Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

À partir de $11.99/mois après l'essai. Annulez à tout moment.

La Puissance de la Pensée: clef du Succès
La Puissance de la Pensée: clef du Succès
La Puissance de la Pensée: clef du Succès
Livre électronique227 pages4 heures

La Puissance de la Pensée: clef du Succès

Évaluation : 5 sur 5 étoiles

5/5

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

*** Cet ebook est optimisé pour la lecture numérique ***

Nous sommes le produit de nos pensées. Et cette Puissance réside en chacun de nous, un véritable pouvoir qui peut nous rendre capables de faire tout ce que nous pourrions rêver ou désirer. Orison Swett Marden, auteur de nombreux best-sellers dans le champ du développement personnel, veut aider le lecteur à découvrir les forces merveilleuses qui sont en lui, et qui, mises en activité par la pensée juste, relèveraient bien au-dessus de la région des soucis, de la crainte, de l’inquiétude, de la tristesse, de tout ce qui paralyse ou détruit son efficacité, et feraient de sa vie une marche triomphante vers l’harmonie, la beauté, le bien et le succès dans tous les domaines.
LangueFrançais
Date de sortie19 juil. 2019
ISBN9782357283077
La Puissance de la Pensée: clef du Succès
Auteur

Orison Swett Marden

El Dr. Orison Swett Marden (1848-1924) fue un autor inspirador estadounidense que escribió sobre cómo lograr el éxito en la vida. A menudo se le considera como el padre de los discursos y escritos inspiradores de la actualidad, y sus palabras tienen sentido incluso hasta el día de hoy. En sus libros, habló de los principios y virtudes del sentido común que contribuyen a una vida completa y exitosa. A la edad de siete años ya era huérfano. Durante su adolescencia, Marden descubrió un libro titulado Ayúdate del autor escocés Samuel Smiles. El libro marcó un punto de inflexión en su vida, inspirándolo a superarse a sí mismo y a sus circunstancias. A los treinta años, había obtenido sus títulos académicos en ciencias, artes, medicina y derecho. Durante sus años universitarios se mantuvo trabajando en un hotel y luego convirtiéndose en propietario de varios hoteles. Luego, a los 44 años, Marden cambió su carrera a la autoría profesional. Su primer libro, Siempre Adelante (1894), se convirtió instantáneamente en un éxito de ventas en muchos idiomas. Más tarde publicó cincuenta o más libros y folletos, con un promedio de dos títulos por año. Marden creía que nuestros pensamientos influyen en nuestras vidas y nuestras circunstancias de vida. Dijo: "La oportunidad de oro que estás buscando está en ti mismo. No está en tu entorno; no es la suerte o el azar, o la ayuda de otros; está solo en ti mismo".

Auteurs associés

Lié à La Puissance de la Pensée

Livres électroniques liés

Développement personnel pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur La Puissance de la Pensée

Évaluation : 5 sur 5 étoiles
5/5

1 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    La Puissance de la Pensée - Orison Swett Marden

    fausses

    Préface

    Ce nouveau livre de M. Swett Marden vient à son heure. Tout semble indiquer, en effet, que l’humanité a faim et soif de ce que nous pourrions appeler le nouvel évangile de l’optimisme et de l’amour qui apprendra à l’homme à s’affranchir de son ignorance, de ses faiblesses, de ses défauts et de toutes espèces de superstitions, ainsi qu’à échapper à l’esclavage de la pauvreté, du mal, de la maladie et de tous les ennemis de son bonheur.

    L’auteur veut aider le lecteur à découvrir les forces merveilleuses qui sont en lui, et qui, mises en activité par la pensée juste, relèveraient bien au-dessus de la région des soucis, de la crainte, de l’inquiétude, de la tristesse, de tout ce qui paralyse ou détruit son efficacité, et feraient de sa vie une marche triomphante vers l’harmonie, la beauté, le bien et le succès dans tous les domaines.

    Cette nouvelle orientation de la pensée paraîtra, sans doute, au premier abord, un peu étrange parce qu’elle heurte bien des préjugés et des idées traditionnelles.

    Que le lecteur ne se décourage pas si les premiers chapitres de ce volume lui paraissent ardus ; qu’il persévère dans sa lecture, et bientôt il verra s’ouvrir devant lui de nouveaux horizons qui l’enthousiasmeront et l’aideront puissamment à vivre d’une vie riche, pleine, abondante et bienfaisante, à l’unisson avec son Créateur dont il réalisera le plan d’amour.

    Les livres de M. O.-S. Marden font leur chemin et obtiennent auprès du public de langue française un accueil chaleureux, preuve en soit les nombreux témoignages d’encouragement que nous recevons de toutes parts, et les excellents articles que leur consacrent les journaux les plus sérieux et les plus estimés.

    Ces faits nous prouvent que, comme nous le disions dans notre préface de la première édition de ce volume, ces livres sont venus à leur heure et répondent à un besoin. Nous en sommes plus convaincus que jamais.

    Les circonstances actuelles, si déprimantes, nous jetteraient dans un pessimisme morbide si des ouvrages comme ceux de notre auteur ne venaient nous ouvrir de nouveaux horizons par leur optimisme bienfaisant et leurs précieux conseils. Et puisqu’ils font du bien, ils sont utiles.

    Est-ce à dire qu’ils sont au-dessus de toute critique ? Non, certes, ils ont les qualités et les défauts de tout essai d’orientation nouvelle de la pensée et de la vie.

    Emporté par son désir de communiquer aux autres les convictions qui font son bonheur et sa force, M. Marden emploie parfois des paradoxes qui heurtent de front les opinions reçues, les préjugés et les traditions, mais qui font réfléchir. N’oublions pas que souvent les paradoxes de la veille deviennent les vérités du lendemain.

    On reproche aussi à M. Marden de trop se répéter. À la première lecture de ses ouvrages, on éprouve peut-être cette impression, mais à une seconde lecture, elle s’efface devant le fait que si l’auteur exprime plusieurs fois la même idée, c’est toujours sous une forme différente, qui doit la graver plus profondément dans l’esprit du lecteur, et forcer son attention.

    Du reste, ces livres ne sont point faits pour être lus d’un bout à l’autre comme un roman. Il faut les lire lentement, et en méditer chaque chapitre afin de bien se pénétrer de son contenu. Ceux qui le font sont tous d’accord pour affirmer le bien qu’ils en retirent et la transformation qui s’opère dans leurs pensées et dans leur vie.

    En disant dans la préface de la première édition de ce volume que l’humanité a faim et soif de ce que nous pourrions appeler le nouvel évangile de l’optimisme et de l’amour, je n’ai jamais eu la prétention d’opposer ou de substituer les livres de M. Marden à l’Évangile de Jésus- Christ, comme certaines personnes l’ont cru.

    J’estime, au contraire, qu’il n’y a pas d’opposition entre les révélations que nous a apportées Jésus-Christ, sur le Père qui est amour et la manière nouvelle d’exprimer les mêmes vérités qu’emploie M. Marden.

    En lisant ses livres, on se rend mieux compte de tous les privilèges que confère le titre de fils de Dieu, et on éprouve une joie et une force nouvelles, un optimisme réconfortant qui vivifie et ensoleille la vie quotidienne.

    On a voulu faire de M. Marden un adepte de la Science Chrétienne. Qu’il ait adopté certaines vérités mises en lumière par le Scientisme, c’est certain, mais sur bien des points sa pensée reste indépendante.

    Du reste, ne faisons pas de M. Marden le fondateur d’une religion nouvelle, titre auquel il ne prétend nullement, mais soyons-lui reconnaissants de nous aider à mieux comprendre et à mieux pratiquer la vie que Jésus-Christ est venu nous révéler.

    En lisant ses livres, mettons en pratique le conseil de l’apôtre : Éprouvez toutes choses, retenez ce qui est bon.

    Notre vie intérieure trouvera suffisamment de bon à retenir de ces ouvrages pour qu’il vaille la peine de les étudier, en dépit de certaines façons un peu trop américaines ou trop absolues de considérer la vie extérieure et matérielle.

    S. MÆRKY-RlCHARD.

    1

    L’origine divine des désirs légitimes

    Le désir moule dans l’argile ce que la vie sculpte dans le marbre.


    Ce que vous désirez ardemment, mieux que ce que vous énoncez dans vos prières, est votre vrai credo.


    Tout ce que l’âme conçoit et désire réellement, elle l’obtient.

    Les aspirations de nos âmes, les désirs de nos cœurs, sont bien autre chose que les rêves de notre imagination. Ce sont des prophéties, des prédictions, des avant-coureurs de choses qui peuvent devenir des réalités. Ils révèlent ce dont nous sommes capables ; ils donnent la mesure de la hauteur de notre idéal, et situent la sphère de notre activité.

    Ce que nous désirons ardemment, ce que nous nous efforçons d’atteindre, tend à devenir une réalité. Notre idéal est l’esquisse de la réalité qu’elle précède, la substance des choses qu’on espère.

    Accordez plus d’importance à votre idéal

    Le sculpteur sait que son idéal n’est pas une fantaisie de son imagination, mais qu’il est la prophétie, le symbole de ce qui se manifestera un jour, gravé dans le marbre.

    Quand nous commençons à désirer une chose de tout notre cœur, nous créons un lien entre cette chose et nous, lien d’autant plus fort que notre désir est plus ardent, et notre effort pour l’atteindre plus intelligent.

    Ce qui nous trouble, c’est que nous accordons trop d’importance au côté matériel de la vie et pas assez à l’idéal. Nous devons apprendre à vivre mentalement dans l’idéal que nous désirons voir se réaliser en nous. Si nous désirons par exemple rester jeunes, nous devons vivre dans l’état mental de la jeunesse ; si nous voulons être beaux, nous devons vivre dans l’état mental que crée la beauté.

    L’avantage de vivre dans l’idéal, c’est que toutes les imperfections physiques, mentales et morales, disparaissent. Nous ne pouvons plus penser à la vieillesse, car la vieillesse c’est le déclin, la sénilité, et ces choses n’existent pas dans l’idéal, où tout est jeune et beau, où il n’y a aucune place pour la laideur et la décrépitude.

    C’est pourquoi l’habitude de vivre dans l’idéal nous aide puissamment. L’idéal maintient constamment devant nous le modèle de la perfection que nous recherchons. Il augmente notre foi en notre origine divine et notre perfection finale, parce qu’il nous donne la vision de ce que nous sentons instinctivement devoir nous appartenir, une fois, quelque part.

    Croyez que vous êtes capables de devenir la personne que vous voudriez être

    L’habitude de penser et d’affirmer les choses comme nous les désirons ou comme elles devraient être, et de proclamer que nous sommes capables de les accomplir, que nous ne pouvons être privés d’aucun bien, puisque nous sommes unis à Celui qui est le bien parfait, crée le modèle que le processus de la vie reproduira en nous.

    Ayez constamment présente à votre esprit la vision de l’homme idéal ou de la femme idéale que vous voudriez être. Croyez en même temps que vous pouvez le devenir, et repoussez instantanément toute idée de maladie ou toute suggestion d’infériorité.

    Ne vous permettez jamais de vous appesantir sur vos faiblesses, vos défauts ou vos manquements. Retenir fermement votre idéal, et lutter courageusement pour l’atteindre, vous aidera à vous élever jusqu’à lui.

    Soyez certains que vos rêves deviendront

    des réalités

    Il y a une grande force dans la croyance fermement maintenue que nos ambitions seront réalisées, que nos rêves deviendront des réalités. Rien n’aide davantage que de croire que les choses tourneront bien et non pas mal, que nous réussirons au lieu d’échouer, et qu’en dépit de tout ce qui pourra arriver ou ne pas arriver, nous serons heureux.

    Rien n’est plus encourageant que cette attitude optimiste qui croit toujours à ce qu’il y a de meilleur, de plus élevé, de plus heureux, et qui ne laisse aucune place au pessimisme et au découragement.

    Croyez de tout votre cœur que vous serez capables de faire ce que vous devez faire. Ne vous permettez aucun doute à cet égard ; chassez-le s’il essaye de pénétrer en vous. N’entretenez que de bonnes pensées et des idées élevées, et soyez déterminés à les réaliser. Rejetez toute pensée ennemie, tout découragement, tout ce qui pourrait vous faire croire à l’insuccès et au malheur.

    Peu importe ce que vous essayez de faire ou d’être, que votre attitude soit toujours optimiste, et soyez certain que vous atteindrez le but. Vous serez surpris de voir combien vos facultés se développeront, et combien votre être tout entier progressera.

    Habituez-vous à vous nourrir constamment

    de pensées gaies

    Quand l’esprit a une fois pris l’habitude de se nourrir constamment de pensées gaies, heureuses et encourageantes, il ne peut plus faire autrement. Si nos enfants pouvaient acquérir cette habitude, l’orientation de notre civilisation changerait bien vite, et nous ferions des progrès incommensurables.

    Un esprit ainsi formé serait toujours capable de donner son maximum de puissance, et de surmonter la discorde, la malveillance et les 1000 ennemis de notre paix, de notre confort, de notre utilité et de notre succès.

    Croire que l’avenir n’a que de bonnes choses en réserve pour nous, que nous serons heureux et prospères, que nous aurons une belle famille, un intérieur agréable, et que nous serons prêts pour toute éventualité, voilà le meilleur capital avec lequel nous puissions nous lancer dans la vie.

    Ne laissez pas s’évanouir vos désirs

    et ambitions

    Ce que nous essayons d’exprimer avec puissance tend à s’accomplir, même si cela semble impossible au premier abord.

    Si nous retenons fermement notre idéal, si nous nous représentons d’une façon vivante les choses que nous voudrions voir se réaliser dans notre vie, que ce soit une santé robuste, un caractère noble ou une carrière utile, et si nous essayons de toutes nos forces d’y parvenir, il est bien plus probable que ces choses viendront à nous, que si nous négligeons cette attitude.

    Beaucoup de personnes laissent s’évanouir leurs désirs et leurs ambitions. Elles ne comprennent pas que l’intensité et la persistance du désir lui donnent la puissance de se réaliser. L’effort constant pour maintenir l’intensité du désir a le pouvoir de le transformer en réalité.

    Peu importe si cette réalisation paraît improbable ou lointaine, si l’avenir paraît sombre, pourvu que nous la voyions réelle, que nous y croyions avec ténacité, et que nous luttions vigoureusement pour l’amener ; tôt ou tard, elle se manifestera dans notre vie. Mais un désir non suivi d’effort, une ambition intermittente, s’évanouiront sans laisser de traces.

    Ce n’est que lorsque le désir se transforme en résolution bien arrêtée, qu’il devient effectif. Ce désir, uni à une ferme détermination, produit la puissance créatrice qui se traduit en résultat pratique.

    Ne pensez et ne dites que ce que vous voulez

    qui soit vrai

    Constamment nous augmentons ou diminuons notre pouvoir par la qualité de nos pensées, de nos émotions et de notre idéal. Si nous savions toujours nous considérer comme parfaits, de même que notre Père céleste est parfait, toute tendance à la maladie serait neutralisée par cette force qui guérit et restaure.

    Ne pensez et ne dites que ce que vous voulez qui soit vrai. Les personnes qui s’excusent toujours, qui disent constamment qu’elles sont fatiguées, usées, de trop partout, qu’elles sont malheureuses, infortunées ; que le sort semble s’acharner après elles ; qu’elles sont pauvres et le resteront toujours ; qu’elles ont beaucoup travaillé et essayé d’aboutir à quelque résultat mais ne l’ont pu ; ne se rendent pas compte qu’elles gravent à l’eau-forte dans leur mentalité des sombres tableaux – ennemis de leur paix, de leur bonheur et de leur succès.

    Elles devraient justement les chasser à jamais de leur esprit, tandis qu’elles les y impriment toujours plus profondément, de telle sorte qu’ils se réaliseront certainement dans leur vie.

    N’admettez jamais un seul instant que vous êtes malades, faibles, ou déprimés, à moins que vous ne désiriez faire l’expérience de ces états morbides, car en y pensant vous leur donnez barre sur vous. Nous sommes tous les produits de nos pensées ; nous devenons ce que nous sommes en pensée.

    L’habitude de se voir chaque jour comme un être créé pour remplir une mission divine, parfaitement capable d’accomplir sa tâche sans défaillance, donne une confiance inébranlable, une puissance merveilleuse et un perpétuel encouragement.

    Si vous désirez progresser dans telle ou telle voie, orientez vos pensées dans cette direction, et rendez-les aussi vivantes que possible. Concentrez-les jusqu’à ce que vous sentiez qu’elles vous élèvent, et que vous en voyiez la réalisation dans vos vies.

    Graduellement l’homme faible, imparfait, pécheur, que notre fausse manière de vivre a créé, sera remplacé par l’homme idéal, le nouvel homme créé par Dieu.

    Veillez à ce que vos pensées soient

    toujours nobles

    L’idéal est un incomparable sculpteur de caractères ; il a une immense influence sur l’orientation de la vie. Nous ne pouvons longtemps cacher ce qui occupe habituellement nos pensées ; l’expression de notre visage le révèle, ainsi que notre manière de vivre.

    Nos pensées, nos émotions, nos ambitions nous dominent. C’est pourquoi, il nous faut veiller à ce qu’elles soient toujours supérieures, nobles, et qu’un souffle d’en- haut les anime.

    Prenez la résolution de n’avoir jamais rien à faire avec des pensées ou des actions de qualité inférieure ; que tout ce que vous faites porte l’estampille de la perfection.

    Cet effort continuel de l’âme et de l’intelligence pour réaliser de grandes choses, exerce une influence transformatrice sur la vie et l’élève à un niveau supérieure.

    La vie humaine est ainsi faite qu’elle se nourrit surtout d’espérance ; la foi regarde en avant, et voit des choses que l’œil de notre corps n’aperçoit pas.

    Vivez dans l’attente des meilleures choses

    La foi est la substance des choses qu’on espère, l’esquisse de l’image elle-même ; la substance réelle, et non pas seulement une représentation mentale.

    Il y a quelque choses derrière la foi, derrière l’espérance, derrière les désirs profonds de nos cœurs ; il y a une réalité conforme à nos désirs légitimes.

    Ce que nous croyons fermement devient un mobile créateur. La vision d’un intérieur agréable, prospère, le désir d’être une personne influente, capable de porter des responsabilités, deviennent des mobiles créateurs.

    Le courant de toutes vos pensées doit être orienté vers le but que vous avez assigné à votre vie. Les grands miracles de la civilisation sont créés par la concentration de la pensée.

    Vivez dans l’attente des meilleures choses, dans la conviction que de vos efforts intelligents et de votre lutte pour atteindre le but, il résultera quelque chose de grand et de beau. Vivez persuadés que vous progressez éternellement, avançant toujours vers quelque chose de meilleur, de plus élevé, et cela dans chaque parcelle de votre être.

    Cultivez votre faculté d’imagination

    Bien des personnes croient qu’il est dangereux pour elles de se livrer aux rêves que leur suggère leur imagination, parce que cela les rend peu pratiques.

    Cependant, la faculté de l’imagination est aussi sacrée que nos autres facultés. Elle nous a été donnée dans un but divin, afin que nous puissions jeter un regard dans les réalités intangibles. Elle nous rend capables de vivre dans l’idéal, même lorsque nous sommes obligés de travailler dans un milieu désagréable ou défavorable.

    Notre imagination nous laisse entrevoir les glorieuses réalités qui nous attendent. Elle nous rend évidentes les choses qui sont possibles pour nous.

    Bâtir des châteaux en l’air ne doit donc plus être considéré comme un passe-temps inutile et

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1