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Groupe Ensemble pour la République

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(Redirigé depuis Groupe Renaissance)

Groupe Ensemble pour la République (EPR)
Image illustrative de l’article Groupe Ensemble pour la République
Chambre Assemblée nationale
Législature(s) XVe, XVIe et XVIIe (Cinquième République)
Fondation
Ancien(s) nom(s) La République en marche (2017-2022)
Renaissance (2022-2024)
Partis membres Renaissance
En commun
Parti radical
Fédération progressiste
Horizons[réf. nécessaire]
Calédonie ensemble
Générations NC
Union des démocrates et indépendants diss.
Tapura Huiraatira
Président Gabriel Attal
Représentation
99  /  577
Positionnement Centre
(centre gauche à centre droit), voire extrême centre ou attrape-tout
Idéologie Social-libéralisme
Fédéralisme européen
Troisième voie
Europhilie

Le groupe Ensemble pour la République (abrégé en EPR) — dénommé entre 2022 et 2024 groupe Renaissance et de 2017 à 2022 groupe La République en marche[N 1] — est le groupe parlementaire de l'Assemblée nationale constitué autour du parti Renaissance.

Il est constitué à la suite des élections législatives de 2017, qui lui donnent la majorité absolue des sièges durant la XVe législature. Le groupe perd cette majorité le en raison de la constitution d'un nouveau groupe, Écologie démocratie solidarité et connaît la plus forte baisse d'effectif pour un groupe majoritaire sous la Ve République.

À la suite des élections législatives de 2022, il est le principal groupe sous la XVIe législature sans pour autant disposer de la majorité absolue, y compris avec ses alliés. Sous la XVIIe législature, le groupe devient l'une des trois composantes minoritaires de l'assemblée à la suite des élections législatives de 2024.

Activité législative

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Vote des lois

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Logo de 2017 à 2022

Les lois pour la confiance dans la vie politique sont les premiers textes adoptés, promulgués le . Celles-ci prévoient notamment la suppression de la réserve parlementaire, la prévention des conflits d’intérêt et un contrôle renforcé de l’indemnité représentative de frais de mandat.

Début 2018, à l’approche de la présentation du projet de loi asile-immigration par Gérard Collomb, une centaine de députés LREM s'oppose à une proposition de loi souhaitée par le gouvernement et portant sur les conditions du placement en centre de rétention des étrangers soumis au règlement européen sur l’asile[2]. Contexte relève que « c’est la première fois qu’un groupe de parlementaires LRM dépose des amendements contre l’avis du gouvernement et les défend en commission et dans l’hémicycle, exprimant ainsi publiquement un désaccord politique »[3]. Lors du vote final en première lecture du projet de loi asile et immigration, le député Jean-Michel Clément vote contre et quitte le groupe LREM[4]. Par ailleurs, 14 députés LREM s'abstiennent sur ce vote[5]. Mediapart ajoute que 99 députés LREM « n’ont pas participé au vote, dont une partie pour ne pas se prononcer sur un projet de loi qu’elles n’approuvaient pas »[5].

En , la députée Aina Kuric vote contre le projet de loi asile et immigration en deuxième lecture en raison de l'amendement ajouté qui modifie les conditions d'accès à la nationalité française à Mayotte[6],[7], ce qui lui vaut un avertissement[8].

En décembre 2018, en pleine crise des Gilets Jaune, le député Sébastien Nadot vote contre le budget qu'il juge muet sur les questions sociales et environnementales et est exclu du groupe LREM[9].

En , le groupe connaît un record d'abstention (50 députés de la majorité) lors du vote de la « loi anti-casseurs »[10]. Ce record est battu en avec le vote de ratification de l'Accord économique et commercial global, dit CETA : 52 députés LREM s'abstiennent, et neuf votent contre[11],[12]. Gilles Le Gendre assure cependant qu'il ne procédera pas à l'exclusion de ces neuf députés, indiquant : « L’exclusion est réservée à des cas précis prévus par [le] nouveau règlement intérieur. En l’occurrence, voter contre le budget, la confiance au gouvernement ou avoir une expression clairement identifiée comme contraire à la charte [du] groupe[13] ». En , le groupe connaît un nouveau record d'oppositions et d'abstentions à un texte : seulement 175 des 271 membres votent en faveur du texte prévoyant la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes pour la filière betteraves ; 32 votent contre et 36 s'abstiennent[14].

Exceptionnellement, les députés LREM se voient accorder la liberté de vote sur le projet de loi bioéthique[15]. Lors du vote en deuxième lecture, où la plupart des groupes avait accordé la liberté de vote à ses députés[16], le groupe LREM avait selon le site Datan un taux de cohésion[17] de 0,73[18], un taux particulièrement faible (45 députés LREM ont voté pour, 7 contre et 3 se sont abstenus).

Volume d'activité

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Après six mois de législature, un classement établi par Capital situe La République en marche ! comme le parti dont les députés sont les moins actifs en moyenne[19]. Les députés du groupe contestent la méthodologie de ce classement, qui serait structurellement plus favorable aux groupes d'opposition selon eux[20].

Après un an de législature, Contexte, s'appuyant sur sa comparaison « des données de l’Assemblée sur l’activité parlementaire entre la première année des députés marcheurs (juin 2017-juin 2018) et celle des élus socialistes de l’ère Hollande (juin 2012-juin 2013) », estime que « l’arrivée massive des nouveaux députés macroniens à l’Assemblée en juin 2017 a juste entraîné une accélération du rythme de travail, pas une révolution des pratiques »[21]. À la même période, Les Jours indique que la moyenne du taux de présence aux votes de l'Assemblée du groupe LREM est de 26 % ; il est le groupe le plus présent après celui de La France insoumise[22]. Les députés sortants sont, en moyenne, beaucoup plus absents que ceux élus pour la première fois en 2017[22].

Amendements

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Au début de la législature, les membres du groupe REM ont interdiction, selon l'article 16 de leur règlement, de signer des amendements proposés par d'autres groupes, y compris alliés, sous peine de sanctions[23],[24]. Cette interdiction avait été mise en place par Bruno Le Roux au sein du groupe socialiste, en 2012[24]. Tous les amendements du groupe doivent être soumis à des « réunions de balayage » dirigées par le coordinateur du groupe sur le texte, les députés ne déposant leur amendement que s’il est validé[25] : ce dispositif a lui aussi été copié sur celui du groupe socialiste de la précédente législature[26]. Contexte indique en que « depuis le début de la législature, aucun responsable de texte n’a été mis sérieusement en difficulté par la pression des députés de base » lors de ces réunions de balayage[26].

Le groupe s'affranchit parfois de l'avis du gouvernement sur ses amendements : Mediapart relève ainsi que « dans un bras de fer au sujet du budget du Centre national pour le développement du sport (CNDS), les députés avaient réussi à faire plier l’exécutif » ; de même, ils parviennent, en , « contre l’avis du gouvernement, à faire interdire la rémunération des assistants parlementaires par les lobbies »[27]. En , en comparaison avec la première année du groupe PS en 2012-2013, Contexte observe que « le nombre d’amendements déposés et adoptés est aussi en hausse, notamment de la part de la majorité. Sur les 11 premiers mois d’activité, la majorité LRM-Modem a déposé 9 582 amendements, contre 4 403 pour la période 2012-2013, selon notre analyse »[21].

Selon Contexte qui cite « plusieurs observateurs », le classement de Capital de « a fait basculer les pratiques. Cet article répertoriait le nombre d’amendements déposés et de prises de parole en séance et en commission. Pour avoir respecté les règles de fonctionnement du groupe, de nombreux députés de la majorité se sont retrouvés mal évalués et critiqués sur le terrain par leurs électeurs. La réaction a été immédiate. Les élus LRM ont commencé à déposer des amendements de manière individuelle, au point d’amener le groupe à réfléchir, en juin, à revoir son dispositif, désormais dépassé »[21].

Le dépôt d'amendements individuels par des députés du groupe LREM augmente dans les semaines qui suivent l'adoption de la loi asile-immigration, au point que Richard Ferrand confie à deux de ses proches, les députés Gilles Le Gendre et Pacôme Rupin, la mission de réfléchir à la façon d’en réduire le nombre[28].

En , après que Marc Fesneau, candidat du groupe MoDem à la présidence de l'Assemblée, a recueilli les voix de certains députés du groupe LREM au détriment de Richard Ferrand, Christophe Castaner, délégué général du parti et ministre des Relations avec le Parlement, accepte que les députés MoDem puissent cosigner des amendements de députés LREM[29]. En , dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de budget pour 2019, l'Assemblée nationale adopte de justesse (par 22 voix contre 20) un amendement du groupe MoDem excluant l'huile de palme de la liste des biocarburants, contre l'avis du gouvernement et du rapporteur général : le groupe MoDem obtient en effet le soutien de tous les groupes d'opposition ainsi que 5 LREM, le groupe UDI, Agir et indépendants étant partagé[30].

En , dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), 34 députés LREM menés par Jean-François Cesarini défendent un amendement visant à rendre plus progressive la hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) : celui-ci est adopté en commission des Affaires sociales grâce au renfort de députés de l’opposition et de certains MoDem, contre l’avis du groupe LREM et du rapporteur général du PLFSS, Olivier Véran, ce qui occasionne « un remontage des bretelles » de la part de Gilles Le Gendre, président du groupe LREM. Pour Libération, cet amendement vient « torpiller les efforts déployés par le gouvernement pour tenter de refermer une bonne fois pour toutes l’épineux dossier CSG » alors que « cette mesure, en vigueur depuis le 1er janvier 2018, est emblématique du début du quinquennat »[31].

Relations au sein du groupe

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La presse fait état durant l'été 2017 d'une cohabitation difficile entre les 27 députés réélus et ceux élus pour la première fois, les premiers regrettant que les seconds ne cherchent pas à s'appuyer sur leur expérience[32]. Des députés d'autres formations jugent le groupe majoritaire « apathique » et peu enclin à débattre des amendements[33].

Dès , la gestion du président Richard Ferrand est contestée et ses inflexions pour préserver la réserve parlementaire ou remettre en cause le projet d'obliger les candidats à une élection à avoir un casier judiciaire vierge mal comprises[34].

À partir de l'été 2018, la presse observe une dégradation des relations au sein du groupe LREM, visible à travers des amendements votés contre l’avis du gouvernement, des tentatives d’infléchir la ligne à gauche ou vers plus d’écologie, des rivalités internes plus fortes pour les postes à responsabilités, ou encore une démobilisation croissante lors de la réunion hebdomadaire du groupe ou aux séances de questions d’actualité[35],[36]. Le Huffington Post indique que « s'ils ont pu remettre en cause la gestion de l'affaire Benalla par l'Élysée ou si certains ont émis des doutes sur la manière avec laquelle le dossier Aquarius a été géré, aucun parlementaire LREM ne critique frontalement Emmanuel Macron », contrairement aux députés frondeurs de la précédente législature qui étaient « très structurés avec des leaders et un courant qui pesait au sein du parti »[35]. Contexte indique que « contrairement au groupe PS entre 2012 et 2017, les marcheurs ne sont pas structurés en courants politiques. Les coalitions se montent de manière informelle, au gré des textes, mais également des rencontres dans les couloirs ou des affinités préexistantes »[26].

Fin 2017, un groupe d'une trentaine de députés se forme autour de Brigitte Bourguignon : celui-ci revendique une « fibre sociale » et apparaît comme l'aile gauche du groupe parlementaire[37]. Sonia Krimi prend la tête de ce groupe à l'automne 2018[38]. En , un « Collectif social-démocrate », composé d'une vingtaine de députés, se crée au sein du groupe avec pour objectif d'en réunir l'aile gauche[39],[40].

En , des députés du groupe LREM tentent de créer derrière François-Michel Lambert et Paul Molac un nouveau groupe parlementaire, plus impliqué sur les questions de changement climatique[41]. Cette démarche aboutit à la création du groupe Libertés et territoires à la rentrée.

En , une vingtaine de députés LREM élus en milieu rural créent, à l'initiative de Benoît Simian, le « Cercle girondin LREM » : celui-ci vise à répondre à la critique du « manque d’ancrage local de la majorité »[42].

En , un groupe de députés LREM fait part publiquement, sur Twitter, de son profond désaccord à l'égard de la proposition de Jean-Michel Blanquer d'instaurer des sanctions financières contre les familles d’adolescents à problèmes : selon Mediapart, « c’est la première fois que, dans le même temps, un tel collectif informel de parlementaires prend la parole de manière concomitante sur les réseaux sociaux »[43].

Plusieurs membres et anciens membres du groupe majoritaire fondent en un groupe parlementaire dissident, Écologie, démocratie et solidarité. Ils sont menés par Matthieu Orphelin et Paula Forteza[44].

Au sein du groupe se crée en 2020 le mouvement « En Commun ! », d'abord constitué comme association puis comme parti politique, tout en restant membre de la majorité. Situé sur l'aile gauche de la majorité, à connotation écologique et sociale, il compte en environ 500 adhérents payants, dont une cinquantaine de parlementaires. Il est présidé par Philippe Hardouin, un dirigeant d'entreprise, et compte trois vice-présidents : Barbara Pompili, Hugues Renson et Jacques Maire[45].

Élections internes

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En , à mi-mandat, quelque 90 députés de la majorité présidentielle sont candidats aux 22 postes remis en jeu au sein du groupe[46]. La plupart des sortants aux postes importants sont réélus, le renouvellement intervenant sur des fonctions de second rang : les sept postes de secrétaire siégeant au bureau de l'Assemblée changent de titulaire[47],[48].

Composition

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Après avoir compté 314 députés au début de la législature, le groupe LREM en compte 268 en , (266 membres et 2 apparentés)[49],[50],[51]. Il s'agit d'une baisse record pour un groupe majoritaire sous la Ve République[49]. Le groupe perd la majorité absolue en [49].

Parmi les candidats présentés aux élections législatives 2017, 52 % appartenaient à la société civile et n'avaient jamais exercé de mandat électif[52].

Ces élections législatives vont avoir pour principal écho : le renouvellement significatif de l'Assemblée et de ses 577 membres. Avec 308 élus, La République en marche revendique deux tiers des nouveaux députés, soit 281 sur 424 novices[53]. Selon Le Parisien, au début de la législature, 169 députés LREM n'ont jamais exercé le moindre mandat (et 98 d'entre eux n'ont aucune couleur politique connue) ; la gauche (PS, PRG, écologistes, DVG) est de loin la plus représentée des tendances avec 126 députés, dont 83 ont été élus ou ont eu une activité partisane sous la bannière socialiste ; enfin, 48 élus viennent de la droite (UDI, LR, DVD) et 17 des centristes[54]. 77 députés LREM sont des anciens élus et/ou militants socialistes[55]. Le groupe est composé à 10 % de chefs d’entreprise et à 21 % de cadres du privé[56].

Le premier secrétaire général du groupe LREM, Jérôme Taillé-Rousseau, était auparavant secrétaire général-adjoint du groupe socialiste à l'Assemblée[24]. Après l'élection de Gilles Le Gendre à la présidence en , il est remplacé par Pierre Herrero, ex-directeur de cabinet à l’École polytechnique[58].

Effectifs et dénomination

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Législature Année Nom Nombre
de membres
Nombre
d’apparentés
Nombre
de députés
Évolution Pourcentage
XVe 2017 La République en marche 309 5 314 Nv. 54,42 %
2022 (fév.) 263 4 267 en diminution 47 46,27 %
XVIe 2022 (juin) Renaissance 168 4 172 en diminution 95 29,81 %
XVIIe 2024 Ensemble pour la République[59] 87 12 99 en diminution 73 17,25 %

Organisation

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Présidents

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Liste des présidents successifs

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Portrait Nom Dates du mandat Notes
Richard Ferrand Député du Finistère, il est élu en 2017 et devient le premier président du groupe LREM à l'Assemblée national. Il quitte cette fonction en 2018 lorsqu'il est élu Président de l'Assemblée nationale.
Gilles Le Gendre Député de Paris, il est élu président en 2018 puis réélu en 2019. Il quitte cette fonction en 2020.
Christophe Castaner Député des Alpes-de-Haute-Provence, il est élu président en 2020. Il perd son mandat de député lors de l'élection législative de 2022.
Aurore Bergé Députée des Yvelines, elle est élue présidente du groupe désormais nommé Renaissance en 2022. Elle quitte cette fonction à la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et des Familles.
Sylvain Maillard 9 juin 2024 Député de Paris, il est élu président du groupe Renaissance en 2023.
Gabriel Attal 18 juillet 2024 En cours Député des Hauts-de-Seine, il est élu président du groupe Ensemble pour la République en 2024.

Élection du président du

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Candidat Premier tour
Voix %
Gilles Le Gendre 161 54,58
Florent Boudié 76 25,76
Olga Givernet 28 9,49
Perrine Goulet 17 5,76
Christophe Jerretie 12 4,07
Stéphanie Do 1 0,34

Élection du président des 9 et

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Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Christophe Castaner 97 35,06 145 54,72
Aurore Bergé 81 30,11 120 45,28
François de Rugy 59 21,93
Coralie Dubost 26 9,67
Patrice Anato 6 2,23

Élection du président du

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Candidat Premier tour
Voix %
Aurore Bergé 88 57,52
Guillaume Vuilletet 29 18,95
Rémy Rebeyrotte 25 16,34
Stella Dupont 11 7,19

Élection du président du

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Candidat Premier tour
Voix %
Sylvain Maillard 132 80,00
Frédéric Descrozaille 33 20,00

Présidentes déléguées

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Période Identité Parti Qualité
22 juin 2022 Aurore Bergé LREM Présidente du groupe LREM (depuis 2022)
Coralie Dubost LREM

Vice-présidents

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Période Identité Parti Qualité
Amélie de Montchalin LREM Députée de la 6e circonscription de l'Essonne (2017-2019)
22 juin 2022 Marie Lebec Députée de la 4e circonscription des Yvelines (depuis 2017)
Benjamin Dirx Député de la 1re circonscription de Saône-et-Loire (depuis 2017)
Sophie Beaudouin-Hubière Députée de la 1re circonscription de la Haute-Vienne (2017-2022)
Guillaume Vuilletet Député de la 2e circonscription du Val-d'Oise (depuis 2017)
26 juillet 2023 Sylvain Maillard LREM puis RE Député de la 1re circonscription de Paris (depuis 2017)
12 septembre 2023 Emmanuel Lacresse Député de la 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle (depuis 2022)
Christine Cloarec-Le Nabour Députée de la 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine (depuis 2017)
9 juin 2024 Florent Boudié Député de la 10e circonscription de la Gironde (depuis 2012)
Marc Ferracci Député de la 6e circonscription des Français établis hors de France (depuis 2022)
Anne Genetet Députée de la 11e circonscription des Français établis hors de France (depuis 2017)
13 septembre 2023 Caroline Abadie Députée de la 8e circonscription d'Ille-et-Vilaine (depuis 2017)
David Amiel Député de la 13e circonscription de Paris (depuis 2022)
Nadia Hai Députée de la 7e circonscription des Yvelines (depuis 2017)
11 février 2024 Marie Lebec Députée de la 4e circonscription des Yvelines (depuis 2017)

Secrétaires

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Période Identité Parti Qualité
13 septembre 2023 9 juin 2024 Émilie Chandler LREM puis RE Députée de la 1re circonscription du Val-d'Oise (depuis 2022)
Laurence Cristol Députée de la 3e circonscription de l'Hérault (depuis 2022)
Frédéric Descrozaille Député de la 1re circonscription du Val-de-Marne (depuis 2017)
Emmanuel Lacresse Député de la 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle (depuis 2022)
Christine Le Nabour Députée de la 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine (depuis 2017)

Trésoriers

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Période Identité Parti Qualité
Pacôme Rupin LREM Député de la 7e circonscription de Paris (2017-2022)
Stéphanie Do Députée de la 10e circonscription de Seine-et-Marne (2017-2022)
Stella Dupont LREM puis EC Députée de la 2e circonscription de Maine-et-Loire (depuis 2017)
9 juin 2024 Béatrice Piron LREM puis RE Députée de la 3e circonscription des Yvelines (depuis 2017)
Xavier Roseren Député de la 6e circonscription de la Haute-Savoie (depuis 2017)

Secrétaires généraux

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  • 2017-2018 : Jérôme Taillé-Rousseau
  • 2018-2020 : Pierre Herrero
  • 2020-2022 : Fanny Le Luel
  • 2022-2024 : Deborah Abisror-de Lieme

Porte-paroles

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Période Identité Parti Qualité
5 juillet 2022 20 juillet 2023 Sabrina Agresti-Roubache RE Députée de la 1re circonscription des Bouches-du-Rhône (2022-2023)
Prisca Thevenot Députée de la 8e circonscription des Hauts-de-Seine (2022-2023)
12 septembre 2023 Éric Poulliat Député de la 6e circonscription de la Gironde (depuis 2017)
Charles Sitzenstuhl Député de la 5e circonscription du Bas-Rhin (depuis 2022)
9 juin 2024 Maud Bregeon Députée de la 13e circonscription des Hauts-de-Seine (depuis 2022)
Benjamin Haddad Député de la 14e circonscription de Paris (depuis 2022)
Violette Spillebout Députée de la 9e circonscription du Nord (depuis 2022)
13 septembre 2023 Antoine Armand Député de la 2e circonscription de la Haute-Savoie (depuis 2022)
Fanta Berete Députée de la 12e circonscription de Paris (depuis 2022)
Céline Calvez Députée de la 5e circonscription des Hauts-de-Seine (depuis 2017)
Pierre Cazeneuve Député de la 7e circonscription des Hauts-de-Seine (depuis 2022)
Olga Givernet Députée de la 3e circonscription de l'Ain (depuis 2017)
Alexis Izard Député de la 3e circonscription de l'Essonne (depuis 2022)
Ludovic Mendes Député de la 2e circonscription de la Moselle (depuis 2017)
Benoit Mournet Député de la 2e circonscription des Hautes-Pyrénées (depuis 2022)
Charles Rodwell Député de la 1re circonscription des Yvelines (depuis 2022)
Christopher Weissberg Député de la 1re circonscription des Français établis hors de France (depuis 2022)

Sous la XVIIe législature

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Liste des membres
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Parti Nom Circonscription
RE N/A N/A

Sous la XVIe législature

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Liste des membres
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Liste des apparentés
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Nuance Nom Circonscription
EC Mireille Clapot 1re circonscription de la Drôme
Stella Dupont 2e circonscription de Maine-et-Loire
Ingrid Dordain 2e circonscription de la Somme
Cécile Rilhac 3e circonscription du Val-d'Oise
PRV Bastien Marchive 1re circonscription des Deux-Sèvres
David Valence 2e circonscription des Vosges
DVD Damien Abad 5e circonscription de l'Ain
RE Olivier Becht 5e circonscription du Haut-Rhin
FP Benoît Bordat 2e circonscription de la Côte-d'Or
DVC Stéphane Vojetta 5e circonscription des Français établis hors de France
Représentation partisane
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Parti Nombre
Renaissance 153
En commun 4
Parti radical 3
Fédération progressiste 2
Horizons 2
Calédonie ensemble 1
Générations NC 1
Union des démocrates et indépendants 1
Divers droite 1
Divers centre 1
Total 169

Sous la XVe législature

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Liste des membres
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Liste des apparentés
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Nuance Nom Circonscription
TdP Francis Chouat 1re circonscription de l'Essonne
LREM Fiona Lazaar 5e circonscription du Val-d'Oise
DVC Florence Morlighem 11e circonscription du Nord
DVD Éric Woerth 4e circonscription de l'Oise

Notes

Représentation partisane
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Parti Nombre
Membres La République en marche 167
Territoires de progrès 49
En commun 10
Parti radical 7
Horizons 5
Alliance centriste 4
Divers centre 4
Parti écologiste 2
Guadeloupe unie, solidaire et responsable 1
Cap sur l'avenir 1
Divers gauche 1
Sous-total 251
Apparentés La République en marche 1
Territoires de progrès 1
Divers centre 1
Divers droite 1
Sous-total 4
Total 255
Membres du gouvernement retournés à l'Assemblée nationale
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# Nom Circonscription Fonction(s) gouvernementale(s) Date d'entrée au gouvernement Date de retour Durée au gouvernement Source
1 Stéphane Travert 3e circonscription de la Manche Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation 1 an, 4 mois et 26 jours
2 Benjamin Griveaux 5e circonscription de Paris 1 an, 10 mois et 7 jours
3 Mounir Mahjoubi 16e circonscription de Paris Secrétaire d'État chargé du Numérique 1 an, 11 mois et 11 jours
4 François de Rugy 1re circonscription de la Loire-Atlantique Ministre de la Transition écologique et solidaire 11 mois et 13 jours
5 Christophe Castaner 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence 3 ans, 2 mois et 18 jours [63]
6 Christelle Dubos 12e circonscription de la Gironde Secrétaire d'État auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé 1 an, 9 mois et 19 jours [63]
7 Brune Poirson 3e circonscription de Vaucluse Secrétaire d'État auprès du Ministre de la Transition écologique et solidaire 3 ans, 1 mois et 14 jours [63]
Anciens membres
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Membres du gouvernement
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# Nom Circonscription Fonction(s) gouvernementale(s) Date entrée

gouvernement

Durée Remarque Source
1 Annick Girardin Circonscription législative de Saint-Pierre-et-Miquelon 7 ans, 3 mois et 7 jours Apparentée au groupe LREM
2 Bruno Le Maire 1re circonscription de l'Eure Ministre de l'Économie et des Finances 7 ans, 3 mois et 7 jours
3 Gabriel Attal 10e circonscription des Hauts-de-Seine 5 ans, 10 mois et 8 jours
4 Amélie de Montchalin 6e circonscription de l'Essonne 5 ans, 4 mois et 24 jours
5 Jean-Baptiste Djebbari 2e circonscription de la Haute-Vienne Ministre délégué chargé des Transports 4 ans, 11 mois et 21 jours
6 Olivier Véran 1re circonscription de l'Isère Ministre des Solidarités et de la Santé 4 ans, 6 mois et 8 jours
7 Brigitte Bourguignon 6e circonscription du Pas-de-Calais Ministre déléguée auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, chargée de l'Autonomie 4 ans, 1 mois et 18 jours
8 Nadia Hai 11e circonscription des Yvelines Ministre déléguée chargée de la Ville 4 ans, 1 mois et 18 jours A démissionné pour que son suppléant ne soit pas député [64]
9 Barbara Pompili 2e circonscription de la Somme Ministre de la Transition écologique 4 ans, 1 mois et 18 jours
10 Bérangère Abba 1re circonscription de la Haute-Marne Secrétaire d'État auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée de la Biodiversité 4 ans et 29 jours
11 Joël Giraud 2e circonscription des Hautes-Alpes Secrétaire d'État chargé de la Ruralité 4 ans et 29 jours
12 Olivia Grégoire 12e circonscription de Paris Secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale, solidaire et responsable 4 ans et 29 jours
# Nom Circonscription Date de départ Raison du départ Nouveau groupe
au 24 août 2024
Source
Décès Non réélu(e)
élection partielle
Démission poste Cumul des mandats Retour ministre
remplacé
Exclusion groupe Démission groupe Exclusion parti Démission parti
1 M'jid El Guerrab 9e circonscription des Français établis hors de France X X Agir ensemble
2 Isabelle Muller-Quoy 1re circonscription du Val-d'Oise X NC NC NC
3 Jean-Michel Clément 3e circonscription de la Vienne X X Libertés et Territoires
4 Frédérique Dumas 13e circonscription des Hauts-de-Seine X X
5 Manuel Valls 1re circonscription de l'Essonne X NC NC NC
6 François-Michel Lambert 10e circonscription des Bouches-du-Rhône X NC
(Autre parti)
NC
(Autre parti)
Libertés et Territoires
7 Paul Molac 4e circonscription du Morbihan X X
8 Grégory Galbadon 3e circonscription de la Manche X NC NC NC
9 Sébastien Nadot 10e circonscription de la Haute-Garonne X X Libertés et Territoires
10 Joachim Son-Forget 6e circonscription des Français établis hors de France X X Non-Inscrits
11 Matthieu Orphelin 1re circonscription de Maine-et-Loire X X
12 Élise Fajgeles 5e circonscription de Paris X NC NC NC
13 Delphine O 6e circonscription de Paris X NC NC NC
14 Sandrine Josso 7e circonscription de la Loire-Atlantique X X MoDem
15 Agnès Thill 2e circonscription de l'Oise X X UDI
16 Mounir Belhamiti 1re circonscription de la Loire-Atlantique X NC NC NC
17 Jennifer de Temmerman 15e circonscription du Nord X X Libertés et Territoires [65]
18 Sabine Thillaye 5e circonscription d'Indre-et-Loire X MoDem [66]
19 Paula Forteza 2e circonscription des Français établis hors de France X X Non-Inscrits [67],[65]
20 Frédérique Tuffnell 2e circonscription de la Charente-Maritime X X MoDem [68],[65]
21 François André 3e circonscription d'Ille-et-Vilaine X NC NC NC
22 Delphine Bagarry 1re circonscription des Alpes-de-Haute-Provence X X Non-Inscrits [69]
23 Albane Gaillot 11e circonscription du Val-de-Marne X X [70]
24 Jean-François Cesarini 1re circonscription de Vaucluse X NC NC NC
25 Martine Wonner 4e circonscription du Bas-Rhin X X Non-Inscrits [71]
26 Olivier Gaillard 5e circonscription du Gard X X NC [72]
27 Émilie Cariou 2e circonscription de la Meuse X X Non-inscrits [73]
28 Annie Chapelier 4e circonscription du Gard X X Agir ensemble [73]
29 Guillaume Chiche 1re circonscription des Deux-Sèvres X Non-inscrits [73]
30 Yolaine de Courson 4e circonscription de la Côte-d'Or X MoDem [73]
31 Hubert Julien-Laferrière 2e circonscription du Rhône X X Non-inscrits [73]
32 Aurélien Taché 10e circonscription du Val-d'Oise X X [73]
33 Cédric Villani 5e circonscription de l'Essonne X X [73],[74]
34 Christophe Euzet 7e circonscription de l'Hérault X Agir ensemble [75]
35 Thomas Gassilloud 10e circonscription du Rhône X [75]
36 Dimitri Houbron 17e circonscription du Nord X [75]
37 Philippe Huppé 5e circonscription de l'Hérault X NC
(Autre parti)
NC
(Autre parti)
[75]
38 Aina Kuric 2e circonscription de la Marne X X [75]
39 Jean-Charles Larsonneur 2e circonscription du Finistère X [75]
40 Valérie Petit 9e circonscription du Nord X X [75]
41 Emmanuelle Fontaine-Domeizel 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence X NC NC NC
42 Pascal Lavergne 12e circonscription de la Gironde X NC NC NC
43 Christophe Jerretie 1re circonscription de la Corrèze X MoDem [76],[77]
44 Michèle Crouzet 3e circonscription de l'Yonne X X [78]
45 Christophe Blanchet 4e circonscription du Calvados X NC
(Autre parti)
NC
(Autre parti)
[79]
46 Perrine Goulet 1re circonscription de la Nièvre X [80]
47 Blandine Brocard 5e circonscription du Rhône X [80]
48 Pascale Fontenel-Personne 3e circonscription de la Sarthe X [81]
49 Benoît Potterie 8e circonscription du Pas-de-Calais X Agir ensemble
50 Benoît Simian 5e circonscription de la Gironde X Libertés et territoires
51 Philippe Folliot 1re circonscription du Tarn X NC NC NC
52 Loïc Kervran 3e circonscription du Cher X X Agir ensemble
53 Brune Poirson 3e circonscription du Vaucluse X NC NC NC [82]
54 Benjamin Griveaux 5e circonscription de Paris X NC NC NC [83]
55 Alexandra Louis 3e circonscription des Bouches-du-Rhône X X Agir ensemble
56 Mustapha Laabid 1re circonscription d'Ille-et-Vilaine X NC NC NC
57 Samantha Cazebonne 5e circonscription des Français établis hors de France X NC NC NC
58 Stéphanie Kerbarh 9e circonscription de la Seine-Maritime X X Libertés et Territoires
59 Frédérique Lardet 2e circonscription de la Haute-Savoie X NC NC NC [84]
Total 2 1 5 2 7 4 39 4 23
Membres du bureau de l’Assemblée nationale
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Le président de l'Assemblée nationale a été élu le et il est issu du groupe :

Présidents de commission
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Depuis le , au début de la XVe législature, six des huit commissions de l’Assemblée nationale sont présidées par un membre du groupe[85] :

Identité visuelle

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Notes et références

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  1. Souvent abrégé en LREM (Le Figaro, Libération), REM, LRM (Le Monde) ou LaREM[1].

Références

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Lien externe

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