Avoine cultivée
Avena sativa
Règne | Plantae |
---|---|
Sous-règne | Tracheobionta |
Division | Magnoliophyta |
Classe | Liliopsida |
Sous-classe | Commelinidae |
Ordre | Cyperales |
Famille | Poaceae |
Sous-famille | Pooideae |
Tribu | Aveneae |
Genre | Avena |
Ordre | Poales |
---|---|
Famille | Poaceae |
L'Avoine cultivée (Avena sativa L.), parfois appelée « avoine commune », « avoine byzantine » ou simplement « avoine », est une espèce de plantes monocotylédones de la famille des Poaceae (graminées), sous-famille des Pooideae. Connue seulement à l'état cultivé (cultigène), cette espèce a probablement été domestiquée en Europe centrale et septentrionale vers 2500 ans av. J.-C. Ce sont des plantes herbacées annuelles aux tiges (chaumes) dressées et aux inflorescences en panicules lâches, aux épillets retombants.
L'avoine est cultivée à la fois comme céréale pour son fruit ou caryopse[1] riche en amidon, et comme plante fourragère à couper en vert pour ses pousses tendres et sucrées qui plaisent aux animaux de la ferme. Elle fait partie des céréales à paille et est utilisée principalement en alimentation animale (notamment des équidés)[2].
Le genre Avena comprend, outre l'avoine cultivée (Avena sativa), d'autres espèces cultivées à certaines époques (Avena byzantina C Koch, Avena abyssinica Hoscht., Avena strigosa Schreb., Avena brevis Roth., Avena hispanica Ard. et Avena nuda L.) et des espèces adventices, dont la folle avoine (Avena fatua) et l'avoine stérile (Avena sterilis).
Ces graminées n'ont ni la rusticité ni la rapidité de végétation du seigle, et montrent aussi plus d'exigence que ce dernier sur la qualité du sol, mais leurs tiges durcissent moins vite, ce qui constitue un avantage appréciable du point de vue fourrager. Comme fourrage récolté en vert, l'avoine présente l'avantage de n'occuper le sol que pendant un temps relativement court.
Description
modifierLa plante est facilement identifiable.
La floraison de l'avoine sauvage (Avena sativa subsp. sterilis) a lieu de mai à juillet[3].
L’avoine a des fleurs hermaphrodites autopollinisées par le vent. C’est une monocotylédone à tige cylindrique (cauline) de 25 à 150 cm de haut, au port dressé.
Les feuilles glabres, longues et effilées font 2 à 10 mm de large et engainent les tiges. Elles présentent une ligule blanche de 2 à 5 mm sans oreillettes au niveau de leur insertion sur la tige.
Les inflorescences sont des panicules lâches. Elles mesurent 8 à 30 cm de long, portant des épillets de deux à trois fleurs, mesurant 20 à 25 mm de long.
Le grain est un caryopse velu entouré de glumelles non adhérentes mais qui restent fermées.
L’avoine peut produire des racines adventives au niveau des nœuds. Son système racinaire fasciculé est relativement puissant, pouvant s’enraciner jusqu’à plus de 1,5 m.
Avena sativa est une plante en C3 hexaploïde. L'avoine rude (Avena strigosa) est la seule avoine diploïde et est largement utilisée dans les programmes de création variétale, car plus rustique qu’Avena sativa, avec des graines plus petites.
Variétés cultivées
modifierEn France, plus de 100 variétés cultivées (cultivars) sont inscrites au Catalogue officiel des espèces et variétés et près de 360 au Catalogue européen[4].
Quelques variétés cultivées en France :
- de printemps : Albatros, Auteuil, Fringante, etc.
- d'hiver : Charmoise, Persane, Timoko, Vodka, etc.
Culture
modifierL'avoine est une céréale qui peut être cultivée comme céréale d'hiver ou de printemps.
C'est une plante relativement exigeante qui ne doit pas être installée sur sols pauvres sans apport de fumier ou d’engrais. De plus, l’avoine ne supporte pas la submersion ou l’engorgement. Elle ne doit pas être cultivée en milieu inondable et sur sols très lourds qui favorisent l’engorgement. Enfin, l’avoine se développe assez mal sous ombrage, dans les associations trop denses.
Histoire
modifierL'avoine est utilisée depuis des siècles comme nourriture pour les animaux d'élevage et à destination humaine de manière très récente. Ses premières utilisations en phytothérapie proviennent de la médecine traditionnelle d'Inde, la médecine ayurvédique.
Production
modifierLa production mondiale d'avoine a beaucoup baissé dans les 50 dernières années, passant de 50 millions de tonnes dans les années 1960 à 20 millions de tonnes en 2010. L'avoine a cessé d'être l'aliment de choix pour les animaux, maintenant remplacée par le maïs et l'orge.
Les pays à climat froid et à culture extensive sont les plus importants producteurs d'avoine au monde. Le Canada est le premier exportateur mondial (2,1 millions de tonnes), et les États-Unis le premier importateur. La Russie est le premier producteur.
Production en tonnes en 2012-2013[5] Données de FAOSTAT (FAO) | |||||||
Fédération de Russie | 4 027 274 | 19 % | 4 931 822 | 21 % | |||
Canada | 2 811 900 | 13 % | 3 888 000 | 16 % | |||
Pologne | 1 467 900 | 7 % | 1 190 039 | 5 % | |||
Australie | 1 262 032 | 6 % | 1 121 135 | 5 % | |||
Finlande | 1 073 100 | 5 % | 1 196 800 | 5 % | |||
États-Unis | 987 415 | 5 % | 1 016 024 | 4 % | |||
Espagne | 683 500 | 3 % | 964 700 | 4 % | |||
Royaume-Uni | 627 000 | 3 % | 964 000 | 4 % | |||
Suède | 731 200 | 3 % | 851 500 | 4 % | |||
Allemagne | 756 500 | 4 % | 627 700 | 3 % | |||
Chine | 600 000 | 3 % | 614 000 | 3 % | |||
Chili | 450 798 | 2 % | 680 382 | 3 % | |||
Ukraine | 629 700 | 3 % | 467 270 | 2 % | |||
Brésil | 431 024 | 2 % | 520 397 | 2 % | |||
Argentine | 495 940 | 2 % | 444 820 | 2 % | |||
Autres pays | 4 278 770 | 20 % | 4 402 408 | 18 % | |||
Monde | 21 314 053 | 100 % | 23 880 997 | 100 % |
Utilisations
modifierEn alimentation animale
modifierL’avoine en grains était autrefois très utilisée pour l’alimentation des chevaux, à cause de son « pouvoir excitant » (dont l'origine n'est pas établie), qui était censé stimuler les animaux[6]. Elle est encore utilisée pour les chevaux de sport[6]. Sa valeur énergétique est cependant bien moindre que celle du blé ou de l’orge. Comme fourrage, on peut la cultiver en mélange avec une légumineuse comme la vesce, ce qui améliore sa teneur en protéines.
Dans le cadre de l'année internationale de la biodiversité 2010, un projet pilote s’est déroulé dans la région Franche-Comté, visant à cultiver des surfaces d'avoine permettant aux abeilles d'utiliser le pollen de cette plante comme aliment[7].
En alimentation humaine
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Avoine déglumée | |
Valeur nutritionnelle moyenne pour 100 g |
|
Apport énergétique | |
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Joules | 1378 kJ |
(Calories) | (326 kcal) |
Principaux composants | |
Glucides | 55,70 g |
– Amidon | 54,62 g |
– Sucres | 1,08 g |
Fibres alimentaires | 9,67 g |
Protéines | 10,70 g |
Lipides | 7,09 g |
– Saturés | 1,430 g |
– Oméga-3 | 0,120 g |
– Oméga-6 | 2,740 g |
– Oméga-9 | 2,460 g |
Eau | 13 g |
Cendres totales | 2,85 g |
Minéraux et oligo-éléments | |
Bore | 0,568 mg |
Calcium | 80 mg |
Chlore | 119 mg |
Chrome | 0,0039 mg |
Cobalt | 0,0085 mg |
Cuivre | 0,410 mg |
Fer | 5,8 mg |
Fluor | 0,095 mg |
Iode | 0,0080 mg |
Magnésium | 129 mg |
Manganèse | 3,0 mg |
Nickel | 0,210 mg |
Phosphore | 342 mg |
Potassium | 355 mg |
Sélénium | 0,0071 mg |
Sodium | 8,4 mg |
Zinc | 3,2 mg |
Vitamines | |
Vitamine B1 | 0,674 mg |
Vitamine B2 | 0,170 mg |
Vitamine B3 (ou PP) | 2,4 mg |
Vitamine B5 | 0,710 mg |
Vitamine B6 | 0,960 mg |
Vitamine B8 (ou H) | 0,013 mg |
Vitamine B9 | 0,033 mg |
Vitamine E | 0,841 mg |
Vitamine K | 0,050 mg |
Acides aminés | |
Acide aspartique | 1008 mg |
Acide glutamique | 2547 mg |
Alanine | 656 mg |
Arginine | 772 mg |
Cystine | 323 mg |
Glycine | 709 mg |
Histidine | 225 mg |
Isoleucine | 468 mg |
Leucine | 870 mg |
Lysine | 495 mg |
Méthionine | 191 mg |
Phénylalanine | 605 mg |
Proline | 799 mg |
Sérine | 660 mg |
Thréonine | 424 mg |
Tryptophane | 190 mg |
Tyrosine | 424 mg |
Valine | 643 mg |
Acides gras | |
Acide myristique | 40 mg |
Acide palmitique | 1280 mg |
Acide stéarique | 110 mg |
Acide palmitoléique | 54 mg |
Acide oléique | 2460 mg |
Acide linoléique | 2740 mg |
Acide alpha-linolénique | 120 mg |
Source : Souci, Fachmann, Kraut : La composition des aliments. Tableaux des valeurs nutritives, 7e édition, 2008, MedPharm Scientific Publishers / Taylor & Francis, (ISBN 978-3-8047-5038-8) | |
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- L'utilisation de l'avoine dans l'alimentation est surtout d'origine anglo-saxonne ou nord-européenne. Elle concerne les flocons d’avoine, le gruau, le porridge, des biscuits, et la préparation d'une boisson telle que la bière de type oatmeal stout.
- L'avoine a été consommée par l'homme depuis des milliers d'années, surtout sous forme de gruau ou de bouillie. C'était un aliment commun.
- Les produits d'avoine plus récents sont le lait d'avoine (un lait végétal), le son d'avoine - recommandé dans le cadre de certains régimes amaigrissants.
- Depuis quelques années, l'intérêt pour l'avoine comme aliment bénéfique pour la santé s'est accru. En effet, de nombreuses études ont démontré qu'une fibre particulière de l'avoine - le bêta-glucane - a des propriétés régulatrices de la glycémie et également du taux de cholestérol sanguin[8],[9],[10],[11].
- Les protéines de l'avoine, riches en tryptophane, participent à la production de sérotonine et mélatonine chez l'humain. Les lipides possèdent un taux important de galactolipides, qui pourraient avoir un effet bénéfique sur notre système nerveux. Enfin, l'avoine contient de nombreux antioxydants comme les avénanthramides, les tocophérols et les tocotriénols[12].
- Problèmes intestinaux : le son d'avoine est une solution aux problèmes de constipation. Le son d'avoine est également un élément d'un régime amincissant récent, le régime Dukan.
On estime qu'aux États-Unis l'alimentation humaine correspond à un tiers de l'approvisionnement en avoine, et l'alimentation animale deux tiers.
- Protéines
L'avoine, comme le riz, a comme source de protéine majeure la globuline, qui se retrouve dans les légumineuses. Elle contient comme le riz de 5 à 10 % de prolamines incluant l'avénine, la proline, la glutamine, qui sont des protéines présentes chez les triticées[13]. Les globulines sont caractérisées par leur solubilité dans l'eau saline. Les autres protéines classiques telles que le gluten (blé, orge, seigle) et la zéine (maïs), sont des prolamines. Une des protéines mineures de la prolamine est l'avénine[14]. L'avénine est toxique chez les individus sensibles à cette protéine [15] et aurait des effets toxiques similaires à l’intolérance au gluten (voir Gluten). La source de protéines de l'avoine est équivalente qualitativement à celle du soja (légumineuse contenant la globuline), les recherches de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) ayant montré l’équivalence avec les protéines de la viande, du lait et des œufs[16]. Les protéines contenues dans l'enveloppe de la graine sont en proportion de 12 à 24 %, l'un des taux les plus hauts de la famille des céréales.
Comme tous les grains, l'avoine contient de l'acide phytique dans son enveloppe (le son). Si l'avoine n'est pas trempée plusieurs heures, voire fermentée comme dans l'ancien temps, l'acide phytique peut se lier dans les intestins au calcium, magnésium, cuivre, fer et tout spécialement au zinc et bloquer leur absorption. Donc, un régime fort en céréales complètes non cuites peut entraîner un déficit en minéraux et des problèmes de santé[réf. nécessaire]. Simplement tremper, fermenter ou cuire (donc ramollir) ces céréales complètes permet aux enzymes et autres organismes de neutraliser et dégrader l'acide phytique afin d’empêcher cela.
En couvert végétal et contrôle des bioagresseurs
modifierL’avoine possède un système racinaire fasciculé relativement puissant qui lui permet de se développer sur sol modérément compacté et d’en améliorer la structure lorsqu'on l'utilise en CIPAN. Son système racinaire, très dense sur les horizons de surface, s’enracine en général à plus de 80 cm et peut atteindre 190 cm. De plus, l’avoine produit une biomasse conséquente et procure ainsi une très bonne couverture du sol. Cette couverture se décompose lentement (rapport C/N élevé) et se maintient en conséquence longtemps sur le sol. L’avoine bénéficie ainsi aux cultures qui lui succèdent, en particulier pour les légumineuses d'autant qu'elle permet un bon contrôle des adventices. L’avoine est une excellente plante nettoyante. Au-delà de l’effet d’ombrage procuré par la couverture, l’avoine a des facultés allélopathiques très marquées, que ce soit en végétation ou lors de sa décomposition. En conséquence, les cultures installées sur résidus d’avoine peuvent généralement être conduites sans utilisation d’herbicide.
L’avoine est souvent utilisée comme nématicide. Elle est considérée comme un bio pesticide, en particulier en semis direct. Son effet est multiple : d’une part, elle n’est pas un hôte des nématodes (en particulier Pratylenchus penetrans). Comme elle supprime les autres plantes qui pourraient être des hôtes, elle rompt le cycle de ces nématodes. D’autre part, elle a des effets allélopathiques et biocides, que ce soit pendant sa croissance ou lors de la décomposition de ses pailles. Par ailleurs, l’avoine sécrète par son appareil racinaire des substances fongicides, toxiques pour Fusarium, Gaeumannomyces et Rhizoctonia.
Commerce
modifierEn 2014, la France a exporté en moyenne 7 500 t d'avoine par mois, à 98 % vers ces 6 pays : la Belgique (24 %), les Pays-Bas (22 %), l'Allemagne (19 %), l'Italie (19 %), l'Espagne (8 %) et la Suisse (7 %). Le niveau de prix est d'environ 170 €/t[17].
Calendrier
modifierLe 2e jour du mois de messidor (des moissons) du calendrier républicain / révolutionnaire français est officiellement dénommé jour de l'avoine[18], généralement chaque 20 juin du calendrier grégorien.
Notes et références
modifier- « CARYOPSE : Définition de CARYOPSE », sur www.cnrtl.fr (consulté le ).
- « Le site Cheval - Alimentation du Cheval : Cereales. », sur www.le-site-cheval.com (consulté le ).
- Benoît Larroque et Jean Favennec, Guide de la flore du littoral sableux méditerranéen : De la Camargue au Roussillon, Éditions Sud Ouest, , 277 p. (ISBN 9782817704487), p. 206.
- Consultation en ligne de la liste des variétés inscrites au catalogue officiel sur le site de Semae
- « FAOSTAT », sur faostat3.fao.org (consulté le ).
- Jean Guillaume, Ils ont domestiqué plantes et animaux : Prélude à la civilisation, Versailles, Éditions Quæ, , 456 p. (ISBN 978-2-7592-0892-0, présentation en ligne), chap. 8.
- Fédération régionale des Chasseurs, « Abeilles : des centaines d'hectares semés pour les nourrir », Maxisciences.com, Maxisciences.com, (lire en ligne).
- Page du site d'Agriculture et Agroalimentaire Canada sur les beta glucanes.
- (en) Avis de l'EFSA dans le cadre du règlement 1924/2006 sur les allégations de santé.
- Avantages de l'avoine pour la santé.
- (en) Anne Whitehead, Eleanor J. Beck, Susan Tosh et Thomas MS Wolever, « Cholesterol-lowering effects of oat β-glucan: a meta-analysis of randomized controlled trials », The American Journal of Clinical Nutrition, vol. 100, no 6, , p. 1413–1421 (ISSN 0002-9165 et 1938-3207, PMID 25411276, DOI 10.3945/ajcn.114.086108, lire en ligne, consulté le ).
- Bryngelsson et al., 2002.
- (en) « Seed Storage Proteins : Structures and Biosynthesis », Plantcell.org (consulté le ).
- (en) Rottmann LH, « On the Use of Oats in the Gluten-Free Diet » [archive du ], Celiac Sprue Association/United States of America, Inc. (CSA), (consulté le ).
- (en) « Info on Oats »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Celiac Sprue Association/United States of America, Inc. (CSA), (consulté le ).
- (en) Radomir Lasztity, The Chemistry of Cereal Proteins, Akademiai Kiado, , 336 p. (ISBN 978-0-8493-2763-6, présentation en ligne).
- « Indicateur des échanges import/export », sur Direction générale des douanes. Indiquer NC8=10049000 (consulté le ).
- Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française, p. 28.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Allergie à l'avoine
- Avénacine
- Porridge ou porage, gruau ou bouillie à base d'avoine et du lait
- Flocon d'avoine
- Virus de la mosaïque de l'avoine
Entreprises
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives au vivant :
- Alabama Plant Atlas
- Australian Plant Name Index
- Base de données des plantes d'Afrique
- BioLib
- Calflora
- Catalogue of Life in Taiwan
- Dyntaxa
- Ecocrop
- EPPO Global Database
- Flora Catalana
- Flora of China
- Flora of Israel Online
- Flora of North America
- Flora of Wisconsin
- FloraBase
- FloraNT
- Germplasm Resources Information Network
- Global Biodiversity Information Facility
- GrassBase
- iNaturalist
- Info Flora
- Interim Register of Marine and Nonmarine Genera
- International Plant Names Index
- Invasive Plant Atlas of the United States
- Michigan Flora
- Nálezová databáze ochrany přírody
- NBN Atlas
- NDFF Verspreidingsatlas
- Nederlands Soortenregister
- New South Wales Flora Online
- New Zealand Organisms Register
- PalDat
- The Plant List
- PLANTS Database
- Plants of the World Online
- Portale della Flora d'Italia
- Red List of South African Plants
- Système d'information taxonomique intégré
- TAXREF (INPN)
- Tela Botanica
- Tropicos
- VASCAN
- VicFlora
- Wildflowers of Israel
- World Checklist of Selected Plant Families
- Ressource relative à la santé :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (en) Référence JSTOR Plants : Avena sativa (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Avena sativa L. (consulté le )
- (en) Référence Flora of China : Avena sativa (consulté le )
- (en) Référence FloraBase (Australie-Occidentale) : classification Avena sativa (+ photos + répartition + description) (consulté le )
- (en) Référence GRIN : espèce Avena sativa L. (consulté le )
- (fr) Référence INPN : Avena sativa L., 1753 (TAXREF) (consulté le )
- (fr + en) Référence ITIS : Avena sativa L. (consulté le )
- (en) Référence World Checklist of Selected Plant Families (WCSP) : Avena sativa L. (1753) (consulté le )
- (en) Référence NCBI : Avena sativa (taxons inclus) (consulté le )
- (fr) Référence Tela Botanica (France métro) : Avena sativa
- (en) Référence The Plant List : Avena sativa L. (source : KewGarden WCSP) (consulté le )
- (en) Référence Tropicos : Avena sativa L. (+ liste sous-taxons) (consulté le )
- (en) Référence UICN : espèce Avena volgensis (Vavilov) Nevski (consulté le )