Annexes
Annexes
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Enoncé : On donne en g. mol-1 : M (Cu) = 63,5 ; VM = 22,4L. mol-1
Le carbone réduit l’oxyde de cuivre selon l’équation chimique suivante :
CuO + C → Cu + CO2
1.Ecris l’équation bilan de la réaction.
2.Quelle masse de cuivre obtient- on après réduction de 147g d’oxyde de cuivre (CuO) ?
3.Calcule la quantité de matière de carbone pour cette réduction.
4.Trouve la quantité de matière et le volume de dioxyde de carbone (CO2) dans les conditions
normales de température et de pression.
Résolution
1. Equation-bilan : 2CuO + C → 2Cu + CO2
Bilan molaire : n1 /2 = n2/1 = n3/2 = n4 /1
2.Masse de cuivre obtenue.
n1 (quantité de matière d’oxyde de cuivre) = m/M(CuO)
n1 = 147 /73,5 n1 = 2mol
n1/2 = n3/2 d’où n3 = 2mol
m(Cu) = n3 x M(Cu); m(Cu) = 2x63,5 = 127 g
3. Quantité de matière de carbone
n1/2 = n2/1 ; n2 =1 mol
4.1Quantité de matière de dioxyde de carbone (CO2)
n1/2 = n4/1 ; n4 = 1 mol
4.2 Volume du dioxyde de carbone.
V = n4x VM
V = 1mol x22,4 L. mol-1 = 22,4 L.
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Sécurité au laboratoire
1. Règles générales
Le port d’une blouse boutonnée est vivement recommandé (éviter le nylon trop
inflammable)
Le port de lunettes et de gants est vivement recommandé lors de la manipulation de
produits « agressifs ».
le port de vêtements amples, tels le boubou est à proscrire au laboratoire : risque de
renversement de matériel, d’inflammation, de tâches (en particulier avec les oxydants)
ou de trous avec les acides et les bases.
Bien observer les pictogrammes sur les étiquettes et respecter les consignes de sécurité
qui y sont indiquées
Manipuler debout et veiller à garder le milieu de travail propre et bien rangé.
2. Règles particulières
Eviter de pipeter avec la bouche, utiliser des pipettes avec emboit ou des poires
« propipettes ». A défaut, pipeter avec le plus grand soin. Ne jamais faire pipeter de
produits dangereux par les élèves.
S’assurer avant de chauffer un récipient, qu’il peut supporter les chauffages (marque
Pyrex, « Durant », etc.).
Ne jamais chauffer un récipient bouché (risque d’explosion).
Lors de l’ajout d’un réactif dans un tube à essais, ne pas diriger l’extrémité du tube
vers soi ou vers ses voisins, mais vers un mur (risque de projection).
Lors de l’ajout d’un acide ou d’une base concentrée dans un tube à essais, tenir le tube
avec une pince en bois.
Ne jamais verser d’eau dans un acide concentré (risque de projection), mais toujours
l’acide dans l’eau.
Ne pas chercher systématiquement à reconnaitre un gaz à son odeur ; si cela est
nécessaire, ne pas placer le nez dans l’axe du tube.
Ne jamais observer le contenu d’un tube en plaçant les yeux dans l’axe du tube.
Pour agiter le contenu d’un tube à essais, ne jamais obturer le tube avec le doigt :
utiliser un bouchon en prenant garde aux surpressions ou mieux, utiliser un agitateur
en verre en particulier pour des réactifs volatils ou lors de dégagement gazeux.
Ne pas refroidir brutalement un récipient en verre chaud.
En fin de manipulation, se laver soigneusement les mains.
3. Utilisation d’un bec Bunsen
Pour allumer un bec Bunsen :
Veiller à ce qu’aucun corps inflammables ne se trouve à proximité.
Refermer les flacons contenants des corps volatils.
Fermer la virole d’arrivée d’air.
Approcher une allumette enflammée. La flamme est jaune ; la combustion est
incomplète.
Ouvrir progressivement la virole. Quand la flamme présente un cône bleu, la
combustion est complète.
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Remarque : si on doit laisser le bec allumé, fermer la virole ; la flamme est alors bien visible,
on évite de se brûler, et on n’oubliera pas d’éteindre le bec.
4. Chauffage d’un tube à essais
Choisir un tube à essais pouvant supporter le chauffage (voir plus haut).
Remplir le tube sans dépasser le tiers de sa hauteur.
Tenir le tube avec une pince en bois.
Ne jamais tenir le tube verticalement ni en chauffer le fond (risque de projection) :
chauffer le haut du liquide en agitant constamment, incliner le tube (environ 45°) et
orienter son orifice ver un mur.
Les pictogrammes de danger
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La substance peut attaquer ou détruire les métaux
Elle ronge la peau et/ou les yeux en cas de contact
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