cible est telle que l’abscisse est comprise entre
ݔଵ = 0,55 m et ݔଶ = 0,60 m.
- α = 30° ; hେ = 0,40 m ; D = AB
- Les forces de frottement sur la piste ABC parfaitement lisse sont négligeables.
Par rapport aux oscillations électriques et mécaniques
• Oscillations mécanique de la remorque d’un véhicule X’
- La remorque d’un véhicule est modélisé comme ci- (S) G O
contre.
- Le solide (S) de masse M repose sur la barre B
rigide et fixe par l’intermédiaire de deux ressorts
Barre rigide X
verticaux identiques de raideur K. Au repos, chaque
et fixe
ressort est comprimé de Δℓ. Mais, lorsqu’on charge
la remorque en augmentant une masse m sur le solide (S), chaque ressort est comprimé d’une
longueur supplémentaire x . A la date t = 0 s, on élève cette charge et la remorque se met en
mouvement.
3
݅
• Oscillations électriques d’un circuit (L, C)
q
Il est constitué par un condensateur de capacité C et une bobine non C L
résistive d’inductance L montés comme l’indique la figure ci-contre.
L
• Données : M = 500 kg ; Δℓ = 15 cm ; m = 50 kg ; intensité de la pesanteur g = 10 m.s ିଶ.
• Données : Constante de Planck : h = 6,62 × 10ିଷସ J.s ;-Célérité de la lumière : c = 3× 10଼ m. ି ݏଵ
Tâche : Expliquer les faits, décrire l’utilisation du matériel approprié et apprécier l’apport de la
physique, de la chimie et de la technologie à la vie de l’homme.
1.
1.1 Déterminer les caractéristiques du vecteur vitesse du boulet au passage par le point C.
ሬԦ) et en fonction de D et α, l’équation cartésienne de la
1.2 Établir, dans le repère (C, Ԧı ; k
trajectoire du boulet après le point C.
1.3 Vérifier, pour le premier essai, si la cible est atteinte après avoir déterminé l’intervalle
de D qui permettrait de l’atteindre en cette position.
2.
2.1 Déterminer la constante de raideur K de chaque ressort et la compression x .
2.2 Prouver que la remorque du véhicule et le circuit (L, C) constituent respectivement
des oscillateurs harmoniques.
ଵ
Indiquer les grandeurs mécaniques analogues à : L, q, େ et ݅
2.3 Écrire l’équation horaire du solide (S).
3.
3.1 Représenter le diagramme énergétique de l’atome de sodium et justifier que l’énergie
de l’atome de sodium est quantifiée.
3.2 Déterminer les longueurs d’onde maximale et minimale des radiations lumineuses que
peut émettre chaque lampe à vapeur.
3.3 Identifier la lampe à vapeur la plus appropriée à la détection des faux billets de
banque.
FIN
4
ASSOCIATION BENINOISE DES PROFESSEURS
DE SCIENCES PHYSIQUES (ABPSP)
TEST ABPSP DU BAC (11ème édition)
Série : D
Session de Juin 2020
Durée : 4 heures
A / CHIMIE ET TECHNOLOGIE
Contexte
L’équilibre des réactions biochimiques est subordonné au maintien du pH dans une
fourchette relativement étroite en dehors de laquelle, les phénomènes faisant intervenir une
étape de reconnaissance moléculaire (respiration, transmission de l’influx nerveux, activité
hormonale ou enzymatique) ne peuvent plus avoir lieu. A des fins didactiques, on procède à :
- l’étude de l’influence du pH d’une eau de pluie sur la qualité de la vie aquatique ;
- la détermination du pouvoir tampon d’une solution ;
- l’analyse du protocole de synthèse d’un dipeptide.
Support
Masses molaires atomiques en 𝑔. 𝑚𝑜𝑙 −1 : 𝑀(𝐻 ) = 1 ; 𝑀(𝐶) = 12 ; 𝑀(𝑂) = 16 𝑀(𝑁) = 14
Page 1 sur 5
Graphe illustrant l’effet du pH sur la vie biologique dans les cours d’eau.
La reproduction des
poissons est affectée
𝑝𝐻 normal dans
Les poissons les cours d’eau
adultes meurent
𝒑𝑯
0 1 2 3 4 5 6 7
Tâche : Expliquer des faits, décrire l’utilisation du matériel et apprécier l’apport de la chimie
à la vie de l’homme.
1
1.1- Placer sur un axe gradué en pH, les domaines de prédominance des espèces chimiques
des couples de l'ion bicarbonate et préciser l'espèce majoritaire dans l’eau de pluie étudiée.
1.2- Apprécier la qualité (acide ou non) de l’eau de pluie étudiée.
1.3- Déterminer la valeur limite du rapport des concentrations [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] / [𝐻𝐶𝑂3− ] à partir
de laquelle les poissons adultes ne peuvent survivre dans un cours d’eau.
Page 2 sur 5
2-
2.1- Justifier que le 𝑝𝑘𝑎 du couple acide / base correspondant à la solution 𝑆1 vaut 𝛽.
2.2- Indiquer l’importance d’une solution tampon puis calculer les valeurs de 𝑉1 et de 𝑉2 .
2.3- Déterminer le pouvoir tampon de la solution T lorsqu’on lui ajoute de l’acide nitrique.
3
3.1- Justifier que l’acide alpha-aminé A possède cinq atomes de carbone.
3.2- Identifier les composés A, B et P par leurs formules semi-développées et noms.
3.3- Déterminer les formules semi-développées respectives des composés 𝐹, 𝐹 ′ , 𝐺, 𝐺 ′ , 𝐺 ′′ et
𝑃′ puis indiquer l’étape qu’il faut compléter à la série de réactions de (𝐸1 ) à (𝐸4 ) pour obtenir
le dipeptide P.
B / PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Le tournage des films documentaires nécessite des appareils pouvant capturer les images
sans attirer l’attention du sujet dont les gestes sont enregistrés. La technique spectaculaire
de capture des proies aériennes du « poisson archer » a été filmée grâce à un appareil électro-
optique. Ce sujet vise l’exploitation des données recueillies pour :
- apprécier la qualité de la technique de chasse du poisson prédateur ;
- vérifier l’efficacité de la caméra utilisée ;
- étudier la partie optique de la caméra.
Support
A propos de la technique de la chasse du poisson archer
Figure 1
Le poisson archer projette un puissant jet d’eau avec sa bouche pour faire tomber ses proies
à la surface de l’eau, avant de les attraper. Ici, la proie est une mouche posée sur une feuille
au-dessus de la surface de l’eau. Le jet d’eau supposé ponctuel percute l’insecte au moment
où il atteint le sommet de sa trajectoire.
L’intensité de la pesanteur est 𝑔 = 9,81 𝑚. 𝑠 −1 et la résistance de l’air est négligée.
Page 3 sur 5
Origine des dates : instant où le jet d’eau est projeté du point O.
Vitesse initiale du jet d’eau : 𝑉0 = 4 𝑚. 𝑠 −1
Valeur de la hauteur maximale : H = 75 cm ;
Temps de réaction de la mouche : t R = 0,5 s
4
3
2
1
0
0,5 1 1,5 2 2,5 3 t (s)
-1
-2
-3
Courbe 1 Courbe 2
Une diode électroluminescente (DEL) produit la lumière nécessaire à la capture des images
en émettant des flashs lumineux lorsque la tension électrique 𝑢𝐶 est positive.
L’œil du poisson archer arrive à distinguer deux flashs successifs si la durée d’extinction de la
DEL est supérieure à 𝜏 = 300 𝑚𝑠.
La caméra utilisée est efficace si elle n’attire pas l’attention du sujet filmé.
Page 4 sur 5
Tâche : Expliquer des faits et apprécier l’apport de la Physique à la vie de l’homme.
1.
1.1- Etablir dans le repère (O ; 𝑖⃗, 𝑗⃗ ), l’équation cartésienne de la trajectoire du jet d’eau.
√2 𝑔 𝐻
1.2- Justifier que l’angle α est donné par la relation sin 𝛼 = puis calculer sa valeur et
𝑉0
celle de la distance d.
1.3- Apprécier la qualité de la chasse effectuée par le poisson archer.
2.
2.1- Expliquer à partir de l’analyse des courbes 1 et 2, le rôle joué par le dipôle D dans le
circuit de l’appareil électro-optique.
2.2- Déterminer l’expression de la tension instantanée 𝑢𝐶 dans le circuit de la figure 2.1 après
avoir établi l’équation différentielle à laquelle elle obéit.
2.3- Apprécier l’efficacité de la caméra utilisée pour filmer la technique de chasse du poisson
archer.
3.
3.1- Déterminer les caractéristiques de l’image définitive A’B’ de l’objet lumineux AB.
3.2- Indiquer une raison qui justifie l’association des lentilles dans cet appareil électro-
optique.
3.3- Déterminer graphiquement, la position du foyer principal image F’ du système optique
de la caméra.
FIN
Page 5 sur 5
ASSOCIATION BENINOISE DES PROFESSEURS
DE SCIENCES PHYSIQUES (ABPSP)
TEST ABPSP DU BAC (12ème édition)
Série : D
Session de mai 2021
Durée : 4 heures
Compétences disciplinaires évaluées :
𝑪𝑫𝟏 : Elaborer une explication d’un fait ou d’un phénomène de son environnement naturel ou construit
en mettant en œuvre les modes de raisonnement propres à la Physique, à la Chimie et à la Technologie.
𝑪𝑫𝟐 : Exploiter la Physique, la Chimie et la démarche Technologique dans la production, l’utilisation et la
réparation d’objets technologiques.
𝑪𝑫𝟑 : Apprécier l’apport de la Physique, de la Chimie et de la Technologie à la vie de l’homme.
Compétence transversale évaluée : CTV 8 : Communiquer de façon précise et appropriée.
A / CHIMIE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Avant de définir la thérapie spécifique à un patient, le spécialiste s’appuie en général sur des
résultats d’analyse. D’où l’importance des synthèses organiques dont dérivent la majorité des
produits utilisés aussi bien en cosmétique qu’en médecine. On se propose :
- d’identifier à quelle fin on doit stimuler certains organes de régulation pour sauver des patients ;
- d’étudier les propriétés chimiques du linanol, un liquide odorant très utilisé en cosmétique ;
-d’apprécier le caractère suffisant ou non de la quantité de savon préparé par des apprenants pour
le lavage des mains à l’école.
Support
Masse molaire atomique en 𝑔. 𝑚𝑜𝑙 −1 : 𝑀(𝐶 ) = 12 ; 𝑀(𝑂) = 16 ; 𝑀(𝐻 ) = 1 ; 𝑀(𝑁𝑎) = 23
A propos du sang humain et de quelques organes de régulation (poumons et reins)
A la température normale du corps humain (37° 𝐶), le produit ionique de l’eau vaut : 𝑝𝑘𝑒 = 13,6
Si le pH du sang d’un individu descend en dessous de 𝑝𝐻𝑚 = 7, il meurt par le coma ; mais s’il
monte au-dessus de 𝑝𝐻𝑀 = 7,8 c’est la mort par le tétanos.
Le « tampon bicarbonate » est un ensemble de réactions chimiques, faisant intervenir le couple
dioxyde de carbone dissous / ion hydrogénocarbonate ( 𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂 /𝐻𝐶𝑂3− ) qui réajustent le pH
sanguin en neutralisant les excès d’acide ou de base. L’ajustement du sang à un état acido-basique
normal peut être assuré par :
- les poumons qui ramènent la concentration [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠 à sa valeur normale ;
- les reins qui ramènent la concentration [𝐻𝐶𝑂3− ] à sa valeur normale.
𝑝𝑘𝑎 ( 𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂/𝐻𝐶𝑂3− ) = 6,1
Des résultats d’analyse sanguine donnent [𝐻𝐶𝑂3− ] = 63. [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠 pour le patient A et
[𝐻𝐶𝑂3− ] = 6,3. [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠 pour le patient B.
Page 1 sur 4
On réalise les tests suivants avec l’un des produits noté M de l’hydratation complète du linanol.
𝐶𝑟2 𝑂72− 𝑒𝑛 𝑒𝑥𝑐è𝑠
𝑀 → 𝑇
𝑇 + 2,4 − 𝐷𝑁𝑃𝐻 → 𝑝𝑟é𝑐𝑖𝑝𝑖𝑡é 𝑗𝑎𝑢𝑛𝑒 ; 𝑇 + 𝐿𝑖𝑞𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐹𝑒ℎ𝑙𝑖𝑛𝑔 → 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑟é𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛
𝑇 + 𝐻é𝑙𝑖𝑎𝑛𝑡ℎ𝑖𝑛𝑒 → 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒
Une parfumerie dispose d’une masse 𝑚 = 3,08 𝑔 de linanol et d’une solution de dichromate de
potassium de concentration molaire : 𝐶0 = 5. 10−2 𝑚𝑜𝑙. 𝑙 −1 .
A propos du savon préparé par des apprenants pour le lavage des mains à l’école
Afin d’alimenter un dispositif de lavage des mains en savon, les apprenants d’une classe de
terminale scientifique réalisent au laboratoire les opérations ci-dessous :
Opération 1 : Mélange d’un volume 𝑉 = 1 𝐿 d’acide butanoique (𝐶3 𝐻7 − 𝐶𝑂𝑂𝐻) avec un excès
de glycérol de formule : 𝐶𝐻2 (𝑂𝐻 ) − 𝐶𝐻 (𝑂𝐻 ) − 𝐶𝐻2 (𝑂𝐻 ).
Opération 2 : Mélange du produit obtenu à la fin de l’opération 1 avec un excès d’une solution
d’hydroxyde de sodium.
Opération 3 : Versement de tout le produit issu de l’opération 2 dans une solution saturée et froide
de chlorure de sodium.
Masse volumique de l’acide butanoique : 𝜌 = 959 𝑔 . 𝐿−1
Rendement de l’opération 1 : 𝑟1 = 72 %
Rendement de l’opération 2 : 𝑟2 = 8 8 %
La classe compte 60 apprenants et les normes d’hygiène prévoient en moyenne 10,5 g de savon
par apprenant et par jour.
Page 2 sur 4
B / PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE
Contexte
A partir des modes de raisonnement spécifiques à la physique et à la technologie, il est possible
d’expliquer certains phénomènes de notre environnement naturel ou construit. Dans cette
perspective, on souhaite :
- expliquer les diverses sensations d’un observateur debout dans une cabine d’ascenseur ;
- déterminer les grandeurs caractéristiques des composants d’un circuit électrique ;
- interpréter le phénomène observé lorsqu’un pinceau de lumière blanche arrive sur un prisme.
𝑩 𝑺𝒆𝒏𝒔 𝒅𝒖
𝒎𝒐𝒖𝒗𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕
𝑪 𝑨
𝑫 𝒂𝒔𝒄𝒆𝒏𝒔𝒆𝒖𝒓
Page 3 sur 4
Les mesures sont résumées dans le tableau ci-dessous.
𝑁 (𝐻𝑧) 2600 2800 3000 3200 3400 3600 3800 4000 4200 4400 4600 4800 5000 5200 5400
𝐼𝑚 (mA) 26 34 42 58 80 160 220 180 104 72 56 46 38 34 30
Z (Ω)
FIN
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ASSOCIATION BENINOISE DES PROFESSEURS
DE SCIENCES PHYSIQUES (ABPSP)
TEST ABPSP DU BAC (13 ème édition)
Série : D
Session de mai 2022
Durée : 4 heures
Compétences disciplinaires évaluées :
𝑪𝑫𝟏 : Elaborer une explication d’un fait ou d’un phénomène de son environnement naturel ou construit
en mettant en œuvre les modes de raisonnement propres à la Physique, à la Chimie et à la Technologie.
𝑪𝑫𝟐 : Exploiter la Physique, la Chimie et la démarche Technologique dans la production, l’utilisation et la
réparation d’objets technologiques.
𝑪𝑫𝟑 : Apprécier l’apport de la Physique, de la Chimie et de la Technologie à la vie de l’homme.
Compétence transversale évaluée : CTV 8 : Communiquer de façon précise et appropriée.
A / CHIMIE ET TECHNOLOGIE
Contexte
La synthèse de molécules est utile aussi bien pour l’industrie que pour le médicament. Pour obtenir
des produits de synthèse purs ayant des propriétés spécifiques et avec un rendement acceptable,
il est nécessaire de maîtriser les réactions chimiques impliquées. A partir de données scientifiques,
on souhaite :
- analyser les particularités de l’aspirine pH8 ;
- évaluer la durée au bout de laquelle un taximan ivre peut prendre la route ;
- étudier le protocole de synthèse de deux arômes, d’un désinfectant et d’un antipyrétique.
Support
Masses molaires atomiques en 𝑔. 𝑚𝑜𝑙−1 : 𝑀(𝐶 ) = 12 ; 𝑀(𝑂) = 16 ; 𝑀(𝐻 ) = 1
Analyse des particularités de l’aspirine 𝒑𝑯𝟖
pH de l’estomac : 𝑝𝐻𝑒 = 2 ; pH de l’intestin : 𝑝𝐻𝑖 = 8
𝑝𝐾𝑒 = 13,6 à la température du corps du patient (un consommateur de l’aspirine 𝑝𝐻8 ).
L’aspirine ou acide acétylsalicylique se présente sous différentes formulations. On réalise les
expériences ci-dessous avec l’aspirine 𝑝𝐻8 dont la notice porte l’inscription : « comprimé gastro-
résistant ; à avaler sans croquer ».
Expérience 1
On dispose de deux béchers contenant respectivement une solution d’hydroxyde de sodium et une
solution d'acide chlorhydrique de même concentration molaire et de même volume. On introduit
un comprimé d'aspirine 𝑝𝐻8 dans chacun des béchers et on agite. Après quelques minutes, on
constate que le comprimé s'est dissous dans le bécher contenant la solution d’hydroxyde de
sodium mais est resté intact dans le second bécher.
Expérience 2
Dans un bécher contenant de l'eau distillée additionnée de quelques gouttes de bleu de
bromothymol (BBT), on introduit un comprimé d'aspirine 𝑝𝐻8 . Le BBT apparaît bleu (sa couleur en
milieu basique).
On écrase ensuite le comprimé, détruisant ainsi son enrobage. Lorsqu’on repend l’expérience, le
BBT vire alors au jaune (sa couleur en milieu acide).
Page 1 sur 5
Evaluation de la durée au bout de laquelle un taximan ivre peut prendre la route
À l’instant pris pour origine des dates, (𝑡 = 0 𝑠), un taximan avale de manière pratiquement
instantanée, un grand volume d'un vin. L’éthanol (alcool pur) contenu dans le vin arrive d’abord
dans l'estomac puis passe progressivement dans le sang. Le tableau ci-dessous donne l’évolution
de la concentration molaire C en éthanol dans son estomac.
t (min) 0 2 4 6 10 20
C (mol.L-1) 2,00 1,42 1,00 0,72 0,36 0,05
Echelles : 1 cm pour 2 min en abscisse et 1 cm pour 0,2 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 en ordonnée
On note t1 = 3 min et t2 = 10 min
A l’instant 𝑡3 = 22 𝑚𝑖𝑛 , tout l’éthanol du vin consommé est déjà passé dans le sang où sa
concentration molaire est estimée à 𝐶0 = 2,5. 10−2 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 .
D’après la législation, une personne est déclarée ivre et ne peut conduire si le taux d’alcool dans
son sang est supérieur à 𝐶𝑚𝑙 = 0,50 𝑔. 𝐿−1 .
Vitesse constante de disparition de l'alcool du sang : 𝑉 = 7,0. 10−5 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 . 𝑚𝑖𝑛−1 .
𝐴𝑟ô𝑚𝑒 (𝐾 + + 𝑀𝑛𝑂4− ) 𝑋
𝒀 𝐵𝑢𝑡𝑎𝑛 − 1 − 𝑜𝑙
𝑑′𝑎𝑛𝑎𝑛𝑎𝑠 Excès
−𝑁𝐻2 𝐻2 𝑂 𝐴𝑛𝑡𝑖𝑝𝑦𝑟é𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒
- Le composé Z est un acide carboxylique à chaîne carbonée saturée non cyclique. Il comporte en
masse, 53,33 % d’oxygène.
- La concentration molaire de la solution aqueuse 𝑆 du composé 𝑌 est 𝐶 = 10−3 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 .
- Le 𝑝𝐾𝑎 du couple acide / base auquel appartient Y est 𝑝𝐾𝑎 = 4,82
- On réalise la synthèse de l’arôme de banane en mélangeant 𝑛0 = 0,5 𝑚𝑜𝑙 de 𝑍 et une masse
𝑚 = 51,8 𝑔 de 𝑏𝑢𝑡𝑎𝑛 − 1 − 𝑜𝑙. Le rendement de la réaction est : 𝑟 = 82 %.
Page 2 sur 5
Tâche : Expliquer des faits et prendre position.
1
1.1- Interpréter l'expérience 1 pour justifier :
- l'indication « comprimé gastro-résistant » portée sur la notice ;
- pourquoi l'aspirine 𝑝𝐻8 est qualifié d'aspirine « retard ».
1.2- Interpréter l'expérience 2 pour expliquer pourquoi, d'après la notice, on doit avaler le
comprimé d'aspirine 𝑝𝐻8 sans le croquer.
1.3- Indiquer le but pour lequel cette formulation particulière de l’aspirine a été créée.
2
2.1- Tracer la courbe donnant l’évolution en fonction du temps, de la concentration de l’éthanol
dans l’estomac du taximan.
2.2- Calculer la vitesse moyenne de disparition de l’éthanol de l’estomac entre les dates t1 et t2.
2.3- Déterminer l’instant où le taximan peut être autorisé, selon la législation, à conduire.
3
3.1- Déterminer la formule semi-développée de 𝑍 et en déduire, en analysant l’organigramme, les
formules semi-développées et noms du désinfectant, de l’arôme de banane, de l’arôme d’ananas
et de l’antipyrétique.
3.2- Calculer le 𝑝𝐻 de la solution 𝑆.
3.3- Déterminer la composition en masse du mélange obtenu à la fin de la réaction de synthèse de
l’arôme de banane.
B / PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE
Contexte
Par analogie aux systèmes optiques caractérisés par leur vergence, l’efficacité d’un moteur ou d’un
récepteur électrique dépend bien souvent de sa puissance. A partir de données expérimentales,
on se propose :
- d’apprécier les performances d'un nouveau modèle de véhicule ;
- d’étudier les variations des puissances électriques consommées dans deux circuits électriques ;
- de déterminer de la distance focale d’une lentille par divers procédés.
Support
Appréciation des performances d'un nouveau modèle de véhicule
Pour apprécier les performances d'un nouveau modèle de véhicule, les essayeurs d'un magazine
automobile réalisent quelques tests afin d'évaluer entre autres, sa puissance et sa capacité à
s'insérer et évoluer dans le trafic routier.
Accélération de la pesanteur : 𝑔 = 9,8 𝑚. 𝑠 −2 .
L’ensemble du véhicule et du passager a une masse M = 1095 kg et est supposé ponctuel.
Premier test : Capacité du véhicule à s'insérer et à évoluer dans le trafic routier
Au cours de ce test dit "d’accélération", on fait passer le véhicule de la vitesse 𝒗𝟎 = 𝟑𝟎 𝒌𝒎. 𝒉−𝟏 à
la vitesse 𝒗𝑨 = 𝟕𝟎 𝒌𝒎. 𝒉−𝟏 sur une route rectiligne et horizontale. On note que la durée de cette
opération est de 𝜟𝒕 = 𝟓, 𝟒 𝒔.
Le vecteur accélération est supposé constant pendant tout le mouvement.
Page 3 sur 5
Deuxième test : Portée du saut
Partant d’un point B, la voiture roule sur le tremplin de lancement CD, parvient en D avec la vitesse
𝑣𝐷 = 16𝑂, 2 𝑘𝑚. ℎ−1 et "s’envole" à partir du point D pour atterrir au point E du tremplin de
réception.
⃗⃗𝑫
𝑽
Tremplin de D α E Tremplin de
lancement réception
⃗⃗
𝑘
α 𝒊⃗
B C O F
α = 23 ° ; CD = L = 17,9 m et OD = FE
L’origine des dates est l’instant où la voiture passe par le point D.
Dans le repère (O ; 𝑖⃗ , 𝑘⃗⃗ ), les équations horaires ( à prouver) du mouvement du véhicule entre les
𝑥 = 41 𝑡
points D et E sont : {
𝑧 = −4,9 𝑡² + 17,4 𝑡 + 7
𝑳𝟏 𝑹𝟐
𝒖 𝒖
𝑪𝟏 𝑪𝟐
𝑵 𝑵
Circuit 1 Circuit 2
Page 4 sur 5
Deuxième procédé : méthode de Bessel
La méthode de Bessel consiste à maintenir fixe la distance 𝐷 = 𝐴𝐴′ entre l’objet AB et l’écran puis
à déplacer lentement la lentille entre A et A’. Il se forme une image nette A’B’ pour deux positions
différentes 𝑂1 et 𝑂2 du centre optique de la lentille.
Les mesures réalisées donnent 𝐷 = 2𝑚 et 𝑑 = 𝑂1 02 = 1,15 𝑚.
Tâche : Expliquer des faits, décrire l’utilisation du matériel et apprécier l’apport de la physique à
la vie de l’homme
Consigne
1
1.1- Déterminer l’accélération du véhicule lors du premier test puis évaluer la puissance moyenne
du moteur.
1.2- Justifier qu’entre D et E, les équations horaires du mouvement du véhicule sont celles
proposées et en déduire l’équation cartésienne de la trajectoire.
1.3- Calculer la portée du saut du véhicule lors du deuxième test.
2
2.1- Exprimer en fonction de la pulsation 𝜔, les puissances moyennes 𝑃1 et 𝑃2 respectivement
consommées par les circuits (1) et (2) puis déterminer les pulsations 𝜔1 et 𝜔2 pour lesquelles ces
puissances sont égales.
2.2- Justifier que pour 𝜔 = 𝜔1 , les phases 𝜑1 et 𝜑2 des intensités 𝑖1 et 𝑖2 par rapport à la tension
𝑢 sont égales.
2.3- Déterminer la valeur 𝜔0 de 𝜔 pour laquelle la puissance moyenne 𝑃1 est maximale. Calculer
cette puissance maximale et nommer le phénomène physique ayant lieu dans ce cas.
3
3.1- Décrire une technique d’identification de la nature convergente ou divergente d’une lentille.
1 1
3.2- Tracer le graphe =𝑓( ) puis l’exploiter pour déterminer graphiquement la distance
𝑂𝐴′ 𝑂𝐴
focale de la lentille.
3.3- Déterminer la distance focale de la lentille en exploitant les résultats de la méthode Bessel.
Conclure.
FIN
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ASSOCIATION BENINOISE DES PROFESSEURS
DE SCIENCES-PHYSIQUES (ABPSP)
Examen Blanc du BAC (7ème édition)
Série : D
Session de Mai 2016
ELEMENTS DE REPONSES
A- CHIMIE ET TECHNOLOGIE (38pts) et OH ≪ donc
1. CH COO = 2 + soit
012 1 )2 5 6
1.1 Identification des solutions se trouvant dans chaque CH COO = 1
flacon.
• D’après la RCM, on a :
017
= CH COO + CH COOH
-S1 est une solution de monoacide fort : pH = -logC=1,3. La
solutionS1 se trouve dans le flacon N°2 1
01
-S3 est une solution de dibase forte : pH =14+log2C=13. La CH COOH = 17 − CH COO
01 01 1 ) 5 6
CH COOH = 17 − 2 1 2
solution S3 se trouve dans le flacon N°3.
-S2 est une solution de base faible et 8<pH<14+logC. La
0(1 12 ) 1 )2 5 6
solution S2 se trouve dans le flacon N°3. CH COOH =
1
2:
6 ;
2 ;::
*
Ka =
-S4 et S5 sont des solutions d’acide faible –logC<pH<6.
De plus, pka (HCOOH/HCOO-)<pka(NH4+/NH3) donc ; 2 ;::
( ;<2 < 2 :6 ) <(?@; 2:
6 A ?@ 2 :6 )
Ka = ;(< ⇒V =
l’acide le plus fort est HCOOH et son pH est le plus petit.
S4 est dans le flacon N°5 et S5 est dans le flacon N°1. <2 ) < 2 :6 ;( 2 :6 ?@)
( ) + + 2OH
pH-mètre
Barreau
• Bilan quantitatif
- =10 , soit !" # = %& ' mol.L-1
- OH = 10() *+,- , soit ./ = %& %& mol.L-1
012
=
2.2 Tracer de la courbe pH = f(Vacide)
1
-
• D’après la REN, on a : (Voir papier millimétré)
- CH COO = 2 + − OH
Masse molaire de l’acide P −aminé X 3.2 Formules semi-développées et noms de E, F, G et I
D’après la courbe, on a au point d’équivalence : Le composé A réagit avec le diméthylmanine pour donner
pHE = 5,5 et VAE = 14,7 mL. un composé I qui par chauffage donne le :
A l’équivalence acido-basique on CAVAE = CBVB N,N-diméthyl-2-chloroétanamide. On en déduit
0Q 1Q U,N.DB*A FB,B B
; CT = ; CT = 10 D mol/L
1RS B.BDNU
Soit CA = A : CH2Cl – COOH :
Z Z ,UC
CT V = donc M = ;M= * acide 2-chloroéthanoïque
[ ;] < DB FB,C
;
^ = _` a/bcd I : (CH2Cl – COO – + CH 3– NH –-CH3)
2-chloroéthanoate de diméthylammonium)
2.3 Formule semi-développée de X et de A
X : R – CH – COOH avec R un groupe alkyle avec R un E : CH2Cl – COCl
NH2 Clorure de 2-chloropropanoyle
C∗ C∗
Caractéristiques : Rapide, totale et exothermique
H NH NH H
Réaction (3) :
C C Nom : saponification
Caractéristiques : lente et totale.
D-Alanine L-Alanine
3.3 Equation – bilan de la réaction (6)
Formule semi-développée du dipeptide P (a) OH–CH2–COOH + 5H2O HOOC–COOH + 4H3O++ 4e–
g(;hA :A*
i ) g(@jklm) ;<o Z
- Bloquer la fonction acide carboxylique de la glycine en la
f. = soit r. =
[
transformant en ester.
- Bloquer la fonction amine de la valine en la transformant
Z Fp,D
VB = ; VB =
h[; FB,pFqBFD,C
en amide. V0 = 0,05 L
- Activer la fonction acide carboxylique de la valine en la
transformant en chlorure d’acyle.
- Réaliser la synthèse proprement dite avec formation de la
liaison peptidique.
- Régénérer les fonctions précédemment bloquées par
hydrolyse.
B. – PHYSIQUE ET TECHNOLOGIE Montrons que ‰% . ‰Š = ‰&Š
Calcul de la résistance r
w
A la résonance on Z = ZZkg = – + f =
Masse Voie YB Voie YA xo
w N, N
f = x − – ; f = B, − 5 ; — = %` ˜
Allure de la courbe I = f(N) o D
I(mA)
Calcul de l’inductance L
… h … h
I0
ΔN = N − ND = ;L=
ˆ‡ ˆ(’A ’ )
B
xo L= ˆ( CU šB,p)
; Ž = %, “Š. %& Š
/
I=
√
Calcul de la capacité C
A la résonance on a : › œB = 1 ⇒
D
= N•A žA Ÿ
o
D '
C = NˆA FD • = %&
CA FD,š .DB*A
UZ = U√2 = 4,24x√2 = 6V
1.2 Expressions des fréquences N1 et N2 délimitant la w¥
UZ = S< . yT ⟹ yT = ¦§
= 6cm
bande passante en fonction de L, R, r et C
1
U…Z = RIB = 5x0,212x√2 = 1,5 V
Z = t(R + r) + (Lω − )
wª¥
Cω
U…Z = S< . y© ⟹ y© = = 1,5 cm
¦§
D {
TB = ž = 8 ms ; T = S . x ⟹ x = ¦ = 4 cm
Pour les fréquences délimitant la bande passante, on a : Z =
o -
w xo w√
avec I = soit Z = = √2(R + r)
u (V)
x xo
6
√
Posons R { = R + r
5
D D
Lω − = −R { ou Lω − = R{
4
;| ;|
D
Pour ωD < ωB on a : Lω − < 0 donc
3
;|
2
D D
LωD − ;|
= −R { et Lω − ;| = R {
1
A
D
LωD − = −R { •€• LCωD + R { CωD − 1 = 0
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 t (ms)
;| -1
D
Lω − = R { •€• LCω − R { Cω − 1 = 0
-3
;|A -4
-6
2. °°°°°² = AO
AA °°°°°D + O
°°°°°°° °°°°°°²
D O + O A = 0,77m
2.1 Nature des lentilles L1 et L2
°°°°°
5¶¯
L1 : C1 = +2,5 ® > 0 ; la lentille L1 est convergente ¼= °°°°
5¶
⟹ °°°°° ³ ; °°°°°
³² = ¼ °°°° AA² = °°°°°
³² − °°°°
³
L2 : C2 = -5,0 ® < 0 ; la lentille L2 est divergente
°°°°°
¶¶¯ °°°°°
¶¶¯
Donc °°°°° ³(¼ − 1) ⟹ °°°°
AA² = °°°° OA = ¾¿ °°°°°
³² = ¼
La lentille à utiliser dans la situation n°1 ½ D ½ D
L1 on a : Ìj ÏÐ
• E −ED = Í È% = ÈŠ − Ñ
A* Š*%
D D °°°°°°
5 ¶
D = °°°°°°°
5 ¶
−5
°°°°°°
¶
⟹ °°°°°°°
D ³D = D 0 .5 °°°°°°
¶ š,š .DB*27 · .DBE
ED = −1,94 − DD p.DB*Î ·D,š.DB* Î
È% = −", &" ÊË
B,C
°°°°°°°
D ³D = D ; °°°°°°°
#% ¸% = Š b
,C·( B,C)
3.3 Etat final de l’atome lorsqu’il reçoit dans son état
• D’après la formule de conjugaison appliquée à la lentille fondamental le photon d’énergie Ñ&
Ìj Ìj
L2 on a : • Eg −EB = Í Eg = Í + EB
o o
D D °°°°°°°
5A ¶
= °°°°°°° − °°°°°°°
⟹ °°°°°°
³² = °°°°°°° Eg =
š,š .DB*27 F .DBE
− 5,14 ; ÈÒ = %, &_ ÊË
5A ¶¯ 5A ¶ D 0A .5 A¶
¯
BB.DB*Î FD,š.DB* Î
• °°°°°°°
O AD = O°°°°°°° °°°°°°°
D AD − OD O = 1,5 m Eg >EB donc l’atome de sodium se trouve dans un état ionisé
D,C et l’électron est mis en mouvement avec une énergie
°°°°°°
³² = D ; °°°°°°°
#Š ¸² = − &, Š" b
C·D,C cinétique Ec =1,07 eV.
°°°°°°°°
: T °°°°°°°
:A T¯
γ= x °°°°°°°° = (−4)x(−0,15) = 0,6 soit º > & Les états concernés par la transition correspondant à
°°°°°°
: T : AT
l’émission de la raie de longueur d’onde ÓB
Caractéristiques de l’image A’B’ ÏÐ š,š .DB*27 F .DBE
Position : °°°°°
³ = - 0,23 m ; l’image est située à 0,23 m avant È=Ñ ;E= ; È = Š, %% ÊË
& Cpq.DB*Î FD,š.DB* Î
L2.
Nature : l’image est réelle car °°°°°°
³² <0 On constate que E = È% −È&
Sens : l’image est droite par rapport γ > 0
Les états concernés par cette transition sont l’état
Taille : A’B’=| γ |AB = 0,6 x 0,1 = 0,06m.
fondamental et le 1er état excité.
2 2
3. 3.
= #$ =
2 1 2 M(P ) ^?q rJ _ = 2,25.10-6 mol. L-1
A.N.
[(789 :;) \ ,
[Cl-] = , soit [Cl-]= 9
= =
z( u C uC ee ) z(„= ) `…
[/AC ]= 8.10-3 mol.L-1
(„= )
, il vient que
*† = 3/
@-.
r × ‡ × 1(23 )
^NH J _ = ^ClC _ − ^H OJ _ + ^OH C _
D’après la relation d’électroneutralité on a
^OH C _ ≪ ^H OJ _ , on néglige
A.N.
^OH C _ devant ^H OJ _
On suppose que M(P5) = M(C2H5O2N)
M(P5) = 2x12+5x1+16x2+14 ; M(P5) = 75 g.molC
^NH J _ = ^ClC _ − ^H OJ _ Co = 0,16 mol.LC ; r = 0,8 ; mG = 0,6 g
V‰ =
× ,5
b , 5× ,]×
; Vo = 0,05 L
3.3. Formules semi-développées et noms officiels de bobine pendant le passage du courant électrique
X, Y, Z et W emmagasine de l’énergie. Celle –ci est rejetée à
- L’action de X sur l’anhydride éthanoïque donne l’ouverture du rupteur et pouvait être apparaître sous
l’éthanoate de 3-méthyl butyle. X est donc l’alcool forme d’étincelles entre ses bornes. Le condensateur
3-méthylbutan-1-ol placé aux bornes du rupteur permet d’éviter
∆∅„ = ∅• − ∅–
obtient un acide carboxylique d’où l’anhydride a travers la bobine
∅– = 0 Wb
dérivé. De l’anhydride éthanoïque, on déduit que le
∆∅„ = μ I S
u
- La saponification d’un ester conduit à la formation du u
ℓ.•u
carboxylate et d’un alcool. X étant un alcool alors Z
A.N. : ∆∅„ = 4π × 10C × 2,4 × 5. 10C5 ;
u
, . iu × u
est un carboxylate de sodium : l’éthanoate de
∆∅„ = 1,51. 10C Wb
/?q − /rr>Š
sodium.
£¤
électrique dans le circuit du primaire en régime
I £¥
permanent
r E L
u•
Cq
uŒ
£:
E L
Rupteur
D’après la loi des mailles, on a :
• uŒ = L
–• u • Calcul de R
‘ ‘u A la résonance, U = Z. I et Z = R + r donc
=L ❷
•u =
‡= −²
❸ ¯
°±
AN : r = − 15 ; ‡=3³
❶,❷ et ❸ dans (a) donne :
. i
+ + q=
u • ’
‘u Œ ‘ Œ Œ
• Calcul de L et C
Pour N = N , I = ´ .
•
√
I= ⇔ = soit z = (R + r)√2.
•´ · •´
Par ailleurs : u = α =
¦• ¦• d2 q
‘
or
‘ dt2
d’où √ ¸u √
‘u ¼u
1
(R + r) + (Lω − ) = 2(R + r)
Cω
tension u au cours du temps
2.3. Explication de la décroissance de l’amplitude de la
ainsi, (Lω − ) = (R + r)
¼u
N > N alors Lω − > 0 donc
L’équation différentielle, vérifiée par la charge q, n’est
pas sous la forme u + ω q = donc l’oscillateur
u ’
¼u
1
‘ Œ
Lω − =R+r
Cω
constitué à l’ouverture du rupteur n’est pas
A la résonance : Lω = ¼
harmonique, il est amorti. La résistance du circuit étant
faible, l’amplitude de la charge q du condensateur
subit un amortissement progressif jusqu’à l’annulation ´
AN :L = = 1,426. 10C
GBF A × Ã
×Ä×( à u C u)
V Á ≃ Ç, @. 10C ?
AN : C = = 2,73. 10C
L
C
Voie Î, Voie ÎÇ ×( , )u × , 5. ×
i u
/ ≃ ,, É. 10C Ê
3.2. Allure de la courbe I = f(N) Calcul de N1
•
I (mA)
N −N = soit N = N −
‹J• ‹J•
Č Č
20
I0= 250
I N = 390 − = 162,64
= 177 2π × 1,4. 10C
√2
>Ç = ÇÌ,, Ì@ ?Í
N0 N2 N1
∆N
N (Hz)
Association Béninoise des Professeurs de Sciences Physiques (ABPSP) 4
TEST ABPSP /ESSION DE JUIN 2018
ELEMENTS DE REPONSE Epreuve : P.C.T. Série : D
Schéma du dispositif expérimental du dosage réalisé 1.3 Ecriture de chacune des deux équations-bilan de
réaction de dosage ayant lieu dans les mélanges
Burette graduée réalisés
Potence • Equation –bilan de dosage des ions
Solution d’acide
hydrogénosulfate par les ions hydroxyde
HSO + OH
SO
+ H O
chlorhydrique
R.E.N :
2.
HSO
+ 2SO + OH = H O + Na
2.1 Identification de l’aldéhyde X
L’aldéhyde X a cinq atomes de carbone et renferme un
HSO
+ 2SO = H O + Na − OH
carbone asymétrique, donc sa FSD est :
CH − CH − CH1CH 2 − CHO : 2−méthylbutanal
Solution acide OH ≪ H O et Na = C1
Représentation des énantiomères de X
1/4
Equation-bilan de la réaction de zwittérion avec l’ion
CHO CHO hydronium
NH
2/4
f.é.m. auto-induite qui se manifeste par un courant 2.2 Détermination graphique de la largeur de la bande
induit d’intensité | qui s’oppose à l’annulation du passante en fréquence
courant électrique d’intensité I. Ce courant électrique
I(mA)
auto-induit empêche l’annulation brutale du courant
électrique dans la bobine. 69,9
3/4
3.1Détermination par calcul des caractéristiques de 3.3Calcul de la distance d’
l’image A B de l’objet AB à travers la lentille L de Pour qu’un œil normal voie une image A B donnée par
la lunette de Galilée L cette lunette sans accommodation, il faut cette
• D’après la formule de lunette est afocale, alors l’image de l’objet AB se
conjugaison appliquée à α A trouvant à l’infini se forme à l’infini. Dans cette
O α
la lentille L1, on a : condition, O A = f′ et O A = −f′
= − or l’objet O O = O A + A O = O A − O A ;
) ) ^)) ^ B
est à l’infini ( = 0) O O = f′ + f′
)
donc
O A = f = 0,8 m O O = 0,8 − 0,08 = 0,72 m ; ¨r ¨u = ©u ªx
^
• tanα = − ) ) donc A B = − f tanα ;
)
A B = −0,8 tan3,22 = 4,5. 10 m
Caractéristiques de l’image A’B’ :
- Nature : image réelle car O
A > 0
FIN
O
O = O A − O A ; O A = O A − O O
O A = 0,8 − 0,7 = 0,1 m
,×,
O A′ = = −0,4 m
,,
• Calcul de
A B
^
^
O2 A′
′ ′
γ = =
donc A B =
×A 1 B1
^ ) ) ^ ) O 2 A1
A′ B′ =
−0,4
× 0,045 = −0,18 donc A′ B′ = 18 cm
0,1
L’image définitive A′ B ′ de l’objet AB est :
- virtuelle (O A′ < 0)
- droite par rapport à l’objet AB ou renversée par
rapport à A B(γ < 0)
- située 40 cm devant la lentille L
- haute de 18 cm
4/4
ELEMENTS DE REPONSE - GRILLE DE CORRECTION
Epreuve : P.C.T. BAC _ BLANC /ABPSPS/2019 / Série D
1.1 Détermination des formules semi-développées de l’acide AH, de La FSD de chacun des 0,5 La production s’appuie sur : Formule brute
composés AH, X, Y et E ×3 - l’hydrolyse des parabènes
1
6 Par hydrolyse des parabènes, on obtient :
l’alcool X, du composé Y et du parabène E de X est exacte
1
• AH : HO − −COOH
est déterminée. 0,5 (n = 3)
pour AH ;
• X : R−OH ou C Hଶ୬ାଵ − OH
- l’équation de la réaction de 1 Chaque
1
۱ ۶ − ۱۶ ۽+ ۱ܝ + ۽۶− → ۱ ۶ − ۱۽۽− + ۱ܝ ۽+ ۼ۶ + ۶ ۽
+
1.3 • Calcul de la concentration molaire Ca de l’acide AH • Un calcul de Ca est 0,5 • Le calcul s’appuie
5 Le mélange étant équimolaire, on a : nୌ = n୶
sur le 0,5 • Valeur Ca est 1
fait. mélange équimolaire juste
.
nୌ = n୶ ሯሰ Cୟ Vୟ = ౮ soit Cୟ =
.౮ (nୌ = n୶ ) réalisé.
ሺଡ଼ሻ .ሺଡ଼ሻ
଼×ଵଶ
AN : Cୟ = ହ×
= 0,32 ; Cୟ = 0,32 mol. Lିଵ
• Valeur du
• La production prend appui sur :
୬ఽ౩౪é౨ϐé
pourcentage d’acide 0,5 - p = × 100
• Calcul du pourcentage d’acide AH estérifié au cours de la synthèse de • Un calcul du pourcentage 1
0,5
E ୬ est exacte.
୫ు
- n୦ୣୱ୲é୰୧ϐ୧é = n = ሺሻ
୬ ୫ .
p = ఽ౩౪é౨ϐé × 100 avec n୦ୣୱ୲é୰୧ϐ୧é = n = ు et n୶ = ౮ donc estérifié est fait
୬ ሺሻ ሺଡ଼ሻ
×2
et 0,5
.
p= ు
୫ .ሺଡ଼ሻ
× 100 ; p =
ଵଽ,ଶ×
× 100 = 71,4 n୶ = ౮
.౮ .ሺሻ ଼×,ଵଶ×ଵ଼
; ሺଡ଼ሻ
p = 71,4 %
NB : Ce résultat est absurde car l’alcool estérifié est primaire. La
masse d’ester obtenu devrait être inférieure à celle indiquée.
• = ݔ3 et la 1
B est sous la forme : ሺHOCHଶ − CHଶ ሻ௫ N
2.1 Preuve que B est à la fois une amine tertiaire et un trialcool • Une preuve que B 0,5 • La preuve prend appui sur :
2
4,5 Cette formule renferme la fonction amine et la fonction alcool. B serait amine tertiaire et un
est à la fois une - la détermination de x : conclusion
ሺሻ ଵସ
à la fois une amine tertiaire et un trialcool si = ݔ3. = % et
1 tirée.
ଵ
MሺBሻ = 45 ݔ+ 14
trialcool est établie.
ሺሻ ଵସ ଵ ଵସ
On a : ଵ = % or MሺBሻ = 45 ݔ+ 14 donc = ݔସହ ሺ % − 14ሻ
ଵ ଵସ
AN : = ݔସହ ሺ ଽ,ସ − 14ሻ ≃ 3
13,5 • Une équation-bilan • L’équation prend en compte les • L’équation-
= ݔ3 alors B est à la fois une amine tertiaire et un trialcool
de la réaction de B 1
réactifs et les produits attendus bilan est 0,5
pts avec l’iodométhane 0,5 équilibrée et
ሺHOCHଶ − CHଶ ሻଷ N + CHଷ − I ሱۛሮ ሺHOCHଶ − CHଶ ሻଷ Nା − CHଷ + I ି
Équation-bilan de la réaction de B avec l’iodométhane est écrite. traduit une
réaction
totale.
2
sensible à l’ajout en quantité modérée des solutions de base forte ou tampon.
d’acide fort. Donc S joue le rôle de stabilisateur de pH.
1
- RCM : ሾBሿ =
େሺభ ିమ ሻ
0,5
బ
ሾBH ା ሿ + ሾHଷ Oା ሿ = ሾOH ି ሿ + ሾClି ሿ ;
R.E.N :
0,5
ሾBH ା ሿ = ሾClି ሿ+ሾOH ି ሿ− ሾHଷ Oା ሿ
ሾHଷ Oା ሿ< ሾOH ି ሿ et ሾOH ି ሿ ≪ ሾClି ሿ donc ሾBH ା ሿ ≃ ሾClି ሿ =
େమ
బ
(1)
Vଶ + Vଵ = V
En exploitant (1) et (2), le système I devient
ቐ Vଵ − Vଶ
= 10୮ୌି୮୩ୟ
Vଶ
బ V = 180,3 mL
Vଶ = ଶାଵ౦ౄష౦ౡ et Vଵ = V − Vଶ AN : ൜ ଵ
Vଶ ≃ 69,7 mL
3.1 Équation globale de la réaction conduisant à la crème à raser Une équation globale 0,5 Dans l’équation de la réaction : L’équation :
3 4 réaction qui se produit a pour équation :
Le savon est obtenu à partir de l’oléine et de la soude concentrée. La de la réaction
• Les réactifs sont : l’oléine et la 1 • est 1
conduisant à la crème
CH2– O – CO – C17H33 potasse ; équilibrée ;
à raser est écrite.
CH – O – CO – C17H33 + 3(K +OH ) ሱሮ 3(C17H33 – COO + K ) +
11 • les produits sont : le savon et le 1 • traduit une 0,5
+ - - +
glycérol réaction
pts CH2– O – CO – C17H33 CH2OH – CHOH –CH2OH totale.
3
3.2 Nom et caractéristiques de la réaction • Un nom de réaction 0,5 • Le nom de la 0,5
4
Référentiel : terrestre supposé galiléen
Bilan des forces : le poids P du boulet et réaction R de la piste
R
13 A
pts
α C y
P
B
5
1.3 Vérification de l’atteinte de la cible pour le premier essai après avoir • Un intervalle de D est 0,5 • La production prend appui sur 1 • La réponse 0,5
déterminé l’intervalle de D qui permettrait de l’atteindre dans cette déterminé. l’équation cartésienne de la est juste.
3 position trajectoire et la condition de
• Intervalle de D l’atteinte de la cible f < f < f
La cible est atteinte si pour ¨ = − ℎ° , on a : f < f < f or
− ℎ° = − §sinα f ou f = 4ℎ° Dsinα
!${ !$$ • Une • La
donc x < 4ℎ° ´µ¶·¸ < x soit < D <
vérification réponse 0,5
¹º µ¶·¸ ¹º µ¶·¸ relative au premier 0,5 est juste.
0,37< D < 0,45 (m) essai par rapport à la
• Vérification de la cible pour le premier essai cible est faite
D’après l’intervalle précédent, pour le premier essai où D = 0,5 m le
boulet ratera la cible.
2.1 Détermination de la constante de raideur K de chaque ressort • Une détermination 0,5 • La production s’appuie sur : • L’expression 1
2 Système : solide S de masse m de la constante de et
6 Référentiel : terrestre supposé galiléen
- la définition des préalables
0,5
×4
raideur K de chaque (système, repère, bilan des l’application
Repère : (0, ı) ressort est faite. forces et schéma) ; numérique
Bilan des forces : - l’application du principe 0,5 de K sont
- Le poids P du solide S
d’inertie. justes.
14 X’
- Les tensions T et T des ressorts R1 et R2
T T
pts A l’équilibre du système solide S on a :
+ T
T + P
= 0 0
Par projection suivant (X’X) on a : P-2KΔl=0 ;
P Á
@½
K K
ainsi K = ¾¿
*DD× D
AN : K = = 16666,66 X
×D, *
K ≃ 1,67.104 N. m
• Une détermination • la production prend appui sur 0,5 • L’expression
Détermination de la compression supplémentaire x0
de xD est faite. 0,5 l’application du principe et 1
A l’équilibre du système (solide S et charge de masse m), on a : d’inertie au système solide S et l’application
T′ +
T′ +
P′ = 0 ; Par projection suivant (X’X) on a : P’−2KΔl’=0 ; charge de masse m numérique
6
ainsi (M + m)g − 2K(∆l + xD ) = 0 or P−2KΔl=0 de xD sont
½ ¾¿
Alors Mg − 2KxD = 0 soit : xD = ou xD =
justes.
à @
*D×D, *
AN : xD = *DD
= 0,015 ; xD = 1,5.10 m
2.2 Preuve que la remorque du véhicule et le circuit (L, C) constituent • La preuve que 0,5 • La justification prend appui • Chaque ×
1×
respectivement des oscillateurs harmoniques chaque système ×2 sur : preuve est 2
6 • Pour la remorque du véhicule constitue un - l’application du TCI pour la 0,5 cohérente.
D’après le théorème du centre d’inertie, T + T
+ P
= Ma
oscillateur remorque du véhicule ;
harmonique est 0,5
Par projection suivant (X’X) on a : Mg − 2K(Δl + x) = Max ; or établie. - la loi des mailles pour le circuit
P − 2KΔl=0 d’où l’équation différentielle M xÄ + 2Kx = 0 soit
(L, C)
s
xÄ + x =0
@
L’équation différentielle obtenue est sous la forme xÄ + ωD x = 0.
comme une telle équation caractérise les oscillateurs mécaniques
harmoniques alors la remorque du véhicule en est un.
• Pour le circuit (L, C)
D’après la loi des mailles, on a : uy − uÆ = 0 i
Ç ÈZ ÈÇ
uy − uÆ = 0 ⟺ y − L ÈX = 0 ; Or i = − ÈX
ÈZ È$ Ç
q
et ÈX = − ÈX$ uy uÆ
Donc LqÄ + y q = 0 Soit qÄ + Æy q = 0
7
2.3Équation horaire x=f(t) du mouvement vertical oscillatoire du centre Une équation horaire 0,5 La production prend appui sur : L’équation 0,5
d’inertie de (S) du mouvement - x(t) = X sin(ωD t + φ) horaire est
2 Une solution de l’équation différentielle est de la forme : rectiligne sinusoïdal - les conditions initiales 1 juste
x(t) = X sin(ωD t + φ) ; V! (t) = X ωD cos (ωD t + φ)
x(t) est écrite.
x = xD sin φ > 0
A t=os ¤V = 0t => => Ï = radt donc Xm=x0=0,015m
Ð
! cos φ = 0
Ð x en mt
D’où x(t) = 0,015 sin Ñ8,16t + Ò avec ¤
t en s
3 3
justification du fait que l’énergie de cet atome est quantifiée
• Diagramme énergétique
énergétique de
l’atome est
représenté.
diagramme
représenté
est correct.
E (eV)
0 E∞
-1,38 E5
11 -1,51 E4
-1,93 E3
pts
-3,03 E2
-5,4 E1
• Justification du fait que l’énergie de cet atome est quantifiée • Une justification 0,5 • La production se base sur le 0,5 • La
Le diagramme ci-dessus prouve que l’énergie de l’atome de sodium ne sur la caractère discontinu des justification
peut prendre que certaines valeurs discontinues bien déterminées. quantification de énergies de l’atome. est celle 0,5
Cela signifie que l’atome de sodium ne peut pas rester dans n’importe l’énergie de attendue.
quel état énergétique. Cela justifie que l’énergie de l’atome de sodium l’atome est
est quantifiée. donnée.
8
3.2 Détermination des longueurs d’onde maximale et minimale des Des valeurs sont 0,5× × La production s’appuie sur : Les expressions 0,5
• l’expression E = E − E =
2
radiations lumineuses que peut émettre chaque lampe déterminées pour les des longueurs ×2
5,5 Chacun des atomes considérés émet des radiations lorsqu’il effectue longueurs UÔ
d’onde ; 0.5 d’onde sont
Õ
une transition d’un niveau d’énergie supérieur (E ) à un niveau maximale et correctes
• le passage de l’état de
d’énergie inférieur (E ). Soit minimale référence à l’état
UÔ ¹×
E = E − E = Õ ⟹λ =
[ [
correspondant à fondamental pour la longueur 0,5
chaque lampe. d’onde minimale ; Les longueurs
• Longueurs d’onde minimales
• le passage du premier état
λ est minimale si E − E est maximale excité à l’état fondamental 0,5
d’onde 0,5
UÔ
On a :E − E = EØ − E . Ainsi, λZ = [ [
calculées sont
pour la longueur d’onde x4
Ù { maximale justes.
• Longueurs d’onde maximales
λ est maximale si E − E est minimale
En considérant le retour à l’état fondamental,
UÔ
on aE − E = E − E . Ainsi, λ=! = [
$ [{
AN :
• Atome de mercure
E,E× D~ÚÛ ×× DÜ
λZ = (D = 1,1889 × 10Þ ; ߶· ≃ , 3 à
D,)× ,E× D~{Ý
E,E× D ~ÚÛ ×× D Ü
λ=! = ( D,*,ÞÞ)× ,E× D~{Ý
= 2.6579 × 10Þ ; ßáË ≃ , 3â à
• Atome de sodium
E,E× D~ÚÛ ×× DÜ
λZ = (D = 2.2986 × 10Þ ; ߶· ≃ , 39 à
*,)× ,E× D~{Ý
E,E× D ~ÚÛ ×× DÜ
λ=! = (*,,D)× ,E× D~{Ý = 5,237 × 10Þ ; ßáË ≃ , 53 à
3.3 Identification de la lampe à vapeur appropriée Une identification de 0,5 La production situe λZ et 1 La lampe 1
9
3, 5 la lampe à vapeur λ=! de chaque lampe par appropriée est
Ultraviolet Visible Infrarouge
appropriée est faite. rapport au domaine de la lampe à
0,4 0,8 λ (μm)
l’ultraviolet. vapeur de
D’après le support, les nanopigments des billets de banque ne mercure.
prennent une couleur rouge ou verte qu’avec des radiations
ultraviolettes. La lampe à vapeur la plus appropriée à la détection des
faux billets de banque est donc celle dont l’atome émet
essentiellement dans le domaine de l’ultraviolet. Il s’agit ici de la lampe
à vapeur de mercure.
CRITERE DE PERFECTIONNEMENT
Indicateurs Total des points Note < 50/76 Note ≥ 50/76
Clarté et lisibilité des écrits, schémas et graphiques 00 1,5
Bonne utilisation de l’outil de communication 4 pts 00 1
Bonne présentation des résultats 00 1
10
TEST ABPSP DU BAC SESSION DE JUIN 2020 Série : D
ELEMENTS DE REPONSE ET GRILLE DE CORRECTION
A / CHIMIE ET TECHNOLOGIE (38 pts)
1 1.1 Domaines de prédominance des espèces chimiques des couples de l'ion Précision de l'espèce majoritaire dans l’eau de pluie étudiée.
bicarbonate 6,4 < 7,4 < 10,4
[𝐻𝐶𝑂 − ], Or 𝑝𝐾1 = 6,4 ; 𝑝𝐻 = 7,4 et 𝑝𝐾2 = 10,3
[𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] > 3 lorsque 𝑝𝐻 < 𝑝𝐾1
− 2−
[𝐻𝐶𝑂3 ] > [𝐶𝑂 3 ] , lorsque 𝑝𝐻 < 𝑝𝐾2 , D’où le diagramme : Donc 𝑝𝐾1 < 𝑝𝐻 < 𝑝𝐾2
0 𝑝𝐾1 𝑝𝐾2 𝑝𝐾𝑒 𝒑𝑯 D’après le diagramme précédent, l’espèce majoritaire dans l’eau de pluie
étudiée est donc l’ion bicarbonate ou hydrogénocarbonate ( 𝐻𝐶𝑂3− )
[𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] [𝐻𝐶𝑂3− ] [𝐶𝑂 2−
3 ]
[𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] [𝐻𝐶𝑂3− ]
𝟑, 𝟓 = [𝐻𝐶𝑂3− ] = [𝐶𝑂 2−
3 ]
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Un diagramme des domaines de 0,5 - Le diagramme utilise les espèces chimiques des 0,5 La production est celle attendue 1,5
prédominance est fait. couples de l'ion bicarbonate et les pKa.
- Une espèce majoritaire de l’eau de - Le choix de l’espèce majoritaire s’appuie sur la 1
pluie est indiquée. comparaison du pH aux deux pKa.
𝟏𝟎, 𝟓
0,29
1.2 Appréciation de la qualité (acide ou non) de l’eau de pluie étudiée. AN : [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] = . 10 (6,4−7,4) ; [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] = 4,75 10 −4 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1
− 61
Pour le couple (𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂/ 𝐻𝐶𝑂3 ), on a : Comme [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] = 4,75 10 −4 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 et 𝐶0 = 6,5 .1𝑂−4 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1
[𝐻𝐶𝑂3− ] − (𝑝𝐾 −𝑝𝐻)
𝑝𝐾1 = 𝑝𝐻 − 𝑙𝑜𝑔 [𝐶𝑂 , 𝐻 𝑂] soit [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] = [𝐻𝐶𝑂3 ]. 10 1 Alors, [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] < 𝐶0
2 2
Or [𝐻𝐶𝑂− ] =
𝐶𝑚
; D’où [𝐶𝑂 , 𝐻 𝑂] =
𝐶𝑚
. 10 (𝑝𝐾1 −𝑝𝐻) Conclusion : L’eau de pluie étudiée n’est pas acide
3 𝑀( 𝐻𝐶𝑂3− ) 2 2 𝑀( 𝐻𝐶𝑂3− )
𝟑, 𝟓
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une appréciation de la qualité (acide 0,5 La production s’appuie sur : 0,5 Le raisonnement est cohérent et 1
ou non acide ) de l’eau de pluie est [𝐻𝐶𝑂3− ] X2 aboutit au fait que l’eau de pluie
- les expressions : 𝑝𝐾1 = 𝑝𝐻 − 𝑙𝑜𝑔 et
[𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂]
faite. 𝐶𝑚 étudiée n’est pas acide.
[𝐻𝐶𝑂3− ] =
𝑀( 𝐻𝐶𝑂3− ) 1
- la comparaison de [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] à 𝐶0
Page 1 sur 8
−
1.3 Détermination de la valeur limite du rapport des concentrations Soit successivement, lorsque : 𝑝𝐾1 + 𝑙𝑜𝑔 [𝐻𝐶𝑂3 ] < 4
[𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂]
[𝑪𝑶𝟐 , 𝑯𝟐 𝑶] / [𝑯𝑪𝑶−𝟑 ] à partir duquel les poissons adultes ne peuvent [𝐻𝐶𝑂3− ] [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂]
(4−𝑝𝐾1 )
survivre dans un cours d’eau. < 10 ; > 10 (𝑝𝐾1 −4)
[𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] [𝐻𝐶𝑂3− ]
[𝐻𝐶𝑂 − ] [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] [𝑪𝑶𝟐 , 𝑯𝟐 𝑶]
𝑝𝐻 = 𝑝𝐾1 + 𝑙𝑜𝑔 [𝐶𝑂 , 𝐻3 𝑂] ; Les poissons adultes meurent pour 𝑝𝐻 < 4 AN : [𝐻𝐶𝑂 − ] > 10
(6,4−4)
; > 𝟐𝟓𝟏, 𝟐
2 2 3 [𝑯𝑪𝑶− ] 𝟑
𝟑, 𝟓 La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une valeur limite du rapport des 0,5 La production s’appuie sur : - la condition 𝑝𝐻 < 4 ; 1 Les étapes de la détermination 1,5
− [𝐻𝐶𝑂 −]
concentrations [𝐶𝑂2 , 𝐻2 𝑂] / [𝐻𝐶𝑂3 ] - la relation : 𝑝𝐻 = 𝑝𝐾1 + 𝑙𝑜𝑔 [𝐶𝑂 , 𝐻3 𝑂] 0,5 s’enchaînent logiquement et
2 2
est déterminée. conduisent au résultat attendu.
+ −
2 2.1 Preuve que le 𝒑𝒌𝒂 du couple acide / base de la solution 𝑺𝟏 vaut 𝜷. Or [H3 O ] ≪ [O𝐻 ] car le milieu est purement basique (𝑝𝐻 > 8 ) ;
Equations : donc [(CH3 )2 NH2+ ] ≈ [OH − ] ; [(CH3 )2 NH2+ ] = 10 pH−pKe
(CH3 )2 NH + H2 O ⇄ (CH3 )2 NH2+ + OH − Relation de conservation de la matière
2H2 O ⇄ H3 O+ + OH − [(CH3 )2 NH] = C1 − [(CH3 )2 NH2+ ] ; [(CH3 )2 NH] = C1 − 10 pH−pKe
+ − +
Bilan quantitatif : H3 O ; OH ; (CH3 )2 NH2 ; (CH3 )2 NH ; H2 O [(CH3 )2 NH] C1 −10 pH−pKe
pka = 𝑝𝐻 − log ; pka = 𝑝𝐻 − log( )
[H3 O+ ] = 10−pH ; [OH − ] = 10 pH−pKe +
[(CH3 )2 NH2 ] 10 pH−pKe
𝟒, 𝟓 Relation d’électroneutralité : AN : pka = 10,69 ≃ 10,7
+ − +
[(CH3 )2 NH2 ] = [OH ] − [H3 O ] ; Comme 𝑝𝐾𝑎 = 10,7 et 𝛽 = 10,7, alors 𝒑𝑲𝒂 = 𝜷
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une justification de la valeur du pKa 0,5 La justification utilise : - l’équation de la réaction ; 0,5 Le raisonnement ne comporte pas 1,5
est donnée. - le bilan des espèces chimiques ; X 5 de contradiction interne.
- la REN, la RCM, l’expression du Ka (ou du pKa)
2.2 Indication de l’importance d’une solution tampon et calcul de 𝑽𝟏 et 𝑽𝟐 . Calcul des valeurs de 𝑽𝟏 et de 𝑽𝟐 .
Importance d’une solution tampon La solution tampon étant idéale, on a :
Les solutions tampons sont utilisées pour : V1 + V2 = V V + V2 = V
𝟏𝟒 { + ;{ 1
- l’étalonnage des 𝑝𝐻 − 𝑚è𝑡𝑟𝑒 ; n((𝐶𝐻3 )2 𝑁𝐻 ) = n((CH3 )2 NH2 ) C1 V1 = C2 V2
C V C V
- la fabrication des médicaments et produits cosmétiques tamponnés ; D’où V1 = C +2 C et V2 = C +1 C
1 2 1 2
- le suivi de certaines réactions biochimiques.
𝟒 AN : 𝐕𝟏 = 𝟎, 𝟑𝟑 𝐋 ; 𝐕𝟐 = 𝟎, 𝟔𝟕 𝐋
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Une importance des solutions 0,5 La production s’appuie sur les relations V1 + V2 = V 0,5 - Au moins deux importances 1
tampons est indiquée. et n((𝐶𝐻3 )2 𝑁𝐻 ) = n((CH3 )2 NH2+ ) X2 correctes sont indiquées ;
- Des valeurs des volumes 𝑉1 et 𝑉2 0,5 - les volumes calculés sont justes. 1
sont calculées.
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2.3 Détermination du pouvoir tampon 𝒙 de la D’après la relation d’électroneutralité C1 V1 − 𝑥
[(CH3 )2 NH] =
𝑉𝑇
solution T lorsqu’on lui ajoute de l’acide nitrique. [(CH3 )2 NH2+ ] = [Cl− ] + [OH − ] + [𝑁𝑂3− ]- [(CH3 )2 NH]
S1: (CH3 )2 NH + H2 O ⇄ (CH3 )2 NH2+ + OH − [H3 O+ ] pH′ = pka + log [(CH +
3 )2 NH2 ]
𝐻2 𝑂 [OH − ] et [H3 O+ ] sont négligeables. Donc C1 V1 − 𝑥
S2: (CH3 )2 NH2 Cl → (CH3 )2 NH2+ + Cl− = 10𝑝𝐻′−𝑝𝑘𝑎 . On trouve
[(CH3 )2 NH2+ ] ≈ [Cl− ] + [𝑁𝑂3− ] C2 V2 + 𝑥
(CH3 )2 NH2+ + H2 O ⇄ (CH3 )2 NH + H3 O+ C V +𝑥
′
C1 V1 − ( C2 V2 . 10 𝑝𝐻 −𝑝𝐾𝑎 )
𝐻𝑁𝑂 + 𝐻 𝑂 → 𝐻 𝑂+ + 𝑁𝑂− [(CH3 )2 NH2+ ] = 2 2 𝑥=
3 2 3 3 𝑉 𝑇 1+ 10 𝑝𝐻′−𝑝𝐾𝑎
+ −
2H2 O ⇄ H3 O + OH D’après la relation de conservation de la matière,
Bilan qualitatif des espèces : OH − ; H3 O+ ; Cl− C V +C V
[(CH3 )2 NH] + [(CH3 )2 NH2+ ] = 1 1 2 2 AN : 𝑝𝐻 ′ = 𝑝𝐾𝑎 − 1(le 𝑝𝐻 = 𝑝𝐾𝑎 de la solution
𝟓, 𝟓 𝑁𝑂− ; (CH ) NH + ; (CH ) NH et H O 𝑉𝑇
tampon T diminue de 1 lors de l’ajout de l’acide
3 3 2 2 3 2 2 C1 V1 + C2 V2
Bilan quantitatif des espèces [(CH3 )2 NH] = − [(CH3 )2 NH2+ ] nitrique) ; soit 𝑝𝐻′ − 𝑝𝐾𝑎 = −1
𝑉𝑇
[H3 O+ ] = 10−pH ′ ; [OH − ] = 10−14+pH′ [(CH3 )2 NH] =
C1 V1 + C2 V2 −(C2 V2 + 𝑥)
C V
[Cl− ] = 2 2 ; [𝑁𝑂3− ] =
𝑥 𝑉𝑇 AN : 𝒙 = 𝟐, 𝟕. 𝟏𝟎−𝟑 𝒎𝒐𝒍
V T V T
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une valeur du pouvoir tampon est 0,5 La production utilise : - les équations de mise en 0,5 La démarche ne comporte pas de 1
− −
déterminée. solution ; - l’expression de : [𝑁𝑂3 ] ; [Cl ] et Ka (ou X 8 contradiction interne et conduit au
du pKa ) ; - la REN et la RCM résultat attendu.
3 3.1 Preuve que A possède cinq atomes de carbone. 𝑀(𝑃) 48 1 4800
𝑂𝑛 𝑎 ∶ 𝑀(𝑃) = 14 𝑥 + 146 or = ; Donc 𝑥 = ( − 146) ;
100 %𝑂 14 % 𝑂
Soit 𝐶𝑥 𝐻2𝑥+1 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 )𝐶𝑂𝑂𝐻 la formule de A. 1 4800
La formule du dipeptide P est sous la forme : AN : 𝑥 = 14 (25 ,53 − 146) ; 𝒙 = 𝟑
𝐶𝑥 𝐻2𝑥+1 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 )𝐶𝑂 − 𝑁𝐻 − 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )𝐶𝑂𝑂𝐻 D’où A possède cinq atomes de carbone car sa formule écrit : 𝐶3 𝐻7 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 )𝐶𝑂𝑂𝐻
𝟒 La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une preuve que A possède cinq 0,5 La preuve établie s’appuie sur : - la formule générale 1 La preuve est bien établie 1,5
atomes de carbone est établie. 𝑀(𝑃) 48 X2
des acides 𝛼 − 𝑎𝑚𝑖𝑛é𝑠 ; - l’expression = %𝑂
100
𝟏𝟑, 𝟓 3.2 Identification des composés A, B et P par leurs formules semi-développées et noms.
La décarboxylation de l’acide alpha-aminé A donne une amine primaire B.
En présence d’un chlorure d’acyle, B donne le 𝑁 − 2 − 𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑝𝑟𝑜𝑝𝑦𝑙 − 2 − 𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑝𝑟𝑜𝑝𝑎𝑛𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒. Donc B est le 2 − 𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑝𝑟𝑜𝑝𝑦𝑙𝑎𝑚𝑖𝑛𝑒. D’où
Formule semi-développée NOM
A 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 ) − 𝐶𝑂𝑂𝐻 Acide 2 − 𝑎𝑚𝑖𝑛𝑜 − 3 − 𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑏𝑢𝑡𝑎𝑛𝑜𝑖𝑞𝑢𝑒
𝟒, 𝟓
B 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 − 𝐶𝐻2 − 𝑁𝐻2 2 − 𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑝𝑟𝑜𝑝𝑦𝑙𝑎𝑚𝑖𝑛𝑒
P 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 ) − 𝐶𝑂 − 𝑁𝐻 − 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )𝐶𝑂𝑂𝐻 𝑣𝑎𝑙 − 𝑎𝑙𝑎 (ou Vanyl alanine)
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La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une identification des composés est 0,5 La production s’appuie sur une amine B résultant de 1 Les formules semi-développées et 0,5
faite. la décarboxylation d’un acide alpha- aminé A. noms obtenus sont ceux attendus. X6
3.3 Détermination des formules semi-développées respectives des composés 𝑭, 𝑭′ , 𝑮, 𝑮′ , 𝑮′′ et 𝑷′
De l’analyse de ces réactions, il ressort que G est l’acide alpha-aminé 𝑁 − 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑎𝑙 et 𝐹, l’acide alpha-aminé 𝐶 − 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑎𝑙. D’où
𝑭: 𝐶𝐻3 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 ) − 𝐶𝑂𝑂𝐻 ; 𝑭′ : 𝐶𝐻3 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 ) − 𝐶𝑂 − 𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻3 ;
′ ′′
𝑮 ∶ 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 − 𝐶𝐻(𝑁𝐻2 ) − 𝐶𝑂𝑂𝐻 𝑮 : 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 − 𝐶𝐻(𝐶𝑂𝑂𝐻) − 𝑁𝐻 − 𝐶𝑂 − 𝐶𝐻3 ; 𝑮 : 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 − 𝐶𝐻(𝐶𝑂𝐶𝑙) − 𝑁𝐻 − 𝐶𝑂 − 𝐶𝐻3
𝑷′ : 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 − 𝐶𝐻 − 𝐶𝑂 − 𝑁𝐻 − 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 ) − 𝐶𝑂 − 𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻3
𝟓
𝑁𝐻 − 𝐶𝑂 − 𝐶𝐻3
Indication de l’étape qui manque pour obtenir le dipeptide P.
L’étape qui manque est celle du déblocage des fonctions protégées par hydrolyse partielle.
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Une formule semi-développée est 0,5 La production s’appuie sur l’identification correcte des 0,5 Les formules semi-développées et 0,5
déterminée pour chacun des 0,5 acides alpha-aminé 𝑁 − 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑎𝑙 et 𝐶 − 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑎𝑙 X2 noms obtenus sont ceux attendus. X6
composés ;
- une étape manquante est indiquée
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2.2 Equation différentielle et expression 𝑢𝑔 + 𝑢𝐿 − 𝑢𝐶 = 0 ; ug − (L di + 𝑟𝑖) − 𝑢𝐶 = 0 Avec : 𝑈𝐶𝑚 = 4,25 𝑉 𝑒𝑡 T = 0,5 s
dt 2𝜋 2𝜋
de la tension instantanée 𝒖𝑪 dans le 𝑑𝑞 𝑑𝑢𝐶 d²u 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝜔 = 𝑇 = 0,5 = 4𝜋 𝑟𝑎𝑑. 𝑠 −1
circuit de la figure 2. 𝑜𝑟 𝑖 = 𝑑𝑡 = 𝐶 𝑑𝑡 ; donc ug − LC dt²C − 𝑟𝑖 − 𝑢𝐶 = 0
𝑑𝑢
Equation différentielle d²u 𝑖 = 𝐶 𝑑𝑡𝐶 = 𝐶𝜔𝑈𝐶𝑚 cos(𝜔𝑡 + 𝜑)
𝐾𝑖 − 𝑟𝑖 − LC dt²C − 𝑢𝐶 = 0
K 𝐴 𝑡 𝑜 𝑠, on a : 𝑖 = 0 et 𝑢𝐶 = 𝑈𝐶 𝑚 ; donc
Les oscillations étant sinusoïdales (voir courbe 2), 𝑘𝑖 − 𝑟𝑖 = 0
𝟏𝟐 𝐶𝜔𝑈𝐶𝑚 cos (𝜑) = 0 cos (𝜑) = 0
𝒊 Soit 𝑘 = 𝑟 et
𝐝²𝐮𝐂 𝟏
+ 𝑳𝑪 𝒖𝑪 = 𝟎 { et {
q 𝐝𝐭² 𝑈𝐶𝑚 sin (𝜑) = 𝑈𝐶 𝑚 sin (𝜑) = 1
𝝅
C 𝒖𝑪 𝒖𝑳 (L, r) Expression de 𝒖𝑪 Donc 𝝋 =
𝒖𝒈 𝟐
𝟓 L’une des solutions de cette équation différentielle est sous D’où 𝒖 = 𝟒, 𝟐𝟓 𝐬𝐢𝐧(𝟒𝝅𝒕 + 𝝅)
𝑪
D la forme : 𝑢𝐶 = 𝑈𝐶𝑚 sin (𝜔𝑡 + 𝜑) 𝟐
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3.1 Détermination des caractéristiques de 𝑂1 𝑂2 = 𝑂1 𝐴1 + 𝐴1 𝑂2 ; 𝑂2 𝐴1 = 𝑂1 𝐴1 − 𝑂1 𝑂2 𝛾 = 𝛾1 . 𝛾2 soit
𝐴′𝐵′ 𝑶 𝑨 𝑂 𝐴′
= 𝟏 𝟏 . 2
l’image définitive A’B’ de l’objet lumineux AN : 𝑶 𝑨 = 0,6 − 0,5 = 𝟎, 𝟏 𝐦 𝐴𝐵 𝑂1 𝐴 𝑂2 𝐴1
𝟐 𝟏 𝑶𝟏 𝑨𝟏 𝑂2 𝐴′
AB. D’après la formule de conjugaison appliquée à la On a : 𝐴′𝐵′ = 𝐴𝐵 . 𝑂1𝐴 . 𝑂2 𝐴1
𝐿1 𝐿2
𝐴𝐵 → 𝐴1 𝐵1 → 𝐴′𝐵′ lentille 𝐿2 , on a : 0,1 . 0,6 .0,15
AN : 𝐴′𝐵′ = −0,3 .0,1 ; 𝐴′𝐵′ = −0,3 𝑚
.′
D’après la formule de conjugaison appliquée 1 = 1 − 1 𝑓 . .𝑂 𝐴
soit : 𝑂2 𝐴′ = 2′ 2 1
1 1 1 𝑓2′ 𝑂2 𝐴′ 𝑂2 𝐴1 𝑓2 + 𝑂2 𝐴1
Caractéristiques de 𝐴′𝐵′
à la lentille 𝐿1 , on a : 𝑓′ = 𝑂 𝐴 − 𝑂 𝐴 Nature : image réelle
1 1 1 1
AN : 𝑂2 𝐴1 = 0,1 𝑚 et 𝑓2′ = −30 𝑐𝑚 = − 0,3 𝑚
𝟔 1 1 𝑂1 𝐴
𝐶1 = 𝑂 𝐴 − 𝑂 𝐴 ; 𝑂1 𝐴1 = 1+ 𝐶 .𝑂⃐⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐴 Position : image à 15 cm après la lentille 𝐿2
1 1 1 1 1 𝑶𝟐 𝑨′ = 𝟎, 𝟏𝟓 𝒎 Sens : image renversée
AN : 𝑂1 𝐴 = −30 𝑐𝑚 = −0,3 𝑚 et 𝐶1 = 5 𝛿 D’après la formule du grandissement, on a : Taille : 𝐴′𝐵′ = −0,3 𝑚
𝑶𝟏 𝑨𝟏 = 𝟎, 𝟔 𝒎
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Des caractéristiques de l’image 0,5 La production utilise : 0,5 Les caractéristiques déterminées 1
définitive sont déterminées. - les formules de conjugaison et du grandissement ; X3 sont celles attendues. x4
- la relation 𝑂1 𝑂2 = 𝑂1 𝐴1 + 𝐴1 𝑂2
𝟏𝟐, 𝟓
3.2 Indication d’une raison qui justifie l’association des lentilles dans cet L’image définitive obtenue est trois fois plus grande que l’objet (|𝛾| = 3).
appareil électro-optique. Cette association de lentilles permet d’enregistrer plus de détails sur les
𝑨′𝑩′ −0,3 mouvements liés à la technique de chasse du poisson archer.
𝜸= 𝐴′𝐵′ = −30 𝑐𝑚 𝑒𝑡 𝐴𝐵 = 10 𝑐𝑚 ; 𝛾 = ; 𝛾 = −3
𝑨𝑩 0,1
𝟐
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une raison justifiant l’association des 0,5 La production s’appuie sur le calcul du grandissement 0,5 La production est bien raisonnée. 1
lentilles est évoquée.
3.3 Détermination graphique de la position du foyer principal image F’ du Graphiquement, on a : 𝑙(𝑂2 𝐹 ′ ) = 1,5 𝑐𝑚 , soit 𝑂2 𝐹′ = −15 𝑐𝑚
système optique de la caméra. Le foyer principal image du système se trouve à 15 cm avant la lentille 𝐿2
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𝝋′𝟐
𝟒, 𝟓
𝑭′𝟐 𝑭′ 𝑭𝟏
𝑭𝟏 𝑶𝟏 𝑭′𝟏 𝑶𝟐
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une position du foyer image du 0,5 La production utilise un rayon lumineux venant de 1,5 La détermination est bien faite. 2,5
système est déterminée l’infini (parallèle à l’axe optique principal) qui émerge
graphiquement. en passant par le foyer principal image de la lentille 𝐿1 .
CRITERE DE PERFECTIONNEMENT (4 pts) : Réalisation correcte de la situation de communication
INDICATEURS NOTE Conditions d’attribution de la note du critère de perfectionnement
Présentation de la copie ( écriture et schémas faciles à déchiffrer ; 1 pt N.B. : L’attribution, à une copie, de la note de perfectionnement est
expression littérale et application numérique bien présentées ) 1 pt conditionnée par l’obtention d’un total non arrondi de 50 points sur le total
Respect des exigences de la langue française (orthographe et grammaire) 2 pts des 76 points affectés aux critères minimaux d’une part, la présence effective
des indicateurs définis pour le critère de perfectionnement d’autre part.
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TEST ABPSP DU BAC SESSION DE MAI 2021 Série : D
ELEMENTS DE REPONSE ET GRILLE DE CORRECTION
A / CHIMIE ET TECHNOLOGIE (37 pts)
1 1.1 Détermination du caractère acide, basique ou neutre d’un sang dont le 𝒑𝑯 est 𝒑𝑯𝒎 à 37 ° C.
1 1 1 1
A 37 ° C, on a : 2 𝑝𝑘𝑒 = 2 (13,6) = 6,8 . Comme 𝑝𝐻𝑚 = 7 et 2 𝑝𝑘𝑒 = 6,8, alors : 𝑝𝐻𝑚 > 2 𝑝𝑘𝑒. D’où le sang de 𝑝𝐻𝑚 = 7 est basique à 37 ° C.
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
𝟐, 𝟓 Un caractère acido-basique est 0,5 La production s’appuie sur : 0,5 Le caractère basique du sang est 1
1
déterminé pour le sang à 37 ° C - le calcul de 2 𝑝𝑘𝑒 ; x2 bien justifié
1
- la comparaison de 𝑝𝐻𝑚 à 2 𝑝𝑘𝑒
1.2 Identification de la menace de mort à laquelle est soumis chacun des Conclusion 1 : Le 𝑝𝐻 du sang du patient A est monté au-dessus de
patients A et B à 37°C. 𝑝𝐻𝑀 = 7,8 . Ce patient est donc menacé de la mort par le tétanos
[𝐻𝐶𝑂3− ] - Pour le patient B, on a [𝐻𝐶𝑂3− ] = 6,3. [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠
𝑝𝐻 = 𝑝𝐾𝑎 + 𝑙𝑜𝑔 [𝐶𝑂 ]
2 𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠
Soit 𝑝𝐻𝐵 = 𝑝𝐾𝑎 + 𝑙𝑜𝑔 (6,3)
- Pour le patient A, on a [𝐻𝐶𝑂3− ] = 63. [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠
𝑝𝐻𝐵 = 6,1 + log(6,3) ; 𝒑𝑯𝑩 = 𝟔, 𝟗
Soit 𝑝𝐻𝐴 = 𝑝𝐾𝑎 + 𝑙𝑜𝑔 (63)
𝟒 Conclusion 2 : Le 𝑝𝐻 du sang du patient B est descendu en dessous de
𝑝𝐻𝐴 = 6,1 + log(63) ; 𝒑𝑯𝑨 = 𝟕, 𝟗
𝟏𝟏 𝑝𝐻𝑚 = 7 . Ce patient est donc menacé de la mort par le coma.
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une menace de mort est indiquée 0,5 La production s’appuie sur : 0,5 Les conclusions relatives aux 1
pour chaque patient [𝐻𝐶𝑂3− ] 0,5 menaces de mort sont en rapport x 2
- la relation 𝑝𝐻 = 𝑝𝐾𝑎 + 𝑙𝑜𝑔 [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠
x2 avec les valeurs de 𝑝𝐻 calculés.
- le calcul du 𝑝𝐻 du sang de chacun des patients
1.3 Indication du traitement à administrer à chaque patient Il faut prescrire au patient A, des produits susceptibles de stimuler les
[𝐻𝐶𝑂3− ] poumons à augmenter le taux de dioxyde de carbone dissous ou bien des
𝑝𝐻 = 𝑝𝐾𝑎 + 𝑙𝑜𝑔 [𝐶𝑂 ]
2 𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠
produits capables de stimuler les reins à diminuer le taux d’ion
- Pour sauver le patient A, il faut abaisser légèrement le 𝑝𝐻 de son sang.
𝟒, 𝟓 hydrogénocarbonate dans le sang.
C’est-à-dire diminuer [𝐻𝐶𝑂3− ] ou augmenter [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠
Il faut prescrire au patient B, des produits susceptibles de stimuler les
- Pour sauver le patient B, il faut augmenter légèrement le 𝑝𝐻 de son sang.
poumons à diminuer le taux de dioxyde de carbone dissous ou bien des
C’est-à-dire augmenter [𝐻𝐶𝑂3− ] ou diminuer [𝐶𝑂2 ]𝑑𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠
produits capables de stimuler les reins à augmenter le taux d’ion
Conclusion :
hydrogénocarbonate dans le sang.
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La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Un traitement est préconisé pour 0,5 Le traitement préconisé vise l’abaissement du pH pour 0,5 Les modes de stimulation des 1,5
chaque patient. A et son élévation pour B. x2 organes de régulation préconisés x2
sont adéquats.
2 2.1 Preuve que le linanol présente l’isomérie de configuration avec précision du nom du type d’isomérie.
- Le linanol est chirale en raison de la présence d’un atome de carbone asymétrique (carbone numéro 3) dans sa molécule. Il possède ainsi deux
stéréoisomères (non conformères) mages l’un de l’autre à travers un miroir plan et présente par conséquent l’isomérie de configuration.
- nom du type d’isomérie : Il s’agit de l’énantiomérie.
𝟐
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une justification de l’existence de 0,5 La production évoque la présence de carbone 1 Le type d’isomérie trouvé est 0,5
l’isomérie de configuration est donné. asymétrique. l’énantiomérie.
2.2 - Formules semi-développées et noms des quatre produits susceptibles d’être formés lors de l’hydratation complète du linanol.
L’hydratation peut se faire sur chacune des deux doubles liaisons du linanol. La molécule étant dissymétrique de part et d’autre des doubles liaisons, les
produits susceptibles d’être formés se présentent comme suit :
Formule semi-développée Nom
𝐶𝐻3 − 𝐶𝐻(𝑂𝐻) − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 ) − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻(𝑂𝐻) − 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 3,7 − 𝑑𝑖𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑜𝑐𝑡𝑎𝑛𝑒 − 2,3,6 − 𝑡𝑟𝑖𝑜𝑙
𝐶𝐻3 − 𝐶𝐻(𝑂𝐻) − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 ) − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 )2 3,7 − 𝑑𝑖𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑜𝑐𝑡𝑎𝑛𝑒 − 2,3,7 − 𝑡𝑟𝑖𝑜𝑙
𝐻𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 ) − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻(𝑂𝐻) − 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2 3,7 − 𝑑𝑖𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑜𝑐𝑡𝑎𝑛𝑒 − 1,3,6 − 𝑡𝑟𝑖𝑜𝑙
𝟏𝟒
)
𝐻𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 )2 3,7 − 𝑑𝑖𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑜𝑐𝑡𝑎𝑛𝑒 − 1,3,7 − 𝑡𝑟𝑖𝑜𝑙
𝟕
Identification du composé M.
La fonction alcool du linanol est tertiaire, donc non oxydable. Le produit 𝑇 de l’oxydation ménagée de 𝑀 donne un précipité jaune avec la 2,4 − 𝐷𝑁𝑃𝐻
et est sans action sur la liqueur de Fehling. Donc 𝑇 possède une fonction cétone. D’où 𝑀 possède une fonction alcool secondaire. 𝜀
𝑇 donne une coloration rouge avec hélianthine. Donc 𝑇 renferme une fonction acide (carboxylique). D’où 𝑀 possède une fonction alcool primaire. 𝜑
Des résultats 𝜀 et 𝜑 , on déduit que 𝑀 est le 3,7 − 𝑑𝑖𝑚é𝑡ℎ𝑦𝑙𝑜𝑐𝑡𝑎𝑛𝑒 − 1,3,6 − 𝑡𝑟𝑖𝑜𝑙 de formule semi-développée :
𝐻𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 ) − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻(𝑂𝐻) − 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Des formules semi-développées et 0,5 La production utilise : 0,5 - Les formules semi-développées et (0,5
noms sont proposées. - le principe de l’hydratation des alcènes ; X 3 noms sont ceux attendus. x2)
- une identification du composé M est - les règles de nomenclature en chimie ; x4
faite. 0,5 - l’ identification des fonctions chimiques de M - Le composé M est bien identifié. 0,5
2.3 Détermination du volume minimal 𝑽𝒎𝒊𝒏 de la solution de dichromate de potassium nécessaire à la transformation de la masse 𝒎 de linanol en T.
La réaction a lieu en deux étapes : transformation du linanol en 𝑀 par hydratation puis oxydation ménagée de 𝑀 en 𝑇 par le dichromate de potassium.
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- L’hydratation de 𝒙 moles de linanol donne 𝒙 moles de trialcool dont un quart de M. Donc 𝑛(𝑙𝑖𝑛𝑎𝑛𝑜𝑙) = 4 𝑛(𝑀) 𝑎
La formule semi-développée de 𝑇 est : 𝐻𝑂𝑂𝐶 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝑂𝐻(𝐶𝐻3 ) − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝑂 − 𝐶𝐻(𝐶𝐻3 )2
Démi-équation de réduction : 𝐶𝑟2 𝑂 72− + 14 𝐻3 𝑂+ + 6 𝑒 − → 2 𝐶𝑟 3+ + 21 𝐻2 𝑂 𝑏
Démi-équation d’oxydation : 𝑀 + 7 𝐻2 𝑂 → 𝑇 + 6 𝐻3 𝑂+ + 6 𝑒 − 𝑑
𝑏 + 𝑑 donne l’équation-bilan ci-après : 𝑀 + 𝐶𝑟2 𝑂 72− + 8 𝐻3 𝑂+ → 𝑇 + 2 𝐶𝑟 3+ + 14 𝐻2 𝑂
D’après l’équation-bilan, on a : 𝑛(𝑀) = 𝑛( 𝐶𝑟2 𝑂 72− ) 𝑒
𝟓 𝑚
De 𝑎 𝑒𝑡 𝑒 , on a : 𝑛(𝑙𝑖𝑛𝑎𝑛𝑜𝑙) = 4 𝑛( 𝐶𝑟2 𝑂 72− ) ; soit 𝑀 (𝑙𝑖𝑛𝑎𝑛𝑜𝑙) = 4 𝐶0 𝑉𝑚𝑖𝑛 soit 𝑽𝒎𝒊𝒏 = 𝟒 𝑪
𝒎
𝟎 . 𝑴 (𝒍𝒊𝒏𝒂𝒏𝒐𝒍)
3,08
AN : 𝑀 (𝑙𝑖𝑛𝑎𝑛𝑜𝑙) = 154 𝑔. 𝑚𝑜𝑙 −1 ; 𝑉𝑚𝑖𝑛 = 4 ; 𝑽𝒎𝒊𝒏 = 𝟎, 𝟏 𝑳
. 5.10−2 . 154
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une valeur du volume minimal est 0,5 La production s’appuie sur : La production est bien raisonnée 2
déterminé - les demi-équations et l’équation bilan 0,5
- la relation entre les nombres de moles : de linanol et x 5
de M ; de M et d’ions dichromate
3 3.1 Equation des réactions chimiques associées aux opérations 1 et 2. Opération 2 :
Opération 1 : 𝐶𝐻2 − 𝑂 − 𝐶𝑂 − 𝐶3 𝐻7
3 𝐶3 𝐻7 − 𝐶𝑂𝑂𝐻 + 𝐶𝐻2 (𝑂𝐻) − 𝐶𝐻(𝑂𝐻) − 𝐶𝐻2 (𝑂𝐻) ⇄
𝐶𝐻2 − 𝑂 − 𝐶𝑂 − 𝐶3 𝐻7 + 3 (𝑁𝑎+ + 𝑂𝐻 − ) ⟶
𝐶𝐻2 − 𝑂 − 𝐶𝑂 − 𝐶3 𝐻7
4 𝐶𝐻2 − 𝑂 − 𝐶𝑂 − 𝐶3 𝐻7 + 3 𝐻2 𝑂 𝐶𝐻2 − 𝑂 − 𝐶𝑂 − 𝐶3 𝐻7
3 (𝑁𝑎+ + 𝐶3 𝐻7 − 𝐶𝑂𝑂− ) + 𝐶𝐻2 (𝑂𝐻) − 𝐶𝐻(𝑂𝐻) − 𝐶𝐻2 (𝑂𝐻)
𝐶𝐻2 − 𝑂 − 𝐶𝑂 − 𝐶3 𝐻7
𝟏𝟐 La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Des équations de réaction sont écrites 0,5 La production tient compte : Les équations sont correctes et bien 0,5
- du caractère réversible de l’opération 1 ; 0,5 équilibrées X2
𝟏
- des réactifs et des produits appropriés. 𝟒
x8
3.2 Nom et caractéristiques de la réaction chimique de l’opération 2 : La réaction chimique de l’opération 2 est la saponification. Elle est lente et totale
Nom et l’importance de l’opération 3 : L’opération 3 est le relargage. Elle permet de recueillir le maximum de savon.
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
𝟑
Un nom et des caractéristiques sont 0,5 Les réponses proposées sont celles 0,5
indiqués pour l’opération 2 ; attendues x4
- Un nom et une importance sont 0,5
indiqués pour l’opération 3.
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3.3 Appréciation du caractère suffisant ou non de la 𝑛𝑝′′ ∶ 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑚𝑖𝑡𝑖𝑛𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢 𝑟1 = 72 % = 0,72 ; 𝑟2 = 88 % = 0,88
′
quantité de savon préparé pour un usage 𝑛𝑎 ∶ 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑑 𝑎𝑐𝑖𝑑𝑒 𝑏𝑢𝑡𝑎𝑛𝑜𝑖𝑞𝑢𝑒 ′′
𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠é 𝜌 = 959 𝑔 . 𝐿−1 et 𝑉 = 1 𝐿
𝑛′𝑝 𝑛𝑎 𝑛𝑝
journalier de toute la classe. On a : 𝑟1 = 𝑛′′ avec 3 = 1 𝑚𝑆 =
110 . 0,72 . 0,88 . 959 . 1
; 𝒎𝑺 = 𝟕𝟓𝟗, 𝟓𝟑 𝒈
Détermination de la masse 𝒎𝑺 de savon préparé 𝑝 88
3 𝑛′𝑝 𝑟 . 𝑛
Posons pour la réaction de l’opération 2 : Soit 𝑟1 = 𝑛 et 𝑛′𝑝 = 1 3 𝑎 𝑏
𝑛𝑆 : 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛 𝑝𝑟é𝑝𝑎𝑟é
𝑎 Appréciation de la quantité de savon préparé
De 𝑎 et 𝑏 , on a : La masse de savon nécessaire pour un usage
𝑛′𝑆 : 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢
𝑛𝑝 ∶ 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑚𝑖𝑡𝑖𝑛𝑒 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠é 𝑚𝑆 = 𝑀𝑆 . 𝑟1 . 𝑟2 . 𝑛𝑎 Car 𝑛′𝑝 = 𝑛𝑝 journalier de tous les apprenants de la classe est :
𝑚 𝜌 . 𝑉
𝑛𝑆 𝑚𝑆 𝑛𝑆′ 𝑛𝑝 En tenant compte de 𝑛𝑎 = 𝑀𝑎 = 𝑀 , 𝑚0 = 60 . 10,5 𝑔 = 630 𝑔
𝟓 On a : 𝑟2 = ; Or 𝑛𝑆 = et = 𝑎 𝑎
Comme 𝑚𝑆 = 759,53 𝑔 et 𝑚0 = 630 𝑔 , alors
𝑛𝑆′ 𝑀𝑆 3 1 𝑴𝑺 . 𝒓𝟏 . 𝒓𝟏 . 𝝆 . 𝑽
Donc 𝑟2 = 3 𝑀
𝑚𝑆
et 𝑚𝑆 = 3 𝑀𝑆 . 𝑟2 . 𝑛𝑝 𝑎 on obtient : 𝒎𝑺 = 𝑚𝑆 > 𝑚0 . Donc la quantité de savon préparé par
𝑴𝒂
𝑆 . 𝑛𝑝
−1 −1 les apprenants est suffisante pour un usage
Posons pour la réaction de l’opération 1 : AN : 𝑀𝑆 = 110 𝑔 . 𝑚𝑜𝑙 ; 𝑀𝑎 = 88 𝑔 . 𝑚𝑜𝑙
journalier de toute la classe.
𝑛′𝑝 : 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑚𝑖𝑡𝑖𝑛𝑒 𝑝𝑟é𝑝𝑎𝑟é
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une appréciation de la quantité de savon 0,5 La production s’appuie sur : Le raisonnement ne comporte pas de 2
préparé est faite - les expressions des rendements 0,5 contradiction interne et conduit
- la relation 𝑚𝑎 = 𝜌 . 𝑉 x5 logiquement au résultat attendu.
- le calcul de la masse de savon
- la comparaison de 𝑚𝑆 à 𝑚0
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2.1 Schéma du circuit électrique réalisé pour obtenir les résultats du tableau Etablissement de l’expression de l’intensité efficace I en fonction de N, Um,
𝑉𝑜𝑖𝑒 𝐴 R, r, L et C.
U mU Um √2 1
𝐺𝐵𝐹 I = Z = Z√2 = ; Or Z = √(𝑅 + 𝑟)2 + (𝐿𝜔 − 𝐶𝜔)2 et 𝜔 = 2𝜋 𝑁
2Z
𝑉𝑜𝑖𝑒 𝐵 Ainsi l’expression de I s’écrit :
(𝐿, 𝑟 ) Um √2
𝟒 C 𝑅 𝐼 = 1
2 √(𝑅+𝑟)2 +(2𝜋𝐿𝑁− )2
2𝜋𝑁𝐶
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Un schéma du circuit électrique est 0,5 La production utilise : 0,5 - Le circuit est du type (R, L, C) et les 0,5
fait - les schémas normalisés des trois éléments du circuit ; 0,5 branchements sont bien réalisés.
- Une expression de l’intensité I est 0,5 - la masse et les voies A et B ; 0,5 - L’expression de l’intensité I établie
établie 1
les relations : Z = √(𝑅 + 𝑟)2 + (𝐿𝜔 − )2 𝑒𝑡 𝜔 = 2𝜋 𝑁 x2 est celle attendue. 0,5
𝐶𝜔
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N (103Hz) 2,6 2,8 3,0 3,2 3,4 3,6 3,8 4,0 4,2 4,4 4,6 4,8 5,0 5,2 5,4
Im (mA) 26 34 42 58 80 160 220 180 104 72 56 46 38 34 30
Z (Ω) 76,9 58,8 47,6 34,5 25,0 12,5 9,1 11,1 19,2 27,8 35,7 43,5 52,6 58,8 66,7
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Une courbe Z = f (N) est tracée ; 0,5 La production s’appuie sur : 1 - l’allure de la courbe est régulière et 1
- le remplissage correct du tableau ; 0,5 correspond à celle attendue ;
- Des valeurs de R et de C sont 0,5 - l’exploitation des échelles proposées ; 0,5 - La démarche de détermination de 𝑅 0,5
déterminées - la résonance d’intensité ou une relation associée 0,5 et de 𝐶 est logique et conduit aux x 2
1
- les relations : 𝑅 = 𝑍𝑜 – 𝑟 et C = 4π2 N2 L x2 valeurs attendues.
o
2.3 -Preuve que la bande passante en fréquence du circuit est limitée par deux 𝑍𝑜 𝐶 + √(𝑍𝑜 𝐶)2 + 4𝐿𝐶
𝑍𝑜 𝐶−√(𝑍𝑜 𝐶)2 +4𝐿𝐶
𝜔2 = et 𝜔′ 2 = < 0 (𝑎𝑏𝑠𝑢𝑟𝑑𝑒)
2 𝐿𝐶 2 𝐿𝐶
fréquence N1 et N2
𝐼 Résumé :
A la limite de la bande passante, on a : 𝐼 = 𝑂 −𝑍 𝑪 + √(𝑍𝑜 𝑪)𝟐 + 𝟒𝑳𝑪 𝑍 𝑪 + √( 𝑍𝑜 𝑪)𝟐 + 𝟒𝑳𝑪
√2
U 𝑈 𝑈 𝑈 𝝎𝟏 = 𝑜 et 𝝎𝟐 = 𝑜
𝟐 𝑳𝑪 𝟐 𝑳𝑪
Or I = Z et 𝐼0 = 𝑍 ; Donc 𝑍 = 𝑍 soit Z = Zo √2
0 0 √2 𝟐
−𝑍𝑜 𝑪 + √(𝑍𝑜 𝑪) + 𝟒𝑳𝑪 𝑍𝑜 𝑪 + √( 𝑍𝑜 𝑪)𝟐 + 𝟒𝑳𝑪
2 1 𝑵 𝟏 = et 𝑵 𝟐 =
On a : Z2 = 2 𝑍𝑜2 soit 𝑍𝑜 + (𝐿𝜔 − 𝐶𝜔)2 = 2 𝑍𝑜2 𝟒 𝝅 𝑳𝑪 𝟒 𝝅 𝑳𝑪
−𝑪 ( 𝑹+𝒓) + √ 𝑪𝟐 ( 𝑹+𝒓)𝟐 + 𝟒𝑳𝑪 𝑪 ( 𝑹+𝒓) + √ 𝑪𝟐 ( 𝑹+𝒓)𝟐 + 𝟒𝑳𝑪
1
(𝐿𝜔 − )2 = 𝑍 2 ; 𝐿𝜔 −
1
=±𝑍 𝑵𝟏 = et 𝑵 𝟐 =
𝑜 𝑜 𝟒 𝝅 𝑳𝑪 𝟒 𝝅 𝑳𝑪
𝐶𝜔 𝐶𝜔
2
𝐿𝐶𝜔 − 1 = ±𝑍𝑜 𝐶𝜔 ; 𝐿𝐶𝜔 ± 𝑍𝑜 𝐶𝜔 − 1 = 0 2 Détermination du facteur de qualité Q du circuit
𝑵
∆= (±𝑍𝑜 𝐶)2 + 4𝐿𝐶 = (𝑍𝑜 𝐶)2 + 4𝐿𝐶 > 0 𝑸 = 𝜟𝑵𝒐 A la résonance, 𝑍 = 𝑍𝑜√2
𝟒, 𝟓
- Pour 𝐿𝐶𝜔2 + 𝑍𝑜 𝐶𝜔 − 1 = 0, on a :
On a : Zo√2 = 9,1 √2 = 12,9 Ω. Ce qui correspond graphiquement aux
−𝑍𝑜 𝐶 + √(𝑍𝑜 𝐶)2 + 4𝐿𝐶 − 𝑍𝑜 𝐶−√( 𝑍𝑜 𝐶)2 +4𝐿𝐶
𝜔1 = et 𝜔′1 = < 0 (𝑎𝑏𝑠𝑢𝑟𝑑𝑒) fréquences 𝑁1 = 3560 𝐻𝑧 𝑒𝑡 𝑁2 = 4040 𝐻𝑧
2 𝐿𝐶 2 𝐿𝐶
3800
- Pour 𝐿𝐶𝜔2 − 𝑍𝑜 𝐶𝜔 − 1 = 0, on a : 𝛥𝑁 = 4040 – 3560 = 480 𝐻𝑧 ; A.N : 𝑁0 = 3800 𝐻𝑧 ; Q = ; 𝑸 = 𝟕, 𝟗
480
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Une preuve que la bande passante en 0,5 La production utilise : 0,5 Les expressions des fréquences
fréquence du circuit est limitée par 𝐼𝑂 No x3 trouvées sont justes. 0,5
- les relations : 𝐼 = ; Z = Zo√2 et Q = ∆N
√2
deux fréquence N1 et N2, est donnée. 0,5 - La valeur Q du facteur de qualité est
- le calcul de 𝑍𝑜 √2 12,9 𝛺
- Une détermination graphiquement 0,5 0,5 bien déterminée 0,5
- l’identification de la valeur de la fréquence No
du facteur de Q du circuit est faite.
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3.1 Etablissement des formules du prisme à partir d’un schéma clair et soigné. Etablissement des relations caractéristiques d’un prisme
Schéma soigné Au point I, on a, d’après les lois de Descartes : 𝑛1 sin 𝑖 = 𝑛2 sin 𝑟
A avec 𝑛1 = 1 (𝑖𝑛𝑑𝑖𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙 ′ 𝑎𝑖𝑟) et 𝑛2 = 𝑛 (𝑖𝑛𝑑𝑖𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑚𝑒)
𝑑 ′ 𝑜ù 𝐬𝐢𝐧 𝒊 = n.𝐬𝐢𝐧 𝒓 (1)
Au point I’, on a par analogie : 𝐬𝐢𝐧 𝒊′ = n.𝐬𝐢𝐧 𝒓′ (2)
̂ = 180°
Dans le triangle II’K, on a : 𝑟 + 𝑟 ′ + 𝑚𝑒𝑠𝐼𝐾𝐼′
I 𝑫𝟏 D ̂′ = 180° (𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑡 ) D’où 𝑨 = 𝒓 + 𝒓′ (3)
Or 𝐴 + 𝑚𝑒𝑠𝐼𝐾𝐼
𝟑, 𝟓 𝒊 I’
𝒓 𝒊’ 𝐷 = 𝐷1 + 𝐷2
𝒓′ Or 𝐷1 = 𝑖 − 𝑟 et 𝐷2 = 𝑖′ − 𝑟′ Donc 𝐷 = 𝑖 + 𝑖 ′ − (𝑟 + 𝑟 ′ )
𝑫𝟐 𝑫 = 𝒊 + 𝒊’ – 𝑨 (4)
K (1) , (2), (3) et (4) sont les formules du prisme
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Des formules du prismes sont établies. 0,5 La production s’appuie sur un schéma bien fait 1 La démarche d’établissement des quatre 0,5
formules du prisme est cohérente. x4
𝟏𝟏, 𝟓 3.2 Description et explication du phénomène observé lorsqu’un pinceau de lumière blanche est envoyé sur un prisme.
Description du phénomène observé
Lorsqu’un pinceau de lumière blanche est envoyé sur un prisme, on observe à la sortie, une plage colorée comportant les couleurs de l’arc-en-ciel : rouge,
orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet (l’arc-en-ciel).
Explication du phénomène observé
Les angles 𝑖 et 𝐴 sont identiques pour toutes les radiations. Comme 𝐷 = 𝑖 + 𝑖 ′ − 𝐴, alors l’angle de déviation 𝐷 dépend de l’angle d’incidence 𝑖 ′ .
D’après la relation sin 𝑖 ′ = 𝑛 sin 𝑟 ′ , 𝑖 ′ dépend aussi de l’indice 𝑛 ; donc 𝐷 dépend de l’indice 𝑛. Puisque l’indice de réfraction 𝒏 d’un milieu dispersif
𝟒 dépend de la radiation lumineuse qui s’y propage, alors les diverses radiations subissent des angles de déviation différents. D’où l’observation du spectre.
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une description expliquée du 0,5
La production s’appuie sur : La description et l’explication 1
phénomène est faite - les radiations visibles de la lumière blanche ; 0,5 formulées sont scientifiquement x2
- la variation de l’indice de réfraction d’un milieu 1 valides.
dispersif en fonction de radiation lumineuse.
𝑫+𝑨 𝐴
3.3 𝑺𝒊𝒏
𝟐 Donc la formule (3) donne : 𝐴 = 𝑟 + 𝑟 ′ = 2 𝑟 et : 𝑟 = 𝑟 ′ = 2 (c )
Preuve que l’indice 𝒏 du prisme est donné par la relation 𝒏 = 𝑨
𝑺𝒊𝒏 𝑺𝒊𝒏(
𝑫+𝑨
)
𝟐
𝟐
𝟒
sin 𝑖 (b) et (c ) dans (a) donne : 𝒏 =
sin 𝑖 = n.sin 𝑟 alors, 𝑛 = sin 𝑟 (a) 𝑺𝒊𝒏
𝑨
𝟐
comme 𝐷 = 𝑖 + 𝑖 ′ − 𝐴 𝑒𝑡 𝑖 = 𝑖 ′ alors 𝐷 = 2𝑖 + 𝐴 Calcul numérique de l’indice de réfraction.
𝐷−𝐴 28,75 +56
Soit 𝑖 = 2 (b) ; 𝑖 = 𝑖 ′ ⟹ 𝑟 = 𝑟′ selon les formules (1) et (2) ′
sin(
2
)
𝐷 = 28°45 = 28,75 ° et 𝐴 = 56 ° ; 𝑛 = ; 𝒏 = 𝟏, 𝟒𝟒
sin 28°
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La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Une preuve de l’expression de 𝑛 est 0,5 La production utilise : la preuve de l’expression de 𝑛 est 1
établie. 0,5 - des formules du prisme ; 0,5 bien établie. x2
- Un calcul numérique de 𝑛 est fait - la condition 𝑖 = 𝑖′ 0,5 - Le calcul donne 𝑛 = 1,44
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TEST ABPSP DU BAC SESSION DE MAI 2022 Série : D
ELEMENTS DE REPONSE ET GRILLE DE CORRECTION
A / CHIMIE ET TECHNOLOGIE ( 38 pts)
1 1.1 Interprétation de l'expérience 1 et justification des propositions. - Justification du qualificatif aspirine « retard »
- Justification de l'indication « comprimé gastro-résistant ». A la température du corps du patient, l’intestin est un milieu basique
1 1
A la température du corps du patient, on a 2 𝑝𝑘𝑒 = 6,8 . Comme 𝑝𝐻𝑒 = 2, puisque 𝑝𝐻𝑖 = 8 > 2 𝑝𝑘𝑒. D’après l’expérience 1, le comprimé d’aspirine
1
alors 𝑝𝐻𝑒 < 2 𝑝𝑘𝑒 . Donc le milieu gastrique (estomac) est acide. D’après 𝑝𝐻8 se décompose dans une solution basique (hydroxyde de sodium).
l’expérience 1, le comprimé d'aspirine 𝑝𝐻8 reste intact dans une solution Donc, ce comprimé peut se décomposer dans l’intestin. Ainsi, il traverse
acide (acide chlorhydrique). Donc, Il "résiste" ou ne se décompose pas dans d’abord l’estomac et arrive au niveau des intestins avant de commencer par
𝟓, 𝟓
un milieu acide comme le milieu gastrique (l’estomac). Il est par conséquent se décomposer. Il met du temps avant de libérer son principe actif (de se
gastro-résistant ». décomposer). C’est un comprimé d’aspirine « retard ».
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une justification est donnée pour 0,5 La production s’appuie sur le fait que l’estomac et 0,5 Les justifications ne comportent pas 2
chaque proposition l’intestin sont respectivement acide est basique X2 de contradiction interne. X2
1.2 Interprétation de l'expérience 2 pour expliquer pourquoi on doit avaler le comprimé sans le croquer.
𝟏𝟏, 𝟓 D’après l’expérience 2, le comprimé d’aspirine 𝑝𝐻8 est acide mais son enrobage est basique. En croquant le comprimé d’aspirine 𝑝𝐻8 , on détruit son
enrobage. Ainsi, le principe actif acide (acide acétylsalicylique) est libéré très tôt et va contribuer à augmenter le taux d’acidité de l’estomac. Ce qui est
𝟑 dangereux pour l’estomac (la santé). C’est pourquoi, il est recommandé de l’avaler sans le croquer.
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une explication st formulée 0,5 L’explication s’appuie sur le fait qu’on détruit 0,5 L’explication formulée est juste 2
l’enrobage en croquant le comprimé d’aspirine 𝑝𝐻8 .
1.3 Indication du but pour lequel cette formulation particulière de l’aspirine a été créée.
L’excès d’acidité de l’estomac peut provoquer l’ulcère gastrique ou être à l'origine de saignements. C’est donc pour éviter ces conséquences fâcheuses
que cette formulation particulière de l’aspirine a été créée.
𝟑 La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une importance de l’aspirine 𝑝𝐻8 est 0,5 Le but indiqué est d’ordre sanitaire 1 La but proposé est celui attendu 1,5
formulée
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2 2.1 Tracé de la courbe donnant l’évolution en fonction du temps, de la concentration de l’éthanol dans l’estomac du taximan.
𝑪 (𝒎𝒐𝒍. 𝑳−𝟏 )
𝟐
𝟏, 𝟒𝟐
𝟏, 𝟐
𝟏
𝟎, 𝟕𝟐
𝟒, 𝟓
𝟎, 𝟑𝟔
𝟏𝟏
𝟎, 𝟎𝟓 𝒕 (𝒎𝒊𝒏)
𝟎 𝟐𝟑 𝟒 𝟔 𝟏𝟎 𝟐𝟎
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Un graphe donnant l’évolution de la 0,5
La production utilise : La courbe tracé a une allure régulière 2,5
concentration de l’éthanol est tracé - les échelles proposées ; 1 et correspond aux données du
- les dates en abscisse et les concentration en ordonnée. 0,5 support.
2.2 Calcul de la vitesse moyenne de disparition de l’éthanol de l’estomac entre les dates t1 et t2.
𝐶2 − 𝐶1
𝑉𝑚 = − ; AN : 𝐶2 = 0,36 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 à l’instant 𝑡2 = 10 𝑚𝑖𝑛
𝑡2 − 𝑡1
0,36 – 1,2
𝟑 Graphiquement, 𝐶1 ≈ 1, 2 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 , à l’instant 𝑡1 = 3 𝑚𝑖𝑛 ; AN : 𝑉𝑚 = − ; 𝑽𝒎 = 𝟏, 𝟐 . 𝟏𝟎−𝟏 𝒎𝒐𝒍. 𝑳−𝟏 𝒎𝒊𝒏−𝟏
10 − 3
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une vitesse moyenne de disparition de 0,5 La production s’appuie sur : 1 La valeur de la vitesse calculée est 1
l’éthanol est calculée - une expression correcte de la vitesse moyenne ; 0,5 voisine de celle attendue.
- la détermination graphique de la concentration
molaire de l’éthanol à l’instant 𝑡1
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𝐶 𝐶 𝐶𝑚𝑙
2.3 Détermination de l’instant 𝑻 où le taximan peut être autorisé à conduire. 𝑇 = 𝑡3 + 𝑉0 − 𝑉𝑙 . Or 𝐶𝑙 = 𝑀 ( 𝐶2 𝐻6 𝑂 )
𝑇 = 𝑡3 + ∆𝑡 1 𝑪𝟎 𝑪𝒎𝒍
où ∆𝑡 est la durée nécessaire pour que la concentration de l’éthanol dans Donc 𝑻 = 𝒕𝟑 + −
𝑽 𝑽 . 𝑴 ( 𝑪 𝟐 𝑯𝟔 𝑶 )
le sang du taximan passe de 𝐶0 à 𝐶𝑚𝑙 . AN : 𝑡3 = 22 𝑚𝑖𝑛 ; 𝐶0 = 2,5. 10−2 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1
𝐶 −𝐶
On a : 𝑉 = − 𝑙 ∆𝑡 0 où 𝐶𝑙 est la concentration molaire correspondant à la 𝑉 = 7,0 . 10−5 𝑚𝑜𝑙. 𝐿−1 . 𝑚𝑖𝑛−1 et 𝑀 ( 𝐶2 𝐻6 𝑂 ) = 46 𝑔. 𝑚𝑜𝑙 −1
concentration massique 𝐶𝑚𝑙 2,5. 10−2 0,5
𝑇 = 22 + − 7,0 .10−5 . ; 𝑻 = 𝟐𝟐𝟒 𝒎𝒊𝒏 = 𝟑 h 𝟒𝟒 𝒎𝒊𝒏
𝐶 −𝐶 𝑪 −𝑪 𝐶 −𝐶 7,0 . 10−5 46
𝑉 = 0∆𝑡 𝑙 ⟹ ∆𝒕 = 𝟎 𝑽 𝒍 1 devient 𝑇 = 𝑡3 + 0𝑉 𝑙
Donc le taximan est autorisé à conduire 3 h 44 min après avoir pris le vin.
𝟑, 𝟓 La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une valeur de la date où le taximan 0,5 La production utilise : Le raisonnement est logique et 1,5
peut conduire est déterminée. - la durée 𝑡3 au bout de laquelle tout l’éthanol 0,5 conduit approximativement à
consommé passe dans le sang ; 3 h 44 𝑚𝑖𝑛
- l’expression de ∆𝑡 en fonction de la vitesse de 1
disparition de l’éthanol du sang.
3 3.1 Détermination de la formule semi-développée - L’arôme de banane provient de l’estérification directe entre le 𝑏𝑢𝑡𝑎𝑛 − 1 − 𝑜𝑙 et Z. Il s’agit donc de
de 𝒁 et déduction des formules semi- l’éthanoate de butyle.
développées et noms du désinfectant, de - L’oxydation ménagée du 𝑏𝑢𝑡𝑎𝑛 − 1 − 𝑜𝑙 en présence d’un excès de permanganate de potassium
l’arôme de banane, de l’arôme d’ananas et de donne Y qui est donc de l’acide butanoique. En présence de 𝑃4 𝑂10 , Y donne l’anhydride butanoique
l’antipyrétique. (𝑋). Ainsi l’arôme d’ananas issue de l’estérification indirecte entre l’éthanol et 𝑋 est le Butanoate
Z est un acide carboxylique à chaîne carbonée d’éthyle.
saturée non cyclique, donc sa formule brute est -L’antipyrétique est le produit de la réaction entre la phénylamine et Z. IL s’agit donc de la
sous la forme : 𝐶𝑥 𝐻2𝑥 𝑂2 𝑁 −phényléthanamide
32 𝑀 32 14 𝑥+32
𝟏𝟓, 𝟓 = 100 ⟺ % 𝑂 = 100 Récapitulation
%𝑂
𝟓, 𝟓 Soit 𝑥 = 1 (3200 − 32) Composé Formule semi-développée Nom
14 % 𝑂
1 3200 Désinfectant 𝐶𝐻3 − 𝐶𝐻2 − 𝑂𝐻 Ethanol
AN : 𝑥 = 14 ( 53,33 − 32) = 2 Arôme de banane Ethanoate de butyle
D’où 𝑍 ∶ 𝐶2 𝐻4 𝑂2
La formule semi-développée de 𝑍 est : 𝐶𝐻3 − 𝐶 − 𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻3
Arôme d’ananas Butanoate d’éthyle
𝐶𝐻3 − 𝐶 − 𝑂𝐻
𝐶𝐻3 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻2 − 𝐶 − 𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻3
- L’oxydation ménagée du désinfectant en
présence d’un excès de dichromate de potassium Antipyrétique 𝑁 −phényléthanamide
donne Z. Ce désinfectant est donc de l’éthanol. 𝐶𝐻3 − 𝐶 − 𝑁𝐻 − 𝐶6 𝐻5
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La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une formule de Z est déterminée. La production utilise : La production aboutit à Z : CH3-COOH 0,5
32 𝑀
- Une formule semi-développée et un 0,5 - les relations % 𝑂 = 100 et 𝑀 = 14𝑥 + 32 ; 0,5 - Les formules semi-développées et
nom sont déduits pour chaque 0,5 x4 noms des quatre produits sont bien 𝟏⁄𝟒
- les fonctions chimiques correctes des composés
composé. déterminées x8
- les règles de nomenclature
3.2 Calcul du 𝒑𝑯 de la solution 𝑺. [𝐻3 𝑂+ ] . [𝐴− ] 10 −2 𝑝𝐻
𝐾𝑎 = [𝐻𝐴 ]
= 𝐶−10 −𝑝𝐻 ; 𝐾𝑎 . (𝐶 − 10 −𝑝𝐻 ) = 10 −2 𝑝𝐻
Posons 𝑌: 𝐻𝐴 la formule de l’acide butanoique
On a : 𝐻𝐴 + 𝐻2 𝑂 ⇄ 𝐻3 𝑂+ + 𝐴− Posons 𝑥 = 10 −𝑝𝐻 , on a : 𝑝𝐻 = − log 𝑥 Et 𝑥 2 + 𝐾𝑎 . 𝑥 − 𝐾𝑎 . 𝐶 = 0
2 𝐻2 𝑂 ⇄ 𝐻3 𝑂+ + 𝑂𝐻 − ∆= 𝐾𝑎2 + 4 𝐾𝑎 . 𝐶 > 0
Bilan des espèces : 𝐻3 𝑂+ ; 𝑂𝐻 − ; 𝐴− ; 𝐻𝐴 et 𝐻2 𝑂 −𝐾𝑎 + √𝐾𝑎2 + 4 𝐾𝑎 . 𝐶
𝑥= (seule solution acceptable)
[𝐻3 𝑂+ ] = 10−𝑝𝐻 et [𝑂𝐻 − ] = 10𝑝𝐻−𝑝𝑘𝑒 2
−𝐾𝑎 + √𝐾𝑎2 + 4 𝐾𝑎 . 𝐶
D’après le relation d’électroneutralité, on a : [𝐴− ] + 𝑂𝐻 − ] = [𝐻3 𝑂+ ] 𝑝𝐻 = − log 𝑥 équivaut à 𝑝𝐻 = − log( )
2
Soit : [𝐴− ] = [𝐻3 𝑂+ ] − [𝑂𝐻 − ] −10 −𝑝𝐾𝑎 + √10 −2 𝑝𝐾𝑎 + 4 . 10 −𝑝𝐾𝑎 . 𝐶
𝟒, 𝟓 𝑝𝐻 = − log ( )
[𝐴− +
] ≈ [𝐻3 𝑂 ] = 10 −𝑝𝐻 − +
, car [𝑂𝐻 ] ≪ [𝐻3 𝑂 ] (mileu purement acide) 2
−10 −4,82 + √10 −9,64 + 4 . 10 −4,82 . 10 −3
D’après le relation de conservation de la matière, on a : 𝐶 = [𝐻𝐴] + [𝐴− ] AN : 𝑝𝐻 = − log ( 2
)
[𝐻𝐴] = 𝐶 − [𝐴− ] = 𝐶 − 10 −𝑝𝐻 𝒑𝑯 = 𝟑, 𝟗𝟒
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Un calcul du pH de S est fait 0,5
La production utilise : l’équation de la réaction ; le bilan 0,5 Le raisonnement est logique et 1,5
des espèces, la REN, la RCM et l’expression du Ka (ou x 5 conduit à 𝑝𝐻 = 3,94
du pKa)
3.3 Détermination de la composition en masse du mélange obtenu à la fin de Masse d’acide éthanoique ( composé Z ) restant
la réaction de synthèse de l’arôme de banane. D’après la relation de conservation de la matière, on a :
Equation de la réaction 𝑛0 = 𝑛(𝑍) + 𝑛′(𝑍) où n(Z) est le nombre de moles restant du composé Z
𝐶𝐻3 − 𝐶𝑂𝑂𝐻 + 𝐶3 𝐻7 − 𝐶𝐻2 − 𝑂𝐻 ⇄ 𝐶𝐻3 − 𝐶𝑂𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶3 𝐻7 + 𝐻2 𝑂
et n’(Z) est le nombre de moles du composé Z ayant réagi.
Posons 𝑍 ∶ 𝐶𝐻3 − 𝐶𝑂𝑂𝐻 ; 𝐵 ∶ 𝐶3 𝐻7 − 𝐶𝐻2 − 𝑂𝐻
On a : 𝑛(𝑍) = 𝑛0 − 𝑛′(𝑍) ; Or 𝑛′ (𝑍) = 𝑛𝐴 (𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑢)
et 𝐴 ∶ 𝐶𝐻3 − 𝐶𝑂𝑂 − 𝐶𝐻2 − 𝐶3 𝐻7 𝑟 . 𝑛 𝑟 𝑟
Vérifions si le mélange initial est stœchiométrique 𝑛(𝑍) = 𝑛0 − 1000 = 𝑛0 (1 − 100) ; 𝑚 (𝑍) = 𝑀(𝑍) . 𝑛0 . (1 − 100)
𝑚 51,8 82
𝑛𝑖 (𝑍) = 𝑛0 = 0,5 𝑚𝑜𝑙 et 𝑛𝑖 (B) = 𝑀 (𝐵) = = 0,7 𝑚𝑜𝑙 𝑚(𝑍) = 60 . 0,5 (1 − 100) ; 𝒎 (𝒁) = 𝟓, 𝟒 𝒈
74
𝟓, 𝟓 Comme 𝑛𝑖 (Z) = 0,5 𝑚𝑜𝑙 et 𝑛𝑖 (B) = 0,7 𝑚𝑜𝑙 , alors 𝑛𝑖 (𝑍) < 𝑛(𝐵). Masse du 𝒃𝒖𝒕𝒂𝒏 − 𝟏 − 𝒐𝒍 restant
Le mélange initial n’est pas stœchiométrique. L’acide éthanoïque (Z) est le D’après la relation de conservation de la matière, on a :
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réactif limitant. 𝑛𝑖 (𝐵) = 𝑛(𝐵) + 𝑛′(𝐵) où n(B) est le nombre de moles restant du composé
Masse du composé A formé B et n’(B) est le nombre de moles du composé B ayant réagi.
𝑟=
𝑛𝐴 (𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑢) . 100
or 𝑛𝐴 (attendu) = 𝑛𝑖 (𝑍) = 𝑛0 On a : 𝑛(𝐵) = 𝑛𝑖 (𝐵) − 𝑛′(𝐵) ; Or 𝑛′ (𝐵) = 𝑛𝐴 (𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑢)
𝑛𝐴 (attendu) 𝑟 . 𝑛0 𝑟 . 𝑛0
𝑟 . 𝑛0 𝒓 . 𝒏𝟎 . 𝑴 (𝑨)
𝑛(𝐵) = 𝑛𝑖 (𝐵) − ; 𝑚 (𝐵) = 𝑀(𝐵) . [ 𝑛𝑖 (𝐵) − ]
100 100
donc 𝑛𝐴 (𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑢) = ; 𝒎𝑨 = 82 . 0,5
100 𝟏𝟎𝟎 𝑚(𝐵) = 74 . [ 0,7 − ] ; 𝒎(𝑩) = 𝟐𝟏, 𝟒𝟔 𝒈
82 . 0,5 . 116 100
𝑚𝐴 = ; 𝒎 (𝑨) = 𝟒𝟕, 𝟓𝟔 𝒈 Récapitulation
100
Masse d’eau formée A la fin de la reaction, le mélange comporte :
𝑚(𝐻2 𝑂) = 𝑛 (𝐻2 𝑂 ) . 𝑀(𝐻2 𝑂) 𝑚 (𝐴) = 47, 56 𝑔 de éthanoate de butyle (arôme de banane)
𝑟 . 𝑛0 . 𝑀(𝐻2 𝑂)
Or 𝑛 (𝐻2 𝑂 ) = 𝑛𝐴 (𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑢) Donc 𝑚(𝐻2 𝑂) = 𝑚(𝐻2 𝑂) = 7,38 𝑔 d’eau
100
82 . 0,5 . 18 𝑚 (𝑍) = 5,4 𝑔 d’acide éthanoique
𝐴𝑁: 𝑚(𝐻2 𝑂) = ; 𝒎(𝑯𝟐 𝑶) = 𝟕, 𝟑𝟖 𝒈
100 𝑚(𝐵) = 21,46 𝑔 de 𝑏𝑢𝑡𝑎𝑛 − 1 − 𝑜𝑙
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une composition en masse du mélange 0,5 La production s’appuie sur : 0,5 La masse de chaque élément du mélange 1
final est déterminée - la détermination d réactif limitant (ou en défaut) ; x2 est bien calculée. X4
- l’expression correcte du rendement
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Un calcul de la portée du saut est fait 0,5 La production exploite la condition 𝑧𝐸 = 𝑧𝐷 1 La valeur calculée est celle attendue. 1
1 1
2.1 Expression des puissances moyennes 𝑷𝟏 et 𝑷𝟐 et Donc 𝑷 = 𝑹𝟐 . 𝑼 ² On a : ( 𝐿1 𝜔 − 𝐶 𝜔 + 𝐶 𝜔) = 0
𝟐 𝟏
𝑹 𝟐𝟐 + 𝟐 1 2
détermination des pulsations 𝝎𝟏 et 𝝎𝟐 pour 𝑪𝟐 𝝎 ² 1 1
ou (𝐿1 𝜔 − − )=0
lesquelles ces puissances sont égales. Détermination des pulsations 𝝎𝟏 et 𝝎𝟐 pour 𝐶1 𝜔 𝐶2 𝜔
𝑈²
𝑅1 . 𝑈 ² 𝑅 . 𝑈²
= 2 2 1 Car 𝜔1 < 𝜔2
Donc 𝑃 = 𝑅 . 2
𝑅1 + (𝐿1 𝜔 −
1
)² 𝑅 2 +
𝑍² 𝐶1 𝜔 𝐶2
2 𝜔² (1−0,5) . 10 −6
Pour le circuit 1, on a : 2
𝜔 1 = √ ;
0,25 . 0,5 10 −6 . 10 −6
1 1
𝑅2 [ 𝑅12 + (𝐿1 𝜔 − ) ] = 𝑅1 [ 𝑅22 + 𝐶22 𝜔 ²
]
𝟔 1 𝐶1 𝜔 𝝎𝟏 = 𝟐𝟎𝟎𝟎 𝒓𝒂𝒅 . 𝒔−𝟏
𝑍 = 𝑍1 = √𝑅12 + (𝐿1 𝜔 − 𝐶 )² et 𝑅 = 𝑅1 1 2 1
1 𝜔
(𝐿1 𝜔 − ) = , car 𝑅1 = 𝑅2 (1+0,5) . 10 −6
𝑹𝟏 . 𝑼 ² 𝐶1 𝜔 𝐶22 𝜔 ² 𝜔2 = √0,25
Donc 𝑷𝟏 = . 0,5 10 −6 . 10 −6
𝟏 1 1 1 1
𝑹𝟐𝟏 + (𝑳𝟏 𝝎 − )² ( 𝐿1 𝜔 − +𝐶 ) (𝐿1 𝜔 − −𝐶 )=0
𝑪𝟏 𝝎 𝐶1 𝜔 2 𝜔 𝐶1 𝜔 2 𝜔 𝝎𝟐 = 𝟑𝟒𝟔𝟒, 𝟏 𝒓𝒂𝒅 . 𝒔−𝟏
- Pour le circuit 2, on a :
1
𝑍 = 𝑍2 = √𝑅22 + 2 et 𝑅 = 𝑅2
𝐶 2 𝜔²
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Des expressions de 𝑃1 et 𝑃2 sont 0,5 La production utilise : - Les expressions sont bien établies. 1x
𝑈 𝑅
établies - les expressions 𝑃 = 𝑈𝐼 cos 𝜑 ; 𝐼 = 𝑍 et cos 𝜑 = 𝑍 0,5 2
- des valeurs de 𝜔1 et 𝜔2 sont 0,5 - la condition 𝑃 = 𝑃 x 4 - les valeurs numériques de 𝜔1 et 𝜔2 0,5
1 2
déterminées. sont justes. x2
𝟏𝟑, 𝟓 2.2 Preuve que pour 𝝎 = 𝝎𝟏 , les phases 𝝋𝟏 et 𝝋𝟐 des intensités 𝒊𝟏 et 𝒊𝟐 par AN : 𝜑1 = 𝑡𝑎𝑛−1 ( 500 ) ; 𝜑1 = 0,896 𝑟𝑎𝑑
400
rapport à la tension 𝒖 sont égales. - Le circuit 2 comporte un condensateur, mais pas de bobine. Donc
Pour 𝜔 = 𝜔1, on a : l’intensité du courant électrique est en avance de phase sur la tension
1 1
- Dans le circuit 1, 𝐿𝜔1 − 𝐶 = 0,25 . 2000 − électrique.
1 𝜔1 2000 . 0,5 10 −6
𝟑 1 1 1
𝐿𝜔1 − 𝐶 = −500 < 0 . Donc l’intensité du courant électrique est en On a : 𝑡𝑎𝑛 𝜑2 = 𝑅 et 𝜑2 = 𝑡𝑎𝑛−1 (𝑅 )
1 𝜔1 2 𝐶2 𝜔1 2 𝐶2 𝜔1
1
avance de phase sur la tension électrique. 𝜑2 = 𝑡𝑎𝑛−1 (− 400 ) ; 𝜑2 = 0,896 𝑟𝑎𝑑
1 1
. 10 −6 . 2000
𝐿𝜔1 − 𝐿𝜔1 −
On a : 𝑡𝑎𝑛 𝜑1 = −
𝐶1 𝜔1
; 𝜑1 = 𝑡𝑎𝑛−1 (−
𝐶 1 𝜔1
) Comme 𝜑1 = 0,896 𝑟𝑎𝑑 et 𝜑2 = 0,896 𝑟𝑎𝑑, alors 𝜑2 = 𝜑2
𝑅1 𝑅1
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La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une preuve du fait que 𝜑1 = 𝜑2 est 0,5 La production s’appuie sur : La production ne comporte pas de 1,5
donnée. - i en avance de phase sur 𝑢 0,5 contradiction interne.
- la comparaison de 𝜑1 et 𝜑2 0,5
2.3 Détermination de la valeur 𝝎𝟎 de 𝝎 pour 𝐿1 𝐶1 𝜔02 = 0 soit 𝜔0 = 1 𝑷𝟏𝒎 =
𝑼²
AN : 𝑃1𝑚 =
20 ²
𝑷𝟏𝒎 = 𝟏 𝑾
√𝐿1 𝐶1 𝑹𝟏 400
laquelle la puissance moyenne 𝑷𝟏 est maximale. 1
𝑑𝑃 AN : 𝜔0 =
La puissance 𝑃1 est maximale lorsque 𝑑𝑡1 = 0 √0,25 . 0,5 . 10 −6
- Nom du phénomène ayant lieu.
𝑑 𝑃1 𝝎𝟎 = 𝟐, 𝟖𝟑 . 𝟏𝟎𝟑 𝒓𝒂𝒅 . 𝒔−𝟏 1
= 0 équivaut successivement à : Pour la puissance maximale, 𝐿1 𝜔 − =0
𝑑𝑡 𝐶1 𝜔
1 1
2 𝑅1 . 𝑈 ²(𝐿1 + )(𝐿1 𝜔− ) - Calcul de la puissance maximale soit 𝑍1 = 𝑅1 et 𝑐𝑜𝑠 𝜑 = 0
𝐶 1 𝜔2 𝐶1 𝜔
− 1 2 =0 1
𝟒, 𝟓 [ 𝑅12 + (𝐿1 𝜔 −
𝐶1 𝜔
) ]2 Pour la puissance maximale, 𝐿1 𝜔 − =0 L’intensité du courant électrique et la tension
𝐶1 𝜔
𝑅1 . 𝑈 ²
électrique sont en phase. C’est le phénomène de
donc 𝑃1𝑚 = la résonance.
𝑅12
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une valeur de 𝜔0 et de la puissance 𝑑 𝑃1
1 La démarche de détermination de 𝜔0 1
La production utilise la condition : 𝑑𝑡 = 0
maximale sont déterminées. 0,5 et de 𝑃1𝑚 est logique. X2
- Un nom de phénomène physique est 0,5 Le phénomène indiqué est la 0,5
indiqué. résonance.
3.1 Description d’une technique d’identification de la nature convergente ou divergente d’une lentille.
Lorsqu’on déplace une lentille devant une page imprimée, on constate que :
- le texte semble se déplacer dans le sens inverse de celui du mouvement de la lentille lorsqu’elle est convergente ;
𝟐, 𝟓 - le texte paraît immobile lorsque la lentille est divergente.
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
Une démarche d’identification de la 0,5 La démarche décrite est 2
nature convergente ou divergente scientifiquement valable
d’une lentille est indiquée.
3.2 𝟏 𝟏
Tracé du graphe 𝑶𝑨′ = 𝒇 (𝑶𝑨 ) puis détermination graphique de la distance focale de la lentille.
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1
(𝑒𝑛 𝑚−1 )
𝑂𝐴′
1,31
1
−1,67
−1,00
−0,83
−0,68
−1,25
(𝑒𝑛 𝑚−1 )
−0,48
−1,11
𝑂𝐴
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
1 1
- Un graphe 𝑂𝐴′ = 𝑓 (𝑂𝐴 ) est tracé 0,5 La production utilise : - Le graphe est correctement tracé. 2
- Une valeur de la distance focale est - l’échelle de construction ; 1 - La valeur de la distance focale
déterminée graphiquement. 0,5 - la relation entre l’ordonnée à l’origine et la du 0,5 obtenue est voisine de celle 1
graphe. attendue.
3.3 Détermination de la distance focale par la méthode Bessel et conclusion Soient 𝑂1 et 𝑂2 étant les positions respectives du centre optique de la
lentille pour lesquelles on a une image nette.
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𝐷 = 𝐴𝐴′ = 𝐴𝑂 + 𝑂𝐴′ ; 𝑂𝐴′ = 𝐷 − 𝐴𝑂 = 𝐷 + 𝑂𝐴 −𝐷 + √𝐿2 −4 𝑓′ 𝐷 −𝐷 − √𝐷 2 −4𝑓′ 𝐷
𝑥1 = et 𝑥2 =
1 1 1 2 2
On obtient une image nette lorsque = 𝑂𝐴′ − 𝑂𝐴 (formule de conjugaison) 𝑑 = 𝑂 𝑂 = 𝑂 𝐴 + 𝐴𝑂 ; 𝑑 = 𝑂1 𝐴 − 𝑂2 𝐴 = 𝑥1 − 𝑥2
𝑓′ 1 2 1 2
1 1 1 − 𝐷 + √∆ − 𝐷 − √∆
Donc, = 𝐷 + 𝑂𝐴 − 𝑂𝐴 𝑑= − ; 𝑑 = √∆ ; 𝑑2 = ∆ ; soit 𝑑 2 = 𝐷2 − 4 𝑓′𝐷
𝑓′ 2 2
1 1 1 1 −𝐿
𝟒, 𝟓 Posons : 𝑥 = 𝑂𝐴 ; On a : 𝑓′ = 𝐷 + 𝑥 − 𝑥 ; = 𝑥 (𝐷 + 𝑥) 𝑫𝟐 −𝒅𝟐 22 −1,15 2
𝑓′ D’où 𝒇′ = AN : 𝑓 ′ = ; 𝒇′ = 𝟎, 𝟑𝟑𝟓 𝒎
′ 2 ′ 𝟒𝑫 4. 2
−𝑓 𝐷 = 𝑥𝐷 + 𝑥² ; 𝑥 + 𝑥𝐷 + 𝑓 𝐷 = 0 (𝐸)
Conclusion : Il y a concordance entre les distances focales déterminées par
∆ = 𝐷2 − 4𝑓 ′ 𝐷
les deux procédés.
−𝐷 + √∆ −𝐷 − √∆
Les solutions de l’équation (𝐸) sont : 𝑥1 = et 𝑥2 =
2 2
La production se rapporte à la consigne La production utilise les ressources visées par la situation d’évaluation La production est bien raisonnée
- Une valeur de la distance focale est 0,5 La production s’appuie sur : 0,5 - Les étapes du raisonnement ne 1,5
déterminée par la méthode de Bessel. - la formule de conjugaison ; x3 comportent pas de contradiction
- Une conclusion est tirée 0,5 - les relations 𝐷 = 𝐴𝐴′ = 𝐴𝑂 + 𝑂𝐴′ 𝑒𝑡 interne.
𝑑 = 𝑂1 𝑂2 = 𝑂1 𝐴 + 𝐴𝑂2 - la conclusion est en accord avec les
0,5
deux valeurs déterminées de la
distance focale.
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