La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore l... more La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore les causes et facteurs de la problématique, définit le terme de logement décent et ce que signifie le « droit à la ville ». On s’y intéresse particulièrement aux personnes en situation de grande précarité afin de déterminer le plus grand facteur d’inclusive. L’auteur souligne les carences des solutions institutionnelles menant au développement d’alternatives sur le terrain par des associations citoyennes. La problématique du logement est mis en connexion avec celle du parc immobilier vacant à Bruxelles: Effectivement 2013 ce sont entre 15000 et 30000 logements privés, 2275 logements sociaux et plus de 1000000 m2 de bureaux qui sont inoccupés. Et pourtant plus de 2600 personnes sans-abris et mal logés. Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire. La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ». Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 » se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet...
La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore l... more La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore les causes et facteurs de la problématique, définit le terme de logement décent et ce que signifie le « droit à la ville ». On s’y intéresse particulièrement aux personnes en situation de grande précarité afin de déterminer le plus grand facteur d’inclusive. L’auteur souligne les carences des solutions institutionnelles menant au développement d’alternatives sur le terrain par des associations citoyennes. La problématique du logement est mis en connexion avec celle du parc immobilier vacant à Bruxelles: Effectivement 2013 ce sont entre 15000 et 30000 logements privés, 2275 logements sociaux et plus de 1000000 m² de bureaux qui sont inoccupés. Et pourtant plus de 2600 personnes sans-abris et mal logés. Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire. La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ». Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 » se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet…
La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore l... more La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore les causes et facteurs de la problématique, définit le terme de logement décent et ce que signifie le « droit à la ville ». On s’y intéresse particulièrement aux personnes en situation de grande précarité afin de déterminer le plus grand facteur d’inclusive. L’auteur souligne les carences des solutions institutionnelles menant au développement d’alternatives sur le terrain par des associations citoyennes. La problématique du logement est mis en connexion avec celle du parc immobilier vacant à Bruxelles: Effectivement 2013 ce sont entre 15000 et 30000 logements privés, 2275 logements sociaux et plus de 1000000 m2 de bureaux qui sont inoccupés. Et pourtant plus de 2600 personnes sans-abris et mal logés. Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire. La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ». Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 » se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet...
La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore l... more La première partie de ce travail s’interroge sur la crise du logement à Bruxelles. On y explore les causes et facteurs de la problématique, définit le terme de logement décent et ce que signifie le « droit à la ville ». On s’y intéresse particulièrement aux personnes en situation de grande précarité afin de déterminer le plus grand facteur d’inclusive. L’auteur souligne les carences des solutions institutionnelles menant au développement d’alternatives sur le terrain par des associations citoyennes. La problématique du logement est mis en connexion avec celle du parc immobilier vacant à Bruxelles: Effectivement 2013 ce sont entre 15000 et 30000 logements privés, 2275 logements sociaux et plus de 1000000 m² de bureaux qui sont inoccupés. Et pourtant plus de 2600 personnes sans-abris et mal logés. Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire. La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ». Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 » se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet…
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et facteurs de la problématique, définit le terme de logement décent et ce que signifie le « droit à la ville
». On s’y intéresse particulièrement aux personnes en situation de grande précarité afin de déterminer le
plus grand facteur d’inclusive. L’auteur souligne les carences des solutions institutionnelles menant au
développement d’alternatives sur le terrain par des associations citoyennes. La problématique du
logement est mis en connexion avec celle du parc immobilier vacant à Bruxelles: Effectivement 2013 ce
sont entre 15000 et 30000 logements privés, 2275 logements sociaux et plus de 1000000 m2 de bureaux
qui sont inoccupés. Et pourtant plus de 2600 personnes sans-abris et mal logés.
Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à
partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le
développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire.
La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ».
Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en
son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec
le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a
mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 »
se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des
habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche
organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui
existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants
peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à
savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet...
Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire.
La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ».
Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 » se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet…
et facteurs de la problématique, définit le terme de logement décent et ce que signifie le « droit à la ville
». On s’y intéresse particulièrement aux personnes en situation de grande précarité afin de déterminer le
plus grand facteur d’inclusive. L’auteur souligne les carences des solutions institutionnelles menant au
développement d’alternatives sur le terrain par des associations citoyennes. La problématique du
logement est mis en connexion avec celle du parc immobilier vacant à Bruxelles: Effectivement 2013 ce
sont entre 15000 et 30000 logements privés, 2275 logements sociaux et plus de 1000000 m2 de bureaux
qui sont inoccupés. Et pourtant plus de 2600 personnes sans-abris et mal logés.
Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à
partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le
développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire.
La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ».
Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en
son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec
le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a
mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 »
se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des
habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche
organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui
existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants
peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à
savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet...
Ces conditions favorisent un accroissement du phénomène du squat. Aussi l’auteur pose l’hypothèse qu’à partir de ce contexte un élément de réponse possible émerge: la convention d’occupation temporaire et le développement au sein de celui-ci d’un logement collectif solidaire.
La seconde partie consiste en une étude de cas : Le « 123 rue royale ».
Cet ancien Squat situé dans un immeuble de bureaux de la communauté française est le premier projet en son genre en Belgique. Les habitants, qui signent en 2007 une convention d’occupation temporaire avec le propriétaire, portent un projet de logement solidaire alternatif en autogestion. Celui-ci allie logements a mixité socio-économique, ateliers urbains et projets de récupération. Tous les projets au sein du « 123 » se basent sur les mêmes principes : L’autogestion la solidarité, la participation et le prix libre. Ainsi des habitants récupèrent chaque jour les invendus de divers magasins pour leurs repas et le dimanche organisent une table d’hôte. On peut aussi y réparer son vélo à partir de pièces récupérées. Ce projet qui existe depuis 9 ans au moment d’écrire ces lignes reste néanmoins dans la précarité, car les habitants peuvent se voir expulsés du bâtiment, une fois un acquéreur trouvé, dans un délai de 6 mois. Quant à savoir qui, du bâtiment ou des habitants porte réellement le projet…