Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

Temario Virginia

Descargar como odt, pdf o txt
Descargar como odt, pdf o txt
Está en la página 1de 18

LES ÉLÈVES NEAE (AVEC DES BESOINS ESPÉCIFIQUES D’APPUI

ÉDUCATIF) DANS LA NOUVELLE LOI ÉDUCATIVE LOMLOE.

El texto de la LOMLOE más conocida como Ley Celaá, ha traído una serie de cambios
en el sistema educativo: como su propio nombre indica, tiene como referencia la ley educativa
LOE de 2006. Nos centraremos exclusivamente en las modificaciones en relación a la
clasificación del alumnado NEAE.
A lo largo de las distintas normas educativas que han estado vigentes, el concepto de
alumnado diverso ha ido modificándose y tomando definiciones cambiantes, y con la nueva
norma educativa se produce un cambio. En dicho cambio, hay acepciones que desaparecen,
otras que modifican su nombre y otras que se incluyen.
LOMLOE ha traído numerosos cambios en materia de Necesidades Educativas
Especiales, en comparación con LOMCE, su currículum predecesor. Desde la entrada en vigor
del currículum LOE en 2006, se diferencian dos grandes grupos a ese respecto:

LOMLOE, Ley Orgánica 3/2020, de 29 de diciembre, por la que se modifica la Ley


Orgánica 2/2006, de 3 de mayo, de Educación:
La LOMLOE es la actual ley educativa, aprobada a final de 2020. En dicha normativa contamos
con un Artículo único que se centra en la modificación de los apartados 1 y 2 del artículo 71 de
la LOE quedando la redacción en los siguientes términos: “[…] por presentar necesidades
educativas especiales, por retraso madurativo, por trastornos del desarrollo del lenguaje y
la comunicación, por trastornos de atención o de aprendizaje, por desconocimiento grave
de la lengua de aprendizaje, por encontrarse en situación de vulnerabilidad
socioeducativa, por sus altas capacidades intelectuales, por haberse incorporado tarde al
sistema educativo o por condiciones personales o de historia escolar, puedan alcanzar el
máximo desarrollo posible de sus capacidades personales y, en todo caso, los Objetivos
establecidos con carácter general para todo el alumnado.”
Los alumnos con Necesidades Específicas de apoyo educativo (NEAE o ACNEAE) son
aquellos que requieren atención educativa diferente a la ordinaria por presentar:
DIFERENCIAS ENTRE LA LOMCE Y LA LOMLOE (Cf. Artículos 71 y 73)

Antigua clasificación de la LOMCE (2013)


• Necesidades educativas especiales
• Dificultades de aprendizaje
• Altas capacidades
• TDAH
• Incorporación tardía al sistema educativo
• Condiciones personales o historia escolar
Desparecen :
• Dificultades de aprendizaje
• TDAH
Surgen :
• Retraso madurativo
• Trastorno del desarrollo del lenguaje y la comunicación
• Trastorno de atención o aprendizaje
• Desconocimiento grave de la lengua de aprendizaje
• Situación de vulnerabilidad educativa
Se mantienen :
• Necesidades educativas especiales
• Altas capacidades
• Incorporación tardía
• Condiciones personales o historia escolar
LES TROUBLES DE L’APPRENTISSAGE

1. LES DIFFICULTÉS D’APPRENTISSAGE.


Pendant sa scolarité, un enfant peut se trouver confronté à des difficultés
d’apprentissage. Il n’arrive Il n’arrive plus à assimiler les connaissances qui lui sont transmises
et se retrouve en échec scolaire. On distingue les difficultés temporaires liées à ce que
l’enfant vit au quotidien et les troubles de l’apprentissage considérés comme un véritable
handicap permanent.

Les difficultés d’apprentissage sont souvent détectées à l’école quand l’élève n’atteint
pas le niveau exigé pour sa tranche d’âge. Elles peuvent prendre la forme d’une baisse de
motivation, une mémorisation ou une concentration limitée, une incapacité à résoudre les
problèmes posés, un comportement social inadapté.

Des conditions socioaffectives compliquées, un deuil, de l’anxiété, des soucis d’ordre


économique peuvent être à l’origine d’un décrochage scolaire. En détectant la source du
problème et en l’accompagnant pour éliminer les éléments en cause, il est alors possible pour
l’élève de retrouver un rythme d’apprentissage normal.

2. LES TROUBLES.

Selon l’OMS, il s’agit dans ce cas d’un trouble permanent d’origine neurologique qui
affecte une ou plusieurs fonctions neuropsychologiques et qui perturbe l’acquisition, la
compréhension, l’utilisation et le traitement de l’information verbale ou non verbale.

Les troubles d’attention peuvent toucher plusieurs fonctions spécifiques telles que le
langage, la mémoire, les repères dans le temps ou dans l’espace, le calcul, la coordination, la
motricité, la communication, etc. Une bonne partie de ces troubles sont regroupés sous le terme
vulgarisé de troubles DYS.

Les troubles d’apprentissage peuvent aussi découler d’un syndrome comme le


syndrome d’Asperger ou de la Tourette, l’autisme ou les troubles de l’attention avec ou sans
hyperactivité (TDA, TDAH).

3. TROUBLES = HANDICAPS.

Il est important de comprendre que le trouble d’apprentissage est un réel


handicap qui dure généralement toute la vie. Ces troubles perturbent non seulement le
rendement scolaire mais ils peuvent également avoir des répercussions sur tous les
aspects de la vie, comme la relation avec les pairs, les activités quotidiennes et
domestiques ainsi que la réalisation des tâches au travail.

Sur le plan scolaire, on note de faibles résultats et parfois même des échecs dans
une ou plusieurs matières, malgré un travail et un effort considérable. On pourra alors,
dans certains cas, observer une baisse de l’estime de soi. Il est donc important de bien
comprendre ce trouble afin de permettre une identification précoce et de mettre en place
des interventions adaptées et efficaces.

4. CONSIDÉRATIONS PRÉLIMINAIRES.

Différents troubles de l’apprentissage se manifestent chez des élèves qui ont une
intelligence et un comportement social normaux et qui ne présentent pas de problèmes
sensoriels (vue, ouïe). Ces enfants éprouvent des difficultés à apprendre à lire, à écrire, à
orthographier, à s’exprimer ou encore à se concentrer.

Les principaux troubles des apprentissages sont la dyslexie, la dyspraxie, la


dyscalculie, la dysphasie et les troubles de l’attention. Ces troubles sont durables,
mais leur prise en charge permet d’améliorer et/ou de compenser les fonctions
déficientes.

Il conviendra de ne pas attendre que l’élève soit en situation d’échec pour agir et
évaluer ses capacités, afin de poser un diagnostic le plus rapidement possible.
5. DES TROBLES FRÉQUEMMENT ASSOCIÉS.

Dans près de 40% des cas, un élève concerné par les troubles DYS présente
plusieurs types de troubles des apprentissages.

La dyslexie ou la dyscalculie sont fréquemment associées à des troubles de la


coordination motrice (dyspraxie) ou de l’attention.

En outre, un problème de langage oral (dysphasie) est associé à un risque de


dyslexie dans 50% des cas.

6. LA DYSLEXIE.

La dyslexie se manifeste par une mauvaise association entre graphème


(signes écrits) et phonèmes (sons), ainsi que par une incapacité à saisir rapidement
un mot dans sa globalité. L’enfant déchiffre lentement et fait des erreurs. Ce trouble
est très souvent associé à la dysorthographie (difficulté à maîtriser l’orthographe).
6. LE TDAH.
8. LE SYNDROME D’ASPERGER (SA).

Le SA est une forme d’autisme, sans déficience intellectuelle. Les personnes


avec SA sont plus ou moins touchées. Elles ont des caractéristiques semblables mais
sont toutes différents : chacun a sa propre personnalité.

Une apparence trompeuse : au premier coup d’œil, les personnes avec SA


ressemblent à tout le monde, mais leur comportement peut étonner, faire rire, attendrir,
agacer ou parfois laisser très démuni. Décalées, ces personnes son malgré tout
intéressantes et attachantes, si l’on sait interpréter leur attitude.
9. ÉLÈVES INTELLECTUELLEMENT PRÉCOCES (EIP) OU À HAUT
POTENTIEL (HP).

L’indication de précocité intellectuelle réside dans la capacité de réaliser, dans


un certain nombre d’activités, des performances que ne parviennent pas à accomplir la
plupart des enfants du même âge. Le seul outil reconnu pour diagnostiquer ce groupe
d’enfants est le quotient intellectuel (QI) déterminé à partir de batteries de tests tels que
le WISC. Le seuil de 130 est le repère le plus communément admis.

La référence au seul quotient intellectuel appelle cependant un certain nombre de


réserves de la part des spécialistes. En effet, le profil de développement affectif de ces
élèves présente souvent une «dys-synchronie» ((qu’il y a un déséquilibre, un décalage entre
leur âge et ce qu’ils aiment, ce qu’ils font, etc.) ) importante en comparaison de leur profil
cognitif. Ce déséquilibre est l’une des causes essentielles de leurs difficultés à l’école.

- Ils ont du mal à faire des amis à cause de leurs goûts parfois.

Ils ne sont pas tous détectés :

50% à deux tiers des HP ne sont pas détectés. Ce sont des élèves qui réussissent leurs études
sans difficulté, qui s’adaptent plutôt bien à l’école et comprennent ses codes. Ils nourrissent
souvent leur curiosité et leur appétit d’apprendre au sein et en dehors du milieu scolaire.

Les autres présentent des difficultés face aux apprentissages et trouvent plus ou moins
difficilement leur place dans le système scolaire. Malgré leurs potentialités, ils peuvent
paradoxalement se trouver en situation d’échec scolaire de par leur comportement, leurs
relations aux adultes et à leurs pairs, leur posture devant la tâche scolaire. Ce sont ces derniers
qui vont retenir notre attention.

Comment prendre en charge la précocité à l’école  ?

Un constat : près de la moitié des élèves surdoués ont des difficultés scolaires. Que
faire ?

Adaptations pédagogiques possibles :

- Enrichissement et approfondissement des matières où l’élève HP excelle. Afin d’évite


l’ennui, il est préférable de limiter les exercices répétitifs et de capter son attention,
notamment à l’aide d’exercices personnalisés ou d’exposés sur des thèmes divers
(littérature, sciences, arts, musique…).
- Adapter le cursus en proposant une accélération du parcours scolaire (l’apprenant saute
une classe, voire deux) ; classe à double niveau.
10. LES ÉLÈVES MALENTANDANTS OU SOURDS.

Les élèves présentant une déficience auditive (malentendants ou sourds) en


inclusion scolaire portent généralement un appareil auditif. Certains n’en portent pas ou
tirent profit de leur appareil seulement pour les alerter, s’il y a un bruit fort.

Il existe principalement deux types d’appareils auditifs :

Appareils auditifs :

- Le principe de la prothèse auditive est l’amplification du son.


- L’implant cochléaire est proposé lorsque l’apport des prothèses auditives n’est pas
suffisamment efficace, et nécessite une intervention chirurgicale. Il est indiqué pour les
surdités totales, profondes et sévères.
- Certains élèves peuvent tirer profit d’un appareil HF (à haute fréquence) ou d’un
micro Bluetooth : le prof porte un petit micro et l’élève reçoit la parole de l’enseignent
directement dans sa prothèse auditive. Ainsi, il est moins gêné par les bruits
environnants et l’enseignant n’est pas contraint d’être toujours visible par l’élève.

Limites de ces appareillages :

Attention ! Malgré les avancées technologiques, les


appareils auditifs présentent des limites dans la réception
auditive. L’élève sourd a très souvent besoin de lire sur les
lèvres de son interlocuteur.

De la qualité de sa réception auditive et visuelle dépende


son accès plus ou moins aisé aux enseignements.
Profil de ces élèves :

Contrairement aux idées reçues, tous les apprenants malentendants ou sourds ne


s’expriment pas en langue des signes.

Ils ont parfois du mal à s’exprimer oralement, selon leur degré de surdité et leur
désinhibition : il ne faut donc pas chercher la perfection dans leur manière de
parler.

Un élève sourd ne prend pas souvent la parole spontanément car il n’est pas sûr de lui
quand il parle ou parce qu’il craint de ne pas être intelligible ou de ne pas avoi bien entendu ou
compris la question. Il est toutefois important de le solliciter comme les autres élèves. Ainsi, il
faut valoriser avant tout la participation.

Comment faciliter la réception auditive et visuelle ?

- Un environnement sonore bruyant rend encore plus difficile la discrimination de la


parole, même avec le port d’une prothèse auditive. De plus, le bruit est source de
fatigabilité.
- L’élève malentendant ou sourd peut difficilement recevoir le discours oral s’il est loin
de son interlocuteur et lorsque les paroles se chevauchent :
 Respecter les tours de parole.
 Veiller à indiquer qui prend la parole puis répéter, éventuellement, face à l’élève sourd,
ce qui a été dit pour s’assurer de la bonne compréhension.

Adaptations pédagogiques :

La prise en notes à partir d’un discours oral est difficile voire impossible (selon les cas) pour un
élève malentendant ou sourd :

Donner des photocopies ou projeter la leçon / la


correction à copier.

Écrire au tableau toutes les informations


formelles ou importantes : sorties scolaires, dates
des contrôles et des travaux à rendre, devoirs, etc.
Des supports incontournables en cours de FLE :

La perception du son à partir d’une source audio ou vidéo est souvent impossible
(d’autant plus en LE) :

- Pour les sources audios, donner le script de la bande son à l’élève (particulièrement
pour les cours de langues vivantes).
- Pour les vidéos, mettre les sous-titres et vérifier en amont la qualité du sous-titrage.

Aménagements spécifiques en FLE :

Selon le degré de surdité de l’élève :

- Envisager la possibilité de passer une épreuve orale en


modalité écrite ou le/la dispenser des épreuves de
compréhension orale.
- Ne pas sanctionner l’élève par rapport à sa prononciation
(expression orale).

11. LES ÉLÈVES MALVOYANTS OU AVEUGLES.

La déficience visuelle est définie par deux critères :

- L’état du champ visuel (étendue de l’espace qu’un œil immobile peut


embrasser)
- La mesure de l’acuité visuelle (aptitude de l’œil à apprécier les détails).

Il existe cinq catégories de déficiences visuelles :

- La déficience visuelle modérée : accomplissement des tâches presque


normalement, avec une aide simple.
- La déficience visuelle grave : capacité à effectuer une activité en s’appuyant sur la
vision, avec des aides spécifiques.
- La déficience visuelle profonde : incapacité à effectuer tout tâche à l’aide de la vision
seule, même avec des aides, et qui nécessite d’associer d’autres facteurs sensoriels.
- La cécité presque totale : il faut s’appuyer sur d’autres informations sensorielles et sur
des techniques palliatives.
- La cécité totale : pas de perceptions lumineuses. Il faut s’appuyer totalement sur les
autres sens.

También podría gustarte