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- Guillaume Imbert de Boudeaux, né à Limoges en 1744, mort à Paris le 19 mai 1803, est un homme de lettres français. Sa famille ayant forcé Imbert à entrer dans l’ordre des Bénédictins, celui-ci ne cessa de protester contre cette violence et, aussitôt qu’il le put, il quitta son couvent. Il se livra alors à ses goûts pour la critique politique et littéraire, et fit paraitre des recueils périodiques qui le firent mettre, à trois reprises, à la Bastille. Redoutant de nouveaux emprisonnements, Imbert émigra en Prusse rhénane, à Neuwied, où il collabora à la publication de la Correspondance littéraire secrète de Metra. Il revint ensuite vers 1790 en France, où il termina ses jours. (fr)
- Guillaume Imbert de Boudeaux, né à Limoges en 1744, mort à Paris le 19 mai 1803, est un homme de lettres français. Sa famille ayant forcé Imbert à entrer dans l’ordre des Bénédictins, celui-ci ne cessa de protester contre cette violence et, aussitôt qu’il le put, il quitta son couvent. Il se livra alors à ses goûts pour la critique politique et littéraire, et fit paraitre des recueils périodiques qui le firent mettre, à trois reprises, à la Bastille. Redoutant de nouveaux emprisonnements, Imbert émigra en Prusse rhénane, à Neuwied, où il collabora à la publication de la Correspondance littéraire secrète de Metra. Il revint ensuite vers 1790 en France, où il termina ses jours. (fr)
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- Guillaume Imbert de Boudeaux, né à Limoges en 1744, mort à Paris le 19 mai 1803, est un homme de lettres français. Sa famille ayant forcé Imbert à entrer dans l’ordre des Bénédictins, celui-ci ne cessa de protester contre cette violence et, aussitôt qu’il le put, il quitta son couvent. Il se livra alors à ses goûts pour la critique politique et littéraire, et fit paraitre des recueils périodiques qui le firent mettre, à trois reprises, à la Bastille. Il revint ensuite vers 1790 en France, où il termina ses jours. (fr)
- Guillaume Imbert de Boudeaux, né à Limoges en 1744, mort à Paris le 19 mai 1803, est un homme de lettres français. Sa famille ayant forcé Imbert à entrer dans l’ordre des Bénédictins, celui-ci ne cessa de protester contre cette violence et, aussitôt qu’il le put, il quitta son couvent. Il se livra alors à ses goûts pour la critique politique et littéraire, et fit paraitre des recueils périodiques qui le firent mettre, à trois reprises, à la Bastille. Il revint ensuite vers 1790 en France, où il termina ses jours. (fr)
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