dbo:abstract
|
- Le Ma'asser 'Ani (hébreu מעשר עני, dîme du pauvre) fait référence à l'obligation de prélever un dixième du produit de la récolte de la troisième et de la sixième année du cycle septennal de la terre pour les pauvres au temps des Temples de Jérusalem. Le judaïsme orthodoxe considère que les prescriptions qui se rattachent à cette dîme ainsi qu'autres dîmes d'origine biblique, comme la teroumat hamaasser, le maasser rishon et le maasser sheni, demeurent d'actualité pour les produits ayant poussé au cours de l'année en terre d'Israël, et n'autorisent pas la vente de produits des arbres et de la terre tant que ces dîmes n'ont pas été prélevées. Cependant, en l'absence du Temple de Jérusalem, les dîmes prélevées sont rachetées au moyen d'une somme, qui peut être nominale et ne représente pas forcément la contre-valeur de la production. Des précautions sont cependant prises pour que la somme ne puisse plus être utilisée, ainsi qu'environ un pour cent de la récolte, représentant les dîmes. En ce qui concerne le ma'asser 'ani, le judaïsme orthodoxe considère comme méritoire de se décharger de son obligation en donnant une partie de son revenu, idéalement un dixième, à la tzedaka. Cette somme est appelée mas'aser ksafim. Il semblerait qu'elle ait été mentionnée pour la première fois dans un midrash cité par Tossefot Ta'anit 9a. (fr)
- Le Ma'asser 'Ani (hébreu מעשר עני, dîme du pauvre) fait référence à l'obligation de prélever un dixième du produit de la récolte de la troisième et de la sixième année du cycle septennal de la terre pour les pauvres au temps des Temples de Jérusalem. Le judaïsme orthodoxe considère que les prescriptions qui se rattachent à cette dîme ainsi qu'autres dîmes d'origine biblique, comme la teroumat hamaasser, le maasser rishon et le maasser sheni, demeurent d'actualité pour les produits ayant poussé au cours de l'année en terre d'Israël, et n'autorisent pas la vente de produits des arbres et de la terre tant que ces dîmes n'ont pas été prélevées. Cependant, en l'absence du Temple de Jérusalem, les dîmes prélevées sont rachetées au moyen d'une somme, qui peut être nominale et ne représente pas forcément la contre-valeur de la production. Des précautions sont cependant prises pour que la somme ne puisse plus être utilisée, ainsi qu'environ un pour cent de la récolte, représentant les dîmes. En ce qui concerne le ma'asser 'ani, le judaïsme orthodoxe considère comme méritoire de se décharger de son obligation en donnant une partie de son revenu, idéalement un dixième, à la tzedaka. Cette somme est appelée mas'aser ksafim. Il semblerait qu'elle ait été mentionnée pour la première fois dans un midrash cité par Tossefot Ta'anit 9a. (fr)
|
rdfs:comment
|
- Le Ma'asser 'Ani (hébreu מעשר עני, dîme du pauvre) fait référence à l'obligation de prélever un dixième du produit de la récolte de la troisième et de la sixième année du cycle septennal de la terre pour les pauvres au temps des Temples de Jérusalem. En ce qui concerne le ma'asser 'ani, le judaïsme orthodoxe considère comme méritoire de se décharger de son obligation en donnant une partie de son revenu, idéalement un dixième, à la tzedaka. Cette somme est appelée mas'aser ksafim. Il semblerait qu'elle ait été mentionnée pour la première fois dans un midrash cité par Tossefot Ta'anit 9a. (fr)
- Le Ma'asser 'Ani (hébreu מעשר עני, dîme du pauvre) fait référence à l'obligation de prélever un dixième du produit de la récolte de la troisième et de la sixième année du cycle septennal de la terre pour les pauvres au temps des Temples de Jérusalem. En ce qui concerne le ma'asser 'ani, le judaïsme orthodoxe considère comme méritoire de se décharger de son obligation en donnant une partie de son revenu, idéalement un dixième, à la tzedaka. Cette somme est appelée mas'aser ksafim. Il semblerait qu'elle ait été mentionnée pour la première fois dans un midrash cité par Tossefot Ta'anit 9a. (fr)
|