TP n03 060 Régulation de Position
TP n03 060 Régulation de Position
TP n03 060 Régulation de Position
Travaux
Pratique
n°=03
RT 040
Régulation de
position
1. Introduction
2. Partie expérimentale
2.1 Objectif
2.2 Spécification
2.3 Schéma de principe
2.4 Manipulation du Système
2.4.1 Système asservi
2.4.2 Régulation continue
2.4.3 Régulation trois points
3. Conclusion
1. Introduction:
Le RT 060 propose des essais de base sur un système réglé de position. Le système réglé est un chariot qui est
déplacé à l’aide d’une courroie crantée. La position représente la grandeur réglée. La position du chariot est saisie par
un élément de mesure, qui est ici un codeur rotatif. Le signal de sortie du capteur est transmis au régulateur logiciel. Le
signal de sortie du régulateur pilote l’actionneur, qui est ici le moteur. Le chariot est ainsi tiré dans une nouvelle position
sur la courroie crantée. Le moteur est automatiquement arrêté lorsque le chariot atteint une des deux positions de fin de
course. La position actuelle peut être lue à tout moment directement sur une règle graduée en acier. Le comportement de
régulation est affiché directement sous la forme d’intervalles de temps.
Un capot de protection transparent permet d’observer sans risque les essais.
2. La partie expérimentale:
2.1. Objectif du TP: L’objectif de cette TP est d’étudier la régulation de position dans un chariot.
2,2 Spécification:
Moteur
• tension de service: 12VDC
• rapport de transmission: i=50
• vitesse de rotation: 85min-1
• couple: 200Nmm
Codeur rotatif: potentiomètre multi-tours
Vitesse de déplacement max.: 45mm/s
Règle graduée en acier: 0…300mm
Régulateur logiciel configurable et paramétrable comme régulateur P, PI, PID et régulateur tout ou rien
Plages de mesure
• déplacement: max. 300mm
230V, 50Hz, 1 phase
230V, 60Hz, 1 phase
120V, 60Hz, 1 phase
2.3. Schéma de principe:
type de système
2.4.2.Régulation continue:
Résultat:
Résultat:
La composante I supplémentaire au régulateur veille maintenant à ce qu’il ne reste plus d’écart de réglage. Le
signal de commande Y(t) n’atteint cependant que très lentement la valeur qui existait avant le saut de la grandeur
pilote. Celle-ci suffit cependant manifestement pour maintenir le chariot à sa position. Le temps de compensation Tn
pourrait ainsi être encore quelque peu raccourci pour compenser un peu plus vite l’écart restant.
Avec les valeurs:
Kp = 25 et Tn = 5 s,
on atteint déjà une qualité de régulation acceptable.
Dans cet TP, on a exposé le principe des chaînes de régulation et on a décrit les principaux
régulateurs industriels. On a surtout insisté sur le régulateur PID, qui reste, sous différentes versions, à la
base de la majorité des équipements de contrôle-commande de l’industrie. On a montré les outils utilisés
pour analyser les chaînes de régulation numériques qui permettent d’associer les régulateurs avec des
moyens de traitement des mesures, de calculs de consignes, de surveillance et de diagnostic. Les chaînes
de régulation sont de moins en moins isolées et on a décrit le principe des architectures décisionnelles et
des architectures opérationnelles qui permettent de déboucher sur une automatisation intégrée au niveau
de l’entreprise.
Cependant, dans un contexte où ces architectures deviennent de plus en plus complexes, si une entreprise
souhaite maintenir ou accroître encore sa productivité, elle ne pourra se passer d’une augmentation de sa
réactivité aux aléas de fonctionnement et donc d’une amélioration significative de son système de
communication. Il est désormais clair que de telles technologies ouvrent des perspectives jusqu’à présent
rejetées dans le domaine de la science-fiction comme par exemple le pilotage et/ou la maintenance à
distance, qui relèvent de ce que l’on commence à appeler l’entreprise « communicante ».