Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

Concours Bac+2 ENSAK 2022

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 5

Préparation aux concours BAC+2 des grandes écoles Be In Sciences

Centre de soutien en-ligne

Mathématiques :
Concours d’accès au cycle d’ingénieur 2022 (ENSA-K) :

q į À l +212 675-012855
Partie 1
Mathématiques

Soit f la fonction définie sur R∗+ par :



x+2
f (x) = √
x

1 Le développement asymptotique à l’ordre 3 de f en +∞ est :


( )
1 1 2 1
a. f (x) = 1 + − 2 + 3 + o
x 2x x x3
3
x
b. f (x) = 1 + x + x2 − + o (x3 )
6
x3
Concours bac+2

c. f (x) = 1 + x2 − + o (x3 )
6

s
( )
2 1 1 1
d. f (x) = 1 + − 2 + 3 + o

ce
x x x x3
2 L’équation de l’asymptote (∆) à la courbe représentative de f en +∞ est :
a. y = 1 + x
b. y = 1
c. y = 1 + x2
d. y = 1 +
1
ien
x
3 La courbe représentative de f est :
Sc
a. Au dessous de (∆).
b. Traverse (∆).
q į ć À l

c. Au dessus de (∆).
d. Autres.
In

Partie 2
On considère la fonction Zêta de Riemann :
Be

∑ 1
ζ(s) =
n≥1
ns

1 Soit I le domaine de définition de la fonction ζ :


a. La fonction est définie sur I =]0, +∞[.
b. La fonction est définie sur I =] − 1, +∞[.
c. La fonction est définie sur I = R.
Be In Sciences

d. La fonction est définie sur I =]1, +∞[.


2 La fonction ζ est :
a. Décroissante sur son domaine de définition.
b. Croissante sur son domaine de définition.
c. Constante sur R∗ .
d. N’est ni croissante ni décroissante sur son domaine de définition.
3 La continuité de ζ :
a. La fonction est continue sur I =]0, +∞[.
b. La fonction est continue sur I =]1, +∞[.
c. La fonction est continue sur I = R.
d. La fonction est continue sur I =] − 1, +∞[.

Mathématiques
4 La convergence normale de ζ :
a. La fonction converge normalement sur I = R.
b. La fonction converge normalement sur I = [0, +∞[.
c. La fonction converge normalement sur I = [2, +∞[.
d. La fonction converge normalement sur I =]0, +∞[.

Partie 3
On considère le signal périodique de période 2π définie par f (x) = |x| pour x ∈ [−π, π]. On note
an et bn les coefficients de la transformée de Fourier S(f ) de f .
1 On rappelle que si f est :

Concours bac+2
a. Paire alors an = 0.

s
b. Impaire alors an = 0.
c. Impaire alors bn = 0.

ce
d. Paire alors bn = 0.
2 Les coefficients de Fourier sont :
π 2
a. a0 = et an = (cos(nπ) − 1).
2
b. bn = (−1)n 2 .
n
4

4
πn2 ien
c. an = (−1)n 2 et bn = 0
n
Sc
2
π 4
d. a0 = et an = 2
3 n
3 Pour x ∈ [−π, π] on a :

q į ć À l
1
a. |x| = 4 cos(nx)
n≥1
(2n + 1)2
In

π 4 ∑ cos((2n + 1)x)
b. |x| = −
2 π n≥1 (2n + 1)2
∑ 1
c. |x| = 4 sin(nx)
(2n + 1)2
Be

n≥1

π 2 ∑ (−1)n
d. |x| = −4 2
cos(nx)
3 n≥1
(2n + 1)
4 On obtient :
∑ 1 π
a. =
n≥0
(2n + 1)2 12
∑ 1 π2
Be In Sciences

b. =
n≥0
(2n + 1)2 12
∑ 1 π2
c. =
n≥0
(2n + 1)2 8
∑ 1 π
d. 2
=
n≥0
(2n + 1) 8
5 On obtient aussi :
∑ 1 π4
a.
Mathématiques

=
n≥0
(2n + 1)4 64
∑ 1 π2
b. =
n≥0
(2n + 1)4 84
∑ 1 π4
c. =
n≥0
(2n + 1)4 84
∑ 1 π4
d. =
n≥0
(2n + 1)4 96

Partie 4
Concours bac+2

s
On considère la matrice A ∈ M3 (R) définie par :

ce
 
0 2 −1
A =  3 −2 0 
−2 2 1

1 Le polynôme P (λ) = det(A − λI) :


ien
a. Est égal à (1 − λ)(2 − λ)(−4 − λ)
b. Admet 0 pour racine car det A = 0
c. Est de degré 2
Sc
d. Est égal à λ(λ − 2)(λ − 1)
2 Les vecteurs
  propres de Asont :
1 0 2
q į ć À l

 
a. 1 , 3   et 0

0 −2 2
In

     
1 4 2

b. 1 , 3   et −3

1 −2 2
     
1 4 0
Be

 
c. 1 , 0   et −3

1 −2 2
     
1 4 1
  
d. 1 , 3 et −3 
1 0 2
3 La matriceA est semblable
 à la matrice :
0 0 0
Be In Sciences


a. D = 0 2 0
0 0 1
 
0 2 0
b. D = 0 −2 0
0 0 1
 
1 0 0
c. D = 0 2 0 

Mathématiques
0 0 −4
 
0 0 0
d. D = 0 1 0
0 0 2

Partie 5
On notera dans cette partie E l’espace vectoriel des fonctions définies et continues de [−1, 1] sur
R. P (respectivement I) désignera, dans la suite de l’exercice, l’ensemble des fonctions définies,

Concours bac+2
continues et paires (respectivement impaires) de [−1, 1] sur R.

s
1 On peut alors affirmer que :
a. P n’est pas un sous-espace vectoriel de E car si λ < 0 et f ∈ P, alors λf ∈ I.

ce
b. Il n’existe pas de fonction à la fois paire et impaire sur [−1, 1].
c. E = P ⊕ I car P ∩ I = ∅ et dim(E) = dim(P) + dim(I).
f (x) + f (−x) f (x) − f (−x)
ien
d. E = P ⊕ I car ∀f ∈ E on a : f (x) =
2
+
écriture de f comme somme d’une fonction paire et impaire unique.
2 On définit l’application φ par : ∀(f, g) ∈ E2 :
2
et que cette

ˆ 1
φ(f, g) = f (t)g(t)dt
Sc
−1

Parmis les assertions suivantes, lesquelles sont vraies?


a. φ est bien définie car elle s’applique à des fonctions continues
ˆ sur ] − 1, 1[.

q į ć À l
1
b. Si f est continue par morceaux sur [−1, 1] et positive, alors f (t)dt = 0 =⇒ f = 0.
−1
In

c. φ est une forme bilinéaire, symétrique, définie et positive, c’est donc un produit scalaire
et (E, φ) est un espace vectoriel euclidien.
d. φ est une forme bilinéaire, symétrique, définie et positive, c’est donc un produit scalaire,
mais (E, φ) n’est pas un espace vectoriel euclidien.
Be

Be In Sciences

Vous aimerez peut-être aussi