Cité scolaire Antoine-de-Saint-Exupéry (Lyon)
Fondation | 1963 |
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Type | Public |
Proviseur | Samuel Roche |
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Proviseure adjointe | Nathalie Ros |
Population scolaire | ~ 1850 élèves en 2021 |
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Enseignants | ~ 120 professeurs |
Formation | Collège et lycée général et technologique (LEGT) avec 11 spécialités : mathématiques, sciences physiques, Numérique et Sciences Informatiques, SVT, Humanités littérature et philosophie, Histoire Géographie Géopolitique et Sciences Politiques,Sciences Économiques et Sociales, Anglais Monde Contemporain, Arts plastiques,Musique, Théâtre. |
Options | Théâtre, arts, musique, anglais et allemand section européenne, chinois LVC, LCA latin et grec |
Ville | 4e arrondissement de Lyon |
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Pays | France |
Site web | http://saint-exupery-lyon.elycee.rhonealpes.fr/ |
Coordonnées | 45° 46′ 47″ nord, 4° 49′ 19″ est |
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La cité scolaire Antoine-de-Saint-Exupéry (anciennement collège-lycée Saint-Exupéry) ou plus couramment lycée Saint-Exupéry, est un groupe scolaire, dans le 4e arrondissement de Lyon, sur le plateau de la colline de La Croix-Rousse. Elle regroupe un collège et un lycée public, qui accueillent respectivement environ 360 collégiens et 1 450 lycéens. Le lycée a ouvert ses portes pour la première fois en 1963.
Historique
[modifier | modifier le code]Dès les années 1930 Édouard Herriot, alors maire de Lyon, souhaite agrandir l'établissement pour garçons du 1er arrondissement : le lycée Neyret. En effet ce dernier est surchargé, mais avec la Seconde Guerre mondiale, le projet est laissé de côté. C'est en 1955 que celui-ci revient dans le débat public lyonnais : on choisit alors un terrain de jardins ouvriers rue Hénon, dans le 4e arrondissement. Par la suite le maire Louis Pradel lance le chantier en 1960, alors dirigé par les architectes Jacques Perrin-Fayolle (grand prix de Rome), Alain Chomel et C. Dambrun. Dix-huit mois plus tard, les premiers élèves s'installent alors que l'on termine les finitions, à la rentrée 1963. Le lycée est en forme de L, et offre deux bâtiments abritant l'administration, le restaurant scolaire, et les classes[1]. Il sera complété d'infrastructures sportives, (deux gymnases), avec notamment une piscine. Les sept premiers élèves féminins arrivent en 1968, la même année s'inaugurent aussi deux classes de 6e et 5e en section musique : le collège-lycée Saint-Exupéry est né. En 1970 deux professeurs marqueront les esprits : M. Gaillard créera un pôle arts plastiques, et M. Goetz des classes bilangues allemand[2].
Dans les années 1970, le proviseur est M. Monchambert.
En juin 1977, trois lycéens de terminale C passent une semaine à l'Élysée et accompagnent le président de la République, Valéry Giscard d'Estaing, pour découvrir les coulisses des institutions politiques. Le 8 juin, ils participent avec le reste de leur classe à un débat avec le Président, diffusé sur Antenne 2 et organisé par Jean-Pierre Elkabbach. Ce dernier a choisi le lycée Saint-Exupéry de Lyon car il « préférait un lycée de province à un lycée parisien aux brillants sujets primés au concours général. Un lycée moyen [...] qui accueille des jeunes dont les parents sont de milieux divers »[3]. Cette opération est alors dénoncée par le syndicat étudiant communiste de l'UNCAL, qui voit comme une manipulation le fait d'avoir choisi une classe plutôt bonne et peu syndiquée.
De 2002 à 2003, sera lancée une extension des bâtiments, avec l'apparition d'un nouveau pôle de restauration scolaire[4]. Puis entre 2007 et 2011, une réhabilitation complète du lycée, dirigée par les architectes de l'Atelier Arche, pour un coût total d'environ 24,6 millions d'euros[2]. Le Lycée se dote de toitures végétalisées ainsi que d’un système de récupération des eaux de pluie[5] pour irriguer les nouveaux espaces verts de la cour de récréation[6]. Les élèves s'installeront en septembre 2011 dans la Cité scolaire Saint-Exupéry.
En 2013, le lycée célèbre ses cinquante ans d'existence. Pour l'occasion, le proviseur fait revenir d'anciens professeurs et d'anciens élèves. Une exposition et un film rétrospectif sur l'histoire de l'établissement sont présentés[7].
En 2015, Claire Batailler succède à Michel Bastrenta[8], proviseur de l'établissement depuis 2004 et chevalier de la légion d'honneur. Ce dernier travaille désormais à la Délégation académique aux arts à la culture, D.A.A.C.[9].
En septembre 2017, Claude Di Liberatore succède à Nora Frahi en tant que proviseur adjoint du lycée.
En avril 2018, la région crée un sas d'accès au lycée au niveau du portail principal.
En septembre 2018, deux bâtiments modulaires accueillant quatre salles de classe supplémentaires sont installés dans la cour en raison du manque de place dans le bâtiment principal.
En septembre 2019, Olivier Coutarel succède à Claire Batailler, proviseur de l'établissement depuis 2015.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La Cité scolaire compte environ 1 450 lycéens et environ 360 collégiens en 2021. L'enseignement de la sixième à la terminale est dispensé par environ 120 professeurs.
Attention: les informations suivantes concernant les enseignements pourraient être erronées du fait de la mise en œuvre de la réforme du lycée[10].
Lycée
[modifier | modifier le code]Le lycée accueille des élèves qui préparent le baccalauréat général (spécialités Anglais MC, mathématiques, physiques, SVT, SES, musique, arts plastiques, théâtre, HGGSP, HLP et NSI) ainsi que des élèves en filière technologique pour un Baccalauréat sciences et technologies du management et de la gestion ou un Baccalauréat techniques de la musique et de la danse.
Les classes sont répartis de la façon suivante :
Seconde | Première | Terminale | |
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Filière STMG | - | 2 classes | 2 classes |
Filière S2TMD | 1 classe (2nde générale à option danse et musique) | 1 classe | 1 classe |
Tronc général | 12 classes | 12 classes | 12 classes |
Les langues étrangères vivantes enseignées au lycée sont l'anglais (LV1 ou LV2), l'allemand (LV1 ou LV2), l'italien et l'espagnol(LV2) ainsi que le chinois en langue vivante 3 facultative (L.V.3). Les langues anciennes sont le latin et le grec[11].
Options facultatives en seconde générale
[modifier | modifier le code]De nombreuses options existent au sein de la cité scolaire mais toutes ne sont pas forcément compatibles : langues section européenne : anglais ou allemand (3h et une heure de discipline non linguistique (DNL))[11] ; arts plastiques facultatif (3h) ; musique facultatif (2h) ; théâtre (3h)[12].
Options facultatives en première et terminale générale
[modifier | modifier le code]- Options de langues : langues section européenne : anglais ou allemand (3h et une heure de discipline non linguistique (DNL)) ; langue vivante 3 (L.V.3) : mandarin, (3h) ; langues et cultures de l'Antiquité (L.C.A.) : latin, grec ancien (3h)
- Éducation physique et sportive (EPS) de complément (3h)[13]
Collège
[modifier | modifier le code]Le collège scolarise 360 élèves inscrits sur 12 divisions. Il comporte aussi une section U.L.I.S. : Unité localisée pour l'inclusion scolaire[14].
Les collégiens sont répartis comme ci-après.
- 3 classes de sixième
- 3 classes de cinquième
- 3 classes de quatrième
- 3 classes de troisième
Les classes comptent en moyenne trente élèves par division Il n accueille plus de classes CHAM [15].
Vie de l'établissement
[modifier | modifier le code]La cité scolaire possède, comme tous les établissements publics, un Conseil des délégués pour la vie lycéenne (C.V.L.)[16], ainsi qu'un conseil de la vie collégienne (CVC)[17]. Dans ces deux instances, les membres élèves sont élus par l'ensemble des élèves. Le Vice-Président du CVL est élu par l'ensemble des délégués de classe, convoqués en assemblée au moins deux fois par an par le Proviseur. Lors de cette assemblée générale, les délégués élisent également les représentants des élèves au conseil d'administration du lycée parmi les membres du CVL. La présidence du CVL est assurée de droit par le Proviseur. Les actions notables du CVL sont l'organisation des "semaines de la solidarité", la mise en place du recyclage du papier ou encore que l'obtention de conditions d'hygiène décentes pour tous.
Il existe aussi au sein du lycée une Maison des lycéens (MDL), prenant la forme d'une association lycéenne. Celle-ci organise la plupart des événements de la vie du lycée : la semaine du Sidaction (qui présente un concert caritatif organisé par l'option musique et les classes TMD), le carnaval de "Saint-Ex"[18], le bal de fin d'année, ou encore la vente de viennoiseries pendant les récréations. La MDL s'occupe également du journal lycéen participatif Le Petit Prince[19].
D'une manière générale les lycéens sont engagés, et participent à des actions caritatives[réf. souhaitée] : la collecte de denrées pour la Banque alimentaire du Rhône, les dons pour la Croix-Rouge ou encore la présence d'antennes locales de l'ONG Amnesty International et Youth for Climate.
Les élèves participent régulièrement aux concours nationaux comme le Concours général des lycées, les Olympiades de mathématiques, les olympiades des géosciences, les olympiades de physique dont un des premiers prix a été remporté par une équipe du Lycée en 2017[20].
Depuis 2018, le lycée propose un gala de fin d'année nommé "All In Saint Ex" et organisé par les élèves participant au CVL et à la MDL.
Mouvements sociaux et agitation politique
[modifier | modifier le code]Les élèves du lycée Saint-Exupéry, se sont mobilisés et ont participé à de nombreux mouvements sociaux. Ils ont notamment organisé des blocus pour faire entendre leurs revendications.
- En mai 1977, le Président Valéry Giscard d'Estaing rend une visite à la classe de Terminale C. L'U.N.C.A.L. tente un coup médiatique pour la venue du Président, elle va organiser une conférence de presse contre le "bourrage de crâne" dont les élèves seraient la cible[21]. Alors que le lycée comptait 350 adhérents dans le lycée pour 1450 élèves, la classe de Terminale C ne contenait aucun adhérent. Le Monde et l'Humanité questionneront alors le fait qu'aucun élève de la classe n'était adhérent à l'U.N.C.A.L. [22].
- En 2016, ils se sont mobilisés contre la loi El Khomri, en bloquant leur établissement et en manifestant[23].
- En 2018, ils ont participé au mouvement social contre la réforme du bac.[24]
- Pendant la rentrée de 2020, jugeant le protocole sanitaire insuffisant et ne protégeant pas assez les élèves, les lycéens tenteront d'organiser un blocus. Ce blocus sera empêché par la police et le proviseur, 6 élèves seront arrêtés[25],[26].
- En 2023, pendant le mouvement social contre la réforme des retraites, le lycée sera bloqué à de nombreuses reprises. Les lycéens se mobiliseront aussi contre le SNU[27],[28],[29].
Anciens élèves
[modifier | modifier le code]- Benjamin Biolay a suivi les classes musicales du lycée dans les années 1990[30].
- Dominique Blanc de la Comédie-Française, était en première et en terminale au lycée en 1974-1975[31].
- Sylvie Testud, actrice, écrivaine et cinéaste, a étudié au lycée.
- Marie et les Garçons, groupe de rock, s’est formé au lycée[32] puisque tous ses membres y étaient étudiants[33],[34].
- Starshooter, groupe de rock à tendance punk, s’y est formé également[35]. Kent et son groupe ont notamment fait un concert pour la fête du lycée de 1975[36].
- Stéphane Degout, artiste lyrique, s'y est formé au théâtre de 1992 à 1995.
- Electric Callas, autre groupe de punk, a été créé au lycée[37] vers 1975.
- Coralie Brot, escrimeuse récompensée à plusieurs championnats, était au lycée vers 2010[38].
- Jean-Paul Montagnier, musicologue et universitaire, étudia au lycée en série scientifique (S) entre 1980 et 1983.
- Lison Pennec, comédienne et écrivain a fréquenté le lycée Saint-Exupéry avant de se former à l'ENSATT. Elle a depuis notamment joué dans Le Porteur d'histoire d'Alexis Michalik. Elle a aussi co-écrit avec Charlotte Melly la bande-dessinée Blanche la colérique (Marabout)[39].
- Olivier Rey, directeur de la salle de spectacle lyonnaise Le Lavoir public a étudié au lycée dans les années 1990[40].
- Romain Cassandre Versaevel, scénariste, ayant notamment réalisé le film Étincelles[41].
- Pomme, chanteuse française, a suivi les classes musicales du lycée[42].
Résultats
[modifier | modifier le code]Diplôme national du Brevet des collèges (DNB)
[modifier | modifier le code]Années | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 |
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Note moyenne aux épreuves écrites | 15,3 | 15,3 | 15,4 | |
Taux de réussite | 100 % | 100 % | 98,65 % | 100 % |
Taux de réussite avec mention | 92,1 % | 100 % | 98,6 % | 97,5 % |
Baccalauréat
[modifier | modifier le code]Années | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
ES | 89,38 % | 91,04 % | 93,48 % | 84,42 % | 92,86 % | 94 % | 87 % |
L | 87,32 % | 86,76 % | 94,81 % | 96,08 % | 94,64 % | 92 % | 81 % |
S | 89,83 % | 92,17 % | 91,07 % | 94,33% | 93,09 % | 97 % | 89 % |
TMD | NC | NC | NC | NC | 100 % | 100 % | 100 % |
Mentions | 48,48 % | 50 % | 56,66 % | 50,13 % | 58,07 % | * | 56 % |
Total GT | 89,2 % | 90,76 % | 92,69 % | 90,73 % | 93,23 % | 95 % | 87 % |
Classements
[modifier | modifier le code]En 1976, le lycée compte deux accessits au Concours général.
En 2018, une lycéenne de l'établissement obtient la meilleure note de l'Académie au baccalauréat avec 20,68 de moyenne [43].
Classement académique
[modifier | modifier le code]Le lycée est à la 33e place sur 90 lycées de l'académie de Lyon.
Classement départemental
[modifier | modifier le code]Le lycée Saint-Exupéry de Lyon est 18e sur 73 lycées dans le département du Rhône.
Classement tous lycées confondus | 18e / 73 |
Classement lycées publics | 8e / 21 |
Classement tous collèges confondus | 4e / 175 |
Classement collèges publics | 2e / 175 |
Classement national
[modifier | modifier le code]Le lycée Saint-Exupéry de Lyon est 781e sur 1801 en France.
Il arrive à la 69e place selon le classement des 100 meilleurs lycées de France selon le Parisien.
Accessibilité
[modifier | modifier le code]- Bus 2, S4 et C18 : arrêt Place Flammarion ;
- Métro C| : arrêt Hénon ;
- Bus 33 arrêt Hénon.
- Junior Direct (J.D.) : Arrêt Saint-Exupéry : JD 61 - JD 62 - JD 63 - JD 66
- Station Vélo'v : Place Flammarion
Références
[modifier | modifier le code]- « Photographes en Rhône-Alpes::Lycée Saint-Exupéry », sur numelyo.bm-lyon.fr (consulté le ).
- « Le progrès de Lyon : Lycée Saint-Exupéry, 52 ans de transformation », sur www.lepragres.fr, .
- JT de 20h. d'Antenne 2 du 7 juin 1977.
- « Photos : le lycée Saint-Exupéry de la Croix-Rousse fait peau neuve... », sur www.lyon.lyftv.com (consulté le ).
- Sauvons l'eau, « [Vidéo] Un lycée sous la pluie - Jardins de pluie au lycée Saint-Exupéry », (consulté le ).
- « Lyon : le lycée Saint-Exupéry en mode Cop21 », sur France 3 Rhône-Alpes, (consulté le ).
- « Souvenirs et moments festifs pour célébrer les 50 ans du lycée Saint-Exupéry », Le Progrès, .
- « Claire Batailler, nouveau Proviseur du Lycée Saint-Exupéry », sur leprogres.fr (consulté le ).
- « Académie de Lyon DAAC », sur www.ac-lyon.fr, .
- « Un nouveau baccalauréat en 2021 », sur Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse (consulté le )
- « Lycée Saint-Exupéry fiche Onisep ».
- « Enseignement du théâtre au lycée - TNP Villeurbanne Lyon », sur Théâtre National Populaire (consulté le ).
- « Lyon : Antoine-de-Saint-Exupéry (Lycée avec TMD) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur www.educationmusicale.fr (consulté le ).
- « ULIS de Lyon, Collège Antoine de Saint-Exupéry », sur annuaire.action-sociale.org (consulté le ).
- « College saint exupery branle bas de combat autour des classes musicales - société - Tribune de Lyon », sur www.tribunedelyon.fr (consulté le ).
- « Vie lycéenne Académie de Lyon ».
- « Cvc académie de Lyon ».
- « La parenthèse carnavalesque a animé jeudi, le lycée Saint-Exupéry », sur Le Progrès, (consulté le ).
- (en) « Security Check Required », sur www.facebook.com (consulté le ).
- « Trois lycéens de Saint-Exupéry lauréats des Olympiades de physique », sur Le Progrès, (consulté le ).
- (en) « Requiem pour un syndicalisme lycéen. L'U.N.C.A.L. à Lyon entre 1973 et 1979 on JSTOR », sur www.jstor.org (consulté le )
- « LE CHEF DE L'ÉTAT FERA FACE À VINGT-CINQ LYCÉENS », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Rue89Lyon, « A Lyon, 4ème manif contre la loi travail : une forte mobilisation et 20 interpellations », sur Rue89Lyon, (consulté le )
- Laurent Burlet, « Manif de lycéens à Lyon : "Qui voudra demain d'un bac de lycée de banlieue ? » », sur Rue89Lyon, (consulté le )
- « Rhône. Violences devant un lycée à Lyon : six adolescents présentés au parquet », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- Lyon Mag, « Lyon Mag », sur Lyon Mag, (consulté le )
- « Rhône. Réforme des retraites : revivez la journée de grève de ce 7 mars », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- « Rhône. A Lyon, une mobilisation en baisse et marquée par la violence: 15 interpellations », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- « Grève du 23 mars à Lyon: entre 22.000 et 55.000 manifestants, un record depuis le début de la mobilisation », sur BFMTV (consulté le )
- « Benjamin Biolay auteur-compositeur-interprète de chansons françaises », sur www.20minutes.fr (consulté le ).
- Fabienne Darge, « Dominique Blanc : « Ma plus grande terreur était que l’on m’appelle pour aller au tableau » », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- « New, cold, synth, minimale... la vague lyonnaise - L'influx », L'influx, (lire en ligne, consulté le ).
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- « Marie et les Garçons - Rock made in France », sur www.rockmadeinfrance.com (consulté le ).
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- Kent Cockenstock, « Les premiers pasInstantané, Kent Artiste chanteur, écrivain et illustrateur français », sur kent-artiste.com (consulté le ).
- « Srarshooter, Electric Callas et les autres... – Gonzo Music », sur gonzomusic.fr (consulté le ).
- Ville Lyon, « Rencontre avec Coralie Brot - Site Officiel de la Ville de Lyon », sur www.lyon.fr (consulté le ).
- « La petite Croix-Roussienne qui monte, qui monte ! », Le Progrès, .
- « Au Lavoir Public, Olivier Rey défend la culture sous toutes ses formes », Le Progrès, .
- (en) « Fiche IMDb de Romain Cassandre Versaevel » (consulté le ).
- « Musique. Pomme, fidèle à ses racines, prépare un deuxième album pour l’automne », sur www.lyonplus.com (consulté le )
- « Major du bac à Lyon : “J’espérais avoir la mention très bien mais je ne pensais pas aller jusque-là” », sur www.lyonmag.com, (consulté le ).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Paul Ariès, « Requiem pour un syndicalisme lycéen : L'U.N.C.A.L. à Lyon entre 1973 et 1979 », Le Mouvement social, no 168, 1994/3, p. 107-136.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Antoine de Saint-Exupéry
- Lycée Antoine-de-Saint-Exupéry (page des homonymes)
- Lycée en France
- Collège en France
- Affaire Jean-Marc Desperon