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Tatoo en Toi
Tatoo en Toi
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Livre électronique256 pages3 heures

Tatoo en Toi

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À propos de ce livre électronique

« Jeune femme active de trente-huit ans, divorcée et maman d’un jeune garçon de sept ans ; je suis une personne de nature heureuse, souriante et optimiste dans la vie. Dynamique, j’occupe un emploi dans lequel je m’épanouis professionnellement. Sportive et curieuse, j’adore pratiquer différentes activités physiques et découvrir de nouvelles choses. […] Parfois impétueuse et souvent obstinée, il m’était difficile d’être patiente ou encore de lâcher prise quel que soit le domaine de ma vie. 
Ma vie était finalement assez ordinaire. Mais un jour, elle a basculé… »

« Vous savez, la vie est parfois étrange avec son lot de surprises et d’imprévus. Il ne nous est pas donné de savoir à l’avance combien d’étapes nous devrons franchir, ni combien d’obstacles nous devrons surmonter avant de se rapprocher du bonheur, de la paix et d’une certaine sérénité. »

« Mon optimisme m’a toujours chuchoté à l’oreille de voir le côté le plus brillant de la vie ; et s’il n’existe pas ; de frotter alors le côté obscur jusqu’à ce qu’il brille ! »
LangueFrançais
Date de sortie25 juil. 2023
ISBN9791220144391
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    Aperçu du livre

    Tatoo en Toi - Stéphanie Lucas

    Introduction

    Jeune femme active de trente-huit ans, divorcée et maman d’un jeune garçon de sept ans ; je suis une personne de nature heureuse, souriante et optimiste dans la vie. Dynamique, j’occupe un emploi dans lequel je m’épanouis professionnellement. Sportive et curieuse, j’adore pratiquer différentes activités physiques et découvrir de nouvelles choses. Le lien que j’ai avec ma famille est fort, nous aimons partager des moments ensemble, même si trois cents kilomètres nous séparent depuis que je vis à Lyon. Mon cercle amical est diversifié et les liens que j’entretiens avec mes amis sont solides. Parfois impétueuse et souvent obstinée, il m’était difficile d’être patiente ou encore de lâcher prise quel que soit le domaine de ma vie. Je vivais une vie assez classique, avec un mariage qui s’est terminé par un divorce mais la vie m’a offert mon plus beau cadeau : la naissance de mon fils. Ma vie était finalement assez

    ordinaire. Mais un jour, elle a basculé…

    « Un terrible accident de la circulation à Lyon a fait un mort et quatre blessées graves, sur le boulevard périphérique dans la nuit. Une personne est en fuite. Les sapeurs-pompiers du Rhône ont été appelés cette nuit à 3h00 du matin. À bord du premier véhicule accidenté, une femme est décédée. Les quatre passagères sont grièvement blessées et en état d’urgence absolue, selon les secours. »

    Ce sont les mots que la presse a écrit à la suite de cet accident de voiture. J’étais une des passagères de ce terrible accident, en compagnie de quatre personnes. La jeune femme décédée était ma belle-sœur. Les trois autres passagères avec moi, cette nuit-là, étaient des amies. Cet accident de voiture a bouleversé ma vie, nos vies et celle de nos proches.

    Ma vie, mon corps et mon esprit ont été brisés telle une tornade qui dévasterait et détruirait instantanément tout sur son passage, ne laissant derrière elle qu’un tas de ruines. La légèreté, la spontanéité et la joie ont disparu de ma vie pour laisser place à la colère, la douleur et un combat dont je ne voyais pas la fin. Ma reconstruction morale et physique a nécessité du temps, de la patience et de l’énergie. Tout au long de mon parcours, j’ai été confrontée à différentes problématiques dans des domaines qui m’étaient inconnus jusque-là. Tout d’abord, le domaine médical où j’ai coordonné mon parcours de soins en choisissant les professionnels de santé qui m’accompagneraient. À la suite de nombreuses fractures et blessures, j’ai passé plusieurs périodes au sein de structures hospitalières. J’ai subi une quinzaine d’opérations chirurgicales, suivies de périodes de convalescence et d’une intense rééducation.

    Parallèlement à ce rétablissement physique, je me suis reconstruite mentalement et psychologiquement. Toutes les sphères de ma vie ont été impactées par cet accident de voiture simultanément : ma famille, ma vie sociale, ma vie personnelle et ma vie professionnelle. Et enfin le domaine de la justice où j’ai interagi avec plusieurs cabinets d’avocats spécialisés, assisté à des procédures judiciaires, des audiences, des expertises médicales et un procès pour condamner l’auteur de l’accident. J’ai dû faire face à des difficultés éprouvantes physiquement et moralement, des situations profondément douloureuses, prendre des décisions médicales et juridiques ; dans le but de me relever de cette épreuve traumatisante et retrouver une vie heureuse.

    Nous rencontrons tous des difficultés dans la vie et nous traversons tous des épreuves dont nous aurions aimé être épargnés. Nous avons tous des réactions différentes face à l’adversité car chacun de nous est un être unique, doté d’une personnalité unique, d’une sensibilité unique ayant des besoins uniques. Chacun fait du mieux qu’il peut. Je n’étais pas préparée à affronter toutes ces difficultés, entremêlées les unes aux autres ; tout en continuant à trouver du sens après cet accident de voiture. Les personnes de mon entourage m’ont qualifiée de battante et de guerrière. Ce sont de bien belles qualités qui m’ont beaucoup touchée mais je n’en comprenais pas vraiment le sens ; ma seule motivation était de m’en sortir et d’aller mieux. Tête baissée et concentrée sur mes objectifs de reconstruction personnelle, j’ai réellement compris ce que mes proches voulaient dire quand ils me qualifiaient de combattante. Je suis parvenue à me relever, à aller de l’avant et j’ai appris à vivre avec cet accident. N’ayant pas de pouvoirs magiques ni extraordinaires, je l’ai fait en allant puiser au fond de moi les solutions à mes multiples problématiques. J’ai réussi à le faire et je suis convaincue que chacun a la capacité en soi de trouver les solutions à son bonheur. Aller chercher au plus profond de soi les ressources nécessaires et l’énergie pour se battre et affronter ses difficultés afin de vivre une vie heureuse. C’est pour cette raison que j’ai choisi de vous livrer des extraits de mon expérience personnelle. Je partage avec vous au travers de ce livre des expériences émotionnelles, médicales, juridiques, professionnelles, familiales et amicales. Des personnes de mon entourage ont partagé avec moi leurs expériences de vie et m’ont confié leurs plus grandes souffrances et leurs blessures profondes. Au travers de leurs confidences, j’ai pu me rendre compte de ce qu’elles avaient ressenti et quels avaient été leurs combats. Je les remercie pour la confiance qu’elles m’ont accordée et le réconfort que j’ai souvent trouvé à leurs côtés, je souhaite donc à mon tour vous faire part de mon expérience. Le partage d’expériences porte en soi une volonté d’aider, de rassurer la personne en face de nous et lui dire qu’elle n’est pas seule ; d’être confiante et que toutes les tempêtes finissent par laisser place au soleil. L’authenticité, la sincérité et la transparence sont essentielles et seront les bases de mes écrits afin de vous livrer en toute simplicité mes expériences de vie des trois dernières années. Mon intention est de vous faire prendre conscience que vous en êtes capable et que vous possédez déjà tout en vous pour y arriver. Je vous accompagne dans cette découverte de vous-même au travers de ce que j’ai pu découvrir de moi. 

    Lorsqu’on souhaite être plus heureux, je suis convaincue qu’il est nécessaire d’avoir une meilleure connaissance de soi. Connaître votre propre fonctionnement, vos qualités et vos défauts vous éclairera sur vos forces et vos faiblesses. Grâce à cette connaissance de vous, vous serez en possession de la meilleure et de la plus pertinente boîte à outils. Vos forces et vos qualités seront vos meilleures alliées pour appréhender les difficultés que la vie mettra sur votre route. Vos qualités, vos aptitudes et vos capacités vous définissent ; elles sont déjà en vous et font partie de vous en tant que personne. Quant à vos faiblesses, vos failles et vos fragilités ; je considère que l’on peut simplement les accepter ou les transformer en force. Cela demande un engagement envers soi-même, se recentrer sur soi, se respecter et se faire confiance. Face à une situation qui ne vous convient pas, vous pouvez l’accepter ou la changer. Qui d’autre que vous est le mieux placé pour savoir ce qui vous guidera vers les meilleures solutions et votre bonheur. Vous êtes celui ou celle qui saura mieux que quiconque quelles sont vos motivations personnelles. À partir de ce moment, quand on se connait mieux et que l’on sait pourquoi on veut améliorer sa vie, on peut envisager de chercher des solutions à nos difficultés. Quel que soit le domaine concerné, la famille, le travail, la santé ou les relations ; si vous avez votre boîte à outils personnelle et unique vous pourrez trouver des solutions. C’est un peu comme si vous passiez un contrat avec vous-même pour être heureux. Je suis convaincue que nous avons tous en nous les capacités de créer notre propre bonheur pour trouver un équilibre et la sérénité. 

    Pendant près de trois ans j’ai ressenti un mélange d’émotions de tristesse, de colère, de peur, de joie, de fierté et de réussite de manière condensée. J’ai vécu notamment des moments de déception et d’injustice, un emprisonnement psychique dans l’angoisse et l’anxiété, le découragement face à l’échec et les sentiments de doute et de solitude ; et une colère intense. J’ai ressenti également une profonde gratitude, de la joie et de l’inspiration pour renforcer la confiance en moi. J’ai découvert l’art de la patience, trouvé des sources de motivation et optimiser mon efficacité face aux épreuves. J’ai trouvé en moi le courage de mener tous ces combats en parallèle, la persévérance dans le temps pour atteindre la réussite et la fierté dans mes victoires face aux situations et face à moi-même. L’apprentissage de l’acceptation et du lâcher-prise sont essentiels pour se libérer de la colère. Modifier certaines conceptions et intégrer l’importance du temps sont indispensables pour atteindre la résilience. Prendre soin de son corps et prendre soin de ses pensées sont essentiels ; comprendre la corrélation entre les deux ; la relation qui existe et l’impact du corps sur l’esprit et inversement : de l’esprit sur le corps.

    Ma conception des émotions repose sur le même principe, nous pouvons les aborder d’un point de vue différent et les nuancer. Au travers de mon expérience, je me suis rendu compte que les émotions et les sentiments que j’ai ressentis ne sont pas exclusivement négatifs ou positifs. Tout n’est pas noir ou blanc. La colère n’est pas obligatoirement négative, elle peut être un signal d’alerte interne qui deviendra un moteur pour passer à l’action. Comme l’optimisme n’est pas toujours bénéfique, il peut conduire à une certaine naïveté et causer du tort. Je me représente les émotions comme une sorte d’amoncèlements de peinture sur la palette d’un peintre, notre vie serait la toile que l’on peint au fil du temps et nous sommes les concepteurs de notre propre œuvre d’art. Si vous êtes le peintre, vous utilisez de la couleur rouge que l’on peut aisément associer à l’émotion de la colère, vous choisissez ensuite de la couleur jaune associée à l’émotion de la joie ; ces deux couleurs se rejoignent et se mélangent. On obtiendra la couleur orange donnant naissance à la créativité. L’association d’une couleur à une émotion est propre à chacun de nous et nous sommes libres de choisir la couleur que nous souhaitons pour chacune d’entre elles. Par exemple, le vert peut représenter des émotions positives telles que la sérénité, la détente, la paix, l’espoir, la chance, la prospérité ou la concentration mais également des émotions négatives comme la jalousie, l’envie ou l’échec. Il appartient à chacun de faire son mélange de couleurs, peindre sa toile tout au long de sa vie et attribuer une signification des couleurs pour créer sa propre œuvre d’art finale : sa vie. En tant que peintre, c’est vous qui choisissez la représentation de votre vie au travers de votre toile.

    « Car c’est par l’écriture toujours qu’on pénètre le mieux les gens. La parole éblouit et trompe, parce qu’elle est mimée par le visage, parce qu’on la voit sortir des lèvres, et que les lèvres plaisent et que les yeux séduisent. Mais les mots noirs sur le papier blanc, c’est l’âme toute nue »

    Guy de Maupassant

    1. Être traversé par des émotions & Ressentir des sentiments

    1.1. La tristesse

    La tristesse correspond à l’état de quelqu'un qui éprouve du chagrin, de la mélancolie ; une affliction.¹

    J’avais déjà vécu des décès, mais il s’agissait en général de personnes âgées. Le décès accidentel de ma belle-sœur a représenté un épisode très violent car elle était à la fois un membre de ma famille, elle avait mon âge à deux ans près et nous étions amies. Elle était également maman de trois petits garçons : des jumeaux de six mois et un petit garçon de trois ans, et était belle maman de ma nièce issue d’une précédente union. Dans la voiture nous étions voisines.

    Je suis montée en voiture, nous étions à côté l’une de l’autre et quand j’ai repris conscience après l’accident, je me suis rendu compte que je ne reverrais plus jamais Aline et que cela serait définitif. La tristesse de perdre quelqu’un de façon soudaine est immense. Nous vivons et un jour nous mourrons c’est la suite logique, la vie est ainsi faite ; cependant la soudaineté de la disparition de ma belle-sœur m’a plongée dans un état de choc et de sidération qui m’a fait prendre conscience que l’on pouvait perdre quelqu’un en un instant. Je pensais vivre un cauchemar et qu’à mon réveil tout reviendrait comme avant. J’ai ressenti un profond chagrin à la simple pensée que je ne la reverrai jamais. J’appréciai ma belle-sœur et

    ne pas pouvoir vivre les différentes étapes « classiques » d’un deuil ; c’est-à-dire assister aux obsèques, partager ma peine avec d’autres personnes et lui rendre hommage, a rendu la situation encore plus compliquée. Je ne pouvais pas être présente aux côtés de mon frère pour le soutenir. J’ai donc dû trouver le moyen de faire mon deuil seule à l’hôpital car j’étais tout à fait consciente du moment que je vivais. J’ai beaucoup pleuré et souvent, pendant longtemps. 

    J’avais perdu une amie et belle-sœur, mon frère avait perdu sa femme et ses enfants n’avaient plus de mère, sa mère avait perdu sa fille, son frère avait perdu sa sœur, mes parents avaient perdu leur belle-fille, ses amis avaient perdus leur amie. C’est terrible de perdre quelqu’un aussi brutalement.

    J’ai également éprouvé une grande tristesse envers mon fils âgé de quatre ans à l’époque. Voir sa mère sur un lit d’hôpital qui souffre avec de multiples fractures et fragile représentait une grande épreuve pour lui et je n’étais pas en mesure de lui venir en aide, de le protéger. Ainsi je me sentais coupable de ne pas pouvoir remplir mes devoirs de mère. Être présente à ses côtés chaque jour pour m’occuper de lui et le prendre dans mes bras à chaque fois qu’il en aurait eu besoin.

    J’ai aussi été envahie d’une grande tristesse envers mes trois autres amies impliquées dans l’accident et leurs familles. Tout mon entourage a été impacté et cela a entrainé une immense charge émotionnelle très difficile à vivre mais en même temps, en étant plusieurs à vivre la tristesse, nous avons pu la partager et pleurer ensemble. J’occupais la chambre d’hôpital avec mon amie Lucie, une des victimes de l’accident. Nous avons vécu nos moments de tristesse d’une façon décalée. Nous avions chacune notre rythme ce qui nous a permis de nous soutenir dans les nombreux moments difficiles. 

    Au cours de mon hospitalisation, je n’ai pu voir mon fils que pendant trois heures en semaine. J’étais séparée de mon ex-mari depuis deux mois lorsque l’accident s’est produit et j’ai dû affronter en parallèle un divorce conflictuel, qui a entrainé une bataille juridique pour la garde de mon fils. Des amis m’amenaient mon fils une fois par semaine pour que je puisse le voir. Mes parents et mon frère habitent dans le Sud de la France. Mes parents se relayaient pour venir à Lyon durant les week-ends et s’occuper de mon fils pour que je puisse le voir et voir aussi mes parents. Ils s’occupaient de moi également. Mon fils avait un grand besoin de moi et moi de lui. J’étais triste pour mes parents car ils se partageaient entre moi, leur fille qui était hospitalisée, et mon frère qui avait besoin de soutien et d’aide et qui se retrouvait veuf et seul avec trois enfants en bas-âge dont il devait s’occuper au quotidien. Je ressentais un profond chagrin aussi pour mon frère, qui supportait une douleur et une tristesse palpables mais qui malgré tout aurait voulu être plus à mes côtés pour m’épauler et me soutenir ; mais il ne pouvait pas le faire. 

    Lorsque nous ressentons de la tristesse, notre métabolisme se ralenti et le corps se recroqueville. Les larmes coulent ce qui permet l’évacuation des tensions et des hormones de stress. En repliant notre corps, la tristesse nous aide à revenir vers nous-mêmes. En ralentissant le métabolisme, elle donne de l’espace et le temps au processus d’intégration d’un changement douloureux, d’une perte, d’une déception de se réaliser. La tristesse est nécessaire et permet de faire face à son chagrin, d’accepter la perte ou le manque vis-à-vis d’une situation que nous ne pouvons pas changer.

    J’ai traversé de nombreux moments durant lesquels je ne pouvais que pleurer seule. Mais j’avais une compagne, une référence qui m’a beaucoup aidée : la LUNE. Je pleurais souvent seule la nuit et je voyais la lune au travers de la fenêtre de ma chambre d’hôpital. La lune était en quelque sorte l’élément auquel je me raccrochais. Parce que la lune ne parle pas mais elle était là tous les soirs. Elle change de forme, elle disparaît mais elle revient toujours. Elle était devenue une sorte de confidente sur laquelle je pouvais toujours compter. Elle représentait une présence silencieuse toujours au rendezvous. Pendant la journée, le soleil brille, apporte donc de la luminosité, réchauffe le cœur et fait du bien à notre organisme et la nuit, il fait sombre ce qui rappelle notre côté obscur, cependant la lune nous éclaire, et nous donne une lueur d’espoir. Elle se déplace et est transitoire comme la tristesse qui pourra se transformer en douceur et en nostalgie avec le temps.

    « Le souvenir, c’est la présence invisible »

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