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Scène 1: Dans une cour commune, les voisines papotent entre elles.
Fanta: Est-ce que vous avez vu Marie Laure aujourd’hui ?
Adelle: Moi, je n’ai vu ni elle ni sa belle depuis le levé du jour. Elodie: A mon avis elle sont allé à l’hôpital: Attendons nous a deux nouveaux compagnons. Fanta: Pourquoi deux, qu’est-ce que tu en sais ? Adelle: Si c’est vraiment le cas en tous cas elle a raison, vu de la manière son ventre est gros là, je parie moi aussi que ça sera deux. Élodie : Au faite, moi elle m’a dit que le résultat de leur éco a déterminé deux. Adelle: Ma chérie laisse ça, oublie leur histoire d’éco, au village on arrive à distinguer tous ça, ou bien ? Et puis d’ailleurs, leurs résultats ne sont toujours pas a 100% vrais. Fanta: (En voyant Marie et Prisca faire leur entrée) Oô on sait maintenant que tu vas vraiment faire garçon. On parlait de toi comme ça. Marie: (En les approchants) Un peu de patience, ils m’ont juste biper (Un éclat de rire en chœur)
Scène 2: Mr Adeba Stéphane sort d’une clinique avec son résultat. Il
monte dans la voiture ou attendait son ami et démarre tout triste.
Alphonse : (En le regardant) Tu ne m’as encore rien dit.
Adeba : De toute façon, tu peux deviner. 98% de personne seront successible d’imaginer ce qu’il en est de là tête que je fais. Alphonse : Yaco mon frère, et ne t’avise pas de laisser madame dans l’ignorance. Tu sais les femmes parfois elles sont surprenante dans ces genres de combat. Adeba : C’est plutôt le comble de l’histoire que tu as touché. Comment je pourrai lui annoncer une telle nouvelle. Je suis toujours rester consentant aux propos de ma mère lorsqu’elle la traitait toujours de femme stérile. Elle a toujours senti que je la soutenais. A présent j’ai honte et aussi j’ai peur de la perdre. Alphonse : Calme toi Adeba, tous à une solution. Je serai à tes côté si tu en a besoins Adeba : Ça, c’est sûr. Tu n’as même pas besoins de le dire, mais pas aujourd’hui.
Scène 3: Marius Botoua arrive du voyage (il entre au salon embrasse sa
femme, va déposer son sac dans la chambre et ressort)
Marie: Ça été, ton voyages ?
Botoua: Un peu ça, je ne me plein pas . Disons que ça va. Marie: Dieu merci, quant à moi je suis là où nous somme là en bonne santé. Botoua: Dieu soit loué. Mais tu es seule ? Et Prisca ? Pourquoi elle n’est pas avec toi. Marie: Je t’en prie, ne sois pas si dur avec elle. N’oublie pas qu’elle est majeure. Botoua: Majeure, tu donne raison à son absence pour la simple raison qu’elle est majeure. A ce que je sache ça ne fait que deux semaines qu’elle est là et la cause de sa présence, elle doit la respecter. Marie: Tu veux dire quoi, écoute Marius, je n’aimerai pas que tu te comporte ainsi en vers ta sœur à cause de moi. Je ne veux pas être la belle sœur a cause de qui le frère méprise sa sœur ôô et puis mon nom va tracer Abidjan pour arriver au village. D’ailleurs, on habite une cour commune, l’assistance ne peut jamais manquer. Botoua: Mais… Marie: S’il te plaît arrêtons cette discussion. Botoua: Ok ! On arrête.
Scène 4: Nafi et Valentine.
Nafi : Valentine, rêveuse on dit quoi. Ton désir demeure toujours ?
Valentine : Ma chérie, c’est quoi tu appelles rêve. Je te parle de mes vœux toi tu appelles ça un rêve. J’aimerais que tu dises plutôt une révélation. Nafi : Whao ! Une révélation de qui, un imam, un pasteur, ou… Valentine : De moi, ma chérie. C’est mon vœu et je suis prêtes à tout pour la cause. Nafi : Moi je pense que le chemin que nous empruntons est bon. Chercher de l’argent et mettre nos diplômes en valeur. C’est encore mieux. Valentine : Mieux pour toi mais pas suffisant pour moi. Europe ou rien.
Scène 5: Inès et sa sœur Rebecca.
Rebecca : Inès, pourquoi tu es assise toute triste. Grande sœur tu n’as
toujours pas dit cette pratique n’est pas le meilleure façon de faire face à ces problèmes. Inès: C’est vrai, mais il faut aussi reconnaître que chaque situation a son degré particulier d’élévations. Rebecca : C’est à ce moment qu’il faut faire preuve de maturité, tu es la seule à pouvoir régulariser cette situation pour sortir de l’angoisse. Inès: (Un instant de sourire) Oui, tous ça c’est beau à entendre mais dis moi comment m’y prendre pour dire à mon époux que c’est vérifier, ce que dit ta mère de moi est vrai. Je suis stérile et je ne pourrai jamais te donner un enfant. (Elle commence à pleurer) Qui va t’aider pour les études s’il me mettais à la porte. Ne me dit pas qu’il ne sera pas capable, puisqu’il à toujours soutenu sa mère à sa façon. Rebecca je suis perdu. Adeba aura enfin une raison pour me mettre dehors. Rebecca : Courage grande sœur, courage, il pourrait avoir un petit espoir. Arrête de pleurer (Pendant ce temps Nafi et Valentine écoutait à la porte)