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Claude Mercier

artiste sculpteur

Claude Mercier, né le à Paris 16e et mort le à Yèvre-la-Ville[1], est un artiste français sculpteur de métal[note 1].

Claude Mercier
Claude Mercier dans son atelier de la Rue du Saint-Gothard, à Paris. Portrait par Dominique Souse, 1981.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nationalité
Formation
Activités
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Influencé par
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Distinction
signature de Claude Mercier
Signature
Tombe de Claude Mercier au cimetière du Montparnasse (division 6).

Il a pris une part active à la vie de la sculpture française après la seconde guerre mondiale[2]. Mariant la grâce et la puissance, il a été encouragé dès ses débuts par des artistes célèbres comme Henry Moore ou Alberto Giacometti, et fut proche du photographe Brassaï.

La sculpture de Claude Mercier constitue la face la plus connue de l’artiste. Conservée dans d’importantes institutions, notamment au MoMA à New York, au Musée d’Art Moderne de Paris, au Fonds national d'art contemporain, au Fonds régional d'art contemporain d'Île-de-France, ainsi que dans des espaces publics à Paris et en région, dans de grandes collections particulières en France et à l’étranger; elle y côtoie l’œuvre des illustres de l’Art moderne.

L'artiste[note 2] a participé durant six décennies aux grandes expositions nationales et internationales d'Art contemporain.

Biographie

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Claude Mercier naît le dans le 16e arrondissement de Paris[3], dans une famille attirée par les arts et lettres qui favorise sa personnalité : un grand-oncle conservateur de musée, une grand-mère journaliste-écrivaine et un père, Henri Mercier, dessinateur publicitaire[4] et illustrateur d'encyclopédies et livres pour enfants des années 1920 aux années 1950.

Formation

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Il poursuit des études secondaires au Lycée Janson-de-Sailly.

Sa passion des formes et des matières est à l'origine de son attrait pour les Arts plastiques et de son entrée à l’École Boulle dans la section de sculpture ornementale sur bois. L'apprentissage lui permet d'appréhender les techniques et les savoir-faire de la sculpture.

En 1944, il s’engage dans l’Armée de l’Air en France en qualité d’élève-pilote, et continue sa formation en Grande-Bretagne dans la Royal Air Force jusqu’à sa démobilisation en 1946. Revenu à Paris, il réalise pour des antiquaires des travaux de restauration d’œuvres d’art sur bois et de décoration de stands pour des salons.

En 1950, il poursuit son éducation artistique à l’École nationale des Beaux-Arts de Paris où il est formé par le sculpteur figuratif Marcel Gimond[5], dans l'atelier de taille sur pierre, bois et modelage de plâtre. Ces approches exigent une grande maîtrise et une réelle capacité à asservir la matière au profit de la création. Il sort diplômé avec une formation de modeleur mais son choix déterminé le pousse vers la sculpture sur métal.

Le choix du métal

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L'emploi du métal marque un tournant dans la sculpture au début du XXe siècle. Julio González, Pablo Picasso, Pablo Gargallo, Antoine Pevsner, Alexander Calder.., venus s'établir en France, inventent la sculpture par assemblage. Sur leurs traces, de nombreux sculpteurs des générations suivantes adoptent le métal pour s'exprimer directement, sans passer par les étapes du modelage, du moulage et de la fonte.

Sculpter voulait dire jusqu'alors : modeler la terre, le plâtre ou la cire, fondre le bronze, tailler le bois, la pierre ou le marbre. Dans les années 1930, la soudure révolutionne l'assemblage. Cuivre et laiton, aluminium, fer et acier, inox... le métal à l'état neuf ou récupéré sous toutes ses formes, façonné à froid ou à chaud, permet de construire autour du vide. La sculpture s'inscrit désormais comme un dessin dans l'espace et intègre le temps, le mouvement, la mécanique[6]...

Presque dès le début, Claude Mercier, dont le besoin de création s'affirme, choisit le métal comme matériau de prédilection et commence à le travailler sous toutes ses formes, comme l'illustre sa première pièce, le Robot, suivi du Bestiaire, évocation de l'attention qu'il porte à la nature, à l'environnement, à l'espace urbain, et qui le conduira à s'investir dans les commandes publiques.

En ligne avec ce choix, il adopte rapidement l’abstraction, après une période initiale de "semi-figuration"[7].

Se définissant comme fabricant et métallurgiste, Claude Mercier peut laisser libre cours à son inventivité en martelant, pliant, soudant et assemblant le métal dans les phases préparatoires de son travail, contribuer ainsi aux profonds changements dans le langage de la sculpture[note 3] en appliquant les procédés techniques utilisés avec le métal.

En 1952, il s’installe dans l'atelier de la Cité d'artistes Jeanne, 16 rue du Saint-Gothard dans le 14e arrondissement de Paris. Il y rencontre le photographe Brassaï qui occupe également un atelier dans la cité[8]. [note 4].

Claude Mercier entretient des rapports d’amitié avec Brassaï, qui lui présente l'écrivain britannique Lawrence Durrell; celui-ci rend visite au sculpteur lors de ses passages à Paris. Brassaï réalise, en 1973, une photo de Claude Mercier qui figure dans plusieurs ouvrages.

En 1954, il effectue un stage de fin d’études de l’École à la Maison de l’Institut de France à Londres. Au cours de ce séjour, il rencontre le sculpteur Henry Moore qui l’invite dans son atelier près de Londres.

En 1955, il rencontre lors de l’exposition Sculptures contemporaines à Évreux (Eure), le sculpteur suisse Alberto Giacometti. Des relations suivies s’instaurent entre eux dans leurs ateliers respectifs, situés dans le même arrondissement de Paris.

À partir du milieu des années 1950, son œuvre prend la forme de petites pièces architecturales, appelées « constructions » et de reliefs, dans lesquelles le métal est lié; chacune de ses réalisations a la particularité de laisser l'espace et la lumière pénétrer.

Suivant sa propre voie, plutôt que de chercher à s’affilier aux écoles d’art, il développe un langage personnel en créant des sculptures dans lesquelles des éléments de métal sont disposés en compositions dynamiques, faites d’une combinaison de courbes alternées et de poussées latérales et verticales, qui jouent avec la lumière, ajoutant de la tension.

Les appellations de chacune de ses œuvres[12] renforcent cette dynamique du mouvement. Certes, quelques-unes sont de nature représentative (Fleurs en pot, Tête casquée, Tête de cheval, Crâne d'animal préhistorique, Crâne de rhinocéros, Le porc-épic, Lotus...). Mais le plus souvent, les titres de ses œuvres abstraites reflètent des mouvements, lancées, éruptions, propulsions et autres combinaisons actives dans un espace en trois dimensions : Traces, Signal, Genèse, Éclosion, Naissance, Émergence, Essor, Envol, Croissance, Construction, Développement, Clivages, Trajectoires, Projections, Variations, Émersion, Expansion, Épanouissement, Mosaïque, Coupoles en poussées verticales, Paraboles, Progression, Visée, Miroirs multiples, Déferlantes, Énergie, Frontalité, Éclatement, Fission, Le combat, Tumulte, Chaos, sans oublier les évocations mythologiques et symboliques Cosmogonie, Éridan, Hydre, Icare, Phénix... La dynamique du nom de l'œuvre, donné à l'objet inanimé créé par l'artiste, renforce le regard porté sur elle et sa lecture : bien qu'inerte, elle devient "habitée" par un élan, par une puissante force en action.

L'évolution des œuvres de Claude Mercier témoigne d’un rapprochement fort entre l’artiste et ceux qui, au quotidien, travaillent le fer et les autres métaux avec un savoir-faire reconnu. Claude Mercier, « sculpteur métallurgiste », est un inventeur de volumes, un assembleur de matériaux, un constructeur de formes; il dialogue ainsi avec l’espace[13]. Ce savoir-faire et ces méthodes trouvent un accomplissement parfois déroutant, toujours inspiré et inventif.

« Qu’il sculpte les animaux, les végétaux, les figures mythologiques, les instruments de musique, les miroirs, les objets cosmiques ou les formes de l’industrie, Claude Mercier sait épurer les lignes, créer le mouvement dans toute sa pureté, magnifier la matière. Jean-Pierre Sueur »

Soixante ans de création

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De 1960 à 2019, artiste reconnu internationalement, il participe à de nombreuses expositions en France et à l’étranger, dans des espaces publics ou privés; plusieurs ouvrages et de nombreux catalogues, publications et articles sont consacrés à son œuvre.

Claude Mercier meurt le [14].

Depuis son décès, son œuvre, dont l'ayant droit est son épouse Colette Mercier-Metayer, est principalement exposée à la Galerie Martel-Greiner, à Paris 6e.

À l'initiative de personnalités du monde de l'art et de collectionneurs, un Comité pour la protection et la promotion de l’œuvre de Claude Mercier, sculpteur a été créé en 2014. C'est ce comité, présidé par Alain Di Stefano, maire délégué de Yèvre-le-Châtel, qui a notamment été à l'origine, en 2017, de la constitution et de la publication de son Catalogue raisonné.

Œuvres et style

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Claude Mercier l’a écrit d’emblée :

« Les formes qui font signe dans mes sculptures, je les possède en moi. Elles n’existent nulle part ailleurs ; elles sont l’expression de ma liberté[15]. »

Technique et savoir-faire

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« Claude Mercier est résolument et durablement fidèle à l’abstraction, loin de toute réalité visible. Liberté et disciple à la fois. À plat pour commencer, face à la feuille blanche, l’artiste s’élance sans souci de la représentation, et dessine d’une main légère. Passant dans la troisième dimension, il s’approprie l’espace pour concevoir une sculpture qui, par le pouvoir du métal, deviendra aérienne.

Claude Mercier s’est exprimé successivement dans deux directions très différentes :

En haut-relief d’abord: il réalise de grands panneaux rectangulaires et compacts, qui n’offrent aucune transparence. Il martèle et repousse le cuivre, qu’il patine superbement, parfois à l’aluminium. Dans plusieurs de ses compositions, il intègre des éléments récupérés, de quincaillerie ou de plomberie par exemple, jadis façonnés dans un laiton étincelant, des carcasses d’obus, des gaines tubulaires, etc. Il froisse des feuilles minces, qui donneront de la profondeur.

Dans les trois dimensions, au contraire, sa sculpture sera faite d’une prolifération de lignes dans un espace quasiment vide. Cette seconde facture dominera l’œuvre de Claude Mercier. Les formes s’apparentent à une succession de gestes de calligraphe qui, chacun, supposent un trait appuyé, une courbe peu soutenue, c’est-à-dire à grand rayon de courbure, un élan, un mouvement, un début et une fin. Des lames fusent isolément dans l’espace, ou bien se superposent, ou s’enchevêtrent. Des portions de trajectoires elliptiques foisonnent et s’entrecroisent, courbes et contre-courbes, zigzags, quelques angles droits ou presque droits...

Le vocabulaire du sculpteur est ainsi composé d’une multitude d’arcs, de section rectangulaire ou carrée, éléments semblables mais nullement identiques, qui obéissent pour la plupart aux mêmes proportions. Face convexe sur le dessus, face concave au-dessous. Tous ces caractères participent d’un équilibre global.

De type organique, la croissante est ascendante. La sculpture n’a pas de « chair », mais une ossature, un squelette. Grâce au métal, elle est toute en porte-à-faux. La forme n’est pas massive, elle jaillit et se cambre, s’étoffe et s’organise autour d’un axe, réel ou virtuel, comme les branches prolifèrent autour du tronc.

Claude Mercier a employé le cuivre, l’aluminium et l’inox, soudés à l’arc sous argon, le laiton et le maillechort, soudés au chalumeau. Prisé par le sculpteur est le maillechort, cet alliage de cuivre, de zinc et de nickel, qui offre au regard la douceur de son poli, moins clinquant que l’argent et teinté de jaune pâle. Faisant tout lui-même, Mercier est passé maître dans l’art de façonner ces caissons, grâce auxquels il restitue des volumes fermés, pleins en apparence, employant de la tôle. Pour immobiliser les plaques sans trop chauffer le métal, donc sans trop de déformations, il procède au pointage, en quinconce, avant d’achever le soudage des arêtes.

L'assemblage des parties est fait soit par brasage, soit par boulonnage, d’autant plus discrètement que les vis sont cachées par des petits bouchons réalisés dans le même métal. »

— Dominique Dalemont[16], journaliste, auteur des Sculpteurs de métal[17], Somogy Éditions d'art, 2006

Claude Mercier est connu pour ses œuvres de métal[18] pleines d'élan, ou au contraire concentrées, repliées sur leur propre mouvement[19],[20].

L’artiste se définissait comme un constructeur, doublé d’un métallurgiste. Marteler, plier, découper, souder, patiner l’acier, l'aluminium, le bronze, le laiton, l’inox, le cuivre, le maillechort, le nickel, sont les étapes techniques accomplies et dominées par celui qui maîtrise les bases du métier acquis à l’École Nationale des Beaux-Arts de Paris dans l’atelier du sculpteur figuratif Marcel Gimond dont il fut le massier[note 5].

Œuvres dans les collections publiques

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France
États-Unis
Canada
Allemagne
Pays-Bas
  • The Boelen Collection. La collection Boelen est une collection de bijoux contemporains, réunis par Romuald et Ida Boelen-van Gelder d’Amsterdam[24].
 
L'envol, cuivre patiné, 1990
 
Arum (ou le couple), aluminium, 1967

Claude Mercier a réalisé de nombreuses sculptures monumentales exposées dans l'espace public en France.

« L’élégance des constructions de Claude Mercier a incité des architectes à faire appel à lui, pour des projets de grande dimension, destinés en général à des établissements scolaires, au titre du 1 % artistique. (Dominique Dalemont)[25]. »

Autres formes

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Claude Mercier s'est attaché également à la diversité des Arts décoratifs et à l’intégration de la sculpture dans les intérieurs :

Œuvre graphique

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« L’œuvre de Claude Mercier ne se limite pas aux sculptures sur métal : une facette de son talent reste très peu connue et " invisible " : il s'agit de ses dessins, gravures, peintures... Pourtant ils sont indissociables de ses sculptures, les complètent, les éclairent, s'enrichissent mutuellement de leur voisinage ; œuvres à part entière, ils constituent une révélation et un éblouissement[29]. Ce ne sont en aucun cas des esquisses ni des croquis, moins encore des "relevés" dessinés ou peints de ses sculptures, mais la force de leur volume, l'impression de relief, le même mouvement qui les anime fait invinciblement songer à son œuvre sculpté dont, par un chemin inverse, on saisit alors toute la picturalité[30], la précision et la légèreté, comme si l'acier, le laiton ou le cuivre avaient été dessinés d'un trait dans l'espace. Lydia Harambourg[31],[32] »

« C'est la même force d'âme qui unit l'œuvre de cet artiste, qu'elle soit sculptée ou graphique. Et dans leurs textes d'introduction du livre Œuvre graphique d'un sculpteur, David Caméo et Lydia Harambourg nous préviennent et nous mettent en garde, à juste titre : "ce serait une profonde erreur que de reléguer l'œuvre graphique à n'être faite que d'esquisses ou d'ébauches en vue de sculptures à venir. Non ! Cette œuvre graphique existe pour elle-même, en elle-même". Mercier "explore ce que nous ne pouvons nommer comme visible et que le dessin effleure, pénètre, construit ou rétracte" écrit Lydia Harambourg. Ce qui frappe, c'est la grande diversité des approches : monotype noir, monotype couleur, plume d'oie, encre de Chine, taille-douce, mine de plomb, eaux-fortes, gaufrage, gravure, lithographie, peinture à l'huile sur toile. Et au-delà de cette diversité - qui témoigne d'une intense et constante recherche - la sûreté des traits, leur sobre beauté, oui, une force - une force d'âme. Jean-Pierre Sueur (in Œuvre graphique d'un sculpteur, Éditions El Viso, 2021. »

« L’œuvre graphique de Claude Mercier est traitée sur des supports propres au dessin et à la peinture depuis les années 1950, en parallèle de sa sculpture, invitant l’emploi de techniques mixtes et traditionnelles. Elle reste cependant plus intime dans sa présentation au public. Entre la sculpture et le dessin, la parenté n’est pas directe, mais ils cheminent en parallèle. Si une idée passe de l’un à l’autre, Mercier n’a jamais dessiné d’après une sculpture et inversement. Le papier est pour lui un lieu d’invention et de fantaisie et la sculpture, celui du contrôle et de la maîtrise », explique Lydia Harambourg dans l’ouvrage Œuvre graphique d'un sculpteur (ISBN 978 84 120969 6 5)

Tel un dialogue, et sans confusion, l’intérêt pour le dessin et la sculpture évolue tout au long de sa carrière sur des chemins respectifs visant la même direction.

En considérant cela, la partie graphique de l’œuvre ne peut être perçue comme basique et préparatoire. Elle demeure en tout point aboutie, mais transmet avec d’autres armes, d’autres règles, les intentions expressives et originelles de l’artiste[34]. »

Statut des droits d'auteur du créateur

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Les œuvres de Claude Mercier sont protégées par des droits d’auteur.

Expositions

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À partir de 1960, les œuvres de Claude Mercier seront présentées non seulement en France mais également dans diverses expositions internationales, notamment dans une dizaine de pays européens, aux États-Unis et au Japon.

Expositions récurrentes

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Claude Mercier a exposé lors de grandes manifestations d'Art contemporain durant six décennies.

Expositions personnelles

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1961 : Galleria XXII Marzo[45], Venise (Italie)

1962 : Hayes Gallery, Palm Beach (États-Unis)

1973 : Galerie Paris-Sculpt[46], Paris

1978 : Maison de la culture de Créteil (Val-de-Marne)[47]

1978 : Sculptures, œuvres graphiques, Maison de la culture et des loisirs de Saint-Étienne (Loire)

1979 : Maison de la culture des Hauts de Belleville[48], Paris

1980 : Galerie Anne Blanc, Marly-le-Roi (Yvelines)

1980 : Galerie Paul Brück, Luxembourg Grand-Duché de Luxembourg

1981 : Maison de la culture, Orléans (Loiret)

1982 : Centre culturel de Troyes (Aube)

2005 : Mairie du 10e arrondissement de Paris

2009 : Château de La Verrerie[49], Le Creusot (Saône-et-Loire)

2009 : Galerie Martel-Greiner, Paris

2014 : Yèvre-le-Châtel (Loiret)[50],[51]

2014 : Dialogue avec le métal[52], Galerie Martel-Greiner, Paris

2023 : Galerie art research, Paris

Autres expositions

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Années 1960

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1960 :

Salon La Jeune Sculpture - Rencontre avec Denys Chevalier, cofondateur de l’Association, et Georges Boudaille, journaliste et critique d'art, président de la section française de l'Association internationale des critiques d'art (AICA), puis délégué général à la Biennale de Paris

1961 :

Exposition internationale Lebendiges Metall[53], Berlin et Bochum (Allemagne)

Exposition Sculptures contemporaines, Musée Cantini, Marseille (Bouches-du-Rhône)

4e Biennale[54] de Conches (Eure)

Galerie Ursula Girardon, Paris

Rencontre avec Paul et Mary Sisler, collectionneurs américains, qui organisent deux expositions à Venise (Italie) et Palm Beach (États-Unis)

1962 :

Exposition internationale du petit bronze[55], Musée d’Art Moderne de Paris

Sculpteurs contemporains, galerie de l’Université, Paris

Sculptures de petit format, galerie Transposition, Paris

Antagonismes 2, l’objet[56], Musée des Arts décoratifs (Paris)

1964 :

Rencontre avec la sculptrice colombienne Alicia Penalba[57], qui l’incite à la réalisation de bijoux

Exposition internationale de bijoux Schmuck[58], musée régional de la Hesse, Darmstadt (Allemagne)

1965 :

Exposition internationale Keukenhof, École de Paris, Amsterdam (Pays-Bas)

Exposition internationale Sieraden, Musée Boijmans Van Beuningen, Rotterdam (Pays-Bas)

1966 :

Galerie Weiller[59], Paris

1967 :

Exposition internationale Majutsllingen, Copenhague (Danemark)

Exposition Le jardin de la sculpture, Les-Vaux-de-Cernay (Yvelines)

1968 :

Rencontre avec le Docteur Jean Audouin, collectionneur et galeriste (Galerie Argos[60]) à Nantes (Loire-Atlantique), qui lui commande une série de bijoux.

Exposition de bijoux et sculptures de petits formats, Galerie Argos, Nantes (avec Georges Braque, Jean Filhos, Gérard Mannoni, Georges Mathieu, Alicia Penalba)

Création du mouvement Art et Prospective avec les peintres Andrée Bordeaux-Le Pecq, Sylvestre Clerc, Jean Cluseau-Lanauve, Hubert-Denis Etcheverry, Claudie Laks[61] et Jean-Pierre Vielfaure

Exposition des artistes du mouvement Art et Prospective : Triennale yougoslave des arts plastiques, Galerie Ulus, Belgrade (Yougoslavie)

Exposition Sculptures Grande Motte – été 68, Centre culturel du Languedoc, La Grande-Motte (Hérault)

1969 :

Aspect de la sculpture contemporaine, Centre culturel[62] de Bobigny (Seine-Saint-Denis)

Exposition de lithographies, Galerie Vision nouvelle[63], Paris

Exposition Sculptures monumentales, Musée des Sables[64], Port-Barcarès (Pyrénées-Orientales)

Années 1970

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1970 :

Festival des arts plastiques, Montargis (Loiret)

L’art dans la ville, Fontainebleau (Seine-et-Marne)

1971 :

Exposition Air France[65] et l’Art d’aujourd’hui, Musée Galliera, Paris (avec Georges Mathieu et Bernard Pagès)

Exposition internationale de bijoux pour le 500e anniversaire de la naissance d'Albrecht Dürer, Nuremberg (Allemagne)

1972 :

Fontes et Reliefs, galerie Paris-Sculpt, Paris

Montmirail 72, Château de Montmirail (Sarthe)

Xe Biennale internationale d’art, Palais de l’Europe[66], Menton (Alpes-Maritimes) ; (invité par Brassaï)

1973 :

Salon de mars, métro Saint-Augustin, Paris

1974 :

Dialogue, UNESCO, Paris

Bijoux de sculpteurs, Maison de la culture de Saint-Étienne (Loire); Musée Fabre à Montpellier (Hérault)

Marché international des arts, galerie Harrach Sabrow, Düsseldorf (Allemagne)

1975 :

CREAR, Château de Montvillargenne, Gouvieux (Oise)

Biennale internationale de la petite sculpture, Budapest (Hongrie)

1976 :

Un siècle de dessins de sculpteurs, Musées de Calais (Pas-de-Calais) et de Pau (Pyrénées-Atlantiques)

1977 :

Bijoux de sculpteur, Galerie Attali, Paris

La sculpture est une fête, Galerie Laubie[67], Paris

Regards 77 – peintres et sculpteurs contemporains, théâtre de Caen (Calvados)

Sculptures contemporaines, Évreux (Eure)

1978 :

Art et paix, Hôtel de Ville de Franconville, Val d'Oise

L’art contemporain, Hôtel de ville de Dunkerque (Nord) et Musée de Saint-Omer (Pas-de-Calais)

Musée de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes)

1979 :

Exposition internationale de sculptures, Le Vaudreuil (Eure)

L’Amérique aux indépendants, Grand Palais, Paris

Biennale d’art contemporain, Palais des arts et de la culture[68], Brest (Finistère)

Lyrisme et géométrie, Maison de la culture des Hauts de Belleville[48], Paris

Foire internationale d'art contemporain (FIAC) Grand Palais, Paris (Galerie Paris-Sculpt)

Rencontre avec Monique de Beaucorps[69] qui crée un mouvement Une synergie dans l’art : Syn’Art.

Exposition Syn’Art avec le peintre argentin Leopoldo Torres Agüero[70]

Exposition au Centre culturel de La Villedieu, Saint-Quentin-en-Yvelines, (avec Hans Hartung)

Galerie Moris, Tokyo (Japon)

Années 1980

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1980 :

Art contemporain, Fondation Rothschild, Paris

Maison de la culture Paris-Mercoeur

1981 :

Sculptures de petit format, Centres culturels de Sarcelles (Val-d'Oise), Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), et des Hauts de Belleville[48] à Paris

Sculptures contemporaines, Musée de Belfort (Territoire de Belfort)

La rue Royale en fête, Paris

Sculptures sur métal, 38e Congrès de la Fédération générale de la métallurgie, La Rochelle (Charente-Maritime)

1982 :

Dix années d’activités consacrées aux arts plastiques, Espace Belleville[71], Paris

La sculpture moderne en France, galerie Louis Carré[72], Paris

Centre d’art contemporain, Jouy-sur-Eure (Eure)

1984 :

Sculptures contemporaines, Centre culturel de La Villedieu, Saint-Quentin-en-Yvelines, et Espace Belleville[71], Paris

Cloître de l’Hôpital général[73], Orléans (Loiret)

Convergences, Orangerie de Bagatelle, Paris

1986 :

Sculptures sur métal, Espace Belleville[71] Paris

Art et technique, Maison de la culture[47], Créteil (Val-de-Marne)

1989 :

Les dix ans de Syn’Art, Galerie Syn’Art, Paris

Années 1990

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1992 :

Vingt ans d’arts plastiques, Espace Belleville[71], Paris

1997 :

L’art est une passion toujours partagée, Espace Belleville[71], Paris

Années 2000

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2001 :

Les collections du Fonds régional d'art contemporain Île-de-France, Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne)

2004 :

Sculptures contemporaines, Hambourg (Allemagne)

2006 : Exposition dans le bureau du Maire de Paris (avec André-Pierre Arnal, Brancusi, Isabelle Champion Métadier, Gérard Garouste, Daniel Buren)

2007 :

Itinéraires artistiques à Yèvre-le-Châtel[74], Mairie de Yèvre-le-Châtel (Loiret)

Rencontre avec Hélène Greiner[75],galerie Martel-Greiner, boulevard Raspail et rue de Beaune, Paris

2008 :

Aspects de l’art en France 1950/1980 – Collection Yvonne et Maurice Allemand[76] MUDO - Musée de l'Oise, Beauvais (Oise)

Foire européenne d’art contemporain de Lille, Galerie Martel-Greiner, Paris

Exposition de la collection du Fonds régional d'art contemporain Île-de-France au MAC/VAL Musée d'Art contemporain du Val-de-Marne

Bijoux de sculpteurs, Galerie Martel-Greiner, Paris

2009 :

Salon du collectionneur, Grand Palais, Galerie-Martel-Greiner, Paris

Salon des Arts et du Design, Londres (Royaume-Uni), Galerie Martel-Greiner, Paris

Deuxième biennale de sculpture, Propriété Caillebotte, Yerres (Essonne)

Années 2010

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2010 :

Galerie Jean-Louis Danant[77], Paris

2011 :

Art & Design, Miami (États-Unis), Plaisance Expertise[78], Galerie Martel-Greiner, Paris

2012 :

Art Design – Champs-Élysées, Galerie Martel-Greiner, Paris

2013 :

Art Paris, Galerie RCM[79], Paris

2014 :

Carré Rive Gauche[80], Galerie Martel-Greiner, Paris

2017 :

Exposition pour la sortie et la signature du Catalogue raisonné, Galerie Martel-Greiner, Paris

2018 :

Biennale Internationale Métiers d’Art et Création[81], Paris – Grand Palais, Galerie Martel-Greiner, Paris

Années 2020

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2020 :

Reflets de lumière, P Gallery[82], Athènes (Grèce)

2021, 2022 :

Galerie Martel-Greiner, Paris

2023 :

Exposition Du volume au relief[83], ARP Gallery[34], Paris, avec la Galerie Martel-Greiner, Paris

Critiques

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Lydia Harambourg, (historienne de l'art, critique d'art, écrivaine et commissaire d'exposition française, membre correspondant de l'Académie des Beaux-Arts (Institut de France)[84]:

« Claude Mercier est un constructeur de formes mues par une dynamique ascensionnelle et des poussées intérieures.

La sculpture de Claude Mercier porte l’évidence des formes sensibles du monde transposées dans le jeu des tensions et des équilibres savants. Chaque sculpture est une structure dressée et cherche à suspendre l’insaisissable. Elle exige que nous nous déplacions pour en comprendre toutes les subtiles articulations. Chaque face nécessite une approche nouvelle, pour une perception renouvelée de l’ensemble. Le regard va bien au-delà de sa vision générale et revient sur l’élégance des courbes qui jouent avec les verticales et les horizontales, s’infléchissent sous la pression des pensées intérieures (Catalogue raisonné[85]).

Abstrait, il a développé un vocabulaire de formes pures en mutation, des volumes d’espace pour un dialogue avec la lumière[86].

À la taille directe, il a préféré la ductilité du métal, donnant libre cours à l’inventivité la plus audacieuse. Le langage du métal lui a fait développer des constructions lyriques à partir d’une combinatoire faite d’alternances de courbes et de poussées latérales et verticales. Il prend appui des lignes de force pour renouveler les rythmes dans une apesanteur mystérieuse. Harmonieuses, dynamiques, ses sculptures font chanter le métal[34]. »

Le Delarge[87], Dictionnaire des Arts plastiques et contemporains :

« Sculpteur monumental, il travaille le bronze, le maillechort, le cuivre.

Non figuratif, il commence par agencer des formes sui generis, minces comme un calligramme, articulées dans un mouvement ascensionnel, Projection (1951), tenant en équilibre sur un seul point d'appui, ou Signal (1966).

Phaéton (1969), est fait de formes originales reposant sur quatre points d'appui, suggérant un moyen de locomotion, avec sa capote à l'arrière, faite d'un demi cylindre creusé et sa tête de cheval plus que stylisée, à l'avant, retournée.

Avec Hydre (1977), il amorce la transition vers la forme qu'il fait sienne, de larges bandes incurvées allant s'élargissant aux extrémités.

Il donne une construction symétrique évoquant la proue d'un navire, sous un auvent soutenu par un éperon, Éridani (1978).

Cette bande, plus ou moins épaisse, pouvant aller jusqu'au parallélépipède carré, il la traite comme fleurs en pleine déhiscence, Elliptique (1993), Éclatement (1980), ou non encore éclose, Émersion (1985), ou encore comme deux gerbes dos à dos culminant en éventail, Pulsions (1991).

Lorsqu'il abandonne la sculpture, il ne la délaisse pas totalement puisque ses peintures sont celles d'un sculpteur. Sa forme large, plate, courbée, en patte d'oie à ses extrémités, il la reprend dans des peintures à compter de 2000, multicolores, allant vers la raréfaction des couleurs, l'une pour l'à plat, l'autre pour les tranches, la troisième pour le fond, (2002), pour aboutir à un monochrome bleu ciel, (2003).

Du même graphisme, dessins et gravures. »

Distinctions

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Voir aussi

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Sources

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  • M. Alain Di Stefano, maire délégué de Yèvre-le-Châtel, président du Comité pour la protection et la promotion de l’œuvre de Claude Mercier, Sculpteur[89], créé à l'initiative de personnalités du monde de l'art et de collectionneurs[90]. C'est ce comité qui a notamment été à l'origine de la constitution et de la publication, en 2017, de son "Catalogue raisonné"[91];
  • Mme Colette Mercier-Métayer, ayant droit de l'artiste Claude Mercier;
  • Mme Lydia Harambourg, historienne de l'art, critique d'art, écrivaine et commissaire d'exposition française, membre correspondant de l'Académie des Beaux-Arts (Institut de France), fait partie de ce comité et rédige généralement les textes sur Claude Mercier. Son analyse en tant que critique d'art fait autorité[85];
  • M. David Caméo[85], Directeur général des Arts décoratifs, Inspecteur général à la création et aux enseignements artistiques;
  • Site internet consacré à Claude Mercier Sculpteur [21];
  • Monographies et Bibliographie ci-après relatives à l'artiste, notamment Claude Mercier : Catalogue raisonné, Somogy Éditions d'Atrt 2017, cf. articles "La vision du sculpteur" (David Caméo), "Le plain-chant du métal" (Lydia Harambourg), "Toutes les facettes du métal" (Hélène Greiner). (ISBN 978-84-120969-6-5)

Monographies

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2009 : Claude Mercier, Quand le métal fait signe[92],[93]/, Marie-Odile Van Caeneghem, spécialiste de l'art contemporain, Somogy Éditions d'art, (ISBN 9782757201916)

« Claude Mercier est l’un des grands sculpteurs français contemporains. Connu pour ses sculptures en métal, aux formes abstraites convexes et concaves entrelacées à l’infini, il arbore un style singulier, incontournable source d’inspiration pour les générations à venir… Sculptures monumentales, reliefs, dessins, bijoux… : toutes les formes explorées par Claude Mercier se retrouvent mises en perspective. »

2021 : Claude Mercier : Œuvre graphique d'un sculpteur, objet de l’exposition Du Volume au Relief[94], Éditeur(s) : El Viso (ISBN 978-84-120969-6-5)[95] ; Contributeur(s) : Directeur de publication : Colette Mercier-Métayer, épouse et ayant droit de Claude Mercier - Auteur du texte : Lydia Harambourg - Préfacier : David Caméo, Directeur général des Arts décoratifs, Inspecteur général à la création artistique et aux enseignements décoratifs.

« Réunion de l'œuvre dessinée du sculpteur, part méconnue de sa production qui atteste l'unicité de sa réflexion sur la forme. Ses dessins, peintures, monotypes ou encore gaufrages expriment soit l'élan, soit la concentration, caractéristiques de ses sculptures métalliques, dont certaines reprennent des réalisations graphiques. ©Électre 2023. »

Catalogue raisonné

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2017 : Claude Mercier, Catalogue raisonné[85],[96], Texte de Lydia Harambourg avec la collaboration de David Caméo, Directeur général des Arts décoratifs, Inspecteur général à la création artistique et aux enseignements décoratifs et Hélène Greiner, directrice de la galerie Martel-Greiner, sous la direction de Colette Mercier-Métayer, Somogy Éditions d'art, (EAN 9782757211991)[97]

« Un catalogue raisonné, c'est la synthèse d'une vie, pas seulement l'inventaire le plus exhaustif possible d'une œuvre, mais la somme de toutes les recherches, de toutes les émotions, de tous les « accidents », des erreurs comme des moments de grâce, c'est l'histoire de rencontres, de ruptures, et surtout celle d'un travail immense.

À l'origine, Claude Mercier aime parler de deux rencontres évidemment déterminantes pour le jeune sculpteur qu'il fut dans le Paris de l'après-guerre, celle avec Henry Moore dans les années 1950 et celle avec Alberto Giacometti, qui encouragea la carrière de l'artiste. Mais aussi admiratif qu'il fut des grands sculpteurs adeptes du modelage dont il croisa très tôt la route, il prit courageusement un chemin très personnel, celui de « l'artisan du métal », s'inscrivant dans un courant novateur mais difficile, poursuivant une quête qui de 1949 à 2017 lui permit d'explorer, du figuratif à l'abstrait, du métal récupéré et soudé au bronze, toutes les expressions d'un matériau qu'il dompta comme nul autre : acier, maillechort, cuivre, laiton, brossé, martelé, patiné dans une savante alchimie. (Hélène Greiner)[98] »

Éléments de bibliographie

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Catalogues d’expositions personnelles

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1973 : Raoul-Jean Moulin[99], critique d'art français, Galerie Paris-Sculpt, Paris[46]

1978 : Josette Mélèze[100], Maison de la culture de Créteil (Val-de-Marne),

1979 : Maurice Allemand[101], Maison de la culture de Saint-Etienne (Loire)[102]; Centre culturel de La Villedieu, Saint-Quentin-en-Yvelines (Yvelines)

1981 : François Wehrlin, Directeur de l'École nationale supérieure des Beaux-arts, Maison de la culture d’Orléans (Loiret)

1982 : Claire Nédellec, Commissaire d'exposition. Maison de la culture de Troyes (Aube)

2005 : Marie-Odile Van Caeneghem, Conseil en création et gestion de patrimoine artistique, Mairie du 10e arrondissement de Paris

2009 : Hélène Greiner, antiquaire et galeriste[103], directrice de la Galerie Martel-Greiner, Paris

2014 : Lydia Harambourg, Espace de rencontres et d’expositions[74] de Yèvre-le-Châtel (Loiret)[21]).

Ouvrages généraux et publications

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1960 : Denys Chevalier, écrivain et critique d'art, cofondateur du Salon de la jeune sculpture, France-Observateur ; Claude Rivière, Combat

1961 : Georges Boudaille, Critique d'art[104] Les Lettres françaises

1962 : Lawrence Dam, The Palm Beach Daily News

1963 : Pollefiet, Le Musée vivant,

1965 : Claude Mercier, Chefs-d'œuvre de l'art, éditions Hachette,

1973 : Michèle Dubreucq, Connaissance des Arts; Henry Galy-Carles, Coloquio ; Monique Dittière, L'Aurore

Depuis 1976 : Dictionnaire Bénézit[105], Librairie Grund

1977 : Jean-Pierre Santo, Journaliste, Journal de l'île de La Réunion

1978 : Colette Canty, Journaliste, Le Progrès de Lyon; Jean-Luc Epivent, Profil, architecture évolutive par le métal[106]

1979 : Dominique Remondin, L'Aurore, Jean-Marie Tasset, Journaliste, Le Figaro; Antonio Urrutia, Guadalimar; Patrick Gerval, Le Parisien Libéré

1980 : Michèle Dubreucq et Jean Rudel[107], Technique de la sculpture[108], PUF Que sais-je ? no 1773 (ISSN 0768-0066)

1982 : Ionel Jianou, La sculpture moderne en France depuis 1950, Editions Arted; Jeanine Warnod[109], Le Figaro

1984 : Nancy Grove, Mary and William Sisler collection, Éditions du MoMA, New-York

1989 : Marcel Cornu, Conversations avec Bobigny, Éditions Messidor

1994 : Hervé-Armand Béchy[110], Art/lycées 1951-1993le 1% artistique, Conseil régional d'Île-de-France

2001 : Christelle Langrené[111], La collection du Fonds régional d'art contemporain (Frac) Île-de-France

2004-2005 : Ursula Herrndorf, peintre[112], Skulpturenland Reitbrook, Hambourg

2005 : Reinhold Hold, La sculpture, de l'Antiquité au XXe siècle

2006 : Dominique Dalemont, Les sculpteurs du métal[113], préface d'André Ughetto, Somogy éditions d'art (ISBN 2850569550 et 978-2850569555) ; Suzanne Pagé, Inventaire des collections du Musée d'Art Moderne de Paris

2007 : Alain Di Stefano, Itinéraires artistiques à Yèvre-le-Châtel, Les compagnons de la Châtellenie (ISBN 978-2-9528407-0-5)[74]

2008 : Josette Galiègue, Aspects de l'art en France (1950-1970)[114] La collection Allemand, Musée départemental de l'Oise, Somogy Éditions d'art; Xavier Franceschi, Toute la collection du Fonds régional d'action culturelle Île-de-France au mac/val[115], éditions Frac Île-de-France

2009 : Patrick Perrin, antiquaire, fondateur du PAD (Pavillon des Arts et du Design), Catalogue Pavilion of Art and Design, Londres; Lydia Harambourg, Deuxième biennale de sculpture à Yerres, Somogy Éditions d'art; Lydia Harambourg, La Gazette Drouot no 24; Bénédicte Bonnet Saint-Georges, L'Estampille - L'Objet d'art no 444 et 447; Galerie Martel-Greiner, Connaissance des arts; Galerie Martel-Greiner, Beaux Arts Magazine

2010 : Marie-Christine Cavigneux, Revue de l'association des membres de l'Ordre des Palmes académiques; Florence Richard, Le Journal de Saône-et-Loire

2011 : Wolfgang Glüber[116], Jugenstilschmuck[117], Catalogue du Musée de Darmstadt (Allemagne)

2012 : Monique de Beaucorps, Docteur en sociologie de l'art, diplômée de l'École du Louvre, historienne et sociologue de l'art[118] ; Une Synergie dans l'Art[119]; Louis Richardeau[120], L'éventail[121], Brafa

2014 : Lydia Harambourg, La Gazette Drouot, No 30, ; Lydia Harambourg Présentation de l’artiste – site internet[122]

Audiovisuel/Multimedia

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Notes et références

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  1. Voir l'article Sculpteur sur métal de l'Institut national des métiers d'art [1]
  2. La sculpture sur métal fait partie, dans le domaine Ameublement et décoration, de la Liste des métiers de l'artisanat d'art en France fixée par l'arrêté du signé conjointement par le ministère de la Culture et le secrétariat d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire, et publié au Journal officiel le ; Voir aussi [2].
  3. Voir la leçon inaugurale prononcée le par le sculpteur britannique et allemand Tony Cragg au Collège de France[3]
  4. Cette adresse a accueilli des artistes célèbres : En 1889, au retour d'Arles où il avait rejoint Vincent van Gogh pour l'automne précédent, Paul Gauguin loue un atelier au 16, rue du Saint-Gothard, afin de participer au Salon des XX et, plus largement, d'être présent pour l'Exposition universelle de 1889 qui se tient à Paris à l'occasion du centenaire de la Révolution française. Il réalise dans cet atelier plusieurs gravures sur zinc[9]. Le peintre et sculpteur italien Amedeo Modigliani, rattaché à l'École de Paris, a également vécu à cette adresse[10] en 1910. Cet Immeuble est inscrit au titre des monuments historiques (arrêté du , publié au JO du )[11]
  5. Dans les écoles d’art - notamment l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris - et les ateliers d’art, le massier est un élève élu par ses condisciples qui a diverses responsabilités, dont celle de collecter et gérer les cotisations et fonds communs pour les dépenses ("masse") de la classe, de pourvoir aux dépenses communes et de seconder le maître.

Références

modifier
  1. Relevé des fichiers de l'Insee.
  2. « La sculpture en France après 1945 », sur Canal Académies (consulté le ).
  3. « Visionneuse », sur paris.fr (consulté le ).
  4. « Henri Mercier, Illustrateur - Documents originaux et images », sur hprints.com (consulté le ).
  5. [4].
  6. Dominique Dalemont, Les sculpteurs du métal : 66 portraits d'artistes, Somogy Éditions d'art, 2006 (extrait de la 4e de couverture).
  7. « Art semi-figuratif : définition et exemples », sur galerie-creation.com (consulté le ).
  8. Collectif, Étrangers célèbres et anonymes du 14e arrondissement, mairie du 14e, octobre 2011, p. 8.
  9. Claire Bernardi et Ophélie Ferlier, Gauguin : l'alchimiste, Paris, RMN-Grand Palais, , 325 p. (ISBN 978-2-7118-6435-5, lire en ligne), p. 23.
  10. [5].
  11. « Version électronique authentifiée publiée au JO no 0071 125 125 du 24/03/2007 | Legifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  12. Voir les œuvres citées : [6].
  13. « Claude Mercier : quand le métal fait signe », sur Académie François Bourdon, (consulté le ).
  14. « Claude MERCIER », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  15. « Un catalogue raisonné de l’œuvre de Claude Mercier vient de paraître », sur jpsueur.com (consulté le ).
  16. http://sculpture1940.com/wp-content/uploads/2018/03/Les-Sculpteurs-du-métal.pdf.
  17. « Les sculpteurs du métal, Dominique Dalemont », sur Chasse-aux-livres (consulté le ).
  18. « MERCIER Claude (1924) sculpteur », sur Arcadja.com (consulté le ).
  19. « Claude MERCIER », sur alexandreguillemain.com (consulté le ).
  20. « Sculptures », sur Claude Mercier Artiste Sculpteur (consulté le ).
  21. a et b « Découvrez Yèvre-le-Châtel (Loiret) », sur les-plus-beaux-villages-de-france.org (consulté le ).
  22. « Yèvre-le-Châtel », sur La Route de la Rose du Loiret (consulté le ).
  23. « Le plus beau village du Loiret a célébré deux événements », La République du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Elle comprend environ 200 pièces pièces par certains des meilleurs orfèvres d’Europe centrale dans la période 1965-1975. [7].
  25. Les sculpteurs de métal, Somogy Éditions d'art, 2006.
  26. « Reliefs Claude Mercier Artiste Sculpteur », sur claude-mercier.com (consulté le ).
  27. « Bijoux Claude Mercier Artiste Sculpteur », sur claude-mercier.com (consulté le ).
  28. « Design Claude Mercier Artiste Sculpteur », sur claude-mercier.com (consulté le ).
  29. « Claude Mercier : oeuvre graphique d'un sculpteur » [livre], sur Librairie Mollat Bordeaux (consulté le ).
  30. caractère de ce qui peut être représenté par la peinture.
  31. https://www.librairie-du-premier-film.org/listeliv.php?base=paper&form_recherche_avancee=ok&auteurs=Lydia+Harambourg&select_tri_recherche=pertinence&editeur=El+Viso.
  32. https://www.librairie-compagnie.fr/livre/9788412096965-claude-mercier-oeuvre-graphique-d-un-sculpteur-lydia-harambourg/?provenance=wishlist_list.
  33. « Dessins Claude Mercier Artiste Sculpteur », sur claude-mercier.com (consulté le ).
  34. a b et c https://www.arp-auction.com/actualite/90300.
  35. « Peintures Claude Mercier Artiste Sculpteur », sur claude-mercier.com (consulté le ).
  36. où il fait partie des membres du comité du salon.
  37. https://www.lemonde.fr/archives/article/1969/01/09/grands-et-jeunes-d-aujourd-hui_2421525_1819218.html.
  38. Lauréat du prix de la critique journalistique.
  39. [8].
  40. Créée en 1956, la Brussels Art Fair est l’une des plus anciennes et aussi l'une des plus prestigieuses foires d’art au monde. Elle est réputée pour la qualité des œuvres exposées, allant de l'Antiquité à l’art moderne et contemporain en passant par les beaux-arts et le design.
  41. Évènement important pour les collectionneurs internationaux de design, PAD stimule la personnalité des galeristes, et offre une plate-forme d’expressions sur la création contemporaine et l’histoire des arts décoratifs.
  42. https://www.padesignart.com/fr/.
  43. Cette manifestation s'est déroulée entre 2007 et 2019. [9].
  44. https://www.boccara.com/.
  45. https://www.continiarte.com/panoramic-gallery/venezia-calle-larga-xxii-marzo.
  46. a et b https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/ark:/73873/pf0001059361.
  47. a et b [10].
  48. a b et c [11].
  49. [12] p. 70.
  50. https://www.larep.fr/yevre-la-ville-45300/actualites/le-sculpteur-claude-mercier-expose_11137430/.
  51. https://www.jpsueur.com/images/stories/Presse/2014/140915_rc_yevres.pdf.
  52. https://www.larep.fr/yevre-la-ville-45300/actualites/le-sculpteur-claude-mercier-expose_11137.
  53. https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/zug-1961-0106/pdf.
  54. L'événement se perpétue depuis 1954 et fut longtemps parrainé par le peintre et graveur cubiste Jacques Villon qui n'est autre que le frère de Marcel Duchamp. Moins connu du grand public que ce dernier, il a pourtant marqué le mouvement cubiste à travers ses gravures….
  55. https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/ark:/73873/pf0000048409.
  56. https://www.abebooks.fr/rechercher-livre/titre/antagonismes-2-l%27objet/.
  57. https://www.gazette-drouot.com/article/alicia-penalba-de-l-ombre-a-la-lumiere/5171.
  58. https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/ark:/73873/pf0000074988.
  59. https://www.artabsolument.com/fr/default/place/detail/699/Galerie-Weiller.html.
  60. 'https://data.bnf.fr/fr/13771595/galerie_argos_nantes/.
  61. [13].
  62. https://www.mc93.com/.
  63. https://data.bnf.fr/atelier/11879449/galerie_vision_nouvelle_paris/.
  64. http://portbarcares.com/fr/les-incontournables/lallee-des-arts.
  65. Air France illustrera les cartes itinéraires moyen-courriers de photographies de deux sculptures.
  66. [14].
  67. http://pops-gerard-laubie.over-blog.com/tag/galeriste/7.
  68. https://www.lequartz.com/.
  69. Historienne et sociologue de l'art, Monique de Beaucorps, après avoir collaboré au Service Culturel de la France à Ottawa (Canada) et à Mexico (Mexique), a créé en 1979 le mouvement SYN'ART qui a regroupé des peintres comme Jérôme Bost, Chu Teh-Chun, Olivier Debré, Lybinka et des sculpteurs comme Rodolfo Krasno, Claude Mercier, Françoise Bissara-Fréreau. Membre du jury du festival international du film d'art et pédagogique à l'UNESCO, elle a tenu une rubrique sur les Musées et les expositions. Elle est l'auteur d'ouvrages de référence tels que "La Peinture espagnole" ou "Le Voyage des peintres en Bretagne".
  70. https://www.paulbert-serpette.com/articles/leopoldo-torres-aguero-au-dela-de-l-art-optique-dans-l-oeil-d-hugo-greiner.
  71. a b c d et e https://www.artistescontemporains.org/lieux_dart/espace-belleville/.
  72. https://louiscarre.fr/.
  73. Notice no PA00098849, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  74. a b et c https://yevre-la-ville.fr/arts-et-culture/.
  75. https://www.librairie-gallimard.com/listeliv.php?base=paper&form_recherche_avancee=ok&auteurs=Helene Greiner.
  76. https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/09/09/maurice-allemand-pionnier-de-l-art-abstrait-a-saint-etienne_6051566_3246.html.
  77. https://www.galerie-danant.com/.
  78. https://ufe-experts.fr/experts/arnaud-plaisance/.
  79. [15].
  80. https://www.carrerivegauche.com/fr.
  81. https://www.revelations-grandpalais.com/la-biennale/.
  82. https://www.pgallerysculpture.com/.
  83. https://www.connaissancedesarts.com/marche-art/galeries/10-expositions-gratuites-pour-jouir-de-lart-cet-hiver-11179864/.
  84. Identifiant international de l'autorité : ISNI|0000000084012463.
  85. a b c et d https://issuu.com/baranes/docs/claude_mercier_catalogue_raisonne__.
  86. Membre correspondant de l’Académie des Beaux-Arts (Institut de France, historienne, critique d’art.
  87. https://www.ledelarge.fr/24507_artiste_MERCIER_Claudje?PHPSESSID=9a4a1273670e26298932c8be5c570ac5.
  88. Cet ordre est destiné à récompenser les personnes qui se sont distinguées par leurs créations dans le domaine artistique ou littéraire ou par la contribution qu'elles ont apportée au rayonnement des Arts et des Lettres en France et dans le monde.
  89. https://www.larep.fr/yevre-la-ville-45300/actualites/luvre-de-claude-mercier-valorisee_12570089/.
  90. http://claude-mercier.com/fr/comite-claude-mercier.html.
  91. Catalogue raisonné"https://issuu.com/baranes/docs/claude_mercier_catalogue_raisonne__.
  92. https://m.media-amazon.com/images/I/61Mo+V+q4RS.jpg.
  93. https://www.afbourdon.com/quand-le-metal-fait-signe-marie-odile-van-caeneghem.
  94. https://www.dessinoriginal.com/17802-thickbox_default/claude-mercier-oeuvre-graphique-d-un-sculpteur.jpg.
  95. https://www.parislibrairies.fr/listeliv.php?orm_recherche_avancee=ok&editeur=El%20Viso&base=paper.
  96. https://m.media-amazon.com/images/I/41VM3dlamlL._SX432_BO1,204,203,200_.jpg.
  97. cf. l'article de Jean-Pierre Sueur : https://www.jpsueur.com/index.php?option=com_content&view=article&id=7851 :un-catalogue-raisonne-de-l-oeuvre-de-claude-mercier-vient-de-paraitre&catid=51&Itemid=64.
  98. https://www.librairielinstant.fr/livre/9782757211991-claude-mercier-catalogue-raisonne-colette-mercier-metayer-lydia-harambourg-helene-greiner/.
  99. https://www.babelio.com/auteur/Raoul-Jean-Moulin/91057.
  100. https://www.pgallerysculpture.com/mercier-claude.
  101. Maurice Allemand (1906-1979) Conservateur en chef du Musée d'art et d'industrie de Saint-Etienne ; inspecteur principal de la création artistique au Ministère des affaires culturelles ; chevalier de la Légion d'honneur ; officier des Arts et des Lettres.
  102. [16].
  103. https://www.gazette-drouot.com/article/helene-greiner-la-sculpture-dans-la-peau/24456.
  104. Président de la section française de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art), chroniqueur à France Culture et expert en ventes publiques.
  105. "Sa sculpture est abstraite et peut être comparée à une sorte de calligraphie construite dans l’espace, dans laquelle des symboles nickelés se combinent dans des compositions dynamiques et légères". Extrait de l'rticle Claude Mercier, Benezit Dictionary of Artists, 2011.
  106. https://bipat.nantes.archi.fr/wp-content/uploads/sites/15/2021/06/MicrosoftTeams-image.jpg.
  107. Jean Rudel (1917-2008) était peintre et professeur émérite d'Histoire de l'Art de l'Université Panthéon-Sorbonne. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, diplômé de l'École des beaux-arts de Montpellier et de Paris.
  108. [17].
  109. Née à Montmartre en 1921, Jeanine Warnod grandit en compagnie des artistes de la Butte. Après-guerre, elle entre au service culturel du Figaro. Figure emblématique du milieu de l'art, elle est l'auteur du Guide Warnod de la peinture et de nombreux ouvrages sur l'École de Paris.
  110. http://www.bechy.com/.
  111. Docteur en histoire de l'art de l’Université de la Sorbonne (2006). Spécialiste du marché de l’art contemporain et de son histoire, Consultante en Art Contemporain.
  112. [18].
  113. L'emploi du métal marque un tournant dans la sculpture au début du XXe siècle. Julio González, Pablo Picasso, Pablo Gargallo, Antoine Pevsner, Alexander Calder..., venus s'établir en France, inventent la sculpture par assemblage. Sur leurs traces, de nombreux sculpteurs des générations suivantes adopteront le métal pour s'exprimer directement, sans passer par les étapes du modelage, du moulage et de la fonte. Sculpter voulait dire jusqu'alors : modeler la terre, le plâtre ou la cire, fondre le bronze, tailler le bois, la pierre ou le marbre. Dans les années 1930, le soudage révolutionne l'assemblage. Cuivre et laiton, aluminium, fer et acier, inox... le métal à l'état neuf ou récupéré sous toutes ses formes, façonné à froid ou a chaud, permet de construire autour du vide. La sculpture s'inscrit désormais comme un dessin dans L'espace et intègre le temps, le mouvement, la mécanique. Dominique Dalemont réunit ici les sculpteurs du métal établis en France : soixante-six portraits d'artistes, près de cinquante autres cités. Un choix éclectique s'est imposé à lui au fil des rencontres approfondies avec chacun d'entre eux ou leurs plus proches témoins.
  114. https://www.abebooks.fr/rechercher-livre/auteur/galiegue-josette/.
  115. Musée d'Art contemporain du Val-de-Marne.
  116. https://www.hlmd.de/museum/forschung/kunst-und-kulturgeschichte/dr-wolfgang-glueber.html.
  117. https://www.thalia.de/shop/home/artikeldetails/A1016366803.
  118. Monique de Beaucorps, après avoir collaboré au Service Culturel de la France à Ottawa (Canada) et à Mexico (Mexique), et exercé différentes fonctions dans les milieux culturels et artistiques, a fondé, en 1979, le mouvement SYN'ART qui a regroupé peintres et sculpteurs de tous pays, architectes, critiques d'art, conservateurs de musées, directeurs de galeries et publics de tous horizons et notamment des peintres Jérôme Bost, Chu Teh-Chun, Olivier Debré, Lybinka et les sculpteurs comme Rodolfo Krasno, Claude Mercier, Françoise Bissara [19]. Membre du jury du festival international du film d'art et pédagogique à l'UNESCO, elle a tenu une rubrique sur les Musées et les expositions.
  119. https://www.blurb.fr/b/3054908-une-synergie-dans-l-art.
  120. Conférencier, journaliste d’art, professeur de français et d’histoire de l’art à l’Institut d’enseignement des Arts, Techniques, Sciences et Artisanats, directeur aux Beaux-Arts de Namur.
  121. https://www.eventail.be/.
  122. [20].
  123. https://www.musees-dunkerque.eu/laac/histoire-du-laac.

Liens externes

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