01 Intro - Matlab

Partie I
Démarrer avec Matlab
Rivo Rakotozafy1
1 Maître de Conférences
Département de Mathématiques
Faculté des Sciences – Université de Fianarantsoa
Mars 2017
Intro Nombres Mat & vect Fonctions Env
Table des matières
1 Introduction
2 Représentation des nombres
3 Matrices et vecteurs
4 Fonctions usuelles
5 Environnement de travail
Rivo Rakotozafy MASTER 2 Physique Appliquée 2017 – Fac. Sciences – UF

plan
1 Introduction

La philosophie de MATLAB
I Objet le plus commun : la matrice
• un tableau d’éléments de type donné : tableau d’entiers,
de réels, de textes, de varaible logiques, ... ;
• le format de la matrice est libre, et il est définit par
le nombre de lignes et le nombre de colonnes.
• Exemple : une matrice colonne de taille (n × 1) (n lignes
et 1 colonne) est appelée un vecteur.
I MATLAB : Matrix Laboratory

• c’est un logiciel développé par Math Works ;
• c’est un langage interprété 6= language compilé ;
• il possède son propre langage de programmation ;
• il possède également d’un grand nombre de fonctions
préprogrammées.
I Site web http ://www.mathworks.com

L’interface de MATLAB
Les fenêtres suivantes apparaîssent après avoir lancé Matlab :
I Command Window
I Command History
diary : sauvegarde de l’historique des commandes.
Syntaxe : diary nom_fic diary off
L’interface de MATLAB (fin)

I Current Directory
pwd : obtenir le répertoire de travail courant.
Voir aussi : cd ; path ;
I Workspace
Espace de travail courant (stockage des variables).
Voir aussi : who ; whos ; clear ;
I Menu Window
Pour basculer aux diffrentes fenêtres. Raccourcis clavier :
• ctrl + 0 pour Command Window ;
• ctrl + 1 pour Command History ;
• ...
I Menu File
Commandes de manipulation des fichiers/des répértoires
I Quelques commandes utiles : clc ; help ; quit ;
I Menu Start : accès aux différents éléments de MATLAB,
en particulier les Démos
Premier pas
I » représente le prompt ou invite et Matlab est prêt à

exécuter une commande ou instruction.
I Syntaxes d’une commande Matlab :
• <expr mathématiques>
• fonction( [ liste des paramètres ] )
I Exemple 1 :
» 1+1;
» x = 0: 0.1: 2*pi;
» y = sin(x);
» who;
» whos y;
» clear y;
» who;

A savoir pour commencer

I Principe : tout calcul en Matlab peut se faire à partir de
matrices réctangulaires (programmation, tracé graphique)
I Objets Matlab de bases : les matrices
• scalaires : matrices 1×1
• vecteurs lignes : matrices 1×n
• vecteurs colonnes : matrices n×1
I Pour démarrer : taper la commande mot par mot et

valider par un "retour-chariot" (touche ENTREE)
I Les commentaires : commandes qui suivent %
I Exemple 2 : Matlab utilisé comme un super calculateur
»4 + 5 % La variable ans est créée automatiquement
ans =
9.

A savoir pour commencer (fin)

I Point virgule : si une ligne de commande se termine par
un " ;" alors l’affichage du résultat est inhibé
I Pour réafficher le résultat : retaper la commande ou le
nom de la variable sans le " ;" avant de valider
I Exemple 3 :
»A = [1,2,3 ; 4,5,6 ; 7,8,9]; % matrice 3×3
»A = [1,2,3 ; 4, % message d’erreur
»A = [1,2,3 ; 4, ... % attend la suite
»5,6 ; 7,8,9 ]; % même matrice
»A = [1,2,3 ; % première ligne
»4,5,6 ; % deuxième ligne
»7,8,9 ]; % troisième ligne
I Aide en ligne :
• help help
• help <nom de la commande>
Création d’une variable

I Une variable sert à conserver le résultat d’un calcul ou
d’une commande Matlab, et est identifiée par un nom
I La structure de données ainsi créée a :
• un type : numérique ou caractère
• une organisation : matrice, liste ou hypermatrice
I Exemple 4 :
»A = 4 + 5 ;
»a = 1 + 2 ;
»mot = ’bonjour’
mot =
bonjour
I Remarque : Matlab respecte la casse i.e. a 6= A
I Format d’affichage des nombres : commande format
format short, format long, format short e,
format long e.

plan
1 Introduction

Représentation des entiers

I Dans une base b ≥ 2 donnée :
Pp
x = xp bp + · · · + x2 b2 + x1 b1 + x0 = i=0 xi b
i
= (xp xp−1 · · · x1 x0 )b
où xi ∈ {0, 1, 2, · · · , b − 1}. pour i ∈ {0, · · · , p}.
I Exemple 5 : écriture de 123 en base 10 et en base 2
123 = 1 × 102 + 2 × 10 + 3
= (123)10
123 = 1 × 26 + 1 × 25 + 1 × 24 + 1 × 23 + 0 × 22 + 1 × 21 + 1
= (1111011)2
I Bases courramment utilisées :

b = 2 : base binaire b = 10 : base décimal
b = 8 : base octale b = 16 : base hexadécimal
I Fonctions Matlab : dec2bin, dec2hex, dec2base,
bin2dec, hex2dec, base2dec.
Représentation des réels

I Réels positifs en virgule fixe :
Pn
x = x−1 b−1 + x−2 b−2 + · · · + x−n b−n = i=1 x−i b
−i
= (0.x−1 x−2 · · · x−n )b
I Exemple 6 : écriture de 0.375 en base 10

(0.375)10 = 3 × 10−1 + 7 × 10−2 + 5 × 10−3
I Réels en virgule flottante :
x = ± be × ( ni=1 x−i b−i ) = ± be × m
P
= ± be × (0.x−1 x−2 · · · , x−n · · · )b
= ± be−1 × (x−1 .x−2 · · · x−n · · · )b
avec x−1 6= 0, m la mantisse, e l’exposant et b la base.
I Exemple 7 : écriture en VFN de 61.123 en base 10
(61.123)10 = 102 × (0.61123)10 = 101 × (6.1123)10

Les nombres flottants

I Précisions :
• float : stocké sur 32 bits (simple précision)
s eb f
1 8 23
s : bit de signe,
eb = e + 1023 : exposant biaisé,
f : partie fractionnaire de la mantisse
• double : stocké sur 64 bits (double précision)
s eb f
1 11 52
• quadruple précision (128 bits) disponible sous Unix
• précisions supérieures (logicielles) : maple, mupad, . . .
I Calculs avec Matlab :
Les calculs numériques s’effectuent en binaire, au format
double, en arrondi même si les résultats sont ensuite
affichés en décimal.

Erreur absolue et erreur relative

I Définition : soit x une quantité réelle donnée supposée
exacte et x̃ une approximation de x.
• L’erreur absolue comise sur x est la quantité :
∆x = |x − x̃|
• L’erreur relative comise sur x est le quotient :
|x − x̃|
δx = , x 6= 0
|x|
I Remarques :
• Ces erreurs sont souvent estimées ou majorées.
• L’erreur relative est souvent exprimée en pourcentage, pour
la rendre plus significative.

Erreur d’opération
x̃ et ỹ représentent deux valeurs approchées de x et de y.
I Addition et soustraction
|(x + y) − (x̃ + ỹ)| = |(x − (x̃) + (y − ỹ)| ≤ |x − (x̃| + |y − ỹ|

L’erreur commise pour l’addition ( resp. soustraction) :
∆(x + y) ≤ ∆x + ∆y (resp. ∆(x − y) ≤ ∆x + ∆y)
I Multiplication et division
Soient x, y > 0, en utilisant la fonction ln() et le th. des accr. finis :
|ln(x) − ln(x̃)| = 1c |x − x̃| ' 1x |x − x̃| = δx
|ln(y) − ln(ỹ)| = 1c |y − ỹ| ' 1y |y − ỹ| = δy
|ln(xy) − ln(x̃ỹ)| ' xy1 |xy − x̃ỹ| = δ(xy)
Or :
|ln(xy) − ln(x̃ỹ)| = |(ln(x) − ln(x̃)) + (ln(y) − ln(ỹ))|
≤ |ln(x) − ln(x̃)| + |ln(y) − ln(ỹ)|
Donc une majoration de l’erreur relative δxy (resp. δ(x/y)) est
δ(xy) ≤ δ(x) + δ(y) (resp. δ(x/y) ≤ δ(x) + δ(y))

Erreur d’affectation
I Codes Matlab à tester : résultat obtenu à analyser
» disp(’On ajoute 10 fois 0.1’);
» s = 0;
» for n=1:10
s = s + 0.1;
end
» if (s == 1)
disp(’et on trouve exactement 1’);
else
disp(’mais on ne trouve pas exactement 1’);
end
I Résultat de l’exécution de ces codes :
On ajoute 10 fois 0.1
mais on ne trouve pas exactement 1
I Lorsqu’on représente le réel 0.1 par sa représentation machine,
on commet une erreur due à la conversion en base 2 puis à
l’arrondi, appelée erreur d’affectation.

Erreur d’arrondi
I Le réel en VFN à t chiffres
Une machine ne peut stocker qu’un nombre fini de chiffres. On
utilise la représentation en virgule flottante normalisé (VFN),
en arrondissant la mantisse à t chiffres. Soit t = 3,
x = 1579 = 104 × (0.158)
x = 1573 = 104 × (0.157)
I Exemple : Résolution de AX = B avec la commande X = A\B

     
1 1/2 1/3 1 9.
A =  1/2 1/3 1/4  B =  0  ⇒ X =  −36. 
1/3 1/4 1/5 0 30.
Pour la représentation des valeurs en VFN à t = 3 chiffres :
     
1.000 0.500 0.333 1 9.670
A =  0.500 0.333 0.250  B =  0  ⇒ X =  −39.508 
0.333 0.250 0.200 0 33.284

Erreur d’absorption
I Erreur qui se produit quand ajoute 2 nombres d’ordres de
grandeur très différents. Soient 2 nombres réels donnés
par leur représentation en VFN à t chiffres, en base b
= ±be × (0.x−1 x−2 · · · x−t )b

x
0
y = ±be × (0.y−1 y−2 · · · y−t )b
Si e − e0 > t alors (x + y) et x ont la même représentation en VFN.
On dit qu’il y a absorption de y par x.
I Exemple : somme de trois nombres en base 10, arrondi à t = 3
S1 = (1 + 0.004) + 0.003
= (101 × (0.1) + 101 × (0.0004)) + 101 × (0.0003)
= 101 × (0.1) + 101 × (0.0003)
= 1.000
S2 = 1 + (0.004 + 0.003)
= 101 × (0.1) + 101 × (0.0007)
= 101 × (0.1) + 101 × (0.001)
= 1.010
Exemples de valeurs sous Matlab

I Le nombre realmax = 1.7977e+308
» 1.797693134862315e+308
ans =
1.7977e+308
» 1.797693134862316e+308
ans =
Inf
I Le nombre eps = 2.2204e-016
» 1 + eps > 1
ans =
1
» 1 + eps/2 > 1
ans =
0

plan
1 Introduction

Construire des matrices

I Procédés : » A = [ 1 2 3; 4 5 6; 7 8 9 ]
» A = [ 1,2,3 ; 4,5,6 ; 7,8,9 ]
» A = [ 1,2,3
» 4,5,6
» 7,8,9 ]
I Résultat affiché :
A=
1. 2. 3.
4. 5. 6.
7. 8. 9.
I Commentaires :
• ’ ’ ou , : séparateur des éléments d’une même ligne
• ; ou ENTREE : séparateur de chaque ligne
• [ ] pour entourer les éléments de la matrice

Construire des vecteurs

I Vecteur linéairement espacé : inf : pas : sup
» V = 0 : 10 % par défaut le pas = 1
V=
0. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
» V = 0 : 2 : 10 % avec un pas = 2
V=
0. 2. 4. 6. 8. 10.
» V = 10 : -1 : 0 % avec un pas = -1 (négatif)
V=
10. 9. 8. 7. 6. 5. 4. 3. 2. 1. 0.
I Fonction linspace( ) : linspace(inf,sup,n)
» V = linspace(0,10,11)
V=
0. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
I Remarque : linspace(inf,sup,n) et inf : pas : sup
donne le même résultat avec pas = (sup - inf)/(n-1)

Construire des vecteurs (fin)

I Cas particuliers :
»V=5:1
V=
[]
» V = 1 : -1 : 5
V=
[]
» V = 0 : 0.1 : 0.45
V=
0. 0.1 0.2 0.3 0.4
I Vecteur logarithmiquement espacé : logspace(d1,d2,n)
» V = logspace(1,6,6)
V=
10. 100. 1000. 10000. 10000. 1000000.
I Remarque : logspace(d1,d2,n) = 10linspace(d1,d2,n)

Transposé et taille d’une matrice
I Opérateur transposé : représenté par ’

» A = [ 11 12 13 ; 21 22 23 ; 31 32 33 ] ;
» A’
ans =
11. 21. 31.
12. 22. 32.
13. 23. 33.
I Fonction size(A) : renvoi la dimension de la matrice A
» size(A)
ans =
3. 3.
I Options de la fonction size( ) et fonction length( ) :
size(A) ; % nombre de lignes et de colonnes de A
size(A,1) ; % nombre de lignes de A
size(A,2) ; % nombre de colonnes de A
length(A) ; % nombre total d’éléments de A

Accéder aux éléments d’une matrice

I Accès à l’élément (i, j) de A : A(i,j) où i=1 et j=2
» A(1,2)
ans =
12.
I Tous les éléments de la 2eme ligne de A : A(i, :) où i=2
» A(2, :)
ans =
21. 22. 23.
I Tous les éléments de la 3eme colonne de A : A( :,j) où j=3
» A( :,3)
ans =
13.
23.
33.
I Indice du dernier élément : représenté par la valeur end
» A(1,end) » A(end,2) » A(end,end)
ans = ans = ans =
13. 32. 33.
Accéder aux éléments d’une matrice (fin)

I Accès par un vecteur d’indices : A([i,j],[k,l])
» A([2,1],[3,2])
ans =
23. 22.
13. 12.
I Représentation d’une matrice comme un vecteur
» A( :) A(end)
ans = ans =
11. 33.
21.
31.
12.
22.
32.
13.
23.
33.
Affecter et supprimer des éléments

I Affecter une valeur au delà de la taille de A
» A(4,2) = 42
A=
11. 12. 13.
21. 22. 23.
31. 32. 33.
0. 42. 0.
I Supprimer tous les éléments de la 4eme ligne de A, ensuite
les éléments de la 3eme colonne de A
» A(4, :) = [ ], A( :,3) = [ ]
A=
11. 12. 13.
21. 22. 23.
31. 32. 33.
A=
11. 12.
21. 22.
31. 32.
Matrices particulières
I Fonctions prédéfinies :
zeros(n,m) matrice nulle de taille n×m
ones(n,m) matrice de un de taille n×m
eye(n,m) matrice identité de taille n×m
rand(n,m) matrice de valeurs aléatoires de taille n×m
diag(V) matrice diagonale dont la diagonale est V
diag(A) extrait la diagonale de la matrice A
triu(A) annule les valeurs au-dessus de la diagonale
tril(A) annule les valeurs au-dessous de la diagonale
I Pour obtenir des matrices carrées :

zeros(n) matrice carrée nulle de taille n×n
ones(n) matrice carrée de un de taille n×n
eye(n) matrice carrée identité de taille n×n
rand(n) matrice carrée de valeurs aléatoires de taille n×n

Opérations
I Opérations matricielles
+, - somme et soustraction
*,ˆ multiplication et puissance (matricielles)
.*, .ˆ multiplication et puissance terme à terme
./ division terme à terme
A\b solution de A*x=b (A : une matrice, b : un vecteur)
b/A solution de x*A=b (A : une matrice, b : un vecteur)
I Priorité des opérations

1 () parenthèses
2 ˆ puissance
3 - moins unaire (signe d’un nombre)
4 *, .* multiplication, multiplication terme à terme
5 +, - addition, soustraction
6 : séquence

Opérations et constantes
I Opérations logiques
== égalité
˜= différent
˜ négation (non)
> supérieur
>= supérieur ou égal
< inférieur
<= inférieur ou égal
& et
| ou
I Constantes prédéfinies
pi 3.1415927
√
i −1
eps précision machine (plus petit réel tel que 1 + esp > 1
inf infini
nan nombre non déterminé not a number

plan
1 Introduction

Fonctions mathématiques
sqrt() racine carée sqrtm() racine carée matricielle

exp() exponentielle expm() exponentielle matricielle
log() logarithmique logm() logarithmique matriciel
sin() sinus funm(.,@sin) sinus matriciel
cos() cosinus funm(.,@cos) cosinus matriciel
tan() tangente funm(.,@tan) tangente matricielle
asin() sinus inverse funm(.,@asin) sinus matriciel inverse
acos() cosinus inverse funm(.,@acos) cosinus matriciel inverse
atan() tangente inverse funm(.,@atan) tangente inverse mat.
floor() partie entière inf. ceil() partie entière sup.

round() arrondi fix() arrondi vers 0 (troncature)

Fonctions vectorielles, matricielles et utilitaires

min() minimum max() maximum
sum() somme cumsum() somme cumulative
prod() produit cumprod() produit cumulatif
mean() moyenne std() écart-type
median() médiane sort() tri par ordre %
rand() générateur de reshape() redimensionner une matrice
randn() nbr. aléatoires
det() déterminant inv() inverse

rank() rang eig() valeurs, vecteurs propres
svd() décomposition bdiag() bloc-dagonalisation
en valeurs vecteurs propres
singulières généralisés
disp() afficher à l’écran

int2str() conversion d’une valeur entière en chaîne de caractères
num2str() conversion d’une valeur numérique en chaîne de caractères

plan
1 Introduction

Espace de travail
I Lister son contenu : who, whos

» who
A B ans
...
» whos
Name Size Bytes Class
A 2 by 2 32 double array
B 3 by 1 24 double array
ans 1 by 4 8 char array
...
I Effacer des variables de l’espace de travail : clear
• clear <nom de variable> efface la variable
• clear ou clear all efface toutes les variables

Sauver et charger l’espace de travail
I Convention sur l’extention du fichier : *.mat

I Commandes : save, load
» save(’session.mat’) % sauve dans session.sav
» clear % efface tous les variables
» who % affiche rien : variables éffacées
» load(’session.mat’) % charge le fichier session.mat
» who % affiche à nouveau les variables
I Accès aux commandes par le menu fichier :
• Menu File\Save workspace as . . .
sauver la session dans le fichier dont le nom est à saisir
dans la fenêtre reservée à cela (exemple session.mat)
• Menu File\Open
Restaurer la session sauvegardée dans un fichier nommé
session.mat précédemment

Répertoire de travail
I Commandes : pwd, dir ou ls, cd ou chdir
» pwd % affiche le chemin du répertoire de travail courant
ans =
C :\Matlab\
» dir % affiche le contenu du répertoire de travail courant

ans =
demos java simulink . . . work
» cd ’work’ % change de répertoire de travail

ans =
C :\Matlab\work\
I Accès aux commandes par la barre d’outils :
• Browse for Folder
C :\Matlab\

Les commandes d’environnement les plus courantes

I cd : permet de se déplacer d’un répertoire à un autre ;
I ls ou dir : affiche les fichiers contenus dans le répertoire
courant ou un autre ;
I pwd : affiche le répertoire courant ;
I who ou whos : liste les variables déjà déclarées par
l’utilisateur ;
I clear all : supprime la liste des variables déjà
déclarées ;
I clc : efface l’ensemble des commandes MATLAB
introduite sur l’écran ;
I exit ou quit : permet de quitter l’interface MATLAB
I tic ou toc : calcule le temps mis par MATLAB pour
exécuter une commande ou un script
I cputime : retoune le temps total (en sec) mis par
l’application MATLAB

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Partie I

Démarrer avec Matlab

Table des matières

2 Représentation des nombres

Rivo Rakotozafy MASTER 2 Physique Appliquée 2017 – Fac. Sciences – UF

2 Représentation des nombres

Rivo Rakotozafy MASTER 2 Physique Appliquée 2017 – Fac. Sciences – UF

I MATLAB : Matrix Laboratory

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L’interface de MATLAB (fin)

I » représente le prompt ou invite et Matlab est prêt à

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A savoir pour commencer

I Pour démarrer : taper la commande mot par mot et

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A savoir pour commencer (fin)

Création d’une variable

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2 Représentation des nombres

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Représentation des entiers

I Bases courramment utilisées :

Représentation des réels

= (0.x−1 x−2 · · · x−n )b

I Exemple 6 : écriture de 0.375 en base 10

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Les nombres flottants

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Erreur absolue et erreur relative

• L’erreur relative comise sur x est le quotient :

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|(x + y) − (x̃ + ỹ)| = |(x − (x̃) + (y − ỹ)| ≤ |x − (x̃| + |y − ỹ|

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I Exemple : Résolution de AX = B avec la commande X = A\B

Rivo Rakotozafy MASTER 2 Physique Appliquée 2017 – Fac. Sciences – UF

Exemples de valeurs sous Matlab

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2 Représentation des nombres

Rivo Rakotozafy MASTER 2 Physique Appliquée 2017 – Fac. Sciences – UF

Construire des matrices

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Construire des vecteurs

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Construire des vecteurs (fin)

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Transposé et taille d’une matrice

I Opérateur transposé : représenté par ’

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Accéder aux éléments d’une matrice

Accéder aux éléments d’une matrice (fin)

Affecter et supprimer des éléments

I Pour obtenir des matrices carrées :

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I Priorité des opérations

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2 Représentation des nombres

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