TE - La Fontaine, Perrault, Voltaire
TE - La Fontaine, Perrault, Voltaire
TE - La Fontaine, Perrault, Voltaire
Voltaire
1. Biographie La Fontaine
2. Théorie versification
3. Définition de la fable
4. Fables des exposés
5. Histoire du 17ème siècle
6. Biographie Perrault
7. Théorie narration
8. Le classicisme et la querelle des anciens et des modernes
9. Définition du conte
10. Analyse des contes
2. Versification :
Syllabe = pieds
Le son « e » est prononcé que quand le mot suivant commence par une consonne. Si le « e »
termine le vers, il ne se prononce pas.
Vers libres : Vers qui n’ont pas de structure particulière et qui abandonne même la rime
Sonnet : Deux quatrains + deux tercets avec rimes en abba abba ccd eed / ede
Ballade : Trois strophes de six, huit, dix, douze octosyllabes ou décasyllabes. Chaque
strophe se termine par le même vers.
Rondeau : Poème à forme fixe (généralement 12 ou 13 vers) utilisant seulement deux rimes.
Les vers sont courts (octosyllabes). Ils se caractérisent par le fait que les deux
premiers mots du premier vers se répètent à la fin des strophes.
3. Définition de la fable :
Genre : Sous-genre du poétique
Le corps : histoire servant à illustrer la morale
L’âme : morale
But de La Fontaine : Instruire tout en étant plaisant
Morale = sentence = maxime
Inspiration des fables de La Fontaine : Esope, Phèdre, Pilpay
Cette fable illustre la place de la morale qui n’est pas explicite. Elle oppose la prévoyance de
la fourmi au manque d’activité de la cigale.
Le corbeau et le renard :
Un renard croise un corbeau sur un arbre, tenant un fromage. Le renard veut le lui prendre. Il
demande donc si son chant est aussi beau que son plumage car en chantant, il ferait tomber
le fromage. La ruse a marché.
Morale explicite : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. » Cette
fable signifie que tout compliments est donné pour une raison.
Le chien est anthropomorphisé en la cour du roi et le loup est lui anthropomorphisé comme
le peuple pauvre mais libre. La satire sociale est facilement compréhensible. Cela représente
aussi le mécénat qui a permis à Jean de La Fontaine d’être riche mais en étant censuré.
Le lion est anthropomorphisé en roi et le peuple est anthropomorphisé en peuple. Rien que
dans le titre, le lion a une place plus importante que les autres animaux. La satire sociale est
donc également importante dans ce texte.
Cette fable illustre le fait que la vérité blesse. L’hirondelle représente la générosité et les
autres oiseaux l’ingratitude. Ce qui en plus de l’anthropomorphisme présente la satire
sociale.
Le rat des villes représente la noblesse. La satire sociale est présente car on critique les
services de la noblesse. Il y a également une opposition entre la ville et la campagne.
Le loup et l’agneau :
L’agneau boit dans la mare du loup qui lui dit que ça le dérange, le loup mange l’agneau.
La morale est dite au début de la fable, ce qui fait qu’on connait l’issue du texte. L’agneau
représente le peuple et le loup représente la noblesse ➔ satire sociale.
L’homme et son image :
L’homme se croit le plus beau et ne croit pas les miroirs. Il va alors voir la vérité dans un
canal. Mais il ne veut pas quitter le canal car il est si beau.
Le mythe de Narcisse est évoqué dans cette fable. Le texte est dédié à La Rochefoucauld et à
ses maximes qui montrent les défauts de l’homme.
La mort et le bûcheron :
Un bûcheron travaille dur et ne prend pas plaisir à la vie. Il appelle la mort et elle ne tarda
pas.
Les axes de lectures sont la mort et la satire sociale : ce texte dénonce la situation du travail à
l’époque et le bûcheron est l’allégorie des hommes qui souffrent.
La morale dit qu’il ne faut pas attendre avant d’agir. La satire sociale est présente car ça nous
montre les abus de pouvoirs. L’enfant représente l’innocence et la vulnérabilité. La fable fait
référence au débat entre l’action et la parole.
Le titre de cette fable et celui de l’hirondelle et des petits oiseaux forment un chiasme.
Jean de La Fontaine critique l’inaction de la cour envers les crises sociales et économiques ➔
anthropomorphisme + satire sociale. Cette fable est un peu comique entre le sérieux donné
par les rats et le chat.
Le lion et le rat :
Le lion laisse partir le rat, plus tard le lion est capturé et le rat va ronger le filet dans lequel le
lion est emprisonné.
Cette fable est liée à la colombe et la fourmi. Elle comporte deux morales. Cette fable
comprend de l’anthropomorphisme et parle des enjeux du pouvoir. Elle montre les liens
entre les gens puissants et les gens faibles.
La colombe et la fourmi :
Une colombe rend service à une fourmi qui va ensuite faire de même.
Il y a ici une opposition entre l’homme et l’animal. Dans les deux fables, les animaux les plus
puissants sont mis en danger par l’humain. Dans chaque fable de Jean de La Fontaine, l’eau
représente le calme, l’innocence et d’un coup un humain vient le déranger.
Le coq et le renard :
Le renard vient annoncer au coq la fin de leur querelle. Il lui dit de descendre (c’est une ruse).
La fable illustre la manipulation et la ruse. Le narrateur dit que c’est double plaisir de
tromper le trompeur. Le pouvoir de la parole est illustré avec le renard qui parle d’une
manière amicale. Cette fable ressemble à celle du corbeau et du renard.
Cette fable critique la cupidité et la vanité humaine. Les axes de lecture de la fable sont la
dévalorisation du comportement humain et la satire sociale
Cette fable montre les limites de l’imagination et elle dénonce l’obsession de l’humain avec
l’argent. Les axes de lecture sont la satire sociale et l’imagination. Perette est l’allégorie de
l‘ambition.
Les obsèques de la lionne :
Après le décès de la lionne, le lion reçoit les consolements de la cour, il invitera seulement la
cour à ses obsèques. Le cerf rit à la mort de la lionne.
La Fronde (1648-1653) :
La noblesse profite de la régence pour se révolter. Les nobles ne contestent pas le fait que ce
soit Louis XIV le futur roi mais, qu’il ait tous les pouvoirs pendant la régence. Cette révolte a
échoué car Louis XIV aura tous les pouvoirs.
Retour triomphal de Louis XIV à Paris en 1652. La Fronde n’a pas fonctionné et il devient roi.
Louis XIV a eu le plus long règne en tant que roi de toute l’histoire (72 ans).
Ils finançaient des artistes pour qu’ils ne le critiquent pas, s’ils le critiquaient, il arrêtait de les
payer. On appelait les gens qui finançaient ces artistes des mécènes.
6. Biographie Perrault :
Naissance : Paris, 1628, cadet d’une famille bourgeoise. Son frère jumeau meurt à 6 mois.
Études : Brillantes études littéraires qu’il poursuivra en autodidacte.
Proche de : Colbert
Travail : service des arts, des sciences et des lettres à travers différentes académies.
Entrée à l’Académie française : 1671, grâce à Colbert
Son œuvre principale : Les Contes de ma mère l’Oye, 1697
Mort : 1703
7. Théorie narration :
Définition : Faits et gestes accomplis par des personnages, racontés par un narrateur.
Temps d’écriture : Passé simple et imparfait.
Diégèse : Contexte spatio-temporel, peut être précis ou non.
Action : Ensemble des aventures vécues par les personnages, parfois importantes / annexes.
Points de vue omniscient : Connait tout de l’histoire, même les pensées. Comme Dieu.
Point de vue externe : Comme un observateur, décrit ce qu’il se passe.
Point de vue interne : Voit l’action depuis l’intérieur du personnage souvent en « je ».
Narrateur externe : Connaissance uniquement visuelle. Il ne rentre pas dans les pensées des
personnages, comme une caméra posée. Le point de vue externe
n’existe donc jamais dans un récit à la première personne.
Effets : Création d’une gêne et d’une distance avec le personnage.
Ceux étant du côté de Charles Perrault sont appelés les modernes et ceux qui ne l’étaient pas
comme La Fontaine ou Nicolas Boileau étaient les anciens.
Il y avait une dimension patriotique mais aussi religieuse car dans la mythologie grecque, ils
étaient polythéistes, païens.
9. Définition du conte :
Les contes ont un lien avec l’oralité puisqu’ils étaient racontés de génération en génération.
Ils contiennent aussi une intervention du merveilleux et ont généralement une portée
philosophique ou du moins une petite morale ou une part d’émotion.
La Barbe bleue :
La barbe bleue demanda à sa voisine si l’une de ses deux filles voulaient le marier. Elles
disent non mais, il les invita quelques jours à la campagne et la cadette finira par céder. Ils se
marient et plus tard, la barbe bleue doit aller à un voyage d’affaires. Il donna toutes les clés
de sa demeure à sa femme et lui dit de ne pas aller dans un cabinet. Une fois parti, sa femme
décide d’aller dans le cabinet et y trouve les ex-fiancées de barbe bleue, toutes égorgées et le
sol plein de sang. Elle fit tomber la clé et le sang ne partira pas de cette dernière. À son
retour, barbe bleue apprend qu’elle est allée dans le cabinet et lui dit qu’il va la tuer. Les
frères de la femme de barbe bleue arrivent in extremis et tuent barbe bleue. Ses richesses
reviendront à sa femme.
Les Fées :
C’est l’histoire de deux sœurs totalement différentes, une honnête et l’autre non. La fille
honnête détestée par sa mère doit aller chercher de l’eau et en chemin rencontre une fée
déguisée en vielle femme. Cette vielle femme lui demande de l’eau et la fille lui en donne
directement. La fée lui fera comme don qu’à chaque fois qu’elle parle, des pierres précieuses
sortiront de sa bouche. Sa mère choquée envoya son autre fille chercher de l’eau afin d’avoir
une double récompense. Mais la fée lui donnera le don qu’à chaque fois qu’elle parle des
crapauds et des serpents sortiront de sa bouche. Sa mère chassa les 2 filles de la maison. La
fille honnête rencontra un prince et se mariera et quant à la malhonnête, elle mourra.
Riquet à la houppe :
Riquet naît, il est trop moche mais il est très intelligent. La reine du royaume voisin accoucha
de deux filles l’une bête et belle et l’autre moche et intelligente. Une fée leur avait donné le
pouvoir de transmettre ou de l’intelligence ou de la beauté à la personne qu’ils allaient
épouser. Un jour, la belle et bête rencontra Riquet. Ils se sont épousés un an après et la bête
et belle est maintenant devenue intelligente et belle et le moche et intelligent est
maintenant devenu beau et intelligent.
Le Petit Poucet :
Le petit Poucet et ses frères ont été abandonnés par leurs parents mais l’aîné ayant entendu
ses parents trouva une stratégie afin de ramener lui et ses frères à la maison après que ses
parents les aient abandonnés dans la forêt. Le lendemain, ses parents les abandonnent
encore une fois mais cette fois sa stratégie ne marche pas car les oiseaux ont mangé les
miettes de pain qui faisaient office des petits cailloux. Ils se sont donc perdus et arrivent chez
un ogre qui les épargnent pour le lendemain. Durant la nuit, le petit Poucet a mis les
chapeaux de lui et de ses frères sur le crâne des filles de l’ogre et l’ogre y a cru car durant la
nuit il s’est réveillé pour les manger car il croyait que c’était les frères à cause des chapeaux.
Après que l’ogre se soit rendormi le petit Poucet réveilla ses frères et ils s’en allèrent. Le
matin l’ogre fut surpris et partit direct à leur chasse. Le petit poucet emprunta les chaussures
de l’ogre alors qu’il dormait et alla vers sa femme. Il lui demanda alors toutes ses richesses
pour le sauver. Ensuite il sera utilisé par le roi pour avoir des nouvelles de son armée et le
petit Poucet sera bien payé et amènera la richesse a sa famille.
La lumière est une métaphore pour montrer que les philosophes ont amené les
connaissances.
Candide : Voltaire est soustrait à la censure car il ne dénonce pas directement les pouvoirs, il
les critique par le biais d’une histoire.
Leibniz 1646-1716 :
L’harmonie préétablie : Leibniz pense que même les malheurs ont été prévu par Dieu et
qu’ils auront une relation de causalité, il va y avoir quelque chose de bien après.
Voltaire pense le contraire et se moque de Leibniz en disant que c’est voulu par Dieu si par
exemple des familles sont mortes durant le tremblement de terre de Lisbonne.
Théodicée : Il n’y a que du bien puisque c’est Dieu qui l’a crée manichéen.
14. Histoire du dix-huitième siècle :
15. Candide :
Chapitre 1 :
On apprend que Candide suit l’enseignement de Pangloss et qu’il aime secrètement
Cunégonde, la belle-fille du baron de Thunder-ten-tronckh en Vestphalie. À la fin du chapitre
on apprend que Candide et Cunégonde se sont embrassés et que le baron a viré Candide de
son château.
Chapitre 2 :
Candide est recruté dans l’armée des Bulgares et fut condamné mais le roi lui donna un
pardon car il le trouvait intelligent et Candide fut rapidement guéri de ses blessures.
Chapitre 3 :
Candide fuit un champ de bataille et traverse village en village jusqu’à arriver dans une église
où il sera bien traité par un homme, Jacques.
Chapitre 4 :
Candide découvre Pangloss qui est devenu sans domicile. Pangloss lui explique que le
château a été détruit et que tout le monde est mort. Candide est triste pour Cunégonde.
Ensuite, ils vont avec Jacques dans un voyage d’affaires à Lisbonne.
Chapitre 5 :
Presque arrivés à Lisbonne, une grande tempête éclate et Jacques meurt dans la mer.
Pangloss et Candide arrivent eux à survivre et sont accueillis par des habitants dans la ville en
ruine.
Chapitre 6 :
Suite à la tempête les savants du Portugal décidèrent de faire un sacrifice comprenant
Pangloss et Candide, Pangloss fut pendu mais Candide a juste été fessé.
Chapitre 7 :
Une dame dit à Candide de le suivre et s’occupe de lui pendant plusieurs jours. Un soir elle
l’amène dans une maison de campagne où Candide trouve Cunégonde. Elle lui dit qu’elle
n’est pas morte et demande que Candide lui explique ce qui lui est arrivé depuis qu’il se sont
embrassés. Il lui raconte tout.
Chapitre 8 :
C’est au tour de Cunégonde de raconter son histoire, elle a été violée et éventrer par un
soldat bulgare. Ensuite, elle a été avec un chef Bulgare puis, vendu à un juif qui a dû la
partager avec l’inquisiteur.
Chapitre 9 :
Le juif arriva dans la maison et Candide le tua aussitôt juste après, l’inquisiteur arriva à son
tour et Candide récidiva. Ensuite ils partent avec la vieille dame en direction de Cadix.
Chapitre 10 :
Arrivé à Cadix, les trois prennent un bateau pour le nouveau monde. Cunégonde dit alors
qu’elle a subi plus de malheurs que la vielle dame.
Chapitre 11 :
La vielle dame raconte son histoire. Dans laquelle elle et d’autres italiennes de la haute classe
(elle était la fille du pape) ont été capturés par des soldats marocains qui les ont amenés au
Maroc ou la vieille dame s’est faite violée alors que d’autres se faisaient tuer.
Chapitre 12 :
Elle continua de raconter son histoire, elle a été vendue partout de l’Afrique à la Turquie où
elle y a perdu une fesse. Ensuite Moscou, puis tout l’Europe jusqu’à ce qu’elle devienne
servante du juif que Candide a tué. En découvrant Cunégonde, la vieille femme s’attacha à
elle et la suivie dans ses aventures.
Chapitre 13 :
Ils arrivent à Buenos Aires et le gouverneur de la ville veut épouser Cunégonde. La vieille
dame apprend qu’un bateau est dans le port pour tuer celui qui a tué l’inquisiteur. Elle dit à
Candide de vite partir.
Chapitre 14 :
Candide avait à Cadix recruté un valet, Cacambo. Tous deux quittent alors Buenos Aires pour
le Paraguay et arrivé là-bas, il se trouve que le gouverneur est le frère qui était censé être
mort de Cunégonde. Ils se sont alors beaucoup parlés comme ils se connaissent mais de base
Candide était venu pour leur faire la guerre.
Chapitre 15 :
Candide lui dit alors qu’il veut épouser sa sœur et il se mit alors en colère. Candide a dû le
tuer. Lui et Cacambo partent alors le plus vite possible.
Chapitre 16 :
Durant la nuit, Candide crut que 2 filles étaient en danger et abattirent les singes qui les
suivaient, il s’agissait enfaite de leurs amants. Cacambo trouva alors une ruse pour leur faire
croire que Candide n’était pas jésuite et ils ont alors été pardonnés et sont même devenus
des invités d’honneur. Ce peuple était les Oreillons.
Chapitre 17 :
Après un long périple, ils arrivent dans un village où les enfants jouent avec de l’or, des
diamants, des émeraudes, etc. Le soir ils mangent gratuitement dans un cabaret. Tous deux
sont émerveillés.
Chapitre 18 :
Ils quittèrent le petit village pour rejoindre la capitale, une énorme ville où ils furent reçus
comme des rois. Le roi leur fit visiter la ville et les invita à manger. Plus tard, ils lui ont dit
qu’ils devaient partir. Alors, tous les physiciens de la ville ont créé une machine qui leur a
permis de gravir les montagnes. Le roi leur a dit qu’ils pouvaient emporter tout ce qu’ils
voulaient, ils ont alors pris le plus de pierres précieuses que possible et sont partis. Le pays
dans lequel ils étaient s’appelle l’Eldorado.
Chapitre 19 :
Après un trajet compliqué, où bon nombre des lamas sont morts. Ils entrent au Suriname et
Cacambo et Candide se séparent et se sont donnés rendez-vous à Venise. Cacambo doit
enlever Cunégonde. Un marchand hollandais vole les lamas de Candide sur lesquels étaient
les pierres précieuses. Lui restant un peu d’argent, il décida de trouver un compagnon pour
faire le trajet jusqu’à Bordeaux et il trouva un savant dont la vie a été dure.
Chapitre 20 :
Martin (le compagnon de Candide) et lui discutèrent et entendent des tirs provenant d’un
autre bateau, ils virent un bateau coulé. De ce bateau un lama, un de ceux que Candide
s’était fait voler arriva sur le bateau de Candide. Même s’il en avait perdu une centaine
Candide fut extrêmement content de l’avoir retrouvé. Martin avoue à Candide qu’il n’est pas
Jésuite mais Manichéen.
Chapitre 21 :
Candide et Martin discutent et arrivent à Bordeaux.
Chapitre 22 :
Candide, curieux décide de faire un petit détour à Paris. Il va voir une tragédie. Il mange avec
Martin, un savant et une marquise. Durant cette soirée il aura perdu beaucoup d’argent et 2
pierres précieuses. Candide reçoit une lettre de Cunégonde qui lui dit qu’elle est malade.
Ensuite, il se fait arrêter lui et Martin mais seront libérés et iront en Angleterre. Candide veut
toujours aller à Venise voir Cunégonde.
Chapitre 23 :
À peine arrivé en Angleterre, qu’il repart déjà pour Venise. Il arrive finalement à Venise.
Chapitre 24 :
Candide en arrivant cherche pendant des mois Cunégonde et Cacambo mais aucune nouvelle
d’eux. Il commence alors une sorte de dépression et ne croit plus en quelconque
épanouissement sur Terre.
Chapitre 25 :
Candide, Martin et Pococuranté, un noble de Venise dînent ensemble et discutent de
littérature.
Chapitre 26 :
Candide trouve enfin Cacambo et lui demande où est Cunégonde. Il lui dit qu’elle est à
Constantinople et qu’ils partent la nuit car il est esclave d’un autre noble.
Chapitre 27 :
Candide achète Cacambo et sur le bateau rencontre le frère de Cunégonde, qu’il a pourtant
tué et Pangloss, qui a été pendu.
Chapitre 28 :
Pangloss et le frère de Cunégonde raconte à Candide comment ils sont encore en vie.
Chapitre 29 :
Candide et sa troupe arrivent dans un palais où devaient travailler Cunégonde (qui était
devenue laide) et la vieille dame. Il les acheta toutes les deux et dit au frère de Cunégonde
qu’il voulait épouser sa sœur. Le frère de Cunégonde refusa et Candide se mit en colère.
Chapitre 30 :
Le frère de Cunégonde fut renvoyé comme rameur puisqu’il s’opposait au mariage.
Cunégonde et Candide se sont mariés et tous étaient devenus irritants et facilement
irritables. Ils discutent alors de questions philosophiques autour de la vie. Puis au fil du
temps exercent une activité standard liée à la cuisine, la menuiserie, la culture d’arbres
fruitiers, …