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C_2007_CORR_BAC_C

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République du Congo http://maths.congo.free.

fr Corrigé bac C 2007

Correction bac 2007 - Série C

20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree
le .co e
il hs eb
Exercice 1

ju mat en
i
ér
1 Étude des variations de f1

l
va

/
:/
La fonction t 7−→ cos t est définie sur R et est périodique, de période 2π. On peut réduire

p
tt
h
son domaine d’étude à l’intervalle [−π; π].
De plus, f1 est une fonction paire. Son domaine d’étude peut être à nouveau réduit à
l’intervalle [0; π].
Pour tout t ∈ [0, π], f10 (t) = − sin t.

t 0 π

f10 (t) 0 − 0

D’où le tableau de variation :

t 0 π

f10 (t) 0 − 0

1
f1 (t)
−1

Étude des variations de f2


La fonction t 7−→ sin 2t + 2 sin t est définie sur R et est périodique, de période 2π. On
peut réduire son domaine d’étude à l’intervalle [−π; π].
De plus, f2 est une fonction impaire. Son domaine d’étude peut être à nouveau réduit à
l’intervalle [0; π].
Pour tout t ∈ [0, π], f20 (t) = 2(cos 2t + cos t) = 4 cos( 3t2 ) cos( 2t ).
f20 s’annule sur [0; π] si t = π3 ou si t = π.

D’où le tableau de signes :


π
t 0 3 π
20 o.f in
r
.f
t ng rl

cos( 3t2 )
20 ree

+ 0 −
le .co e
il ths eb
n
ie

cos( 2t ) + + 0
r

a
/m
va
:/
p

ju

f20 (t) −
tt

+ 0 0
h

page 1
Corrigé bac C 2007 http://maths.congo.free.fr République du Congo

D’où le tableau de variation :


π
t 0 3 π

f20 (t) + 0 − 0

20 o.f in
r
3 3

.f
t ng rl
20 ree
2

le .co e
il hs eb
f2 (t)

ju mat en
i
l ér
0 0

va

/
:/
p
tt
h
2 Notons pour t ∈ R, M (t) le point de coordonnées (f1 (t), f2 (t)).
Pour tout t ∈ R, M (t) existe et M (t + 2π) = M (t). Ce qui signifie qu’on obtient la courbe
complète de f lorsque t décrit [−π, π].
L’étude de f peut alors être effectuée sur l’intervalle [−π, π].

f2 (t) • M (t)
Ç å Ç å
f (−t) f1 (t)
D’autre part, M (−t) = 1 = • f (t)
f2 (−t) −f2 (t) 1

−f2 (t) • M (−t)

Et la fonction t 7−→ −t réalise une bijection de [0, π] sur [−π, 0].


Le domaine d’étude de f peut donc à nouveau être réduit à l’intervalle [0, π].
Interprétation : on construit l’arc de f quand t décrit [0, π], puis on obtient la courbe
complète de f par réflexion d’axe (Oy).
3 Tableau de variation
π
t 0 3 π

f10 (t) 0 − 0

1
f1 (t)
−1

3 3
2

f2 (t)

0 0
f20 (t) + 0 − 0
20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree
le .co e

4
il ths eb
n

Tangentes parallèles à aux axes


ie
r

a
/m
va

• Tangentes parallèles à l’axe (Ox)


:/
p

ju
tt
h

f20 (t) = 0 ⇐⇒ t = π
3
et t = π.

page 2
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Ñ 1 é Ç å
2 −1
En les points M ( π3 ) = √ et M (π) = , la courbe admet une tangente
3 3 0
2
parallèle à (Ox).
• Tangentes parallèles à l’axe (Oy)

20 o.f in
r
f10 (t) = 0 ⇐⇒ t = 0 et t = π.

.f
t ng rl
20 ree
le .co e
il hs eb
Ç å Ç å
1 −1
En les points M (0) = et M (π) = , la courbe admet une tangente parallèle

ju mat en
0 0

i
ér
à (Oy).

l
va

/
:/
p
tt
h
Points d’intersections avec les axes

• Points d’intersections avec l’axe (Oy)


π
f1 (t) = 0 ⇐⇒ t = .
2 Ç å
0
La courbe rencontre l’axe (Oy) au point M ( π2 ) =
2
• Points d’intersections avec l’axe (Ox)
f2 (t) = sin(2t) + 2 sin(t) = 2 sin t(cos t + 1) = 0 ⇐⇒ t = 0 et t = π.
Ç å Ç å
1 −1
La courbe rencontre l’axe (Ox) aux points M (0) = et M (π) =
0 0

2−

(C )

1−



j

− →
− −
−1 0 1
i

−1−
20 o.f in
r
.f
t ng rl

−2−
20 ree
le .co e
il ths eb
n
ie
r

a
/m
va
:/
p

ju
tt
h

page 3
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Exercice 2

20 o.f in
r
N H

.f
O

t ng rl
20 ree
le .co e
il hs eb

ju mat en
(C )

i
l ér
va
J

/
:/
K

p
tt
h
(C1 ) M
A1

(T )
I

−→ −−→ −−→ −−→


5 (AO) ⊥ (N O) et (AM ) ⊥ (N M ) alors (AO, AM ) ≡ (N O, N M ) [π].
Donc les points O, N , M et A appartiennent à un cercle (C1 ).
Le centre A1 du cercle (C1 ) est le point d’intersection des médiatrices de [AO] et de [AM ].
6 Le triangle AM O est équilatéral car c’est un triangle isocèle ayant un angle de 60◦ . Il en
résulte que A1 est également le centre de gravité de ce triangle.
20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree
le .co e

Angle et rapport de S1
il ths eb
n

S1 (O) = O.
rie

De plus, comme S1 préserve les centres des cercles, alors S1 (A) = A1 .


/m
va


:/
p

ju

2
tt

OA1 OI 2 3
h

D’où k1 = = 3 = sin(60◦ ) = .
OA OA 3 3

page 4
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−→ −−→ π
θ1 = (OA, OA1 ) ≡ [2π].
6

7 a. (N H) ⊥ (OA) et (N M ) ⊥ (AM ).
−−→ −−→ −−→ −→
Les angles (N M , N H) et (AM , AO) étant des angles aigus à côtés perpendiculaires,
−−→ −−→ −−→ −→ π

20 o.f in
r
on en déduit que : (N M , N H) ≡ (AM , AO) [2π] ≡ [2π].

.f
t ng rl
20 ree
3

le .co e
il hs eb
Angle et rapport de S2

ju mat en
i
ér
S2 (N ) = N et S2 (M ) = H.

l
va

/
NH 1 −−→ −−→ π

:/
p
D’où k2 = = cos( π3 ) = et θ2 = (N M , N H) ≡ [2π].

tt
h
NM 2 3

b. Les triangles N A1 M et N OA1 étant équilatéraux, on a :


S2 ◦ S1 (A) = S2 (A1 ) = J où J est le milieu du segment [N M ].
S2 ◦ S1 (O) = S2 (O) = K où K est le milieu du segment [N A1 ].
π π π
c. S2 ◦ S1 est une similitude plane directe d’angle + = .
6 3 2
−→ −−→ π
Comme S2 ◦ S1 (Ω) = Ω et S2 ◦ S1 (O) = K, alors (ΩO, ΩK) ≡ [2π]. Donc Ω est
2
un point du cercle de diamètre [OK].
−→ −→ π
De plus, comme S2 ◦ S1 (Ω) = Ω et S2 ◦ S1 (A) = J, alors (ΩA, ΩJ) ≡ [2π]. Donc
2
Ω est un point du cercle de diamètre [AJ].

D’où Ω est le point d’intersection du cercle de diamètre [OK] et du cercle de diamètre


−→ −→
[AJ] et est tel que (ΩA, ΩJ) soit orienté positivement.

Problème
A 1 Le coefficient dominant de p étant strictement positif,
∀x ∈ R, p(x) > 0 si ∆ = a2 − 4 < 0.
Le tableau de signes de ∆ donne :

a −∞ −2 2 +∞

∆ + 0 − 0 +

Donc p > 0 si a ∈ ] − 2; 2[.


2 p admet une racine double si ∆ = 0 c’est à dire si a = 2 ou a = −2.
Pour a = 2, la racine double associée est x = 1.
20 o.f in
r
.f
t ng rl

Pour a = −2, la racine double associée est x = −1.


20 ree
le .co e
il ths eb

p(x)
n

B 1 Pour tout x ∈ ]0 ; +∞[, ga0 (x) = − 2 .


ie

x
r

a
/m

p(x)
va
:/

Comme a ∈ [−2; 2], alors p(x) ≥ 0 pour tout x ∈ R. D’où ga0 (x) = − 2 ≤ 0 pour
p

ju
tt

x
h

tout x ∈ R.

page 5
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2 Tableau de variation de ga pour a ∈ [−2; 2].

Limite aux bornes


1
lim ga (x) = lim (ax ln x + 1 − x2 ) = +∞.
x→0+ x→0+x

20 o.f in
r
Ç å
a ln x 1

.f
t ng rl
20 ree
lim ga (x) = lim x + 2 − 1 = −∞

le .co e
x x

il hs eb
x→+∞ x→+∞

ju mat en
Tableau de variation de ga pour a ∈ ] − 2; 2[.

i
l ér
va
ga0 < 0 pour a ∈ ] − 2; 2[.

/
:/
p
tt
h
x 0 +∞

ga0 (x) −

+∞

ga (x)

−∞

Tableau de variation de ga pour a = −2.

ga0 < 0 pour a = −2.

x 0 +∞
0
g−2 (x) −

+∞

g−2 (x)

−∞

Tableau de variation de ga pour a = 2.

ga0 ≤ 0 pour a = 2 et s’annule pour x = 1.

x 0 1 +∞

g20 (x) − 0 −

+∞
20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree

g2 (x) 0
le .co e
il ths eb
n
ie

−∞
r

a
/m
va
:/

3 Pour tout a ∈ [−2; 2 ], la fonction ga est strictement décroissante sur I =]0 ; 1[ et


p

ju
tt
h

ga (1) = 0. Donc ga > 0 sur I.

page 6
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C 1 Tableau de variation de r.
2−x
Pour tout x ∈ ] 0, +∞[, r0 (x) = .
x
D’où le tableau de signes :

20 o.f in
r
x +∞

.f
0 2

t ng rl
20 ree
le .co e
il hs eb
ju mat en
r0 (x) + 0 −

i
l ér
va

/
:/
p
tt
h
et le tableau de variation :
x 0 2 +∞

r0 (x) + 0 −

2 ln 2 − 2

r(x)

−∞ −∞

1
Comme lim g2 (x) − r(x) = lim = 0, alors la courbe (H ) est asymptote à la
x→+∞ x→+∞ x
courbe (C2 )
1
2 Pour tout x ∈ ] 0, +∞[, g2 (x) − r(x) = > 0. La courbe (C2 ) est au dessus de la
x
courbe (H ) sur x ∈ ] 0, +∞[.

r(x)
De plus, lim = −1 et lim r(x) + x = +∞. La courbe (H ) présente une
x→+∞ x x→+∞
branche parabolique de direction asymptotique la droite d’équation y = −x en +∞.
20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree
le .co e
il ths eb
n
ie
r

a
/m
va
:/
p

ju
tt
h

page 7
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20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree
le .co e
il hs eb
ju mat en
i
ér
1

l
va

/
:/
p
tt
h
−2 −1 1 2 3 4 5

(C2 )
−1 (H )

−2

−3

−4

D 1
x ln x 1
Montrons que 0 < 2
< .
x −1 2
2x ln x + 1 − x2
Pour tout x ∈ I, g2 (x) > 0 =⇒ >0
x
=⇒ 2x ln x + 1 − x2 > 0 puisque x > 0
=⇒ 2x ln x > x2 − 1
En divisant les deux membres de la dernière inégalité obtenue par 2(x2 − 1) (qui
x ln x 1
est strictement négatif sur I), il en résulte que : 2 < .
x −1 2
x ln x
20 o.f in

D’autre part, comme ln x < 0 et x2 − 1 < 0 pour tout x ∈ I, alors 2


r

> 0 pour
.f
t ng rl
20 ree

x −1
le .co e
il ths eb

tout x ∈ I.
n

x ln x 1
ie

D’où 0 < 2 < pour tout x ∈ I.


r

x −1 2
/m
va
:/
p

ju

1
tt

Montrons que 0 < f 0 (x) <


h

page 8
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t ln t
Soit F une primitive de la fonction t 7−→ 2 , alors f (x) = F (x) + k où k est une
t −1
constante.
x ln x 1
D’où f 0 (x) = F 0 (x) = 2 . Il en résulte que 0 < f 0 (x) < .
x −1 2
1

20 o.f in
r
Montrons que 0 < f (x) < .

.f
t ng rl
20 ree
2

le .co e
il hs eb
t ln t 1

ju mat en
∀ t ∈ I, 0 < 2 <

i
t −1 2

l ér
Z x Z x
t ln t 1

va

/
:/
Par passage à l’intégrale, 0 < dt < dx pour tout x ∈ ]0 ; 1[

p
tt
0 t2 − 1 0 2

h
1 1
D’où 0 < f (x) < x < .
2 2
2 Posons ϕ(x) = h(x) − x.
x ln x
Pour tout x ∈ I, ϕ0 (x) = h0 (x) − 1 = 2 − 1.
x −1
Signe de ϕ0
x ln x 1 x ln x 1 1
Comme 0 < 2 < , alors −1 < 2 − 1 < − . D’où −1 < ϕ0 (x) < − .
x −1 2 x −1 2 2
∀ x ∈ I ϕ0 (x) < 0.
On en déduit que ϕ est strictement décroissante sur I.
Tableau de variation

x 0 1

ϕ0 (x) −

ϕ(x)

Calculons les limites aux bornes


Comme pour tout x ∈ I, h(x) > 0, alors ϕ(x) > −x.
Par passage à la limite, lim ϕ(x) ≥ lim −x. Donc lim ϕ(x) ≥ 0.
x→0+ x→0+ x→0+

1 1
D’autre part, comme pour tout x ∈ I, h(x) < , alors ϕ(x) < − x.
Ç 2å 2
1 1
Par passage à la limite, lim ϕ(x) ≤ lim − x = − . Donc lim ϕ(x) < 0.
x→1− x→1− 2 2 x→1−

Montrons que h admet un point fixe x0


20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree

La fonction ϕ est continue sur I (puisque dérivable sur I), strictement décroissante
le .co e
il ths eb

sur I.
n
ie
r

De plus, lim ϕ(x) ≥ 0 et lim ϕ(x) < 0.


a
/m

x→0+ x→1−
va
:/

D’après le théorème des valeurs intermédiaires, il existe un unique réel x0 ∈ I tel


p

ju
tt
h

que ϕ(x0 ) = 0 c’est à dire h(x0 ) = x0 .

page 9
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3 a) Notons Pn , la propriété : 0 < un < 12 .


Montrons par récurrence que : ∀ n ∈ N, Pn .
Initialisation
u0 = 13 ∈ I. D’où 0 < u0 < 12
Donc la propriété P0 est vérifiée.

20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree
Hérédité

le .co e
il hs eb
Supposons Pn c’est à dire supposons : que 0 < un < 12 .

ju mat en
i
Montrons Pn+1 c’est à dire montrons que : 0 < un+1 < 12 .

l ér
va

/
:/
On a : 0 < un < 12 .

p
tt
h
Par définition de la fonction h, d’après D.2., 0 < h(un ) < 21 .
D’où 0 < un+1 < 12 .
La propriété Pn+1 est vérifiée.
Conclusion
D’après le principe de récurrence, la propriété Pn est vraie pour tout n.

Montrons que |un+1 − x0 | ≤ 12 |un − x0 |


Soit n ∈ N.
h est continue et dérivable sur I.
De plus, |h0 (x)| < 12 pour tout x ∈ I.
D’après le théorème de l’inégalité des accroissements finis, on a :
1
∀ x ∈ I, ∀ y ∈ I, |h(x) − h(y)| ≤ |x − y|
2
Comme x0 ∈ I et un ∈ I, on peut appliquer l’inégalité précédente en x = un et
y = x0 .
On a alors :
1
|h(un ) − h(x0 )| ≤ |un − x0 |
2
Or h(un ) = un+1 par définition de la suite (un ) et h(x0 ) = x0 .
On en déduit que : ∀ n ∈ N, |un+1 − x0 | ≤ 21 |un − x0 |.
Ä än
b) Soit Pn , la propriété |un − x0 | ≤ 12 |u0 − x0 |.
Montrons par récurrence que : ∀ n ∈ N∗ , Pn .
Initialisation
D’après 3. a., |u1 − x0 | ≤ 12 |u0 − x0 |.
D’où, P1 est vérifiée.
Hérédité Ä än
Supposons Pn c’est à dire supposons que |un − x0 | ≤ 21 |u0 − x0 |.
Ä än+1
Montrons Pn+1 c’est à dire montrons que |un+1 − x0 | ≤ 1
2
|u0 − x0 |.
D’après 3. a., |un+1 −x0 | ≤ 21 |un −x0 | et par hypothèse de récurrence, |un −x0 | ≤
20 o.f in
r

Ä än
.f
t ng rl

1
|u0 − x0 |.
20 ree
le .co e

2
il ths eb

Ä än Ä än+1
Ainsi, |un+1 − x0 | ≤ 21 |un − x0 | ≤ 1 1
|u0 − x0 | = 1
|u0 − x0 |.
n
ie

2 2 2
La propriété Pn+1 est vérifiée.
r

a
/m
va
:/

Conclusion
p

ju
tt
h

D’après le principe de récurrence, la propriété Pn est vraie pour tout n ∈ N∗ .

page 10
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Ä än
1
c) ∀ n ∈ N, 0 ≤ |un − x0 | ≤ 2
| 31 − x0 |.
Ä än
1
Passage à la limite, 0 ≤ lim |un − x0 | ≤ lim 2
| 13 − x0 | = 0
n→+∞ n→+∞
Par conséquent lim |un − x0 | = 0 et donc lim un = x0 .
n→+∞ n→+∞

d) 0 < x0 < 1.

20 o.f in
r
.f
t ng rl
Alors − 32 < 1
− x0 < 31 . D’où la majoration | 13 − x0 | < 23 .

20 ree
le .co e
3

il hs eb
Ä än Ä än
1
Ainsi, |un − x0 | ≤ | 31 − x0 | < 1 2

ju mat en
2 2 3
.

i
ér
Ä än0
Déterminons le plus petit entier n0 tel que 12 2
≤ 10−2 .

l
va

/
3

:/
p
Par croissance du logarithme, on a : −n0 ln 2 + ln 2 − ln 3 ≤ −2 ln 10.

tt
h
D’où n0 ≥ 2 ln 10+ln
ln 2
2−ln 3
(≈ 6, 059).
Donc n0 = 7.

20 o.f in
r
.f
t ng rl
20 ree
le .co e
il ths eb
n
r ie

a
/m
va
:/
p

ju
tt
h

page 11

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