RAMDE Wendlamita Eudes Axel

300276998

Titre du travail
Les migrations internationales au cœur des
contradictions de la mondialisation

Travail soumis au professeur PIERRE MARTEL

Dans le cadre du cours Politique et mondialisation
Pol 1502[B]

Enseignant : PIERRE MARTEL

Remit le : 2022/03/06

1
Document critiqué

Simon, G. (2008), Chap. 14 – Les migrations internationales au cœur des

contradictions de la mondialisation, p. 209-222 dans La planète migratoire dans
la mondialisation, Paris, Armand Collin.

[Mise en contexte]

L’apparition des Etats a entrainé un grand mouvement de la population qui est due au
développement de la mondialisation. Ce phénomène migratoire impacte autant le pays
d’accueil que le pays de départ. C’est dans cette optique que l’auteur Gildas Simon à mener
une étude sur les migrations internationales dans une ère de totale mondialisation.

[Résumé/ idées principales]

Le phénomène de la migration entre de plus en plus dans nos idéologies de la régulation et

développe ainsi l’hyper-protectionnisme de l’Etat. Le phénomène social lié au processus
interne et externe en fonction du contexte environnemental. Elle évolue notamment dans
l’histoire migratoire, cependant il est important de s’interroger par rapport à la spécificité de
la mondialisation dans un monde protectionniste.

Selon l’auteur, le mécanisme traditionnel de régulation migratoire est menacé par la

dérégulation générale. Le départ pour certain zone sont souvent due à l’état de santé de la
personne, la majorité d’entre eux sont les mineurs, il existe néanmoins des personnes actifs
c’est-à-dire de 17 à 45 ans. L’économie du «marché migratoire global » n’est pas profitable à
la basse classe. Il existe également des facteurs d’ordre social et culturel, c’est-à-dire
l’isolement géographique et social, absence de capitale relationnel, etc. La mobilité
économique et sociale se réalise à l’intérieur du cadre étatique, avec une ampleur qui est sans
commune mesure avec des migrations internationales

La politique migratoire protectionniste est soumise à la logique générale de la mondialisation.

Au sein de la politique des Etats deux positions idéologiques s’affrontent, le protectionniste
migratoire et les défenseurs de l’ouverture des frontières. La migration n’est pourtant pas un
phénomène récent comme le pense certaine personne, elle fait partis de l’histoire de l’homme.

Depuis la chute du Mur de Berlin et l’ouverture du monde dans la plupart des pays, nous
pouvons constater, que certains pays à régime communiste ont levé les entraves sur la
migration de la population. La libéralisation notamment en Chine a accompagné celle de
l’économie du pays.
2
Le durcissement des politiques migratoires et la contagion des murs, apparue avec les
attentats perpétrer à travers le monde suivi de l’augmentation des conflits dans certaines
parties du monde, a bouleversé la mentalité des autorités publiques. Ces décisions ont changé
les politiques migratoires. Cependant la problématique stratégique de la migration consiste à
résoudre le vieillissement rapide de la population, de l’immigration clandestine.

La politique migratoire est de plus en plus fermées et sécuritaire comme le cas de la politique
française. La France depuis l’ancien régime a adopté une politique d’immigration qui est
toujours présent de nos jours. Cette politique a permis notamment aux sans-papiers se
trouvant en France de pouvoir officialiser leur situation en fonction des attentes de l’Etat
français.

La militarisation des frontières et la contagion des murs à susciter une adaptation de la

mondialisation migratoire. La militarisation des frontières et la construction des murs
suscitent un fort paradoxe idéologique. L’accélération de certain procédé pour le contrôle,
notamment de la mondialisation migratoire à la lisière des pays riche du Nord et du Sud.

Le développement d’une économie souterraine et mondialisée des migrations et la

marchandisation des champs migratoires. La mise en place d’un protectionniste à l’encontre
des migrations internationales a causé le développement d’une économie souterraine.

Des économies transfrontières florissantes fondées sur le trafic humain. La migration

internationale est un domaine sensible aux différentes formes d’exploitation humaine,
qualifiant même ce type d’exploitation de trafic humain. Cette exploitation est souvent due à
la dette générée par la basse classe.

L’appel de l’économie souterraine dans les pays riches. Les migrations <<volontaires>>,
clandestine est souvent profitable à certains acteurs n’hésitant pas à embaucher des sans-
papiers, qui leur cout moins chère et leur procure une forte main d’œuvre. De ce faite tant
qu’il existera ce système de migration clandestine, une grande demande variée d’emploi sous-
payés et non déclarés, l’économie de l’ombre subsistera.

[Critique interne]

En lisant, les toutes premières lignes, l’auteur passe par de nombreux arguments pour nous
interpelé sur le phénomène de la mondialisation migratoire, qui est soumis au protectionniste
des Etats concernés. Il part de la pour nous sensibiliser sur certaine actions politiques qui est
3
pour un frein pour la mondialisation migratoire. Cependant il faut noter que l’auteur Gildas
SIMON nous avertit sur les actions qu’entrainent ces politiques, notamment le développement
des voyages clandestins et du trafic humain. Cet ouvrage qui est source précieuse
d’information sur le phénomène migratoire est aussi un moyen que l’auteur utilise pour faire
faire passer un message sur l’état actuel des mouvements migratoires dans un monde en proie
à la mondialisation.

[Critique externe]

La mondialisation migratoire touche tous personnes vivant dans une société. Ce phénomène
étudier par beaucoup d’auteur nous interpelle sur les migrations humaines. Dans les sociétés
occidentales nous constatons une politique de protection de mineurs non accompagnés et de
l’enfance. L’auteur Derivois dans la vision que notre auteur nous interpelle la migration
humain en occident. En effet, la crise migratoire observée par l’auteur est vraiment
inquiétant, car la migration internationale concerne beaucoup plus les mineurs qui sont à la
recherche d’un mieux vivre, ce qui crée un flux massif de migrant vers d’autre pays. Cette
situation est décrite par l’auteur comme une situation traumatisante, vécue par certain pays de
l’Europe. Il faut aussi noter que la crise migratoire, évoqué par ces auteurs est due en grande
partie au développement de la mondialisation dans les nations étatiques. Tout comme
SIMON, Derivois passe un message sur le rejet de la mondialisation qui mette en péril les
enfants et les adolescents.

L’union européenne est par excellence une organisation qui prône la mondialisation
migratoire entre ses membres. Les études menées par les chercheurs au sein de l’union
européenne, a permis de mettre en évidence les politiques mises en place pour faciliter la
migration des cerveaux entre les frontières européennes. Cette politique a permis aux
populations de ces pays membres de voyager librement entre les pays. D’autre part, ces
politiques migratoires ont permis aux cerveaux africains, s’ils le désiraient vraiment pouvoir
vivre au sein de l’union européenne, sans aucune restriction. Vue l’intérêt que les travailleurs
diplômés, de vivre dans de meilleur condition de vie et travail en Europe, d’autre pays
notamment le Canada, les Etats-Unis et l’Australie ont adopté une politique migratoire
internationale en faveur des travailleurs diplômés voulant s’établir dans ces pays. Cette
adaptation, évoqué par les auteurs dans l’ouvrage nous oriente sur l’ouverture de certain pays,
et permet une réduction du trafic humain qui met en péril la vie de populations migrantes. En

4
sommes les auteurs à travers leurs études sur le sujet, nous font voir l’importance que les pays
accord sur les phénomènes migratoires à grande échelle, favorisant ainsi la chute de
l’économie souterraine évoqué par Gildas SIMON, comme étant un handicap de la migration
mondiale.

Les retombées économiques et sociales due à la mondialisation sont énormes. Cela est dû aux
politiques migratoires. Ces politiques concernant les migrants, les populations des pays
d’origine et les natifs dans les pays d’accueil ont permis une valorisation, de la politique
mondiale en faveur de la migration. Mais ce type politique est plutôt basé sur l’immigration
« choisie », ce procéder décrit par les auteurs ce voient comme une manière de permettre une
migration mondialiser, mais tout en gardant une œil sur la situation présente dans le pays. Elle
permet également de renforcer le phénomène de la mondialisation décrit, et avancer par
Gildas SIMON et permettre aussi de limiter l’essor de l’économie souterraine. Faire face aux
défis liés à l’économie du vieillissement, voici le maitre mot que cette politique évoqué par
les auteurs de cet ouvrage. Ils tentent de nous éclairer sur les mesures prises par les autorités
pour palier à cette difficulté. Ils passent ainsi une information sur les stratégiques politiques
pour une meilleure règlementation de la migration à travers les frontières.

[Conclusion]

De toute cette argumentation il retient de retenir que la migration sur le plan mondial impact
plusieurs domaine de la vie en société. Il incombe cependant aux autorités de mettre en place
des structures capable de règlementer la situation migratoire enfin de garantir un équilibre au
sein de la population. Néanmoins pour une application de ces mesures, il incombe aussi à la
population migrante de se référer a ces structures pour vérifier leur admissibilité à la politique
migratoire de l’Etat d’accueil.

5
Bibliographie

Derivois, D, Rejets de la mondialisation, rejetons de la mondialité : les mineurs non

accompagnés entre deux mondes, Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, 2019-09,
Vol.67 (5-6), p.302-303

Docquier, Frédéric ; Lohest, Olivier ; Marfouk, Abdeslam, Union européenne et migrations

internationales: L'UE 15 contribue-t-elle à l'exode des travailleurs qualifiés? Revue
économique, 2005-11-01, Vol.56 (6), p.1301-133

Chojnicki, Xavier ; Docquier, Frédéric ; Ragot, Lionel, L'immigration « choisie » face aux
défis économiques du vieillissement démographique, Revue économique, 2005, Vol.56 (6),
p.1359-1384