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- L’expédition de Constantine de 1837, en Algérie, est décidée par Louis-Philippe Ier et le chef de son gouvernement, le comte Molé, à l'été de 1837 à un moment où, avec la consolidation de la monarchie de Juillet et le rétablissement de la prospérité économique, le roi envisage une dissolution de la Chambre des députés. Comme Charles X en 1830 avec l'expédition d'Alger (1830), le roi des Français cherche à obtenir un meilleur résultat aux élections en offrant au pays un peu de gloire militaire et en vengeant l'échec de l'expédition de Constantine de 1836. La préparation de l'expédition est l'occasion, à la fin du mois d'août, d'une vive rivalité entre les deux fils aînés du roi, le duc d'Orléans et le duc de Nemours, qui se disputent l'honneur d'y participer : le premier estime qu'en tant qu'aîné, le premier rôle lui revient de droit, tandis que le second, qui a participé à l'expédition infructueuse de l'an passé, tient absolument à venger cette humiliation. En définitive, c'est l'aîné qui s'incline. L’armée se réunit dans le camp de (en référence à Ammar Benzagouta, commandant des troupes du bey), établi sur les bords de la Seybouse, en avant de Ghelma, à moitié chemin de Bône à Constantine. Placée sous les ordres du général Damrémont, gouverneur général, elle avait pour chef d’état-major, le maréchal de camp Perrégaux secondé par le colonel Schauenburg ; la 1re brigade, celle d’avant-garde était commandée par le duc de Nemours, les 2e, 3e et 4e étaient sous les ordres des généraux Trézel et Rulhières ; le général Valée commandait l’artillerie, et le général Rohault de Fleury, le génie. L'armée française part de Bône le 1er octobre. Le 13 octobre, l'assaut victorieux est commencé par le général de Damrémont, qui est emporté par un boulet, et achevé par son successeur, le général Valée. Ce dernier est élevé à la dignité de maréchal de France le 11 novembre et nommé gouverneur général de l'Algérie le 1er décembre. (fr)
- L’expédition de Constantine de 1837, en Algérie, est décidée par Louis-Philippe Ier et le chef de son gouvernement, le comte Molé, à l'été de 1837 à un moment où, avec la consolidation de la monarchie de Juillet et le rétablissement de la prospérité économique, le roi envisage une dissolution de la Chambre des députés. Comme Charles X en 1830 avec l'expédition d'Alger (1830), le roi des Français cherche à obtenir un meilleur résultat aux élections en offrant au pays un peu de gloire militaire et en vengeant l'échec de l'expédition de Constantine de 1836. La préparation de l'expédition est l'occasion, à la fin du mois d'août, d'une vive rivalité entre les deux fils aînés du roi, le duc d'Orléans et le duc de Nemours, qui se disputent l'honneur d'y participer : le premier estime qu'en tant qu'aîné, le premier rôle lui revient de droit, tandis que le second, qui a participé à l'expédition infructueuse de l'an passé, tient absolument à venger cette humiliation. En définitive, c'est l'aîné qui s'incline. L’armée se réunit dans le camp de (en référence à Ammar Benzagouta, commandant des troupes du bey), établi sur les bords de la Seybouse, en avant de Ghelma, à moitié chemin de Bône à Constantine. Placée sous les ordres du général Damrémont, gouverneur général, elle avait pour chef d’état-major, le maréchal de camp Perrégaux secondé par le colonel Schauenburg ; la 1re brigade, celle d’avant-garde était commandée par le duc de Nemours, les 2e, 3e et 4e étaient sous les ordres des généraux Trézel et Rulhières ; le général Valée commandait l’artillerie, et le général Rohault de Fleury, le génie. L'armée française part de Bône le 1er octobre. Le 13 octobre, l'assaut victorieux est commencé par le général de Damrémont, qui est emporté par un boulet, et achevé par son successeur, le général Valée. Ce dernier est élevé à la dignité de maréchal de France le 11 novembre et nommé gouverneur général de l'Algérie le 1er décembre. (fr)
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- L’expédition de Constantine de 1837, en Algérie, est décidée par Louis-Philippe Ier et le chef de son gouvernement, le comte Molé, à l'été de 1837 à un moment où, avec la consolidation de la monarchie de Juillet et le rétablissement de la prospérité économique, le roi envisage une dissolution de la Chambre des députés. Comme Charles X en 1830 avec l'expédition d'Alger (1830), le roi des Français cherche à obtenir un meilleur résultat aux élections en offrant au pays un peu de gloire militaire et en vengeant l'échec de l'expédition de Constantine de 1836. (fr)
- L’expédition de Constantine de 1837, en Algérie, est décidée par Louis-Philippe Ier et le chef de son gouvernement, le comte Molé, à l'été de 1837 à un moment où, avec la consolidation de la monarchie de Juillet et le rétablissement de la prospérité économique, le roi envisage une dissolution de la Chambre des députés. Comme Charles X en 1830 avec l'expédition d'Alger (1830), le roi des Français cherche à obtenir un meilleur résultat aux élections en offrant au pays un peu de gloire militaire et en vengeant l'échec de l'expédition de Constantine de 1836. (fr)
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