Deliberation - 2020-21 - 18 Université Franche Comté
Deliberation - 2020-21 - 18 Université Franche Comté
Deliberation - 2020-21 - 18 Université Franche Comté
Membres en exercice : 31
Quorum : 16
Membres présents : 29
Membres représentés : 2
Membres présents ou représentés : 31
COLLEGE A (7)
Mme Macha WORONOFF (UFR SANTÉ - Pour une université d'ambitions et de valeurs)
M. Pascal FABRE (UFR SJEPG - Pour une université d'ambitions et de valeurs)
M. Benjamin GOLDLUST (UFR SLHS - Pour une université d'ambitions et de valeurs)
Mme Céline REYLE (OSU THETA - Pour une université d'ambitions et de valeurs)
M. Frank PALMINO (IUT Belfort-Montbéliard - Pour une université d'ambitions et de valeurs)
M. Daniel GILBERT (UFR STGI - Ensemble pour l'université de Franche-Comté)
Mme Marie-Cécile PERA (IUT Belfort-Montbéliard - Ensemble pour l'université de Franche-Comté)
COLLEGE B (8)
Mme Catherine TIRVAUDEY, maître de conférences (UFR SJEPG - Ensemble pour l'université de
Franche-Comté)
M. Richard STEPHENSON, maître de conférences (UFR SLHS - Ensemble pour l'université de
Franche-Comté)
Mme Virginie BLONDEAU-PATISSIER, maître de conférences (UFR ST - Ensemble pour l'université
de Franche-Comté)
M. David MARKEZIC, professeur agrégé (IUT Belfort-Montbéliard - Ensemble pour l'université de
Franche-Comté)
Mme Eve AFONSO, maître de conférences (UFR ST - Ensemble pour l'université de Franche-
Comté)
M. Jean-Luc TINCHANT, professeur agrégé (UPFR SPORTS - Ensemble pour l'université de
Franche-Comté)
M. Antoine PERASSO, maître de conférences (UFR ST - Pour une université d'ambitions et de
valeurs)
Mme Laurence ANDERHUEBER, professeur agrégé (UFR STGI - Pour une université d'ambitions et
de valeurs)
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PERSONNELS BIATSS (5)
USAGERS (6)
Mme Marine VUILLERMOZ (Bouge ton campus avec tes associations et la BAF)
M. César GUERRIN (Bouge ton campus avec tes associations et la BAF)
Mme Clémence PITARD (Bouge ton campus avec tes associations et la BAF)
M. Matthieu GUINEBERT (CGT-SE et ASDE)
M. Bastien HÊCHE (UNI : Etudiez, on s’occupe du reste !)
M. Loïc DUBOSCLARD (L’Union estudiantine de l’université de Franche-Comté)
COLLEGE A
Mme Thérèse LEBLOIS (UFR ST - Pour une université d'ambitions et de valeurs)
PERSONNELS BIATSS
Mme Laurène LASSAUGE (Pour un engagement Responsable, Humain et Constructif – UFR STGI)
********************
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Les 31 membres du conseil d’administration nouvellement élus et désignés ont été convoqués pour
une séance dédiée à la désignation des 5 personnalités extérieures mentionnées au 3. de l’article 30
des statuts de l’université de Franche-Comté.
Compte tenu du contexte sanitaire et des consignes gouvernementales, la séance s’est tenue à
distance, dans le respect de la délibération n° 2019-20_77 fixant les modalités d’organisation à
distance des instances collégiales administratives approuvée par le conseil d’administration le 10 avril
2020.
La séance s’est tenue en la présence et sous le contrôle de Me Caroline DUPUIS, huissier de justice
(SCP Caroline DUPUIS, 21 Rue des Granges, 25027 Besançon). Afin de procéder au vote, chaque
membre avait été invité, au préalable, à communiquer deux numéros de téléphone à la direction
générale des services. Ces numéros ont été communiqués à l’huissier de justice en main propre, le 5
novembre 2020, afin qu’il puisse recueillir, par SMS, le sens des votes de chaque membre du conseil
d’administration, dans le respect du secret du vote.
Le personnel administratif de l’université et Me Caroline DUPUIS étaient présents dans les locaux de
la Maison de l’université, en salle 112 équipée du matériel de vidéo-conférence adéquat.
Avant l’ouverture de la séance, les membres ont été invités à patienter dans la salle d’attente
virtuelle. La directrice des affaires juridiques les a admis un par un dans la salle de conférence
virtuelle et a invité chaque membre à brancher sa webcam puis à présenter une pièce d’identité qui a
été contrôlée par Me DUPUIS. Immédiatement après ce contrôle d’identité, Me DUPUIS a appelé, à
l’aide de son téléphone professionnel, le membre apparaissant à l’écran pour contrôler la validité du
numéro de téléphone communiqué. La directrice des affaires juridique a alors replacé le membre en
salle d’attente virtuelle le temps de renouveler la même procédure pour chaque membre du conseil
d’administration.
La directrice générale des services a pris la parole pour expliquer les raisons de la tenue à distance
du conseil d’administration, en rappelant que celui-ci avait initialement été prévu en présentiel, mais
qu’en raison des mesures gouvernementales de reconfinement et de la dégradation du contexte
sanitaire, il n’avait pu être maintenu sous cette forme. Toutes les précautions ont été prises pour que
ce conseil d’administration se déroule dans le respect du secret du vote par la présence de
Me DUPUIS. La directrice générale des services rappelle la procédure retenue au moment des
votes :
- Tous les membres seront placés en salle d’attente virtuelle et seule Me DUPUIS restera
présente dans la salle de conférence virtuelle. Pour ce faire, Me DUPUIS sera installée dans une
seconde salle – salle 116 – de la Maison de l’université équipée d’un ordinateur et actuellement
fermée et vide (constaté par l’huissier).
- Une fois installée et isolée dans la salle 116, Me DUPUIS admettra un par un chaque
membre du conseil d’administration dans la salle de conférence virtuelle et leur demandera à
nouveau de présenter une pièce d’identité. Elle procèdera alors à une capture d’écran faisant
apparaître l’heure. Elle invitera alors le membre à lui envoyer un SMS, sur son téléphone
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professionnel, indiquant le sens de son vote. Elle consignera alors le vote puis replacera le membre
en salle d’attente virtuelle.
- Une fois tous les votes recueillis selon cette procédure, Me DUPUIS reviendra en salle 112 ;
tous les membres seront à nouveau admis en salle de conférence virtuelle et Me DUPUIS annoncera
les résultats.
- Me DUPUIS établira ensuite, dans les jours qui suivent, un constat relatant les résultats. La
directrice générale des services précise que Me DUPUIS supprimera les SMS dès qu’elle aura établi
le constat.
Mme TIRVAUDEY demande s’il ne serait pas plus prudent de conserver les SMS une fois les délais
de recours passés, comme cela se ferait pour des bulletins « papiers ».
La directrice générale des services répond que c’est une possibilité qui a été envisagée et qu’elle
pensait justement soumettre cette idée aux membres. Elle demande s’il y a des objections. Dans la
mesure où personne ne s’y oppose, il est décidé, avec l’accord de Me DUPUIS, que les SMS seront
conservés jusqu’à expiration des délais de recours.
La directrice générale des services laisse la parole à Me DUPUIS afin qu’elle se présente.
Me DUPUIS se présente et rappelle son rôle et ses fonctions. Elle explique qu’elle est bien sûr tenue
au respect du secret du vote et que le sens du vote de chaque membre ne sera en aucun cas
divulgué, que ce soit au personnel administratif de l’université ou à toute autre personne. Elle
rappelle par ailleurs que lorsqu’elle sera en salle 116 et qu’elle admettra chaque membre
individuellement dans la salle de conférence virtuelle, il n’y aura aucune interaction possible entre les
membres ; elle sera seule dans la salle 116 et personne d’autre qu’elle et le membre en question ne
seront présents dans la salle de conférence virtuelle. Elle précise en outre qu’elle utilisera son
téléphone professionnel pour recevoir les SMS et que, conformément à ce qui a été décidé, elle
effacera les SMS reçus à l’issue du délai de recours.
La directrice générale des services donne la parole à la directrice des affaires juridiques.
La directrice des affaires juridiques rappelle l’ordre du jour de la présente séance dont l’objet est de
désigner les cinq personnalités extérieures restantes. Elle rappelle qu’il existe un certain nombre de
contraintes juridiques à respecter, dont la principale porte sur la nécessité, imposée par la loi, que les
huit personnalités extérieures du conseil d’administration comprennent autant de femmes que
d’hommes. Elle précise que la région, la communauté urbaine et le conseil national de la recherche
scientifique (CNRS) ont déjà désignés leurs trois représentants et qu’il s’agit de deux femmes et d’un
homme. Compte tenu des réponses à l’appel à candidature, un homme sera forcément désigné
« personnalité désignée à titre personnel ». Il conviendra donc, sur les quatre sièges restants, que
deux femmes et deux hommes soient désignés.
Les textes et les statuts de l’université sont muets sur la façon de procéder pour obtenir cette parité.
Dans ces conditions, il reviendra aux membres de se mettre d’accord sur les modalités de
désignation des cinq personnalités extérieures pour obtenir la parité. Ce sera l’objet du point 1.
Ensuite seulement, les membres pourront voter dans les conditions définies auparavant pour
désigner les cinq personnalités extérieures.
Avant toute chose, il convient de désigner le Président de séance. La directrice des affaires
juridiques rappelle qu’il a été décidé que la présidence serait confiée au doyen d’âge du collège A.
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Mme TIRVAUDEY intervient et demande quel est le fondement textuel.
La directrice des affaires juridiques répond qu’il n’y en a aucun : le code de l’éducation comme les
statuts de l’université ne précisent pas qui doit présider cette séance. Cette solution a donc été
choisie par analogie avec ce que les statuts de l’université prévoient pour l’élection du Président de
l’université : dans ce cas, le conseil d’administration est présidé par le doyen d’âge du collège A.
La directrice des affaires juridiques demande aux membres s’ils voient une objection à procéder de la
sorte.
La directrice des affaires juridiques indique que c’est donc au doyen d’âge du collège A qu’il revient
de présider la séance. Elle indique qu’elle a vérifié la date de naissance de chacun des élus du
collège A et que c’est Mme Macha WORONOFF qui est doyenne d’âge. Elle précise que, même si
les candidatures ne sont pas encore officiellement ouvertes, il est connu que Mme WORONOFF se
présentera à la présidence de l’université et que, dans ces conditions, il est préférable qu’elle ne
préside pas la séance. Dans ce cas, la présidence reviendrait au deuxième élu du collège le plus
âgé. Elle demande à Mme WORONOFF si elle souhaite ou non prendre la présence de la séance.
Mme WORONOFF répond qu’étant candidate à la présidence, elle préfère effectivement ne pas
présider.
La directrice des affaires juridique indique que, dans ce cas, la présidence revient à M. Pascal
FABRE. Elle lui laisse donc la parole pour mener la séance.
M. Pascal FABRE accepte d’assurer la présidence de séance. Il indique qu’il sera tenu, en tant que
tel, à une stricte neutralité et qu’il attend des membres qu’ils apportent leur contribution pour
déterminer les modalités de désignation des personnalités extérieures afin d’assurer la parité.
Le président de séance rappelle que les 31 membres élus et désignés du conseil d’administration de
l’université de Franche-Comté sont appelés à désigner les cinq personnalités extérieures
mentionnées à l’article 30 des statuts.
Après un appel public à candidatures, l’université de Franche-Comté a reçu 12 candidatures dont la
répartition est présentée en annexe 1.
Les dispositions précitées du code de l’éducation imposent que les 8 personnalités extérieures à
l’établissement comprennent autant de femmes que d’hommes.
La région Bourgogne Franche-Comté, la communauté urbaine Grand Besançon Métropole (GBM) et
le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ont désigné leurs représentants respectifs
(deux femmes et un homme).
Le code de l’éducation impose que le choix final des cinq personnalités extérieures restantes tienne
compte de la répartition par sexe des personnalités désignées par la région, GBM et le CNRS.
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Compte tenu des 3 personnalités extérieures déjà désignées, ainsi que des candidatures reçues, la
répartition par sexe est pour l’instant la suivante :
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temps, de voir ce qui ressort du suffrage et de ne revoter que dans l’hypothèse où il y aurait un
problème.
M. PALMINO se demande également s’il est nécessaire d’envisager toutes les situations avant
d’enclencher les votes et s’il n’est pas possible de faire un premier vote et d’aviser ensuite. Il
interroge le personnel administratif présent pour savoir s’il faut forcément décider de la procédure
avant le premier vote.
Mme FERNANDES répond qu’il est possible de faire un premier tour, de voir ce que cela donne et
ensuite, éventuellement, d’arrêter les modalités si on constate qu’il n’y a pas la parité.
M. FABRE veut avoir l’assurance qu’il est possible de modifier le déroulé du conseil d’administration
qui avait été arrêté au préalable et qui a été envoyé aux membres.
Mme FERNANDES répond que pour cadrer les choses juridiquement, elle propose de faire voter les
membres sur la délibération suivante : « Il est décidé par les membres du conseil d'administration de
procéder d’ores et déjà à un premier tour de vote qu'on appellera global et, à l'issue, en fonction du
résultat, de se prononcer sur la façon d'atteindre la parité si celle-ci n'est pas atteinte au cours du
premier tour. »
M. GILBERT estime que cette façon de faire n’est pas légale car si on choisit de définir les conditions
à posteriori alors que l’on connaît les résultats du vote, cela introduirait un biais énorme dans les
discussions. Il pense donc qu’il serait préférable de choisir une solution générale dès à présent et de
l’appliquer ensuite. La solution qui lui paraît la plus pertinente serait de faire revoter là où la
différence de vote est la plus faible. Si à l’issue du vote, rien ne change, l’université devra faire un
appel d’offre complémentaire.
Mme BEHRA estime que cela doit être déterminé avant. Elle se demande s’il ne serait pas possible
de décider que la nouvelle catégorie sur laquelle un appel à candidature sera relancé soit tirée au
sort.
M. FABRE évoque une autre question, à savoir les choix de vote : traditionnellement, on demande
qui vote pour, qui vote contre, qui s’abstient. Il demande ce qu’il en sera ici.
Mme FERNANDES répond que l’article 27 des statuts de l’UFC prévoit que lorsque les conseils se
réunissent, sont comptabilisés les votes nuls, les votes blancs et les refus de vote.
M. FABRE demande l’avis des participants pour savoir si on peut partir là-dessus. Il synthétise
ensuite les différentes modalités de vote proposées par les membres. Il rappelle qu’il y a deux choix :
vote global ou vote ligne par ligne. C’est-à-dire ou un vote, ou cinq votes. Ensuite, il faut définir ce qui
se passe à l'issue de ces votes s'il y a un problème de parité. Les membres peuvent voter pour
éliminer les surnuméraires. Ou alors selon le président, il est possible d'utiliser la solution préconisée
par M. GILBERT, c’est-à-dire retirer la personne qui a le moins d'écart avec son plus proche
concurrent du bon sexe puis de refaire un appel d'offres pour les candidats surnuméraires.
Mme FERNANDES intervient en indiquant qu’elle voudrait attirer l’attention des membres sur un point
par rapport à cette idée de relancer un nouvel appel d'offres : si on imagine refaire un CA le matin du
17 novembre cela veut dire qu’il faut bien que la personne qui sera choisie soit avertie à temps pour
siéger l’après-midi, sachant que normalement, les statuts prévoient une convocation du CA pour
l’élection du président au moins 10 jours avant. C’est une difficulté par rapport au fait de relancer un
appel d'offres. Par ailleurs, si on demande un candidat de tel sexe dans l’appel à candidature, il y a
un problème de discrimination.
Mme TIRVAUDEY relève que c’est le Code de l'Éducation qui nous y oblige en exigeant la parité.
A l’issue des débats, il est proposé de mettre par écrit les propositions des membres et de voter.
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Il est proposé de voter deux fois : une première fois sur la question de la façon d’exprimer son vote
(catégorie par catégorie) ; une seconde fois sur la façon d’assurer la parité.
1.1. Détermination des modalités de vote pour la désignation des cinq personnalités
extérieures – Question du vote global ou catégorie par catégorie
Les membres du conseil d’administration sont appelés à se prononcer sur le premier point suivant :
« Êtes-vous favorable à la mise en place d’un vote global impliquant que chaque membre indique le
sens de son vote à l’huissier pour les cinq personnalités extérieures par un SMS unique, étant
précisé que les résultats de chaque catégorie ne seront pas connus avant la fin de l’ensemble des
votes ? »
Les membres présents et représentés du conseil d’administration répondent, à la majorité absolue,
favorablement à la question ci-dessus. Chaque membre sera donc appelé à voter pour les cinq
personnalités extérieures par un vote unique. Les résultats seront annoncés par l’huissier une fois
que l’ensemble des membres présents et représentés auront voté.
1.2. Détermination des modalités de vote pour la désignation des cinq personnalités
extérieures – Question de la parité
Les membres du conseil d’administration sont appelés à se prononcer sur le second point suivant :
« Êtes-vous favorable à adopter la modalité de vote suivante :
Si à l’issue du premier tour, la parité n’est pas atteinte, un deuxième tour est organisé pour la ou les
catégories dans lesquelles les deux genres sont candidats et pour lesquelles l’écart de voix est le
plus faible, ceci concernant exclusivement les candidats du sexe surnuméraire arrivés en tête ?
Si à l’issue du deuxième tour, la parité n’est pas atteinte, il est procédé à un nouvel appel à
candidature pour la ou les catégories concernées et pour lesquelles ne pourront candidater que des
personnes du sexe sousreprésenté ? »
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Les membres présents et représentés du conseil d’administration répondent, à la majorité absolue,
favorablement à la question ci-dessus, étant précisé que Mme VIGNOT, représentante de GBM, a dû
quitter la séance et n’a pas pu prendre part au vote à partir de ce point 1.2 même s'il lui a été
proposé de donner sa procuration à un membre du conseil d'administration.
Si la parité n’est pas atteinte à l’issue du premier tour de vote global, la procédure décrite ci-dessus
sera mise en œuvre.
Les modalités de vote ayant été arrêtées, le président de séance ouvre le débat sur les candidatures
déposées et demande si certains membres ont des observations à faire.
Mme DEGACHI intervient pour préciser qu’elle a reçu un mail, à 13 heures 38, de Monsieur Antoine
NEVES qui est candidat dans la catégorie des chefs d'établissement. Il signale qu’il est un ancien
diplômé de l'université de Franche-Comté. Il précise qu’il était étudiant à l’IUFM, qu’il a fait son stage
au lycée Jules Haag à Besançon, mais surtout qu'il a été étudiant à l’UFR ST de 1991 à 1992 en
DEA d’Automatisme. Il lui a été répondu qu'il fallait qu'il fournisse une copie de son diplôme, puisque
c'était exigé pour l'ensemble des candidats. Il a répondu que cela allait lui être difficile dans la
mesure où il n'est pas allé au bout ; il a donc simplement fourni son numéro d'étudiant inscrit en
thèse. En fait, il n'est donc pas diplômé. Il a juste suivi son cursus à l'université. En tout cas, il ne
fournit pas de diplôme et il souhaite que ces remarques soient portées à votre attention. Je vous les
communique donc. Cela n’entache pas la recevabilité de sa candidature.
Après cette intervention, il n’y a pas d’autres remarques ni discussions.
Tous les membres du conseil d’administration sont donc placés en salle d’attente et seule Me
DUPUIS reste présente dans la visioconférence, en salle 116.
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Total
Nombre
Profils demandés Candidats Abstention des
de voix
voix
M. JUIF Julien 1
1 représentant(e) des
organisations Mme LOUIS Élisabeth 0
1 30
représentatives des Mme MASSON-SELVA Caroline 13
salariés
M. PETITCOLIN Philippe 15
Compte tenu des votes recensés ci-dessus, sont désignés personnalités extérieures au sein du conseil
d’administration de l’université :
Compte tenu des personnalités extérieures déjà désignées par les collectivités territoriales et le CNRS, la
parité entre les femmes et les hommes est assurée entre les huit personnalités extérieures membres du
conseil d’administration.
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CA du 5 novembre 2020 – Point 1 - Annexe 1
* Conformément à l’article L.712-3 du code de l’éducation, les 8 personnalités extérieures doivent comprendre autant de
femmes que d’hommes. En conséquence, le choix final des personnalités extérieures devra tenir compte de la répartition
par sexe des personnalités extérieures désignées par les collectivités territoriales et les organismes qu’elles représentent.
En outre, au moins une de ces cinq personnalités extérieures doit avoir la qualité d’ancien diplômé de l’université de
Franche-Comté.
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