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Bonbon

confiserie, généralement aromatisée avec divers goûts sucrés

Un bonbon est une confiserie, généralement aromatisée et colorée, avec divers goûts, consistances et textures, et parfois salés (ex. : caramels salés) ou légèrement voire très fortement acidifiés. Ils peuvent être fourrés et sont parfois alcoolisés[1]... On en compte en France plus de 20 variétés et plus de 600 spécialités régionales, vendus au poids, en vrac ou conditionnés en sachet, emballés individuellement ou non.

Bonbons capsules.
Étal de chiques ou choupettes.
Confiserie à Sacramento en Californie.

Histoire

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Les sucreries datent probablement de la préhistoire.

Six cents ans avant notre ère, les Perses, découvrant qu'un « roseau » donne du « miel » sans nécessiter de ruche, ils en font une friandise[2]. Le loukoum est préparé à partir de sirop de datte.

Les pâtissiers et confiseurs produisent divers types de sucreries, mais qui restent longtemps des produits de luxe[2]. Le bonbon de malte, réputé soigner (ou ne pas soigner)[3] le mal de mer à l'époque de Théophile gautier, n'était semble-t-il que des pastilles de Vichy (à base de bicarbonate de soude) présenté sous une autre forme[4].

Sa consommation varie selon les contextes socioculturels et familiaux, selon la période de l'année (fêtes d'Halloween, de noël, de pâques, anniversaires...).

Elle a été et est encore fortement poussée par l'industrie sucrière et la baisse des coûts du sucre, au XIXe siècle[2], et par l'industrie agroalimentaire qui a profité de l'extension de la culture de la betterave à sucre et de la canne à sucre. Ce marché, hautement lucratif, est l'un des plus rémunérateurs de l’industrie agroalimentaire (chiffre d'affaires : plus d'1,4 milliard d'euros en 2022)[2]. Ce marché s'est largement mondialisé, en visant les enfants qui en sont les principales cibles, via les campagnes publicitaires et la mise en valeur des bonbons dans les supermarchés notamment, au détriment de la santé, dentaire notamment.

Certains médicaments sont confondus par les enfants avec des bonbons, et alors source potentielle d'accidents graves.

Statistiques

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Il ne semble pas exister de statistiques pour le monde entier, mais selon le planétoscope, la France consommerait en 2024 environ 214 500 tonnes de bonbons et confiseries par an (soit 6,8 kg par seconde et 3,3 kg par personne, loin derrière la Suède (plus de 7 kg par personne) ou le Danemark (6,2 kg) ou les anglais (4,6 kg)[5].

En 2012, les Français ont dépensé 1,054 milliards d'euros pour acheter 224 000 tonnes de bonbons et sucreries, alors qu'en 2003, ils avaient dépensé 1 md € environ pour 216 000 tonnes (+ 14 % en 10 ans)[2]. En 2023, ils ont dépensé environ 1 194 milliards d'euros de friandise[2] et 4,26 Mrd EUR de confiserie au sens large (2023)[6]. En 2022, un Français moyen consommait 8,8 kilogrammes de produits chocolatés[7].

Histoire, étymologie, orthographe

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Les premiers bonbons étaient probablement à base de miel, puis il y a eu les dragées.

Le mot « bonbon » est constitué d'une répétition de « bon », ce pourquoi il ne s'écrit pas selon la règle générale, c'est-à-dire avec un « m » devant le « b »[8].

Ce nom désignant une « confiserie sucrée » aurait été introduit au 17e siècle, probablement à partir d'une locution enfantine répétant le mot « bon » (issu du latin bonus)[9]. En 1818 apparait le mot bonbonnière (ou drageoir) pour la « boîte à bonbons ». Les bonbons étaient fabriqués par un artisan bonbonnier puis généralement par l'industrie (ou drageoir) ou dans un bocal pour les conserver.

Il apparaît alors dans la littérature enfantine[10].

Sociopsychologie et bonbons

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Selon lalanne et Tibère (2008), le bonbon « n’est pas qu’un bonbon » ; il a une valeur sociale importante et peut entrer dans des stratégies complexes de don/contre-don[11].

En Afrique et en Asie et dans de nombreuses populations autochtones amérindiennes, le bonbon était ou est encore moins présent, mais dans les sociétés occidentales, il et présents dans presque tous les commerces alimentaires, superettes, super- et hypermarchés. Le retour des bonbons a été l'un des symboles d'abondance et de retour de la normalité après chaque guerre.

Un historienne, Marie-marthe Proulx-Giroux signale (en 2003) le cas d'une tradition locale de distribution de bonbons bénits, dans la ville du Grand-Sudbury en Ontario[12].

Après la Seconde Guerre mondiale, la publicité à ancré le bonbon comme aliment-plaisir, aliment-récompense ou un aliment-cadeau destiné aux enfants. Le don[13] de bonbon joue un rôle de liant social dans le rapport adulte-enfant, grands-parents enfants, un symbole de lien social.

S'il est généralement considéré comme hédonique, enfantin et régressif, souvent associé aux fêtes (anniversaire...), des études ont montré que les préadolescents (autres cibles de la publicité) l'utilisent aussi pour leur intégration sociale au collège, voire plus tard ; pour se faire bien voir, par amitié ou parfois de manière transgressive (par exemple pour certains élèves en mangeant des bonbons durant les cours, ce qui pourrait passer pour un acte de rébellion et éventuellement alimenter leur statut social d'élèves audacieux). Le partage de bonbons peut renforcer des amitiés, et inversement le vol ou racket de bonbons peut-être une marque de volonté de domination d’autres élèves en les volant. Le bonbon est aussi une source facile d'addiction exploitée par les industriels du secteur agroalimentaire et les publicitaires.

Dans les années 2000, un enfant moyen occidental est exposé à une quantité significative de publicités (à 12 ans, il aura vu près de 100 000 spots publicitaires dans les médias et dans l'espace public ; et en 2019, « la télévision reste le média le plus regardé par les 4-12 ans (h 28 par jour) », soit 1 200 heures de publicité. Aux heures les plus fréquentées par les enfants, les publicités pour les bonbons et d'autres produits sucrés et addictifs sont plus nombreuses (une grande partie des publicités « alimentaires » concernent des produits trop gras, trop salés et/ou trop sucrés pour être sans risques pour la santé, et ces produits sont conçus (y compris leur emballage et les messages subliminaux) pour être addictifs. En 2019, en France, les investissements publicitaires (1,1 milliard d’euros nets/an en 2018) du secteur alimentaires sont encore très majoritairement faits à la télévision (60 % environ) et de manière croissante sur Internet (20 % environ), et 48 % d’entre eux concernent les produits aux Nutri-Scores classés D et E[14]. Par exemple, en 2018, les publicités pour des produits Nutri-Score D et E étaient 53,3 % des publicités alimentaires vues par les enfants ; et 52,5 % des publicités vues par les adolescents[14]. De plus, Par ailleurs, 50 % de toutes les publicités alimentaires télévisées pour des produits Nutri-Score D et E étaient vues par les enfants et les adolescents aux heures de grande écoute (19-22 h 0 où plus de 20 % des enfants et des adolescents sont devant la télévision, avec ou sans leurs parents)[14]. Les enfants sont aussi l'objet d'un ciblage croissant dans l'Internet qui est encore moins réglementé de ce point de vue, or « On sait qu’être exposé à la publicité pour des produits gras, sucrés, salés, crée des préférences et augmente la consommation de ce type de produits, cela augmente également les pressions des enfants exposés sur leurs parents, pour qu’ils en achètent. La publicité a un réel impact sur le comportement alimentaire des enfants et sur les consommations » qui contribuent au surpoids de 17 % des enfants et adolescents français (6-17 ans, dont 4 % sont obèses), surpoids qui peut être une source de stress et d'inégalité pouvant les encourager à consommer encore plus de sucreries apparemment réconfortantes[14]. Depuis 2010, l’OMS recommande de limiter ou interdire ces publicités (le Canada ou le Royaume-Uni l'ont fait, mais en 2024, la France ne l'a pas fait, bien que Santé publique France ait préconisé « d’interdire les publicités sur des produits à plus faible valeur nutritionnelle (Nutri-Score D et E) en télévision et sur Internet, aux moments où les enfants sont les plus nombreux devant les écrans »[14].

Composition

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Depuis plus d'un siècle, le sucre est son principal ingrédient, en quantité variant selon les recettes. Les fabricants de bonbons et autres sucreries utilisent divers additifs (gélatine, antioxydants, acidifiants, émulsifiant...) pour colorer, texturer, acidifier leurs bonbons[15].

Certains fabricants cherchent à répondre à la demande sociale de produits meilleurs pour la santé, voire « bons pour la santé » et moins impactants pour la planète, avec par exemple des bonbons gélifiés végétaliens à base de jus de fruits et légumes[16], un bonbon à la poudre de pêche lyophylisée[17].

Aspects organoleptiques

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Pour des guides et concours, des jurys dégustent les chocolats et bonbons : en complément de critères objectivables (tels qu'apparence, couleur, poids, volume, dureté, taux de sucre, de gras, de lait, de crème, cacao, fruit, etc.), ils s'intéressent à des critères organoleptiques qui sont plus subjectifs tels que texture et longueur en bouche, goût/odeur/parfum, arômes, fraicheur, douceur ou puissance des goûts, amertume, justesse et équilibre des saveurs, etc.)[18].

Santé animale

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Le chocolat est réputé dangereux pour les chiens, chats, oiseaux, furets, rats, chevaux et d'autres animaux qui ne métabolisent pas la théobromine qu'il contient ; et de manière générale le sucre peut avoir les mêmes effets que chez l'homme (obésité notamment)[19],[20].

Aux États-Unis, des éleveurs ont nourri leurs vaches avec des déchets et rebuts de l'industrie des bonbons, et ont constaté que les vaches grossissaient plus vite (et donnaient un peu plus de lait)[21].

Liste des bonbons existants

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Par type

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Nougat de Provence.
 
Rouleaux de réglisse.

Les bonbons traditionnels par pays

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Belgique

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Ruban acidulé.
 
Oursons.

Cameroun

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Croatie

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Danemark

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Espagne

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États-Unis

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Finlande

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Spécialité Lieu Image
Angélique confite de Niort Niort
Anis de Flavigny Flavigny-sur-Ozerain
Bergamote de Nancy Nancy
 
Bergamotes de Nancy
Berlingot de Carpentras Carpentras
 
Berlingots de Carpentras
Berlingot de Nantes Nantes
Berlingot de Pézenas Pézenas
Bêtises de Cambrai Cambrai
Boulet de Montauban Montauban
Cachou Lajaunie Toulouse
Cailloux du Gave Lourdes
Calisson Aix-en-Provence
 
Calisson d'Aix
Calisson de Montpellier Montpellier
Caramels d'Isigny Normandie
Chique Rhône-Alpes
Chiques de Bavay Bavay
Choupette Provence
Cocon de Lyon Lyon
Coquelicot de Nemours Nemours
Cotignac d'Orléans Orléans
Coussin de Lyon Lyon
Dragée de Verdun Verdun
Forestine Bourges
Fruits confits d'Apt Apt
Gallien de Bordeaux Bordeaux
Grisettes de Montpellier Montpellier
Haricot de Soissons Soissons
Négus de Nevers Nevers
Niniche Bretagne
Nougat de Montélimar Montélimar
Nougat de Sault Sault
Nougatine de Nevers Nevers
Papaline d'Avignon Avignon
Pastille de Vichy Vichy
Pastille du mineur Nord-Pas-de-Calais
Pâte de fruits Vaucluse, Auvergne
Pomme au Calvados Normandie
Prasline de Montargis Montargis
Quernon d'ardoise Angers
Réglisse d'Uzès Uzès
Roudoudou
Sottise de Valenciennes Valenciennes
Sucre d'orge de Vichy Vichy
Sucre de Pomme de Rouen Rouen
Touron catalan Perpignan
Touron du Pays Basque Pays basque
Truffe
Violette de Toulouse Toulouse
 
Violettes de Toulouse.

Réunion (France)

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Pays-Bas

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Royaume-Uni

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Jelly babies.

Utilisation

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Des bonbons sont offerts lors de certaines fêtes, comme à Noël ou à la Saint-Nicolas. Pour Halloween, les enfants viennent sonner de portes en portes, déguisés en monstres pour en collecter. À Pâques ce sont le plus souvent des chocolats qui sont offerts.

Un bar à bonbons est une table sur laquelle on dispose plusieurs variétés de bonbons, de différentes couleurs et de différentes formes. Le tout est souvent présenté dans des sacs en plastique. Des bars à bonbons sont parfois présents dans des évènements où un repas est servi. Les invités peuvent s'y servir.

Ingrédients principaux

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Les ingrédients principaux entrant dans la composition des bonbons sont[15] :

Ces ingrédients sont utilisés dans la confection des bonbons industriels ; on trouve d'autres composants dans les confiseries plus traditionnelles comme les violettes.

Notes et références

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  1. « Bonbon : Définition simple et facile du dictionnaire », sur linternaute.fr, (consulté le ).
  2. a b c d e et f Ce texte fournit des informations générales Statista ne peut garantir que les informations soient complètes ou exactes En raison de cycles de mise à jour variables et Les Statistiques Peuvent Afficher Des Données Plus Récentes Que Celles Référencées Dans Le Texte, « Thème: Le marché des confiseries », sur Statista (consulté le ).
  3. Pierre Julien, « Deux caricatures sur les bonbons de Malte », sur Revue d'histoire de la pharmacie, (ISSN 0035-2349, DOI 10.3406/pharm.1991.3209, consulté le ), p. 399–402.
  4. Jean Théodoridès et Pierre Julien, « Les bonbons de Malte contre le mal de mer », Revue d'Histoire de la Pharmacie, vol. 70, t. 29, no 253, , p. 98 [lire en ligne].
  5. « Planetoscope - Statistiques : Consommation de bonbons en France », sur planetoscope.com (consulté le ).
  6. « Produits d'épicerie sucrée : chiffre d'affaires par catégorie France 2023 », sur Statista (consulté le ).
  7. « Chocolat : consommation par personne en France 2022 », sur Statista (consulté le ).
  8. « m devant m, b et p », sur leconjugueur.lefigaro.fr (consulté le ).
  9. « BONBON : Etymologie de BONBON », sur cnrtl.fr (consulté le ).
  10. Christine Durif-Bruckert, « Les représentations de l’eau et l’appropriation des notions de santé et de plaisir dans le rapport aux boissons chez les enfants 9–11ans », Cahiers de Nutrition et de Diététique, vol. 50, no 1,‎ , p. 53–60 (ISSN 0007-9960, DOI 10.1016/j.cnd.2014.09.002, lire en ligne, consulté le ).
  11. Alain Brossat, chap. 1 « Le bonheur n’est pas une partie de plaisir », dans Cahiers critiques de philosophie, vol. n°15, , 9–22 p. (DOI 10.3917/ccp.015.0009, lire en ligne).
  12. Marie-Marthe Proulx-Giroux, « Les bonbons bénits : enquête sur une tradition sudburoise », Rabaska : revue d'ethnologie de l'Amérique française, vol. 2,‎ , p. 107–117 (ISSN 1703-7433 et 1916-7350, DOI 10.7202/201648ar, lire en ligne, consulté le ).
  13. Marcel Mauss et Marcel Mauss, Essai sur le don: forme et raison de l’échange dans les sociétés archaïques, J.-M. Tremblay, (ISBN 978-1-55442-206-7, DOI 10.1522/cla.mam.ess3, lire en ligne).
  14. a b c d et e « Exposition des enfants et des adolescents aux publicités des produits gras, salés et sucrés : quelles préconisations d’encadrement ? » (consulté le ).
  15. a et b (en) Justin J. Alikonis, Candy technology, AVI Pub. Co, (OCLC 918387929, présentation en ligne).
  16. Kienge A. (2020) Conception de bonbons gélifiés végétaliens à base de jus de fruits et légumes ; Mémoire Sciences du vivant > Sciences des denrées alimentaires ; Université de Liège, Liège, Belgique [lire en ligne].
  17. (en) Dasha Mihaylova, Aneta Popova, Zhivka Goranova et Pavlina Doykina, « Development of Healthy Vegan Bonbons Enriched with Lyophilized Peach Powder », Foods, vol. 11, no 11,‎ , p. 1580 (ISSN 2304-8158, DOI 10.3390/foods11111580, lire en ligne, consulté le ).
  18. Thomas Collas, « Que guide un guide ?:Évaluation et attention des producteurs aux notes sur les marchés des bonbons de chocolat », Revue Française de Socio-Économie, vol. 19, no 2,‎ , p. 89–110 (ISSN 1966-6608, DOI 10.3917/rfse.019.0089, lire en ligne, consulté le ).
  19. Winum Stéphane F (1997) A propos de la Thèse de doctorat vétérinaire : Toxicologie du chocolat chez les animaux domestiques (Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse) [lire en ligne].
  20. Moreau, J. M. C., et Solcan, G. (2021). Chocolate intoxication in dogs [lire en ligne].
  21. Alain KALT (retranscription), « Ces vaches sont nourries de bonbons », (consulté le ).
  22. a et b Henri Tourneux, Les préparations culinaires chez les Peuls du Diamaré (Cameroun), 30 p. (lire en ligne), p. 12.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Pierre Pourchet, Vincent Pourchet et Christophe Lejal, Bonbons de toujours, histoire et tradition des meilleurs bonbons artisanaux de France, Gründ, 2015.

Articles connexes

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Liens externes

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