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Loiane Groner
BIRMINGHAM - MUMBAI
Learning JavaScript Data
Structures and Algorithms
Third Edition
Copyright © 2018 Packt Publishing
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ISBN 978-1-78862-387-2
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To my parents, for their love and support and for guiding me throughout all these years.
To my husband, for his support and for being my loving partner throughout our life journey.
– Loiane Groner
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Learning JavaScript Data Structures and Algorithms  Third Edition
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Preface
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Reviews
1. JavaScript – A Quick Overview
JavaScript data structure and algorithms
Setting up the environment
The minimum setup to work with JavaScript
Using web servers
Node.js http-server
JavaScript basics
Variables
Scope variable
Operators
Truthy and falsy
Functions of the equals operators (== and ===)
Control structures
Conditional statements
Loops
Functions
Object-oriented programming in JavaScript
Debugging and tools
Debugging with VSCode
Summary
Other documents randomly have
different content
creuse faconde, fléau dont tous nos écrivains et surtout nos orateurs
sont encore loin d’être indemnes.
Mais, au-dessus des romantiques et des positivistes, saluons, de
toute la vénération de notre amour, les grands apologistes, les
romanciers et les poètes catholiques sans qui nous ne serions pas
ce que nous sommes. Nommons-les ici, quand même ils sont dans
la mémoire de tous, comme on lit les noms des morts tombés au
champ d’honneur : de Maistre, Bonald, Lamennais avant son
apostasie, Balzac, en dépit de ses confusions philosophiques, Blanc
de Saint-Bonnet, Lacordaire, Barbey d’Aurevilly, Veuillot, Villiers de
l’Isle-Adam, Hello, Huysmans, Verlaine, Léon Bloy. Ces grands
aînés marchent devant nous, non pour nous imposer d’être leurs
disciples, mais pour nous exciter à faire mieux qu’ils n’ont fait.
Pour nous qui voyons de loin déjà ces luminaires d’un autre
siècle, la concordance de leurs mouvements espacés nous est un
haut signe d’espoir. Ils eurent mission de réintégrer le Christ au
centre de la pensée et du vouloir humain, et, dans cette œuvre
essentielle, ils se sont continués, comme s’échelonnent des astres
sur les routes éternelles. Entre Joseph de Maistre établissant la
suprématie du dogme et Barbey d’Aurevilly déclarant dans la
préface de l’Ensorcelée que l’art catholique, avec sa « grande
largeur », ne craint pas de toucher aux passions lorsqu’il s’agit de
faire trembler sur leurs suites, nous percevons cette commune
certitude : dans tous les domaines, aussi bien dans celui de
l’imagination que dans celui de l’intelligence, le catholicisme doit être
souverain.
Il doit l’être avant tout, au fond de l’écrivain lui-même. Si nos
aînés nous laissent des modèles imparfaits, ce n’est point seulement
que tout génie reste « court par quelque endroit ». C’est qu’ils furent
incomplètement des catholiques et des chrétiens. Supposez Balzac
prenant la peine de s’assimiler une bonne philosophie scholastique ;
il n’eût point confondu la nature et le surnaturel, comme il l’a fait
dans le galimatias de Louis Lambert et de Seraphita. Supposez
Verlaine s’évadant sans retour du cloaque où il avait expérimenté
l’immondice des instincts ; il nous eût donné mieux que la dolence
de ses faiblesses ; il se fût dépouillé d’un je ne sais quoi d’indécis et
d’artificiel qui s’insère en ses plus suaves élévations.
Car, s’il est souverain dans l’être intérieur du poète, le
catholicisme exclut de son œuvre les cabotinages littéraires, les
sournoises habiletés comme les molles négligences. Toute poésie
où une certaine forme de rythme et d’expression devient tyrannique,
calculée, porte un germe de mort, n’est pas vraiment chrétienne.
L’art chrétien, toujours difficile, est plein de pièges pour quiconque,
guetté par le démon du factice, s’y engage sans la candeur d’une foi
absolue. Et cette candeur même est plus aisée à perdre qu’à obtenir.
Il serait odieux d’en faire une attitude. Vous vous rappelez ce héros
d’un roman de Chesterton qui « voyait des anges agenouillés dans
l’herbe, avant d’avoir vu l’herbe ». Il serait beau de voir le monde
ainsi ; très peu d’entre nous — et très peu, c’est beaucoup dire —
ont ce degré d’ingénuité. Contentons-nous donc d’être sincères,
vrais devant les hommes comme devant nous-mêmes.
Le propre d’un écrivain catholique est d’aimer éperdument ce qui
est vrai. Pour atteindre le supra-sensible, nous avons à refouler le
brouillard, dense comme des ténèbres, d’un naturalisme athée. Il ne
s’agit point de fermer les yeux en le traversant, mais d’élever en
notre main la lampe ardente qui le percera. Projetons-en la flamme
hardie sur tout ce qui peut être éclairé. Quand on tient ces deux
vérités, la chute et la rédemption, il n’est aucun gouffre où l’on ne
puisse envoyer une flamme de justice, un signal de compassion, un
appel d’espérance.
Pour un artiste d’une foi vigoureuse, l’attitude en face de la
nature est aisée à définir : il regarde, il sent la vie telle que sa vue de
réaliste la lui fait voir et aimer ; et il l’interprète selon l’optique
chrétienne qui ne déforme pas les objets, qui les rejoint entre eux et
les explique en les illuminant.
Notre unanime désir est que cet ensemble d’idées aboutisse à
susciter, dans la littérature prochaine, plus d’ardeur créatrice, plus de
beauté. Durant la guerre et surtout au moment de la victoire, j’avais
espéré des temps cornéliens, un épanouissement d’enthousiasme,
d’allégresse, de force exubérante, des cris de clairons ailés dans un
soleil de gloire, puis le chœur austère des héroïsmes pacifiques
tendus vers la patrie et le monde à rénover. Ni l’esprit public, ni la
multitude des livres surgis depuis quatre ans n’ont correspondu à
cette illusion. Les Hymnes de Joachim Gasquet, symphonie
délirante, splendide par intervalles, ne chantent que le péan du
triomphe d’un jour.
Au lendemain du triomphe, le poids immense des deuils,
l’énormité de la tâche à reprendre, les déceptions du présent et les
anxiétés de l’avenir ont déterminé chez beaucoup une sorte
d’affaissement sur eux-mêmes, une dissolution des forces viriles. Il
est grand temps, pour les volontés en désarroi, de se reprendre. Aux
écrivains catholiques plus qu’à personne, il incombe de sonner le
ralliement des énergies. Je voudrais que leur voix, par-dessus la
lourde rumeur des incertitudes, ressemblât à ces cloches de balises
dont la vibration, large et douce comme celle d’un cor lointain,
domine les chocs des vents et les hurlements de la mer.
Je voudrais que les plus puissantes et les plus pures d’entre elles
fussent des cloches de cathédrale, des cloches de Te Deum, des
cloches de Fête-Dieu, des cloches de deuil aussi, de pitié ou
d’alarme, mais, plus encore, des cloches nuptiales, des cloches de
résurrection. Les âmes ont besoin de savoir qu’elles ne vont pas
mourir. D’où leur viendra, sinon du poète chrétien, en forme de libre
cantique, le message de la paix, le message de l’éternité ? Nulle
conception ne saurait être vaste et forte à l’égal du surnaturalisme
catholique. Lorsque j’en cherche l’idéale figure, je me souviens d’un
vieux mystique comparant l’amour parfait « à un anneau d’or qui
serait plus ample que le ciel, la terre et toutes les choses créées ».
Quand je m’en représente la réalité plus modeste, je pense à une
parole de l’admirable Mistral dans une lettre à Lamartine : « Si
humble et si petit que soit le grain de blé, lorsqu’il monte en épis
sous la rosée du ciel, il peut encore faire honneur à la main qui l’a
semé. »
Voilà le grand point : que le champ où nous voulons remplir notre
journée de bons ouvriers soit étroit ou large, avare ou plantureux, ne
disons jamais comme les hommes sans foi : Ce champ est à nous ; il
y a nous et rien que nous ; ne cherchons pas notre gloire, mais
rendons-la toute à la Main qui a tout donné.
LES POSSIBILITÉS DU ROMAN CATHOLIQUE
« Puisque chaque fois que le Sang est versé, il est versé pour la
rémission des péchés, je dois le recevoir toujours, afin que mes
péchés soient toujours remis. Je pèche constamment ; je dois donc
constamment prendre le remède contre le péché… Si c’est notre
pain quotidien, pourquoi attendez-vous une année pour le recevoir,
comme le font les Grecs en Orient ? Recevez tous les jours ce qui
tous les jours vous est profitable. Celui qui ne mérite pas de
communier chaque jour ne mérite pas de communier une fois l’an. »
Il n’est point d’âme pour qui ne résonne incessamment le
précepte d’amour : Prenez et mangez. Mais, tandis que la multitude
des mécréants rejette en hochant la tête et souvent avec
d’immondes opprobres le Dieu qui ne se lasse pas de s’offrir à tous,
le reste du troupeau demeuré fidèle s’élance d’autant plus avide vers
la nourriture délectable. « Dilate ta bouche et je l’emplirai », disait le
Seigneur à son peuple par la voix du Psalmiste ; cette parole, d’une
insondable munificence, est entrée dans nos oreilles plus clairement
qu’en celles de nos ancêtres. Ce n’est pas que nous méritions mieux
les largesses divines ; mais elles se multiplient à la mesure de notre
indigence. Le viatique est pour les fragiles, les infirmes et les
moribonds. Or, le monde ressemble à un grand malade qui ne sait
plus de quel côté se retourner sur son lit. De quoi peut-il avoir
encore faim, sinon du Pain vital, promesse d’éternité ? « Il a donné
aux tristes la coupe de son Sang », chante une hymne de la Fête-
Dieu. Plus que jamais il faut aux chrétiens, pour n’être pas tristes,
« l’esprit de triomphe » qui les fait marcher avec sécurité, comme les
jeunes hommes dans la fournaise, au milieu des tentations et des
haines. D’où recevraient-ils cette allégresse, sinon en mêlant à leur
sang toute la substance du Fort des forts, du Dominateur dont le
royaume n’aura pas de fin ?
Tel est le sens des Congrès eucharistiques et surtout des
Congrès internationaux. Les pèlerins appartenant aux patries les
plus distantes et les plus hostiles ne s’y donnent point rendez-vous à
seule fin de démontrer que le catholicisme restaure la famille
humaine en son harmonie plénière par l’unanimité d’une foi supra-
terrestre. Leur concorde jubilante figure pour quelques jours la
communion des élus, l’état de gloire et d’adoration perpétuelle qui se
nomme le paradis. On dirait qu’alors, du Levant jusqu’au Ponant, les
blasphèmes se sont tus, les hérésies et les schismes sont morts,
que le puits de l’abîme est clos sur le dragon lié à jamais ; là, tous
sont en tous, étant tous en Dieu. C’est comme un après-midi d’été
vêtu d’une splendeur et d’une paix où rien ne semble plus pouvoir
changer. Si quelque chose peut donner une image des béatitudes,
n’est-ce pas l’instant d’une bénédiction solennelle, quand le prêtre
élève au-dessus de la foule le Saint Sacrement ?
Et même, les bienheureux qui voient la Face de Jésus-Christ ne
peuvent plus mériter comme nous, prosternés devant l’ostensoir.