CONCORDE, 2018, N 1
FILMS SUR ATTILA
Prof. Grigori Tomski
Académie internationale CONCORDE
g.tomski@gmail.com
L'article contient une analyse des principaux longs métrages sur Attila, créés par des
cinéastes européens et américains. On montre montré qu'il n'y a aucun besoin de déformer la
réalité historique comme les auteurs de ces des films pour créer de futurs films fascinants sur
ce grand figure historique.
Mots-clés: Critique des films sur Attila, Fritz Lang, Die Nibelungen, Signe du païen
Attila, le fléau de Dieu, La vengeance de Kremhild.
À la fin de l’année 2000, pendant une exposition de l'Art du JIPTO, un homme sérieux
s'est arrêté pensif devant une composition inspirée des images des rochers de la Léna avec des
cavaliers des steppes avec des bannières. J'ai rencontré ainsi Jean-Claude Baudot qui a créé,
peu de temps avant cette visite avec sa femme l'actrice Cora Delbos, l'association
cinématographique Chance Production. Il m'a dit que le thème de l'histoire des peuples des
steppes est très intéressante pour le cinéma mondial, mais il n'y a encore aucun film digne
d'attention sur Attila, la personnalité historique de ces peuples la plus célèbre et connue en
Europe. Avait-il le droit de dire ainsi ? Passons en revue les quatre principaux longs métrages
sur Attila, créés avant cette conversation.
Film dédié au peuple allemand (1924)
Film de Fritz Lang (1890-1976) Die Nibelungen, basé sur le poème épique germanique
médiéval Chanson des Nibelungen, est sorti en Allemagne en 1924. Le film est composé de
deux parties: Siegfried et Kriemhilds Rache (La Vengeance de Kriemhild). Attila et les Huns
apparaissent dans la deuxième partie. L’inscription «dédié au peuple allemand» («dem
deutschen Volke zu eigen ») arrive immédiatement après le titre du film. Le film a obtenu la
plus grande reconnaissance du public et il est considéré comme l'un des plus grands succès
commerciaux du cinéma allemand des années 1920. Le travail des opérateurs de Carl
Hoffmann et Gunther Rittau est considéré comme l'un des plus remarquables au cinéma de
l'époque.
Fritz Lang lui-même racontait souvent qu'en 1933, Joseph Goebbels, ministre de la
propagandedu du Troisième Reich, lui a fait part de l’admiration du Führer pour Nibelungen
et Métropolis, films qu’il a vus et aimés. Il se serait écrié « c’est l’homme qu’il nous faut pour
créer le cinéma national-socialiste ! ». Goebbels a proposé donc à Lang de devenir le directeur
du Centre cinématographique nazi. Que pourrait être tellement apprécié par Hitler et Goebbels
dans le film Nibelungen ?
Le film idéalise le royaume des Burgonds avec sa capitale à Worms, qui existait au V
siècle. C'était l'un des nombreux royaumes barbares germaniques, mais Guy Bornier ([1],
p.16) note que dans le film : «c’est, selon Fritz Lang, l’univers de la culture raffinée, presque
trop raffinée … Les châteaux dominent l’espace, les ponts-levis surplombent le vide, les
arcades, les piliers, les escaliers sont immenses…
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En face, le monde des Huns, c’est l’Orient, c’est l’Asie… Le monde barbare des Huns
se présente comme un mélange de traits empruntés aux Peaux-rouges, aux Asiatiques et aux
Noirs d’Afrique… Face à la noblesse hiératique des Burgondes, les Huns deviennent des
sous-hommes (Untermenschen), des hommes des cavernes.»
Burgonds
Huns
«Il fait se demander d’où proviennent ces traits indubitalement nationalistes. Une
solution facile consisterait à accuser la femme de Fritz Lang de tout ce mal. Elle avait des
opinions ultra-conservatrices … Après 1933 et après le divorce d’avec Fritz Lang, elle prit
parti pour les thèses nazis … Dès la présentation du film, en 1924, elle affirmait que le film
devait être comme le message de l’âme allemande ; pareil aux apôtres, il devait aller
proclamer son message aux peuples du monde entier.» ([1], p. 22)
Dans le même temps, l'image d'Attila provoque un sentiment mitigé aux spectateurs : il
«possedait tout, il avait maximun de ce qu’un homme peut posseder, le pouvoir. Mais il
voulait aussi un bonheur personnel, humain, que roi et grand-maître ne doivent pas posserder;
et ainsi, il détruit lui-même son pouvoir.» Stupéfié par la beauté de la princesse Kriemhild,
sœur de Gunther, roi des Burgondes, il devient un instrument de sa vengeance pour
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l'assassinat de son premier mari Siegfried par Hagen, guerrier vaillant mais perfide ([1], p.
19).
Attila et Kriemhild
Heureux Attila
avec son fils de Kriemhild
Hagen prédit une courte vie
au fils d'Attila
Attila refuse à Kriemhild une seule fois, quand elle exige de tuer Hagen, qui est venu à la
capitale des Huns sur son invitation avec Gunther et d'autres Burgondes, car l'hospitalité est sacrée
pour les Huns. Mais Hagen tue son enfant lors de l'attaque des Huns sur l'ordre de Kriemhild. Après
cela, la délégation burgonde devient hors la loi.
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Malheur d'Attila
Le palais d'Attila brulant,
où les Burgondes assiégés
resistent désespérement
Le film Nibelungen : La vengeance de Kremhild produit une forte impression. Les
Burgondes auraient pu être sauvés si Gunther avait livré Hagen à Kriemhild et Attila, mais il
ne le fait pas à cause de son "âme allemande" ([1], p. 21). La fidélité à Attila gardent ses
nobles vassaux germaniques : le margrave Rüdiger von Bechlarn avec ses guerriers et
Dietrich von Bern.
Dans la scène finale, von Bern entre dans le palais brûlant et sort avec le roi Gunther
blessé, que Hagen soutient. Kriemhild tue Hagen avec un coup d'épée et immédiatement après
cela meurt de la main d'un écuyer, qui n'aime pas que les héros doivent mourir dans un feu ou
d'un coup de femme. Attila ordonne que la dépouille de Kriemhild rejoigne celle de son
Siegfried.
Bien sûr, dans un tel film, il est impossible de chercher même un brin de vérité
historique. En outre, le film contredit sa source épique, Chanson des Nibelungen, dans laquel
Attila est montré dans toute sa puissance et représente un bel exemple de chevalerie :
«Il est bien sûr noble, de haut lignage ... Tout d’abord, le comportement d’Etzel
(Attila) envers les dames correspond aux exigences de la société courtoise ... Il ne partagera la
couche avec Kriemhild qu’au jour de leur noce, précise le poète ...
Chez les Huns aussi, on s’efforce la mériter par les armes une belle jeune fille ... Les
fêtes au royaume des Huns - les noces et la grande fête du solstice d'été sont plus brillantes
encore que celles données à la cour de Worms … C'est l’occasion d“un grand déploiement de
richesse. Des tentes superbes ont été préparées de superbes tapis … la salle qui doit accueillir
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les Burgondes a été préparée avec une débauche de luxe : lits somptueux, larges et longs,
superbes courtepointes d’Arras faites de soieries claires, couvre-pieds taillés dans les soies
d’Arabie … rehaussés de galons qui brillaient de vif éclat … Le sens du beau ne s’exprime
pas seulement par le luxe des aménagements et des vêtements, les arts ont leur place dans la
cour du roi des Huns, en particulier la musique ... Dans cette société où les comportements
sont soigneusement codées, tout manquement à l'étiquette est interprété de manière négative
… » ([2], p. 48-50).
Apparemment, cette divergence du film Nibelungen : La vengeance de Kremhild de sa
source originale était évidente pour les Allemands, alors on l'a montré moins souvent que le
film de Nibelungen : Siegfried. Fritz Lang lui-même a prit également une certaine distance du
film que nous avons analysé. Au début des années 1960 il a refusé une offre de faire son
remake.
Notons que le premier long métrage sur Attila de 1918 était également nationaliste,
mais il a été créé dans l'intérêt de la propagande anti-allemande. Il a été créé sur l’initiative du
gouvernement italien, qui a participé à la Première Guerre mondiale du côté de l'Entente, afin
d'inspirer les Italiens à combattre les armées de l'Autriche-Hongrie et de l'Allemagne, en
identifiant les Allemands aux yeux des spectateurs avec les «hordes d'Attila».
Exaltation du christianisme dans le film "Signe du païen" (1954)
http://www.dvdclassik.com/critique/le-signe-du-paien-sirk
Les Huns dans ce film ont une apparence normale par rapport au film Fritz Lang,
certains portent même des casques et des armures.
Cependant, le film nous étonne par un mépris total des faits historiques, bien que
l'histoire d'Attila et des Huns a été assez bien décrite encore au XVIIIe siècle dans le livre
classique de Gibbon Histoire du déclin et de la chute de l’Empire romain qui reste pertinente
jusqu'à présent [3].
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Le rôle d'Attila
est interprété par
Jack Palance
(1919-2006)
Le héros principal est le centurion Marcian, qui devient l'époux de la princesse
Pulcheria et l'empereur de l'Empire romain d'Orient. Il est au début du film un émissaire de
Valentinen, empereur de l'Empire romain d'Occident, qui est capturé par les Huns et déclare
fièrement à Attila: «Votre horde sera détruite! Un Romain vaut vingt Barbares!»
Dans cette scène, exprimant évidemment la vision des auteurs du film, tout est falsifié
de façon flagrante. Le vrai Marcian (Marcien) n'avait aucun rapport avec l'Empire romain de
l'Occident, il était le garde du corps d'Aspar, commandant en chef barbare des armées de
l'Empire romain d'Orient, qui a subi à plusieurs reprises les défaites écrasantes de la part des
Huns. Marcien n'a fait sa carrière que grâce à la protection de son maître barbare. Notons que
le général Aspar était un Alain, c'est-à-dire un homme d'origine des steppes, dont les ancêtres
ont fui des Huns après la défaite.
La princesse Pulchérie, très
religieuse et ascétique, dont la mère
était de la tribu barbare des Francs,
s'est transformée en une belle fille
joviale qui veut apprendre de Marcian
tout sur Rome: "les rumeurs du palais,
comment les femmes s'habillent".
Dans la réalité Pulchérie toute sa
vie gardait "sa virginité, qu'elle avait
vouée et consacrée à Dieu".
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Dans ce film, Attila formule ses intentions comme suit: "Je libérerai les peuples de
l'Orient et de l'Occident du joug romain. Chacun va revenir à sa propre mode de vie".
Le fantasme des scénaristes va jusqu'au coup d'état avec l'abdication de l'empereur
Theodosius, organisé par le couple amoureux de Marcian et Pulchérie, et la participation de
Marcian à la défense en Italie de l'Empire romain d'Occident contre les Huns.
Attila est beaucoup tourmenté par les étranges prédictions des magiciens païens
auxquels il s'adresse de temps en temps.
Dans cette situation, Attila
rencontre le pape romain Léon, qui
menace par un châtiment de Dieu
et part sans attendre sa réaction, ce
qui est inconcevable pour une
mission diplomatique.
Il s'agit donc de la première tentative dans l'histoire du cinéma de l'explication du
mystère de la rencontre d'Attila et de Léon. En effet, des générations de savants et d'autres
experts de l'histoire se posaient la même question : «Pourquoi Attila n'a-t-il pas pris Rome et a
quitté l'Italie après avoir rencontré le pape Léon ?»
En effet, le contenu des négociations entre Attila et Léon est l'un des plus grands
mystères historiques.
Le film exalte de la foi chrétienne et fait l'éloge du pape romain Léon. À cette fin est
imaginée, en particulier, l'existence d'une fille d'Attila, qui est très belliqueuse au début du
film, mais se transforme en chrétienne pacifique et meurt du coup de son père perturbé par le
fait qu'elle a transmis l'information à l'ennemi par la solidarité religieuse. Après cela, Attila
voit en rêve une bataille avec une innombrable armée de fantômes, parmi lesquels sa fille. Il
décide alors de quitter l'Italie. Mais les Romains organisent une embuscade le long de la route
et tirent sur les Huns des flèches ! En réalité, ces Huns étaient des archers insurpassés, qui
étaient rarement entrés dans des mêlées corps à corps.
Pendant le duel entre Attila et Marcian, une des femmes d'Attila capturées par la force
le poignarde dans la poitrine. L'ombre du poignard ressemble à une croix chrétienne, que
beaucoup de téléspectateurs ont sans doute perçus comme une trouvaille créative réussie des
auteurs. Le film se termine par les mots mis par ses auteurs dans la bouche de l'Attila
mourant: "Votre Dieu m'a vaincu !"
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Film italo-français sur Attila (1954)
S'il est rarement possible d'attendre des films historiques véridiques des cinéastes
hollywoodiens, peut-on espérer que le film italo-français Attila, le fléau de Dieu ne pèche pas
trop contre des faits historiques mieux connus des Européens ?
Ce film est basé sur l'histoire de la longue amitié d'Aetius avec Attila, réécrite en sa
faveur, et l'intrigue de la relation entre Attila et la princesse romaine Honoria. Le général
Aetius est montré, de la manière traditionnelle pour les Européens, comme un défenseur
inébranlable de Rome, mais qui était en réalité une création politique d'Attila et se distinguait
par sa perfidie, bien décrite dans la monographie classique de Gibbon [3].
Attila (Anthony Quinn)
dans un casque imaginé
par les auteurs
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Attila, portant les "jeans"
ou les "collants",
avec Aetius
Galla Placidia, mère du faible et nonchalant empereur Valentinien, est montrée comme
une sage dirigeante qui parle beaucoup de la grandeur de Rome et méprise profondément des
barbares. Les auteurs «oublient» qu'elle était la veuve du roi barbare Athaulf et continuait
d'entretenir de bonnes relations avec le royaume des Wisigoths avec la capitale à Toulouse.
Dans ce film, l'invasion d'Attila de l'Empire romain d'Occident se produit à l'initiative
de la princesse Honoria, qui correspond aux sources historiques.
Galla Placidia et sa fille
Honoria (Sophia Loren)
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Selon les auteurs du film,
les relations
de la princesse
Honoria et Attila ont
commencé pendant
le séjour (stage)
du jeune Attila à Rom
Puis, Honoria arrive
au camp des Huns
Après la victoire dans une bataille, Attila parcourt le champ avec son jeune fils, en le
faisant monter en selle devant lui. Un légionnaire blessé tire une flèche et tue le garçon. La
mort du fils a boulversé profondément Attila.
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La délégation du pape Léon,
composée des hommes
pacifiques en robes blanches
et portant des croix,
vient à la rencontre
de l'armée des Huns.
Le pape parle longuement et
majestueusement, mais sans
aucun d'arrogance.
Son discours sur le sang
des innocents et la compassion
convainc Attila, qui est sous
le stress de la mort
de son jeune fils.Attila ordonne à
son armée
de quitter l'Italie.
Le film se termine par l'image
d'une croix qui apparaît dans le
cielEn
En 1952, l'église chrétienne a célébré le 1500e anniversaire de la rencontre historique
du pape Léon avec Attila. Par conséquent, il n'est pas surprenant l'apparition à cette époque de
l'idée de créer des films sur ce grand événement. Probablement le Vatican a participé
directement ou indirectement à leur financement
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Deuxième version de «La vengeance de Kremhild» (1967)
http://www.imdb.com/title/tt0060750/
Fritz Lang a décliné au début des années 1960 la proposition de faire un remake du
film sur les Nibelungen. Le film a été réalisé par Harald Reinl (1908-1986). Bien sûr, dans les
conditions de la décolonisation, il était impossible de montrer au spectateur mondial un film
sur les superhommes et les créatures primitifs, bien que dans sa jeunesse, Reinl avait
collaboré activement avec le célèbre Leni Riefenshial, célèbre propagandiste du troisième
Reich.
Les auteurs du film n'avaient qu'à adhérer à l'esprit de la source originale: Chanson
des Nibelungen, décrivant bien la puissantes des Huns, l'éclat et le raffinement de la cour
d'Attila.
En effet, Attila
(Herbert Lom)
dans ce film est
bien habillé
et même a une coiffure
soignée.
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La réception d'Attila
correspond plus ou moins
à sa description dans
l'épopée germanique.
Pour la décoration
du palais, des éléments,
qui rappellent
le grand art animalier
des steppes,
ont été utilisés.
Dans la capitale d'Attila,
un haut degré de tolérance
religieuse est pratiqué.
Le personnage d'Attila dans ce film dans son ensemble correspond aux descriptions de
l'épopée germanique :
«Par delà les comportements dictés par les conventions sociales et son rang de roi des
Huns, Etzel (Attila) est un personnage profondément humain …
Le poète médiéval a prêté au personnage d'Attila ... tous les traits du souverain idéal tel
que le conçoit la société courtoise : puissance, noblesse, loyauté, tolérance, sens du beau et du
faste. La souverain païen devient ainsi un modèle pour les seigneurs chrétiens.» ([2], p. 5253).
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Cependant, les guerriers
huns sont habillés
de manière négligente.
Les guerriers germaniques
portent des excellentes
armures, ce qui crée
un sentiment de leur
supériorité.
En réalité, au temps d'Attila, il n'y avait pas de supériorité culturelle des peuples
germaniques sur ceux des steppes eurasiennes, et dans l'art militaire, les peuples sédentaires
étaient encore longtemps des élèves des peuples des steppes.
Une image impressionnante
du palais d'Attila en feu.
Il sera mieux à tous les égards si la troisième tentative d'adaptation des
Nibelungen s'effectue avec la participation de représentants créatifs des descendants des
peuples steppes.
Notons en conclusion que, en 1972, le film télevisé italien La tecnica e il rito
(Technique et rituel), qui raconte l'arrivée de Attila au pouvoir, a été réalisé par Miklós Jancsó
(1921-2014). Les auteurs de ce film n'ont pas pretendu à la fiabilité historique de leur
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création. Ils ne voulaient qu'analyser «le comportement du personnage historique: ambitieux,
passionné, cruel, qui a utilisé tous les moyens, rationnels et irrationnels, secrets et ouverts,
sentimentaux et diaboliques, pour obtenir un pouvoir personnel illimité».
(http://cinematext.ru/movie/tehnika-i-ritual-la-tecnica-e-il-rito-1972/ )
Références
1. Borgnet G. Attila et le monde des Huns dans le film «Die Nibelungen» de Fritz Lang //
Attila dans la réalité historique, la littérature et les beaux-arts, Actes du Colloque de Saint-Riquier
(Décembre 2002). - Université de Picardie -Jules Vernes, Amiens, 2003 (Médiévales 29), p. 15-23.
2. Lesaffre M. Le personnage d’Etzel du Nibelungenlied // Attila dans la réalité historique, la
littérature et les beaux-arts, Actes du Colloque de Saint-Riquier (Décembre 2002). - Université de
Picardie -Jules Vernes, Amiens, 2003 (Médiévales 29), p. 43-53.
3. Gibbon E. Histoire du déclin et de la chute de l’Empire romain. - Robert Laffont, 1983.
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