prop-fr:texte
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- mais doux sont ses bandages, ils sauvent de la mort. (fr)
- il pardonne et, sur le champ, les douleurs saisissent l'accouchée ; (fr)
- Il parle et fait tomber dans le crime ; (fr)
- Par sa colère, les tombes s'ouvrent, (fr)
- puis il l'entoure d'attentions comme une vache son veau.
Ses coups pénètrent, ils transpercent le corps ; (fr)
- aucun dieu n'a vent de son décret. (fr)
- il accourt et lui soigne le ventre, (fr)
- il vient en aide à celui que son dieu repousse. (fr)
- mais sa main légère retient voué à la mort. (fr)
- Si dure que soit la punition, tout à coup il la supprime ; (fr)
- au jour de son euphorie, faute et pêché sont enlevés.
Marduk pénètre ce que disent les dieux dans cœur, (fr)
- Sans son bon plaisir, qui pourrait atténuer son coup ? » (fr)
- par sa miséricorde, il relève de la catastrophe l'homme tombé.
Quand il s'irrite, déesse et dieu reculent ; (fr)
- Si lourd que sa main, son cœur est miséricordieux ; (fr)
- si terribles que soient ses armes, sa volonté opère guérison. (fr)
- « Marduk, les cieux ne peuvent porter le poids de ses mains, (fr)
- « Dis à Nibhurrereya , roi d'Égypte, mon frère : ainsi Burna-Buriash, roi de Karduniash , ton frère. Pour moi tout va bien. Pour toi, ta maison, tes femmes, tes fils, ton pays, tes Grands, tes chevaux, tes chars, que tout aille bien ! Depuis que mes ancêtres et les tiens ont proclamé mutuellement leur amitié, ils se sont envoyés de somptueux présents, et n'ont jamais refusé une demande de quoi que ce soit de magnifique. Mon frère m'a envoyé à présent comme cadeau deux mines d'or. Maintenant, si l'or est en abondance, envoie-m'en autant que tes ancêtres , mais s'il manque, envoie-moi la moitié de ce que tes ancêtres . Pourquoi m'as-tu envoyé deux mines d'or ? En ce moment mes travaux sur un temple sont très coûteux, et j'ai des problèmes pour les mener à terme. Envoie-moi beaucoup d'or. Et toi de ton côté, quoi que tu veuilles pour ton pays, écris-moi de façon à ce qu'il puisse t'être apporté. » (fr)
- « Stèle des champs, de la prébende du temple, du verger de Puzru, grand-chantre de l'Ebabbar. « Protège », c'est son nom.
30 gur d'emblavures, 1 ikû à 1 simdu, grande coudée , territoire de la Grand'Ville, sur la rive du Tigre, district de Sîn-ashared, jouxtant, en haut, au nord, le Tigre ; jouxtant en bas, au sud, Takukish ; à l'est, Paragashitu, fille du roi ; à l'ouest, les côtés de Amel-Marduk ; 1 panûm de prébende, 1 sûtu à 5 qa de l'Ebabbar, le temple de Shamash à Larsa, le roi Burna-Buriash à Puzru, fils d'Ea-nabushu, son serviteur, a offert.
a exempté son canal et sa terre ferme et, de la taxe, son gros et petit bétail.
À jamais, à l'avenir, soit un fondé de pouvoir, autant qu'il y en a de la famille, quelqu'un d'entre les soldats du roi, autant qu'il y en a de la famille, parenté parentèle, qui surgirait et qui, à propos du champ et de la prébende, invoquerait frauduleusement dieu ou roi, qui déclarerait qu'ils sont à un frère parent ou qui la stèle enfouirait en un lieu obscur, la brûlerait au feu, ou par un impotent, un sourd, un idiot, un boiteux, un stupide, un dément, un demeuré la ferait enlever, qu'Anu, Enlil et Ea, d'une malédiction sans recours et cruelle, le maudissent. Que Ninurta, seigneur de la borne et du kudurru, renverse sa borne, arrache son kudurru. Que Sîn, le seigneur grand, le remplisse de lèpre pour qu'il aille se coucher à l'extérieur, comme un âne sauvage. Que la Dame des dieux ne se rende pas dans sa demeure mais que, dans sa demeure, la naissance des bœufs, moutons, ânes et humains, elle interrompe. » (fr)
- mais doux sont ses bandages, ils sauvent de la mort. (fr)
- il pardonne et, sur le champ, les douleurs saisissent l'accouchée ; (fr)
- Il parle et fait tomber dans le crime ; (fr)
- Par sa colère, les tombes s'ouvrent, (fr)
- puis il l'entoure d'attentions comme une vache son veau.
Ses coups pénètrent, ils transpercent le corps ; (fr)
- aucun dieu n'a vent de son décret. (fr)
- il accourt et lui soigne le ventre, (fr)
- il vient en aide à celui que son dieu repousse. (fr)
- mais sa main légère retient voué à la mort. (fr)
- Si dure que soit la punition, tout à coup il la supprime ; (fr)
- au jour de son euphorie, faute et pêché sont enlevés.
Marduk pénètre ce que disent les dieux dans cœur, (fr)
- Sans son bon plaisir, qui pourrait atténuer son coup ? » (fr)
- par sa miséricorde, il relève de la catastrophe l'homme tombé.
Quand il s'irrite, déesse et dieu reculent ; (fr)
- Si lourd que sa main, son cœur est miséricordieux ; (fr)
- si terribles que soient ses armes, sa volonté opère guérison. (fr)
- « Marduk, les cieux ne peuvent porter le poids de ses mains, (fr)
- « Dis à Nibhurrereya , roi d'Égypte, mon frère : ainsi Burna-Buriash, roi de Karduniash , ton frère. Pour moi tout va bien. Pour toi, ta maison, tes femmes, tes fils, ton pays, tes Grands, tes chevaux, tes chars, que tout aille bien ! Depuis que mes ancêtres et les tiens ont proclamé mutuellement leur amitié, ils se sont envoyés de somptueux présents, et n'ont jamais refusé une demande de quoi que ce soit de magnifique. Mon frère m'a envoyé à présent comme cadeau deux mines d'or. Maintenant, si l'or est en abondance, envoie-m'en autant que tes ancêtres , mais s'il manque, envoie-moi la moitié de ce que tes ancêtres . Pourquoi m'as-tu envoyé deux mines d'or ? En ce moment mes travaux sur un temple sont très coûteux, et j'ai des problèmes pour les mener à terme. Envoie-moi beaucoup d'or. Et toi de ton côté, quoi que tu veuilles pour ton pays, écris-moi de façon à ce qu'il puisse t'être apporté. » (fr)
- « Stèle des champs, de la prébende du temple, du verger de Puzru, grand-chantre de l'Ebabbar. « Protège », c'est son nom.
30 gur d'emblavures, 1 ikû à 1 simdu, grande coudée , territoire de la Grand'Ville, sur la rive du Tigre, district de Sîn-ashared, jouxtant, en haut, au nord, le Tigre ; jouxtant en bas, au sud, Takukish ; à l'est, Paragashitu, fille du roi ; à l'ouest, les côtés de Amel-Marduk ; 1 panûm de prébende, 1 sûtu à 5 qa de l'Ebabbar, le temple de Shamash à Larsa, le roi Burna-Buriash à Puzru, fils d'Ea-nabushu, son serviteur, a offert.
a exempté son canal et sa terre ferme et, de la taxe, son gros et petit bétail.
À jamais, à l'avenir, soit un fondé de pouvoir, autant qu'il y en a de la famille, quelqu'un d'entre les soldats du roi, autant qu'il y en a de la famille, parenté parentèle, qui surgirait et qui, à propos du champ et de la prébende, invoquerait frauduleusement dieu ou roi, qui déclarerait qu'ils sont à un frère parent ou qui la stèle enfouirait en un lieu obscur, la brûlerait au feu, ou par un impotent, un sourd, un idiot, un boiteux, un stupide, un dément, un demeuré la ferait enlever, qu'Anu, Enlil et Ea, d'une malédiction sans recours et cruelle, le maudissent. Que Ninurta, seigneur de la borne et du kudurru, renverse sa borne, arrache son kudurru. Que Sîn, le seigneur grand, le remplisse de lèpre pour qu'il aille se coucher à l'extérieur, comme un âne sauvage. Que la Dame des dieux ne se rende pas dans sa demeure mais que, dans sa demeure, la naissance des bœufs, moutons, ânes et humains, elle interrompe. » (fr)
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