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06 Diffusion Td-Enonce

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TD 6 – Thermodynamique mésoscopique

Conduction thermique
BLAISE PASCAL
PT 2018-2019

Exercices
Exercice 1 : Température dans une barre solide [♦♦]
On s’intéresse au transfert thermique dans une barre homogène de section S, de longueur L, dont la surface
est calorifugée. La barre est faite d’un matériau de conductivité thermique κ, de masse volumique ρ et de capacité
thermique massique c. On note #” ux le vecteur unitaire colinéaire à l’axe de la barre. Les extrémités x = 0 et x = L
sont mises en contact thermique parfait avec des thermostats aux températures T1 et T2 . On admet que le champ de
température dans la barre ne dépend que de x et de t.
1 - Établir l’équation de la chaleur. Définir le coefficient de diffusion thermique D.
2 - En supposant la barre initialement à une température uniforme, estimer la durée du régime transitoire. Commenter
le résultat. Quelle est l’influence des températures T1 et T2 ?
3 - Déterminer le profil de température T (x) en régime permanent. Le tracer.
4 - Montrer que le flux thermique dans la barre ne dépend pas de x. En déduire la résistance thermique de la barre.
5 - En appliquant le second principe de la thermodynamique à la barre en régime permanent, exprimer le taux de
production d’entropie δSc /dt (quantité d’entropie crée par unité de temps). Interpréter le résultat.

Exercice 2 : Chauffage d’un studio [♦]


Le but de l’exercice est de dimensionner le système de chauffage d’un studio dont le plan est représenté figure 1.
Le studio possède une hauteur sous plafond H = 2,5 m, il est entouré de quatre appartements voisins (à sa droite,
gauche, au dessus et en dessous), chauffés à la même température Ts que le studio. Il donne sur une rue à température
Tr , et s’ouvre sur un couloir à la température Tc .
Les murs sont tous constitués d’une même épaisseur eb de béton, isolés par la même épaisseur ei de laine de verre.
La porte d’entrée est en bois, de dimensions h × l × e, et le mur donnant sur la rue est agrémenté de deux fenêtres en
lf
double vitrage à monture en PVC, dont le schéma est donné figure 2. Chaque fenêtre a pour dimensions hf × × ef .
2
Les applications numériques pouvant être un peu fastidieuses, elles gagneront à être réalisées sous forme d’un
fichier Python, définissant une variable pour chaque paramètre et chaque grandeur calculée.

Rue, T = Tr
Appartement

Appartement

ev Verre
T = Ts

T = Ts

Studio
4m ePVC PVC ea Air
T = Ts
ev Verre

L = 6m ePVC
Couloir, T = Tc
Figure 2 – Coupe horizontale d’une fenêtre.
Figure 1 – Plan du studio.

1 - Chaque mur en béton est isolé par de la laine de verre. Calculer la conductance thermique surfacique U du
mur isolé, c’est-à-dire l’inverse de la résistance thermique présentée par un mètre carré de mur. Ce coefficient U est

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TD 6 : Conduction thermique Blaise Pascal, PT 2018-2019

couramment utilisé dans le domaine de l’habitat où il est nommé « coefficient de performance thermique ».
2 - Calculer la valeur de la résistance Rmp équivalente au système mur+porte donnant sur le couloir.
3 - Calculer la valeur de la résistance Rfen équivalente aux fenêtres, puis celle Rmf du système mur+fenêtres.
4 - Que vaut le flux reçu par le studio de la part des appartements voisins ?
5 - Calculer la puissance nécessaire pour maintenir le studio à la température voulue.
Données :
. Températures : Ts = 20 ◦C ; Tr = 0 ◦C ; Tc = 15 ◦C.
. Épaisseur du béton eb = 15 cm, de la laine de verre : ei = 5 cm.
. Dimensions de la porte : h = 215 cm, l = 90 cm et e = 5 cm.
lf
. Dimensions extérieures des fenêtres : hf = 115 cm, = 100 cm et ea = ev = 5 mm. La vitre est maintenue
2
par un montant en PVC d’épaisseur ePVC = 5 cm.
. Conductivités thermiques, en W · m−1 · K−1 :

Matériaux Conductivité thermique


Bois 0,15
PVC 0,17
Béton 0,92
Laine de verre 0,03
Verre 1,2
Air 2,6 · 10−2

Annales de concours
Exercice 3 : Conductivité thermique dépendant de la température [oral banque PT, ♦]
On étudie la conduction thermique dans une barre cylindrique de longueur L = 20 cm dont les parois latérales
sont calorifugées. Cette barre est faite d’un matériau dont la conductivité thermique dépend de la température selon
la relation λ = K/T , avec K > 0 une constante.
1 - Par un bilan enthalpique, déterminer T (x) en régime stationnaire.
2 - On donne T (0) = T0 = 300 K et T (L) = T1 = 350 K. Déterminer complètement T (x) et le représenter sur un
graphique.
3 - Étudier la puissance thermique transmise en x = 0 et x = L.

Exercice 4 : Diffusion dans une barre cylindrique [oral banque PT, ♦]
Considérons une barre cylindrique de rayon R et de conductivité
air Ta
thermique λ1 . L’une de ses extrémités est en contact thermique parfait
avec un liquide à température T0 supposée constante. L’ensemble se
trouve dans l’air à température Ta . On se place en régime permanent.
liquide
T0 La puissance thermique fournie à l’air par un élément de surface dS
barre cylindrique T (x) de la barre à température T est donnée par

x dP = h(T − Ta ) dS
0
avec h un coefficient connu.
1 - Établir l’équation différentielle vérifiée par la température T (x) dans la barre. Introduire une longueur caracté-
ristique δ1 .
2 - Donner la forme des solutions de cette équation. Déterminer les conditions aux limites permettant de déterminer
les constantes. Il n’est pas demandé de les calculer.
3 - Que deviennent ces conditions aux limites si la barre est infinie ? Résoudre l’équation dans cette hypothèse.
La barre est remplacée par une autre d’un matériau différent de conductivité thermique λ2 6= λ1 . On suppose
que le coefficient h est identique pour les deux barres. Ces barres sont entourées de parafine, dont on connaît la
température de fusion Tfus . On observe pour la première barre la fusion de la parafine jusqu’en x1 , et pour la
deuxième jusqu’en x2 .
4 - Déterminer λ2 en supposant les autres grandeurs connues.

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Exercice 5 : Isolation d’un mur [oral banque PT, ♦♦]


On s’intéresse à un mur de béton de surface S = 25 m2 et d’épaisseur e = 15 cm. Le béton a pour conductivité
thermique λ = 0,92 W · m−1 · K−1 . Il règne à l’extérieur de l’habitation une température de 4 ◦C et à l’intérieur une
température de 19 ◦C.
1 - Montrer que la température dans le mur est solution de l’équation

∂T ∂2T
=D 2 .
∂t ∂x
Exprimer D et son unité.
2 - Déterminer et tracer l’allure du profil de température T (x) dans le mur en régime permanent.
3 - On superpose au mur une épaisseur e0 de polystyrène expansé de conductivité λ0 = 0,036 W · m−1 · K−1 . Déter-
miner l’épaisseur e0 nécessaire pour diviser la consommation en chauffage de l’habitation par 10.
4 - Déterminer et tracer l’allure du nouveau profil de température.
5 - Dans ce mur se trouve une fenêtre en double vitrage de 2 m2 de conductivité thermique surfacique gfen =
2,8 W · m−2 · K−1 . Calculer le flux total au travers du mur.

Exercice 6 : Effets thermiques dans un conducteur électrique [écrit PT 2014, ♦]


La puissance thermique libérée par effet Joule dans un conducteur parcouru par un courant intense peut provoquer
une élévation importante de la température à l’intérieur du conducteur. Il s’agit ici d’évaluer, dans le cadre d’un
modèle très simple, la température d’un conducteur cylindrique. Ce conducteur, d’axe Oz, de très grande longueur Lc ,
de rayon a = 1 cm et de conductivité électrique γ, est parcouru par un courant I = 1 kA.
Une première partie d’électromagnétisme permet de monter que la puissance volumique dissipée par effet Joule
dans le cylindre vaut
I2
PV = ,
γ π 2 a4
et que la puissance dissipée par unité de longueur du conducteur est

I2
PL = .
γ πa2

L’étude est faite, en régime permanent, sur l’unité de longueur du conducteur, à une distance suffisante des
extrémités pour pouvoir négliger les effets de bord ; ainsi la température dans le conducteur ne dépend que de la
variable radiale r : T (M, t) = T (r).
#”
1 - Rappeler la loi de Fourier. Définir le vecteur densité de courant d’énergie thermique j th et indiquer la dimension
de jth et celle de la conductivité thermique λ.
#”
2 - Préciser la direction du vecteur j th dans le conducteur et représenter quelques lignes de courant sur un schéma
dans un plan perpendiculaire à Oz, en justifiant leur sens.
3 - Par un bilan de puissance sur un volume de longueur unité, compris entre les cylindres de rayon r et de rayon r+dr,
déterminer l’équation différentielle vérifiée par T (r).
4 - Par intégration, déterminer T (r) en fonction des données et de la température T0 = T (r = 0). Il sera admis que
le « gradient » de température dT /dr reste borné dans le conducteur, en particulier en r = 0.
#”
5 - En déduire l’expression de j th (r) ainsi que celle du flux thermique Φth (r) à travers un cylindre d’axe Oz, de
longueur unité et de rayon r, r ∈ [0, a]. Comparer la valeur de Φth (a) à celle de PL . Commenter.
6 - Le flux thermique transféré par le conducteur à l’atmosphère, à la température Tatm = 25 ◦C, est donné par la
loi de Newton :
Φth = hS (T (a) − Tatm ) ,
S est la surface de contact entre les deux milieux et h un coefficient d’échange. Établir l’expression de T0 .
7 - Pour le cuivre, γ = 6 · 107 S · m−1 , λ = 4 · 102 W · m−1 · K−1 et h = 8 W · m−2 · K−1 . Calculer T0 puis T0 − T (a).
Commenter.
8 - Un capteur de température est collé sur la surface du conducteur cylindrique. Quelle est l’intensité I 0 du courant
dans le conducteur lorsque le capteur indique T 0 (a) = 235 ◦C ?

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Exercice 7 : Igloo [oral banque PT, ♦]


Quatre explorateurs sur la banquise construisent un igloo de rayon R pour s’abriter du froid. Les murs sont
d’épaisseur e = 50 cm et chaque explorateur dégage une puissance de 50 W. L’igloo est fait de neige tassée de
conductivité thermique 0,5 W · m−1 · K−1 .
1 - Montrer que le flux sortant d’une demi-sphère de rayon R ≤ r ≤ R + e ne dépend pas de son rayon.
2 - En déduire la résistance thermique de l’igloo.
3 - Les explorateurs ont-ils intérêt à construire un igloo de grande ou petite taille ?
4 - L’igloo a un rayon intérieur de 1 m et la température externe est de −10 ◦C. Déterminer la température interne
en régime permanent.

Exercice 8 : Bilan thermique d’un astéroïde [oral banque PT, ♦]


On étudie la température au sein d’un astéroïde modélisé par une sphère de rayon R, de conductivité λ, à l’équilibre
thermodynamique. De l’énergie est libérée à l’intérieur de l’astéroïde par radioactivté : pendant un temps dt, chaque
élément de volume dτ de l’astéroïde reçoit une énergie P dτ dt, P étant une constante. On raisonne sur une sphère
de rayon r < R, indéformable et au repos.
1 - De quelles variables dépend la température dans l’astéroïde ?
2 - Calculer la chaleur cédée par la sphère de rayon r par conduction, en fonction notamment de la conductivité λ
de l’astéroïde et du rayon r de la sphère.
3 - Calculer la chaleur créée dans la sphère de rayon r par radioactivité.
4 - Énoncer le premier principe de la thermodynamique. En déduire une relation entre ces deux chaleurs.
5 - Exprimer T (r) en fonction de λ, P, r et T0 la température au centre de l’astéroïde.
L’astéroïde émet à sa surface par rayonnement une puissance surfacique Pray = σTs 4 , avec σ une constante et Ts
la température de surface.
6 - Déterminer la température T0 au centre de l’astéroïde en fonction de R, λ, σ et P.

Exercice 9 : Régime sinusoïdal, onde thermique [écrit CCP MP 2014, ♦]


L’objet de cet exercice est d’étudier l’amortissement dans le sol des va-
Surface du sol z = 0 riations quotidiennes et annuelles de température, en vue de l’enfouissement
T (0, t) = T0 + α cos(ωt) d’une canalisation d’une installation géothermique.
O
x On se place en repère cartésien. La surface du sol, supposée plane et
y
d’extension infinie, coïncide avec le plan (Oxy). La température au niveau
de cette surface, notée T (0, t), varie sinusoïdalement en fonction du temps t
sol
avec la pulsation ω autour d’une moyenne T0 : T (0, t) = T0 + α cos(ωt),
où α est une constante. Soit un point M dans le sol repéré par ses coordon-
z nées (x, y, z) avec z ≥ 0. On cherche à déterminer le champ de température
en M , noté T (M, t).
1 - Justifier que T (M, t) ne dépend ni de x ni de y. On notera dans la suite T (M, t) = T (z, t).
2 - Rappeler l’expression de la loi de Fourier relative à la conduction thermique, en rappelant les grandeurs intervenant
dans cette loi. On notera λ la conductivité thermique du sol, supposée constante.
On travaille avec l’écart de température par rapport à T0 en posant θ(z, t) = T (z, t) − T0 . Tout autre péhnomène
que la conduction thermique est négligé. On donne, dans le cadre de notre modèle, l’équation de la chaleur :

∂θ ∂2θ
ρc =λ 2,
∂t ∂z
où ρ et c désignent respectivement la masse volumique et la capacité thermique massique du sol. Ces deux paramètres
sont supposés constants.
On cherche à résoudre l’équation de la chaleur en régime sinuoïdal permanent. À cet effet, on introduit la variable
complexe θ(z, t) = f (z) ejωt , avec j2 = −1 et f (z) une fonction de z. L’inconnue θ(z, t) est alors donnée par θ(z, t) =
Re(θ(z, t)) où Re désigne la partie réelle.
3 - Déterminer l’équation différentielle vérifiée par f (z). On fera intervenir la diffusivité thermique du sol donnée
par D = λ/ρc.
4 - Exprimer la solution générale de cette équation, en faisant intervenir deux constantes d’intégration notées A et B.

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TD 6 : Conduction thermique Blaise Pascal, PT 2018-2019

Par un argument physique à préciser, montrer que l’une de ces constantes est nulle.
5 - Montrer que θ(z, t) se met sous la forme

θ(z, t) = α e−z/δ ej(ωt−z/δ) ,

où δ est une grandeur à exprimer en fonction de ω et D.


6 - Exprimer T (z, t) à l’aide des paramètres T0 , δ, α, ω et des variables z et t. Interpréter physiquement l’expression
obtenue. Interpréter physiquement le paramètre δ.
7 - Exprimer la profondeur L10 pour laquelle l’amplitude des variations de température dans le sol est atténuée d’un
facteur 10 par rapport à celle de la surface du sol.
8 - On donne pour un sol humide D = 0,25 · 10−6 m2 · s−1 . Calculer numériquement L10 dans le cas de la va-
riation quotidienne de température, puis dans celui de la variation annuelle de température. À quelle profondeur
préconiseriez-vous d’enfouir la canalisation de l’installation géothermique ?
9 - Calculer littéralement puis numériquement le décalage temporel ∆t entre T (z = L10 , t) et T (0, t) dans les deux
cas de la question précédente.
10 - Le modèle développé vous paraît-il pertinent ? Quels phénomènes non pris en compte dans le modèle peuvent
intervenir ? Répondre succinctement.

Exercice 10 : Gel d’un lac [oral Centrale PSI, ♦]


On étudie la formation d’une couche de glace à la surface d’un lac. La température en surface est Ts = −10 ◦C
alors que l’eau liquide du lac est à sa température de fusion Tf . On note e(t) l’épaisseur de la couche de glace à
l’instant t et on suppose que e(t = 0) = 0.
1 - Exprimer la densité de courant thermique jQ dans la couche de glace en régime stationnaire en fonction de e
notamment.
2 - On note de l’épaisseur de glace formée entre t et t + dt. Exprimer de en fonction de jQ , de l’enthalpie de fusion
de la glace ` et de sa masse volumique µ. En déduire une équation différentielle vérifiée par e(t).
3 - Résoudre cette équation et déterminer l’épaisseur formée au bout d’une journée, d’une semaine et d’un mois.
Commenter.
Données : caractéristiques de la glace.
. Conductivité thermique : λ = 2,1 W · m−1 · K−1 ;
. Masse volumique : µ = 917 kg · m−3 ;
. Enthalpie de fusion : ` = 333 kJ · kg−1 .

Problème ouvert
Pour aborder un exercice de type résolution de problème, il peut notamment être utile de faire un
schéma modèle, d’identifier et nommer les grandeurs pertinentes, d’utiliser l’analyse dimensionnelle,
de proposer des hypothèses simplificatrices, de décomposer le problème en des sous-problèmes simples,
etc. Le candidat peut également être amené à proposer des valeurs numériques raisonnables pour
les grandeurs manquantes ... et toutes les valeurs données ne sont pas forcément utiles. Le tout est
évidemment à adapter à la situation proposée !

Exercice 11 : Combinaison de plongée [oral CCP PSI, ♦]


Il y a risque d’hypothermie lorsque la température du corps passe en-dessous de 35 C. ◦

1 - Déterminer le temps au bout duquel il y a risque d’hypothermie pour un baigneur dans la Manche à 17 ◦C.
2 - Quelle doit être l’épaisseur d’une combinaison de plongée en néoprène pour éviter l’hypothermie lors d’une
baignade infiniment longue ?
Données :
. capacité thermique massique du corps humain : ccorps = 3,5 kJ · K−1 · kg−1 ;
. résistance thermique de la peau : Rpeau = 3 · 10−2 K · W−1 ;
. conductivité thermique du néoprène : λnéo = 0,2 W · m−1 · K−1 ;
. puissance produite par le métabolisme : Pcorps = 100 W ;
. puissance surfacique de perte du corps humain dans l’eau (par convection) : Pconv = α(Text − T ), avec T la
température de la peau, Text la température de l’eau et α = 10 W · m−2 · K−1 .

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