dbo:abstract
|
- L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes. Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques. Les métriciens du XIXe siècle ont cru pouvoir identifier deux formes d'alexandrin : le tétramètre, ou alexandrin classique, et le trimètre, forme particulière popularisée à l'époque romantique. On tend aujourd'hui à considérer que ces découpages rythmiques secondaires ne relèvent pas à proprement parler de la métrique et que, par conséquent, ils ne sauraient participer à la définition de l'alexandrin. On ne saurait en revanche se contenter de définir l'alexandrin comme un vers de douze syllabes : les composants de l'alexandrin sont les hémistiches, et les syllabes ne sont que les composants de l'hémistiche. On lit parfois que l'alexandrin compte douze pieds, mais le terme de « pied » est impropre dans le cadre de la versification française. (fr)
- L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes. Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques. Les métriciens du XIXe siècle ont cru pouvoir identifier deux formes d'alexandrin : le tétramètre, ou alexandrin classique, et le trimètre, forme particulière popularisée à l'époque romantique. On tend aujourd'hui à considérer que ces découpages rythmiques secondaires ne relèvent pas à proprement parler de la métrique et que, par conséquent, ils ne sauraient participer à la définition de l'alexandrin. On ne saurait en revanche se contenter de définir l'alexandrin comme un vers de douze syllabes : les composants de l'alexandrin sont les hémistiches, et les syllabes ne sont que les composants de l'hémistiche. On lit parfois que l'alexandrin compte douze pieds, mais le terme de « pied » est impropre dans le cadre de la versification française. (fr)
|
prop-fr:précision
|
- I, 3 (fr)
- I, 3, v.273 (fr)
- IV, 3 (fr)
- « Fleur séculaire » (fr)
- « Quelques mots à un autre » (fr)
- « Un voyage à Cythère » (fr)
- I, 3 (fr)
- I, 3, v.273 (fr)
- IV, 3 (fr)
- « Fleur séculaire » (fr)
- « Quelques mots à un autre » (fr)
- « Un voyage à Cythère » (fr)
|
prop-fr:texte
|
- Je veux/, sans que la mort// o/se me secourir,
Toujours aimer,/ toujours souffrir,/ toujours mourir (fr)
- Cette obscu/re clarté // qui tom/be des étoiles (fr)
- Et l'étami/ne lance au loin/ le pollen d'or (fr)
- J'ai disloqué / ce grand niais / d'alexandrin. (fr)
- Je le vis/, je rougis,// je pâlis/ à sa vue/ (fr)
- Mon cœur,/ comme un oiseau,// voltigeait/ tout joyeux (fr)
- Je veux/, sans que la mort// o/se me secourir,
Toujours aimer,/ toujours souffrir,/ toujours mourir (fr)
- Cette obscu/re clarté // qui tom/be des étoiles (fr)
- Et l'étami/ne lance au loin/ le pollen d'or (fr)
- J'ai disloqué / ce grand niais / d'alexandrin. (fr)
- Je le vis/, je rougis,// je pâlis/ à sa vue/ (fr)
- Mon cœur,/ comme un oiseau,// voltigeait/ tout joyeux (fr)
|
rdfs:comment
|
- L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes. Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques. (fr)
- L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes. Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques. (fr)
|