La Gastronomia en La Antigua Grecia A T PDF
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El imaginario de la alimentación
en Europa
Gastronomía y Literatura
en abril del año 2010, dentro del marco de las jornadas organizadas
la UPV-EHU.
físico e inmaterial.
a estas cuestiones, pues son éstas las actas de unas Jornadas que
multidisciplinar.
tienen acostumbrados este tipo de libros hoy en día. Al igual que las
innovaciones técnicas.
el nombre propio.
nos acerca a la noción del mal gusto tanto estético y artístico como
escribía sus poemas y sus relatos. De todo ello deduce que nadie que
la inversión.
está tan presente que nos presenta con una claridad y una cercanía
las relaciones existentes entre ellos, dado que no come igual la mujer
con el marido que con el amante. Eso sí, el vino riega siempre estas
medieval.
Director
Enero de 2011
Agradecimientos:
BÉATRICE FINK
Además, el mundo del glotón, del tragón cede poco a poco frente
1
Estas palabras, que la autora expuso en su magistral conferencia en la UPV/EHU
en 2010, aparecen recogidas en su introducción a su libro Les Liaisons savoureuses,
Presses Universitaires de Saint-Étienne, Société française du XVIIIe siècle, 1995,
obra que supone una síntesis única, tanto por su contenido como por su
singularidad, de los textos culinarios más importantes de la Francia gastrosófica del
siglo XVIII. Quedan aquí respetuosamente traducidas por Juan Ibeas y Lydia
Vázquez. Agradecemos la cesión de los derechos de traducción y de publicación en
España a Henri Duranton, responsable de la publicación francesa original.
disputan las grandes casas entre sí, se ve promovido al estatuto
chef de príncipes.
consumible.
un saber nuevo.
las librerías tiene que ver seguramente con factores que lo unen
devotos.
que realizarlas cada vez que las necesitéis‖, y los métodos para
hacer jugos ―que pueden servir para muchas salsas y muchos
hasta mediados del siglo XIX. En el primer caso, los platos son
gusto.
convidado.
filosofía a la cocina.
El Dictionnaire des aliments (1750) especifica en su página
cocina moderna entre las causas físicas‖ a las que debemos ―el
una cocina que ha de ser tan salubre como sabrosa. Las causas
del espacio cada vez más amplio conquistado por los escritos
explicará con todo detalle. Las salsas, algunas de las cuales son
acompañamiento musical.
Los placeres de la mesa…
2
Nicolas Appert (1749-1841), es el primer hombre en poner a punto un método de
conservación de los alimentos esterilizándolos mediante calor en contenedores
herméticos (botellas de vidrio y después cajas de aluminio). Crearía la primera
fábrica de conservas en el mundo.
nivel de producción. En la Cuisinière républicaine, por ejemplo,
Edad Media.
Hasta el siglo XVII es, con todo, casi siempre ácida, a base
d'Olivet de Vannes
siglo XVIII se pierde por las trufas, sobre todo las negras, que
invitan a soñar.
El culto de lo que Brillat-Savarin denominará el ―diamante
Cave phaseolum!
3
Se deshuesa el ave dejando los huesos de alas y patas, lo que hace que el pájaro
adopte naturalmente una postura semejante a la de un sapo, crapaud en francés.
La fuente de la alcachofa de Madrid (s. XVIII) es un monumento a sus
propiedades
culinaria‘.
Bibliografía
1762
Onfroy, 1782
autor, 1787
Iosset, 1671
Lévy, 1983
Jacob, 1992
523
Maradan, 1803-1812
1790
ed. 1702)
1742
1691
Bauche, 1758
jeune, an III
Le Mercier, 1755
1983
LA COCINA FUNESTA4
Allen S. Weiss
Gastrósofo
evaluar el sentido del gesto del hombre al que Artaud denomina ―el
4
Esta conferencia está inspirada en el capítulo IV del mismo título de la obra de
Allen Weiss Flamme et festin. Une poétique de la cuisine, París, Java, 1994, p. 33 a
38. La traducción es nuestra.
a parar al mar por los desagües existentes. Debía preverse un
sistema especial:
5
Antonin Artaud, Héliogabale ou l’anarchiste couronné (1934), en Œuvres
complètes, t. VII, París, Gallimard, 1982, p. 39.
de misterio exigen una resolución, lo que se manifiesta por un
que el pájaro de las plantas aromáticas pase más cerca del sol
6
Jean-Pierre Vernant, en la introducción al libro de Marcel Étienne, Les Jardins
d’Adonis, París, Gallimard, 1972, p. XXXIIII. Por supuesto, todas las
consideraciones estructuralistas en la cocina encuentran sus referencias en los
cuatro monumentales volúmenes de Mythologiques de Claude Lévi-Strauss. En
oposición a los aspectos mitológicos de la cocina, cfr. los estudios siguientes en
torno a las relaciones entre gastronomía y filosofía: Noël Châtelet, le Corps à corps
culinaire, París, Le Seuil, 1977; y Michel Onfray, Le Ventre des philosophes:
Critique de la raison diététique, París, Grasset, 1989.
Esta criatura tiene un ciclo vital que constituye una auténtica
trascendental.
las artes. De las grandes bandejas de aves asadas decoradas con sus
o íntimas del siglo de las Luces, a las mesas más sofisticadas de los
grandes restaurantes de hoy, todas proporcionan guiones, no
sensibilidad.
conversar con los invitados. La aparición del primer chef estrella (una
contrato. ¡Y pensar que toda esa comida era menos costosa que un
solo plato realizado por Carême, o incluso que un simple cesto de las
frambuesas de Roussel!
gourmand dans divers quartiers de Paris, que las mostazas Maille son
7
John Cage, Conversing with Cage, presentado por Richard Kostelanetz, Nueva
York, Limelight Editions, 1991, p. 209.
jardín de piedras que Cage apreciaba de forma muy especial.
la condición culinaria.
Manger la scène : Eros, logos et symposion
Jean-Pierre Dubost
(Clermont-Ferrand II)
CELIS
repas qu'un vassal était obligé de fournir à son seigneur une ou deux
fois l'année. »
table. Ou plus exactement cette table n‘est qu‘un mot : « Nous nous
dira pas, parce que son objet n‘est pas, précisément, l‘objet. »
implications.
complètement surmonté, car nous n‘en avons pas encore assez fait
8
« Le souper impossible », in Les paradoxes du romancier : Les Egarements de
Crébillon, P.U.G., Grenoble, 1975, p.75.
l‘anamnèse - à savoir le fait que le discours sur l‘éros (l‘érotologie)
de théâtralisation y est telle que l‘on peut dire que le terme même de
sommes venus ? (…) Est-ce que vous allez rire de moi sous prétexte
que je suis ivre ? Mais moi, même si vous riez, je sais pourtant que je
9
212 e Traduction Bernard Piettre, Nathan 1983, p. 89.
10
Cf. pour ces deux arguments V. Brochard, Etudes de philosophie ancienne et
moderne, Vrin 1966, p. 89-92, cité par Bernard Piettre, éd. cit. p. 146-147.
que ce revirement générique est inséparable du contenu de ce qu‘il a
Xénophon, il devint encore plus clair que le genre du Banquet est dès
tard pourra se développer sur cette base une autre littérature, qui
Xénophon, que nous redonnons ici dans son intégralité, car il est
heure, se leva pour aller faire sa promenade. Lycon, son père, qui
sortait avec lui, se retourna vers Socrate et lui dit : « Par Héra,
Dionysos. Puis vous verrez peu après Dionysos qui a un peu bu chez
Ariane, parée comme une jeune épousée, entra et s'assit sur le siège.
danse, car Ariane n'eut pas plus tôt entendu la musique qu'elle laissa
s'assit sur ses genoux, la prit dans ses bras et lui donna un baiser.
Ariane lui jurer que oui, si bien que Dionysos n'était pas seul à le
croire, et que tous les assistants auraient juré que le jeune garçon et
s'étreindre l'un et l'autre et s'en aller comme pour gagner leur lit,
ceux des convives qui n'étaient pas mariés jurèrent de l'être bientôt,
pour en jouir. Socrate et ceux qui étaient restés sortirent avec Callias
11
Xénophon, Le Banquet, Hodoi elektronikai,
http://hodoi.fltr.ucl.ac.be/concordances/Xenophon_banquet.
12
Ajoutons que le motif de l‘accouplement d‘Ariane et de Dionysos qui fait l‘objet
de la conclusion du Symposion de Xénophon connaîtra par la suite une fortune
iconographique considérable, notamment à la Renaissance italienne et jusque au
cœur de l‘illustration des textes libertins du XVIIIe siècle. Cf. mon article On ne voit
pas ce dont on parle et l’on ne parle pas de ce qu’on voit, Revue des Sciences
Humaines, n° 271 ; 3/2003
antique est à la fois la transposition de l‘ambivalence profonde de la
et dans le cadre de ces réflexions, qui visent non les choses en elles-
est c‘est en pivotant autour d‘elle que l‘on passe sans peine, de
mangerait que des mots sur une table qui ne serait qu‘une phrase.
serait une faiblesse de cette fiction. Or ce n‘est pas parce que la table
est bien garnie, c'est-à-dire bien décrite, comme par exemple chez
Je veux dire par là qu‘on en boit, et plus que de raison. Il n‘y a pas de
13
Cf. L’Académie des dames ou la Philosophie du boudoir du grand siècle. Dialogue
érotique présenté par Jean-Pierre Dubost, Collection Le pavillon des corps curieux,
Éditions Philippe Picquier, Arles 1999
tant mieux ainsi, car qui n‘aime justement pas dévorer un texte.
Somme toute, la fiction est bien faite pour qu‘on la mange. Mais dire
que « la fiction est faite pour qu‘on la mange » signifie justement que
langage mais de nous donner pour ainsi dire l’appétit du sens. C‘est
s‘annonce à lui par des bruits de voix, des filets de lumière : c‘est là
sommes dans une histoire naturelle de l‘orgie. Puis l‘orgie est insérée
non plus analysé comme l‘orgie elle-même, mais illustré par quelques
même que la tradition antique des banquets, dès les deux premiers –
savoir l‘éros.
l‘on soulève, la viande que l‘on découpe, et ce qu‘il y sur la table est
véritable menu que la fiction n‘a pas d‘autre volonté que de nommer.
14
Roland Barthes, S/Z, LXVII. Comment est faite une orgie, Editions du Seuil,
1970, p. 163.
convives. C‘est un cas intéressant d‘innovation gastronomique. Le
« (…) Cette oraison funèbre fut suivie par un plateau qui, sans
doute, n‘était pas aussi grand que nous nous y attendions, mais la
rognons, sur le cancer une couronne, sur le lion des figues d'Afrique,
sur la Vierge une vulve de truie stérile, sur la balance une balance
capricorne une langouste, sur le verseau une oie, sur les poissons
15
Romans grecs et latins, éd. Pierre Grimal, Bibliothèque de la Pléiade, éd.
Gallimard, 1958, p. 28.
indirectement, comme dans le cas du signe des Gémeaux - les
l‘autre sont aux Gémeaux : ils font la paire. Je ne sais pas s‘il faut
Plus nous nous avançons ici vers le visuel culinaire halluciné par
le texte, plus nous nous trouvons en fait dans un jeu de renvoi idéel
de mots.
vous sers. Hier je n‘en ai pas servi de pareil, et c‘était des gens
sont rien ! Ainsi serons-nous tous quand l‘Orcus nous prendra. Aussi,
16
vivons donc, tant qu‘il est permis d‘être bien ! »
16
Romans grecs et latins, ibid.
Si la mise en scène a bien pour but de thématiser le rapport
fait « de composer avec les objets seuls une œuvre d‘art autonome,
17
Charles Sterling, La Nature morte de l’Antiquité à nos jours, nouvelle édition, p.
127.
La seconde une nature morte du peintre flamand Jan Fyt
(1611-1661) :
Au lieu d‘investir la charge symbolique exclusivement dans le
Certes, mais il reste que ce que l‘isolement isole est bien cette vertu
18
Ibid. p. 127
19
Ibid. p. 118
d‘autres, avec une insistance toute particulière, la cohabitation de
l‘une et de l‘autre.
revenir en retour sur les choses oubliées, car voilà quelqu‘un dont on
qu‘un texte, ou qu‘elle puisse être dominée par une pure présence
des mets, dont les mots ne seraient que le nom propre où le support
chagrin que Frédéric acquiert le sauve certes du désir d‘en finir avec
20
En revanche, les vins sont tous parfaitement nommés, ce souligne bien d‘ailleurs
à quel point le rapport entre saveur et nom propre est essentielle pour le vin.
Au milieu de la confusion des discours enflammés par « les
affirme l‘un des convives, « marche sans cesse vers une dissolution
sociale qui n‘a plus d‘autre barrière que l‘intérêt »21 (traduisons : qui
ne montre pas seulement, une fois de plus, que la scène des mots et
à quel point ce splendide roman, dont le but profond est d‘offrir une
21
Balzac, La peau de chagrin, éd. Garnier/Flammarion, 1996, p. 109.
De lo simbólico a lo simbólico
PAOLO SCARPI
UNIVERSIDAD DE PADUA
2222
Este texto, titulado en su versión original ―Dal simbolico al simbolico, ouvero
buono da bere se buono da pensare‖) es el prefacio a la traducción italiana de la
obra de Jean-Robert Pitte, Le Désir du vin. À la conquête du monde, París, Fayard,
2009 (trad. it. Il desiderio del vino. Storia di una pasione antica, Bari, Dedalo Libri,
2010). Traducción de Lydia Vázquez.
normas civiles. Era una circulación que, en la perspectiva de los mitos
Dionisio. Por ello Simónides de Ceos, poeta griego que vivió entre los
las consecuencias de una grave carestía del trigo, ya que con ello se
de vinos para beber en vinos para comer. Con todo, el vino tiene a
sus espaldas una larga historia y una tradición que siempre han
los efectos que el líquido perfumado era capaz de producir, así como
buscaban remedios para beberlo sin daño; uno de los más difundidos
era comer col, aunque el más utilizado era mezclarlo con agua, lo que
Eneas había tenido que enfrentarse con los rútulos de Turno por el
23
Paolo Nencini, Ubriachezza e sobrietà nel mondo antico. Alle radici del bere
moderno, Roma, Muzzio, 2009.
24
La palabra griega ‗simposio‘ (συμπόσιον, sympósion) significa propiamente
―reunión de bebedores‖.
temetum –era el vino devuelto a los dioses, así denominado según un
albores del Medievo, entre los siglos VI y VII, recordaba que los
vocabant).
hizo Cristo. Este discurso iba dirigido a los hombres y las mujeres
posesión diabólica.
tal suerte que podemos afirmar que tal función sagrada estaría en
las eventuales visiones oníricas que los vapores del alcohol puedan
entre quien se deja arrastrar por el abuso y quien los consume con
natural: no se bebe vino para saciar la sed. Por ello, una vez perdida
25
Fernando Ortiz, Contrapunteo cubano del tabaco y el azúcar, La Habana, J.
Montero, 1940.
un producto como los otros y los expertos en marketing pueden
puede que sea éste el próximo desafío del vino, invención humana
características del suelo, del clima y del ambiente son decisivas por
26
Ilíada XI 639.
27
Marón, sacerdote de Apolo en la ciudad ciconia de Ismaro (o Ismara), fue
protegido, así como su familia, por Odiseo del saqueo. Marón le regaló un vino
dulce muy fuerte, con el que después lograría embriagar a Polifemo.
clasificación de los vinos V.C.C., I.G.T., V.D.T., D.O.C., D.O.C.G.,
de Trifolio. Son pues los vinos y las viñas el último baluarte de una
28
En Italia, V.C.C.: Vino de Consumo Corriente; I.G.T.: Indicación Geográfica
Típica; V.D.T: Vino De Mesa (Tavola); D.O.C.: Denominación de Origen Controlada;
D.O.C.G.: Denominación de Origen Controlada y Garantizada; V.Q.P.R.D.: Vinos de
Calidad (Qualità) Producidos en Regiones Determinadas.
costumbres y de valores, de símbolos y de tradiciones, de
puede que suceda lo contrario, que esos vinos sin historia acaben por
tipicidad, de placer.
29
Amalfi y Cinco Tierras en Italia, Saint-Émilion y el Valle del Loira en Francia, Alto
Duero portugués, Renania-Palatinado en Alemania y Tokaji en Hungría.
Y es que en el fondo la vinificación es un arte, como la cocina, y
jugado toda la historia del vino, dimensión por otra parte que se ha
consumo cotidiano del vino para las fiestas, y a saber elegir los vinos
importantes, para los brindis, para las carnes y para los pescados, e
que al beber, por lo que al final puede afirmarse que ―el vino es el
espejo del hombre‖, como cantó Alceo entre los siglos VII y VI a. C.,
según el cual el único vino malo es el bebido por quien ignora el
lo que se hace necesaria una selección. Por ello voy a proponer una
misma medida.
con el atún, las anguilas del lago Copais, comparadas incluso con
así como los lomos y las patas, que se comían asados; las partes
30
Cf. Eubulo, frr. 36 y 64 K.-A.; Anaxándrides, fr. 40 K.-A.; Antífanes, fr. 145 K.-
A.; Matrón de Pítane, fr. 534,38 SH.
pinzón o el hortelano), así como la de las de corral, además de los
Entre los primeros están las aceitunas, el queso, los huevos, los
31
Aristófanes, Tesmoforiantes 347-348, Riqueza 436. Teopompo cómico, fr. 66 K.-
A.
Este cuadro general aparece reflejado con más o menos detalle
del poeta, centrado más bien en presentar las hazañas de los héroes
que lucharon ante las murallas de Troya y los conflictos de los dioses
auditorio, sino que enriquece su relato con toda una serie de detalles
así como entre los humanos en su conjunto y los dioses, que toman
alimentarse.
tiempos del propio Homero –hacia el siglo VIII a.C. –, debía de estar
como una distinción (Ilíada XVII 250), porque los honores que se
manos.
destaca Homero, porque «el hambre les roía las entrañas». Tampoco
ignorar igualmente el uso del aceite para cocinar, aunque los poemas
literatura griega.
32
Epicarmo de Siracusa, fr. 51 K.-A. Arquéstrato de Gela, frr. 27,1-2, 31, 33, 34,1-
2, 35,1-4, 36,1, 37,1-4, 42,1, 45, 50,1 Olson-Sens. Hipócrates, Sobre el régimen
III 68, 2. Diocles de Caristo, frr. 182 y 183a 6 van der Eijk.
considerable de este tipo de poesía encontraba su marco natural de
invitaciones de Alceo (frr. 38, 332, 335 y 346 Voigt) a beber sin
hablar y el decoro33.
33
Teognis, 211-212, 413-414 475-510, 843-844. Jenófanes, fr. 1,17-8 West.
34
Anacreonte, frr. 24 y 33,3-4 Gentili. Alceo, fr. 346,4 Voigt.
efectos del alcohol, permitiendo evitar o retrasar la embriaguez y
a III a.C., sobre todo porque, salvo las obras de Aristófanes y algunas
época clásica.
La de cerdo era algo más accesible y quizá por ello es la más citada
en la comedia; además los atenienses completaban sus necesidades
resultaba todavía más inaccesible que la carne para una buena parte
dio mucho juego como elemento cómico. Así, la figura del pescadero
(sin ahorrar toda clase de trucos para hacer que parezca mucho más
35
Aristófanes, fr. 402,8-10 K.-A. Antífanes, fr. 159 K.-A. Jenarco, fr. 7 K.-A.
un bello ejemplar o porque su paso por el mercado es como un ciclón
36
Antífanes, fr. 50 K.-A. Alexis, fr. 47 K.-A. Timocles, fr. 4,8-10 K.-A.
37
Alexis, fr. 292 K.-A. Hermipo, fr. 77 K.-A.
38
Aristófanes, frr. 225 y 364 K.-A. Alexis, frr. 276 y 278 K.-A. Clearco, fr. 5 K.-A.
Hermipo, fr. 77 K.-A. Eubulo, fr. 121 K.-A. Fililio, fr. 23 K.-A. Epílico, fr. 7 K.-A.
Antídoto, fr. 4 K.-A.
39
Aristófanes, Tesmoforiantes 737, Lisístrata 465-466.
poesía lírica y con una cierta propensión hacia mezclas más fuertes.
Esto que encaja bien con el amor al vino puro del que hacen gala
excluidos del simposio, como los esclavos, las mujeres y los bárbaros.
(puerro, ajo, queso, miel) lo que tritura son varios de los estados
hacia el 100 a.C., destacaron Epéneto, del que se sospecha que pudo
habían asistido.
con gran autoridad del propio banquete, apoyando sus palabras con
las carnes y las aves; otros se refieren a aspectos más generales del
banquete, como los tipos de copas o las plantas con las que se hacen
habitantes de Síbaris.
fuentes que utiliza para las citas con las que ilustra cada uno de los
época.
Arquéstrato.
recibe cada uno de los alimentos, sobre todo pescados, que ocupan la
vista muy aristocrático. Los alimentos que alaba son en general muy
localidades italianas.
40
Cf. Crisipo de Solos, SVF III, p. 199, fr. 5, y Clearco de Solos, fr. 63 Wehrli.
recursos, entre los que destaca sobre todo el de la parodia, que
mental inmediata entre las diversas partes del Banquete Ático y sus
mitológicos.
cena rustica. Otra cuestión es que la ligereza del tema hiciera que en
BIBLIOGRAFÍA
Roma 2005.
1991.
Baltasar Gracián
41
Mientras que en China e India se cultivaba y se usaba como edulcorante desde
tiempos remotos, en el mundo mediterráneo, aunque se conocía y en algunos
lugares crecía espontáneamente, su consumo era puramente terapéutico. En el
siglo IX los árabes refinan el azúcar y llega a Europa por dos conductos: Venecia y
los árabes de España. Con las Cruzadas se vulgarizó su uso. Colón llevó la caña de
azúcar a Santo Domingo y Cortés a México. A partir de 1553, el azúcar que se
consumía en España se importaba de México.
42
El praline (originariamente se escribe prasline) se dice que fue nombrado así en
honor al soldado y diplomático francés Caesar, duc de Choiseul (1598–1675), cuyo
cocinero habría sido el primero en pensar y elaborar tan original y sabrosa
combinación. Según se cuenta, el cocinero, llamado Clément Lassagne, tras
retirarse del servicio militar, abrió el local denominado la Maison de la Praline, en
las afueras de Montargis (local que existe hoy en día), a 110 km al sur de París.
acompañamientos43 como nos explica en una de sus cartas desde
España, Mme d'Aulnoy (1650-1705), la escritora francesa de agitada
vida que recorrió varias cortes europeas a finales del siglo XVII y
principios del XVIII:
43
En un principio era una bebida fría, amarga, picante y roja, pues le añadían chile
y achiote. Tras la ocupación hispana se aderezaría con azúcar, vainilla, ámbar y
almizcle.
hommes aussi, de les nettoyer avec un cure-dents, en quelque
compagnie qu'ils soient. C'est une de leurs contenances ordinaires.
On ne sait ce que c'est ici que de les faire accommoder par des gens
du métier; il n'y en a point, et, quand il en faut arracher, les
chirurgiens le font comme ils peuvent.
Je me souviens d'avoir ouï chez moi des disputes entre des abbés
français et romains sur le chocolat, et ceux-ci y être prêts à accuser
les premiers d'hérésie, à cause qu'ils soutenaient que cette boisson
rompait le jeûne, quand les italiens assuraient qu'on en pourrait
même prendre trois ou quatre fois par jour sans contrevenir aux
commandements de l'église. On est dans cette opinion en Espagne,
et on n'a pas le moindre scrupule de suivre cet usage44.
44
Lettres inédites de Mme de Maintenon et de Mme la princesse des Ursins (1705-
1714), (T. IV), París, Bossange Frères, 1826, p. 472.
45
Pedro Mártir de Anglería envió al papa Clemente VII, en 1523, un informe
pormenorizado sobre el cacaotero y sus productos. Otro libro que reúne
información interesante sobre el nuevo cultivo es el de Girolamo Benzoni, que
recorrió entre 1542 y 1556 el Nuevo Mundo.
Loyola: apoyándose en Santo Tomás de Aquino, asegura que
"liquidum non frangit jejunium", es decir que el chocolate tomado con
agua no era más que una bebida, autorizando el consumo hasta los
días de penitencia46. Y como sabemos, Roma locuta, causa finita.
Madame de Sévigné, en una de las muchísimas cartas que
escribió a su hija, da testimonio de como la cuestión había calado
entre el público, y de su confianza en las muchas virtudes de tan
polifacética bebida, que le ayuda a digerir cuando come en exceso y
le da energías durante el ayuno, según le convenga en cada
momento:
Je veux vous dire ma chère enfant, que le chocolat n'est plus avec
moi comme il était, la mode m'a entraînée, comme elle fait toujours:
tous ceux qui m'en disaient du bien, m'en disent du mal. On le
maudit, on l'accuse de tous les maux qu'on a, il est la source des
vapeurs et des palpitations: il vous flatte pour un temps et puis
allume tout d'un coup une fièvre continue qui vous conduit à la mort.
(Lettre du 15 avril 1671)
46
Cfr. PALMA, Ricardo, Tradiciones peruanas, Sexta serie (1883), Barcelona,
Montaner y Simón, 1893.
llega a temer no ya por la adición de su hija, sino por la apariencia
del futuro nieto:
47
Cfr. Montesquieu, dans Encyclopédie de Diderot et d‘Alembert : Article "GOÛT"
48
Su Viaje por España pareció falso e inventado a Raymond Foulché-Delbosc, gran
especialista en literatura de libros de viajes, aunque otros críticos como Arturo
Farinelli, Storer, Mazon, el Duque de Maura y Agustín González de Amezúa lo
consideran cierto, por más que la baronesa exagerase con frecuencia, inventase en
otras ocasiones, adornase en otras lo que recordaba con bastante lejanía y en no
pocas ocasiones reelaborase informaciones indirectas ya de por sí sesgadas y
testimonios de otros viajeros.
49
AULNOY, Comtesse d', La Cour et la Ville de Madrid vers la fin du XVIIe siècle.
Relation du voyage d'Espagne, Paris, Plon, 1874, p. 12.
cuenta su descubrimiento en la corte de Felipe IV de alguno de estos
productos exóticos (en Aranjuez):
50
El Diccionario de la Real Academia y el Corominas aseguran que la palabra
"búcaro" es de origen mozárabe del mozárabe búcaro, y este del lat. pocŭlum, taza,
vaso.
51
Los más preciados eran los búcaros portugueses de Estremoz, muy vaporoso, y
los barros de Chihuahua (Méjico) muy finos y fáciles de masticar.
Margarita de Austria52. Las consumidoras de estos barros buscaban
conseguir el anhelado color pálido en la tez (aunque a veces se
ponían amarillas), ya que éstos producían una clorosis o anemia,
conocida en la época como opilación, a la que también se refiere Mme
d'Aulnoy:
Je vous ai dit qu'elles ont une grande passion pour cette terre, qui
leur cause ordinairement une opilation; l'estomac et le ventre leur
enflent et deviennent durs comme une pierre, et elles sont jaunes
comme des coings. (...) On dit qu'elle a beaucoup de propriétés. Elle
ne souffre point le poison, et elle guérit de plusieurs maladies.
52
La infanta Margarita comía barro porque sufría una regla muy abundante y esto
le hacía sangrar menos (¿?).
Está claro que por su edad no lo utilizaría como anticonceptivo, pero es conocido
que la Infanta sufría de una pubertad precoz, posiblemente padecía el síndrome de
Albright, que provoca una muerte temprana (murió con veintidós años). Este
síndrome se caracteriza por tumor tiroideo, bocio, talla corta y unas hemorragias
menstruales anormales, que haría de la ingesta de barro, uno de los remedios para
obstruir u opilar los conductos sangrantes.
53
Para curar la opilación los médicos prescribían a las jóvenes enfermas agua con
polvos de hierro. El medicamento se preparaba en casa; había que tomarlo por la
mañana, en ayunas, y dar a continuación un largo paseo para asimilar mejor el
jarabe, lo que se llamaba pasear el acero. Indica Covarrubias que "es enfermedad
ordinaria y particular de doncellas y de gente de poco ejercicio." En numerosos
textos la opilación es una excusa para disimular un embarazo, o para salir a dejarse
galantear por un pretendiente.
los terrenales, se inquietara por estas prácticas, de lo cual da fe el
siguiente comentario de la d'Aulnoy54:
54
Hay una monja madrileña de la época que escribe cómo durante un año se
aficionó a ingerir ese material, vicio del que se libró, aunque hace hincapié en que ,
durante el tiempo que lo tomó, tuvo las más intensas experiencias interiores.
Confesaba «haber caído en la tentación de comer búcaro porque se lo vio comer a
la marquesa de La Laguna» y que el diablo la tentó, pero luego añadía la monja que
nunca había visto más claro al Altísimo".
SESEÑA, Natacha, «El gran afecto de Goya fue su amigo Martín Zapater», Diario
ABC, 19 de noviembre de 2006.
55
56
Lope de Vega: El acero de Madrid. Edición de Stefano Arata. Madrid: Castalia,
2000, pp. 30-31.
mas que no entendamos todos
que aquestos barros son lodos,
no puede ser.57
Le pain est fait de blé d'Inde que nous appelons en France blé de
Turquie. Il est assez blanc, et l'on croirait qu'il est pétri avec du
sucre, tant il est doux; mais il est si mal fait et si peu cuit, que c'est
un morceau de plomb que l'on se met sur l'estomac.
La carne:
Car, encore que le mouton y soit fort tendre, leur manière de le frire
avec de l'huile bouillante n'accommode pas tout le monde; c'est que
le beurre y est très-rare. Les perdrix rouges s'y trouvent en quantité;
elles sont un peu sèches, et, à cette sécheresse naturelle, l'on y en
ajoute une autre qui est bien pire; je veux dire que, pour les rôtir, on
les réduit en charbon.
57
GÓNGORA, Luis de, Letrillas. Edición de Robert Jammes. Madrid: Castalia, 1980,
p. 55
On y servit aussi un jambon qui venait de la frontière du Portugal, et
qui était meilleur que ceux de mouton que l'on vante si fort à
Bayonne, et que ceux de Mayence. Mais il était couvert d'une certaine
dragée que nous nommons en France de la nonpareille, et dont le
sucre se fondit dans la graisse. Il était tout lardé d'écorce de citron,
ce qui diminuait bien de sa bonté.
O el pescado:
Le maréchal (...), fut dîner chez l'amirante de Castille, qui lui fit un
festin superbe et magnifique à la manière espagnole, c'est-à-dire
pernicieux, et duquel personne ne put manger. J'y vis servir sept
cents plats, tous aux armes de l'amirante: tout ce qui était dedans
était safrané et doré; puis je les vis reporter comme ils étaient venus,
sans que personne de tout ce qui était à table y pût tâter; et le dîner
dura plus de quatre heures. Le soir, il y eut un concert de voix et
d'instruments que ne valut pas mieux que le repas.58
Pero a ojos del pueblo galo el mal gusto hispano llega más allá
de la mesa. Los graves ilustrados españoles, lejos de domesticar el
amargor, se sumergen en él provocando el estupor del resto de
Europa. El control tiránico de la Iglesia católica y de su censura
(encarnada en la implacable Inquisición), la inestabilidad social
general pese al gobierno algo más ilustrado de los Borbones, y la
crisis económica favorecen el amargo pesimismo de unos
intelectuales que sueñan con convertirse en franceses (como
58
Nouvelle Collection des Mémoires pour servir à l'histoire de France depuis le
XIIIème siècle jusqu'à la fin du XVIIIème (par MM. Michaud), t. VII, Mémoires du
Marechal de Gramont, Seconde Partie (1659), París, Éditeur du commentaire
analytique du Code Civil (Edouard Proux et compagnie), 1839, p. 317.
testimonia la figura del "afrancesado"). La amargura, tanto física
como espiritual, cubre el imaginario literario español y se convierte
en un brebaje que la dulce Europa no puede tolerar: ni el
culteranismo de Góngora59 ni el conceptismo de Baltasar Gracián y
Francisco de Quevedo60 encuentran un público receptivo más allá de
los Pirineos. En ambos casos el resultado era un estilo rebuscado y
picante que el paladar francés del XVIII no tolera, como vemos en
una de las Lettres Persanes de Montesquieu:
59
Que busca el preciosismo y el artificio formal
60
Centrado en la condensación expresiva y el esfuerzo conceptual
physique et moral ne soit tôt ou tard aussi abruti que celui du
Péruvien.
Este es el genio del siglo. (…) Cuatro donaires, seis sentencias (…),
una declamación salpicada de epigramas en prosa. Cierto estilo
metafísico sembrado de voces alusivas a la Filosofía con que
quieren ostentarse filósofos los que tal vez no saben de ella sino
aquel lenguaje impropio y afectado, se creen suficientes para que
puedan compensar la ignorancia y el ningún estudio. Así lo hizo
Voltaire, y así lo debe hacer la turba imitatriz.
61
"Tal sentimento così bene accordato, e disposto, chiamarono alcuni un'armonia
dell'Ingegno; Altri dissero, che fosse il Giudizio, regolato però dell'Arte; Certi una
squisitezza di genio; Ma gli Spagnuoli più d'ogni altro nella Metafora perpicaci,
l'espressero con questo Laconismo fecondo, Buon Gusto."
TREVISIANO, B., "Introduzione all'Opera del Pritanio, cioè la Teorica del Buon
Gusto", en MURATORI, L. A., Riflessioni sopra il Buon Gusto. Delle Riflessioni sopra
il Buon Gusto nelle Scienze e nell'Arti, Venise, 1736, p. 79.
estética para la literatura por autores como Quintiliano 62, Plauto o
Cicerón, y posteriormente, la metáfora pasó a las lenguas romances
junto con el significado fisiológico. Menéndez Pidal63 señaló que Isabel
la Católica empleaba la expresión "de buen gusto" para referirse a un
hombre que gestiona bien sus relaciones sociales, actuando
correctamente y con maneras agradables. A partir de ahí el sintagma
pasaría a Italia y a Francia (donde la expresión "homme de bon goût"
se aplica pronto en el círculo cortesano).
Pero sin duda es de la mano del escritor conceptista Baltasar
Gracián (1601-1708), cuando la expresión alcanza todas sus
significaciones relacionadas no solo con lo social sino también con el
conocimiento y las artes. Para Gracián el buen gusto es una facultad
ligada al juicio, una capacidad para distinguir inmediatamente las
cualidades positivas y los defectos de las personas y las cosas, desde
el punto de vista moral, cognitivo y estético. Pero Gracián nunca
pierde de vista el referente de la metáfora sensual, como apreciamos
en El discreto (1646), donde subraya la importancia de estimular el
gusto con "sainetes", esa salsa que animaba los platos y los hacía
más apetitosos y que con el tiempo daría nombre a un género teatral
breve que también animaba las representaciones de ciertas obras
más largas:
Realce XXII
62
Nam et urbanitas dicitur, qua quidem significari video sermonem praeferentem in
verbis et sono et usu proprium quendam gustum urbis et sumptam ex
conversatione doctorum tacitam eruditionem, denique cui contraria sit rusticitas.
Llámase primeramente cortesanía, por la que entendemos una conversación en la
que, ya por las palabras, ya por la pronunciación, ya por la propiedad se echa de
ver el aire y gusto de la corte y cierta erudición de la gente culta, a la que se opone
lo que llamamos rusticidad. QUINTILIEN, De l'Institution oratoire, 6.3.17.
63
MENÉNDEZ PIDAL, Ramón, "El lenguaje del siglo XVI", dans Cruz y Raya du
15/09/1933, réed. dans La lengua de Cristobal Colón y otros ensayos, Madrid,
Espasa-Calpe, 1958, 47-84, (coll. "Austral", p. 280).
lisonjera la novedad, hechiza el gusto, y con sólo variar de sainete
se renuevan los objetos, que es gran arte de agradar.
¡Cuántas cosas muy vulgares y ordinarias las pudo realzar a
nuevas y excelentes, y las vendió a precio de gusto y de
admiración! Y, al contrario, por escogidas que sean, sin este
sainete no pican el gusto ni consiguen el agrado.
64
ADDISON, J., "Fine Taste", dans The Spectator, 409 (19 juin 1712); III, (éd. de
G. Smith), Londres/New York, 1958, p. 270.
Un alto en La Europa caníbal.
Juli Leal
Universidad de Valencia
¿Antropofagia o canibalismo?
de asimilarse a sí mismo.
como lo hace Andrade, como una base antropológica que permite ver
Europa.
una vez estos dos términos que parecen sinónimos pero que no lo
las Antillas. Caniba sería una variación de la forma en car que dio
del caníbal.
cannibalize y cannibalization…
caníbal.
(Catacresis)…
mayores comedores…
Black Annis que vivía en una gruta de la colina de los Daneses, con
carne humana sin que él lo sepa, y también que se deje comer por
ancestral y universal.
lo cultural.
Juli. Ya ves que necesitamos a los caníbales. La excepción caníbal,
moral.
desvalida, fue a robar del carro de Helios una chispa que ofreció a los
la carne, la médula, las entrañas, que cubrió con la piel del toro.
Después, separó los huesos, sobre los que derramó la grasa del
Juli: Sin embargo, hay dioses caníbales, fundadores del mito caníbal.
hijo. Por tanto, Cronos devoraba a todos sus hijos cuando nacieron.
Cronos, quedó embarazada por sexta vez, fue a pedir consejo a Gaya
para salvar a ese niño. Gaya aconsejó a Rea que sustituyera al niño
se dio cuenta de nada… Este sexo niño, que fue criado en una colina,
entre ninfas alimentado por la cabra Amaltea, se llamó Zeus. El
mismo Zeus que dio una poción vomitiva a Cronos para hacerle
con nosotros.
consecuencias morales…
carnicería.
Lydia, ¿Y a quién se devora? Parecería que los niños son los más
tiernos…
los 10 años, las mujeres lo son más que los hombres, pero estos
caníbal.
Lydia: Sí, resulta divertido, hay un libro que se llama Del arte de
sobras…
Juli.: Algo de eso hay. Se come a los parientes difuntos, los viejos o
―exocanibalismo‖ y de ―endocanibalismo‖.
Bataille habla de Gilles de Rais, el noble francés del siglo XV, que
habría abusado sexualmente de niños, para matarles en el acto y
devorarles después.
leproso que hacía criar niños en París para matarles y así poderse
valores del otro, afectivas, puesto que se enamoran del otro, ya sean
Juli: Sin hablar de los huesos pulverizados que se mezclan con vino y
jabón es un clásico.
de tener pruebas de las Islas Caribe, parece ser que los europeos
Lydia Vázquez
degustaban.
los amos del mundo, ogros insaciables: ―Comed, pues, amos, bebed y
el buen comer.
alimentarios.
No obstante, creo que donde algunos han querido ver una de
hay más que una convivencia entre las ideas generosas de un gran
Justicia toma por Jean Valjean, y de que lo han hecho porque era ―un
perseguirá hasta el final a Jean Valjean, ese nunca come ni bebe, sólo
vida.
libre como un pájaro, hasta que cae en las redes del frívolo Febus -o
los criminales más notorios de la villa, que hacen su propia ley. Una
ley que dicta, entre otras cosas, que todo aquel que no sea ladrón,
soga. A no ser que despose a una de las mujeres que forman parte
La gitana dice que lo pide por esposo, tan sólo para librarlo de
alma noble porque comparte su pan con las palomas que anidan en
corazón.
de los excesos del poder, del lujo, del abuso de las riquezas
Hugo.
En Los Castigos, en concreto en ―Nox‖ Victor Hugo acusa a Luis-
una de las ―canciones‖ (libro I, 13) de esta misma obra, vemos con
devorados por un gato que no deja de ellos sino los huesos, ¿qué
será ahora de los pajaritos del nido? Como el pastor está ausente, el
suyo propio.
En El Último Día de un condenado, un hombre ―semejante a los
llegar de pie hasta el final, y que su experiencia sirva para que otros
(XXX)
―Como patriarca que soy, dice (―En Guernesey‖; IX), de esos que
guían a los niños, regularé mi andar para adaptarlos al ritmo de sus
cogerán flores, y comerán moras.‖ Porque los niños antes del pecado
también en esta obra (IX: ―Las calaveradas del abuelo niño‖), donde
él.
exilio; un Victor Hugo que conserva su cariño infantil por una España
Así pues, este viaje hacia el Sur se inicia ya bajo los augurios
libre rodeado de personas que saben vivir la vida, que se deleita con
paladar.
de su viaje por tierras y mares del País Vasco, le dice a su hija que
trágico accidente.
aunque en realidad el viaje sea uno más de los que hace desde hace
diez años para compartir con Juliette dos meses de intimidad, el Viaje
hará Víctor Hugo, que no sólo describe los albergues en sus obras,
viaje al Rin:
tamaños.
juran en hebreo, las mujeres discuten entre ellas, los críos gritan
como un trueno...
nada que llevarse a la boca. Así que habrá que freír lo que lleven los
desde finales del siglo XVII con Madame d‘Aulnoy, que inició la
Viaje hacia los Pirineos, no como algo ingerido por el escritor, sino en
forma de metáfora, prueba de su fuerza en el imaginario de los
tiene de hecho mucho más que ver con la romántica imagen negra de
berros.
pescadores por el lado del mar, palaciegas por el lado del monte,
decidió volver ante la alarma de sus conocidos en la capital. ―¡Pero si
poeta, que replicó: ―Me alojaré en la primera casa que vea; siempre
no habrá más que pan revenido, sidra pasada, aceite rancio y vino de
falta de uno, bien duros para dormir mejor, y, el colmo, con tres
tanto por su dominio de las lenguas como por sus lecturas, muy
... ¡y eso las había estropeado!). Como no podía ser menos, una
mesita del balcón, con vistas al golfo, a eso de las 10h, no sin antes
mañana (no dice cuántas, pero seguro que habría unas docenas), dos
Málaga, precisa, prefiere beber sidra porque sigue sin gustarle el vino
nota almibarada que aún entonces combinaba tan bien con todos los
otro vaso de vino de Málaga (tampoco habla del tamaño del vaso,
que podría ser de los grandes de sidra, ¡y lleno hasta el borde!). Cena
más finas, el guisante, por el que los franceses de hacía cien años
imaginar sin dificultad que Victor Hugo debía dormir como un bebé
extraño.
“When the horrors of the play act as a piquant sauce to the
supper!”:
traducida por Charles Reade con el título Drink (1879), en la que los
65
(Sacha Guitry. Théâtre je t’adore. Paris: Omnibus, 1996. p. 22).
verificación del texto. La obra se mantuvo en cartelera durante varios
subida del telón, aplauso general, cena del público – que hacían de la
flies there ; the curtain rises, the actors appear, the friends of the
author applaud, the enemies of his person or his talent hawk or blow
above all, what a smart appetite for a cool supper afterwards, at the
Café Anglais, when the horrors of the play act as a piquant sauce to
66
(Brander Matthews, The Theatres of Paris. London: S. Low, 1880, p. 3 ).
67
(William M. Thackeray, The Paris Sketch Book. Teddington: The Echo-Library,
1840/2006, p. 208).
puramente textuales, por cuanto los primeros condicionan a los
del público.
ocio teatral que surge a lo largo del siglo XIX en Europa, atendiendo a
las dos capitales culturales que servirán de motor para el resto del
sociales acomodadas.
68
(Alphonse Daudet, Entre les frises et les rampes. Petits études de la vie
théâtrale. Paris : E. Dentu, 1894, p. 59-60).
actores podían permitirse cenar antes de comenzar la representación.
« The table d‘hôte is served from five to nine. First to the feast
dining before going to the play. Lastly comes the steady stream
69
(Lt. Newnham-Davis, Dinners and Diners: Where and How to Dine in London.
London: Grant Richards, 1899, p. 203).
la hora de optar por uno u otro restaurante, y de mostrarse ante la
70
(Charles Knight, Knight’s London, en Robert Harling, The London Miscellany. A
Nineteenth Century Scrapbook. Oxford: Oxford University Press, 19387, p. 153). En
no pocos casos, la distribución espacial de la sala propiciaba ese exhibicionismo
entre el público. La suntuosidad de su diseño contribuía a la creación de esferas de
ilusión incluso fuera de la tablas, donde la frontera divisoria entre los espacios de la
representación se hacían cada vez más tenues: « On entrait dans le vestibule par
les trois entre-colonnements du milieu, et l'ordre ionique de ces derniers se
changeait là en ordre dorique. Deux larges escaliers, situés à droite et à gauche,
conduisaient à une sorte de balcon intérieur placé à la hauteur du parterre, ayant
vue sur le vestibule et formant un petit foyer dans lequel étaient le contrôle et le
bureau des cannes. Au-dessus du vestibule, de plain-pied avec le corridor des
premières loges, se trouvait un foyer ouvert sur la place de la Bourse, dans toute la
largeur des entre-colonnements. Un second foyer, pratiqué à la hauteur des
troisièmes loges et disposé en façon de tente, servait de café ; il donnait accès sur
une terrasse d‘où on avait même vue qu'à l'étage inférieur ». (Louis-Henry
Lecomte, Histoire des théâtres de Paris. Les Nouveautés, 1827-1832, 1866-1873,
1878-1906. Paris : H. Daragon, 1907, p. 6).
artistas,71 escritores, periodistas, abogados y demás miembros de
últimos optarán cada vez más por espacios de mayor elegancia, con
71
La presencia de artistas no era siempre motivo de alegría para los comensales u
hosteleros. Un gran número de guías victorianas de Londres alertaban al lector de
la presencia de aquéllos en los restaurantes y pubs, tanto para señalar un punto de
atracción turística, cuanto para prevenir al cliente ―respetable‖ de personarse allí.
72
Es notable, además, el recurso al restaurante sito en los aledaños del teatro
como espacio de negocio, es decir, el lugar de firma y acuerdo de contratos entre
los actores y los empresarios. El propio Chaplin, en su biografía, narra como los
contratos teatrales se firmaban, en Gran Bretaña, a principios de siglo, en el
restaurante del teatro. Hubo de espera a desplazarse a Estados Unidos, y ya para
sus películas, a que los contratos fueran firmados en un ambiente más ―oficial‖: el
despacho de abogados de la Keystone.
refrendada por el discurso ofrecido por el actor Henry Irving, con
performance goes on they munch at the sole in one hand and drink
out of the bottle in the other ».74 Al igual que en los conciertos
73
(Jeffrey Richards (Ed.), Sir Henry Irving. Theatre, Culture and Society. Keele :
Ryburn Publishing, 1994, p. 86).
74
(Richard H. Davis, ―The West and East Ends of London‖, Harper’s New Monthly
Magazine 524.88, 1894, p. 290).
movilidad, o la visión, quede restringida. Es fácil imaginar la mezcla
workmen, and the gallery their favourite part of the house. Two
the habituées of the stalls and boxes the eating and drinking
the fumes of gas in the lower parts of the house ascend. [...]
for the most part of ale and porter, originally bad, and shaken
not gluttony, but a wise regard for their health and comfort ».75
75
(Thomas Wright, Victorian London. Some Habits and Customs of the Working
Classes, 1867, p.196-198)
76
Y en muchos casos, en un auténtico proyectil, lanzado contra los actores, ya por
una mala actuación, ya como distracción.
77
En un momento en que la levadura es cortada con escayola, y la leche con agua,
la popularidad de la leyenda de Sweeney Todd, el famoso barbero – asesino en
serie de Fleet Street, cuya compañera estaba especializada en meat pies, pasteles
de carne humana, se justifica por sí misma.
habitual en la actualidad, el XIX asiste a una nueva gestión de la sala
deportivos al aire libre actuales. Muy lejos queda, por ende, el aura
on an old woman made her entrance into the box where I was sitting
and asked if ‗I didn‘t want some porter or kidney pies‘. At the Vic is
the custom to eat during the performance, and drink porter or beer,
which is brought by old women and boys between acts, and sold at
hábitos culinarios de los espectadores. Las horas a las que las clases
78
(Kirwan, The Victorian Dictionary. http://www.victorianlondon.org/ ).
tea), mientras que la primera se fue retrasando desde las 18, hasta
tender steaks, sound sherry, and good old port – will find all
una sublimación del ocio hasta convertirlo en una rutina para las
esposo:
79
(Anonymous, London at Dinner; On Where to Dine. London: Robert Hardwicke,
1858, p. 8-9).
logique, la théorie du dîner en manches de chemise, ménerait
qui est encore notre talent et notre lot, science charmante qui
dandy Lord Illingworth afirme que « The man who can dominate a
(1879) de Charles Dickens Jr. explicará que ―it is under the fostering
shadow of the theatres that the supper house still flourishes. The
Criterion, and the St. James‘s Hall Restaurants; The Café de l‘Europe,
Pall Mall Restaurant, all have a specialty for suppers ».81 El objetivo
que «like the Criterion, this theatre was originally built in connection
with a restaurant; the intention being to allow any one who whished
80
(Jules Claretie, La vie à Paris. Paris : V. Havard, 1881, p.31).
81
(Dickens Jr, The Victorian Dictionary).
http://www.victorianlondon.org/dickens/dickens-swi.htm
an evening‘s amusement to get comfortably from his dinner to his
stall without the trouble of donning great coat and hat, or the risk of
compromise has been effected, and a door just inside the theatre
out into the rain ».82 Más que economizar sus movimientos en favor
una velada que incluya dinner & show o show & supper.83 Y, en no
precisamente la función.
82
Ibid.
83
El music hall y el café concert será precisamente el espacio predilecto de este
tipo de entretenimientos, en los que el maridaje simultáneo entre comida, bebida y
espectáculo constituya una de las principales atracciones. El articulista anónimo del
diario satírico Punch describía en los términos siguientes la eficiencia del servicio en
las salas, cuando nada más sentarse, el espectador podía ver que « a civil waiter is
immediately at your side, and politely inquires what refreshment you desire? Your
order is obeyed with expedition; in a few moments your kidneys, your sausage,
your poached eggs, your chop, your steak, your baked potatoes, or your toasted
cheese, are smoking before you » (Punch, June 21, 1856).
presencia de alimentos en las salas, sino que codificará su consumo
Nadia Brouardelle
Ces petits récits qui ne dépassent presque jamais 500 vers, ont
très souvent pour scène la maison, qui est en effet le cœur des
fabliaux. Cette maison reçoit des hôtes car le fabliau rend compte de
l‘hôtesse qui n‘a que faire de recevoir un pauvre clerc, tandis qu‘elle
pas tarder.
84 84
J. Bédier, Les Fabliaux, Étude de littérature populaire et d'histoire littéraire du
Moyen- Âge. Quatrième édition, revue et corrigée. Paris, H. Champion, 1925.
bras de l‘adultère, et nombreux sont les fabliaux qui relatent le
préparé aux amants est toujours bien plus succulent que celui
nuit :
se dit qu’il n’irait pas plus loin et qu’il logerait dans la ville… »
mon mari, le sieur Milon affirme qu’il n’y a pas de vin dans cette ville
sinon chez notre prêtre messire Gautier : il a sur ses chantiers deux
85
D. Bidon et M.T. Lorcin: Le quotidien au temps des fabliaux, éditions A.& J.Picard,
2003
86
A. Montaiglon : Recueil général et complet des fabliaux des XIIIème et XIVème
siècles, Genève, édition Slatkine reprints, 1973
Cependant le prêtre ne fait pas preuve de charité et lui refuse
povre clerc » ou la femme refuse sa porte sous prétexte que son mari
est absent, mais qui en fait préserve jalousement son intérieur pour
pitié aux yeux de cette femme adultère pressée de faire rentrer les
« Il entre enfin dans une ville, pousse la porte d’un vilain, mais
Seigneur clerc, mon mari, dit-elle, n’est pas chez lui en ce moment.
clerc qui se met à raconter une histoire, la dame doit sortir tout ce
dans l‘eau du canal au cas où il les retrouve rôder dans les parages.
cette table n‘a rien à voir avec celle de nos jours. L‘expression
que l‘on posait sur deux tréteaux pour manger, et que l‘on retirait
cuve, comme dans « le cuvier », où le mari qui revient plus tôt que
dernier elle étale une nappe et fait manger son mari et ses
arrière-pensée.
serviette. »
le mari soupçonneux rentrera plus vite que prévu. A noter que dans
du crieur à travers la rue qui font que les trois malheureux, désireux
rien. Chacun des trois croyant qu'un des autres a la pièce, ils vont
« mots tentants » du crieur qui guident les aveugles vers leur perte :
rues : voici du bon vin frais et nouveau, voici du vin d’Auxerre, voilà
votre aise. Il n’est pas dans la ville de bon morceau que vous n’ayez
si vous le voulez. »
viande, des pâtés et des chapons, et des vins, mais seulement des
bons ; »
apprécient l‘oie à l‘ail. D‘ailleurs nul plat n‘est plus répandu dans les
vilains. La dame qui est chargée par le mari de cuire les deux perdrix
87
Marcel Lachiver
auxquelles il veut convier le curé, ne peut s‘empêcher d‘y goûter petit
croire au mari que le chat les a mangés… commet peut –elle résister
se délecte…
Enfin, il faut souligner aussi que le Moyen- Âge est friand des
« cher comme du poivre » qui traduit bien cette idée. Les épices sont
bourgeois, qui, pour le ranimer, lui met une pelletée de fumer sous le
nez !il faut dire aussi que la ville de Montpellier était très célèbre pour
est une rumeur qui dit que les gens épiçaient fortement leurs plats
pour cacher le goût avarié des éléments. Une autre dit qu‘il s‘agissait
pauvre est présente. Dans les fabliaux, les scènes de repas sont si
vin accompagne souvent les repas, car bien évidemment l‘eau n‘était
Consommé dans les maisons, l accompagne les bons repas qui fêtent
embourbée:
establecen en esta época que todo buen libro debe comenzar con un
88
MARIVAUX, Pierre Carlet de Chamblain de : La Voiture embourbée, 1714, reed.
in Marivaux Romans. Œuvres de Jeunesse, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la
Pléiade », Paris, 1949, (Préface).
89
MARIVAUX, Pierre Carlet de Chamblain de : Le paysan parvenu, 1735-36, reed.
in Gallimard, Paris, p. 38.
90
PREVOST, Antoine François, Abbé de: Histoire d’une grecque moderne, 1740,
reed. in Presses Universitaires de Grenoble, Grenoble, 1986, p. 19 (Avertissement).
embargo, en ambos casos también incluye un valor pragmático
relacionados.
91
BARET, Paul : Le grelot, 1762, recogido por Chr. Angelet en : Recueil de
préfaces de romans du XVIII e siècle, vol. II : 1751-1800, Publications de
l‘Université de Saint-Etienne/Presses Universitaires de Louvain, 2003, pp. 136-138
(Tout ce que l’on voudra).
fuerte: On lit. Écoutez y, curiosamente, la obra que el personaje del
92
GUIARD DE SERVIGNE, Jean Baptiste: Les sonnettes, 1749, recogido por J.
Herman en : Recueil de préfaces de romans du XVIII e siècle, vol. I : 1700-1750,
Publications de l‘Université de Saint-Etienne/Presses Universitaires de Louvain,
1999, p. 296 (Préface).
de la misma obra que nos disponemos a abordar, y cuya lectura le
carta, ni para el lector que lee este prólogo y obra. Se trata de una
apetitoso posible:
brouilleries, raccommodements, caprices, fureurs,
sentiments.93
amor. Por otro lado, también alude al efecto que puede causar sobre
craignez rien. (…) Encore une fois, Zima, prenez, lisez, et lisez
93
CREBILLON, Claude-Prosper Jolyot : Lettres de la marquise de M*** au comte de
R***, 1732, reed. in Paris, Desjonquères, coll. « XVIIIe siècle », 1990, pp. 47-48.
(Extrait d’une lettre de madame de*** , á M. de***).
tout.94 El aperitivo o estimulante de la lectura de esta obra es
discurso prefacial por este reiterado uso del imperativo, existe una
Este mismo autor nos regala otro prólogo mucho más sabroso y
obra, veamos:
94
DIDEROT, Denis : Les bijoux indiscrets, 1748, reed. in Diderot : Œuvres, 1951,
Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », p. 1 (À Zima).
- Celle d’être prié de la chose que vous mourez de
- Me satisfaire !
95
DIDEROT, Denis : Ceci n’est pas un conte, 1773, reed. in Diderot Œuvres, Paris,
Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1951, pp. 753-754.
En cualquier caso, estos exquisitos aperitivos que preceden a la
m’impatientez, (…).96
Una vez más, ese deseo del personaje del relato del prólogo
altamente eficaces.
96
LA MORLIÈRE, Jacques Rochette de : Angola, histoire Indienne, 1746, reed. in
Romans Libertins du XVIIIe siécle, Paris, Robert Laffont, 1993, p. 375 (On donnera
dans peu la préface).
97
Sobre este nexo sensitivo entre el deseo de comida y de amor físico, veáse
Vázquez, Lydia: Elogio de la Seducción y el Libertinaje, R&B, 1996, p. 33.
Por si alguien desconfía de esta transposición del plano de
part aux hommages qu’on leur rend, vous serez tentée d’en
preliminar.
Estos prólogos son exquisitos relatos de ficción que nada tienen que
lleva cabo la obra que sigue, sino que también son aperitivos
98
Duras, Claire Durfont, Mme la Duchesse de : Ourika, 1823, reed. in Romans de
Femmes du XVIIIe siècle, Paris, Robert, Laffont, 1996, pp. 985-987.
99
Duras, Claire Durfont, Mme la Duchesse de : Édouard, 1824, reed. in Romans de
Femmes du XVIIIe siècle, Paris, Robert, Laffont, 1996, pp. 1009-1012.
que uno de sus personajes esconde de modo misterioso un intrigante
historia! Veamos :
escritura prefacial.
novela francesa del XVIII, propongo uno de los más sabrosos, según
mi gusto:
100
Respecto a la gradación del deseo por parte de estos escritores del siglo XVIII,
véase L. Vázquez: Elogio de la seducción y el libertinaje, Op. cit., pp. 115-116. En
este sentido declara: (…) Así lo entendieron los escritores libertinos del siglo XVIII,
que hicieron de sus novelas auténticos tratados de gradación sensual, de seducción
por los sentidos.
(…) Ces dernières paroles avaient excité une sorte de
d’humecter le récit.101
101
ARNAUD, François-Thomas-Marie de Baculard d‘ : Sidney et Volsan, histoire
anglaise, Paris, Chez Le Jay, 1770, pp. 1-6. (Incipit de la edición original
consultada en la Bibliothèque Nationale).
obra, quien por cierto, tampoco se priva de practicar un discurso
les siguen son los ejemplos concretos. Pues bien, tal y como ocurre
en el ámbito gastronómico, no es lo mismo que una anónima ama de
novela que se cuece en este Siglo de las Luces, nos ofrece en sus
significativas:
tissu d’une fable que le fil d’un récit dont le fond est
102
MARMONTEL, Jean-François: Les Incas ou la destruction de l’Empire du Pérou,
1777, reed. in Paris, Éd. L. Berthier, 1895, vol. I, pp. III-XIX (consultada en
Bibliothèque Nationale).
algo que no se atreve a definir, en la que mezcla los ingredientes
modo que podría leerse del modo siguiente – con el debido respeto:
ligada.
los ingredientes del modo adecuado para conseguir que, incluso los
con arte, se consigue que el maridaje sea afortunado, esto es; que la
lector se identifique con l’homme tel qu’il est que aparece en las
103
LA VIEUVILLE D‘ORVILLE, Adrien de : Histoire de Lidéric Premier, comte de
Flandres,…, 1737, recogido por J. Herman en : Recueil de préfaces de romans du
XVIII e siècle, vol. I : 1700-1750, Publications de l‘Université de Saint-
Etienne/Presses Universitaires de Louvain, 1999, p. 119 (Préface).
Le Roman, si méprisé des personnes sensées, et
passât les Mers que pour y être à point nommé pris des
davantage.104
104
CREBILLON, Claude Prosper Jolyot : Les Égarements du cœur et de l’esprit,
1736, in Romanciers du XVIIIe siècle, vol. II, Paris, Gallimard coll. « Bibliothèque de
la Pléiade », 1965, pp. 9-11 (Préface).
j’ai prétendu parler, je vous répondrai par cette devise : Fiction
105
LEVESQUE , Louise Cavelier : Lilia, ou Histoire de Carthage, in Recueil de
préfaces de romans du XVIII e siècle, vol. I, Op. cit., p. 154.
106
DU CASTRE D‘AUVIGNY, Jean : Anecdotes galantes et tragiques de la cour de
Néron, 1735, in Recueil de préfaces de romans du XVIII e siècle, vol. I, Op. cit., p.
145 (Préface)
Tal y como hemos visto, las distintas recetas o fórmulas
también estos prólogos nos hablan del valor de las obras en función
ser definidas o valoradas por sus autores, y también por los efectos
107
También calificado como ideólogo de la cocina. Véase Fisiología del paladar, San
Sebastián, R&B, 1995. Muy especialmente, la Meditación 2ª (Del paladar) pp. 23-
36.
etc. Este registro gastronómico se basa en la idea siempre
108
CARACCIOLI, Louis-Antoine, marquis de : Les derniers adieux de la Maréchale
de *** á ses enfants, 1769, in Recueil de préfaces de romans du XVIII e siècle,
vol. II , Op. cit., p. 202.
109
LA MORLIÈRE, Charles-Jacques-Louis-Auguste Rochette de: Mirza-Nadir, ou
mémoires et aventures du marquis de St. T.***, etc., 1749, in Recueil de préfaces
de romans du XVIII e siècle, vol. I , Op. cit., p. 286. (Avertissement de l’auteur).
110
habla de une douce satisfaction y de goûter les larmes. Por
sadiana: Une des plus piquants ouvrages qui ait paru depuis
este caso, se le antoja ―dulce‖: Qu’il est doux, la tête sur l’oreiller,
110
ANÓNIMA: Histoire de Dom Bougre, 1741, in Œuvres anoymes du XVIII e siècle,
vol.I, coll. « l‘Enfer de la Bibliothèque Nationale », Paris, Arthème Fayard, 1985,
pp. 31-32.
111
Sade, D.A.F, : La philosophie dans le boudoir ou les instituteurs immoraux,
1795. Una versión accesible se encuentra en la siguiente dirección electrónica:
http://www.sade-ecrivain.com/philo/libert.htm.
de se dire : j’ai rempli ma vocation.112 Y, en el epílogo a su obra L’An
digestivo115:
112
MERCIER, Louis- Sébatien: Mon bonnet de nuit, 1784, reed. in Paris, Éd.
Mercure de France , 1999, pp. 11-13.
113
MERCIER, Louis- Sébatien: L’An Deux Mille Quatre Cent Quarante, 1771,
Genève, Slatkine Reprints, 1979, pp. 231-237.
114
MIRABEAU, Honoré-Gabriel de Riquetti: Le Rideau Levé ou l’éducation de Laure,
1786, reed. in Paris, Librairie, Arthème Fayard, 1984, coll. « L‘Enfer de la
Bibliothèque Nationale », pp. 309-311.
115
Para este registro gastronómico-digestivo, véase la Meditación 16ª (De la
Digestión) de Brillat-Savarin, en Fisiología del Paladar, Op. cit, pp. 165-172.
Ce que j’ai dit au sujet de la vivacité avec laquelle on lit
116
MOUHY, Chevalier de: La Mouche. 1736, in Recueil de préfaces de romans du
XVIII e siècle, vol. I, Op. cit., p. 179 (Avertissement - Troisième partie).
apetitoso. Cuando este autor define su obra por oposición a la Justine
sadiana, nos cuenta en qué consisten sus diferencias y cuáles son sus
intelectual y anímica.
partir de los efectos sobre el gusto, sino que también nos lleva a
moral, qui en vaut bien un autre, est de donner à ceux qui ont le
convenablement une épouse qui n’est plus belle. Y, del mismo modo,
............
117
RESTIF DE LA BRETONNE, Nicolas-E. : L’Anti-Justine, 1798, reed. in Œuvres
érotiques de Restif de la Bretonne, Paris, Fayard, coll. « L‘Enfer de la Bibliothèque
Nationale », 1985, pp. 287 y 495, respectivamente.
mitad de siglo privilegian el aspecto moral de las obras. Para
moral.
resulta útil e instructiva, aquella que funciona como una lección moral
edificante, como una especie de fármaco vitamínico que aumenta
quien insiste en ello: (…) dans la seule vue d’obtenir de tout cela
118
COTTIN, Sophie, (Mme de ): Claire d’Albe, 1799, reed. in Roman de femmes
du XVIIIe siècle, Paris, Robert Laffont, 1996, p. 691. (Se trata de una curiosa nota a
pié de página que pertenece al prólogo de esta obra).
119
SADE, D.A.F, de : La Nouvelle Justine ou les malheurs de la vertu, 1799, reed.
in Sade : Œuvres, Paris, Éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », pp. 395-
6 (Introduction. Justine lancée).
l’une des plus sublimes leçons de morale que l’homme ait encore
120
reçue.
invasión vírica perniciosa que, por otra parte, más que en las obras –
120
SADE, D.A.F, de : Justine ou les malheurs de la vertu, 1788 (1ª ed. 1791) in
Sade Œuvres, Paris, Gallimard, 1995, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », pp. 129-
130 (Á ma bonne amie).
mitad de este siglo, el canon estético de la novela se desplaza hacia
marquise de Lambert:
121
LAMBERT, Marquise de: Avis d’une mère à sa fille, 1748 (2ª ed.), Lausanne,
Marc-Michel Bousquet, pp. 81-82.
122
LACLOS, Pierre-Ambroise-François Choderlos de: Les liaisons dangereuses,
1782, reed. in Laclos : Œuvres Complètes, Paris, Gallimard, Coll. « Bibliothèque de
la Pléiade », 1979, p. 7 (Préface du rédacteur ).
como especialmente útil y oportuna, continúa el autor, en el caso de
l’erreur même123.
123
ARNAUD, François-Thomas-Marie Baculard de: Theresa, histoire italienne (Avec
un discours sur le roman), La Haye, 2 Vols., 1745, p. 4 (de consulta en la B.N.P.)
cuadro o representación de la vida humana. Pues bien, en este
pedagógico y moral.
hacer pasar las obras por lo que no son, tal y como hemos visto
resultan útiles para la moral, los que previenen o curan la mala salud
mitad del siglo. Todo lo cual se explica por el control pedagógico que,
124
DELEUZE, Gilles: Critique et Clinique, Paris, Minuit, 1993, pp. 14-15.
como –y perdónese le mot et la chose– un prospecto
posibles reproches. Nos advierte contra su mal uso. Nos indica qué
..............
Estas reflexiones en torno al prólogo han resultado ser más un
125
DUVERNET, Théophile-Imarigeon : Les dévotions de Madame de Bethzamooth et
les pieuses facéties de Monsieur de Saint-Ognon, 1789, in Recueil de préfaces de
romans du XVIII e siècle, vol. II , Op. cit., p. 353-354 (Préface).
menudo, la propia necesidad de su existencia. Y, en este sentido,
proposées.126.
126
MOUHY, Chevalier de : La Mouche, 1736, in Recueil de préfaces de romans du
XVIII e siècle, vol. I, Op. cit., p. 179 (Avertissement - Troisième partie).
Pues bien, ¿qué son estos prólogos sino un medio para un