Cours de Géologie Générale
Cours de Géologie Générale
Cours de Géologie Générale
Introduction générale
1 – Définitions
Le mot géologie du grec gé ou géo : terre ; et logos : science
La géologie est une science comprenant l’étude des parties de la
terre directement accessibles à l’observation, et l’élaboration des
hypothèses qui permettent de reconstituer leur histoire et d’expliquer leur
agencement.
On parle aussi de géologie d’une région pour désigner l’ensemble
des caractéristiques géologiques de cette région.
2 – Objectifs de la géologie
Décrire la constitution du globe terrestre et les matériaux qui le
composent. C’est la géologie descriptive qui traite le point de vue
Statique.
Tenter de reconstituer l’histoire de son évolution, car c’est l’origine
à la période actuelle. C’est la géologie historique qui traite le point
de vue cinétique.
Chercher les causes des événements et des phénomènes géologiques
(érosion des montagnes…). C’est un objectif qui traite un point de
vue dynamique.
Utiliser les connaissances ainsi acquises pour la recherche des
matières utiles et l’établissement de grands travaux d’équipement du
territoire (c’est la géologie appliquée).
La Terre est une planète du Système solaire, la troisième dans l’ordre des
distances par rapport au Soleil. La cinquième planète du Système solaire
en termes de taille, la Terre est la seule à posséder de l’eau liquide en
abondance, ainsi qu’une atmosphère riche en oxygène.
I.1 – La structure interne de la Terre
L'intérieur de la Terre est constitué d'une succession de couches de
propriétés physiques différentes superposées, qui se distinguent par leur
état solide, liquide ou plastique, ainsi que
par leur densité:
Du centre vers la surface on trouve :
I.1.1 – Le noyau
Forme 17% du volume terrestre. Il se
divise en noyau interne solide et noyau
externe liquide.
Dans le noyau interne, les températures
peuvent atteindre 6 650 °C
I.1.2 – Le manteau
Il constitue le gros du volume terrestre,
81%.
Il se divise en manteau inférieur
solide et manteau supérieur
principalement plastique (semi-fluid),
celui-ci est appelé aussi asthénosphère.
Notant que la partie tout à fait
supérieure du manteau supérieur est
solide.
I.1.3 – La croûte
La croûte ou écorce, compte pour
moins de 2% en volume et qui est solide.
L’ensemble de la croûte terrestre et la
couche solide de la partie supérieure du
manteau supérieur forment la ce qu’on
appelle lithosphère.
On reconnaît deux types de croûte terrestre:
La croûte océanique, celle qui en gros se situe sous les océans.
Elle est formée de roches basaltiques de densité 3,2 et qu'on nomme aussi
SIMA (silicium-magnésium);
La croûte continentale, celle qui se situe au niveau des continents.
Elle est plus épaisse à cause de sa plus faible densité (roches granitiques à
intermédiaires de densité 2,7 à 3) et qu'on nomme SIAL (silicium-
aluminium).
Sur la croûte terrestre on trouve une couverture sédimentaire. C’est une
mince pellicule de sédiments produits et redistribués à la surface de la
croûte par les divers agents d'érosion (eau, vent, glace) et qui compte
pour très peu en volume.
I.1.4 – Les discontinuités
Deux discontinuités principales et importantes séparent croûte,
manteau et noyau:
la discontinuité de Mohorovicic (MOHO) qui marque un contraste de
densité entre la croûte terrestre et le manteau,
la discontinuité de Gutenberg qui marque aussi un contraste important
de densité entre le manteau et le noyau.
Une troisième discontinuité sépare noyau interne et noyau externe, la
discontinuité de Lehmann.
I.2 – Age et origine de la terre
L’âge de la Terre a été estimé à 4,6 milliards d’années (par des
méthodes de datation radiométriques).
La plupart des théories supposent que la terre est formée après une
condensation des poussières et des gaz cosmiques par attraction
gravitationnelle. Au début la terre été homogène et relativement froide.
Cependant, la contraction continue de ces poussières et de ces gaz, ainsi
que les rayonnements radioactifs émis par certains éléments lourds, ont
provoqué le réchauffement de la planète.
La Terre est ensuite entré en fusion sous l’effet de la gravité. Il y a
eu ainsi formation de la croûte, du manteau et du noyau, les silicates plus
légers remontant pour former le manteau et la croûte, et les éléments plus
lourds, principalement le fer et le nickel, atteignant le centre de la Terre
pour constituer le noyau.
En raison des éruptions volcaniques, des gaz et des vapeurs légers
(qui s’échappaient continuellement du manteau et de la croûte, en
particulier le CO2 et N2), ont été retenus par la gravité terrestre et ont
constitué l’atmosphère primitive.
La vapeur d’eau s’est condensée pour former les premiers océans
terrestres.
I.3 – Champ magnétique terrestre
La terre possède un champ magnétique, appelé champ
géomagnétique, qui est généré par les mouvements de la matière du
noyau, essentiellement métallique et fondue.
C’est depuis 1600 que le physicien William Gilbert démontre que
la Terre se comporte comme un énorme aimant. La forme du champ
magnétique terrestre est approximativement la même que celle du
magnétisme d'un aimant classique.
La Terre se comporte comme si un énorme aimant droit était placé
en son centre. Elle produit un champ magnétique dont les lignes de
champ sortent d'un bout de l'aimant et entrent à l'autre bout en formant
une courbe. Par convention, on appelle « pôle nord magnétique » le bout
duquel sort le champ magnétique et « pôle sud magnétique » celui où
entre le champ magnétique.
Ce phénomène est provoqué par le mouvement du magma
métallique dans le noyau externe (liquide) qui tourne autour du noyau
interne (solide). Les effets du magnétisme terrestre ont cependant été
exploités bien plus tôt dans les premières boussoles.
Chapitre II : Géodynamique
I.1 L’érosion
1- Définition
L’action érosive s’exerce sur l’écorce terrestre par des agents externes
tels que : eaux courantes, eaux souterraines et marines, vents et glaciers
Pendant une violente pluie d’orage, l’eau commence par s’infiltrer dans le
sol, mais très rapidement des petits filets d’eau vont circuler en surface,
surtout si le terrain est en pente. A ces eaux, qui ruissellent sans avoir de
trajet bien défini, on donne le nom d’eaux sauvages
Les filets d’eau arrachent et entraînent avec eux des petits fragments de
roches : il se forme alors de petites rigoles appelées ravines
Lorsque l’eau rencontre un obstacle important, elle le contourne en
entraînant les matériaux voisins, il se forme alors des pyramides ou
« cheminées de fées »
Cette action mécanique de l’eau est surtout visible dans les régions
dénudées où la végétation est très rare
L’eau de pluie qui tombe sur le sol se charge très rapidement en gaz
carbonique qui fait dissoudre les roches calcaires Il se forme alors :
-Le gel : Dans les régions humides et froides, l’eau qui s’infiltre dans les
fissures des roches peut geler. La glace écarte les blocs rocheux qui sont
disloqués et finissent par tomber au dégel.
Le vent entraîne les particules de la taille des sables, mais n'a pas
l'énergie nécessaire pour soulever ou rouler les plus grosses particules.
Ainsi, ces plus grosses particules se concentrent progressivement à
mesure de l'ablation des sables pour former finalement une sorte de
pavement qui recouvre les sables et les stabilise, ce qui, par exemple,
permet aux véhicules robustes de rouler aisément.
Par ailleurs, le vent par lui-même n’a pas une force suffisante pour éroder
les roches. Les parois rocheuses par contre sont soumises à l’action des
grains de sable soulevés par le vent en les sculptant
Les racines des arbres en s’enfonçant dans les fissures des roches
finissent par disjoindre les blocs rocheux.
a ) L'altération superficielle.
Les processus de l'altération superficielle sont de trois types:
Mécaniques (ou physiques) : ceux qui désagrègent mécaniquement la
roche, (gel- dégel. action mécanique des racines des arbres).
Chimique : attaque des silicates des roches ignées (feldspaths…) par
les eaux de pluies, se qui donne par transformation des minéraux
argileux (phyllosilicates) sous forme de boue.
Biologique : attaque biochimiquement des minéraux par des
organismes vivant (lichens cherchant dans les minéraux les éléments
chimiques nécessaire).
L'action combinée de ces trois mécanismes produit des particules de
toutes tailles. Donnant lieu au processus de la sédimentation.
b ) Le transport.
Les agents qui assurent le transport des particules sont :
- Le vent - La glace - L'eau
Selon le mode et l'énergie du transport, le sédiment résultant
comportera des structures sédimentaires variées: Stratification en
lamelles planaires, obliques ou entrecroisées, etc.
Le transport des particules peut être très long. Mais, ultimement toutes
les particules devront se retrouver dans le bassin océanique.
c) La sédimentation
c) La diagenèse.
La diagenèse englobe tous les processus chimiques et mécaniques
qui affectent un dépôt sédimentaire et le transforment en roche
sédimentaire.
La diagénèse commence dès le dépôt du sédiment, généralement
sur le fond marin, et se poursuit tout au long de son enfouissement.
Les processus de diagenèse sont variés et complexes :
La compaction du sédiment puis la cimentation (phases de dissolution),
et enfin la recristallisation ou de remplacement de certains minéraux.
Le processus dia génétique qui est principalement responsable de la
diagénèse est la cimentation.
Le degré de cimentation peut être faible (donne une roche friable)
ou très poussé (donne une roche très solide).
La cimentation peut se réalisé sur le fond marin (diagenèse
précoce), ou après enfouissement sous plusieurs centaines ou milliers de
mètres de matériel (diagenèse tardive).
La cimentation peut être pré-compaction (schéma 1) :
où les fluides circulant dans les sédiments précipitent des produits
chimiques qui assemblent l’ensemble des particules.
La cimentation peut être lieu après compaction de sédiment (schéma 2).
C’est par la pression élevée exercée entre les particules de quartz d'un
sable, amène une dissolution locale du quartz qui donne lieu une
précipitation de silice sur les parois des particules cimentant ces
dernières, ensemble.
2. Les minéraux des roches sédimentaires
b/La matrice : La matrice liée les grains entre eux (d’où le synonyme de
liant) . Ses éléments sont essentiellement visible au microscope, à l’œil
nu ou à la loupe elle apparaît comme une matière amorphe plus ou moins
dure et compacte. Lorsqu’elle existe, elle peut se montrer sous deux
formes différentes et par leur nature et leur origine :
- un liant contemporain de la sédimentation
- un liant néoformé ou ciment, le plus souvent clairement cristallisé, qui
résulte d’une précipitation à partir des solutions ou d’une transformation
d’une partie des sédiments originels.
c/La porosité et la perméabilité : les roches sédimentaires caractérisées
par la présence des vides entre les grains dit porosité qui est définie par le
rapport entre le volume des vides et le volume total de la roche ;
Volume des vides
P =---------------------------- x 100
Volume total 100
Les vides reliés entre eux constitués la porosité efficace ou la
perméabilité
6. La stratigraphie
Stratigraphie et chronologie
L’établissement d’une chronologie est une question essentielle en
géologie ; deux sortes de chronologies peuvent établir
-Chronologie relative
-chronologie absolue
t=T238U/0.693 ln(1+[206Pb/238U])
8alphaet 6 béta
238 206
92U 82Pb (T=4.51*109 ans)
2-chronologie magnétique
La chronologie paléomagnétique est fondé sur les corps
ferromagnétiques ; ainsi, dans les roches volcanique , le champ est
fossilisé indirectement au moment où la température de refroidissement
passe en dessous du points de curie des minéraux ferromagnétiques. Dans
les roches sédimentaires le champ magnétique fossilise dans les particules
ferromagnétiques. Le sens des champs fossiles qui se révèlent
alternativement de même sens et de sens inverse au champ actuel ; en
peut ainsi définir, au cours des temps, un grand nombre de périodes
d’inversion du champs magnétique.
Plusieurs géologiques et géophysicien ont pu établir un calendrier des
inversions du champ magnétique dans le temps géologique.
La comparaison de direction de champ magnétique dans l’échantillon et
la direction de l’échelle ou le calendrier des inversion donne un âge a
cette échantillon.
3/ Echelle stratigraphique
séquence :Une formation ou un membre de formation n’est pas
nécessairement homogènes dans sa lithologie , elle peut présenter une
succession de (termes qui s’enchaînent et se superposent sans interruption
majeure de sédimentation ). On distingue deux types de séquences
-séquence positive : ensemble des niveaux sédimentaires de nature
différente qui se succèdent et dont les grains grossiers se trouvent en bas,
et les grains fins se trouvent en haut
-séquence négative : c’est l’inverse de la séquence positive.
série continue et série discontinue : lorsque les strates se succèdent sans
interruption, on dit qu’elles forment une série continue, mais il n’en pas
toujours ainsi : lorsqu’une ou plusieurs strates manquent , on dit qu’il y a
une lacune et que la série est discontinue. Le mot lacune indique
l’absence d’une ou plusieurs strates sans aucune interprétation.
transgression et régression :
Transgression : c’est une progression du milieu marin qui envahit plus
ou moins une aire continentale. Elle résulte soit d’une ascension du
niveau de la mer (eustatisme), soit d’un affaissement du continent
(subsidence).
Régression : C’est le phénomène inverse un retrait de la mer par
abaissement du niveau marin
Une plaque est un volume rigide, peu épais par rapport à sa surface.
La tectonique des plaques est une théorie qui propose que les
déformations de la lithosphère sont reliées aux forces internes de la terre
et qui se traduisent par le découpage de la lithosphère en un certain
nombre de plaques rigides qui bougent les unes par rapport aux autres en
glissant sur l'asthénosphère.
Ces forces internes produisent un flux de chaleur qui va du centre
vers l'extérieur de la terre, il s’agit des désintégrations radioactives de
certains éléments chimiques dans le manteau et qui engendre des cellules
de convection dans le manteau plastique (asthénosphère).
Ces cellules provoquent une concentration de la chaleur qui conduit à une
fusion partielle du manteau produisant ainsi du magma. Entre deux
plaques divergentes, la venue de magma crée de nouvelles croûtes
océaniques.
Les déformations tectoniques sont très variées ; on peut les réunir en trois
grandes familles : les plis, les failles et les recouvrements
1/ Les plis
- Pli droit avec un plan axial vertical, les flancs égaux mais de sens
différent
- Pli déjeté (oblique) dont le plan axial est incliné davantage et donc
les flancs s’inclinent dans un même sens
- Pli couché lorsque le plan axial se rapproche de l’horizontale
- Pli coffré lorsque les roches plastiques bourrent les charnières
d’un pli
- Flexure ou structure monoclinale c’est un pli à un seul flanc
- Pli- faille lorsque dans un pli déjeté le flanc inverse est étiré
jusqu’à sa rupture
Les plis sont rarement isolés, le plus souvent ils sont groupés en
faisceaux plus ou moins parallèles :
- quand les anticlinaux sont larges et les synclinaux aigus, c’est le
style déjectif
- inversement, quand les anticlinaux sont aigus et les synclinaux
larges c’est le style éjectif
Selon leur dimension on distingue :
- des micros plissements dont les dimensions sont de quelques mm
- plis de dimension normale qui peuvent être de quelques centaines
à quelques milliers de mètres
- Plis de grande dimension représentent des formes complexes de
dizaines voire de centaines de km
2/ Les failles
On les rencontre presque dans toutes les roches à l’exception des très
friables où les fissures ne se conservent pas
On distingue deux types de fissures :
- les clivages secondaires qui apparaissent dans les roches sous
l’influence des effets tectoniques
- les clivages primaires qui sont des fissurations qui apparaissent
sous l’influence de forces internes dans une roche durant son
refroidissement
2-2 Les failles :
Les principaux groupes de failles sont les failles béantes et les failles à
rejet
3/ Les recouvrements
Selon sa théorie Wegener concevait que dans un passé lointain toutes les
masses continentales étaient réunies en un seul méga continent : « la
Pangée » les continents par la suite se sont détachés en se déplaçant les
uns par rapport aux autres à la surface du globe.
1/ Définition
Le séisme ou tremblement de terre est un phénomène géologique qui
provoque des secousses (vibrations) ou succession de secousses de la
surface de la Terre.
Ces secousses sont brutales, plus ou moins violentes, imprévisibles et
toujours localisées en un lieu donné. Elles se caractérisent par leur
soudaineté et leur brièveté
La sismologie est la science qui étudie les tremblements de terre.
2/ Origine des tremblements de terre
Les séismes se répartissent de façon remarquable en d’immenses zones
bien délimitées : On retrouve les séismes surtout aux frontières des
plaques lithosphériques. Les 4/5 des tremblements de terre se produisent
sur le pourtour de l’Océan Pacifique ; les autres se situent le long des
chaînes de montagnes jeunes formées il y a environ 30 millions d’années.
Le séisme est expliqué par la théorie du rebondissement élastique :
Lorsqu'un matériau rigide est soumis à des contraintes de cisaillement, il
va d'abord se déformer de manière élastique, puis, lorsqu'il aura atteint sa
limite d'élasticité, il va se rompre en dégageant de façon instantanée toute
l'énergie qu'il a accumulé durant la déformation élastique.
C'est ce qui se passe lorsque la lithosphère est soumise à des contraintes
causées le plus souvent par le mouvement des plaques tectoniques, et
qu’elle accumule l'énergie. Et puis lorsqu'en certains endroits, la limite
d'élasticité est atteinte, il se produit une ou des ruptures qui se traduisent
par des failles. L'énergie brusquement dégagée le long de ces failles cause
les séismes (tremblements de terre).
A. Les roches sont B. Les roches se déforment C. Puis les roches cassent
soumises à des contraintes d'abord élastiquement brutalement, 1'energie
compressives. accumulée est libérée au
(02 est perpendiculaire au point de rupture initiale.
plan 01-03)
3/ Les phases d’un séisme
Un séisme important comprend 3 phases :
1. Phase des secousses prémonitoires (avertissement) faibles, de plus en
plus nombreuses,
2. phase de secousse principale très brève (de quelques secondes à une ou
deux minutes) qui correspond a 1'unique mouvement.
3. Des répliques de plus en plus faibles.
a. a déplacement horizontal
b. a déplacement vertical.
__ aimant amortisseur
Support — • - support
——masse inerte
cylindre enregistreur
Il s'agit d'une valeur objective: il n'y a qu'une seule valeur pour un séisme
donné.
-Déformations co-sismiques :
Ce sont les déformations accusées durant le séisme (1 ou quelques
minutes).
-Déformations cumulées :
Ce sont des déformations induites par un séisme sur des déformations
précédentes
L’aléa sismique :
C'est la potentialité d’une région de subir une secousse sismique de
caractéristiques données (cela suppose une bonne connaissance des
périodicités, des localisations, des profondeurs d’hypocentres et de
l’énergie développée lors des secousses antérieures).
1/ Définition
Ce schéma est très simplifié ; en général, les volcans sont plus complexes
Un volcan n’est pas figé dans un type. On différencie les volcans de par
le matériel qu’ils émettent : suivant que les laves soient solides ou
pâteuses (visqueuses), elles s’étalent plus ou moins loin du cratère et
donnent ainsi des volcans d’aspect différent
Il y a une très grande coïncidence entre les zones volcaniques et les zones
sismiques